Brin d’histoire :Mathias Dzon
Né à Ingouélé, près de Gamboma, dans le département des Plateaux, Mathias Dzon est un cadre discret de la Banque des États d’Afrique centrale (Béac), jusqu’à sa nomination à la tête de la Banque internationale du Congo (Bidc), en 1985, par le chef de l’État, Denis Sassou N’Guesso. Dès lors, le grand public le découvre.
Docteur d’État en sciences économiques, Mathias Dzon crée, en 1991, l’Union patriotique pour le renouveau national (Uprn), son parti politique, en compagnie de ses amis de l’Aec (Association des étudiants congolais), Ganfina, Bouity, Elo Dacy, etc.
Lors de la Conférence nationale souveraine, en 1991, il est candidat malheureux à la Primature. Il n’a pas fait le poids face aux autres candidats, et surtout, à Milongo, ancien fonctionnaire de la Banque mondiale, élu Premier ministre de la Transition. Aux premières élections de la nouvelle ère démocratique, il est député de Gamboma. Après son départ de la Bidc, il retrouve la Béac, le 15 mars 1995, en qualité de fondé de pouvoir à l’agence de Pointe-Noire. La guerre éclate en juin 1997.
À la fin de la guerre, il entre dans le gouvernement de Denis Sassou N’Guesso dont il est l’un des fidèles alliés. Il est propulsé au poste de ministre des Finances, le 2 novembre 1997. Mathias Dzon réussit, tant bien que mal, à remettre à flot un système financier déglingué. Mais le 18 août 2002, il est remercié et quitte le gouvernement. Il réintègre alors l’agence de la Banque des États de l’Afrique centrale. Lors de la 6ème session du conseil d’administration de la Béac, il est nommé en qualité de directeur national de cette banque, à Brazzaville. C’est un homme du sérail qui connaît bien cette maison.
Depuis sa mise à la retraite, il se consacre entièrement à la politique. De nombreux candidats se bousculent au portillon de l’élection présidentielle de 2009 : Anguios Ganguia Engambé, Bertin Pandi Ngouari, Clément Mierassa, Bonaventure Mizidy-Bavoueza, Guy-Romain Kinfoussia, Denis Sassou N’Guesso, Jean Ebina, Joseph Houdjuila-Miokono, Michel-Marion Madzimba-Ehouango, Joseph Kignoumbi-kia-Mboungou, Jean-François Tchibinda-Kouangou et Antoine Thomas Nicéphore Fylla Saint-Eudes ; Mathias Dzon est le candidat de l’Alliance nationale pour la démocratie (And), une plateforme des partis de l’opposition, après avoir appelé au boycott de ce scrutin. À l’époque, j’écrivais dans la Semaine Africaine, un article intitulé, 2009, un boulevard pour Sassou Nguesso. En effet, l’opposition au président sortant était anecdotique. La victoire de Denis Sassou N’Guesso ne faisait l’ombre d’aucun doute. Les résultats en font foi : Mathias Dzon est quatrième, derrière le vainqueur, Sassou Nguesso, Kignoumbi et Nicéphore Fylla Saint-Eudes. Le jour de la proclamation des résultats de cette élection, une frange de l’opposition organise une marche de protestation dans les artères de Brazzaville, sans résultat probant.
Depuis sa croisade contre le changement de la Constitution du 20 janvier 2002, Mathias Dzon fait partie de ce qu’il appelle, non sans forfanterie, la « vraie opposition ». « Tous les partis opposants sont à Brazzaville. Sibiti est un bled élevé en pleine forêt », déclarait-il récemment, pendant que le dialogue se tenait dans le chef-lieu du département de la Lékoumou. Des propos qui n’ont pas manqué de déclencher l’ire des sages de Sibiti. Lire la suite…
MFUMU
Jeudi 30 Juillet 2015
MFUMU est un fumiste de premier ordre récupéré par Pigasse et surtout soigné par notre voleur national. Ses ordonnances sont payées en échange de sa prose. Frère ainé de Nick Fila, il ne rehausse pas le niveau familial. Avant de s’en prendre à Dzon et aux autres, il ferait bien de regarder dans un miroir.
Mais qui est-il pour nous donner des leçons ?
Cadre du pays, c’est bien tout ça, mais il faut ajouter que
le secrétaire général de l’UPADS, Pascal Tsaty Mabiala, en 2010 déclarait que son parti a quitté claqué la porte au Front à cause de la dictature de Mathias Dzon, qui à cette époque assurait la présidence de cette plate forme pour six mois. La présidence étant tournante, le président de l’UPRN, six mois après a voulu s’agripper à ce fauteuil. En plus au cours des réunions de ce groupement des partis de l’époque, lorsque Dzon a parlé plus personne ne pouvait prendre la parole. Une attitude qui a offusqué le Secrétaire général de l’UPADS en soutenant qu’il « n’y avait pas pire dictateur au Congo que Mathias Dzon. » Conséquence, lui aussi, c’est –à-dire Pascal Tsaty Mabiala, en dictateur, sans consulter l’instance suprême du parti, a décidé du retrait de l’UPADS du Front. Tous les autres partis politiques membres après avoir fait l’amère expression ont fait autant, signant ainsi son acte de décès.
Que dire de l’ARD, qu’est devenu le prolongement de l’UPRN, le même Mathias Dzon étant devenu le président à vie. Cette énième plate forme politique de l’opposition radicale ‘existe plus que de nom. Dans la mesure où depuis lors elle n’enregistre que des démissions ; à cause du comportement dictatorial du même Mathias Dzon. Ce qui la fragilise et la rend inefficace face aux enjeux politiques du pays.
C’est de bonne guerre. Si les propagandistes de Dzon s’attaquent a SASSOU, ceux de SASSOU ont le droit de faire de même. Dzon comme nous le savons est co gestionnaire du bilan de SASSOU. Il a été son ministre de finances. N’ayons pas la mémoire courte. Il n’est pas vierge ce monsieur. Tout le bruit qu’il nous pompe ne nous fera pas oublier qu’il a été aux affaires. On ne peut pas porter un jugement sur SASSOU sans évoquer Mathias Dzon.
Un autre fait à mettre à l’actif de celui qui fait de la politique une profession après sa retraite à la BEAC, c’est -à dire Mathias Dzon, puisque c’est de lui dont il est question, c’est l’acte de déliquescence financière qu’il posé en sa qualité de Ministre des Finances. Mathias Dzon, de mèche avec Salu Humberto Brada a pillé l’argent des Congolais, soit près de 5 milliards, qu’il avait ethnicisé toutes les administrations relevant de son cabinet, il fallait etre Gangoulou pour travailler au sein du ministère dont il avait la charge. Sa haine et son sens tribal s’est remarqué tout récemment sur les ondes d’une radio étrangère, en qualifiant de foret une localité du Congo. peut être qu’il fallait que ce dialogue national fut convoqué à Gamboma ?
L’opposition congolaise ne fascine pas. C’est une agglutination de personnes sans fondement idéologique, ni programmatique. Cette opposition est un échafaudage de parti et de personnalités aigris. C’est un cocktail explosif donc très dangereux pour le pays. Okombi nourrit des ambitions démesurées. Kolelas est déjà candidat a la présidentielle de 2016. Tsaty Mabiala n’a pas encore dit son mot. Mathias Dzon s’est déjà déclaré candidat. Du coup, il n’ y a pas de place pour l’entente.
C’est étonnant comme méthode.
On préfère véhiculer ou servir de relai des attaques venant des tirailleurs d’Oyo Haram, tout en faisant preuve de parcimonie dans la diffusion des différentes actions ou interventions de tout ce qui se déroule autour de la personne de Ndzon.
http://youtu.be/kTp9HmP4p3E
De Filla Saint Eudes, çà ne me surprends pas. C’est le propre des 1/2 Congolais. Celui ci, né d’une mère d’en face, la RDC qui a finit dans les bras des Yhomby, Sassou, Bongho Nouarra, Edouard Ebouka Babakas ne peut soutenir que son père Sassou cet autre 1/2 Congolais né d’un Dahomey.
Mfumu n’est qu’un situationiste qui court depuis longtemps derrière le poste de Ministre au point de créer de problèmes dans sa propre famille parce que trop jaloux de son petit frère, garçon sérieux.J’ai souvent suivi les débats auxquels assite Mfumu. C’est triste de le voir défendre la constitution comme s’il ne savait pas lire ce qui écrit noir sur blanc.
Mfumu qui n’a jamais quitté la vieille maison de sa mère à la rue Bacongo à Poto Poto n’a vraiment pas de léçons à donner à qui ce soit. Nous nous connaissons tous dans ce pays.
Quant à Congo mon pays et à Patriote, je respecte vos points de vue,mais comparez ce que Dzon a volé comme vous le dites en cinq ans et ce que Sassou et son clan ont volé en 32 ans c’est le jour et la nuit et il n’ y a rien de comparable car en 5 ans Dzon volait avec la complicité de Sassou qui était non seulement le chef d’état, mais aussi le chef du gouvernement. Le chef de bande c’est lui et non Dzon. Si Dzon prends 10 ans de prison Sassou sera la perpétuité.
Et même si dans son cabinet il n’ y avait que les Gangoulous, célà a t – il changé aujourd’hui? Visitez tous les Ministères, je n’ai trouvé que les Ministres Itoua Bruno avec un Dircab Vili; celui de la Pêche avec un Mbochi, celui des Eaux et Forêts, et de l’ Electricité et de l’Hydraulique des Makoua. Il y a surement d’autres ailleurs, mais ce ne serait que l’arbre qui cache la forêt car il suffit de voir ce qu’il ya comme village dans ces ministères. Du planton à la sécrétaire en passant par les chauffeurs, gardes de corps et autres fonctionnaires, c’est le village en plein.
En ce qui concerne les ego de Dzon et Tsaty Mabiala, c’est de bonne guerre,déjà dans un seul parti, on trouve ce genre d’égo, combien de fois dans des partis différents. Regardez ce qui se passe au RMP devenu les Républicains où Sarkozy, Juppé , Filon et les autres se battent comme les gladiateurs.Le parti communiste et le parti socialiste avaient un programme commun mais ils avaient deux candidats à l’élection Présidentielle. C’est au PCT où la pensée unique règne et que ce genre de situation n’existe pas. Un autre son est interdit. Sassou c’est le roi et quand il sera mort, je ne suis pas entrain de le lui souhaiter, ce sera son fils qui prendra le relai et les koumba, Obami Itou, Ngolo et les autres viendront s’agenouiller pour ne pas mourrir de faim. TRISTE,TRISTE
@ MFOUMOU l’homme aux multiples noms, tantot Kitoko, Bazilide, Fila, et maintenant Mfoumou etc… dit! to komi bas cocos. Oyo kaka lokosso ya mbongo?
Tu es-la en train de jouer ta derniere carte d’escroc. Et attends-toi a fuir le Congo pour rejoindre ta RDC. Aller dire des chose contre Mathias NDZON a un moment ou ce brave homme se depense avec les autres membres de l’opposition a nous sortir de la precarite, c’est le moment que tu trouves favorable pour desorienter le vaillant Peuple avec ton frere Nephilim PIGASSE. Previens PIGASSE que le jour « J », s’il se faisait cravater par les combattant de la liberte, il lui arrivera ce qui est arrive au pilote Americain de Somalie.
« Jusqu’où ira-t-il dans cette opposition, dont les partitions, jusqu’à saturation, sont jouées sur les médias étrangers qui ont trouvé, comme on dit, « un bon client ». Peut-on, lorsqu’on vise le pouvoir suprême se satisfaire d’une opposition médiatique ? À l’évidence, non. Il en faut plus, sans doute »
écrit Fila alias Saint Eudes,Basilde Baudley, Kitoko, Mfumu, un véritable couillon de la République à qui je demande de dire à son copain Ondèle d’organiser un débat sur téléPCT sur le oui et non du changement de la constitution avec comme invités:
DZON, MIERASSA, MPOUELE, LIMBONGO NGOKA partisants du non d’un côté et de l’autre FILA MFUMU, MANOUKOU, MABIALA, ELONGO(DGCM) partisans du oui.
Ceci évitera non seulement à l’opposition de se satisfaire d’une opposition médiatique mais aussi de ne pas aller jouer sur les médias étrangers comme si ceux du pouvoir PCT leur étaient autorisés.
Des excros comme Fila devaientt avoir honte quand ils savent que nous sommes sous un pouvoir militarisé,non démocratique et très assassin, sinon comment Fila peut expliquer que l’on puisse interdire à un citoyen Congolais n’ayant aucun litige avec la justice de sortir de son pays.
Comment peut – on refuser à des partis officiellement constitués et reconnus de se réunir dans un lieu public parcequ’on n’a pas envie d’entendre un autre son que celui du PCT qui organise son comité central avec le concours du trésor public. S’il restait encore un peu de dignité et du patriotisme aux gens comme les Fila, la moindre des choses est de dénoncer cette dérive du pouvoir unique tant décrié à la Conférence Nationale.
Quand SASSOU rentre de France après avoir préparé son coup d’état, le pouvoir de Lissouba l’a laissé rentrer sans problèmes suivi de ses militants et encadrés par la police. Le pouvoir Lissouba a bien laissé SASSOU parcourir tout le Congo surtout son nord pour préparer l’élection de 1997,et voyant qu’il ne gagnera pas comme en 1992, il a commencé à créer les histoires à Owando point de départ des évènements du 5 juin 1997. On ne refera pas l’histoire mais n’oublions pas.
Ce n’est pas SASSOU qui déclarait sur la télévision Nationale venue couvrir son meeting que si la constitution est en danger, les Démocrates ne doivent pas se laisser faire?
Aujourd’hui, il refuse à l’opposition ce qu’il exigeait hier. Télévision verouillée, impossible d’aller à l’intérieur et l’extérieur du Congo sauf cas rare si le ROI du congo le veut pendant que son PCT a droit à tout sur les Finances de tous les Congolais et il ya des gens comme l’EXCRO Fila pour écrire n’importe quoi comme s’il valait DZON, MIERASSA, BOAWO.
Je tiens au débat comme dit plus haut et après on mettra TéléPCTSASSOU et l’argent de l’état à la disposition de tous les protagonistes du non et oui au changement de la constitution pour qu’ils aillent expliquer leur point de vue dans toute la République du Congo,au lieu d’autoriser au seul PCT d’aller dire du mensonge aux gens qui ne connaissent même pas une constitution, en premier lieu mon oncle chef de mon village qui ne sait ni lire ni écrire.
Lui parler de constitution et dire qu’il est d’accord pour le changement n’est qu’imposture que ne peuvent soutenir que les excros comme FILA qui ne peut même pas reconnaître que son mentor SASSOU est entrain de commettre un PARJURE auquel il répondra le moment venu.
Beaucoup de candidats pour un seul fauteuil. Regardez-les bien tous, qui n’a pas sa Carte du PCT ou ne l’a jamais eue? Il y en a qui ne l’ont pas encore rendue et qui font semblant d’être opposant. Cette opposant est hybride. Les comportements et pratiques de Mathias Dzon au sein de l’opposition sont et seront les mêmes quand il sera Président de la République, à supposer qu’il le devienne : UN DICTATEIUR. On ne change pas un faucon ou un vautour en colombe. Retenez-le bien. Ce n’est pas parce qu’on a changé de veste ou de costume et de chemise et de cravate qu’on a changé le corps qui les porte.
Mathias Dzon a été le Trésorier-Payeur de Sassou pendant les guerres qui ont ensanglanté le pays de 1997 à 2005, en charge de payer les Cobras et les mercenaires recrutés partout à travers toute l’Afrique et l’Europe, etc. Il a participé à l’organisation et mise en place de toutes les opérations d’épuration ethnique et d’extermination humaine (Opérations Colombes I et II, Hadès, Hérode, Mouebara, etc.). Il fait partie des criminels à poursuivre demain devant les juridictions internationales. Les crimes contre l’humanité sont imprescriptibles…
D’accord avec FONGOLA MISO,
mais je ne savais pas que Dzon était à la fois Ministre des Finances et Tresorier Payeur. Dzon a quitté le gouvernement en 2002 comment il pouvait servir de Trésorier Payeur jusqu’en 2005.
Je suis nul en calcul mais Dzon n’est resté que 5 ans au gouvernement pendant la transition flexible et quand il a commencé à dire en 2002 que la constitution était mauvaise, son propriétaire qui n’aime pas un autre son dans son église l’a viré.
Je ne pense pas que Dzon ait été au PCT en tout cas, pas celui que j’ai connu à l’AEC. A part quelques cas rares des intello comme les BOWAO, OSSEBI, ITOUA, AKA LEVY, et quelques vieux de la vieille école qui ne veulent jamais prendre leur retraite comme les ADADA, ABAMI ITOU, bien d’autres que je ne peux citert ici et qu’ils m’en escusent, le gros lot de ceux qui sont au PCT viennent de la Défense Civile, de l’ UJSC, et qui ont fait des études très souvent dans les pays du Bloc Soviétique où la pensée unique était de rigueur. Jusqu’en 1970, ces cadres, formés avec des niveaux d’études douteux au point où on a vu des amis partis avec des niveaux de 4éme revenir au bout de 4 ans qui Docteur, qui Ingénieur pendant que nous entamions la classe de Terminale. Le cas d’un certain Léger parti avec un niveau 5e et revenu Docteur en médécine était le plus le plus tipique; et ils étaient nombreux dans ce cas.
Même ceux qui partaient avec un niveau de CM2, je n’exagère pas revenait diplômé. J’ai été surpris de voir lors de mes vacances en 1989,un de nos grands frère de Poto Poto qui passait tout son temps à jouer au cola et qui n’avait jamais travaillé devenir patron à la DGB. Renseignement pris, il était entretemps parti étudié en Roumanie, mais quel diplome avait il pu obtenir pour occuper un tel poste pendant que ceux qui sont passés par l’ENA ciraient ses bottes.
Heureusement que pour mettre fin à cette pagaille, le Président Ngouabi avait décidé d’envoyer à partir de 1970 en grand nombre les Bacheliers dans les pays de l’Est car beaucoup refusaient d’y aller et à partir de là , on a commencé à avoir des cadres bien formés tant au niveau de l’armée que dans le civil car ils avaient le niveau requis pour aller dans les Universités. Encore que beaucoup qui terminaient dans ces pays repassaient soit par l’Allemagne Fédérale, soit par la France, soit par l’Italie etc etc, non pas qu’ils étaient mal formés mais surement par complexe qui n’avait pas lieu d’être.
Autre gros lot des PCTistes, tous ces moniteurs et volontaires de l’Enseignement suivis des yaka noki noki billet ékofutama na Brazza ainsi que beaucoup d’opportunistes et illétrés comme cette Député PCT qui s’interrogeait pourquoi dans cette Assemblée on ne parle qu’en français. ASSEMBLEE YA BINO BALOBAKA KAKA NA FRANCAIS? Et c’est ce genre de militants qui font les beaux jours au PCT, source de leur enrichissement. Déjà si elle ne peut même pas suivre les débats à l’Assemblée où elle est élue pour ne pas dire nommée, qu’est ce qu’elle peut bien comprendre dans une constitution?
Pour revenir à DZON, le jour où il sera élu président, pourquoi pas, s’il se comporte en dictateur, les congolais s’occuperont de lui. Pour l’instant,nous avions un DICTATEUR qui s’appelle SASSOU qui doit dégager le plancher en 2016. On verra le sort de DZON après.