Le Président Trump libèrera-t-il le Congo de Sassou Nguesso ? Par Mingwa BIANGO

                                                                            donald-trump-en-meeting-le-14-decembre-2015-a-las-vegas-dans-le-nevada_5484230  Lettre ouverte au Président Donald TRUMP

Monsieur le Président,

Les Congolais se sont réjouis de votre élection à la Maison Blanche ; ceux qui survivent dans l’ancienne colonie française comme ceux qui l’ont quittée et se sont exilés en Europe. Ceux qui ont trouvé refuge aux Etats-Unis, en devenant citoyens américains, ont voté pour vous, pour la plupart.

Les populations du Congo-Brazzaville, et de la quasi-totalité des pays d’Afrique, ont été très déçues par votre prédécesseur, Barack Obama. En huit années de ses deux mandats, il n’est venu à bout d’aucune des dictatures dont elles souffrent. Même un micro-pays, le Burundi, qui dépend presque totalement des aides extérieures, dont celles des USA, a réussi à lui tenir tête. Et ce sont ces dictatures qui alimentent les émigrations, rappelons-le, dont les Africains sont les premières victimes… !

Il faut reconnaître que notre président autoproclamé, Denis Sassou Nguesso, y est pour beaucoup. La fronde qu’il a menée à travers notre continent a porté ses fruits. A cause de lui, on ne compte plus les modifications de constitution et le maintien au pouvoir des dictateurs après des élections truquées. Elles constituent toutes des freins au progrès et à l’amélioration des conditions de vie dont les populations ont un urgent besoin. Alors que des projections démographiques avancent que l’Afrique pourrait compter jusqu’à 4 milliards d’habitants en 2050, ces dictatures impitoyables mijotent, en s’amusant de la misère de ces derniers, la bombe humanitaire et migratoire qui engloutira l’Europe ; les Etats-Unis ne seront pas épargnés malgré tous les murs qui pourraient être construits pour les protéger.

kiki et Bilou

kiki et Bilou

Peut-être, Monsieur le Président Trump, n’avez-vous jamais entendu parler de Monsieur Denis Sassou Nguesso ? Lui-même et son fils Denis Christel ont été, il est vrai, plutôt très proches de la Clinton Foundation qu’ils ont dû largement subventionner.  C’est un mal absolu, un président du Congo qui, depuis l’élection de Jimmy Carter, a connu tous vos prédécesseurs : Ronald Reagan, les Bush père et fils, Bill Clinton et Barack Obama. Certes, il s’est grandement maintenu au pouvoir grâce à leurs homologues français de Giscard d’Estaing, à Jacques Chirac et Nicolas Sarkozy en passant par des présidents socialistes comme François Mitterrand et François Hollande. L’Union Européenne a été, pour le moins, également passivement complice. Mais, notre président à vie aurait eu le plus grand mal à y parvenir sans l’aide d’hommes de pouvoirs parallèles, de la Franc-maçonnerie internationale ou de la très haute finance.

Georges Soros, parmi ces derniers, semble y avoir joué un rôle prépondérant. Depuis le début de ce 21ème siècle, les Organisations Non Gouvernementales (             ONG) ont été aux avant-postes des dénonciations des crimes et délits commis sur tous les continents. D’un autre côté, les médias, de plus en plus limités financièrement dans leurs investigations, s’étaient naturellement appuyés sur les travaux et révélations des ONG. Tout le monde était gagnant, ces dernières bénéficiaient ainsi d’une publicité gratuite qui leur permettait d’attirer de nouveaux donateurs. Parmi eux, le philanthrope américain d’origine hongroise, Georges Soros, s’est fait une solide réputation en finançant les plus incisives dans le domaine de la corruption, des droits de l’homme et de la liberté d’expression au travers d’un fonds spécialement dédié, Open Society Foundations.

La République du Congo est un des pays les plus corrompus au monde. Quasiment toutes les recettes pétrolières, minières et forestières aboutissent dans les poches du gang familial à la tête du pays. Sassou Nguesso avait modifié la constitution congolaise, en Octobre 2015, pour se représenter encore aux élections présidentielles qu’il avait avancées en Février 2016. Après en avoir truqué le résultat, il a emprisonné le véritable vainqueur ainsi que la plupart de ses opposants et, depuis quelques mois, il bombarde les populations civiles de la région du Pool, qui n’ont pas voté pour lui. Depuis une quarantaine d’années de pouvoir, les crimes commis sont innombrables, comme l’assassinat d’un Cardinal (enterré vivant), le premier depuis plus de 500 ans.

Alors on ne peut que s’étonner que l’Open Society Foundations ne cite jamais le nom de « Sassou N’Guesso » ni ne s’intéresse à ce qui se déroule au Congo Brazzaville. Des ONG, parmi les plus importantes et les plus influentes, qui étaient très actives dans la dénonciation des crimes du président congolais, curieusement n’interviennent plus à son sujet. Curieusement aussi, elles comptent Open Society Foundations parmi leurs principaux donateurs. Il en découle alors, automatiquement, le silence de la presse internationale pour tout ce qui concerne le pouvoir dictatorial et criminel de Denis Sassou Nguesso.

Monsieur Soros, avec son partenaire Tony Blair, l’ex-Premier ministre britannique, s’intéressent beaucoup au secteur minier en Afrique, notamment en Guinée Conakry et en République Démocratique du Congo (RDC), deux pays sous influence de Denis Sassou Nguesso. Outre le fait que ce dernier dispose d’une immense fortune personnelle, dans des paradis fiscaux, qui ne peut qu’intéresser la haute finance, les organisations contrôlées par Monsieur Soros avaient toutes raisons de ménager notre tyran national.

Ce n’était pas totalement par hasard que Denis Christel Sassou Nguesso était auprès de la Clinton Foundation pour apporter son concours financier à votre adversaire démocrate. L’argent volé par ce clan familial kleptocrate, et cryptocommuniste, a trouvé refuge en grande partie aux Etats-Unis où il est blanchi dans des acquisitions de champs pétroliers en Afrique, au travers d’une société situé à Washington.

Monsieur le Président Trump, les Congolais n’attendent pas que vous envoyez des troupes à leur secours. Ils espèrent seulement que vous allez encourager les médias américains à révéler ce qui se passe réellement dans leur pays et également que vous ferez bloquer ces structures de blanchiment d’argent congolais aux Etats-Unis ; qui, jusqu’à votre élection, y prospéraient sans être inquiétées.

L’Afrique pourra se développer, dès lors qu’elle sera libérée des dictatures totalitaires et les flux migratoires se tariront obligatoirement. Les Etats-Unis pourront alors, grandement, profiter d’un continent qui représentera, à lui seul, un quart de l’humanité.

En espérant que vous consentirez à nous apporter ces aides décisives,

Et en vous souhaitant la réussite de votre mandat,

Très respectueuses salutations.

Mingwa BIANGO

Diffusé le 14 novembre 2014, par www.congo-liberty.org

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50 réponses à Le Président Trump libèrera-t-il le Congo de Sassou Nguesso ? Par Mingwa BIANGO

  1. enfant de Komono dit :

    no comment

  2. VAL DE NANTES QUE TRUMP envoie des troupes AU CONGO BRAZZA; dit :

    @MINGWA , il faut aller franco , sur le désir pressant des congolais .Ne sois pas économe de tes souhaits les plus intimes .
    Tu aurais pu lui dire , qu’il envoyât des troupes au CONGO , pour casser du SASSOU .;;
    Le petit métis kenyan , nous aura beaucoup entubés .La libération du CONGO mérite que se coupe les veines et nous invite à dire clairement les choses .

  3. Anonyme dit :

    Aides toi et le ciel t’aidera.
    Ah l’homme NOIR jusqu’à quand attendras tu l’aide de l’homme BLANC??? PITIEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE.

  4. Iwarangot dit :

    Pour attirer l’attention des grands de ce monde, il faut commencer à se battre. L’ennemi des congolais, ce sont des congolais. Voyez vous même la grande trahison de notre opposition. Tout était pourtant fini pour sassou, Voilà qu’il est toujours là grâce à Kolelas, Mpouele, Tsaty Mabiala, pour ne citer que ceux-là, les plus nocifs.
    Les médias, je vous assure, vont parler si nous déclenchons la lutte. Quand Brazzaville sera paralysée, les médias, France 24, TV5, Euronews, Africa24, parleront. Ne pleurons pas, battons nous, aucune libération ne s’est faite dans la passivité, aucune. Regardez le monde autour de nous, aucune. Il nous faut vite trouver un meneur d’hommes et commencer à paralyser le pays. Les moyens, nous les avons énormément. Il faut saboter tous les symboles de l’Etat, casser tout.
    Notre libération est à ce prix. Nous allons certes perdre quelques subsides, mais nous gagnerons pour des siècles.
    Regardez la dernière sortie de sassou, regardez bien, il est désemparé. Il est bien déséquilibré. Il ne dort pas bien, c’est pourquoi il essaie de mettre ses plus beaux costumes pour tromper la vigilance. En réalité, Il n’a pas besoin de mettre les tenues de fête pour s’adresser aux congolais. Il veut montrer qu’il est à l’aise, qu’il est élu et qu’il est heureux. Mais nous voyons tous bien qu’il est désemparé. C’est pour cela qu’à chaque sortie, il débite des âneries…
    Attendons les mois qui viennent, vous verrez….

  5. Anonyme dit :

    Bonne alyse MINGWUA

  6. LE PATRIOT dit :

    Sassou est le seul terroriste au Congo, il bénéficie du soutient de la France pour le pétrole
    De 1998 a 2002 sassou avait sur sa tête plus de 200.000 morts opération mouebara (ratissage du SUD CONGO que la France trouve non favorable au vole des richesses du Congo).
    En ajoutant les explosions de Mpila, les morts du referendum, durant le meeting de l’opposition et les massacre actuellement dans le Pool. Imaginer combien des morts sur la tête du terroriste sassou.
    LES MORTS D’ALEPPO LA France A POSÉ UNE RÉSOLUTION CONTRE LA RUSSIE, ET AU CONGO CETTE MÊME France BLOQUE LA RÉSOLUTION SUR LES MASSACRES DU POOL.
    PRÈS DE 700 ANGOLAIS ET 250 TCHADIENS VIENNENT DE RENFORCER L’ÉQUIPE DES MILICES DE SASSOU. QUE DIT LA FRANCE.

    TOURNONS NOUS VERS LE PRÉSIDENT TRUMP.
    SELON TV5 LES MILICES DU TERRORISTE SASSOU BLOQUE L’ENTRÉ DU POOL ET QUE FAIT LA COMMUNAUTÉ INTERNATIONALE REGARDER UN TERRORISTE DÉCIMER TOUTE UNE RÉGION?

    NOUS AVONS BESOIN D’AIE AU MOMENT OU NOUS SOMMES FAIBLE EN FACE LA FRANCE QUI SOUTIENT LE BABARISME DE SASSOU

  7. Mark dit :

    Le peuple du BURKINA FASO s’était liberé sans l’aide des occidentaux. Trump ne chassera jamais Sassou tant qu’il(Sassou) ne presentera aucun danger pour les USA. Il revient aux congolais eux -memes de chasser celui qu’ils avaient reconduit au pouvoir en 1997. Il faut reconnaitre que se sont les congolais qui avaient chassé Lissouba du pouvoir en reconduisant Sassou. La democratie s’était installée au Congo en 1991. Si les congolais étaient un peuple sérieux, Sassou ne serait jamais revenu aux affaires et le Congo serait democratiquement stable comme le Benin. Ceux qui avaient mené la guerre à Lissouba sont aujourd’hui les victimes de Sassou. Les congolais du sud avaient le pouvoir. Ils n’avaient pas pu le conserver. Les congolais du sud s’étaient affrontés entre eux au lieu de bien gérer le pouvoir. Sassou va mourir un jour.Seulement, le pouvoir restera dans les mains des cancres du PCT. Le chemin est long pour que le Congo retrouve la democratie perdue en 1997. Aider NTUMI reste l’unique option sur la table.

  8. LUKOKI dit :

    Juste. Aidons NTUMI, telle est l’action à venir dans la libération du Congo . Trump est un idiot qui ne sait peut être même pas lire.

    Il est aussi cancre que Sassou le putschiste !

  9. Anonyme dit :

    Si tous les cancres et illettrés étaient milliardaire comme Trump, eh bien, je veux bien être cancre et milliardaire.

  10. Anonyme dit :

    Toujours attendre des autres ….. Toujours trouver des excuses à notre incapacité à nous libérer. Que sommes nous devenus ? de simples mendiants.

  11. le fils du pays dit :

    Vraiment nombreux Congolais ont l’oreille dure leur naivite est a plaindre.
    Mr Mingwa BIANGO,vous attendez que les occidentaux viennent vous liberer de leur etau.
    On ne cesse de vous dire qu’il faut arreter de compter sur les autres pour qu’ils fassent le travail a votre place et vous insistez a ecrire ce genre d’articles qui n’honorent pas les Congolais.
    D’autres peuples de ce globe se sont liberes des etaux de ces memes occidentaux avec leurs propres moyens sans faire du bruit comme vous le faites.

  12. Le mal du Congo c’est la rencontre diabolique entre la France, les sassou et les koalelas. Quand le peuple avait élu lissouba, ce sont sassou et kolela qui foutent la mèrde et aujourd’hui le peuple élit mokoko ce sont les mêmes. La France sassou et kolela. Les mbochis et les kongo qui les suivent doivent comprendre que leur enthnocentrisme est la cause de la destruction du Congo

  13. le vantard dit :

    @ Ashley Laurent :  » Les mbochis et les kongo qui les suivent doivent comprendre que leur ethnocentrisme est la cause de la destruction du Congo »

    Vérité des vérités. En effet, l’ethnocentrisme des Laris et des Mbochis est la cause essentielle des malheurs des congolais. S’ils n’étaient pas séparés par la nation Téké, laris et mbochis feraient vivre aux congolais la situation des rwandais. Ces deux tribus ont un appétit insatiable pour le pouvoir politique. Aussi, pour mettre fin à cette situation de troubles incessants, il faut que les 52 autres tribus imposent aux deux trublions de quitter la scène politique congolaise pendant au moins cinquante ans, le temps de créer des conditions de réinsertion apaisée de cette gangrène.

    Courage congolais, stoppons l’hémorragie en se séparant des membres gangrenés.

  14. LE PATRIOT dit :

    NE TOMBER PAS DANS LE PIÈGE DES OCCIDENTAUX ILS HAÏSSENT LE PRÉSIDENT TRUMP PAR CE QUE TRUMP EST CONTRE L’IMBÉCILITÉ DE LA FRANCE DE SE NOURRIR SUR LE SANG DES AFRICAINS, 80% DU REVENUE DE CHAQUE PAYS UTILISANT LE CFA VA EN FRANCE ET POUR LE CONGO IL FAUT AJOUTER LE PÉTROLE GRATUIT.
    AVANT DE PARLER IL FAUT D’ABORD RÉFLÉCHIR. LES CONGOLAIS ONT DÉJÀ FAIT 1000 FOIS PLUS QUE LE BURKINAKE LE France VEUT TE MONTRER LE PEUPLE CONGOLAIS N’EST MURE . LA SEUL DIFFÉRENCE ICI C’EST LA GRANDEUR DE CE QUE SASSOU DONNE A LA France, LA France SANS LE CONGO BRAZZAVILLE ELLE VA ÊTRE PAYS PAUVRE D’EUROPE.
    C’EST HOLLAND EN PASSANT PAR SON AMBASSADEUR QUI DIRIGE LES MASSACRES DANS LE POOL. LES FRANÇAIS REFUSENT LA CHUTE DE LEUR TERRORISTE COMME EN 1997, LA France A DÉJÀ NÉGOCIÉ AVEC L’ANGOLA, AU MOMENT OU NOUS PARLONS 700 TROUPES ANGOLAIS SONT DANS LE POOL.
    VOUS QUI PARLER VOUS ALLEZ FERMER VOS BOUCHES QUAND LES Français APRÈS LE POOL ATTAQUERONS TOUT LE SUD DU PAYS.
    TOURNONS NOUS VERS TRUMPE SASSOU LE TERRORISTE EST L’OMBRE QUI CACHE LA France.
    L’OPÉRATION DE DÉPÔT DES GERBES DES FLEURS POUR LES VICTIMES DE LA BARBARIE DU TERRORISTE SASSOU DANS LE POOL DEVRAIT SE PASSER DANS LES PAYS OU LE CONGOLAIS SE TROUVE.

  15. Anonyme dit :

    Que les autres groupes ethniques fassent le boulot, on attend que ça depuis 50 ans.

  16. SASSOUFIT,DEGAGE dit :

    Poser d’abord une question à Donald Trump ou se trouve le Congo?

  17. Pagayeur Ô Séa dit :

    Toi-là, là-bas, bien reconnu malgré la farine, pourquoi faire semblant d’ajouter Sassou et les mbochis, réhausse toujours ta haine pathologique et dis seulement que tout ce mal au Congo c’est la conséquence des quelques Kolélas et du reste, l’ensemble des catalogués à ton goût, « Kongo-Laris ». Lissouba est-il ou était-il un ange? RIDICULE et NAIF! Qui veut encore perdre son temps pour épiloguer comme un piroguier?

    Pouf, ce Con-go-laid-là est TROP N U L !
    En fait, il est M A L A D E.

  18. La Coqânerie dit :

    Posez après la question à Takou où se trouve Rhode Island?

  19. SASSOUFIT,DEGAGE dit :

    Qui ne tente rien n’a rien,ce n’est pas en se levant chaque matin et dire,dieu je veux gagner au loto,que les millions vont tomber du ciel.On ne réussit pas sans essayer et sans prendre de risque.Si nous voulons que nos reves se réalisent,ne dormons plus nous Congolais,personne ne viendra nous aider

  20. Lucien Pambou dit :

    A mon cher frère Mingwa et aux autres Congolais,

    Cher frère je te remercie d’abord pour ton papier car il félicite le Président Trump pour son élection. Tu parles au nom des Congolais, ce qui est une limite. Moi qui te parle je suis d’accord avec Trump contre les racistes clinton car ceux de nos compatriotes qui ont la mémoire courte ne savent pas que bill Clinton et Hillary Clinton pendant les premières Primaires Clinton/Obama avaient traité Obama de nègre, de serviteur qui aurait pu en d’autre temps leur apporter leur café tout en les remerciant. Ceci s’adresse aux nègres congolais et africains que nous sommes, écervelés et toujours prompts à l’empathie que nous procurent les médias.
    Ceci est dit.
    Passons à l’essentiel. Trump est américain comme l’était Obama. Ce qui intéresse Trump, c’est le business, ce ne sont pas les luttes de libération des peuples nègres qui l’intéressent. J’utilise le mot nègre car c’est celui qui est employé à Washington. Arrêtons de rêver. Pour exister, tout doit venir de nous-mêmes. C’est vrai sur le plan politique, c’est vrai du développement et c’est vrai de nos relations ethnico-régionales congolaises compliquées, même si certains pensent que là n’est pas le problème.
    Le Congo et ses problèmes sont intégrés dans la trajectoire mondiale avec les Etats Unis à la tête du réseau. Voyez chers compatriotes, ma théorie du réseau et des trajectoires est applicable partout. Encore faut-il lui donner du contenu et l’analyser chaque fois.

    Post non relu, prière de ne pas m’en vouloir pour les fautes.

  21. VAL DE NANTES , SOYONS CLAIRS dit :

    Ne rêvons pas , aussi , en se cachant derrière des alibis type ,, personne ne pourra nous aider .
    Qui a aidé les LIBYENS à se débarrasser de KHADAFI,,???
    N’est ce pas une coalition internationale .
    Sans intervention extérieure , nous aurons du SASSOU .SASSOU SASSOU ….pour la vie..
    Nous sommes incapables de lui rentrer dedans .
    DIAWARA OU KINKANGA ne sont plus là .
    Mokoko qui a essayé de danser le tango , a glissé sur le tapis de MPILA ;
    Se donner du courage trompeur , c’est accepter tacitement le règne de SASSOU ;
    Le ciel est là , mais son aide est inexistante , car il nous exige d’envisager toutes les situations les plus inimaginables , pour porter l’estocade à ce voyou venu d’OYOBEEK .
    Se regarder tribalement en chien de faÏence , n’est pas , non plus une stratégie ,mais un suicide dont se nourrit SASSOU …..

  22. Bulukutu dit :

    @ Val de Nantes. Pour cela il faudrait faire une offre plus alléchante aux occidentaux. C’est-à-dire aller plus loin dans la braderie des ressources du Congo. Mais peut-on aller plus loin que ce qui se passe depuis 32 ans au Congo ? Le prefet-zident n’est-il pas allé au delà des espérances des charognards occidentaux? À ce niveau, ce n’est plus la peine de parler de pays. Il faudrait mettre le Congo aux enchères des multinationales et en finir avec ce territoire. Nous sommes coincés avec nos propres contradictions. Nous voulons la paix, sans faire la guerre, nous voulons vaincre la dictature sans nous battre, nous voulons l’indépendance sans nous battre,… etc. Nous voulons tout et son contraire, c’est-à-dire rien. Comme je l’ai déjà dit sur forum, le jour où nous saurons ce que nous voulons pour ce pays, s’il en existe un, nous saurons quoi faire pour virer le gang mafieux d’Oyo.

  23. Anonyme dit :

    Bulukutu a raison nous ne cessons de pleurer sur notre sort en espérant un hypothétique messie.
    Nous avons aucune constance et trop versatile, nous réclamons de l’aide et nous ne sommes pas prêt à nous prendre en main.
    Les Makaya et Mokoko se sont levés et nous les avons lâchement abandonné alors quel crédit de sérieux et de confiance avons nous à apporter à celui ou ceux qui seraient enclins à nous apporter cette aide tant réclamée.

    « L’esclave qui n’est pas capable d’assumer sa révolte ne mérite pas que l’on s’apitoie sur son sort. Cet esclave répondra seul de son malheur s’il se fait des illusions sur la condescendance suspecte d’un maître qui prétend l’affranchir. Seule la lutte libère… »
    Thomas SANKARA :

  24. le fils du pays dit :

    Ceux qui ne se souviennent pas de l’histoire sont condamnes a le repeter dixit le dicton.
    Les Congolais sont les seuls au monde qui veulent se liberer en allant dialoguer,en allant supplier ,en allant frapper a la porte,en allant faire les discours a l’assemblee nationale de leur veritable oppresseur (l’empire francais).C’est du jamais vu.
    Ecoutez moi bien.C’est par la force brute qu’on chasse les oppresseurs car ces derniers usent la violence dans toutes ces formes..
    A ceux qui ont l’oreille dure qui s’approche a la naivite chronique.Repondez moi.Comment les Algeriens se sont debarrasses de la france?.Comment les Vietnamiens ont chasse la france et les gringos(Americains)?.Comment les Cubains se sont debarrasses des espagnoles,du valet des Americains Fulgencio Batista ainsi des Yankees(Americains)?.Comment les Iraniens se sont debarrasses du Shia,valet de l’empire Americain?.

  25. VAL DE NANTES , dit :

    Les congolais DE BRAZZA drôle de race , admirateurs passifs des folies Sassouiennes .On se perd en conjectures discursives sans substance guerrière .
    Je doute fort que les congolais en viennent à désassoussifier le pays , tant les élans ethniques freinent l’élan patriotique qui aurait servi ,à organiser une protestation populaire à l’instar des burkinabés .
    La gangrène financière a atteint la moelle épinière de beaucoup de nos compatriotes toutes tribus confondues .
    Le médecin MENGUELET SASSOU scrute fiévreusement la mort clinique de ces compatriotes nourris au lait létal concocté dans les laboratoires de MPILA .
    OUI , ce qui fait rester SASSOU au pouvoir , c’est cette popote à multiples ingrédients dont l’aliment principal est l’argent du pétrole qui ,a malheureusement le pouvoir, de marchandiser la colère de beaucoup de nos compatriotes .MPOUELE en est un exemple vivant et vibrant .

  26. Anonyme dit :

    La défaite électorale d’hillary clinton est une bonne chose, désormais l’arrogante prostituée politique rejoindra les poubelles de l’histoire. Quant à Trump, il ne faut pas trop se trumper l’esprit. Ce candidat n’a reçu mandat d’aucun peuple africain, il est le president des USA et non de l’Afrique. Ce monsieur ignore tout des questions sensibles liées à la sociologie complexe de nos pays, il jouit d’une parfaite méconnaissance de la culture démocratique africaine et le droit international l’oblige au respect de la souveraineté des autres nations. Voyons, au 21ème siècle les africains n’ont plus le droit de jouer à la trumpette à la vu du moindre blanc au discours pseudo révolutionnaire. Sinon pour quoi les américains eux même n’ont toujours pas mis la clé aux portes de Guantanamo? On s’interroge encore sur le silence complice de la CPI, cela prouve sa véritable mission colonialiste en complicité avec les puissances occidentales.

    Trump a longtemps dénoncé l’interventionnisme de l’administration démocrate en Libye et en Syrie, je lui reconnais au moins cette qualité tout en gardant à l’esprit qu’un dirigeant yankee demeure un cow boy dans l’âme. Peut on affirmer aujourd’hui que les peuples libyens et syriens sont plus heureux? Quel que soit leur bord, les souverainistes ne toléreront aucune ingérence d’une puissance étrangère, impérialiste de surcroît. Avant d’apporter son éventuel soutien militaire aux terroristes villageois que nous connaissons, la nouvelle administration US doit accédée d’abord aux revendications légitimes des véritables Combattants-Résistants du Black Panther Party. Sachant que la Révolution de Couleur Noire menée par les afro-américains à Baltimort et ailleurs se poursuit, espérons qu’elle balayera les derniers vestiges de la Ségrégation. Je condamne énergiquement le racisme negrophobe de la police américaine qui massacre les noirs sans raison. Sans oublier le sort réservé aux malheureux indiens d’Amérique, les quels vivent toujours dans des réserves à l’image des bantoustans d’Afrique du Sud, sous l’Apartheid.

    « Les USA ne sont pas une grande démocratie exemplaire et encore moins exportable, vu la situation chaotique de l’Irak et de la Libye » (L.Farrakhan). « L’homme blanc est l’ennemi héréditaire de l’homme noir » (E.Muhammad). J’encourage les afro-américains à poursuivre la lutte pacifique contre le régime, car leur combat est juste et noble. Aussi en tant que noir et africain je félicite le President sortant Mwéné B.Obama pour son parcours politique éloquent, en dépit du fait que sous sa présidence notre continent n’a jamais été aussi déstabilisé, depuis le fameux Printemps Arabe du NED et autres NDI. Je salue l’oeuvre inestimable du Révérend M.L.King qui n’est plus à présenter, en prônant la non violence il a modifié le cours de l’Histoire dans un pays où les minorités noires étaient chaque jour victimes du terrorisme des illuminés sudistes du KKK (il s’agit du Klu Klux Klan, nuance.). Mais au lieu de suivre la voie de la sagesse chrétienne tracée par le King, ailleurs dans les pays du Sud des peuples intolérants et ignorants se contentent d’un pasteur barbu aux prêches inkongrus. Lui aussi prétend avoir fait un rêve (I Have A Dream), sauf qu’il s’agit d’un cauchemar pour toute une région.

  27. Alors là? dit :

    OEIL DU CONGO

    GUY ROMAIN KINFOUSSIA – UDR MWINDA DEMANDE SANS DÉLAIS À SASSOU DE :

    1. Retirer toutes les Forces en armes présentes dans le Pool ;
    2. Rapatrier et indemniser les populations du Pool déplacées et meurtries ;
    3. Annuler le mandat d’arrêt international contre NTUMI ;
    4. Libérer sans condition tous les prisonniers politiques ;
    5. Convoquer un Dialogue National Inclusif.

    UDR-MWINDA
    Le Pool en questions !
    Pourquoi le Pool est-il pris en otage ?
    Fiche remise aux Chargés de mission du Premier Ministre, venus recueillir la position « claire » de l’UDR-MWINDA sur la question du Pool, pour transmission au Président de la République en réponse à son souhait exprimé lors de sa Conférence de Presse du 9 novembre 2016 à Brazzaville.

    Le Congo est une République laïque, une et indivisible.
    Le Pool est un département majeur du Congo par ce que frontalier de la capitale du Congo. De par sa situation politique et géopolitique, il doit être l’objet d’une préoccupation nationale et non relégué au simple rang de département. Considérer que le Pool est un simple département serait sectaire et irresponsable de la part de tout homme politique. Le Pool est une partie intangible du Congo dont la fièvre cache mal le cancer en phase terminale qui mine en profondeur le CONGO tout entier !

    CONTEXTE.
    Quand le 4 avril 2016, le peuple congolais est réveillé par les détonations des armes lourdes dans Brazzaville, à une période où tous les carrefours, tous les « buissons des forêts » sont sous haute surveillance par une Force publique hétéroclite, agressive et intransigeante, pour cause de protection des résultats électoraux avec en prime un pays coupé du reste du monde, (internet et portables coupés), tout citoyen lucide et sensé connaître la Loi s’est retourné vers le Pouvoir dont la mission cardinale est la protection des biens et des personnes. En réponse à cette attente, le Pouvoir a réagi en envoyant une expédition punitive dans le Pool. Voilà sept (7) mois et neuf (9) jours aujourd’hui que la Force publique n’arrive pas à « mettre hors d’état de nuire » les « bandits » retranchés dans « les buissons des forêts » du Pool.

    Selon le triptyque « un Chef, une mission, des moyens », le Président de la République, Chef de l’Etat et Commandant en Chef, le Général d’Armée Denis SASSOU NGUESSO a dû instruire dès le 4 avril 2016, le Haut Commandement des Forces Armées Congolaises, entendez les «Forces en armées», pour exécuter la mission du genre :« Isoler Ntumi et ses partisans, le rechercher dans les buissons des forêts où il se cache, qu’on le mette hors d’état de nuire pour l’amener à la justice où il répondra de ses actes… »

    Quel Officier Général a été désigné pour exécuter cette mission avec tous les moyens militaires que nous avons observés ? Qui coordonne ces opérations de harcèlement et de bombardement des populations à partir d’hélicoptères bombardiers avec près de cinq mille fantassins hétéroclites déversés dans tous les « buissons des forêts » ?

    Le Commandant en Chef des Forces Armées Congolaises a-t-il manqué à son devoir de commandement en ne désignant pas un Chef de mission au Pool comme il est de coutume en pareille circonstance? Pourquoi , quand on connait la pléthore d’Officiers Généraux de tout acabit qui roule carrosse sur le macadam des villes ?

    Et cette mission de recherche s’avère aujourd’hui infructueuse puisque, publiquement le Président de la République, alors même qu’il a sous sa coupe, dans toutes les instances de la République, des cadres émérites originaires du Pool qu’il expédie régulièrement, avec monnaie sonnante et trébuchante dans leur fief d’origine pour prêcher la bonne parole, le Président de la République vient de lancer le 9 novembre dernier un cri d’alarme et de désespoir en ces termes : « Je dois demander aux populations et aux dirigeants politiques du Pool de se mettre avec le Président, pour isoler Ntumi et ses partisans. Que nous nous mettions tous à le rechercher dans les buissons des forêts où il se cache et qu’on le mette hors d’état de nuire.. »

    Pour le Chef de l’Etat, le Pool ne vit pas actuellement une situation de crise mais plutôt une forme de banditisme, puisqu’il déclare : « Pour moi, il n’y a pas de crise. Le pays va continuer sa marche et va se construire. Le programme que le Président a annoncé pour le peuple va se réaliser ».

    S’adressant toujours aux populations et dirigeants politiques du Pool, il souligne qu’ « au lieu de fuir, d’avoir peur, ils ne peuvent pas jouer double jeu. Ils doivent prendre position clairement. Qu’ils se mettent avec le Président. On isole Ntumi, on le cherche comme tous les bandits. On ne va pas le tuer mais, on l’amènera à la justice et il répondra de ses actes. » Sic.

    La boucle est donc bouclée, c’est le retour vers le citoyen lambda, pourvu qu’il soit du Pool, puisqu’il est question de son département ! Ainsi donc le Président de la République, Père de la Nation vient de nous édifier en révélant ainsi la balkanisation du pays par communauté tribale : à chaque département ses militaires, ses enseignants, ses politiciens, ses médecins, ses bandits, etc.
    Le Président de la République oublie que tout conflit, toute crise dans une société survient à la suite d’une contradiction non réglée. La négation de la crise qui secoue le Pool par quiconque suit les évènements qui s’y déroulent, est un acte de mauvaise foi et suicidaire pour notre unité nationale. Le Pool est victime de son identité et de ses choix, telle est la véritable origine de ses malheurs.

    Dans le cas d’espèce des évènements regrettables qui se déroulent dans le Pool, ils tirent leur justification dans le holdup électoral opéré le 4 avril 2016. Le Pool n’a pas offert ses suffrages aux Candidats de la Majorité qui le lui font payer par le prix du sang. La guérison du Pool, c’est la santé du Congo.

    Pour en sortir, le Président de la République, au lieu de se substituer en Chef d’Equipe de recherche appuyé par les populations et les cadres politiques du Pool dont le seul malheur est d’être né au Pool, doit au contraire puiser dans ses vertus humanistes pour prendre les décisions politiques courageuses qu’impose la situation catastrophique du pays tout entier :
    Il doit, sans délais :
    1. Retirer toutes les Forces en armes présentes dans le Pool ;
    2. Rapatrier et indemniser les populations du Pool déplacées et meurtries ;
    3. Annuler le mandat d’arrêt international contre NTUMI ;
    4. Libérer sans condition tous les prisonniers politiques ;
    5. Convoquer un Dialogue National Inclusif ;
    C’est à ce prix que le Congo peut retrouver l’unité nécessaire à son redressement national.

    Guy Romain KINFOUSSIA
    Président de l’UDR-MWINDA

    OEIL DU CONGO – ANAIS POLO

  28. Anonyme dit :

    Vous pouvez toujours parler et essayer d’analyser comme le font certains en s’octroyant en passant les titres pompeux « d’analystes ou d’intellectuels ».
    Quand allons nous comprendre que nous n’avons pas en face de nous de simples politiques
    mais une vraie bande mafieuse composée de gangsters, de voleurs et d’assassins qui ont fait mains basse sur un pays et qui s’en servent à leurs seul fin personnel.
    Le magot sur lequel ils sont assis, ils ne sont pas prêt de le quitter, car le contrat est trop juteux et en plus c’est le garant de leur impunité.

    Trop de bla bla, de discours et d’analyses inutiles ne servent que ces voyous et leur confère une place et un statut qu’ils ne méritent pas.

    ingeta, Ingeta

  29. Anonyme dit :

    Quel serait l’INTERET pour les USA de chasser sassou du pouvoir ??? S’il n’y a aucun intérêt pour eux, ils ne feront rien… Et ne venez pas nous parler de droits de l’Homme ou autres fables de ce genre…

  30. kikadidi leo dit :

    la victimisation ou la haine ou des accusations sans fondements alors penser vous que si tous les occidentaux mourraient seront sauves enfin peut etre qui n y aura plus de guerres et de famines

  31. Prémonitoire .... dit :

    Plus que jamais d’actualité ce texte avec cette déculotté au satrape tyran

  32. KOO' NGOH dit :

    Quand les nguesso descendent bas, plus bas qu’une simple pelle ne peut y aller, encore plus bas et plus profond; nous, on vole et on surf plus haut, très haut. Notre moteur est notre morale bien propre.
    Oh Seigneur! dès qu’on prononce du nguesso ou sassou, l’air devient pollué et puant aux alentours… Quelle Merde!
    S’il vous plait, encore du mousseux et à la santé!… Car la débâcle et l’immonde tenue des nguesso se fête avec allégresse.

    KOO’ NGOH

  33. David Londi dit :

    Je comprends que certains de nos compatriotes veuillent placer nos espoirs de libération en des entités tierces, en une force extérieure que sont les Etats-Unis, en l’occurrence. Une telle vision est confortable, mais elle pose de sérieux problèmes. Cette confiance accordée à une puissance extérieure peut être très mal placée. Dans cette situation nous devons garder à l’esprit que notre dictateur a construit un réseau qui touche tous les organes et organisations importants du monde comme le souligne notre compatriote Mingwa, auteur de cet article, en soulignant les silences de l’ONG de Soros. Aujourd’hui, Sassou a reçu une fin de non recevoir mais qu’en sera-t-il demain ?

    Nous avons assisté à de multiples drames sur le continent africain, du Biafra au Rwanda et actuellement dans notre pays, le plus souvent aucun sauveur étranger ne se présente, et si l’un d’eux le fait, on ne devrait probablement pas lui faire confiance parce que de dures réalités sont à considérer avant de s’en remettre à une intervention étrangère.

    Fréquemment, les puissances étrangères tolèrent et même soutiennent une dictature afin de faire avancer leur propre intérêt économique et politique. Les Etats, on le répétera jamais assez, n’agissent qu’en fonction de leurs intérêts et de la raison. Trump est un business man qui construit toute son administration autour des hommes d’affaire chevronnés. Notre pays, il faut peut-être s’en rendre compte, n’est important ni stratégiquement, ni démographiquement. Nous ne sommes plus à l’époque de la guerre froide quand celui-ci servait de pied-à-terre aux soviétiques pour lorgner sur le Congo d’en face et l’Angola. Les requins qui sont autour de Trump sont pragmatiques et n’ont rien à faire des états d’âmes du petit nègre, comme le dit mon ami Lucien, perdus dans la forêt aux confins du monde dit « civilisé ». Dans ce monde-là, c’est du donnant-donnant. Ce ne sont pas des poètes.

    Certains iront jusqu’à trahir le peuple opprimé plutôt que de tenir leur promesse d’aider à sa libération, cela afin de poursuivre un autre objectif. Nous l’avons vécu avec Hollande, souvenez-vous du discours de Dakar, main droite sur le coeur, il avait juré que la France sera toujours auprès des peuples si leurs dirigeants s’éternisaient au pouvoir en changeant les constitutions. Quel bilan, en tirons-nous ?

    D’autres agiront contre la dictature pour mieux maîtriser le pays aux plans économiques, politiques ou militaires. Le franc CFA est là pour ne pas trop s’éterniser sur ce point. Tous les congolais normalement constitués sentent le poids de cette situation que l’ancienne puissance coloniale nous impose depuis le début du XXè siècle.

    Les puissances étrangères s’investissent parfois de manière positive pour le peuple opprimé, mais si et seulement si le mouvement intérieur de résistance a déjà ébranlé la dictature au point d’attirer l’attention internationale sur la nature brutale du régime. Dépassons nos rêves de l’arrivée d’un « Deus ex machina » qui descendra de son cheval blanc pour venir sauver le pauvre peuple congolais sous la férule d’un dictateur sanguinaire. Non, penser cela c’est accepter d’être éternellement infantilisé par ses soi-disant puissances étrangères.

    Les dictatures existent principalement à cause de l’insuffisante répartition du pouvoir dans le pays lui-même. Je l’ai déjà souligné ici. La population et la société sont trop faibles pour poser des problèmes sérieux au pouvoir dictatorial, la richesse et le pouvoir sont concentrés en trop peu de mains. Cette situation laisse l’opposition désargentée avec pour corollaire la course à la corruption. La survie des dictatures dépend principalement de facteurs internes, même si elles peuvent être renforcées ou affaiblies par des actions internationales. Les solutions sont donc avant tout internes.

    Ces pressions internationales peuvent être utiles lorsqu’elles soutiennent un puissant mouvement intérieur de résistance. Ainsi, les boycotts économiques internationaux, les embargos, la rupture des relations économiques, l’expulsion des organisations internationales, ou la condamnation par les Nations Unies, par exemple, peuvent être utiles. Mais en l’absence d’un fort mouvement intérieur de résistance, de telles actions ne risquent guère d’être entreprises.

    Faire face à la dure vérité. La conclusion est difficile à accepter mais il n’en y a pas d’autre, à mon avis. Nous avons l’impérieux devoir, pour renverser cette dictature efficacement, de renforcer la détermination de la population opprimée et sa confiance en elle-même, et améliorer ses compétences pour résister. J’ai déjà, ici, exposé ma stratégie sur ce point. Nous devons aussi fortifier les groupes sociaux indépendants et les institutions qui structurent la population. D’aucuns me diront qu’ils sont tous corrompus, je le sais mais nous avons là un chantier de nettoyage et de ces organisations sortira, peut-être, un leader en lieu et place de certains opposants actuels comme les Kolélas et les Tatsy. La condition sine qua non pour cela est le dépassement du Tribalisme, le mal absolu qui est plus un fait politique que social. Unis, nous vaincrons, désunis nous perdrons.

    Passer par une lutte de libération constitue un temps d’affermissement de la confiance en soi et de renforcement de la cohérence interne des groupes combattants. Nous devons apprendre à combattre pour notre liberté. Les pseudo-indépendances que l’on nous a généreusement accordées dans les années 60 n’ont été que des moyens de pérenniser la domination politique et économique. Elles n’ont pas favorisé la cohésion nationale. Tous les peuples qui se sont battus ont fini par construire une nation parce que ces luttes ont permis le développement d’une conscience nationale. Ne dit-on pas que « nul ne peut se connaître tant qu’il n’a pas beaucoup souffert ». Souffrir ensemble permet de mieux nous connaître entre éthnies ou groupes sociaux, antidote au Tribalisme.

    Nous ne devons compter que sur notre propre détermination… Aidons-nous en nous soutenant les uns les autres… fortifions ceux qui, parmi nous, sont faibles ou doutent… unissons-nous, organisons-nous et nous gagnerons…

    Quand la dictature doit faire face à une force solide, sûre d’elle-même, dotée d’une stratégie intelligente, avec des actions disciplinées, courageuses et vraiment puissantes, elle finira par s’écrouler. La libération des dictatures dépend finalement de la capacité des peuples à se libérer eux-mêmes.

  34. LE PATRIOT dit :

    L’arnaque n’a pas fonctionnée, l’avion du terroriste sassou est resté au USA, la France a volé au secours de son terroriste en l’escortant au Congo dans un avion équipé de tout système de défense le plus sophistiqué possible que la France peut avoir.
    La France reconnait rien qu’entre 1997 a 1998 sassou a tue 400.000 congolais soit 10% de la population. Et de 1998 a 2002 opération mouebara, qui est réputée avoir fait le pire. Le génocide français en passant par sassou deux fois plus de morts au Congo que celui de Rwanda.
    LE CONGOLAIS DOIT LE SAVOIR QUE :
    LES MORTS DE SASSOU DEPASSE DE TRÈS LOIN LES MORTS EN SYRIE
    ET SASSOU CONTINUE DE TUER, PAR LES BOMBARDEMENTS, LES TOITURES….
    SASSOU EST LE PLUS GROS CRIMINEL QUE L’AFRIQUE N’A JAMAIS CONNU
    LE PÉTROLE CONGOLAIS COUTE O CFA LE BARIL A LA France
    LA France EST LE PROTECTEUR DU TERRORISTE SASSOU
    SASSOU OU THIERY OU LES MBOCHIS N’EXÉCUTENT QUE LES ORDRES DE LA France
    SASSOU LE TERRORISTE EST UN DEMI ANALPHABÈTE
    L’AMBASSADEUR FRANÇAIS EST LE PRÉSIDENT DU CONGO
    LA France EST LE SEUL PAYS DE L’UNION EUROPÉENNE DE RECONNAITRE SASSOU COMME PRÉSIDENT

  35. Bonjour chers compatriotes de Brazzaville,

    Je m’appele Wallaï Azangasoni. Je suis né à Poto-Poto. Actuellement, je veux me rendre à New York et Miami. Aussi, je cherche un guide touristique pour me conduire vers Trump Tower et le quartier huppé de Mar-a-go à Palm Beach. D’après les info que j’ai, il y a un guide touristique très réputé des endroits que je veux visiter. C’est un certain Ngakosso. Pouvez vous me dire où le trouver? La dernière fois, il avait été vu à New York vers Trump Tower. Depuis le 28 décembre, il est devenu intros able. Certains disent qu’il a ouvert une succursale de son agency de tourisme à Palm Beach. Si vous le voyer, dîtes lui que Wallaï Azangasoni, l’ami de celui qui est né avant la honte qui ne tue pas de Poto Poto, le cherche. Je paie très bien pour les visites touristique et je suis très patient pour cette visite à Trump Tower et Mar-a-go.

  36. Anonyme dit :

    Lorsque je disais dès le début de la mascarade du changement de la constitution que le pouvoir médiatique était une arme aussi efficace que des fusils, on en a ici un exemple flagrant avec cette fausse invitation qui a tournée en ridicule sassou et à fait plus de bruit dans les médias internationaux que les morts du pool ou que des réunionnites à répétition.

  37. Anonyme dit :

    Chacun d’entre nous peut être une arme contre cette mafia, même derrière un ordinateur, harcelons sans relâche, si on n’a pas les moyens matériels pour détruire un monument en l’écrêtant par le haut il faut le miner inlassablement par le pied pour le faire tomber.

    Il faut sortir de cette omerta médiatique qui pèse sur le Congo, contre cette mafia, il n’y a pas d’actions inutiles il n’y a que des actions manquées.

  38. David Londi dit :

    Bien dit, cher compatriote Anonyme !

  39. sitou Mpaka dit :

    Le salut viendra peut-être de celui qu’on attendait pas , le président Trump s’est fait élire avec son propre argent , contrairement aux clinton qui ont des fondations mafieuses dont kiki Kaniki Sassou est le principale contribuable . Malheureusement Sassou est un fou , il aurait démissionné après ce grand déconvenue , mais le fou à sa formule le ridicule ne tue pas .

  40. David Londi dit :

    Monsieur Guy Romain Kinfoussia, je tiens à vous remercier pour la clarté de l’exposé et l’aide apportée à certains d’entre nous dans la compréhension des rouages de commandement au sein de l’armée. Nous entendons votre cri d’alarme que nous partageons et comprenons. Mais une partie de votre intervention m’interpelle, vous écrivez :

    « Pour en sortir, le Président de la République, au lieu de se substituer en Chef d’Equipe de recherche appuyé par les populations et les cadres politiques du Pool dont le seul malheur est d’être né au Pool, doit au contraire puiser dans ses vertus humanistes pour prendre les décisions politiques courageuses qu’impose la situation catastrophique du pays tout entier »

    Sur cette dernière partie, je me permets de souligner quelques contradictions. Nous sommes tous conscients que dans ce pays aucune institution n’est légale parce qu’issue d’une constitution que nous avons combattue avec acharnement au prix, parfois, des victimes humaines. Si nous sommes encore sous le régime de la constitution de 2002, Mr Sassou N’guesso n’est plus président de la République depuis plus de 9 mois. Les mots ont un sens. L’appeler Président revient à le légitimer un peu dans les circonstances actuelles. Continuer à l’appeler ainsi est une erreur, parce que c’est lui donner la possibilité de prendre l’ascendant sur les citoyens, ce qui est la base de toute prise de pouvoir effective dans le pays.

    Dans ces conditions la question que l’on peut légitimement se poser est celle-ci : Peut-on combattre efficacement quelqu’un qui a un ascendant sur soi ? J’ai peur que non. Si nous reconnaissons que l’ensemble des institutions, sous la botte de Sassou, sont obsolètes, pourquoi donc continuer à attendre des actions de justice de celles-ci ? Toutes les délibérations qui en sont issues sont marquées du sceau de l’injustice et donc non recevables. Dans ces conditions présenter des doléances à monsieur Sassou constitue une reconnaissance presque licite de son pouvoir, un système que tout le monde reconnaît pourtant illégal. N’y a-t-il pas contradiction ?

    D’aucuns me diront qu’il faut dialoguer ou négocier. Je m’inscris en faux contre cette stratégie, lorsque les enjeux sont fondamentaux, qu’ils affectent des principes religieux, des libertés humaines ou le développement futur de toute la société, les négociations ou le dialogue ne peuvent pas trouver une solution acceptable. Sur des questions fondamentales, il n’y a pas de compromis possible. Seul un changement radical des relations de pouvoir en faveur des démocrates peut assurer la sauvegarde des enjeux fondamentaux. Un tel changement s’obtiendra par la lutte et non pas par des négociations. Monsieur Sassou commet des crimes contre l’humanité, dévaste toute une région sur la base d’une stratégie planifiée depuis 1998, l’on parle de plus de 400.000 victimes, peut-on négocier avec un personnage comme celui-là ? Négocier ou porter des doléances n’est donc visiblement pas la solution dans le contexte actuel. Un homme qui se comporte de la sorte ne peut pas avoir des vertus humanistes. C’est un chef de gang qui a érigé le tribalisme en système de gouvernement.

    Cela ne signifie pas que la négociation ne doive jamais être utilisée mais plutôt qu’elle n’est pas un moyen réaliste pour renverser une dictature comme celle de Sassou quand une forte opposition démocratique fait défaut. C’est le cas. En plus je suis persuadé qu’il n’a pas fait tout cela pour aller s’asseoir à la table des négociations et en valider les conclusions qui lui seraient éventuellement défavorables.

    Cependant, il arrive que la négociation ne soit même pas une option. Sassou solidement retranché et en position de sécurité peut n’avoir aucune envie de négocier avec son opposition démocratique, la preuve il fait feu de tout bois (des voyages improbables aux USA) pour créer des conditions durables de son maintien au pouvoir. Ou alors, lorsque des négociations auront été initiées, les négociateurs du camp démocratique disparaîtront à jamais. Nous sommes donc dans une situation de résistance et non d’opposition classique et pour cela, je regrette de le dire, notre opposition doit parler d’une seule voix. Pas de langue de bois : Kolélas et Tatsy Mabiala, par leur comportment, conforte le pouvoir sanguinaire de Sassou. Il faut clairement dénoncer cette attitude. Ici, je ne me base que sur les faits ou les déclarations. Cette attitude sape le travail de la diaspora qui se bat pour disqualifier Sassou à l’international quand, systématiquement, vous lui donnez de « Mr le Président ». Les quelques victoires que l’on peut comptabiliser ont été obtenues de ce côté-là. Je ne me permettrai de vous faire la leçon mais quelles actions engagées par notre opposition pour accompagner les victimes de la situation économique et sociale dans notre pays ? Ces revendications légitimes ne trouvent pas un relai puissant auprès de nos leaders dont vous êtes. Le statu quo imposé par Sassou, l’inaction due à la peur, ne présage rien de bien quant au changement démocratique dans ce pays.

    Merci de votre intervention.

  41. Les coulisses de la deculotté du tyran congolais dit :

    Découvrant à la dernière minute le Pedigree du Président du Congo-Brazzaville, le président élu Donald Trump annule sa rencontre avec Sassou-Nguesso.

    Coulisses:

    Cela aurait été une consécration pour Denis Sassou-Nguesso: une remise en selle sur la scène diplomatique mondiale. Et un coup dur pour l’opposition. L’annonce par un Tweet (ci-dessous) du porte-parole du gouvernement Thierry Moungalla de la rencontre trump Sassou-Nguesso provoque un torrent de commentaires sur les réseaux sociaux. Pour un premier rendez-vous avec l’Afrique, le choix paraît incongru.
    Depuis sa victoire, Donald Trump ne s’est entretenu qu’avec un seul Leader du continent africain : le président égyptien Abdelfatah Al-Sissi. Les deux hommes ont brassé plusieurs sujets, dont la Libye. La position de Trump sur le dossier est très attendue. Le président élu projette ensuite de consulter l’Union africaine. L’idée est bonne. En 2011, l’UA avait prévenu des risques de l’intervention de l’Otan. Barack Obama les avait royalement ignoré. On connaît la suite: Obama qualifia lui-même l’absence de suivi du dossier libyen d’ »erreur historique », la pire de ses deux mandats. Les deux acteurs de l’intervention David Cameron et Nicolas Sarkozy y ont signé la fin de leur carrière politique. Et l’actuel président de l’Union africaine, le Tchadien Idriss Deby ne se priva pas lors du Forum sur la paix et la sécurité en Afrique de Dakar en 2014 d’accuser l’Otan d’avoir « semé le désordre » en assassinant Kadhafi et de « ne pas avoir voulu nous écouter ».

    « Trump ne savait pas à qui il avait à faire »

    Une rencontre est donc organisée à New-York mardi 27 décembre avec le président du Comité de haut niveau de l’Union africaine sur la Libye à savoir Denis Sassou-Nguesso. Donald Trump n’a jamais mis les pieds au Congo-Brazzaville, n’en a peut-être jamais entendu parler et se révèle sûrement incapable de le placer sur une carte. Ce n’est pas le président de ce pays dont la population dépasse à peine la moitié de celle de New-York qu’il veut rencontrer, mais un haut responsable de l’Union africaine.
    « Il ne savait pas à qui il avait à faire! », témoigne un opposant congolais à la manœuvre pendant les deux jours pour tenter d’alarmer les conseillers du président élu.Ces derniers se montrent plutôt réceptifs. Les messages, rapports d’Ong, dossiers sur la torture du sergent Jugal etc. accusent réception. La crédibilité de Sassou-Nguesso sur la scène internationale apparait sévèrement entachée. Il est en plus une figure centrale du « club des présidents à vie » qui prend racine en Afrique centrale. Or en Afrique, après la Libye, le Congo RDC préoccupe les proches de Trump.
    Résultat la visite est annulée à la dernière minute. Mieux encore: l’idée même qu’une visite ait pu être envisagée sort de l’esprit des équipes Trump. Le porte-parole Hope Hicks annonce à Reuters que la rencontre « n’a jamais été programmée ». Voilà Sassou-Nguesso rhabillé pour l’hiver, qui rentre bredouille des Etats-Unis. Quant aux Libyens, les voilà victimes collatérales de la crise congolaise. Il ne leur manquait plus que ça !

  42. VAL DE NANTES , dit :

    Un coup KO ….SASSOU ;;; KO ,L’uppercut trumpien fait très très ;;;;;;mal , le sassouland est traumatisé , L’HOPITAL AMERICAIN va recevoir du monde .

  43. CD JUMEAU dit :

    Alors que les dépêches de Mpila (édition du 27/12/2016) et AYESSA Firmin (un chef terroriste) annonçaient presque simultanément en grande pompe la rencontre TRUMP- SASSOU NGUESSO, le dictateur- usurpateur de Brazzaville qui a fait un long déplacement jusqu’aux États-Unis, a reçu une douche glaciale (trempé jusqu’aux os). Humilié, le dictateur et chef du groupe terroriste OYO- OLLOMBO- OBOUYA serait reparti la queue le long de ses jambes dans son retranchement à Oyo. Depuis, ni les dépêches de Mpila, ni le perroquet Asie Dominique d’OBOUYA et même pas Thierry Zinzin Sassou ne disent mot sur cette « Trumperie ». Ékah boué koua ba bouéni? Kiè kiè kiè

    Merci Madame ou Mademoiselle HOPE (ESPOIR) de nous avoir trempé ce psychopathe! Le peuple Congolais est terrassé par la joie de cette bonne nouvelle en cette fin d’année. Champagne please!!!

  44. Donald Trump le planta cara al feroz dictador africano Sassou-Nguesso dit :

    Lu dans la presse mondiale Hispanique:

    diariolasamericas.com:

    La República del Congo vive un conflicto interno precisamente por los 32 años en que el dictador ha estado en la esfera del poder.(CORTESÍA)
    MIAMI.– En medio de una semana política donde la crisis con Rusia ha ocupado los espacios noticiosos, en Estados Unidos ha pasado prácticamente desapercibido el hecho de que el presidente electo Donald Trump le ha plantado cara a uno de los más tenebrosos dictadores africanos.

    Trump se negó a recibir al ‘presidente’ de la República del Congo, también conocida como Congo-Brazzaville o el viejo Congo francés, Denis Sassou-Nguesso, quien esperaba reunirse el martes con el magnate inmobiliario, en su calidad de “enviado espacial de alto nivel de la Unión Africana para Libia”, según un comunicado distribuido en la capital africana por su oficina de prensa.

    Pero aparentemente, tras indagar sobre el pasado de Sassou-Nguesso, el presidente electo decidió dejar pasar la oportunidad, según la revista francesa Paris Match. De todos modos no está claro si el encuentro estuvo alguna vez en agenda, porque el equipo de transición de Trump ha dicho que no tenían ni idea de que el dictador africano estaba siquiera en Nueva York para ver al presidente electo. “A Nguesso no le quedó otra que regresar de manos vacías a casa porque ni en la Casa Blanca lo han recibido”, puntualizó la revista.

    Todo comenzó el 26 de diciembre, cuando la oficina de prensa del dictador emitió un comunicado en el cual se decía que “el presidente Denis Sassou-Nguesso es esperado el 27 de diciembre en los Estados Unidos donde será recibido, en su calidad de presidente del comité de alto nivel de la Unión Africana sobre la Libia, por el presidente electo de Estados Unidos Donald Trump”.

    Y detallaba: “Las conversaciones entre los presidente Donald Trump y Denis Sassou-Nguesso tienen como objetivo buscar la forma y los medios de salir de la crisis en Libia y, en un sentido más amplio sobre el resto de África y otras cuestiones internacionales”.

    El comunicado estaba firmado por el jefe de despacho del dictador y trascendió fuera de las fronteras del Congo después que el portavoz de la presidencia lo incluyó en uno de sus habituales tuits propagandísticos.

    Denis Sassou-Nguesso, de 73 años, asumió el poder unilateralmente en 1979 y se mantuvo allí hasta el año 1992 cuando fue apartado por un golpe palaciego. Sin embargo, regresó en fuerza cinco años después y desde entonces ha estado al frente de los destinos de la excolonia francesa. Su fortuna está evaluada entre 200 y 400 millones de dólares, pero los observadores del país petrolero consideran que pudiera ser mucho mayor.

    De hecho, en el año 2013 las autoridades judiciales francesas abrieron un proceso contra el dictador africano al detectar que había invertido ilegalmente en Francia 60 millones de dólares en inmuebles. Un año después, el diario británico The Daily Telegraph reveló que Sassou-Nguesso había gastado 1.3 millones de dólares en ropa en tiendas parisinas en un plazo de 10 meses.

    La República del Congo vive un conflicto interno precisamente por los 32 años en que el dictador ha estado en la esfera del poder. Según informes sobre derechos humanos del departamento de Estado y la organización humanitaria Freedom House, las milicias irregulares próximas a Sassou-Nguesso se caracterizan por las atrocidades contra la oposición. Las violaciones son particularmente feroces fuera de las ciudades donde es más difícil el escrutinio de la prensa mundial y organizaciones de derechos humanos. El Gobierno nunca ha podido controlar a los grupos irregulares oposicionistas y es particularmente incisivo contra la población que los respalda.

    Según el portavoz del presidente electo, Hope Hicks, dijo a la agencia Reuters, un encuentro entre los dos jamás fue acordado y no habrá ninguno por el estilo antes de la toma de posesión el 20 de enero.

    Por otro lado, durante la campaña Trump nunca ha manifestado gran interés en África más allá de una mención a la tragedia de los refugiados somalíes durante un mitin en Minnesota. El presidente electo ha conversado con varios jefes de Estado tras las elecciones de noviembre pero el único líder africano ha sido el presidente egipcio, Abdel Fattah al-Sisi.

    Sin embargo, es poco probable que el dictador congoleño tenga alguna vez la posibilidad de ver personalmente al ahora presidente electo. Trump ha nombrado como secretario de Estado a Rex Tillerson, el presidente de la petrolera Exxon/Mobil, quien conoce a Sassou-Nguesso bien y no es de su agrado. Resulta que en la década pasada, la petrolera estadounidense descubrió varis pozos de petróleo en la República del Congo pero al final el dictador decidió conceder su explotación a los franceses.

  45. Donald Trump le planta cara al feroz dictador africano Sassou-Nguesso dit :

    La presse de Miami dit:

    La República del Congo vive un conflicto interno precisamente por los 32 años en que el dictador ha estado en la esfera del poder.

    Traduction:

    La République du Congo vit un conflit interne précisément pour les 32 ans que le dictateur est resté aux sphères du pouvoir.

    Ce que la presse Americaine décrit tout court, la presse française corrompu ne sait le dire.Le monde evoluant, nous allons nous afranchir de cette france terroriste.

  46. Sassou Idiot dit :

    Sassou vient de saisir son procureur de la République OKO NGAKALA pour poursuivre Mr Donald Trump du chef de mépris à l’endroit du criminel d’Oyo Sassou Nguesso.

  47. Lissouba Intelligent dit :

    Eh Zoba ya Sassou. Aucune jridiction congolaise n’est compétente pour connaître de ce différend. Monsieur Donald Trump est domicilié à New York et les faits se sont déroulés aux Etats Unis. Il faut donc se tourner du côté des Etats-Unis. Définitivement, Sassou tu es idiot.

  48. le fils du pays dit :

    A Mr Mingwa,j’avais deja dit ma position sur ce sujet ne jamais compter sur les autres.
    Ce sont les Congolais qui libèreront leur pays qui est entre les griffes de l’empire français pas Trump ou d’autres

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