Le vice-président américain, J.D. Vance, a été l’un des derniers visiteurs du pape François le dimanche matin de Pâques, quelques heures avant sa mort le lundi suivant.
Pourtant, s’il fallait chercher une main noire qui aurait précipité la fin du Saint Père, ce serait un peu plus tôt, il y a quelques mois, qu’il faudrait regarder…
Denis Sassou Nguesso, malgré le rôle cruel qu’il a pu jouer dans l’assassinat du Cardinal Emile Biayenda, a été reçu plusieurs fois au Vatican.
D’abord, ce fut avec le Pape Benoît XVI le 24 mai 2010. Puis, il a rencontré le Pape François par deux fois au Vatican, le 9 décembre 2013 et le 25 novembre 2024.
Lors de cette dernière rencontre, Antoinette Sassou Nguesso avait pu officiellement l’accompagner. Avant 2016, le protocole du Vatican, concernant les visites d’État des chefs d’État catholiques en situation maritale irrégulière, était strict : épouses ou conjoints devaient attendre dans une autre pièce et étaient salués séparément après la rencontre officielle.
Le Pape, en tant que Chef spirituel, ne pouvait pas sembler approuver des situations considérées comme contraires au droit canonique, comme des mariages civils sans annulation préalable ou des relations extraconjugales. Cette règle a donc été modifiée en 2016 sous le pontificat du pape François.
Sassou Nguesso a profité de cet assouplissement, permis par le Pape François. Connu pour son humilité, sa simplicité et son accessibilité, François a également adopté un style de vie modeste (vivant à la maison Sainte-Marthe plutôt qu’au palais apostolique) et privilégiait un langage direct, souvent perçu comme proche des fidèles. Son image de « Pape du peuple » contrastait avec la solennité de ses prédécesseurs. Il a été aussi le premier pape jésuite et non européen (argentin), ce qui lui aurait conféré une perspective globale unique.
En réalité en 2024, les conditions de la réception de Denis Sassou Nguesso, et de son épouse, ont largement dépassé tout ce qui était toléré par le protocole du Vatican et les règles de la simple morale, pas nécessairement chrétienne.
Dès que les photographes romains ont quitté les salons de réception officielle, des Nguesso et leurs acolytes officiels ou non, comme une nuée de bourdons, tous de noir vêtus, les ont remplacés. Voleurs et assassins notoires, féticheurs et sorciers, compagnes et concubines, polygames et quelques-uns des enfants et petits-enfants légitimes et adultérins, du tyran, ont fait la queue pour recevoir une bénédiction papale.
Difficile de trouver, dans les 212 pontificats qui ont précédé celui du Pape François, des cas similaires de réception de visiteurs aussi sulfureux que ceux, pour la plupart Congolais, qui ont été reçus le 25 novembre 2024.
Serrer la main de Jean Dominique Okemba n’est ni innocent, ni sans risque… ! JDO, au sein de la famille Nguesso est devenu le Grand Maître incontesté, de la sorcellerie, gris, gris, et sacrifices humains
La témérité du feu-Saint Père, ne s’était pas arrêtée là. Une partie de l’exécutif mystique de la diabolique famille, qui règne sur le Congo Brazzaville, a pu ainsi immortaliser cette historique réunion d’un Sommet de la sorcellerie de l’Afrique Centrale au Vatican, sous les bons hospices du Pape François.
Combien de fétiches diaboliques, et gris-gris, assassins ont été semés au sein des saints édifices qui les ont accueillis ou qu’ils ont traversés ? La simple présence de ces personnages, auprès du Pape, constitue un rare sacrilège qu’il sera difficile d’effacer ou d’en atténuer les effets.
Faut-il croire que ces visiteurs congolais sont responsables de la disparition du Saint Père ? En fait, il ne faudrait pas minimiser le courroux de l’Eglise Romaine face à cette intrusion inédite… et toutes ses inimaginables conséquences !
Etonnamment, Denis Sassou Nguesso a été un absent remarqué des obsèques papales à Rome, au milieu des grands de ce monde qui ont répondu présent.
Pourquoi, celui qui sans la moindre gêne, ni honte, a transgressé tous les usages pour assister aux funérailles de la Reine Elisabeth II d’Angleterre, sans y avoir été invité, ne s’est-il pas rendu à Rome pour celles du Pape François ?
Qu’a-t-on répandu, au sein du Vatican le 25 novembre 2024, avec quoi il ne voulait plus être en contact ? Quelques cendres d’un Cardinal assassiné au Congo Brazzaville, un jour de mars 1977 ?
Au prochain conclave, le Cardinal Sarah pourrait bien être élu, face au Cardinal Carolin, le favori et sûrement proche de Sassou Nguesso. Lui seul, Cardinal venu d’Afrique, pourra contrecarrer les maléfices jetés contre l’Eglise catholique, tout en libérant la béatification du Cardinal Emile Biayenda, qu’un Sassou Nguesso amnésique prétend réclamer…
Hector CAPTAGON
Diffusé le 02 mai 2025, par www.congo-liberty.org
Cher Hector l’ennemi du mensonge c’est le temps, cela sous entend que le Vatican est un État mafieux car ils ont trahi la mémoire du cardinal, en recevant son assassin Sassou Denis ! À l’instar les enfants Ngouabi, Massamba Débat ou encore le fils Thysthere Thicaya qui courent après Sassou Denis l’assassin de leurs pères.