LÉGISLATIVES CONGOLAISES : DU COUBERTINISME ÉLECTORAL À LA MÉDIOCRITÉ ET LA PERVERSION EXHIBÉES

Des précédentes législatives congolaises de l’été 2017, nous avions consacré une réflexion intitulée : « Congo : au paroxysme du coubertinisme électoral » https://blogs.mediapart.fr/…/congo-au-paroxysme-du….

Cela, par le biais d’un cocktail de stratagèmes, rivalisant entre eux d’obscénité, mis en place par le pouvoir despotique pour se pérenniser au pouvoir. Ces stratagèmes, autour d’une dizaine, vont de l’apartheid territorial et éthnique à l’ineptocratie, en passant par une assiette électorale élastique, le décompte électoral monopolisé, le cens électoral, l’abstention exploitée, la corruption ouverte à souhait et quasi officialisée, l’entretien des dynasties autocratiques, une opposition choisie voire créée de toutes pièces et donc entretenue, la Commission électorale dite indépendante et la juridiction constitutionnelle, authentiques ‘garçons de course’ du pouvoir comme elles l’ont brillamment démontré déjà lors des présidentielles de 2016 et 2021 notamment, mais aussi lors du changement de la Constitution en automne 2015 où, pour sauver le soldat Sassou Nguesso, ladite juridiction constitutionnelle était allée jusqu’à se faire euthanasier ! Etranglant au passage le semblant de droit constitutionnel qui y restait ! https://blogs.mediapart.fr/…/comment-des-juristes-ont…

Autant de mécanismes ici rappelés, qui expliquent pourquoi, depuis quatre présidentielles et quatre législatives, Sassou Nguesso, réinstallé criminellement au pouvoir par des forces armées et financières étrangères sous l’instigation de la France de Jacques Chirac en octobre 1997, est toujours ‘élu’ au premier tour, ainsi que son éternelle ‘chambre introuvable’.

S’explique ainsi la longévité au pouvoir de Sassou Nguesso, qui va tout de même, tout compte fait, vers ses quarante ans d’exercice du pouvoir, ponctués de temps en temps de séquences de crimes massifs, de la corruption et du pillage dégoulinants. À moins d’une semaine, le 10 juillet précisément, des prochaines législatives, le constat est clair a priori : outre le maintien de ces techniques du coubertinisme électoral évidemment, l’on s’enfonce un peu plus dans la médiocrité et les perversions politiques exhibées.C’est de cela dont il est fait état dans cette interview.

Bonne dégustation, si vous le voulez bien…

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14 réponses à LÉGISLATIVES CONGOLAISES : DU COUBERTINISME ÉLECTORAL À LA MÉDIOCRITÉ ET LA PERVERSION EXHIBÉES

  1. Pambou Mkaya Mvoka dit :

    Cher Félix, heureux de vous revoir pour débattre du Congo et de ses intellectuels couards et faux.

    La plupart d’entre vous ont tapé à mort sur mon hypothèse de travail de la théorie du réseau social qui s’avère vertueux pour expliquer ce qu’il s’est passé sous le gouvernement de Lissouba et ce qu’il se passe actuellement sous celui de Sassou.

    Le Congo, comme la plupart des pays africains, sont des territoires non existants pour leurs populations, souvent analphabètes et guidées par un tribalisme triomphant malgré les dénégations des élites. De quelles élites parlons-nous au Congo ? Celles qui ont de véritables formations théoriques sanctionnées par des diplômes réels souvent délivrés par la mère patrie, la France, ou celles qui ont des faux diplômes achetés sur le marché français, voire sur internet.

    Le président Sassou va gagner les élections au nom de la théorie du réseau social et de la maîtrise de celui-ci. Le dire ne signifie pas que je sois d’accord avec mon hypothèse de travail et surtout ses conséquences, mais je veux simplement orienter la réflexion au sein d’un débat d’abord marqué par le brouhaha politico-médiatique et tribal avec des pratiques des élites qui sont inadmissibles.

    On a critiqué le président Sassou pour son absence de diplôme. On l’a traité de tous les noms dont celui de Mukento. Sauf que le président est un fin limier politique qui traverse toute la vie politique depuis les années 60 jusqu’à nos jours. Il connait la couardise des élites congolaises, pas toujours très formées aux activités pratiques du développement économique, et qui se réfugient dans un fonctionnarisme daté des colons.

    Il ne sert à rien de crier chaque fois que Sassou triche. Il utilise la bêtise politique des élites politiques congolaises et le terreau politique du Congo. En gagnant les élections locales qui démarrent le 10 juillet, il valorise une fois de lus ma théorie du réseau social et crucifie un peu plus les élites congolaises qui sont plus enclines au bavardage qu’à l’efficacité réelle et la prise de décision concrète qui leur permettrait de se débarrasser de Sassou, puisque tel est leur vœu.

    Au lieu de faire des grandes phrases, réfléchissez au nouveau Congo que vous appelez de vos vœux. Mon jeune frère Val de Nantes essaie de le faire avec sous fédéralisme et il semble tout seul sur ce chemin. Il ne doit pas se décourager mais il doit avoir en tête la fausseté, la couardise des élites congolaises qui pensent que l’obtention d’un doctorat fait de vous une élite éminente alors que l’on reste que dans le domaine théorique. Ces élites congolaises ne savent fabriquer ni route, ni voiture, ni avion, ni bateau -bavards que nous sommes et incapables (j’en fais partie et je le dis)-.

    Il faudra néanmoins trouver des solutions pour que le Congo demeure éternel.

  2. Bankounda Mpélé dit :

    Cher Lucien Pambou,
    Nous n’avons, dans l’absolu, pas la même lecture de la vie socio-politique du Congo, et je ne le soulignerais jamais assez ! Pour des raisons qui vous sont propres, et que même moins futé peut comprendre, vous avez fait le choix d’occulter le vrai profil, pourtant manifeste de monsieur Sassou Nguesso, en lui accordant des qualités qu’il n’a pas, et ne pourra jamais avoir. Sassou, « un fin limier ‘ de la politique congolaise ! Un peu de décence quand même ! À qui pouvez-vous faire avaler ce genre de couleuvres ! À personne, vous le savez bien ! Ce qui me fait souvent dire que vous profitez de certains écrits ici pour faire des appels de pied au pouvoir de Brazzaville et ses relais. Sassou, contrairement à ce que vous affirmez, n’a jamais gagné et ne gagnera jamais une élection, puisque même lui-même reconnaît et souligne qu’il ne peut gagner qu’une élection organisée par lui-même. Ses proches collaborateurs en matière électorale le proclament et l’écrivent tout haut, sans même discrétion, et c’est rappelé ici ! L’écrit, sur « Congo, au paroxysme du coubertinisme électoral », ici joint et que vous aviez déjà lu et commenté ici même en 2017 rapporte toute les preuves de l’indécence !
    Par le crime de masses, en dehors du droit et de la démocratie, et dans les malles des armées étrangères il a été ré-installé au pouvoir, sous les mêmes paramètres il gère ce pays et s’y maintient.
    Cela, même les garçons de l’école primaire le savent et, je me demande bien pourquoi vous persistez dans l’insoutenable depuis toujours ! Il faut arrêter cette indécence et cette indignité ! Beaucoup se la coulent douce avec les largesses de l’homme fragile de Brazzaville, et pourtant ils n’ont jamais dit ou soutenu un seul instant ce que vous n’arrêtez d’affirmer ici, c’est-à-dire DES INEPTIES cher Pambou.
    Sassou Nguesso n’est rien d’autre qu’un CRIMINEL ET UN KLEPTOCRATE doublé d’UNE INCOMPÉTENCE INOUÏE ET RARE, au point d’être incapable d’offrir à ses concitoyens les simples besoins animaux comme l’eau, à manger, l’habitat décent en près de quarante ans de pouvoir. L’hôpital est un mouroir et l’école publique s’est presque consumée
    Alors, arrêtez cet opportunisme qui consiste chaque fois à profiter de certains papiers ici pour exercer votre commerce ! Très sincèrement, arrêtez ce jeu nauséabond qui frise la morbidité ! Inutile de répondre, je ne vous lirais pas, je vous l’avais promis il y a un peu plus d’une année. C’est uniquement pour les internautes qui ne vous connaissent pas, et qui pourraient être induits en erreur que je me suis permis cette réplique…

  3. KIHOUARI GREGOIRE dit :

    PAMBOU….. C’EST PAS BEAU !

    Tresser des lauriers de gloire à Satan Ngues-sot !

    Alors là vraiment il faut le faire.

    Traiter ce monstre diabolique crimino-incestueux de  » FIN LIMIER POLITIQUE  » franchement est une escroquerie intellectuelle abominable.

    Si vous croyez en ce que vous dites ou en ce que vous écrivez, c’est que vous n’êtes pas sorti de la cuisse à Jupiter.

    Et que TOUT ce que vous écrivez ne vaut rien.

    Toute votre théorie « RÉSEAUCROTALE » est nulle de nullité absolue.

    Au Congo et dans tous les milieux autorisés, même les fœtus savent que Satan Ngues-sot est incapable de penser et que c’est La France qui le maintien au pouvoir.

    Sachant que Sassou et sont entourage sont des idiots notoires, des incompétents confirmés et des handicapés du cerveau, incapables de COGITER la moindre stratégie de la plus basse intelligence.

  4. Val de Nantes . dit :

    Sartre aurait apprécié cette  » disputatio magistralis « ,mais illustratif de l’idée que nous nous faisons du Congo de demain…
    L’ auteur de  » l’enfer , c’est les autres  » (huis clos ) ne devait pas se surprendre à assister à ce spectacle sur fond de divergences politiques presque irréconciliables. ..
    Eh ,oui ,le Congo vaut bien une messe ….
    Mais , c’est le mystère de la dialectique ,tout court …Le chemin de la vérité est pavé d’embûches .Et , donc , il serait prétentieux de baliser la voie du salut politique sans la moindre écorchure …
    Votre échange ,fût il ,plus personnel que politique préfigure les débats houleux que nous réserve l’avenir du Congo post Sassou …..
    Vous jetez les bases de la plateforme discursive des futurs débats structurels et structurant sur la vision institutionnelle dont pourrait être dotée la nation congolaise …
    En gros ,vous commencez à débroussailler la piste sur laquelle va atterrir le nouveau Congo ….
    Wait end see.

  5. Pambou Mkaya Mvoka dit :

    A Bankounda et à tous,

    Décidément chers compatriotes je reste incompris par vous tous. Les élites congolaises ne savent pas débattre et discuter.

    Pour les élites congolaises reconnaître quelques mérites à des chefs d’Etat, dont Sassou, honnis par la plupart des intellectuels congolais en exil, signifie que l’on est d’accord avec Sassou. Cher Félix, je ne fais pas du pied au pouvoir de Brazzaville. Quand j’ai interrogé le président Sassou sur Africa 24, il y a 5 ans maintenant, il m’a demandé de venir travailler dans son cabinet. Le président Sassou me l’a dit en face car il avait vérifié les études que j’avais faites et la place que j’occupais à l’Education nationale en tant que professeur de Sciences économiques et sociales. J’ai refusé en lui disant: « Monsieur le président merci, mais il y a des Congolais plus intelligents que moi à Brazzaville ».

    Vous voyez donc, cher Félix et les autres, si j’avais voulu, je serais dans le gouvernement du président Sassou, voire dans son cabinet. Je suis arrivé très jeune en France, à 18 ans, venant d’une famille très pauvre de Pointe-Noire. Ma petite réussite était intellectuelle. Je ne vais pas étaler mes diplômes, il vous suffit d’aller sur Google et de voir mon parcours en tant que membre actif dans la société française, tant sur le plan politique (puisque j’ai été conseiller municipal) que sur le plan professionnel à l’Education nationale. J’évite de vous parler de mes diplômes et concours réussis qui me classent en France tout en haut de ma discipline de Sciences économiques et sociales.

    Il faudrait revoir les prolégomènes de l’analyse politique dans notre pays. Malheureusement certains de mes compatriotes congolais n’élèvent pas le niveau. Nous sommes dans l’empathie tribaliste et religieuse. Nous sommes dans l’empathie communautariste. Bien sûr le président Sassou est critiquable car le Congo n’est pas développé pour un pays qui produit du pétrole. Bien sûr que le président Sassou, comme il le dit lui-même à la conférence nationale, assume tout, bien sûr qu’il est critiquable. Mais comment ce fait-il que les opposants qui le critiquent, se retrouvent toujours avec lui ? Les élites congolaises sont couardes et fausses.

    Il me reste encore quelques années à travailler dans l’éducation nationale. Je suis propriétaire de mon logement en Ile de France et propriétaire d’une maison de campagne de 1800 m² en Normandie. je ne suis pas le vagabond intellectuel que Sassou appelle. J’ai travaillé pour Géopolitique Africaine, appelé par Henri Lopès, ancien ambassadeur du Congo en France, pour mes qualités d’analyste et parce qu’il m’a repéré lors d’une conférence que j’avais faite à Sciences Po Paris, école dont je sui diplômé en 1982.

    Alors cher Félix et les autres, chaussez les lunettes et les sabots d’analystes réels en vous séparant de votre fiel analytique. On peut critiquer le président Sassou sans être forcément apte à aller travailler avec lui. Il faudra reprendre les débats analytiques au Congo de manière calme et rassurante. On peut critiquer ses parents, ses amis en les traitant de tous les noms, mais on peut leur reconnaître quelques filets de lucidité.

    Je ne suis ne affidé du président Sassou, ni membre du PCT, mais analyste congolais qui a montré ses preuves sur Africa 24 à tel point que certains pensaient que j’étais gabonais, mais je suis bien vili de Pointe-Noire et surtout de Diosso.

  6. le panafricaniste dit :

    @PAMBOU, dans sa chute vertigineuse est toujours incapable d’assumer sa position ambigüe lorsqu’on lui flanque la vérité de façon directe. Pourquoi pour vous faire une bonne conscience, avez vous à toutefois tendance à étaler vos diplômes et vos maigres biens sur la toile lorsqu’on vous interpelle sur vos propos confus? Vous n’avez aucune idée sur les diplômes de ceux qui interviennent ici, ainsi qu’aux biens réels qu’ils possèdent pour certains. Voyez-vous, votre complexe d’infériorité vous fait tenir des propos enfantins ne reflétant pas votre intelligence et votre brillante carrière de jadis que tout le monde reconnait. Êtes vous obligé de commenter dans le but de créer le buzz et inciter l’émotion négative en touchant la sensibilité de certains subissant les méfaits de ce système de charognards régnant au Congo ? Sauf si c’est pour jouer votre rôle que @BANKOUNDA MPELE a démasqué, c’est de votre droit d’avoir fait votre choix; mais de grâce ne venez pas tenir des propos d’incitation à la haine ou la détestation de l’autre. Vous étiez un partenaire pour Némale à Africa24, c’est vrai que créer une chaine de tv n’est pas une messe à faire; mais avec votre expérience, vos contacts et vos moyens financiers que vous adorez étaler ici, vous pouvez commencer petit et défendre vos idées pour développer l’Afrique; c’est ce que font la plupart de vos confrères d’Africa 24 d’autrefois ayant quitté le navire. C’est pas dans le but de faire la promotion de certains leaders, prenez l’exemple des acteurs de la diaspora et du continent comme Alain Foka, Kemi Seba, Omotunde, Lascony, Nathalie Yamb, Philippe Simo, Mingwa Biango et biens d’autres qui sont au front pour libérer l’Afrique. C’est ce pragmatisme que nous voulons pour s’émanciper, et non les querelles inconstructives plutôt destructrices par son manque d’intelligence. On vous a déja répété que ce que vous appelez « théorie du réseau » que certains préfèrent plutôt le terme de « mafia » est connu de tous; passons à la vitesse supérieure, c-à-d des propositions d’actions salutaires pour s’affranchir des multinationales en complicité avec les dictatures sur le continent noir qui nous font reculer pendant que d’autres avancent.

  7. Samba dia Moupata dit :

    J’ai un mot de compassion pour la population Congolaise qui subie la folie de Sassou Denis ! C’est quand même absolument tragique . Pourquoi gaspiller autant d’argent pour enfin nommer ses enfants, nièces , neveux , beaux fils et quelques idiots corrompus ! Alors cet argent aurait servi à la formation professionnelle des jeunes ou encore investir dans nos hôpitaux très vétustes. Franchement comment certains peuvent trouver des qualités à Sassou Dénis , quand sa constance dans la bêtise excessive est constatée !

  8. MOUKOK-M'VANGA dit :

    PAMBOU,

    Tant que vous continuerez de traiter ce FOU-CRIMINEL-VANITEUX-FAINÉANT-PARESSEUX-VOLEUR de Sassou-Nguesso comme un soi-disant STRATEGE, tous les Congolais finiront par penser que vous PAMBOU M’VOKA (du diable) vous êtes aussi FOU.

    Un proverbe Congolais dit que quand on court derrière un fou à travers monts et vallées, on franchit une montagne, puis deux montagnes, à la troisième montagne si on continue de courir derrière le fou, on devient soi même fou.

    C’est votre cas cher frère PAMBOU !

    Arrêtez tant qu’il est encore temps. C’est vous même qui vous marquez au fer rouge comme un fervent avocat de Sassou-Nguesso.

    A bon entendeur……

  9. pambou Mkaya Mvoka dit :

    Ah Elite congolaise trompeuse des populations congolaises !

    Je suis congolais comme vous, j’ai fait des études comme vous, mais les élites congolaises sont trompeuses comme vous. Nous trompons nos pères et nos mères car nous sommes tribalistes et communautaristes.
    Nous avons beau rejeter le tribalisme, nous sommes dedans. Une fois Sassou ayant quitté le pouvoir, nous continuerons à l’être parce que nous sommes ainsi. Les élites congolaises sont les bouffons de la France.
    Une fois Sassou parti du pouvoir, elles se comporterons toujours de façon communautaire et c’est ce qui vous emmerde de ce que vous le dise clairement et en face?
    je le dirai toujours car la plupart des congolais sont faux et hypocrites
    sassou parti du pouvoir comment les intellectuels congolais incapables vont ils le construire

    sassou n est pas eternel mais quand j ai parle de stratege la plupart de nos compatriotes qui ne maitrisent pas les subtilites de la langue francaise ont pris le mot de stratege au premier degre
    chers compatriotes lisez un peu plus et ne vous contentez pas de la semoule et de la biere a foison
    quel congo pour demain

    Les elites congolaises bavardes et incapables sur les plans technico financieres( les congolais malgres les ingenieurs a l etranger ne savent construire ni bateau ni voiture ni route ni pont ni amenagement de territoire et on ouvre sa grande gueule Taisez vous incapables

  10. VAL DE NANTES . dit :

    Pendant ce temps , le SRI LANKA vient de chasser leur président .Il aurait dû s’entourer de la milice de sa tribu ,comme il est idiot ….
    AAAAH LE CONGO §§!.
    L’AFFAIRE était pliée au moment de la conférence nationale . EH OUI , HERACLITE avait raison lui n’avait cessé de tancer aux ignorants « : on ne se lave pas dans le même fleuve CONGO . »
    Ce qui sous entend qu’il y a plusieurs fleuves et donc plusieurs options institutionnelles dont la désactivation de la présidentielle .Ce fut la grande idiotie nationale dont nous payons cash les frais.
    Le voleur BRUNO ITOUA a bien surligné « toko tika té « ,jusqu’à ce que mort s’ensuive .
    On n’a que nos yeux pour larmoyer .BRUNO ITOUA se divinise par procuration .
    Ces anciens étaient pathologiquement scotchés à la fonction ultime du pays ,sans penser aux conséquences de leurs volontés débiles sur le futur du pays .
    Voilà un legs politique qui ressemble à une malédiction existentielle du CONGO .Et le CONGO devint la république des MBOCHIS .

  11. pambouMkaya Mvoka dit :

    Aux elites congolaises

    Nous sommes des bravards et de bavards dans la societe francaise

    tres peu de congolais contruisent des debats polemistes en direction de la France alors qu ils y resident/
    Grandes gueules que sont ces elites congolaises et francaises et peureuses car elles ne savent pas
    affronter l adversite on a peu de papiers sur congo liberty qui critiquent radicalement et avec quelques preuves la politique francaise au congo

    les elites congolaises en france sont peureuses et elles ont peur d etre expulsees ce qui ne sera pas le cas si elles ont la
    nationalite francaise

    j ai cree et vous pouvez le verifier le cran ‘ conseil representatif des associations noires avec lozes et l actuel ministre de l education nationale pap ndiaye et on disait dans les journaux ce que nous pensions de la societe francaise en la critiquant durement etnous n avions pas peur

    Elites congolaises SAssou doit partir comme vous le dites
    Avez vous un plan de rechange au niveau institutionnel?mon jeune frere travaille VAL DE NANTES et se bat pour un modele federaliste etes vous prets a reflechir et travailler avec lui au lieu de passer votre temps a vous plaindre a vous rouler par terre comme des chiennes

    Elites congolaises arretez de vous plaindre sans refflechir

    il n ya qune chose qui vous preoccupe qu un frere de la communaute du clan accede au pouvoir pour trouver un poste au congo

    les congolais ne s aiment pas ils font semblants tous sinon on aurait pas la mascarade de la conference de 1991/1992

    ELITES ET INTERVENANTS SUR CE SITE DE CONGO LIBERTY REFUSEZ D ETRE HYPOCRITES NE FAITES PAS SEMBLANTS D AIMER LE CONGO QUE VOUS AIMEZ POUR VOS PROPRES INTERETS

    VOUS N AIMEZ PAS QUAND JE VOUS PARLE AINSI/ MAIS JE CONTINUERAIS car vous etes hypocrites et faux

    BIEN SUR JE NE SUIS PAS TOUT BLANC(AH PAMBOU TOUJOURS AMUSANT DANS LA LANGUE FRANCAISE)

  12. Val de Nantes. dit :

    Quand un chemin est sinueux , on en cherche d’autres pour mieux avancer et organiser de façon intelligente la vie d’une nation..
    Ne jamais renoncer à explorer d’autres idées capables de déboucher sur des situations pouvant améliorer le sort d’un pays.
    Concevoir des institutions robotiques ,donc mal pensées. fait de ces concepteurs des responsables du chaos politique que pourrait connaître un pays…
    Pourquoi ?
    Tout dérive de l’idée institutionnelle que vous vous faites de la gouvernance politique et économique du pays ,car le politique qui en sera issu n’est qu’un simple exécutant de cette idée inferée.
    Si le politique n’existe que par la traduction dans les faits des règles institutionnelles préétablies , la responsabilité des juristes , ayant pondu ce support institutionnel , est totalement engagée …
    S’il n’y a pas une remise en question des juristes dans la manière d’appréhender les phénomènes , c’est à dire les réalités sensibles auxquelles font face les congolais , nous n’en sortirons jamais…
    C’est cette conception robotique de nos institutions qui est à la base des difficultés récurrentes que connaît le Congo ….Tel l’aveugle qui refuse de voir …
    La prescription médicale ne cadre pas avec les pathologies dont souffre le malade congolais…
    C’est Kant qui parlait de  » la révolution Copernicienne  » à propos de sa théorie de connaissance ,qui met le sujet connaissant au centre de l’objet connu …
    En fait , c’est le sujet nanti de son entendement qui organise les conditions à priori de la connaissance…
    En ce qui nous concerne, c’est le congolais (sujet) qui va étudier de manière transcendantale les conditions de réussite de sa pensée institutionnelle.
    Le Congo est l’objet connu ,de notre pensée ,de notre conscience institutionnelle . Objet connu par le sujet connaissant …
    En résumé , chers compatriotes , la connaissance de l’objet ( Congo ) dépend du travail intellectuel du sujet ( congolais , juriste ) .Ce que Kant appelle  » l’idéalisme transcendantal »…
    Autrement dit : selon Kant , l’objet ( Congo ) doit être étudié en le soumettant au cadre spatio – temporel ..
    L’ espace sans lequel on ne peut percevoir un objet et le temps durant lequel se passe cette perception…
    C’est quoi l’espace ?.
    C’est la géographie avec toutes les réalités socio – économiques et politiques que comporte le Congo…
    Nb: le temps et l’espace sont des conditions à priori de la sensibilité… c’est à dire des réalités qui existent indépendamment de notre expérience.
    Bref , c’est le sujet congolais qui doit bien organiser ,au moyen de son intelligence institutionnelle , la nation congolaise ….
    Une sorte d’impératif catégorique Kantien qui s’impose à nous…

  13. Val de Nantes. dit :

    Ceux qui veulent que les choses restent en l’état ,sont ceux qui ont vu dans la politique un moyen de s’en mettre plein les poches .Et ils sont nombreux .
    L’ incompétence et la sénilité du chef sont un pain béni pour eux ,d’où cette difficulté à se projeter dans un avenir meilleur pour le pays…
    Les cancres s’y accrochent mordicus au point d’y laisser leurs vies …. L’ école fut pour eux pour une blague sans réel contenu intelligible ,car ils réussissent au travers des expériences puisées dans le monde sensible ,celui de la pratique frauduleuse de la politique….Cela ne requiert aucun effort spirituel ..
    Qu’ils sont nombreux !
    Sassou a ouvert la boîte de Pandore d’où s’échappent tous les échoués de la République à la recherche des finances publiques…
    Quand les valeurs de l’éthique se brisent devant le miroir du plaisir matériel immédiat …..
    Je dis bien ,ils sont nombreux …Peu leur chaut l’état cadavérique du Congo .ils subliment le Congo au gré des faveurs politiques qu’ils en tirent ….
    C’est la prime à la philosophie de l’échec scolaire et à l’habitus sassouiste…
    L’ école n’étant plus la boussole sûre de la réussite sociale , nombreux ont parié sur la décadence mentale d’un chef à bout de force mentale pour exorciser les échecs scolaires qui ont émaillé toute leur jeunesse scolaire…

    Ils sont nombreux à prier l’état de dépravation intellectuelle du pays , pour narguer ceux qui avaient placé leurs espoirs de réussite sur les efforts intellectuels.
    Le capital intellectuel est grimé en nuisance capitale pour un régime réfractaire à la dialectique .
    À la fin de l’antiquité ,les chrétiens avaient substitué les valeurs antiques par les valeurs religieuses et chrétiennes avec les conséquences que nous en connaissons…
    D’où la colère de Nietzsche pour réévaluer ces valeurs ce qu’il a qualifié  » d’inversion des valeurs « ..
    C’est ce qui se passe au Congo sur les valeurs qui ont structuré les fondements de notre pays . dont l’école…

    Giordano Bruno en paya lourdement le prix pour avoir blasphémé les idées dogmatiques du fils de Dieu… L’église à travers le tribunal de l’Inquisition le fit passer au bûcher .
    Mais Bruno ,convaincu de la puissance de sa raison refusa de céder aux injonctions de l’église .
    Il dira « : je ne crains rien ,et je ne rétracte pas « … Têtu ,selon le pape . Sacré Bruno…
    Comme quoi ,il y a eu des vrais Bruno ( s )..
    Un vrai Bruno ,au Congo , peut-être ?.

    Alors , il faudrait , après Sassou ,un renversement du renversement des valeurs , c’est à dire retrouver les valeurs fondatrices de la nation congolaise ,réfutées par la société nihiliste créée par Sassou …
    Celles de Sassou et cie nous promettent un au – delà dont on ne voit point le bout du nez .
    D’où l’attente au Congo d’un surhomme ou Zarathoustra..ramenant les congolais à la domestication des biens terrestres ,tels qu’ils apparaissent à leur aperception…( apercevoir ).
    L’homme congolais est dépravé du fait de son manque d’analyse approfondie des conditions efficientes de création de richesses ..Le grand@Pambou doit en convenir.

    Faut -il devenir ( riche ) sous l’emprise de la dictature , comme en Chine ou Rwanda ?
    Cette question devient métaphysique , à partir du moment où nous avons épuisé cette interrogation sur ce questionnement dans le cadre physique …

    Ou faut – il opter pour un nouveau paradigme institutionnel renvoyant aux calendes grecques l’offrande institutionnelle héritée des cerveaux français ?.

    Voilà la docte ignorance dont le Congo doit obligatoirement s’échapper ..Et surtout ,il nous revient de résoudre les controverses sociétales et sociales nées du dualisme scolaire , composé d’un côté des cerveaux ,esprits formés et donc censés réfléchir sur la construction de la nation sur la puissance de la raison et de l’autre , ceux pour qui le pétrole du kouilou nous épargne la chienlit scolaire et donc de l’argent gratuit ..

    Le triomphe de l’intelligence congolaise sur l’anémie congolaise est à ce prix …

  14. Val de Nantes... dit :

    Que l’horrible règne de Sassou serve de leçons aux penseurs institutionnels putatifs de notre pays. Ce temps de mort institutionnelle doit être une occasion de réévaluation ,de méditation ,de restructuration des fondements institutionnels adaptés aux nombreuses potentialités qu’offre notre pays…..
    Ne nous enfermons plus dans une logique institutionnelle rigide dont les règles font l’objet des mauvaises interprétations de la part des politiciens peu portés au respect de la gouvernance de la « res publica « …
    Il faudrait donc descendre la pensée institutionnelle du ciel pour mieux l’appréhender sur terre . C’est le fameux point de discorde entre Platon et Aristote…

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