Entre repentance et réveil, les généraux congolais n’ont pas dit leur dernier mot !
Le 29 avril dernier, quelques rares témoins, incrédules, ont assisté à un bien curieux pèlerinage dans l’Eglise de Madibou département du Pool. C’était quelques jours avant la commémoration du 46ème anniversaire de la disparition du premier président de la République du Congo, l’Abbé Fulbert Youlou, le 5 mai 1972 à Madrid en Espagne. Après avoir garé son imposant 4×4 non-loin de l’entrée, suivi d’un seul garde du corps en civil et sans arme, comme lui, le Général Nianga Bouala s’est lentement avancé jusqu’au devant du chœur de l’Eglise où, plein d’une très digne dévotion, il a longuement prié. Il s’est ensuite fait accompagner, par un prêtre, pour se rendre dans la concession de la famille Youlou, à 500 mètres de là, où il a pu se recueillir sur la tombe de l’illustre défunt.
Quel incroyable périple pour celui qui, cousin de l’usurpateur, l’a longtemps protégé par ses armes, ses hommes et même des mercenaires ! Ultime provocation à l’égard d’un Jean Dominique Okemba, autre parent dévoré d’ambition dans la succession à la tête du gang mafieux familial ? Sans aucun doute ! On pourrait également ajouter Denis Sassou Nguesso qu’il a voulu également narguer en rendant hommage au président qui avait prophétisé que le Congo sera dirigé par des fous ; nous y sommes pourtant et cela s’apparente, plus que jamais, à un naufrage collectif.
L’actualité congolaise suit un subtil scénario d’un règlement de comptes lent et implacable, digne d’un western italien. Longtemps et méticuleusement le drame se met en place et puis un quart d’heure, vingt minutes avant la fin, tout le monde sort les flingues et allègrement se tire dessus…
Nous nous approchons du dramatique épilogue de ces dernières minutes. La tension est plus que palpable et le suspens d’une intensité à couper au couteau. Nianga Bouala, savait-il déjà que son parent l’usurpateur avait déjà donné son feu vert pour son arrestation après une convocation à la DGST, que l’on sait maintenant, fixée le 11 mai prochain ? Jean Dominique Okemba peut se réjouir de son plan qui apparemment marche à merveille, mais tout pourrait aussi capoter. Il pourra toujours alors, pense-t-il, profiter de son exil doré qu’il s’est bâti en Suisse, avec sa petite famille riche maintenant à centaines de millions d’euros !
Encore faudrait-il que tout ne s’emballe point à la Cour criminelle devant laquelle le Général Jean Marie Michel Mokoko a été déféré….
Rien n’est moins sûr ! Après la déconvenue, au deuxième jour de procès, le 8 mai, de l’insignifiant Colonel Elie Atipo de la DGST, le 9 mai, le Chef d’Etat Major Général, Blanchard Guy Okoï s’est présenté à la barre pour témoigner au sujet des prétendues armes de guerre découvertes chez le Général Jean Marie Michel Mokoko, son homologue de formation à Saint-Cyr.
Évidemment, ne voulant point se compromettre dans les dérives affligeantes dans lesquelles sombre le procès, le Général Blanchard Guy Okoï a révélé, sans ambigüité aucune, que toutes les armes de dotation mises à la disposition de la garde du Général Jean Marie Michel Mokoko lui ont été remises selon les procédures et les règles en vigueur. A ce titre il a tenu a salué l’exemplarité de Jean Marie Mokoko en la circonstance.
S’agissant des armes présentées sous scellés, Blanchard Okoï a nié leur provenance et toute responsabilité.
Le Général Jean Marie Michel Mokoko a déclaré, quant à lui, ne rien savoir de la provenance de ces armes.
Les fervents théoriciens du complot permanent contre le pouvoir usurpé par Denis Sassou Nguesso n’ont plus d’autre choix que de pousser de nouveaux faux-témoins à la barre, à défaut qu’Elie Atipo ne se représente devant la Cour afin de déverser plus encore de mensonges.
Grâce au Général Blanchard Okoï, le chef d’inculpation »détention des armes de guerre » est tombé. Les mêmes théoriciens cupides, n’ont plus qu’à faire inculper le Chef d’Etat Major Général Okoï pour faux témoignage visant à favoriser son camarade saint-cyrien. A se tirer une balle dans le pied autant qu’elle soit d’un gros calibre.
Il serait grand temps que nos militaires, généraux de surcroît, cessent de se faire intimider par de minuscules parasites tels que les Oko Ngakala et Jean Dominique Okemba. Que l’armée congolaise retrouve la face et la dignité qu’elle a perdues.
Une chose est absolument sûre : le Général Jean Marie Michel Mokoko, par sa ténacité, par la force de son caractère et de ses convictions, que deux années de dure prison n’ont pas ébranlées, mérite l’admiration et le respect des Congolais.
Rigobert OSSEBI
Diffusé le 10 mai 2018 , par www.congo-liberty.org
Le chef d’État major Okoi à sauver ce qui reste encore dans l’armée ce qu’on appelle la loyauté et droiture; c’est finalement un montage de la police; Okemba, Ndenguet, Atipot risquent de payer le prix fort; ce qu’ils ignorent naïvement c’est que le monde entier les regarde; mensonge et ruse voilà les pratiques de Satan et du diable; pris la main dans le sac. Tous méritent la prison à vie.
IMMUNITÉ JURIDICTIONNELLE DE J3M MOKOKO SANS VALEUR ET D’AILLEURS D’AUTRES DISSIDENTS ET POURQUOI ?
LE PEUPLE BANTOU CONGOLAIS N’EST-IL APPARU ET N’A T-IL EXISTÉ QUE PENDANT LA DICTATURE DE SASSOU ET DES NGUESSO?
IMMUNITÉ JURIDICTIONNELLE DE J3M MOKOKO SANS VALEUR ET D’AILLEURS D’AUTRES DISSIDENTS ET POURQUOI ?
Le préalable pour l’immunité juridictionnelle reste la servitude volontaire ou involontaire à la dictature de Sassou et des Nguessos. A défaut et dans 99,97% de cas, l’immunité juridictionnelle des dissidents, résistants, adversaires et concurrents à la dictature de Sassou et des Nguessos n’a aucune valeur juridique. Par conséquent, les situations juridictionnelles d’Okombi Salissa, de Jean Marie Michel Mokoko et de bien d’autres, viennent des cas d’école pendant cette dictature (Isidore AYA TONGA). https://www.youtube.com/watch?v=RYc48AlPt28&feature=youtu.be
Sans contredire les propos de Aloula, je pense qu’après le témoignage de Okoi, si réellement OBa Christian était un magistrat qui dit le droit au nom du peuple congolais et non comme il le fait comme tout Mbochi de la zone Ollombo, Oyo, Tchicapicka, Obouya, il aurait à ce moment posé la question au soi-disant expert colonel Atipo si la perquisition qu’il avait fait était en présence du Général Mokoko. Car, si les premières perquisitions n’avaient rien donné en présence de Mokoko, alors dans ces conditions Atipo et ses commanditaires sont donc responsable du fameux coup d’état et non Mokoko comme ils nous font croire.
Quand l’.excès de la médiocrité tribale commence à manger les membres de la même contrée…
C.est desolant ..
Ce spectacle du plein Sassou ,désoriente ceux là qui encensaient ce pouvoir pour des raisons purement ethniques .A croire que ,l’ethnie est supérieure à la nation …
OBUMITRI APPLIQUÉE PENDANT LE PROCÈS DU POUVOIR MBOCHI CONTRE LA TRIBU MAKOUA ET LE PEUPLE CONGOLAIS – C’EST CE QUE RETIENDRA L’HISTOIRE DU CONGO ET DES CONSÉQUENCES A VENIR CONTRE LE CLAN MBOCHI DU TYRAN.
OBUMITRI = OLIGARCHIE BUREAUCRATICO-MILITARO-TRIBALISTE = LE POUVOIR N’EST PAS DU COTE DU GOUVERNEMENT, NI DU PEUPLE D’AILLEURS, LE POUVOIR N’EST PLUTOT QUE DU COTE D’OFFICINES POLITIQUES ET ECONOMIQUES FAMILIALES ET CLANIQUES TRIBALES 100% MBOCHIS.
OBUMITRI = UNE POIGNÉE D’INDIVIDUS AUTOUR DU DICTATEUR SASSOU NGUESSO GÉRANT LES RESSOURCES DU CONGO COMME LEUR PATRIMOINE PERSONNEL, AU NOM DE LEUR TRIBU MBOCHI, EN COMPLICITE AVEC LES PUISSANCES ETRANGERES.
L’OBUMITRI APPLIQUÉE PENDANT LA DICTATURE DE SASSOU ET DES NGUESSOS ET DE LA TRIBU MBOCHI : QUELLES CONSÉQUENCES MILITAIRES ET INSURRECTIONNELLES CONTRE LA DICTATURE?
OBUMITRI APPLIQUEE = 75% DES POSTES RESONSABILITES CIVILES, POLITIQUES, ECONOMIQUES ET MILITAIRES DU PAYS CONCENTRES DANS LA TRIBU MBOCHI = FORCES ARMÉES CLANIQUES = HAUTS COMMANDEMENTS DES ARMEES, DE LA POLICE, DE LA GENDARMERIE, DE RENSEIGNEMENTS INTERIEURS ET EXTERIEURS TOUS CONCENTRES AUX MAINS D’UNE MEME TRIBU MBOCHI = DÉSARMEMENT DES ARMÉES AU PROFIT DES MERCENAIRES CLANIQUES ET ÉTRANGERS = GUERRE DU POOL = TERRORISME D’ETAT = INCURSION DES ARMÉES ANGOLAISES A KIMONGO EN 2013 ET HUMILIATION DES ARMÉES CONGOLAISES = BLOCAGE DE L’INSURRECTION MILITAIRE = 75% D’OFFICIERS SUPÉRIEURS AUXILIAIRES DE LA TYRANNIE ET AUX ORDRES DE LEUR CHEF DE TRIBU MBOCHI DICTATEUR SASSOU NGUESSO ET DE SA FRANCAFRIQUE CONTRE LE PEUPLE ET L’ETAT CONGOLAIS.
EN CONCLUSION : TROP D’OBUMITRI TUE L’OBUMITRI, TROP D’OBUMITRI TUE LE PEUPLE ET L’ETAT CONGOLAIS. EXPLICATIONS EN PHOTOS ET IMAGES: http://congo-objectif2050.over-blog.com/2018/05/comprendre-la-notion-de-l-obumitri-pendant-la-dictature-de-sassou-et-des-mbochis.html
moi aussi j’étais présent quand nianga mbouala débarquait dans l’église!
Le Congo ,dans son immense majorité ,se doit de faire confiance à ces fils et filles capables de relever sans à priori tribal ,les défis de la misère sociale …
Voilà ,cher Nianga ,quand l’intelligence prend le dessus sur la sottise ..
Lorsqu’on sert les buts criminels inavoués de quelqu’un dont on sait le passé criminel ,Nianga Bouala nous doit cette vérité historique ,d’innocenter les personnes tuées sous la férule tribale de Sassou…
Ce geste peut en appeler d’autres ,et le peuple reconnaîtra ses enfants repentis….
Le bilan de plus de 35 ans de pouvoir cynique ,c’est la barbarie Sassou .Alors que ,sous d’autres cieux ,on parle des prototypes des véhicules made in africains …
Certains pays africains ayant un potentiel économique très faible ,s’essaient à la construction des véhicules ,des machines agricoles ,des drones etc pour diversifier leurs potentialités économiques.
Au Congo de Sassou ,on nous ressasse des proces bidons et douteux .Toute la carrière politique de Sassou a été marquée par les violences …
A la fin, c’est Youlou et Opango qui avaient vu juste a propos de l’avenir du Congo.
1. Le premier prédit que, par leur naïveté, les congolais seront dirigés par des fous:
2. Le deuxième dit à son ami Kikounga Ngo que tant que le garçon à la coiffe du diable sera au pouvoir, le Congo ne sera jamais en paix.
Comme Jesus prophétisa que c’est Pierre qui bâtira son église que rien ne pourra détruire, les deux pères du Congo ont su prédire le Congo d’aujourd’hui avec justesse. Nous vivons leur prophétie.
Quand Je vois les congolais rire à propos de Nianga Mbouala qui va prier sur la tombe de Youlou, Je me dis qu’ils n’ont rien compris au Congo. C’est là où Sassou nique tout le monde. Il voit et applique ce que tout le monde refuse de voir. Son passage comme premier flick du Congo l’a exposé à beaucoup de secrets qui sous-tendent le fonctionnement de ce pays.
Bref, l’affaire Mokoko n’est que la confirmation de ce qu’avait vu Opango. C’est la guerre permanente dans ce pays. Tout obstacle venant du Nord ou du sud sera écarté au nom du pouvoir.