La disparition du Colonel Thomas Mayinda Bakala n’est pas anecdotique. Elle aurait pu être simplement naturelle ou même accidentelle, mais cela ne fut pas vraiment le cas. Ce natif de Mouyondzi, qui s’est éteint le 1er juillet 2017, était le Directeur des Renseignements Généraux de la police politique de Denis Sassou Nguesso.
Formé par le Général Emmanuel Ngouélendélé, lorsqu’il était à la tête de la Sécurité d’Etat, Thomas Bakala est vite devenu le fidèle et indéfectible second de Pierre Oba dans toutes les fonctions policières qu’il avait occupées. La proximité entre les deux hommes était étroite et permanente. Thomas Bakala était resté dans la Police lorsque Pierre Oba rejoignit les Mines. L’officier babembé au service de Sassou Nguesso acquit rapidement la réputation de ne reculer devant rien. Très proche, malgré tout, de Jean-François Ndenguet, il était craint et reconnu comme un grand tortionnaire par ses collègues policiers.
Son entourage déplore qu’il n’ait bénéficié d’une évacuation sanitaire d’urgence en France, normalement due aux cadres de son rang et plus encore au regard des services rendus. Il était un des piliers du système inique qui tyrannise le Congo ; ironie du sort, il fut condamné à subir au CHU de Brazzaville le manque d’équipements et les mauvais traitements dont souffrent depuis toujours tous les Congolais.
En se levant de la table où il avait pris son dernier repas Thomas Bakala regretta aussitôt d’y être « venu manger ». Empoisonnement, AVC diagnostiqué au CHU sans aucun matériel valable ou conséquence d’une longue maladie ? Finalement peu importent les circonstances et la cause réelle de son décès. Il faut simplement remarquer que sa mort arrange beaucoup de monde et qu’ils sont nombreux à espérer qu’il aura emporté dans sa tombe tous ses secrets.
Dans les heures incertaines que le Congo vit actuellement, il est difficile de ne pas croire que la disparition du Directeur des Renseignements Généraux de la police politique corresponde à un nettoyage de précaution dans l’hypothèse, très probable et prochaine, de la chute de l’empire Nguesso. Du début des années 80 à nos jours, il est peu de secret dont Thomas Bakala n’ait eu connaissance. Ses services pourvoyaient aussi de très jeunes filles à des diplomates en poste à Brazzaville ou de très jeunes garçons à des pédophiles occidentaux et amis du tyran , dont un, encore très actif auprès de l’ogre de Mpila. C’est un acteur et témoin gênant qui vient de tirer sa révérence.
Thomas Bakala, faisait partie du premier cercle autour de la famille, un étranger par rapport à cette dernière. Les prochaines victimes seront bientôt au cœur de la cible. Au cœur du clan.
Olivier Mouébara
Diffusé le 3 juillet 2017, par www.congo-liberty.org
OUI @OLIVIER ,d’après mes jolies infos .Un calendrier programmatique a été établi , pour liquider tranquillous , des voyeurs génants des crimes NGUESSOINS … ;;;
ici , à BRAZZA , c’est le départ des grands vacan- décès ;;;;;;;;NTSOUROU BAKALA , BOULA NIANGA qui tarde à composter son ticket de péage ;;;;;.IL Y A DU MONDE , pour ces grands vacan -décès ;;;;
Paix à son âme à ce colonel. Mais n’oublions pas que ce type a participé au génocide des Congolais.avec le clan au pouvoir. Maintenant si Sassou se débarrasse des témoins gênant
pourquoi se plaindre. Tous ces courtisans sont volontaire et ils savent très bien pour qui ils travaillent.
A tous et à toutes, Vive l’analyse du Congo par le réseau !
Nous y sommes. Le réseau est une configuration spécifique qui permet d’expliquer des relations cachées alors que les comportements des acteurs sont explicites. Comme je vous l’ai toujours dit, dans le réseau il y a des nœuds, des trajectoires et au centre se trouve un trou structural dans lequel sont aspirés tous les acteurs du réseau qui peuvent ressortir du trou et réoccuper leur fonction ou disparaitre.
Je ne connais pas le Colonel Bakala, condoléances à sa famille. Je constate simplement que le réseau est un outil puissant pour expliquer des relations qui peuvent être simples mais qui, des r et des trajectoires, peuvent être plus complexes. Comment expliquer que Okombi, Mokoko et aujourd’hui Bakala ne sachent pas où se trouvent leurs places dans le réseau ? C’est parce qu’ils y entrent sans réflexion, sans analyse, au seul bénéfice des privilèges et de la reconnaissance.
Le réseau est un puissant outil pour expliquer les contradictions des uns et des autres. Bakala est mort mais qui l’a assassiné ? certains diront, comme c’est souvent le cas ici, que c’est Sassou avec l’assiette roumaine. Où sont les preuves ? Sur quels critères s’appuient pour le dire ceux qui contestent Sassou ? Je ne suis pas le défenseur de Sassou, mais mon outil analytique du réseau commence à devenir performant car il montre la difficulté à désigner le fonctionnement compliqué et réel du réseau. Il ne faut pas désespérer du réseau car il recèle des tas de trésors fondés sur la rationalité.
Pauvre Congo, triste Congo. Ainsi va le Congo. Les Congolais s’aiment-ils réellement entre eux ? C’est une question à laquelle le réseau ne peut répondre. Méditez.
Et , vint la question qui fâche ;;;
Alors nos cousins mbembés , ON FAIT QOUI ?????.
Comment un pays de 4 millions d’habitants peut se faire bouffer ou affamer et anéantir par une poignée de villageois ignares ?
Congolais idiots !
Question toute bête :
Ou sera-t-il enterré ce tortionnaire?
À Oyo chez lui (sa vraie terre d’adaption)?
À Mouyondzi où il fut né par accident de la nature ?
Ou à Mpila là où sont son coeur et ses biens?
IL sera edoufié , le cimentière des sacrifiés de l ‘oyocratie ;;;;
La disparition du Colonel zéiéThomas Mayinda Bakala doit inspiré plus d’une personne pro ou contre Sassou Nguesso et son régime assassin.
les Congolais doivent accuser l’Onu et la France de non-assistance de peuple en danger.
„Depuis plus d’une année le dictateur, génocidaire Sassou-Nguesso massacre son propre peuple dans le Pool, et la communauté internationale laisse le fou dictateur se livrer librement au génocide des Lari -Bakongo. L’urgence au Congo Brazzaville c’est la cessation du génocide en cours dans le Pool, c’est la cessation de climat de terreur au Congo, c’est la libération de tous les prisonniers politiques et d’opinion qui croupissent encore dans les prisons publics et privés entretenues par le tyran et sa clique.
Depuis que Sassou Nguesso a changé illégalement la constution qui été suivi par le hold-up électoral commis lors de la dernière présidentielle, il a un climat de terreur s’est intallé au Congo.Les manifestants ont été massacrés par l’armée et police tribales avec les armes de guerre lors du référendum et de l’élection présidentielle. Les opposants politiques croupissent dans les prisons sans jugement. Des nombreux jeunes appartenant à la tribu Lai-Bacongo du Pool sont rafflés. Des nombreux témoignages faisant état de torture, d’injection des produits non identifiés dans les corps des personnes arrêtées à la DST existent. Pour quelles raisons ces violations, ces exécutions extra-judiciaires, ces actes de torture ou ces crimes contre l’humanité ; n’inquiètent ni l’Onu, ni la France de Macron, ni l’UE? Et, nous sommes frappés par le silence de la France qui donne les leçons des droits de l’homme et de démocratie au monde entier. Pourquoi le génocide en cours dans le Pool auquel le tyran se livre pour la deuxième fois pendant plus d’une année ainsi que la modification unilatérale de la constitution, ni le hold-up électoral, ni les arrestations des opposants politiques et d’opinion, ne semble inquiéter l’Onu et la France, le monde civilisé?
On laisse tranquillement Sassou Nguesso, le président illégitime, illégal, criminel, génocidaire organiser les élections de façade pour donner une apparence démocratique à un pays en ruine, qui s’écroule sous la gouvernance du seul timonier africain. Ainsi, ils espèrent séduire les bailleurs de fonds pour qu’ils leur prêtent de l‘argent qu’ils dilapideront à la première occasion pour des futilités.
Aucune catastrophe naturelle, ni sécheresse, ni inondation, ni invasion des criquets, mais pourtant la famine sévit désormais dans le Pool et dans le Congo.
Un audit réalisé par un cabinet privé congolais a rélevé récemment de nombreux dysfonctionnements au sein du Centre hospitalier et universitaire (CHU) de Brazzaville.
Voilà le bilan criminel de la gouvernance Sassou Nguesso que nous devons abréger le plus tôt possible. Pourquoi la France, l’ONU veulent que Sassou Nguesso connu par ses mépris de droits de l’homme, par des nombreux crimes, génocides, par la grande malgouvernance, des actions terroristes continue à diriger le Congo?
En mars-1977 s’ était déjà signalé comme initiateur de saison de folie meurtriere au-congo.(Mwinda.org)
L’Etat s’était subitement pour la première fois transformé en une immense machine à terroriser, à réprimer, à tuer. Sassou-Nguesso était en ce temps premier vice-président chargé de la défense. Des deux, le plus puissant est clairement le premier vice président qui, tenant sous sa coupe l’appareil sécuritaire du pays, fait arrêter des dizaines de personnes avant même la création du CMP.“
Après être revenu au pouvoir par un coup d’état très sanglant en 1997qui avait devasté la ville de Brazzaville et autres localités. Après la première épuration éthnique dans le Pool, ainsi que le massacre ses disparus du Pool; et après avoir massacré les populations congolaises, les manifestants le 20 octobre 2015, le dictateur génocidaire Sassou-Nguesso dont le régime use du terrorisme d’état pour embastiller et torturer ses opposants ainsi que nombreux, le voici de nouveau dans le génocide du Pool et accuser à tord et à travers Ntoumi d’être à l’origine de la crise, guerre du Pool.le peuple congolais notamment celui du Pool meurt sous le joug du corrupteur international.L’ONU, le monde soit disant civilisé s’enferme dans le silence complice à cause de l’
achat des esprits faibles par Sassou Nguesso et clique. Devant l’ampleur de la crise humanitaire, de la crise énomique et sociale qui ne cessent de s’enliser,les Congolais ne doivent plus attendre. Ils doivent se mobiliser sans retard pour la chute du tyran Sassou Nguesso auteur de la terreur, du terrorisme d’Etat dans le Pool et dans tout le Congo. Sassou Nguesso et son régime sont le mal du Congo.
Personne ne peut échapper à son karma…Que cela serve de leçon à tous ceux qui veulent toujours s’abreuver dans la tasse au Ntsui-téké, du sang converti en argent de Sassou.
Le fait de ne pas avoir bénéficié du tourisme médical européen ou marocain REX se savait condamné .Ce refus équivalait à une mort programmée .Le témoignage d ‘ELIE prouve à suffisance que BAKALA n’en finissait plus de tuer à regrets .
Vous lui auriez offert une ambassade , il aurait accepté , à l’instar de MOUKALA TSOUMOU ce colonel , devenu préfet de la LEKOUMOU …SI je ne m’abuse ;;;DEMAIN IL SERA nommé député ;;
MALIN , ce BAYAKA , DE MOUKALA . LE FUYARD ……. à moins que SASSOU SE RAPPELLE à son bon souvenir ;;; ;;;
KEBA , MOUK …..tu en sais des choses ;;;;;
Sa famille aurait dû lui dire » Quitte au plus vite cette conspiration maffieuse qui asservit et opprime le peuple souverain ».
Il est mort en bon serf zélé de Sassou et clan ! Le peuple doit jubiler !!
En réponse à Val de Nantes
Sur la question posée à tes cousins Babembés : « Et maintenant on fait quoi ? »
Cher frère de lutte Val de Nantes
Qui t’a dit que Thomas AKALA AYINDA était babembé ?
Si ta question avait pour vocation de susciter une compassion des Babembés et un sursaut de vengeance, tu as tapé à côté.
On n’est pas Babembé parce qu’on est né dans un village avoisinant Mouyondzy de parents Babembés.
On est pas Babembé parce qu’on a grandi dans un village Babembé ou qu’on passait toutes les vacances de son enfance à Mouyondzy.
On est pas Babembé parce qu’on sait parler la langue Babembé.
ON EST BABEMBE PARCE QU’ON PARTAGE DES VALEURS ETHNIQUES PROPRES A LA COMMUNAUTE BABEMBE.
ON EST BABEMBE PARCE QU’ON FAIT PARTIE DU CERCLE COSMIQUE ETHNO-SPIRITUEL LIANT TOUS LES BABEMBES LES UNS AUX AUTRES.
De ce cercle sont exclus tous les traitres et toutes les personnes ne respectant pas les valeurs communes.
De ce fait Thomas AKALA AYINDA n’était plus Babembé depuis longtemps pour avoir hautement trahi les Babembés. Tout comme un certain défunt MIKOLO dont la fille Lydia MIKOLO actuel ministre de SATAN NGUESSOT récolte les fruits de la trahison de son père.
En 1997-1999 après le coup d’état sanglant de SATAN NGUESSOT, les troupes mercenaires Angolaises envoyées par le tyran d’Oyo pour mater les Babembés n’arrivaient pas à entrer dans Mouyondzy.
Toute la population Babembé très soudée autour de ses valeurs claniques et spirituelles, résistait aux envahisseurs Angolais qui subissaient des pertes monumentales. (Plus de 2000 mercenaires Angolais sont morts dans la Bouenza).
Pendant que Cobras de SASSOU et mercenaires Angolais étaient en pleine débandade, il fallut que Thomas AKALA AYINDA trahisse les Babembés en donnant des informations aux ennemis grâce auxquelles ils purent enfin entrer dans Mouyondzy où ils perpétrèrent de nombreux assassinats.
Dans la foulée ce sanguinaire d’AKALA fut l’un de ceux qui égorgèrent dans une chambre d’hôtel à Brazzaville, Mme MAMONI une vaillante Babembé qui veillait à la survie des siens.
Tous ces faits de ce traitre et bien d’autres de ses actes crapuleux et ignobles, sont connus par les Babembés qui du reste l’attendaient toujours au tournant (le jour au le 6 deviendra 9), hélas il s’en est allé avant, lâchement comme il a vécu.
Qu’on l’enterre à Mouyondzy (ce qui est invraisemblable) et tous les Babembés iront DÉFÉQUER en chantant et en dansant sur sa tombe.
AKALA AYINDA n’était pas un BAKALA c’est à dire un HOMME. Plutôt un LACHE, TRAITRE et CRIMINEL.
AKALA AYINDA n’était pas Babembé. Qu’il emporte sa bourse et ses secrets de JUDAS.
Cher Val de Nantes, « On fait quoi maintenant ? »
Comme on est pas riche et qu’on a pas le champagne, on trinque à la bière.
Tchin – tchin !
La palme de l’humour revient à Mbello-Nkosso, quel talent comique sur fond de dérision? tout de même paix à l’âme du Colonel Bakala
OK @ MBELO KOSSO , si j’ai bien compris ,ces vermines sudistes au s service zélé des NGUESSO , voient leurs noms s’oyotiser ;;;;;;C ‘est le prix de la traitrise .
La boule de terre restera et nous passerons pour le bien ou soit le mal au jugement. Vanité de vanité.
Notre corps est terre et poussière .
@MBELLO KOSSO TCHIN …TCHIN , la jolie réponse eût été que les COCOYES rejoignirent NTUMI dans son maquis ;;N’est ce pas ??????;
L’oyotisation des patronymes suffit elle à expliquer la posture attentiste de nos cousins germains BEMBES ,,,,????
Je pense qu’une petite cocoyitisation du conflit aurait de l’allure ;;;;.Donc , mon frère , cette terrible lancinante question revient comme un serpent de mer ;;;;;
Alors ; les BEMBES COUSINS GERMAINS DES POOLISTES , ON FAIT QOUI ,,,,?????
Je te rappelle mon frère MBELLO KOSSO , que cette question est d’ordre national , tant qu’il y aura des morts politiques à caractère tribal ;;;;;;.
Je ne sais pas si ce que je vais écrire fera que vous m’insultiez, mais les sudistes Kongo, je pense que vous commettez une faute en disant ou en écrivant : les babembés, il n’était plus babembé, etc…En Kongo ba = les ; alors quand vous dite les : babembés cela revient à : les les bembés. En principe on devrait dire: les bembés au pluriel en français et le bembé au singulier qui devrait se dire mu bembe. En fait, c’est le m avant be qui donne la sonorité du son é. Et en plus au sud Congo nous parlons en terme de clans, c’est donc le clan bembe qui s’ écrit sans accent. En principe il n’ya pas d’accent dans la langue kongo. Là aussi la colonisation nous a bousillé !
@L’Indigné
merci pour cette mise au point. Au pays du KITUBA, tout est à l’envers. Mais on construira de nouveau. Tel est la vocation de l’homme.
Le réseau, celui auquel fait allusion un de nos analystes, ressemble, à s’y méprendre au système personnellement défini par moi-même, celui du Centre et la Périphérie.
Plus proche on est du Centre, plus on bénéficie de la mansuétude de l’état. Et plus loin on en est, moins on en bénéficie. Comme, de toute évidence, personne ne veut de la périphérie, du moins ne s’en contente, ils se bousculent tous au Centre.
Vous comprendrez donc aisément qu’au delà de la périphérie c’est la cata…
L’analyse par le réseau ne peut être objectif au stade actuel des choses…; nous devons simplement nous atteler à trouver des parades efficientes aux nombreux problèmes auxquels nous sommes tous confrontés au quotidien. Pour ce faire, il faille bousculer les situations ankylosées;; apprendre à faire sauter les verrous de toute sorte, qui entravent le moindre avancement.
Le stade de l’analyse du réseau me semble dépassé car l’heure est à la recherche de solutions et non à l’analyse des faits que suggère le fameux réseau…; sachant d’emblée qu’il n’y a pas de problème insoluble.
A GDK
La présentation centre-périphérie de GDK est une forme d’analyse d’un réseau spécifique entre un centre dominant et une périphérie dominée. Ces analyses ont été utilisées par les géographes pour décrire la relation entre les campagnes et la ville. En sciences sociales, Marx, Immanuel, Wallerstein ont utilisé la notion centre-périphérie pour expliquer les conditions de domination de la périphérie par le centre.
Le réseau que j’utilise est entropique alors que l’analyse que retient GDK est exotropique car il y a des liens entre le centre dominant et la périphérie dominée. Dans l’analyse du réseau du pays Congo, le diagnostic et des solutions se trouvent à l’intérieur du réseau. Bien entendu, à tout problème il faut une solution. Dans l’analyse réseautale que je propose, soit on procède de façon démocratique car les acteurs dans le nouveau réseau à construire appartiennent forcément à l’ancien réseau car ils sont Congolais et que, même s’ils n’ont pas été au pouvoir, ils entretiennent des relations claniques et tribales avec les autres de l’ancien réseau, soit, comme certains le disent, il y a un coup d’Etat qui fait exploser le réseau ancien.
Voyez l’analyse réseautale a du sens car les solutions sont entropiques, quoique vous disiez.
BIZARRE LE MOUTON , il vient de nous faire un deuxième accident , en une année ;;;ce ministre joue avec la mort ;Résultat , une évacuation en France ;;;le chanceux ;
PAUVRE BAKALA ….
Merci à mes frères de lutte Anonyme et Val de Nantes.
Même si je n’interviens pas souvent, faute de temps, je déguste régulièrement tous vos posts qui sont parmi les plus croustillants sur ce site. Sans oublier ceux de plusieurs autres intervenants réguliers et surtout ceux de mon autre frère de lutte David LONDI.
Aaaahhh LONDI…. si tu étais le DAVID de la bible, l’ogre de l’Alima aurait déjà mordu la poussière ou serait déjà six pieds sous terre. Hélas !
Mais L’ON DIT aussi que tout à une fin. Espérons que celle du monstre à la coiffe cornue soit très très proche.
En réponse à L’indigné
Sur les règles grammaticales
Le monde de nos grands parents et le notre ne sont pas les mêmes. Certes, jadis les règles applicables étaient celles là. Mais nous parlons ici dans des termes qui ont subi une certaine francisation. D’ailleurs les français eux mêmes ont fait évoluer leur grammaire et leur orthographe.
Pourquoi ne ferions nous pas ainsi ?
Parler Kituba et écrire en français sont deux choses différentes qui ne peuvent se transcrire mot pour mot. Mais bon, il s’agit là d’un autre débat qui sera bon en d’autres lieux.
Non ! Le français n’a pas tout bousillé, à nous CONGOLAIS d’harmoniser et de mettre au point des règles claires, générales et précises dans la pratique de nos langues et dans leur transcription en français.
Je suis partisan de l’évolution de nos langues.
Pour mille raisons je préfère par exemple écrire : KITOUBA plutôt que KITUBA. Cela pour des raisons d’uniformisation phonétique…. et parce que nous écrivons français.
S’agissant d’écrire en français (et je dis bien s’agissant d’écrire en français), phonétiquement et pour une musicalité plus douce et mélodieuse, je préfère le terme « BABEMBE » invariable, plutôt que le terme « BEMBE » variable que je trouve rugueux, germanisant et pas du tout mélodieux.
BEMBE indiquerait d’ailleurs autre chose.
Mais bon, ce n’est qu’un avis personnel d’un autre débat en d’autres lieux.
En réponse à Val de Nantes et sa sempiternelle question : « On fait quoi ? »
La question ne se pose pas qu’aux Babembés mais à tous les autres groupes ethniques du Congo. Je la posais d’ailleurs depuis belle lurette aux Makouas dont le fils prodige J4M est en prison.
Les Cocoyes qui ne sont pas que des Babembés (mais les jeunes ex combattants de toute la région de la Bouenza) auraient sans doute pu entrer en guerre contre l’envahisseur du sud et notamment du Pool.
Mais ayant été désarmés après la paix dite des braves en 1999 – 2000, avec quels armes voulez vous qu’ils aillent aider leur frères Kongos-Laris ?
Entrer en guerre sans armes équivaudrait à un suicide collectif fut-il. Sans compter les représailles sanguinaires qui s’en suivraient sur les populations paysannes femmes et enfants que le monstre satanique d’Oyo ne se gênerait pas de faire bombarder par ses Hélicos.
Ravitaillez les ! Donnez leurs des armes et vous verrez que même certaines ethnies nordistes n’hésiteront pas à combattre ce régime dictatorial.
Tout le problème est là !
Manque de ravitaillement ! Manque d’armes ! Manque de logistique !
Et en face des milichiens et des mercenaires surarmés.
On fait quoi dans ces conditions ? On va au suicide ?
A toi de me répondre mon frère.
@ OK MBELLO KOSSO ; mais sois un peu régulier sur le site , car nous avons besoin des cogneurs ;;;
Merci » L’homme de Passage « .
Excusez-moi une fois de plus de revenir sur notre langue nationale au sud Congo. Nous nous sommes encore embarqués et englués par la honte de dire ce que nous sommes. Au temps de la colonisation et après la fausse indépendance, le colon avait reconnu 2 langues nationales au congo : le kikongo et le lingala. C’était mm étudié dans les écoles, il y avait aussi des écrits dans ce sens à commencer la traduction en kikongo de la Bible. Cette appélation de Kikongo a vécu jusqu’au moment où M. Ngouabi a pris le pouvoir, c’était donc le nord congo qui avait pris le pouvoir. Comme la disparition des ba kongo était déjà programmée, il fallait pour le pouvoir nordiste effacer l’appelation de la langue kikongo pour ne pas valoriser ce peuple qui déjà à ce moment gênait. C’est ainsi que le nord congo à sortie le mot KITUBA qui ne veut rien du tout par rapport à la langue kongo kikongo. Kituba ne veut rien dire. si je dis : mu ketuba nge ke na fou. Dans quel dialecte du sud congo on trouve le mot tuba ? Cette dénégation de la langue kongo a été suivi par Oko qui montre la mer à Tati. Voilà donc comment nos compatriotes du nord ont commencé petit à petit à nous dépouiller jusqu’au jour où en 1997-98 jusqu’aujourd’hui les miliciens du pouvoir tuent quand ils parlent lingala et qu’on leur répond en kikongo. A Brazzaville sud on ne parle presque plus le kikongo. A Pointe Noire le lingala est devenu la principale langue nationale parlée. Après la colonisation occidentale, voilà que s’est installée la colonisation nordiste !
N.B. : la langue lingala est parlée par le peuple ngala situé au nord du congo
la langue kongo est parlé par le peuple Kongo situé au sud du congo
Pourquoi donc changer la langue kongo ou kikongo en français en munu ku tuba c à d : moi j’ai dit où kituba ! Ca ne veut rien dire du tout ? Ainsi nous sommes tombés dans le piège du nouveau colon nordiste ! Changeons cela en commençant à parler maintenant de la langue kongo ou kikongo au lieu de kituba = munu kutuba !
Ma pensée est laborieuse, mais nous devons réfuté ce mensonge !
Merci !
@L’ INDIGNE ADMIS , sur PONTON OUI , il y a du lingala maintenant c’est CHOQUANT …………
Excellent cour d’histoire et de linguistique de la part de @l’indigné…bravo! Merci aussi à Val de nantes et Mbello kosso.
Ce qui est chiant dans cette affaire nationale , c’est quelqu’un à décidé de nous priver du bonheur local ou national ;;;
Je peux vendre mes prestations techniques à mon pays , y consommer et y vivre périodiquement ; sans qu’aucune mouche ne vienne me déranger ;;;;.
Mes va et vient CONGO FRANCE , seraient le symbole de transfert de savoir faire , entendez par là technologiques et techniques ;;;;;
Avec SASSOU ,ce n’est possible qu’à condition d’être dans l’oyocratie ou sinon , se faire coopter à l’instar de MANKOU ….
Enfin , ça c’est quel genre de vie sociale et intellectuelle , que SASSOU veut imprimer au pays ????;
L’intelligence a horreur de la flatterie , et du téléguidage ,d’où notre propension irréversible de voir SASSOU PARTIR DU POUVOIR ………………….
@ VAL DE NANTES ET AUX AUTRES
Vous voyez a quoi on est réduit a de la vulgarite sur la linguistique
Vous comprenez mieux pourquoi le réseau entretient la séparation tribale entre les congolais pour continuer a exister.c’est par le réseau qu’on peut mieux expliquer ce que sont les congolais par leur cynisme
Vous voulez reconstruire le congo sur quelles bases; ethniques, claniques ,tribales, citoyenne mais une citoyennete fondée sur quelle experience fédératrice des congolais
je ne veux que la reussite pour mon pays mais qu on me permette de ne pas etre dans l’empathie qui nous surplombe et de poser des questions dérangeantes qui sont considerées par certains d ‘entre vous comme de la provocation
les congolais que nous sommes sommes faux nous versons des larmes de crocodile pour accuser et nous sommes les premiers pour faire alliance avec celui que l ‘o n a critiqué exemples theophile Obenga et michel nguimbi vis avis deSassou
C’est terrible de le dire , le réseau permet de décortiquer ce cynisme politique
Pambou,
Val de Nantes nous dit qu’il ne peut faire la « courbette » pour construire quelque chose au Congo. Est-ce difficile à comprendre?
Un pays normal devrait laisser ses enfants faire ce qu’ils veulent. Or tel n’est pas le cas. On est en plein monopartisme où l’état contrôlait tout et voulait que tout le monde soit avec le PCT. je me souviens encore du pauvre Miakassissa que Yhombi et Sassou présentèrent comme un contre-révolutionnaire parce qu’il leur avait refusé un prêt, lui l’homme d’affaires. De fil en aiguille, le voilà mis à côté de Kolelas.
Aujourd’hui, on nous resserre le même plat. Vous êtes avec nous ou bien vous n’existera pas. C’est quoi cette folie?
Et dire que Mouamba vient de reconnaître que son gouvernement est un gouvernement failli avec des finances exsangues. Sous d’autres cieux, on accueille à bras ouverts les créateurs et promoteurs d’initiatives génératrices de revenus et d’emploi. Au Congo, Lucien Pambou nous encourage de faire partie du réseau. Mais, je croyais que l’on devient sur les bases des valeurs partagées. Ce n’est plus vrai?
Lucien Pambou, s’il te plaît, fait un bon usage du concept de « Réseau » comme Saint-Simon. Ne galvaude pas cet instrument de construction sociale en le ramenant à l’état de la mafia. L’Europe s’est construite autour de ce concept. Sans ce concept, les financiers n’auraient pas soutenu l’industrialisation de l’Europe comme le préconisait Saint-Simon et ses successeurs.
@BAKALA
On ne se comprends pas.je ne demande pas aux congolais de faire partie d’un quelconque réseau.il ne faut pas me preter des intentions qui ne sont pas les miennes telema
je m appuie sur un outil pour expliquer le congo reseau complique c’est tout.certains d ‘entre vous sont opposants ou hommes politiques congolais.respects moi je ne suis qu ‘un modeste analyste de la politique.vous et moi ne jouons pas dans la meme cour
je suis dans une cour inférieure à la votre .je me contente de l analyse et des preconisations que vous politiciens emerites pouver ou non choisir dans ce que je dis
Lucien Pambou,
Quand on demande aux gens de prouver leurs propos relativement au régime de Sassou, on n’est plus dans l’analyse, mais plutôt dans La défense des Amis de la famille. Combien de fois n’as-tu pas demandé à tes contradicteurs de prouver leurs allégations vis à vis des biens mal acquis? Quel est cet analyste sérieux qui peut poser pareille question au moment où a été ouvert le procès de Theodorin Obiang Nguema pour enrichissement illicite?
Voila que les « amis » de Thomas Bakala viennent demander des comptes à la succession politique du défunt.
La représentation du Hezbollah au Congo, les arabes en situation illégale,. la communauté affairiste libanaise, les ouest africains trafiquants d’ivoire, d’or et autre produits prohibés, les trafiquants de drogue, les européens pédophiles vivaient sous la coupe de Thomas qui était depuis bientôt 25 ans le gestionnaire des basses œuvres de Peter OBA ; il a laissé un trésor de guerre et un système de racket très avancé. Mais il est certain que Rex avait des archives hors du Congo
où sont-elles, que sont devenus les cles usb acheminées, il y a un mois par un certain Christian à Paris et remise à une européenne à Roissy…..