Un partisan de l’opposant gabonais Jean Ping évacue un blessé lors d’une manifestation dénonçant la réélection d’Ali Bongo, le 31 août à Libreville Photo Marco Longari. AFP
Après le Congo, le Tchad et la Guinée équatoriale, le Gabon vient de s’illustrer en continuant la série noire des pays pourfendeurs de la démocratie. Tout ceci au nez et la barbe des puissances occidentales, la « fameuse communauté internationale ». La République démocratique du Congo (RDC) est en embuscade. L’Occident ne nous montre point de puissance mais une connivence dans la perpétration des crimes contre l’Humanité. Priver un peuple de son droit de choisir librement ses dirigeants en est un.
Ce malaise est d’autant plus profond qu’il révèle que nos indépendances découlent d’un lien incestueux entre nos anciens colonisateurs et certaines familles régnantes d’Afrique centrale. Ce modèle de gouvernance à vie existe et il s’appelle la monarchie qu’aucun pays d’Afrique centrale n’a choisi jusqu’à preuve du contraire. Tout ceci se fait au détriment du peuple africain longtemps plongé dans la misère, qui tire le diable par la queue et ne voit poindre aucune solution à l’horizon. Encore un autre jour de deuil dirais-je, un « black day », tant nos vies en Afrique noire sont toujours noires de malheur. Est-ce le fruit de nos pratiques ancestrales ou notre incapacité à sortir nos peuples de la mauvaise passe dans laquelle ils se trouvent ? Toutes ces politiques d’aide au développement sans évaluation n’ont servi à n’enrichir que les mêmes depuis toujours : les anciens colonisateurs et l’élite colonisée. Le bien et le mal deviennent des notions relatives.
Dans tous ces pays, les différentes oppositions au pouvoir en place ont tenté en vain de venir à bout de ces dictatures que notre écrivain Alain Mabanckou qualifiait de petite vérole. Cette maladie infectieuse d’origine virale qui a pratiquement disparu de la terre. La variole qui est très contagieuse et endémique a défiguré le visage de l’Afrique centrale au point de nous rendre méconnaissable vis-à-vis du reste du monde. Encore une fois, nous sommes rattrapés par la tragédie du Roi nègre.
« Celui qui ne connaît pas l’histoire de son pays est condamné à la répéter sans cesse. » C’est peut être là la cause de nos échecs successifs nous autres démocrates de l’Afrique centrale. Ces indépendances artificielles accordées depuis plus d’un demi siècle pour certains, ne nous permettent pas de vivre en Hommes dignes et libres. Cette liberté de disposer de nos richesses, cette liberté de choisir nos dirigeants et cette liberté de mener notre existence comme bon nous enchante dans un cadre préalablement établi. Nos pays sont devenus des prisons à ciel ouvert dans lesquels en supposé citoyens libres, nous sommes obligés de nous battre pour nos droits civiques comme du temps de l’esclavage aux USA et de l’apartheid en Afrique du sud. Nous sommes les plus nombreux, mais aussi les plus opprimés. Il est temps de changer encore une fois notre façon de faire de la politique. Car nous savons tous que c’est l’oppresseur qui détermine l’arme de l’opprimé.
En Afrique centrale, le gouvernement, l’armée et le parti du pouvoir en place sont les lieux de rémunération les plus juteux, alors que ceux-ci ne sont créateurs d’aucune richesse. Ils n’apportent généralement rien à nos économies. Serions-nous différents de nos frères d’Afrique de l’Ouest ? Sans trop m’avancer, je dirai oui, car les autres pensent leur pays comme un projet collectif nécessitant l’implication de tous, alors qu’en Afrique centrale le pays est une propriété privée du dictateur en place.
Je ne peux me résoudre à penser qu’il n’y a plus d’alternative car tous les jours qui se suivent se ressemblent. Nous autres assistons les bras croisés avec un œil complice au bal des tyrans dans l’espoir d’en récolter les miettes. Nous avons abdiqué et nos rêves aussi grands au départ s’amenuisent pour être réduits en peau de chagrin. Certains veulent prendre la vague ou le train en marche de la décadence. Nous devrions faire attention, car être dans le vent c’est avoir le destin d’une feuille morte. Et je ne puis m’imaginer que sans boussole, nous ne terminions notre course dans un brasier.
Les massacres, les violences, la mauvaise gouvernance, les violations des droits humains continuent sans que la communauté internationale n’intervienne. Celle-ci nous considère-t-elle toujours comme des êtres humains ? Sous le prétexte de la non ingérence dans les affaires intérieures de nos pays respectifs, elle ne lève pas son doigt réprobateur. Car vaut mieux faire des affaires avec des dictateurs qui garantissent la paix des cimetières, que d’avoir à traiter avec ceux qui voudront discuter d’égal à égal. « Les états n’ont pas d’amis, ils n’ont que des intérêts » dixit de Gaulle. Détruire les monuments de Tombouctou est passible de la cour pénale internationale (CPI), alors que tuer quelques nègres dont le sort n’émeut pas grand monde reste anecdotique. Quand on en tue un c’est un drame, nombreux ce ne sont plus que des statistiques.
J’interpelle tous les démocrates d’Afrique centrale afin que nous puissions nous concerter pour mettre fin à cette gangrène. Nous serions intelligents nombreux. Si nous laissons faire, nous allons tous mourir de honte. Dans ce cas nous aurions encore trahi une fois de plus la mémoire de nos illustres figures telles que Lumumba, Nkrumah, Mandela, Sankara, Nyéréré, etc. Lumumba disait « si je meurs demain c’est qu’un blanc aura armé la main d’un noir. » Cela reste toujours vrai et d’actualité car le prédateur de l’homme noir c’est l’homme noir lui-même. Ceci ne devrait plus être un frein afin d’aller de l’avant. Nous avons fait le diagnostic, nous avons les ressources, les outils et la méthodologie, alors il ne tient plus qu’à nous de changer le monde. L’Occident ne viendra jamais à notre secours car nous n’attendrons rien des personnes qui bafouent les droits de leur propre minorité. Ils ne nous considèrent que comme des variables d’ajustement que nous ne sommes pas. Ils sont toujours préoccupés par nos situations post-électorales, doutent de la sincérité du vote, appellent à la retenue, réprouvent avec fermeté tout recours à la violence, pour finalement après reprendre langue avec nos dictateurs : « The show must go on : le spectacle doit continuer. »
La seule leçon que nous devrions retenir est que le créateur a fait l’Afrique centrale belle et riche que les autres en sont mécontents. Ne leur laissons pas la possibilité de nous la détruire pendant qu’il est encore temps. J’ai mal pour l’Afrique centrale ce jour, mais seule la lutte libère et il ne peut en être autrement.
Je terminerai par ce proverbe du Malawi : « Celui qui désire la pluie doit aussi accepter la boue. »
Patrice Aimé Césaire MIAKASSISSA
Diffusé le 02 septembre 2016
Ou était le nord le jour de la manifestions pour le referendum. LA France DES PETITS, ELLE N’A PAS HONTE DE DIRE QU’ELLE CONCERNÉ DE CE QUI SE PASSE AU GABON QUI A DONNÉ CES FAUX RÉSULTATS
EN AFRIQUE CENTRALE NOUS DEVRONS NOUS RÉUNIR POUR RÉSOUDRE SE PROBLÈME DE LA France.
À Patrice MIAKASSISSA et à tous les Africains du Centre,
La leçon de plus nous est donnée avec le Gabon: La France tient entre ses mains le Gabon, Congo, Tchad, Centrafrique et Cameroun.
Lorsque Robert POATY PANGOU et les siens du CNESC, n’ont cessé de vous dire que nos États n’ont jamais accédé à l’indépendance, que celle-ci est inachevée, ils se font conspués! L’actualité Gabonaise vient leur donner raison!
Rien ne pourra changer en Afrique centrale si, nous ne parvenons pas à comprendre cette réalité.
J’espère qu’enfin notre entendement s’est approprié cette réalité et, qu’enfin nous allons tous œuvrer dans la même direction pour se sortir du piège diabolique tendu par la France et qui se joue de nous depuis 56 ans!
Dans sa voracité à vouloir nous vampiriser, la France à laisser une faille qui constitue aujourd’hui son talent d’Achille et notre porte de sortie, de Salut: cette faille se trouve dans sa propre Constitution de 1958! Pas n’importe quelle version, mais celle actualisée au 04 juin 1960 de laquelle elle nous imposa des Accords d’asservissement, de domination perpétuelle, s’enrichissant sur notre dos et de nos richesses: c’est du Vampirisme, Bu Ndoki!
Cette faille est l’organisation des Référendums d’autodétermination dont elle se détourna en 1960 pour accorder des indépendances qui ne le sont point!
Que la France le veuille ou pas, cette initiative est impérative: À nous de les entreprendre en usant de tous les moyens technologiques en cours!
De ce point de vue, l’initiative référendaire du CNESC de RPP est pertinente. Ne perdons plus de temps. Car, plus nous tardons et plus le sang des nôtres continuera à couler! Et, plus seront brisés, les destins des nôtres et de nos pays!
Nous sommes arrivés à une étape historique cruciale! Il faut en finir avec l’esclavagisme que nous fait subir l’Occident! Les cartes sont entre nos mains! Ne nous laissons pas gagner par une quelconque fatalité: celui qui voulait nous dominer pour l’éternité est prenable dans son propre jeu qu’il imposa aux nôtres!
À l’ère de l’informatique, le langage dédié nous parle de faille. Cette faille est celle répète que RPP et le CNESC l’ont révélés! C’est de cela dont il s’agit! Soyons unis pour la véritable indépendance de nos États!
Les images dictatoriales devenues une habitude en AFRIQUE CENTRALE qui martyrisent les peuples qui en sont issus , nous poussent à nous dépasser pour essayer de répondre par des pressions pérennes à l’endroit de ceux qui en détiennent les clés .
D’où , comme prévu ,il est 6 h 19 , je me prépare à aller à COLOGNE pour parler de SASSOU et de KABILA, s’y ajoute le nouveau dictateur gabonais le biafrais ALI .
Cet entretien sera émaillé des différentes images récentes tirées des manifestations brimées et ensanglantées par les polices respectives de ces pays .
Je réponds à l’invitation d’un militant de RDC qui a obtenu un RDV avec un élu allemand .
Nous aurions aimé avoir à nos cotés un gabonais ,dans ces moments cruciaux où le GABON est entrain de se débattre contre le viol de sa volonté politique .
L’écolo allemand élu de la ville de COLOGNE qui sera le relayeur de nos doléances auprès de ces compatriotes , aura la mission de mener une action politique au sein de l’EUROPE afin de faire entendre raison à la FRANCE sur sa politique esclavagiste envers ses colonies .
Les condamnations de convenance françaises , nous deviennent indigestes , au point qu’elles nous percent les tympans .
La FRANCE, doit clarifier sa politique africaine sur la base des résolutions ONUsiennes de respect et de garantie de la naissance des démocraties sur cette partie L’Afrique centrale .
Donc , CHERS AMIS , on se retrouve lundi MATIN ;;;;
TCHAO …
Décidément, les Africains seraient-ils incorrigibles? Voilà Val de Nantes qui court vers Cologne pour espérer via un Élu Allemand faire entendre raison à la France?!!!
Mais, jusqu’à quand la Raison des Africains ne va-t-elle point comprendre que c’est entre ses propres mains, où se trouve la Clé du Salut auquel il aspire?
Si Val de Nantes sait dorénavant que c’est la France qui est à l’origine de ce que vivent les Congolais, Gabonais,…la seule façon de faire entendre raison est de la prendre à défaut sur le non respect du socle d’où émane sa propre parole: sa Constitution.
C’est ce qui est maintenant compris et doit constituer notre pilier, duquel aucune force ne saurait nous en éloigner.
Au lieu d’aller voir l’Allemand, allies-toi d’abord avec les autres Congolais, Gabonais,…
Une fois de plus, les Africains donnent l’impression de ne savoir ni prendre les problématiques du bon bout, encore moins de les attaquer sous le meilleur angle! On préfère aller écouter la parole de ceux qui participent à nos malheurs, plutôt que d’écouter celle des nôtres qui ont su voir d’où venaient les causes de nos malheurs: RPP et le CNESC ont vu juste!
Cela me fait penser à Cheikh Anta DIOP qui ne ménagea point ses efforts pour réconcilier l’Afrique à son Histoire, ramener l’Egypte pharaonique à son creuset charnel Nègre/Noir. Et, pendant ce temps, les Noirs continuaient à croire la parole falsificatrice du Blanc sur l’Histoire de l’Egypte Antique!
J’en appelle à nouveau à la Raison des Nôtres de ne plus perdre du temps dans des initiatives vaines. C’est à nous d’imposer le rythme de notre libération au nom de nos aspirations légitimes à la liberté et l’épanouissement.
A Val de Nantes
L’Afrique centrale est entre les mains de quelques décideurs européens corrompus sous la pression des pétroliers français et italiens. La proximité de Sassou Nguesso avec Matteo Renzi n’est plus à démontrer et ENI est devenu l’instrument de la corruption de Sassou Nguesso à l’intérieur et à l’extérieur du Congo et au sein de l’Union Européenne avec Federica Magherini, ex-ministre des A-E à son service.
UNITE dit : Les morts du Congo qui ont précédé ceux du Gabon doivent nous emmener tous à réfléchir sur la question des relations de nos pays d’Afrique Centrale avec la France.
Lorsque Hollande qui sait pertinemment que les dispositions d’une constitution relatives à l’âge et au mandat de Sassou sont intangibles, et que lors d’une conférence de presse avec le président malien,il permet à Sassou de changer la constitution du 20 janvier 2002, c’est un signal fort de l’assujettissement de notre peuple à la France,. Nous savons tous qu’il ne se serait jamais comporté de la sorte avec le peuple français. Pire lorsque ces dictateurs qui ont perdu les élections tuent les pauvres populations, arrêtent arbitrairement les opposants, les traduise en justice pour des faits fallacieux, aucun média ne s’en émeut, alors que pour des destructions à Tombouctou, toute la communauté internationale est debout. A croire que la vie des congolais, gabonais qui tombent sous les balles de ces dictateurs ne comptent pas pour la France. Les humiliations , les arrestations arbitraires qui deviennent le lot quotidien de ces opposants n’intriguent pas cette France qui se dit être le pays des droits de l’homme.
Quand vous avez compris tout ça, quand nous avons compris tout ça, la fatalité ne doit plus caresser nos esprits, le tribalisme ne doit plus résider en nous. Face à ces indépendances inachevées, tout intellectuel doit être patriote, et ensemble nous devons nous unir pour sortir nos populations de cet assujettissement qui ne doit plus exister au 21ème siècle. Les afro américains se sont battus pour mettre fin à l’apartheid, comme les sud africains. Il est temps au niveau de l’Afrique Centrale que nous prenions conscience de cela, afin que par tous les moyens ces dictateurs qui nous gouvernent, comprennent que les lobbys pilleurs des richesses de nos pays qui les soutiennent ne tuent pas chez eux, n’arrêtent pas arbitrairement chez eux, ne détournent pas les deniers publics chez eux.Le moment est venu pour que tous ces crimes de sang ainsi que ces crimes économiques s’arrêtent.
D’accord avec UNITE et Mésu_i_ya. Il est effectivement temps que ces scénarii macabres CESSENT.
Le même point de vue est partagé sur http://bantura.blogspot.fr/2016/09/paroles-libres-des-bassa-kama_2.html (l’un des seuls Blogs qui s’appliquent à ouvrir les yeux des Noirs sur les plans maléfiques en cours qui se jouent de nous!).
Chers Freres et Soeurs d afrique centrale, arretons de penser que nous sommes heureux dans ce monde, mais le contraire. Cherchons une solution pour se liberes de la FRANCE, par tout les moyens. Soyons fermes et deterniner pour faire face à cette POURRITURE, qui n’est autre que la FRANCE.
A anonyme
Un citoyen de » la pourriture » qui ne peut que vous plaindre …
@ VAL DE NANTES,
Merci de continuer à remuer les arbres qui détiennent les fruits qui nous manquent. Notre salut ne peut venir que de l’Europe notamment de la France et dans la moindre mesure de l’Italie et des USA car ce sont ces 3 pays qui detiennent la vraie clé de notre situation.
Pourquoi la France demande qu’on recompte les voix bureau par bureau au Gabon? Pour 3 raisons.
En 1990, sous Bongo père, Port Gentil 2ème ville, capitale économique et pétrolière avait été sacagée et les intérêts français étaient mis en mal.
En 2009, quand Ali vole à Mba Obame l’élection avec la complicité de la france, les inétrêts des français avaient été sacagés tant à Libreville qu’à Port Gentil.
Cette fois ci rebelotte. Les français commencent à comprendre qu’Ali est un mauvais cheval pour leurs intérêts et cette fois ci ils cherchent à le lâcher.
De source sûre, Ali avait commencé à négocier son départ mais les faucons du PDG l’ont pris en otage. En regardant toutes les tendances qui donnaient Ping élu et ils ont tripoté les voix du Haut Ogooué son département pour lui attribuer des scores à la soviétique afin qu’Ali passe avec quelques voix de plus. Ce n’est pas pour rien que le décompte des voix de ce département est arrivé 3 jours après à Libreville. C’est comme si le décompte de Pointe Noire arrivait après celui de Bouanela dans la Likouala où il faut faire appel à des pirogues même motorisées pour aller plus vite.
Frontalière à la cuvette de l’Ouest congolaise, les Tékés et Mbérés qui sont à cheval sur le Congo et le Gabon sont une reserve électorale pour ce département depuis Bongo père.Ce même phénomène se reproduit du coté de Zanaga où l’on trouve aussi les Mbérés connus sous le vocable Ombamba
Les Français savent où cette élection pose problème car ils détiennent les résultats sortis des urnes. C’est pourquoi elle demande le décompte bureau par bureau. Nous attendons impatiemment à la France pour lui opposer la jurisprudence en rapport avec ce qui s’est passé au Congo où cette même france s’est tue quand sassou a confisqué les urnes et les résultats sortis des urnes où il était battu.
La France et les autres qui sont nos pires ennemis doivent être traqués partout. C’est pourquoi, j’ai toujours soutenu ici que c’est de Pointe Noire que le pouvoir de sassou tombera car dès qu’on commencera à toucher aux intérêts de la France, c’est sûr qu’elle y pensera par deux fois.Au Gabon, elle s’est à quoi s’ent tenir car les Gabonais savent ce qui fait mal à la france et ce n’est pas pour rien qu’Erault a demandé aux Français de ne pas sortir.
A Delbar,
Eh oui, vous pouvez vous plaindre, mais sachez que la France est vraiment la mal Congolais pour ne pas dire celui de ses anciennes colonies.
En quoi Hollande peut s’autoriser de dire que sassou peut consulter son peuple pour modifier la loi fondamentale du congo quand celle ci le lui interdit.
Pourquoi Elf peut armer sassou pour tuer autant de congolais en 1997 chassant du pouvoir par les armes un Président démocratiquement élu pour la première fois dans l’histoire du Congo.
J’ai toujours apprécié vos prises de positions ici, mais aujourd’hui je me rends compte que vous n’êtes qu’un hypocrite de cette emmerdeuse France et rien d’autre.
Et si la France cessait de se mêler de nos affaires pour qu’on choisisse démocratiquement nos dirigeants au lieu de nous imposer leurs gouverneurs du genre sassou.
Et après qu’on ait choisi nos dirigeants, la France nous renverra tous nos congolais n’ayant que la nationalité congolaise, pas de binationanux qui ont choisi la France à cause du beurre en échange de tous les français qui se trouvent chez nous. Nous verrons qui sera perdant et gagnant dans l’opération car nous serons libres de choisir nos partenaires.
Nous pouvons choisir l’anglais comme deuxième langue parlée au Congo et commencé à l’enseigner au primaire.
On peut autoriser à Air France deux fréquences par semaine pour venir au Congo car nous sommes dans un domaine de reciprocité et aucun aéronef immatriculé congolais ne se pose en France pour s’équilibrer avec à Air france le ciel ne tombera pas sur le congo. Ce n’est qu’une volonté politique et le jour où nous choisirons nos dirigeants sans la main noire de la France, vous verrez comment nous allons traiter votre France.
Après tout, qu’apporte la France au Congo si ce n’est les emmerdements à ne pas en finir.
Je ne cesse de critiquer la politique africaine de la France mais je ne peux tolérer qu’on traite
mon pays de pourriture.
Si vous trouvez que c’est de l’hypocrisie, libre à vous.
À tous ceux qui se remettent à des puissances étrangères pour libérer le peuple congolais, permettez-moi de vous dire que vous faites fausse route et une réflexion sur la situation politique au Congo biaisée. Ces pays occidentaux sont soumis à des intervalles réguliers définis par leurs constitutions respectives à des élections, rendez-vous démocratique important au cours duquel les dirigeants rendent des comptes sur les grands équilibres budgétaires, sociaux et politiques. Dans le cas de la France, 2017 est une année électorale, le président français a conditionné sa candidature à la baisse du chômage. Les équilibres économiques dépendent, en partie des importations et des exportations. Beaucoup d’entreprises françaises font du business avec le Congo. Tout ceci vous le savez. Pensez-vous que Hollande peut bouleverser ces équilibres au risque de compromettre sa candidature ? Alors, arrêtons et n’attendons pas que les alouettes nous tombent du ciel toutes rôties. Un peuple mûr doit savoir prendre son destin en mains. Les États sont des entités rationnelles, ils n’agissent pas pour les intérêts économiques, politiques et géopolitiques. La France fait partie du conseil de sécurité, si la situation ètai prioritaire pour elle, elle aurait agi. Arrêtons de pleurnicher et battons-nous comme l’ont fait avant nous les Algériens, le Vietnam, etc. Je peux vous assurer que la voix de ces peuples comptent dans le concert des nations et ne ne vont pas sanglotter dans les jupons d’une quelconque puissance étrangère.
Delbar dit :
02/09/2016 à 12:45
Vous êtes une poubelle de démocratie.
De Gaulle n’a que des intérêts et oui « L’AFRIQUE NE VEUT PLUS QUE DES INTÉRÊTS
Articles 52 et 53 de la constitution française DONNE LA FORCE à notre conversation http://www.cgov.vo
Erratum, lire : les états n’agissent que pour des intérêts économiques, etc.
Désolé.
@Delbar dit :
02/09/2016 à 12:45
Réponse:
Avez-vous un mort dans votre famille suite au désordre de la France?
Vous payez des salariés ave l’argent de l’Afrique : conseil: il faut partager pas 60% France et 40%
60% du budget COP21 est « donner par le CONGO BRAZZAVILLE, alors que le Congo Brazzaville n’est presque pas électrifié…
Le POOL EST BOMBARDÉ sous le contrôle de la France, les français dorment en paix…
L’INDEPENDANCE est la Solution.
Delbar,
Vous dites bien que vous ne cessez de critiquer la politique Africaine de la France, eh bien c’est parce qu’elle n’est pas bonne. Alors pourquoi ne pas accepter qu’elle soit traiter de pourriture alors que moralement elle pourrit l’Afrique en nous imposant des gens comme sassou au pouvoir.
J’apprends d’ailleurs par RFI que ce sassou est de l’autre côté de la RDC pour aller porter secours à un autre pustchiste en voulant rencontrer des opposants qui ne veulent pas aller au dialogue initié par KABILA qui n’a pu organiser les éléctions en temps voulu par la constitution.
En France, vous aurez accepter celà? Pourquoi en Afrique vous voulez que celà se fasse? La France est traitée de pourriture parce qu’elle nous pourrit la vie n’en déplaise à votre prise de position et dites plutôt à vos colonisateurs de nous coller la paix. Nous sommes suffisamment garands pour savoir ce que nous voulons au lieu de nous prendre toujours pour les colonisés. Comprenez vous celà?
LIRE: nous sommes …. grands
OYESSI dit :
02/09/2016 à 13:54
Réaction:
Être grand… C’est comme les gabonais.
On réagit. Il faut pas attendre le faut prophète de donner la main.
SEULE LA LUTTE LIBÉRE.
Les gabonais sont grands….
Veux-tu dire que l’apprenti puschiste particulier s’est trahi lui-même par sa naïveté incarcérale et son tribalisme cinématographique et théâtral?
Alias Loko Balossa, la folie balancée, ce n’es pas bon. Va au mieux pécher le poisson!
Essaie plus convenablement: « Akoua Babouaki », très élégant pour tes babines diffamatoires. Mais attention à la veste droite.
Sans merci.
Compatriotes,
Ayons le sens de la nuance parfois dans nos propos quand nous parlons de la France. Je m’explique.
Dans un excellent livre, intitulé :l’économie mondialisée, Robert RICH, ancien ministre du travail de Cliton, expliquait les liens incestieux qui liaient les politiciens et le monde des affaires en Occident. Ces gens sortent des mêmes écoles; fréquentent les mêmes clubs; et les secondent financent les activités politiques des premiers. C’est ce dernier lien qui explique la salauperie des politiciens français vis à vis de nos pays.
Quelques exemples.
Bolloré a hérité d’une entreprise familiale qui fabriquait du papier à cigarettes. De fil en aiguille, il s’est approché des politiciens français pour qu’ils lui ouvrent le marché de la cigarette des pays africains via la privatisation de leurs usines de cigarettes. De fabricant de cigarettes, il est devenu aussi cultivateur de tabac en Afrique. De cette activité, il s’est intéressé à d’autres produits de rente tel que le palmier à huile en Afrique , Cameroun, et plus tard en Asie . De producteur agricole, il a voulu transporter sa production hors champs. Il s’est mué en logisticien en demandant aux politiciens français de l’aide à mettre la main sur nos chemins de fer et ports.
La même chose peut être dite de Pineault, le propriétaire de Pineault la Redoute qui a hérité d’une entreprise de transformation de bois de son père qui importait les grumes du Gabon. De cette menuiserie, Pineault a construit l’entreprise Rougier qui écume les forêts du Gabon, Congo, Cameroun et RCA. De cette activité, il a acheté conforma, puis la CFAO dont la filiale pharmaceutique a le monopole de la distribution des médicaments en Afrique francophone.
Bref, ce sont ces individus et leurs compagnies qui entretiennent le bordel chez nous en poussant leurs politiciens à les soutenir ainsi que leurs complices locaux comme sassou, bongo, biya et autres.
Apprenons à indexer ces individus et leurs compagnies. Elf-total s’est bien tiré de la tragédie congolaise parce que personne n’a su pointer son rôle dans le genocide de 1997-2002.
Un PAYS comme la France ne connait pas officiellement le nombre de ses Députés.
Il y a des salariés [(sala/ saleno; bisadi(c’est le Kongo)] des élus qui sont injustifiés.
Vous êtes un « État pilleur » ou disant État dirigé par des pilleurs, il suffit de 4 membres du sénat français sur 348 sénateurs (source: État pilleur)
Un début? Je suis prêt.
Oui, 4 sur 348 sénateurs suffisent pour voter une loi.
Le Royaume Kongo ne faisait pas ça.
@ BAKALA,
D’accord avec vous. Le même système se reproduit chez leurs gouverneurs et leur clan en Afrique: Exemple sassou et Bouya tuent Lina Congo et crée leur Ec’Air.
Sassou ferme la RNPC ( Régie Nationale des Palmeraie du Congo) pour créer sa palmeraie à Oyo. Celle qui restait à Itoumbi a été donnée à OTOKA Willy.Tout ce que Massambat Débat a laissé a été fermé par sassou qui a crée avec ses amis d’autres sociétés pour s’enrichir.
Il faut le dénoncer car les fameux investisseurs qui viennent au congo ne sont que les amis de sassou et ses enfants. Ils ne paient ni cotisation à la CNSS, ni impôts et maltraitent les congolais qui peuvent avoir un emploi chez eux généralement à contrat déterminé. L’inspection du travail n’existe que de nom.
Soyons directe et pertinent pour nos commentaires, concernant CETTE POURRITURE.
Je vis, ni en FRANCE, ni au CONGO, chose que les Africains doivent comprendre, que cette FRANCE-POURRITURE, est sous-estimee en EUROPE, elle est perçue comme un VIRUS que l’on ne peut trouver la remede, cela peut entrainer un desastre pour ses propres habitants d ici peu de temps.
Le grand probleme est surtout cette classe politique française arrogante qui pensent maîtriser tout, mais pas du tout. Cette maniere de faire les choses, qui est même dictée aux DICTATURE-AFRICAINS, a mon avis les consequences seront desastreuses.
JE CONFIRME CETTE POURRITURE-DE-LA-FRANCE.
Ce que la France fait mal, c’est de sympathiser avec la racaille au pouvoir en Afrique. Un despote et putschiste comme Sassou, Mr 8% ne devrait mériter aucune considération. Comment peut-on converser avec une charogne?
Il n’existe pas en France, des députés qui dénoncent cette pratique d’un autre temps et proposent des lois modernes, résolument humanistes. Tous les gouvernants Français ont toujours d’être atteint de la berlue.
Saisissez le sens de « la France pourriture ». Si des citoyens français sont au front avec les Africains et notamment avec les Congolais, alors ils ne font pas partie de cette France décrite ci-dessus.
Que l’ami Delbar continue sans retenue, avec les démocrates Congolais, de fustiger toutes formes de barbarie politique et toutes sortes de morale douteuse qu’elles aient une origine française, africaine ou d’ailleurs.
En fait, « la France pourriture » est surtout celle qui gouverne. Fusse t-elle de gauche ou droite.
Mais l’on doit admettre aussi que ce n’est pas la France même « pourriture » qui interdit aux gouvernants africains de bâtir des Hôpitaux modernes, des Ecoles performantes, des autoroutes, des villes propres, de donner à tous de l’eau, de l’électricité ou d’investir massivement dans l’Agriculture. Sassou est l’ exemple de ce type d’ incompétence!
Ce n’est pas la France qui recommande aux despotes de massacrer leur population, d’acheter des armes à la place des machines outils, des médicaments ou des usines. Elle ne dicte pas non plus à nos tyrans tricheurs, l’art de ne pas former des compatriotes dans tous les secteurs.
Piller et cacher les deniers publics, promouvoir la corruption, la violence et la fraude, ne travailler qu’avec son clan, ne pas respecter la Constitution ….. tous ces actes immoraux dont la liste est sans fin, seraient-ils les conseils donnés par la France? Non. Non!
C’est la marque profonde d’une âme damnée et les traits d’une intelligence mineure, celle des despotes putschistes dont le modèle le plus connu en service est Sassou.
le burkina est l’exemple, le benin l’afrique de l’ouest est travailleuse, l’afrique centrale est fénéante et corruptible