Depuis un certain temps, de plus en plus de voix s’élèvent-à tort ou à raison- pour réclamer la partition de notre cher et beau pays en Congo-Sud et Congo-Nord.
D’emblée, il faut le souligner que cette velléité peut paraître légitime au regard de nombreux textes internationaux qui reconnaissent le « droit des peuples à disposer d’eux-mêmes » ayant pour corollaire le droit à l’autodétermination.
Loin de vouloir porter caution à cette tendance sécessionniste et séparatiste, le but de cet article est juste d’analyser la faisabilité d’un tel projet.
Tous les textes, internationaux et régionaux, affirmant le droit à l’autodétermination ou à la libre disposition des ressources naturelles font référence aux « peuples ». Mais de quel « peuple » s’agit-il ? En dehors des minorités et des autochtones dont les droits sont explicitement reconnus par l’article 27 du Pacte International relatif aux droits civils et politiques, dans tous les autres cas, le terme « peuple » se réfère aux Etats, aux pays ou aux nations.
Il sied de rappeler qu’à l’origine c’est un droit qui était reconnu aux entités opprimées, ou sous domination coloniale. L’affirmation de ces principes a été l’élément déclencheur de la vague des mouvements de décolonisation qui a conduit aux indépendances de plusieurs pays, surtout en Afrique.
Les tenants de la thèse sécessionniste au Congo-Brazzaville prétendent-ils être les porte-voix d’un « peuple » sudiste dont ils veulent séparer avec les nordistes ?
La ligne de démarcation étant fixée au niveau de la rivière Léfini, la République (utopique ?) du Sud-Congo comprendrait donc les régions du Kouilou, du Niari, de la Bouénza, de la Lékoumou, du Pool et une partie des Plateaux. Les populations aussi diverses que variées de ces différentes régions se reconnaissent-elles dans les raisons évoquées pouvant justifier une telle entreprise ? Partagent-elles, dans leur ensemble, cet idéal ? Ou ont-elles mis en place un projet commun de gouvernance du prétendu Etat du Sud-Congo ?
Une analyse impartiale de l’histoire socio-politique récente du Congo, nous emmènerait très vite à émettre des doutes quant à la viabilité et la solidité d’un tel accord entre ces différentes régions aux intérêts asymétriques. Le Kouilou dopé par l’appétit de voir le contrôle de la manne pétrolière enfin lui revenir, voudrait certainement jouer les premiers rôles. L’ensemble NIBOLEK (Niari-Bouénza-Lékoumou) n’est qu’une alliance de façade. Cet ensemble de trois régions crée autour du Professeur Pascal LISSOUBA pour la conquête et la gestion du pouvoir en 1992 n’a pas résisté aux épreuves du temps. Très tôt, il avait volé en éclats avec la dissidence du SUKADO (Sundi-Kamba-Dondo) pour se démarquer de l’hégémonie des Bémbés qui avaient le contrôle du parti et de l’appareil étatique. Cette hégémonie bémbé n’était pas aussi du goût de beaucoup de cadres du Niari. Ceci peut, en partie ou en totalité, expliquer l’éclosion ou la déliquescence de l’UPADS au lendemain de la défaite militaire de 1997. Les tensions entre les communautés composant ces trois régions pour la lutte du pouvoir existent encore et persistent. La création récente d’un nouveau parti (CAP) issu des cendres de l’UPADS en est l’une des conséquences.
L’autre trublion, c’est le Pool. Sur le plan interne, les luttes intestines Lari-Kongo ne sont pas à négliger. Ces dissensions entre les poussins du même poulailler ne sont pas de nature à faciliter l’unité du sud. Sur le plan national, la cohabitation politique entre le Pool et les pays du Niari n’a jamais connu de longues périodes de gloire. Le souvenir des conflits politico-ethniques des années 90 n’est pas encore effacé dans toutes les mémoires. Les velléités hégémoniques et aussi une forte croyance à un prétendu héritage du pouvoir légué par les ancêtres (les deux premiers présidents du Congo étaient issus du Pool) très caractéristique chez beaucoup des populations et cadres de cette région sont aussi à prendre en considération.
Il faudra après tenter de rallier les tékés du pool et des plateaux qui, pour des raisons diverses se sentent beaucoup plus proche du nord.
Au regard de ces considérations, l’unité du Sud demeure un pari risqué. Même au nom de la « kongolité » (sentiment d’être tous des descendants du Royaume Kongo), il serait très difficile de mettre toutes ces régions dans la même coupe.
Le droit à l’autodétermination des peuples peut être admis dans deux situations :
- En cas de difficile cohabitation entre différents groupes ethniques entraînant des menaces contre la paix et la sécurité internationales. Dans ce cas, le Conseil de sécurité de l’ONU peut être amené à intervenir dans les affaires intérieures d’un Etat donné. Le cas le plus récent et patent demeure celui du Soudan où les communautés arabes et noires ne pouvaient cohabiter. La crise du Darfour qui s’en est suivie a fortement menacé la paix et la sécurité internationale tant le conflit avait des répercussions sur les pays voisins. Sous l’arbitrage de la communauté internationale, un référendum fut organisé et la séparation adoptée. Cette hypothèse est loin d’être le cas du Congo. Jusqu’à preuve du contraire, il n’y a à l’heure actuelle aucun conflit ouvertement déclaré entre Sudistes et Nordistes. Pour l’instant, la cohésion sociale-fût-elle de façade, forcée ou contrainte- est palpable : il y a bien les sudistes au nord et inversement les nordistes au sud sans aucun risque de répression ou de représailles.
- Les violations graves et systématiques des droits humains. Force est de constater que de nombreux Etats multiethniques, ne respectent pas leurs obligations en matière des droits humains en général. Ainsi il n’est pas rare d’observer l’accaparement de l’appareil étatique par les membres d’une seule ethnie, d’un clan pratiquant le népotisme ou encore par une oligarchie. La Déclaration et le Programme d’action de Vienne conditionnent en quelque sorte le respect de l’intégrité territoriale d’un Etat au respect « du principe de l’égalité des droits et de l’autodétermination des peuples et, partant d’un gouvernement représentant la totalité de la population appartenant au territoire, sans aucune distinction ». Dans un tel contexte, la sécession devient légitime, voire un droit. Le droit international le prévoit lorsque les peuples sont opprimés par leurs propres Etats : « la seule hypothèse de reconnaissance d’un droit de sécession envisagé par le droit international est celle de la violation flagrante du droit à l’autodétermination interne ». C’est le cas du Bengladesh (ancien Pakistan oriental) devenu indépendant en 1971.
Sur ce deuxième aspect, beaucoup de griefs fondés peuvent être faits à l’actuel pouvoir de Brazzaville. Les immenses richesses exploitées au sud (pétrole, bois, minerais…) ne profitent pas directement à ses populations. La région du Kouilou et la ville de Pointe-Noire, pour ne citer que cet exemple emblématique, demeurent de véritables bourgades : la capitale économique n’a pas d’université, les infrastructures sanitaires (comme d’ailleurs dans tout le pays) sont dans un état piteux, les routes à peine praticables, les écoles mal équipées… Les droits humains sont impunément bafoués, la justice est aux ordres du parti, la presse est bâillonnée : les expulsions récentes de SADIO KANTE et de Elie SMITH, les emprisonnements répétés de plusieurs directeurs de publication avec interdiction de leurs journaux en sont une illustration. Sur ce point le pouvoir de Brazza a vraiment les mains sales.
La Déclaration universelle des droits de l’Homme prévoit en son article 21 la participation de tout un chacun aux affaires publiques : « toute personne a droit de prendre part à la direction des affaires publiques de son pays, soit directement, soit par l’intermédiaire des représentants librement choisis. Toute personne a droit à accéder, dans des conditions d’égalité, aux fonctions publiques de son pays. La volonté du peuple est le fondement de l’autorité des pouvoirs publics, cette volonté doit s’exprimer par des élections honnêtes qui doivent avoir lieu périodiquement, au suffrage universel égal et au vote secret ou en suivant une procédure équivalente assurant la liberté du vote ». En conséquence, les gouvernements doivent représenter l’ensemble de la population, sans distinction de race, de couleur, d’origine ou d’appartenance ethnique.
Il est vraiment dommage de constater qu’au Congo l’accès aux fonctions publiques se fasse, pour la plupart des cas, sur des critères d’appartenance ethnique, politique ou sectaire. Toutes les élections organisées depuis 1997 ne sont que des mascarades.
Si la marginalisation, les violations flagrantes des droits humains les plus élémentaires peuvent être des motifs légitimes pour les sudistes de réclamer la partition du pays, il reste alors de la mettre en œuvre.
Un tel projet, une telle ambition ne peut voir son accomplissement que par voie de référendum. Or après une lecture minutieuse de l’actuelle constitution, il est regrettable de constater qu’aucune disposition ne prévoit l’organisation d’une telle consultation sauf pour l’adoption des lois organiques (cf. article 86, Constitution du 20 Janvier 2002).
Et même si la constitution prévoyait l’organisation du référendum, il serait tout de même peu réaliste de croire que le pouvoir en place (qui viole littéralement et quotidiennement la constitution qu’eux-mêmes ont rédigé) puisse être aussi naïf et imprudent d’autoriser l’organisation d’une telle consultation qui sonnerait, sans doute, la fin de son règne.
En somme, si les partisans de la cause sécessionniste et séparatiste ont de bonnes raisons d’espérer arriver à moyen terme à unir tout le sud pour obtenir la partition du Congo, tout analyste et tout observateur de la politique au Congo conviendrait avec moi que, dans la situation actuelle, les conditions ne s’y prêtent guère. Pour ma part, et très humblement, je proposerai plutôt, si tant il est possible de rassembler toutes ces populations, de former avec cette dynamique une vraie opposition politique unie pour qu’en 2016 qu’il y ait un véritable changement que tout le monde réclame à cor et à cri. Alors qu’est ce qui est plus facile : unir les forces autour d’un projet politique cohérent ? Ou attendre éternellement la concrétisation de la séparation ?
Par Olivier BOUKORO
Diffusé le 24 février 2015, par www.congo-liberty.org
« Il faudra après tenter de rallier les tékés du pool et des plateaux qui, pour des raisons diverses se sentent beaucoup plus proche du nord. » C’est un point à relativiser. Les Bangougoulous sont plus proches des Mbochis donc du Nord alors que les tékés de Lekana sont plus proches des tékés du Pool donc du Sud. Le PSDC de MIERASSA a noué presque toutes ses alliances strategiques avec le MCDDI d’où la nomination de Mierassa a différents gouvernement soutenus par Kolelas alors que DZON Bangougoulou a noué toutes ses alliances stratégiques avec le PCT jusqu’à être Ministre des Finances, ce qui sous Sassou n’est pas rien.
Le congo a connu toutes les alliances possibles et imaginabes:
PCT-MCDDI
PCT-RDPS
UPADS-PCT
UPADS-MCCDI
MCDDI-PSDC
MCDDI-RDPS
A la question de l’auteur « Alors qu’est ce qui est plus facile : unir les forces autour d’un projet politique cohérent ? Ou attendre éternellement la concrétisation de la séparation ? »
La chute de ce papier serait naturellement une alliance stratégique UPADS-MCCDI-RDPS-PSDC.
Le point de vue d’Helios est possible mais il pêche sur point. Le RDD.
Historique l’UPADS est liée au RDD. Ceci remonte à l’alliance Kikounghat-Opangault, alors que Sathoud était lié à Youlou. La victoire post mortem de Kikounghat sur Sathoud a arrimé le Niari au Nord. Cette alliance a été poursuivie sous Lissouba qui a aboutit à la nomination de Yhombi à la primature sans compter les nominations des Obenga et autre Tsomambet. Alliance qui porte également une tare, les bombardements sous Lissouba par Yhombi interposé de Bacongo et Makélékélé. Bombardement non approuvé par ETA ONKA ( Lekana), le CEMG de l’époque qui avait pris conseil auprès de son frère du village NGALIBALI (Lekana). Ce dernier lui avait faire part de son opposition.
(NGALIBALI est en vie. A ceux qui le connaissent de vérifier cette info)
Ainsi donc, dans la configuration UPADS-MCDDI-RDPS-PSDC proposée, quid de l’alliance stratégique UPADS-RDD. Le refus du RDD de changer la constitution ôte à l’UPADS tout argument politique pour promouvoir l’alliance citée plus haut.
LA MATIÈRE GRISE TOTALE ET LA SIGNIFICATION DE L’ESPRIT HUMAIN A L’ÉCHELLE CONGOLAISE EN MODE ISIDORE AYA TONGA… UN NORDISTE OU AKOUA DE MERDE…
Contentieux bailleur locataire: le litige entre le locataire Denis Sassou Nguesso et les copropriétaires ou peuple congolais !
En Afrique noire, les relations entre locataire et bailleur sont-elles structurellement et potentiellement problématiques?
Le peuple souverain est par définition, le bailleur ou le copropriétaire, et le chef de l’état démocratiquement élu (Président légitime) ou non (dictateur ou le tyran) représenterait à fortiori, le locataire.
En d’autres termes, le chef de l’état autoproclamé ou non serait donc le locataire, et le bail s’appellerait la Présidence de la République, le bailleur serait le peuple souverain, et le syndic de copropriétaire: les nations-unies !
Les litiges locatifs sont fréquents entre les propriétaires-bailleurs et les locataires en Afrique noire. Ce qu’il faut savoir sur les procédures judiciaires en matière de bail et les copropriétaires (bailleurs) en Afrique noire.
Selon les clauses du contrat: le bail du locataire Monsieur Denis Sassou Nguesso s’arrêtera exactement le 14 aout 2016 à 14h30
Dans le cadre du contentieux bailleur locataire précité – exigeons au locataire à Monsieur Denis Sassou Nguesso, une attestation sur l’honneur de quitter le bail congolais d’ici le 14 aout 2016 à 14h30 !
1- le peuple souverain congolais a le droit et devoir légitime d’avoir une visibilité concernant l’avenir politique de la nation congolaise.
2- le peuple souverain congolais pose une exigence à Denis Sassou Nguesso: connaitre avant le 6 juin 2015, sa position en regard de la fin de son mandat illégal ou abusif présidentiel prévu au 14 aout 2016 à 14h30.
3- en tout état de cause, le non-respect de cette exigence souveraine signifierait que monsieur Denis Sassou Nguesso est de mauvaise foi et que la nation et le peuple congolais courent un danger imminent vers la somalisation et le chaos au Congo Brazzaville.
4- le non-respect de cette exigence est susceptible d’entrainer un appel national (la résistance intérieure), au boycott des jeux africains de Brazzaville 2015.
5- l’enchainement prévisible et logique de cet appel verrait se dégrader la situation sociopolitique et économique du pays par un climat délétère ou d’agitation populaire et un soulèvement national, orchestré en particulier par les jeunes qui n’ont plus rien à perdre, trop concernés par leur avenir.
Le bail a été scrupuleusement et anti socialement abimé pendant ses 34 ans de location illégale ou confiscatoire d’un bien collectif !
Le bailleur (le peuple souverain) a donc le droit et devoir de mettre hors d’état de nuire, un locataire jugé illégitime et confiscatoire de titre de propriétaire ou de copropriété – sinon, il n’y a plus de droit, de peuple et de société dans la civilisation.
Une période de 3ans de travaux et de mise aux normes structurelles et contractuelles du bail sera nécessaire afin que le bailleur (peuple souverain) puisse préparer dignement et choisir librement son prochain nouveau locataire qui, on le sait, n’aura plus de marge de manœuvre confiscatoire du bien collectif. J’appelle cela, la période de transition politique post dictature Denis Sassou Nguesso !
Publié par Isidore AYA TONGA, Intellectuel, Philosophe et Scientifique environnementaliste !
Il faut une conscientisation progressive des masses populaires .ensuite la création d’un parti démocratique.
La conscientisation pourra produire ses fruits que si, on arrive à instaurer une certaine justice sociale.
Cela veut dire que ceux qui ont amassé des richesses grâce au détournement de la chose publique,
doivent rendre tout ou partie de la chose volée au peuple souverain.
RESTEZ CONNECTÉ AVEC CONGO-LIBERTY.COM, LE SIÈGE DE L’INTELLIGENCE NUMÉRIQUE AUGMENTÉE CONTRE UNE DICTATURE CONGOLAISE AUX ABOIS…….
LA MATIÈRE GRISE TOTALE ET LA SIGNIFICATION DE L’ESPRIT HUMAIN A L’ÉCHELLE CONGOLAISE EN MODE ISIDORE AYA TONGA… UN NORDISTE OU AKOUA DE MERDE…
Recensement général de la population: comment repenser un développement social et économique opérationnel du Congo post dictature Denis Sassou Nguesso?
GESTION DU VIVANT OU DU CITOYEN A L’ÉCHELLE D’UNE ORGANISATION QUELLE QU’ELLE SOIT ÉTAT, ASSOCIATION OU ENTREPRISE AU NOUVEAU CONGO.
2002 à 2050 et plus: les technologies et cartographies de l’information se multiplient (fichiers, empreintes digitales et génétiques, données cognitives et émotionnelles personnelles, profils numériques comportementaux, profils socioéconomiques, sociétaux et environnementaux, bases de données, data-center, géolocalisation, etc).
Une large part de cette information nouvelle doit être accordée aux approches démographiques, ethniques, tribales, communautaires, civiles, citoyennes, politiques, juridiques, économiques, familiales, professionnelles, sociales, cultuelles, culturelles, environnementales, sociétales et civilisationnelles nouvelles sur différentes échelles au Congo post dictature Denis Sassou Nguesso.
PHILOSOPHIE !
Pas de chéquier, ni de carte bancaire et encore moins de relevés de compte – que dalle !!!
Alors, peut-on gérer efficacement et en temps réel ou décalé, son compte bancaire sans tenir ou prendre en compte les outils d’aide aux transactions financières? – pas si sûr !!!
Problème: une organisation quel qu’elle soit état, entreprise ou association peut-elle efficacement fonctionner sans prendre en compte les problématiques: traçabilité, fiabilité et cycle de vie des données entrantes et sortantes?
Un état peut-il planifier et élaborer un management socioéconomique, culturel et sociétal stratégique et opérationnel sur différentes échelles – quand les données biostatistiques de la population sont faussent? Ça ne colle pas !
Le plan d’action de tout gouvernement reste-il une œuvre humaine et donc perfectible? Cela implique t-il la prise en compte de bien d’autres informations au-delà du simple état civil, carte d’identité et passeport informatisée biométrique, et carte électorale des citoyens?
Le recensement général de la population post dictature Sassou Nguesso a pour objectif de doter l’état et ses institutions nouvelles, les administrations et les collectivités locales reformées d’un véritable outil de travail fiable et d’aide à la décision.
Les résultats de ce recensement général concerneront le volume de la population – la répartition – la structure par sexe, âge, tribu ou groupe ethnique – la situation familiale – l’éducation ou l’enseignement, la formation professionnelle – la maitrise des langues, les nationalités – les migrations intérieures et extérieures – les modes de production, de consommation, de transport et de rejet dans l’environnement – les revenus et pouvoir d’achat – l’activité socioéconomique sur différentes échelles: individuelles, locales, rurales, urbaines, régionales et nationales – les conditions de l’habitat et de logement, d’accès aux soins, à l’eau potable et à l’énergie – le cadre de vie urbaine, les pollutions et les nuisances sonores, olfactives et visuelles.
Durée de l’opération: 8 à 12 mois !
Cout de l’opération: 30 à 50 millions de dollars us dont 50% à la charge de l’état congolais et l’autre moitié financé par les différents partenaires économiques du Congo (UE, BM, BAD, etc).
Appel d’offre international !
Cahier de charges: conception, recensement, traitement des données cartographiques et statistiques, et formation des experts congolais et suivi-qualité.
Création ou mise en place de l’agence nationale des données biostatistiques et de ses agences sur différentes échelles locales et régionales.
La maxime « Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme » attribuée à Antoine Laurent Lavoisier, est simplement la reformulation d’une phrase du philosophe grec Anaxagore : « Rien ne naît ni ne périt, mais des choses déjà existantes se combinent, puis se séparent de nouveau ».
Les résultats de ce recensement innoveront surtout avec la mise en place des mécanismes clairs et précis de pilotage, de mise en œuvre et de suivi-évaluation dans l’espace et le temps.
Mots-clés: fichier national, capital humain, liste électorale, administrations, entreprises, fonctionnaires, salariés, sécurité, défense, criminalité, population, sans domicile fixe, PIB/H, IDH, IPH, handicapés, émigration, immigration, natalité, mortalité, espérance de vie, éducation, formation, emploi, chômage, alimentation, agriculture, élevage, eau potable, santé, soins, énergie, transports, infrastructures, ressources naturelles, faunes, flores, environnement, espace et milieux, impacts, risques écologiques majeurs…
Isidore AYA TONGA est un maquisard contre la tyrannie des instincts à l’échelle congolaise (Nord/Sud/Est/Ouest en musique https://www.youtube.com/watch?v=_EYen9gAras
AYA TONGA je te supportais mais depuis un moment tu écris des choses que je ne comprends plus, comme un lunatique. S’il te plait retiens-toi. Il n’est pas ici question de faire de la philo, mais de débattre sur des sujets qui nous sont proposés. Non je ne t’insulte pas, mais fait comme lorsque tu avais commencé. Je me plaisais a te lire.
Merci AYA, pour un de tes admirateurs.
Que préfère le NORD? Que Sassou demeure infiniment au pouvoir bien qu’il soit très mauvais, corrupteur, fraudeur , putschiste, kleptomane et chef de clan.
Que désire le SUD? Un Etat de droit, socialiste et responsable. Les sudistes sont attachés à la démocratie, à l’alternance et a horreur de fraudes.
Un référendum aboutirait à une scission certaine. La haine entre SUD/NORD est bien nourrie par Sassou, le clan et ses valets.
Jamais un putschiste de surcroît récidiviste n’a été loyal!
LE PROPRE DES NÈGRES
Un soi-disant savant arabe, Ibn Khaldoun, a écrit au VIIe siècle que les noirs sont plus proches des animaux que des humains à cause de leur infériorité, mettez-les en esclavage.
Au XIVe siècle, le pape Nicolas V a décrété l’esclavage le 8 janvier 1458 par une bulle papale, romanus pontifex, contre les nègres.
Les noirs ont été mis en esclavage, prient les prophètes des autres, colonisés et néo colonisés depuis 154 ans.
Le jouet préféré des nègres: l’ethnie avec des partis tribalistes et ils sont contents en bons nègres!!!!
Maintenant répondez-moi:
Dites-moi… Pourquoi les noirs sont derniers dans toutes les sociétés auxquelles ils appartiennent (Europe, Amériques du Sud et du Nord)?
Dites-moi… Pourquoi l’Afrique est le dernier continent en terme de développement alors qu’il est sur le papier le continent le plus riche?
Dites-moi… Pourquoi des blancs venus d’Europe ont réussi à construire en Afrique du Sud, Botswana…?
Dites-moi… Pourquoi en Angola Dos Santos s’accroche au pourvoir, Biya au Cameroun, les Bongo au Gabon, Obiang Nguéma en Guinée Équatoriale, Deby Idriss au Tchad, Kabila en RDC, Museveni en Ouganda, Ngassimbé au Togo, Mugabe au Zimbabwe, etc,
Sont-ils tous congolais, tékés, fangs, mbochis, laris, mbémbés, vilis…?
Dites-moi… Pourquoi le PS, l’UMP, l’UDI, le FN ne sont-ils pas des partis tribalistes comme le PCT, MCDDI, UPADS, RDPS…ETC?
Il est normal que les nègres végètent dans la merde. Car, un peuple qui vit, respire et mange l’ethnie à longueur des journées, est un peuple sans objectif ni vision, tourmenté par des futilités….
Pendant ce temps, qui vole ses matières premieres?
Qui lui impose sa monnaie, le franc des colonies françaises d’Afrique?
Qui lui choisit ses dirigeables (dirigeants)?
Finalement, à croire que quand on est nègre c’est fichu!
Niveau de réflexion… Presque zéro… Des femmes et des hommes qui s’éclaircissent la peau, des femmes qui portent des perruques moches dont les cheveux viennent des cadavres d’Inde, Bangladesh, Brésil….
1) La démocratie n’est pas le développement sinon la Chine, la Russie et autres n’avanceront pas.
La démocratie est une question de droit humain et un ingrédient parmi d’autres pour avancer mais pas suffisant.
2) le développement est une question de volonté quand un peuple ne veut plus se soumettre et mendier.
Alors, il s’attache à avoir de l’eau potable et de l’électricité en tout point, de produire et de manger à faim, de soigner correctement ses enfants de tout âge, de s’instruire pour dépendre de personne pour exploiter, transformer et vendre ses richesses naturelle et s’adapter au monde.
DE GRÂCE, SOYEZ À LA HAUTEUR DU DÉFI DE L’HOMME NOIR!!!!
En être arrivé à envisager la partition du pays, un si petit pays de tout juste 4 millions d’âmes c’est désolant. Il ne reste plus qu’à prévoir la construction d’un mur pour séparer les communautés comme en Israel ….. c’est désolant.
Hélas !!! Triste est de constater que le changement tant attendu risque de se faire plus qu’attendre à lire toutes ces notes et articles tribaux dont le seul but est de prendre une revanche sur l’autre sous prétexte qu’il est d’une ethnie différente de la sienne.
On peut être amené à traiter de raciste certains blancs qui peuvent avoir des attitudes ou mots déplacés envers les noirs. Mais chez nous comment appelle t-on cette animosité, voir la haine, qui est exprimée envers les compatriotes qui sont d’une ethnie différente …… le tribalisme.
Le mot peut paraitre plus anodin mais ce n’est en fait que du racisme.
Le congolais dans sa majorité manque cruellement de culture politique. A sa décharge les 34 ans d’abrutissement du « grand homme Sangsue Nguesso ». C’est sur qu’à ce niveau le Congo n’est pas le Burkina.
Et pendant ce temps la machine du Pct tourne à plein régime.
« DEGAGE « « QUITTE LA »
En Europe, il existe des petits pays, et ils sont nombreux comme la Belgique, le Danemark, la Hollande, même l’Angleterre, et j’en passe, tous ces pays font un peu plus de 50.000km2 .
La scission en deux du KONGO n’est pas un problème de superficie. Nous n’avons pas la même vision des choses, on ne peut pas vivre dans un même pays où une partie veut le développement, et l’autre la gabegie, la médiocrité
Il ne faut pas lire en en terme de superficie mais en densité de population:
Danemark : 5 534 738 hab.
Belgique ; 11 203 992 hab.
Hollande : 16 902 103 hab.
Angleterre : 63 181 775 hab.
Congo : 4 716 473 hab. /2 = 2 358 236 Hab.
le Gabon fait combien en termes de population?. Donc, la taille de la superficie ou le nombre de personnes habitant une quelconque surface ne posent aucun problème. Au Congo, les populations sont réputées travailleur et déteste la médiocrité. De cette façon, vous verrez des maçons, des menuisiers, des forgerons, des agriculteurs, des cadres, des ingénieurs, des techniciens et j’en passe. Et d’ailleurs les ouvriers qui participent à la construction des diverses infrastructures du pays sont en majorité du Sud. Et je n’en, dirais pas autant pour nos frères du nord. Il paraîtrait que eux sont destinés à commander, je trouve cela absurde. C’est vrai que les populations venant de la partie Sud du Congo et celle venant de la partie nord du pays n’ont pas la même conception sur la manière de diriger un pays. Les gars du Sud savent très bien faire la différence dans la gestion de la chose publique. En résumé, les frères du Nord aiment trop l’argent facile sans effort de travail. Et la conséquence, c’est la corruption généralisée à tous les niveaux de la société.
Donc, la scission du pays peut -être une solution pour les deux parties du pays.
Lire: Au Congo le populations du Sud sont réputées…….
Sassou doit partir