Isidore Mvouba, Président des godillots de Sassou
la colère gronde dans la chambre basse du parlement du Congo Brazzaville depuis un certain temps.
Les députés nommés par Sassou-NGuesso sont mécontents de leur sort. Car ils n’ont pas perçu leurs primes de session et de descente à la base à l’issue de la cinquième session ordinaire. Ils menacent de boycotter la célébration de la fête du 8 mars 2019 sur toute l’étendue nationale et à Impfondo où sont attendus le pseudo premier ministre Clément Mouamba et Madame Antoinette Sassou Nguesso. En revanche, leurs collègues du sénat semblent être à l’abri des atermoiements financiers, à en juger par leur dernière descente à la base et au paiement régulier de leurs indemnités de session. L’observateur avisé de la vie politique est emmené à se poser des questions sur le mode de financement et de la gestion des fonds alloués au parlement bicaméral congolais.
En effet, au cours de cette quatorzième législature, en juin 2018, les députés n’avaient pas perçu leurs indemnités à l’issue de la troisième session ordinaire administrative. Isidore Mvouba, le président de l’Assemblée Nationale Populaire, avait dû « attirer l’attention du premier ministre fantoche afin qu’il plaide la cause des députés auprès de Sassou-NGuesso ». Ces manquements se répètent à nouveau à l’occasion de la cinquième session ordinaire administrative, au point où les députés exigent le paiement de leurs indemnités avant le 6 mars 2019, sinon ils boycotteront les fêtes du 8 mars 2019. La crise économique actuelle ne saurait, à elle seule, expliquer cette situation qui semble ne pas affecter les sénateurs.
Apparemment, les deux chambres parlementaires ne sont pas soumises au même régime bien qu’elles aient la même source de financement mais le mode de gestion est différent. Pendant que le sénat, faisant preuve d’une gestion orthodoxe, procède à l’apurement de ses comptes de 2018, l’Assemblée nationale quémande, une fois de plus, une rallonge budgétaire auprès du pouvoir exécutif pour effectuer la descente parlementaire. Au lieu d’une complémentarité législative sur les méthodes de travail, le peuple congolais lobotomisé, assiste à une compétition malsaine entre Pierre Ngolo et Isidore Mvouba, matérialisée par la diplomatie parlementaire galopante et des voyages tous azimuts. À contrario, les vraies missions régaliennes de la représentation nationale – la mise sur pied des commissions d’enquête sur les comptes financiers des députés et ministres milliardaires, les sociétés Asperbras, Kontinent Eco-Oïl, Glencor, Trafigura et OAC – sont laissées de côté au profit de la rivalité des présidents des deux chambres.
Avant de s’en prendre à l’exécutif et en vouloir aux sénateurs, les députés congolais devraient regarder de fond en comble leurs méthodes de travail et la gestion des fonds qui leur sont alloués, et prendre des exemples auprès de la chambre haute du parlement. Ils doivent aussi mettre à profit leur stage aux techniques numériques pour échapper à l’aveuglement et à la pratique courante de la langue de bois face aux vrais coupables de la crise structurelle économique et financière du Congo. Il serait de mauvais augure que les mandants ruraux et des grandes communes passent la fête du 8 mars 2019 sans leurs représentants à l’Assemblée nationale. Car il faut redouter la colère du peuple ; elle est plus forte que celle des parlementaires et elle risque d’emporter toutes les chambres au cours de son implosion.
Théophile Dantsé Santyé
Diffusé le 02 mars 2019, par www.congo-liberty.org
De quoi se plaignent ces paresseux que sassou a nommé à l’assemblée ?
Ont-ils diligenter des enquêtes sur tous les vols du clan au pouvoir ?
Maintenant qu’ils n’arrivent plus à entretenir leurs nombreuses femmes et copines, ils se rendent compte que sassou a tout volé.
Vous chantiez les louanges du dictateur et sanguinaire sassou, eh bien, dansez maintenant !
Youlou s’habillait avec les soutane confectionnées par Pierre Cardin, Yomby Opango et son épouse marie noëlle, dormaient sur un lit automatique qui n’existait nulle part, Ces deux présidents ont tout volé et ont été chassés au pouvoir. Et Sassou, pourquoi les congolais sont ils incapables de le chasser?
Les pauvres gars. Vous avez vu celui, le frère cousin de Jean Marc Thystère Tchicaya? Des métis hein???
Quelles primes ?
Ba ,niamas.
La prime conspirationniste maquillée des plusieurs crimes consentis .
Des criminels consentants au nom de la préservation des intérêts financiers .Sassou tue á satiété ,vous continuez á tendre la sébile .
Bande des connards exécrables .
Pauvres types, qu’avez vous fait pour le Congo ?
Prime pour avoir fait quel boulot? Pauvre de vous. Sassou va vous jeter en prison.
Mark, ces pseudo-députés sont payés pour entonner les louanges de Sassou et de son clan, de contribuer à l’appauvrissement continu des Congolais, de faire du pays un lieu où le désordre règne.
La prime pour la tuerie .
C’est la prime qui leur sert à faire l’aumone à la population par la distribution des quelques pelles et brouettes.
Ils sont culottés. Primes ?
C’est qoui une prime ?.
Des salariés congolais sont privés de leurs émoluments dérisoires depuis plusieurs mois. Ces députains s’en émeuvent-ils? De surcroît, que pensent-ils de nos retraités abandonnés à leur triste sort?
Pour quelle raison veulent ils être payés puisqu’ils ne travaillent pas
Leur travail consiste à faire le jeu de Sassou. Pour cela, ils réclament leurs primes.
Puisqu’ils font le jeu de cet individu et bien ils n’ont droit à rien
Des vrais imbéciles ces nommés de putains. Obligé de les injurier parce y a en marre. J’ai travaillé plus de 40 ans pour ce putain pays. Retraité depuis 2004, non seulement mes droits de séparation n’ont jamais été payés jusqu’à ce jour,ma retraite à la CNSS qui était trimestrielle est passée à 4 mois pendant ce temps ces paresseux qui ne sont là que pour applaudir Sassou demandent chaque jour d’être payé à ne rien foutre.
Je me demande même bien pourquoi le Congo a un Parlement bicaméral. Et pourquoi faire? Macky Sall a supprimé le Sénat estimant qu’il ne servait à rien et il a raison car l’argent qui leur était destiné a permis à celui ci de faire autre chose. Chez nous les copains et coquins s’en foutent et continuent leur fête.
ALLONS SEULEMENT! BANDE D’ESCLAVES VOLONTAIRES.
@ OYESSI
D’accord avec vous. Les Français eux mêmes qui avaient commencé avec cette affaire de SENAT n’en veulent plus.
Quant aux deputés, 2 deputés par departement pour un total de 12-14 deputés sont suffisant pour le Congo.
Pour le gouvernement, le Congo n’a pas besoin d’un premier ministre et 10 ministres sont suffisants.
Une forte decentralisation avec un pouvoir suffisant aux maires et présidents des régions.
Au cas où cette stratégie ne marchait pas, il nous faudra oeuvrer pour le fédéralisme longtemps prônés par David Londi et Vals De Nantes.
Messieurs les honorables deputes vont bientot commencer a comprendre le sens des plaintes des retraites. Les pauvres sont tellement habitues a passer leur temps a contempler les nombrils de leurs nombreuses conquetes, qu’ils n’ont pas vu arriver la misere. Le reveil sera penible, car je suis convaincu que tant qu’ils ne feront pas passer la loi qui institue la monarchie a Brazzaville, ils subiront de terribles epreuves. Merci
QUE ne comprenez vous point chers honorables? Vous vous reconnaissez tous avoir été nommés. Vous avez fait allégeance au guide à Oyo ville. Pourquoi refusez vous d’adopter ou initier la Loi sur la monarchie en république du congo?
Vous savez qu’une dette se paye toujours. Alors, payez la votre..Personne d’entre vous n’avait été élu.
Bientôt la grogne des 4200 jeunes mbochis qui constituent la garde rapprochée de sassou . Ces derniers avec les primes atteignaient un millions des francs Cfa, même étant sous officier qui ont multipliés les maîtresses et des enfants ,aujourd’hui gagnent beaucoup moins d’argent . Je m’en réjoui par ce que cette barbarie ne survivra pas sans argent .
des deputés idiots, connu juste dans les boites de nuit, des députés qui parle argot d’autres patois dans l’hémicycle, qu’ils crèvent de fin ces tocard
Les députés et sénateurs congolais ne peuvent vivre en vase clos. Les lignes bougent à travers le monde du Venezuela en Algérie en passant par le Congo Démocratique. Les sénateurs ont de grands défis à relever en dehors de leurs indemnités qui représentent plus de dix fois le salaire minimal garanti.