Le président Donald J. Trump demande des comptes à l’Organisation Mondiale de la Santé

Je n’hésiterai jamais à prendre les mesures nécessaires pour protéger la vie, la santé et la sécurité du peuple américain. Je mettrai toujours le bien-être de l’Amérique au premier plan.

Le président Donald J. Trump

RESPONSABILITÉ DES CONTRIBUABLES AMÉRICAINS : Le président Donald J. Trump tient l’Organisation mondiale de la santé (OMS) responsable en suspendant le financement américain.

  • Le président Trump suspend tous les financements de l’OMS pendant que sa mauvaise gestion de la pandémie de coronavirus fait l’objet d’une enquête.
  • Les contribuables américains fournissent chaque année entre 400 et 500 millions de dollars à l’OMS, mais celle-ci a échoué.
    • La Chine, quant à elle, ne fournit qu’à peu près un dixième du financement fourni par les États-Unis.
  • Le peuple américain mérite mieux de la part de l’OMS, et aucun financement supplémentaire ne sera fourni tant que sa mauvaise gestion, ses dissimulations et ses échecs n’auront pas été examinés.
  • Le président Trump continuera de lutter contre l’épidémie de coronavirus et redirigera l’aide sanitaire mondiale vers d’autres personnes directement engagées dans la lutte.

ENQUÊTE SUR LA RÉPONSE ÉCHEC DE L’OMS : La réponse de l’OMS à l’épidémie de coronavirus a été remplie d’un faux pas et d’une dissimulation après l’autre.

  • Malgré le fait que la Chine ne fournit qu’une petite fraction du financement que les États-Unis accordent, l’OMS a montré un parti pris dangereux envers le gouvernement chinois.
  • L’OMS a répété à plusieurs reprises les affirmations du gouvernement chinois selon lesquelles le coronavirus ne se propageait pas entre les humains, malgré les avertissements des médecins et des responsables de la santé.
    • Taïwan a contacté l’OMS le 31 décembre après avoir vu des rapports de transmission interhumaine du coronavirus, mais l’OMS l’a caché au public.
    • L’OMS a salué la réponse du gouvernement chinois tout au long du mois de janvier et a affirmé qu’il n’y avait pas de transmission interhumaine, malgré le fait que les médecins de Wuhan l’avertissaient.
    • L’OMS a décidé le 22 janvier que le coronavirus ne constituait pas une urgence de santé publique de portée internationale, tout en louant la réponse de la Chine.
  • L’OMS a mis le politiquement correct au-dessus des mesures vitales en s’opposant aux restrictions de voyage.
    • L’OMS a pris la décision désastreuse de s’opposer aux restrictions de voyage en provenance de Chine et d’autres pays – malgré les applaudissements des restrictions de voyage en Chine elle-même – conduisant à une propagation accrue du virus à l’échelle internationale.

QUESTIONS STRUCTURELLES ET RÉFORMES NÉCESSAIRES : L’OMS a des problèmes structurels de longue date qui doivent être résolus avant que l’organisation puisse à nouveau faire confiance.

  • L’OMS a montré qu’elle n’était pas prête à prévenir, détecter et répondre à une crise grave de maladies infectieuses comme celle-ci.
  • L’OMS n’a pas la structure nécessaire pour garantir des informations exactes et un partage transparent des données de ses membres, ce qui la rend vulnérable à la désinformation et à l’influence politique.
  • Les États-Unis cherchent à recentrer l’OMS sur l’accomplissement de ses missions essentielles de préparation, de réponse et de coordination des parties prenantes.
  • Les États-Unis appellent également à des réformes pour promouvoir la transparence et le partage des données, tenir les États membres responsables du respect du Règlement sanitaire international, accroître l’accès aux médicaments et contrer l’influence démesurée de la Chine sur l’organisation.
  • Source :

SOURCE : WHITE HOUSE.GOV

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3 réponses à Le président Donald J. Trump demande des comptes à l’Organisation Mondiale de la Santé

  1. Pambou Mkaya Mvoka dit :

    OMS-Etats Unis-Chine : comment le COVID 19 éclaire l’antagonisme sino-américain

    La réponse de Trump à la Chine de Xi Jinping

    C’est celui qui paie qui doit prendre les décisions et influencer l’OMS. C’est la position de Trump vis à vis de la Chine dont l’influence au sein des organismes des Nations Unies devient plus forte alors que la contribution de la Chine n’est que le dixième de celle des Etats Unis, soit 400 millions de dollars. On peut penser tout de Trump mais il reprend une vérité vieille comme le monde : c’est celui qui paie qui doit donner les directives. La crise du COVID 19 a mis au grand jour les combats pour la suprématie mondiale entre les deux Etats : la Chine veut être hégémonique mais à ses conditions, sans contribuer au financement de cette hégémonie qui dérange de plus en plus les Etats Unis.

    Après Deng Xiao Ping, Jing Zemin et Hu Jintao, différents Présidents élus par le Parti communiste chinois des années 80 aux années 2000, voici Xi Jinping élu en 2012 et qui veut imposer l’hégémonie de la puissance chinoise face aux américains. Trump reproche aux Chinois d’avoir camouflé la réalité de la pandémie du COVID 19 avec la complicité de l’OMS. On est obligé, que l’on aime Trump ou pas, de reconnaître qu’il a été contraint de favoriser le recours à un Etat protecteur à la manière chinoise qui, de façon insidieuse et sournoise, prône la mondialisation tout en protégeant ses frontières de façon administrative. Nous sommes là au cœur d’un débat opposant le consensus de Washington (valorisation de la démocratie, de la propriété, de l’économie de marché, respect des droits de l’homme) défendu par les Américains contre le consensus de Pékin (valorisation du Parti communiste d’État, contrôle systématique des populations par le traçage électronique, non respect des droits de l’homme, recherche de l’efficacité économique quel que soit le coût humain et suppression des libertés individuelles) soutenu par la Chine.

    La plupart des pays africains, souvent francophones, militent avec véhémence pour le consensus de Pékin qui leur donne des droits importants dans le domaine de la contrainte des libertés publiques collectives et individuelles. Depuis quelques années les routes de Pékin, Shanghai et Canton pour les populations africaines en quête d’un avenir différent de celui de leurs pays d’origine, sont ouvertes aux élites et aux dirigeants africains. Les élites africaines émotives vont voir dans la décision de Trump, l’imperium américain. Les réalités économiques et financières sont beaucoup plus subtiles et il faut revenir sur l’adage et bien se l’ancrer dans la tête : c’est celui qui paie qui commande. C’est comme la France avec ses colonies devenues indépendantes. On ne peut avoir le beurre, l’argent du beurre et la fermière avec. Si la Chine veut étendre son hégémonie, il lui reste maintenant à se mettre à table et d’ouvrir son portefeuille pour payer le fonctionnement et les investissements des organisation internationales, dont l’OMS. On ne peut continuer, comme le fait la Chine, à dire qu’on est un pays en développement alors que l’on est déjà une superpuissance, et ne pas payer.

    Que la Chine sorte de la couverture de pays en développement dont elle se drape trop souvent, pour devenir une puissance planétaire reconnue déjà de tous et par tous. Qui veut commander, doit payer. C’est ainsi que va la vie internationale.

  2. Maclintoch dit :

    Cher internautes, ce debat est pertinent et glissant. Il faut connaitre les tenants et les aboutissants avant de se lancer. Tous les grands de ce monde ne sont pas des modeles a suivre. Le desordre que ces puissances font dans le monde pour economiser un dollar sur le prix du baril de petrole, j en doute que l’on pretendre etre des donneurs de lecons alors qu’on est responsable du chaos. « comme le disait Jesus Christ de Nazareth que celui qui n a jamais commis de peche jette la pierre sur marie de magadala repudiee pour prostitution ».

  3. Christian ILUNGA TSHIBANDA dit :

    Comment des personnes aussi responsable de la vie des gens par leur positionnement peuvent être aussi lâches.
    Ce sont des corruptibles, c’est tout ce qu’il faut savoir et des complices conspirateurs de la chine

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