Une question pour le bon sens, peuple congolais. Croyez-vous, que notre fameuse constitution 2015 bénéficiera de notre totale adhésion, autour de Denis Sassou-Nguesso, pour développer le Congo, pendant les quinze années à venir ? Moi, je suis très sceptique.
Voir du neuf dans un vieil œil empêtré dans les antis valeurs ? Cela relèverait simplement d’une alchimie que le commun des mortels ne maîtrise pas. Certainement que, la maxime de la vielle chaussure ganaoéenne à porter aux festins hebdomadaires et bruyants de Mwana Ndeya, le nouveau gosse de Dolisie, contredira mon scepticisme idiot.
Voilà un indécrottable de plus, opposé, par haine, à tous les efforts que ne cessent de déployer notre cher et vénéré Président avec son fiston, dira-t-on de l’autre côté.
Désolé, je suis parfaitement PAKO et je me sens curieux et un peu fouineur, pour déceler les petits manèges des responsables de la mouvance présidentielle, à travers les recoupements et les analyses de leurs propos sibyllins. Je sais qu’ils n’aiment pas les critiques qui révèlent les agendas cachés de leurs stratégies. Hélas ! Ce sont les contraintes de la démocratie.
Bon, passons et aidez-moi à comprendre. Pourquoi devons-nous gober et croire à l’idée que le changement de la loi fondamentale de notre pays, peut se faire de la manière la plus expéditive et grotesque, comme elle l’a été faite dernièrement ? En vérité, je vous l’avoue que j’étais tombé des nues lorsque le sacrilège était fait.
Mais, il s’agit de nos libertés fondamentales qui ont été malicieusement confisquées !
Nos libertés de penser, de nous exprimer, de nos mouvements et de nos choix, celles-là même qui fondent nos actions au quotidien, embrigadées par la simple volonté d’un homme personnalisant lui seul, la somme d’antis valeurs que sont le mensonge, la ruse du renard, la cruauté du lion, le vol par l’accaparement des biens communs et le tribalisme, c’est-à-dire, la haine viscérale contre les autres.
Ce monsieur qui n’aime que les membres de son clan et quelques courtisans triés çà et là dans les autres départements, a causé une forfaiture que la grande majorité des congolais a en horreur.
Avouons quand même, qu’en personnes sensées, nous ne pouvons point nous adonner au vice du pervers ! S’il s’accapare de toutes nos libertés, que nous restera-t-il de notre personnalité ? Accepter une constitution qui fera du Congo un Etat des canailles ? Où est le bon sens dans cette démarche suicidaire ?
Ce qui est curieux c’est que le forfait, une fois réalisé, en ne prenant pas compte les avertissements de l’église et de l’opposition, tous les flatteurs moutonnés et assermentés ont repris du service. Ils s’époumonent matin, midi et soir à prôner l’amour, l’unité de toutes les filles et de tous les fils du Congo qui doivent obligatoirement accepter de vivre dans un Etat voyou.
C’est le plan de Dieu, on y peut rien et tournons le dos à tout ce qui s’est passé, entend-t-on par ci, ce qui est fait est fait, par-là, allons donc à l’essentiel, c’est-à-dire au développement économique de la République, parce que ce qui nous unis est plus fort que ce qui nous divise, de l’autre côté, regardons l’avenir, aimons notre pays, vive l’unité nationale, travaillons maintenant dans la paix, il y a un temps pour se battre et un temps pour dialoguer et pour faire la paix, plus jamais ça, c’est la victoire de tous les congolais, patati, patata… Mon œil !
De qui se moque-t-on dans cette cacophonie politique créée par le Président de la République ? Des opposants qui, selon une certaine presse à la solde du pouvoir, auraient échoué dans leur stratégie dite de déstabilisation du pouvoir ? Ou de la majorité qui gère la République pendant quinze ans, sans façon ?
Ces emphases-là, sont de nature à aggraver les situations que de les résoudre de façon définitive. Pourtant, les opposants, de la vraie opposition qui s’était imposée et étouffée pendant la campagne référendaire, et non celle constituée à Sibiti, avaient manifesté leur désaccord sur le fignolage de la forfaiture des gens du pouvoir qui voulaient, à tout prix, faire le passage en force à la nouvelle république ce, en dépit de la mise en garde, même de la communauté internationale, sur le risque très élevé de crise politique ouverte dans le pays.
Cela est fâcheux, mais il nous faut exécuter notre agenda caché, c’est-à-dire, la confiscation du pouvoir par tous les moyens.
Pour atteindre leur objectif suicidaire, ils ont rédigé de façon unilatérale la loi fondamentale du pays pour se confectionner une coque. Ils ont, par la suite, organisé, manu militari, le faux référendum, menti sans cligner les yeux pour annoncer à l’opinion nationale et internationale que le faux référendum, devenu constitutionnel par la volonté morbide du Président, a eu l’adhésion de 94% de la population qui a participé au vote à 72%. Incapables de répondre pacifiquement aux congolais qui avaient dit du non au changement de la constitution, ils ont préféré la cruauté avec les moyens matériels et financiers de l’Etat. Ils ont dépensé inutilement beaucoup d’argent pour s’attirer la sympathie de la grande majorité des congolais. Et, en réponse, ils ont reçu un doux nenni.
Qu’à cela ne tienne, le Congo a-t-on-dit, fait évoluer ses institutions en ce 21ème siècle. De façon abracadabrante s’il vous plait ! Alors, faudra-t-il en rire ou en pleurer de rage ? Avons-nous vraiment fait évoluer nos institutions ?
Entre-nous, je pense et je crois fermement que la corruption et la cruauté sont les causes fondamentales du gel intellectuel d’un pays. Lorsque l’élite ne jouit plus de sa liberté de pensée et d’expression contradictoire, la lumière ne jaillit plus et le pays stagne.
Notre pays semble se trouver dans cette situation d’amnésie générale. Le Président de la République, dans sa félonie légendaire, a gelé la pensée politique congolaise. C’est vraiment dommage. Il faut en urgence, une exception à cette situation malencontreuse.
Tout se pense maintenant à l’envers dans notre pays : La volonté du Président de la République de rester par tous les moyens au pouvoir est comprise et interprétée par les congolais, résignés par les effets annihilant de la prière, comme une volonté divine. Son acharnement cruel contre les congolais qui lui opposent l’alternance pacifique du pouvoir, est relayé par les médias floués, comme une sanction disciplinaire contre les ennemis de la paix. Le succès de la mobilisation populaire des opposants pendant la campagne référendaire a été interprété par les partisans du moindre effort qui accompagnent le Président de la République dans ses escapades politiques, comme une instrumentalisation du peuple, etc.
Ah, pauvre congolais ! Tu es descendu trop bas.
Cela s’entend, parce que, pour le Président de la République et ses complices, le congolais qui aime son pays est celui qui est mort ou soumis à sa volonté d’éternité au pouvoir : Il est très heureux de se retrouver devant les morts et les tombeaux qu’il honore à chaque occasion. Il se réjouit d’être écouté par des soumis qui le suivent sans rechigner. Ils sont très bons parce qu’eux, au moins, ne changent pas. Ceux, par contre, qui lui opposent l’alternance pacifique du pouvoir, notamment ceux issus de sa famille politique ou de ses nombreux gouvernements, sont des ingrats, ils manquent de reconnaissance sur ses bienfaits (sic !) à leur égard, et doivent, en conséquence, être punis ou éliminés par tous les moyens connus : pas de dialogue, humiliation publique, assèchement financier, suivi policier permanent, acharnement médiatique, séquestration, quête permanente d’opportunités de condamnation juridique, emprisonnement ferme, et finalement, disparition de la scène politique.
Voilà l’environnement politique construit à dessein par le Président de la République au Congo. Il fait ce qu’il veut, non pas pour le bonheur des congolais, mais pour assouvir son désir de puissance. Tenir en laisse les congolais en définissant de façon unilatérale ses règles du jeu démoncratique. Et les congolais n’ont qu’à mettre leurs bouches en sourdine. La teigne doit se répandre.
Pas aisé d’être un acteur politique au Congo hein ! Vraiment, Il faut les avoir bien suspendues.
C’est pourquoi, je m’insurge contre les jeunes et les mamans de la majorité présidentielle qui adhèrent, par peur ou par fanatisme, à la folie meurtrière de leur leader. Je les accuse pour complicités de mensonge, de tuerie et de vol. Par leur complicité coupable, le Président de la République et ses collabos menteurs ont mentis sur les résultats tronqués du faux référendum et refusent le vrai dialogue inclusif sous la médiation de la communauté internationale. Par leur complicité coupable, le Président de la République est ses collabos tueurs ont utilisé les armes pour tirer contre leurs opposants qui ne sont pas malheureusement leurs ennemis. Par leur complicité coupable, le Président de la République et ses collabos voleurs dilapident l’argent et le leur redistribuent allègrement pour mieux suivre le guide. Par la corruption, ils ont provoqué le rétropédalage de François qui s’était brusquement souvenu que sa très chère France n’a pas d’amis, elle n’a que des intérêts, même dans son propre pré-carré.
Les intérêts économiques, bien sûr, en foulant aux pieds les principes démocratiques qui tiennent à se construire au Congo. Je crois que ce monsieur a commis une faute politique regrettable. Le Congo n’est certes pas le Burkina Faso, mais le besoin d’alternance pacifique du pouvoir est le même. Eux ont réussi, il n’y a pas de raisons qui fassent que l’échec du processus soit durable au Congo. Car les mauvais règlements des problèmes majeurs d’un pays engendrent toujours des nouveaux problèmes qui sont souvent difficiles à régler.
Actuellement, les congolais des deux familles politiques opposées se regardent en chiens de faïence. François est rattrapé par les frustrés politiques qui lui torturent les méninges en France et dans le monde. Et les gens du pouvoir veulent profiter de cette zizanie pour appliquer les dispositions de leur dangereuse constitution en nommant les membres du nouveau gouvernement (sic !) sans que le Président n’en ai prêté le serment. Vraiment, leurs provocations, (pour quel intérêt ?) leur font révéler devant l’opinion nationale et internationale comme des mabouls. Je suis désolé.
Il y a vraiment un problème dans notre pays que nous aimons tous. Cessons de nous comporter comme si on était encore à l’aube des indépendances. Le problème est, à mon humble avis, psychologique et non politique.
Dès que l’on parle d’alternance pacifique du pouvoir, les tenants du pouvoir pensent automatiquement à la vengeance, à la chasse aux sorciers, etc. et du coup, ils se replient sur leurs identités pour présenter le problème en termes de lutte tribale du pouvoir, de la contradiction entre les nordistes et les sudistes. Cette attitude mesquine est très irresponsable et dangereuse à la fois. Pourquoi entretenir l’angoisse des lendemains douloureux auprès des parents qui s’en trouvent très hystériques ? En vérité, la lâcheté des gens du pouvoir leur fait manquer le courage d’assumer les conséquences des actes qu’ils ont posé, qu’ils posent et qu’ils continuent de poser. Le Congo ce n’est pas le bien d’un clan ou d’une ethnie, mais de plusieurs ethnies qui sont condamnées à vivre ensemble sur les 342 000 Km². Alors, vont-elles y vivre unies et ou séparés ?
L’alternance pacifique du pouvoir apparait dans ces conditions, comme la stratégie la plus viable et la plus fiable du vivre ensemble, c’est un impératif et nous n’avons pas d’autres choix. Ce n’est pas un aménagement scandaleux des textes et un réaménagement rocambolesque du gouvernement qui créeront cette envie de vivre ensemble, mais une construction collective et consciente des institutions fortes et une égalité dans le choix des orientations fondamentales de la destinée de notre pays. Tant que le pouvoir ne le comprendra pas, les voix s’élèveront toujours pour la réclamer. La méthodologie de travail choisie par le Président de la République pour, finalement, diviser au lieu d’unir le pays est scabreux et suicidaire, quoiqu’elle paraisse efficace aux yeux de ses fanatiques.
Je sais que, le Président de la République ne lit pas ce qu’il n’aime pas connaître, pire encore, lorsque le contenu du message lui réclame plus de démocratie. Libre à lui. Mais je me demande quand même s’il lui arrive parfois un temps au cours duquel il se pose la question de savoir pourquoi il sape les chances des autres congolais qui ont, eux aussi, l’ambition de diriger, dans la continuité, les destinées de ce pays ?
Sa biographie politique nous révèle qu’il a passé tout son temps à faire mal aux autres concurrents politiques qu’il n’a pas hésité d’éliminer, parce qu’à ces périodes, il se croyait certainement plus aptes que les autres à fournir ce qu’il fallait aux congolais. C’était peut-être un mal nécessaire qui lui était consenti par rapport aux enjeux de l’époque (le pouvoir au bout du canon). Or un mal nécessaire entraine toujours un autre, jusqu’au jour où, l’on ne sait plus faire la différence entre ce qui est nécessaire et ce qui facilite seulement les choses. Faire capoter la marche des opposants, le 20 octobre 2015, en larguant les lacrymogènes aux populations de Brazzaville Sud était-ce une nécessité pour les avancées démocratiques ou ce qui avait facilité le fiasco du faux référendum ? Assurément, le Président de la République ne sait plus faire le distinguo entre le mal nécessaire et le mal qui facilite sa soif ardente de rester éternellement au pouvoir.
La paix, comme il n’a cessé de le rappeler à la conscience collective, n’est pas seulement un gage pour le développement du Congo, mais c’est aussi et surtout, une obligation pour garantir le droit à la vie de tous les congolais. Il n’a pas hésité, cette fois-ci encore, de faire couler le sang et les larmes des autres qui n’ont voulu que réclamer l’alternance pacifique du pouvoir. Je crois qu’il a atteint le niveau où il est devenu un monstre pour le pays. Il faut vraiment s’en inquiéter.
Comme les morts sur la conscience ne lui empêchent pas de vivre et de vouloir à tout prix commander le Congo, moi qui suis parfaitement PAKO, ne peux pas lui souhaiter un bon vent dans son jeu de merde.
Jean KUKHAT
Diffusé le 24 novembre 2015, par www.congo-liberty.org
Question pour un champion: Brazzaville sud et Brazzaville nord; quelle différence?
Petite précision : Brazzaville c’est à dire M’Foa est un village Téké donc situé en territoire Téké, peuple non assimilable ni aux Kongo du sud ni aux Bangala du nord. Maintenant vous pouvez répondre à la question ci-dessus posée. Salut à tous.
Ce fait historique a été blackboulé , par nos autorités actuelles , car, pour eux BRAZZAVILLE , est devenu , un enjeu socio politique et de facto , elles sont en train de réécrire l’histoire de cette ville , en la sectionnant , en deux blocs géographiques .
Tenez demandez aux congolais , que signifie MFOA ,?
Beaucoup de nos compatriotes n’en sauront pas grand chose , et ceci, est fait à dessein .Clar accolé la ville DE BRAZZAVILLE , à un village historique au nom de MFOA ,c’est politiquement reconnaître , par ricochet la suprématie TEKE sur les habitants de cette ville .OR, qui dit suprématie dit pouvoir , en fait c’est un déni historique aux conséquences politiques majeures .
NGOUABI avait failli débaptiser BRAZZAVILLE , pour le nom historique de MFOA ;mais pour des raisons politiques , il s’en détourna .
à l’anonyme ,nous n’avons pas à nous invectiver entre internautes , sur ce point, val de nantes à raison, parlons pays , et ne pas réduire les débats entre deux internautes .
SASSOUFIT de nous divertir avec vos conneries… Si vous pensez qu’en débaptisant BRAZZAVILLE en MFOA cela fera déguerpir Sassou, je suis preneur. Mais si ce n’est pas le cas, ce que le bon sens me laisse croire, je vous prie de proposer des vrais solutions qui feront que l’on soit débarrassé de ce dictateur et de sa clique.
Merci !
Très beau texte,article très intéressant . Mais il ne nous concerne pas car il ne ramènera pas à la vie les sudistes qui ont été assassinés le 20 octobre par les nordistes . Votre est intéressant mais il n’est pas utile à la cause qui est la notre .nous avons longtemps voulu l’unité nationale mais nous avons eu en retour la domination nationale du SUD par le NORD
S’il vous plait monsieur , si vous êtes sudiste,parlez de l’avenir du SUD CONGO . Si vous êtes du NORD écrivez des articles sur la vie politique au NORD après la scission du pays en deux entités indépendantes l’une de l’autre . Ne perdez surtout pas votre précieux temps sur l’avenir du CONGO.
Très cordialement,le sudiste
le sudiste, j’aimerai te poser une question à toi et à tous les sécessionnistes: qu’adviendra-t-il de votre état après votre séparation avec vos « cousins » du nord? Je suppose qu’à un moment, vous étant lassés les uns des autres, vous déciderez de vous séparer de vos « demi-frères » sudistes? car qui a séparé une fois peut séparer une seconde fois; jusqu’au jour ou vous allez vous retrouver tout seul et recréer votre royaume Kongo composée essentiellement de lari et Kongo pour finalement vous séparer encore une fois et vous retrouver une population mono-ethnique. Mais croyez-moi, même à ce niveau de réduction, vous allez toujours vous séparer, car j’ai vu des enfants issus d’un « même père et d’une même mère », se battre à mort pour quelquefois des futilités.
La solution n’est pas dans la sécession, mais dans le départ forcé de Sassou et de tous ses compagnons qu’ils soient du nord ou du sud et par l’alternance démocratique avec des personnes intègres et de bonne moralité sinon on aura remplacé Pierre par Paul.
Et pour ta gouverne, je t’apprends que ce sont des sudistes qui ont tué d’autres sudistes et non des nordistes…
MERCI , LE SUDISTE on essaye comme on peut .
CHers compatriotes internautes ,
Mes articles , sont destinés principalement aux autorités de notre pays , le CONGO ,je commente rarement , l’article principal proposé par l’administrateur , même si c’est le but de cette activité cérébrale .
J’ai le plus souvent choisi de choquer, de traiter , de parler ,de soulever les situations d’injustice sociale que connaissent nos parents , heureux ceux qui ne sont pas partis au pays, depuis des lustres, pour n’en parler que d’une manière artificielle et imaginative .
Je ne vais peindre ici , toutes les souffrances dont sont victimes nos parents restés au pays .
Au travers , de ce site congoliberty de notre compatriote MIANGWO . IL nous est donné la chance de nous adresser à ceux de nos compatriotes qui dirigent notre pays .
Ainsi mes articles s’adressent principalement à eux , que ça choque ou pas ,c’est eux qui sont concernés , certains internautes commencent à se tromper de combat , désespérés du fiasco politique du 20 octobre , ils sont entrain de craquer , intolérants sur les articles de leurs collègues internautes .
IL m’arrive de choquer je le fais à dessein pour mieux faire prendre conscience aux autorités du pays , que ce pays appartient à tous les congolais et qu’à travers nos différents articles qu’ils lisent
d’ailleurs , ce que nous pensons du pays .
Donc , aux savants internautes , qui, manifestent une intolérance congénitale , et ce sont les mêmes qui s’en prennent à la bestialité de SASSOU ,,vu leur susceptibilité de zapper mes articles , pour le bien de leur santé mentale , car j’ai décidé de cogner sur les autorités de notre pays, on ne peut être plus clair .
La démocratie, ce n’est pas la pensée unique .Chacun de nous à sa propre histoire avec son pays .
DITES CE QUE VOUS SENTEZ SUR LE PAYS ,je ne vous critiquerai point , c’est votre droit , je ne suis pas plus CONGOLAIS que vous ; jamais je ne vous demanderai votre âge , et dire pauvre ignorant ce n’est pas dans mon éducation , je n’ai plus l’âge d’éduquer des internautes perdus en EUROPE .MA cible , ce sont les autorités de notre pays , je ne me tromperai jamais de combat .
@VAL DE NANTES , en effet , c’est l’objectif visé ,mais on remarque beaucoup d’égarements de la part de nos collègues internautes qui se sont spécialisés , dans des futilités et impolitesse , alors qu’on attend de nous ,de soulever des problèmes et tenter d’y apporter des solutions idoines .
Tu as complétement raison .
Plus grand escroc du Congo c’est moi. Plus grand menteur du Congo c’est moi. Plus grand tribaliste du Congo c’est moi. Plus grand dribleur du Congo c’est moi. Plus grand criminel du Congo c’est moi. Plus grand de complexé du Congo c’est moi. Plus grand ennemi de l’unité nationale.
Plus grand fossoyeur de la paix au Congo, c’est moi.
Plus grand délinquant sexuel du Congo c’est encore moi: Denis Sassou- Nguesso
Le dictateur Sassou Nguesso dénis le Congo et le peuple congolais a peur de son passif au regard de ses nombreux crimes et de gout du sang du peuple congolais.
Le dictateur Sassou Nguesso a trop peur de terminer en prison et notamment à la cour pénale internationale, ses 32 ans de tyrannie criminogène et de haute trahison du Congo éternel.
Peuple congolais – le vent du changement politique au Congo Nous Portera ! https://www.youtube.com/watch?v=TcsZLCWk7po
Nous sommes le 24 Novembre 2015.
Ce MONSTRE de Sassou,est entrain de sacrifier tous les hommes du Nord.
Il EST le dernier homme du Nord a dirigé notre pays.
Après son départ la démocratie va s’installer durablement dans notre pays,le pouvoir sera un jeux de ballon pour les hommes du SUD.
L’abbé FULBERT YOULOU l’avait prédit,vous allez etre dirigé par un fou,vous allez en baver pour reconquérir le pouvoir.
EH OUI ON EN BAVE , avant qu’il n’ aille à la CPI ,, ON VA CHIER DES BULLES ,et il va falloir tenir car pour les cardiaques et les dépressifs , c’est un véritable supplice de tantale et dire qu’il va se taper encore 10 ans selon son carnet concocté des juristes débiles , la vie sera insipide , pour nous autres, les sans parents haut placés, et donc, les sans dent .
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Nous n’avons pas tous compris, pauvres Congolais. Quand Ngolo secrétaire général du pct affirme que sassou est le meilleur, il n’a pas tort.
Tenez:
1- Quand l’opposition peaufinait des stratégies pacifiques, sassou achetait des mercenaires et des armes.
2 – Quand les opposants comptent sur cette armée divisée, cette police que le pouvoir ne contrôle plus, sassou fait venir des mercenaires (et ce depuis très longtemps), il avait vu juste. L’opposition pensait que la police ne fera rien pendant la marche, ndenghet et cie sortent des civils habillés avec des tenues de la police, payés et entretenus avec l’argent du contribuable.
3- Les opposants comptaient sur le peuple pour arrêter ce système inique, sassou armait ses milices et autres mercenaires prêts à tirer sur la population, sur ce peuple au nom duquel il parle, vante tant.
4- Le jour J (jour de la marche), certains leaders de l’opposition et pas des moindres sont séquestrés a leur grande surprise, ils ne l’ont pas prévu.
5- Quand les opposants criaient à tue-tête (par des marches, tribunes et meeting à l’étranger), sassou faisait du lobbying auprès des autorités de la France et celles qui ont des accointances avec Hollande comme Boni yayi (le revirement de Hollande en est la preuve).
Conclusion: une opposition pas organisée, pas de radio, pas de télé, alors que ça ne coûte rien, comment cette opposition comptait-elle faire la mobilisation ? sur RFI ? les fréquences étaient coupées, ça aussi sassou l’avait prévu.
Alors, c’était la débandade. Ces opposants ne savaient quoi faire, dépassés par les évènements.
Il est donc le meilleur sauf que Ngolo a omis (expressément) de rappeler que sassou est doté d’une intelligence machiavélique. Meilleur avec la mauvaise intelligence.
Chaque chose a une fin. A malin, malin et démi. On ne peut s’en tirer à bon compte tout le temps.
L’alternance pacifique du pouvoir au Congo-Brazzaville, pure chimère, en tout cas pas avec sassou le rusé. Ce type là aime trop le pouvoir.
Du calme chers internautes sassou va partir. La parole de ZAMBI MPUNGU TULENDO ne peut pas retourner à lui sans produire son effet. Continuions à prier !
Bonsoir à tous
Après Sassou Nguesso le prochain président sera celui que l’on choisira par un vote démocratique et c’est pas parce que le sud est majoritaire qu’un sudiste sera d’emblée le futur président même si cette probabilité est très élevée
Pour rappel notre combat est d’avoir un président qui s’ occupe de tout le monde
A ma connaissance nous luttons bien pour avoir un pays de droit?
Pas de démocratie au KONGO ce pays riche, si nous restons dans les bras de la France .Notre premier combat se sortir du joug colonial, impérialiste de ce pays pauvre : la France , sinon elle continuera à nous imposer des gouverneurs qu’elle contrôle comme sassou l’institueur, le maquilleur, l’assassin
La République du CONGO est un marché de dupe proposé aux sudistes par les nordistes . Il se résume en ceci : tous congolais pour que les richesses du CONGO profitent en priorité aux nordistes et marginalement aux sudistes . C’est de cela que le SUD ne veut plus . La colonisation du SUD débutée en 1969 n’a que trop duré . Il est grand temps qu’elle cesse parce que, trop de souffrances .En laissant les nordistes s’installer en masse dans le SUD , les sudistes croyaient offrir l’hospitalité à des compatriotes . C’était sans compter avec l’ingratitude nordiste légendaire . En effet , ils ont réussi le tour de force qui consiste à faire de leur hôte un esclave .Certaines âmes naïves objecteront ceci : mais, il y a bien de sudistes dans le gouvernement criminel de Brazzaville ? Oui évidemment ,mais ce sont des vulgaires collaborationnistes à la solde de l’occupant nordiste.
A mes très chers compatriotes du SUD ,si comme nous , vous aspirez à une société juste et équitable , cessez de penser CONGO . Il n’y a aucun avenir pour le sudiste dans l’actuel CONGO . Notre liberté, notre développement et notre bonheur ne sont possibles que si le nordiste n’est plus notre compatriote car c’est lui qui nous empêche de toucher notre part de richesse . Pour votre bonheur immédiat et pour l’avenir de vos enfants pensez SUD CONGO .
Très cordialement votre compatriote
Bjour à tous!
je pense qu’il faut aller dans le sens de construire et non consolider la stratégie de sassou nguesso. Je soutiens que dès qu’un supposé nordiste se lève pour faire face à sassou nguesso, il se fera massacrer sans ménagement. Alors, parlons pays et parlons sassou nguesso, la véritable cible… le reste, c’est de l’élégance sapologique. Comment faire pour mettre à terre le système sassou nguesso, un système soutenu par les maires nommés, les préfets et sous-préfets, les généraux jusqu’aux capitaines dans l’armée, les femmes commerçantes qui approvisionnent les magasins souvent des étrangers (ô surprise!), les directeurs dans la fonction publique, etc… Comment faire pour mettre à terre tout ce beau monde? pensez y en silence et cessez les attaques inutiles.