Le dictatueur congolais est un fervent admirateur du Real de Madrid dont il ne rate aucun match. Pourtant, il n’a pas su s’inspirer des valeurs qui ont fait la réussite de ce club de football, ni de celui qui en a été son entraineur ces trois dernières années : Zinedine Zidane. L’ex-joueur et maintenant ex-entraineur de 46 ans a tout gagné. « Tout gagné » ! L’autre le dictatueur, le tyran de l’Alima, a tout volé. « Tout volé » ! Et plus encore, il a détruit toutes les belles valeurs que l’on reconnaissait à son pays.
Au lendemain de sa récente victoire de la Ligue des Champions 2018, personne n’aurait imaginé que le footballeur-entraineur, né dans un quartier pauvre de Marseille, allait donner sa démission. Quelle cinglante leçon que ce compétiteur de haut niveau vient de donner au monde, et surtout à l’Afrique, de se retirer en pleine gloire.
Zidane a donné beaucoup de bonheur et de joie à ceux qui ont suivi de près ou de loin sa carrière. Sassou Nguesso a fait tout le contraire. Trajectoire complètement opposée ; tout ce qu’il a réalisé a été imposé par la terreur, les assassinats, les conflits armés, les morts par centaines de milliers et une extrême pauvreté qu’il a prescrite quasiment à toute la population congolaise.
Pourtant, depuis une quarantaine d’années, presque l’âge de Zizou, cette imposture pétrolière a droit à tous les honneurs, tous les égards ou presque. La médiocratie s’est instaurée en système reconnu et même entretenu par les institutions internationales. En politique, à la différence du sport, les plus mauvais sont assurés de faire carrière et plus encore d’être désignés incontournables ou irremplaçables. Merci à ces hauts-fonctionnaires européens et diplomates de toutes nationalités, corrompus pour certains sinon incompétents, qui nous chantent, depuis des décennies pour quelques barils de plus, des louanges sur un système malfaisant et malodorant.
Dernier fait d’armes, dans sa stratégie de propagande creuse, le tyran Denis Sassou NGuesso s’est incrusté au dernier Sommet sur la Lybie organisé à Paris, par le président français Emmanuel Macron. Inconséquence ou duplicité des services de ce dernier, le jeune chef d’Etat n’était pas particulièrement ravi d’avoir, constamment dans son dos, l’empêcheur de tourner en rond congolais. Ce dernier, tenu à distance par ses pairs africains ne représente plus l’Union africaine. Le Comité de haut niveau chargé de la crise en Lybie, composé du Congo Brazzaville, de l’Afrique du Sud, du Tchad, de l’Égypte et du Zimbabwe, a connu de très sérieux dysfonctionnements, à sa mise en place, dès qu’il est apparu qu’il n’était qu’un instrument personnel de promotion du dictateur. Aujourd’hui, ce comité de haut niveau n’existe plus.
A l’Elysée, Denis Sassou NGuesso n’a représenté que lui-même et ses marionnettistes françafricains. Humilié de n’avoir pu jouer un rôle central, simple figurant, en bout de table et au second rang d’une photo officielle, il n’avait pas encore décoléré dans l’avion du retour, le 31 mai. La tentation est grande, pour quiconque connait un peu le pyromane, de croire ce qu’a rapporté un de ses collaborateurs : « ce petit Macron sera obligé de me respecter, car je lui apprendrai à me connaître, en l’empêchant d’imposer la paix au Centrafrique et en Libye. Ce qu’il ignore, c’est que partout, je peux tirer des ficelles. A ce moment-là, il me recevra avec beaucoup de respect. »
Il avait effectivement de quoi être mécontent. L’agression subie par l’activiste-lanceur d’alerte, Roland Levy Nitou, a très mal tourné et avait beaucoup embarrassé le Quai d’Orsay. Sassou ne savait pas encore que Willy Etoka [qui sert maintenant le père alors qu’il a été initié et mis en avant par le fils Denis-Christel] resté à Paris pour fêter son anniversaire, se vantait d’être introduit, le 5 juin prochain, à l’Elysée auprès de Franck Paris et d’Emmanuel Macron pour échanger sur ses ambitions politiques personnelles.
Maigre consolation : le ralliement pathétique du sénateur Jean-Marie Bockel, qu’il avait contribué en 2008 avec son gendre, « le vieux » Omar Bongo, à faire éjecter de la Coopération pour le caser aux Anciens combattants de Sarkozy. Sa photo avec l’ambassadeur Rodolphe Adada, postée un instant sur Facebook fut très vite retirée… Celui qui voulait en finir avec la Francafrique, dix ans plus tôt, se retrouve dans une suite de son Empereur au Bristol. Triste ! Très triste !
Encore moins gai pour l’autocrate qui s’accroche au pouvoir, seuls les insensés adhèrent au leurre d’une succession assurée par Kiki le pétrolier. Sassou Nguesso se sait condamné à tenir les rênes aussi longtemps que possible, jusqu’au dernier jour, jusqu’à la dernière minute… Sa famille, très nombreuse, ne connaît que haines, jalousies, intrigues et rivalités. Comme dans une monarchie moyenâgeuse, ils sont tous prêts à s’étriper allègrement les-uns, les-autres ; ils ne tarderont pas à le faire et le patriarche le sait parfaitement. Avant même que Kiki ne monte sur le trône, à la propre table familiale, les armes depuis longtemps fourbies seront dégainées. Tous les Nguesso se voient calife à la place du calife. Aucun des enfants ou des neveux n’acceptera qu’un autre que lui-même soit investi dans la succession.
Les médiocres politiques congolais, sans la moindre honte, tiennent encore le haut du pavé. Ils ne méditeront jamais la leçon donnée par Zinedine Zidane. Au Congo, pas seulement en politique, tout est permis. Denis Sassou Nguesso, le supporter et admirateur du Real de Madrid, plutôt que de s’encanailler avec l’ex-agent de joueurs de foot, José Veiga, aurait mieux fait de prendre exemple sur les vrais champions et les hommes de valeurs, même politiques ; mais cela, il ne l’a pas compris et ne le comprendra jamais !
Rigobert OSSEBI
Diffusé le 02 mai 2018, par www.congo-liberty.org
« Trajectoire complètement opposée ; tout ce qu’il a réalisé a été imposé par la terreur, les assassinats, les conflits armés, les morts par centaines de milliers et une extrême pauvreté qu’il a prescrite quasiment à toute la population congolaise. »
Alors là, Ossebi, l’intéressé ne va pas apprécier. Quel est cet être humain qui peut avoir un tel palmarès ? Dans un pays respectable, le procureur de la république allait déjà ouvrir un dossier pour instruire le cas de cet individu hors du commun.
« La médiocratie s’est instaurée en système reconnu et même entretenu par les institutions internationales. »
Bien dit Ossebi. Élongation, élongation té toujours meilleur! Ces institutions internationales ont toujours été de mèche avec ce régime qui sert les mêmes maîtres qui sont pour la paupérisation de nos pays qui veulent voir maintenus en esclavage.
Texte anonyme publié sur le groupe Watsaap des Assises :
Mon frère,
Sassou qui a développé à outrance la science tribale faisant du tribalisme mbochi l’idéologie qui sous-tend sa politique, a échoué lamentablement, malgré la mane financière mise à sa disposition. Le pays est tombé trois étages plus bas. Du jamais vu dans l’histoire de notre jeune et en même temps vieux pays.
Le tribalisme au pouvoir a à nouveau été une catastrophe: Youlou , Ngouabi hier et aujourd’hui Sassou.
Vouloir récidiver dans cette voie est pure folie. Aucune tribut n’en vaut une autre. Le tribalisme c’est la mafia.
Il faut aujourd’hui repenser et panser le Congo pour rejoindre demain le concert des nations.
Le système criminel de Sassou – Pouvoir Nord, a tissé des alliances dans toutes les régions du sud:
Le Pool: la dynastie kolelas, Ntoumi , les Mvouba, les Tsimbambelela et autres
La Bouenza : les Mberi, les Poungui et autres amis de toujours
La Lekoumou: Clément Mouamba PM, le griot Thierry Moungala et autres
Le Niari: Koumba récent retraité du perchoir, ce taré de Nguimbi ministre de l’agitation, Tsati Mabiala et son UPADS etc…
Le kouilou: le fils Tystere Tchicaya avec son RDPS et la bande à Antoinette Sassou Nguesso: Viodau et consorts etc…
Je suis personnellement très peiné de lire sur la toile des propos totalement incohérents et puérils de ceux qui pensent : fils du pool, Niboland, le sud etc… ainsi que des propos comme « le pouvoir ne doit pas repartir au sud » etc…
Tout ceci se résume à quelque chose qui ne trompe pas:
Les congolais ne sont pas prêts à relever Sassou-Nguesso du moins maintenant.
Il n’y a pas de leadership; il n’y a pas une machine politique opsable à Sassou.
L’avis d’un observateur averti sur le congo est très simple : ces gens qui s’agitent ne sont pas organisés. Ils feront pire que Sassou et sa bande. Inutile de prendre des risques qui mettront en péril les intérêts français en particulier et autres.
Ces gens inconsciemment font le lit de Kiki. Son père le présente comme la valeur sûre pour la stabilité dans le chaos actuel.
Nous sommes dans un monde où seuls comptent les rapports de force. Il faut en être conscient. Pour les blancs le Congo n’est qu’un puit de pétrole habité par des nègres. La vie des congolais ils s’en moquent.
Nos histoires de fils du pool de mbochis, de nibos, de pouvoir nord de pouvoir sud etc, les blancs n’en ont rien à cirer; c’est pour eux des histoires de nègres comme ils aiment à le dire.
Le Congo reste toujours malgré l’indépendance un département français d’outre-mer sous le No 99 324 (vérifiez votre No de sécurité sociale).
Comprenez que c’est la France qui aura le denier mot sur cette agitation fébrile qui s’empare du pays.
Tous ceux qui veulent changer le Congo avec l’aide de la France et de la communauté internationale doivent commencer par comprendre comment fonctionne le monde dans le quel nous vivons, par évaluer le poids des intérêts étrangers dans notre pays, par s’imprégner de la sociologie du pays et in fine par avoir une idée des enjeux de l’humanité dans ce 3e millénaire débutant. http://congo-objectif2050.over-blog.com/2018/06/agressions-sexuelles-koffi-olomide-en-proces-en-france-et-risque-de-prison-ferme.html
C’est le zidane des crimes multiformes …L’homme qui aura enterré l’espoir de beaucoup de générations ….
L’intelligence ,au service du pays ,afin d’éliminer tant soit peu ,la paupérisation absolue qui mine la société congolaise ,est interdite de séjour au Congo ….
On lui préfère la médiocrité du genre ,de celles Nianga mboula et Dabira ..
Le Congo ,sous Sassou ,est celui de l’anti intelligence et nous en subissons les conséquences sur notre quotidien …
Le procès des généraux fut une occasion inespérée de vérifier les niveaux des compétences et intellectuels de ceux qui sont censés servir de modèle au sein de l’armée nationale, libellée l’armée tribale..
Ecoutez ces échanges. Le fils est prêt à prendre la relève de son père assassin dans tous les
sens du terme
https://fr-fr.facebook.com/brazzanews1/videos/1092267477603163/