LA PERSPECTIVE DE LA SORTIE DE CRISE POLITIQUE AU CONGO BRAZZAVILLE.

ANKOBEKE DIAKOULABANTOU

ANKOBEKE DIAKOULABANTOU

CE QUE PENSENT LES PARTIS POLITIQUES

Après avoir scellé, clos le débat du changement de la constitution, l’échiquier politique congolais, les états-majors des partis politiques se tordent les méninges sur la question : comment sortir de cette crise, ou, comment imposer l’idée d’une transition, qui fait l’unanimité, et qui est considérée comme la porte d’une sortie honorable, sans effusion de sang.

Au regard d’un corps électoral totalement biaisé, certaines frange de l’opposition, par exemple Mathias NDZON de l’UPRN, Clément MIERASSA de PSDC, Paul Marie M’POUELE du SAUVONS LE CONGO, Guy Romain KINFOUSSIA de l’UDR-MWINDA, Bonaventure MBAYA de la CONVERGENCE CITOYENNE, etc. on montré à chaque occasion, les injustices et les incohérences; la catastrophe du fameux Recensement Administratif Spécial, pour lequel l’UPADS avait demandé à ses militants et sympathisants de ne pas se faire enrôler. Semble-t-il que, les conditions d’un bon recensement n’étaient pas réunies ; coup de tonnerre, ce même parti de l’Ancien chef d’Etat Pr Pascal LISSOUBA participa aux élections locales de septembre 2014 , organisées sur la base de ce même recensement ; et quand on ajoute notre fameuse Commission d’Organisation Nationale des Elections « CONEL » acquise semble-t-il à la mouvance présidentielle, pour ne pas dire, acquise au Parti Congolais du Travail, ça fait beaucoup d’imperfections.

Ceci dit, on ne peut pas tenir une élection crédible dans ces conditions, c’est au vu de ça, que certains partis de l’opposition et de la majorité présidentielle, pensent qu’une transition s’impose. Mais comment l’imposer ?

On sait tous que la transition de Milongo, fut imposée par la Conférence Nationale Souveraine de 1991, avec un gouvernement d’union nationale et une représentation quasi plurielle de l’échiquier politique. Cependant, on ne pense pas qu’une autre conférence s’exige, les dialogues, si toutefois ils étaient réalistes, les dialogues d’Ewo, Dolisie et autres, peuvent en effet être considérés à cette fin.

La Conférence Nationale Souveraine a été dirigée dignement par le feu Monseigneur Kombo, à cela, les partis acquis à l’idée d’une transition accepteraient qu’elle soit menée par l’Église, seule entité, qui, semble-t-il, peut faire ou fait l’unanimité, est digne de mener cette mission dans l’EGALITE et la JUSTICE. Et le nom de Monseigneur louis Portela tourne, président de la conférence épiscopale nationale du Congo (cenco) et de l’Afrique centrale (acerac).

Les déclarations officielles, solennelles des partis politiques nationaux et de la diaspora, suffiraient dit-on, d’obliger la démission du gouvernement du président sortant, à la fin du mandat de celui-ci, et permettrait au président du sénat, la deuxième personnalité de l’État, à nommer Monseigneur louis Portela comme premier ministre de transition d’une année, avec un gouvernement d’union nationale et la représentation de tous les partis politiques. Sa mission première sera de constituer un corps électoral et une carte électorale justes pour enfin lancer les échéances électorales, conformément à la constitution de 2002.

CE QUE PENSE LA VRAI SOCIETE CIVILE CONGOLAISE !

D’autres part, la société civile congolaise, celle qui s’oppose clairement au changement de la Constitution refuse tout Dialogue tendant à mettre à plat les institutions de la République par une tentative de transition qui reste inopportune pour l’heure et reste ferme dans sa position de la préparation d’un processus électoral digne et crédible par la mise en place d’une Commission Electorale Nationale Indépendante « CENI » libre, Autonome et Crédible Avec l’assistance des Eglises (Conseil Œcuménique) et la Communauté Internationale (Union Africaine, Union Européenne, et USA).

Parmi plusieurs Organisations de la Société Civile Congolaise qui disent NON AU CHANGEMENT DE LA CONSTITUTION, un mouvement de la société civile semble-t-il très engagé, objectif dans la lutte Citoyenne, honnête et crédible. Il semble avoir de la sympathie et une attention particulière au sein de la population, au sein des Eglises dans les milieux des Nations Unies et Diplomatiques par ses prises de positions et du fait de son maintien de son caractère citoyen et en maintenant clairement son rôle, en tant que Force de pression et de proposition pour une alternative apaisé. Surtout par son impartialité de défendre et traités les questions de la vie nationale du Pays .Elle est dénommée :

LA PLATE FORME DE LA SOCIETE CIVILE POUR LE RESPECT DE LA CONSTITUTION DU 20 JANVIER 2002.

Cette Plate-Forme de la Société Civile est dirigée en majorité d’anciens militants de l’U.G.E.E.C un vieux Syndicat des élèves et étudiants du Congo des années 70, ses Personnalités, Hier Jeunes, ont contribué fortement à la tenue et la réussite de la Conférence Nationale Souveraine de 1991 ; par leur esprit d’abnégation et du patriotisme, surtout connu pour leur intégrité morale et le souci du bien être des congolais. Parmi ses citoyens dirigeants de cette plate-forme, nous avons :

  • Dr Alex NDZABANA WA IBACKA, ancien militant de l’UGEEC, compagnon de lutte d’Ange DIWARA, Président de l’Association M22 et Coordonnateur National de cette Plate-Forme de la Société Civile très dévoué, engagé et beaucoup résistant ;
  • Anatole LIMBONGO NGOKA, ancien militant de l’UGEEC, ancien Co-Fondateur des Forces de Changement Plate-Forme Politique Crée en 1990 pour l’alternance et la bonne gouvernance, ancien militant du MCDDI ,actuellement, Président du Syndicat de la Confédération Africaine des Travailleurs Croyants  en sigle« C.A.T.C », Membre de la Coordination National Porte-Parole chargé du Partenariat et Relations Extérieurs Plate-Forme de la Société Civile, connu par son intégrité, sa capacité de Management des questions de la politique Nationale ;
  • Félix OUMBA BATANTOU alias BAJAN, ancien militant de l’UGEEC, ancien dirigeant du MOLIDE Parti des jeunes Intellectuels très connu comme Force des propositions avant, pendant et après la conférence nationale souveraine de 1991. Président du Conseil de Concertation des ONG de Développement (CCOD), Membre de la Coordination National Porte-Parole chargé de Communication et de la Question Stratégique de l’Information, Plate-Forme de la Société Civile très dynamique à l’encadrement des citoyen au question des politiques publique, engagé sur les questions associatives et de la citoyenneté ainsi de la préservation de l’intérêt général ;
  • Nazaire KANI ,ancien militant du MCCDI, ancien étudiant de l’institut des sciences religieuses de l’Eglise catholique, Membre de la Commission Justice et Paix, Secrétaire Général du Cercle de Réflexion sur le Développement Intégral en sigle « C.R.D.I »,Porte-Parole à la MobilisationPlate-Forme de la Société Civile, Optimiste sur les questions de l’alternance et la bonne gouvernance ,engagé au sujet du Développement Intégral de l’Homme et de tout Homme;

La PLATEFORME DE LA SOCIETE CIVILE POUR LE RESPECT DE LA CONSTITUTION DU 20 JANVIER 2002, parmi tant d’autres exigences ;

 

Sur le chemin de l’élection présidentielle de 2016, La Plateforme exige le respect strict de la Constitution actuellement en vigueur.

La Plateforme constate que :

– les partis de la majorité présidentielle tiennent à changer la Constitution ;

– certains partis politiques de l’opposition demandent la mise en place d’une « période de Transition » ;

Ces deux positions signifieraient la dissolution de fait des institutions constitutionnelles ; cela équivaudrait alors à un coup d’Etat en violation de la Loi fondamentale, révélant une fois de Plus la grande instabilité constitutionnelle du Congo-Brazzaville.

La Plateforme rejette une telle perspective, et exige :

1 – Que le président de la République Denis SASSOU NGUESSO s’engage à honorer son serment, donc à respecter sa Constitution et à ne plus empêcher la mise en place des conditions nécessaires d’un processus électoral pour la tenue d’élections libres, fiables et transparentes sous le parrainage de la Communauté Internationale ;

2 – Que le président de la République Denis SASSOU NGUESSO s’engage à respecter les engagements internationaux, pris au nom du peuple congolais, en matière de démocratie et de gouvernance, notamment les principes de la Charte africaine de la démocratie, des élections et de la gouvernance, signée par le Congo le 18 juin 2007, particulièrement en ses articles 10 et 23 qui stipulent :

« Article 10 :

  1. Les Etats parties renforcent le principe de la suprématie de la Constitution dans leur organisation politique.
  2. Les Etats parties doivent s’assurer que le processus d’amendement ou de révision de leur Constitution repose sur un consensus national comportant, le cas échéant, le recours au référendum.

Article 23 :

Les Etats parties conviennent que l’utilisation, entre autres, des moyens ci-après pour accéder ou se maintenir au pouvoir constitue un changement anticonstitutionnel de gouvernement et est passible de sanctions :

  1. Tout putsch ou coup d’Etat contre un gouvernement démocratiquement élu ;
  2. Toute intervention de mercenaires pour renverser un gouvernement démocratiquement élu ;
  3. Toute intervention de groupes dissidents armés ou de mouvements rebelles pour renverser un gouvernement démocratiquement élu ;
  4. Tout refus par un gouvernement en place de remettre le pouvoir au parti ou au candidat vainqueur à l’issue d’élections libres, justes et régulières ;

appropriées de la part de l’Union:

  1. Tout amendement ou toute révision des Constitutions ou des instruments

Juridiques qui porte atteinte aux principes de l’alternance démocratique. » ;

La Plateforme de la Société Civile, demande que la Communauté Internationale puisse signifier au Président de la République, Denis SASSOU NGUESSO :

 

  • Que le peuple congolais qui demande légitimement le respect de la Constitution du 20 janvier 2002, initiée par lui-même, n’a plus besoin de guerre ;
  • Qu’il refuse désormais de continuer à vivre dans l’oppression et la misère ;
  • Qu’il refuse aujourd’hui de continuer à être torturé ou tué au moyen d’armes acquises en son

nom avec ses propres ressources ;

  • Qu’il ne voudrait plus vivre de cette démocratie de l’intimidation et de cette culture de la violence politique, comme le stipule le sixième alinéa du préambule de la Constitution du 20 janvier 2002 :

« Condamnons le coup d’Etat, l’exercice tyrannique du pouvoir et l’usage de la violence politique, sous toutes ses formes, comme moyens d’accession au pouvoir ou de sa conservation. » ;

  • Qu’il refuse de continuer à être tirer dans les ténèbres au lieu d’être conduit vers la lumière ;
  • Qu’il refuse que ses ressources continuent à être utilisées dans des dépenses de prestiges alors qu’il a besoin d’hôpitaux et d’écoles dignes de ce nom autant qu’il a besoin d’usines qui résorberaient ses problèmes de chômage.
  • Au regard des développements qui précèdent, il refuse désormais, que le processus de la tenue des élections libres, fiables et transparentes, tant attendues, relève de sa seule initiative, lui qui se trouve à la fin de son second et dernier mandat conformément aux dispositions des articles 57 et 185 de la Constitution du 20 janvier 2002.
  • La « Plateforme de la société civile pour le respect de la constitution du 20 janvier2002 », mouvement non violent, réaffirme son rôle de force citoyenne à la fois comme sentinelle et force de pression populaire, d’une part, et, comme force de propositions, d’autre part.
  • La nouvelle exigence des citoyens et des peuples implique de ne pas s’autolimiter dans la défense du bien-être général. En effet, les promesses non respectées, les trahisons d’un nouveau pouvoir qui ne se différencie pas, dans la pratique, de l’ancien régime, entraînent désillusions, repli sur soi et démobilisation. Les organisations de la société civile voient l’enthousiasme s’éteindre et leur audience fondre.
  • Etre acteur social en tant que force de propositions c’est ouvrir la possibilité de pouvoir influer sur le cours des choses, sur la vie du pays ; c’est permettre de mobiliser la population afin d’obtenir des lois et des réformes qui améliorent sensiblement ses conditions de vie.
  • S’autolimiter dans la bataille pour un vrai changement au Congo, en refusant d’être une force de propositions reviendrait à laisser encore le pouvoir à ceux qui l’ont eu pendant des décennies, avec le bilan que l’on connaît.
  • En mémoire des nombreuses victimes de l’arbitraire, de l’intolérance politique et de l’injustice sociale, les forces patriotiques luttent depuis la Conférence Nationale Souveraine contre la mal gouvernance et il n’est pas acceptable que la « Plateforme de la société civile pour le respect de la constitution du 20 janvier 2002 » accompagne des dirigeants et (ou) des partis politiques qui voudraient dupliquer cette pratique ou servir leurs intérêts personnels.
  • Dans l’unité citoyenne pour la défense de nos droits à la vie, sans interférence tribale ni ethnique, le mouvement non violent que rassemble les organisations de la « Plateforme de la société civile pour le respect de la constitution du 20 janvier 2002» appelle les membres de ses organisations affiliées, tous les démocrates et les patriotes à plus de vigilance et de mobilisation pour dire et redire :
  • Non au changement de la Constitution du 20 janvier 2002 ! Non à un 3ème mandat du Président actuel de la République ! Oui à l’alternance démocratique au Congo !

Parmi ses deux groupes qui ont pris position sur ce débat constitutionnel, d’une part les partis politiques et d’autres parts la société civile. Qui d’entre eux pourra réussir à faire accepter ses propositions pour sauver notre population de ce grand danger qui plane au-dessus de la nation congolaise.

En conséquence, interpellé par le devoir de mémoire, les acteurs politique congolais et de la société civile doivent prendre l’engagement ferme devant le peuple congolais et la communauté international de œuvré pour enrichir les acquis de la paix, de la concorde et de l’unité national en privilégiant le dialogue républicain pour la préservation de la démocratie. Afin de prévenir le pays des grands malheurs (affrontement de deux blocs antagonistes et guerre civile).

En fin, le Congo Brazzaville, pays d’Afrique Central riche en ressources naturelles et avec une population pauvre a besoin d’un Dialogue Citoyen par une médiation internationale, dans un objectif de prévenir un nouveau conflit armé prévisible. Le peuple congolais a besoin non seulement du pain, mais aussi de paix pour reconquérir son espoir et sa charité fondé sur la Justice Sociale et le bien commun.

Voilà succinctement ce qui se dit dans les états-majors de nos partis politiques et de la société civile.

En effet, ça semble être une sortie digne, cependant ce que l’on ne comprend pas, c’est la volonté du PCT de changer impérativement cette Constitution, et du chef de l’Etat, qui lui, nous a exhorté « à travailler d’abord ! ».

ANKOBEKE DIAKOULABANTOU

Ferney Justel

Directeur des Relations Publiques du Journal SEL-PIMENT.

Ce contenu a été publié dans Les articles. Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

18 réponses à LA PERSPECTIVE DE LA SORTIE DE CRISE POLITIQUE AU CONGO BRAZZAVILLE.

  1. Le Comte de Mpouya dit :

    Parmi les compatriotes cités, je connais bien Anatole Limbongo Ngoka qui est très sincère dans les actes qu’il pose. D’ici là je rejoindrai son syndicat car la République est vraiment en danger avec Sassou et son PCT. Merci pour l’article

  2. MUBENDA dit :

    Contradiction flagrante: l’organisation d’une élection sous l’égide ou contrôle de la communauté internationale est-elle en conformité avec les dispositions constitutionnelles du texte de 2002 que vous sanctuarisez? Vous voulez affirmer quelque chose et son contraire en même temps !

    A supposer que le principe de l’organisation d’une élection sous l’égide ou contrôle de la communauté internationale soit acquis, n’est ce pas là une voie de compromis qui vous aura aspiré à votre corps défendant? Que restera t-il alors de consistant et sérieux de votre texte?

    Non cher monsieur, il ne faut pas tricher comme les autres, ceux qu’on veux dénoncer, et se mentir à soi-même sur le moment. L’exception ne peut-être admise, de qui que ce soit car la question de l’avenir du Congo étant éminemment politique, en cas de non compromis, le coup d’état militaire « républicain », comme ce-là fût le cas au Niger, sera le seul processus politique qui permettra en même temps la continuité de l’Etat, la sécurité des populations et un espoir de nouveau souffle à la démocratie à la fin de la période d’exception.

    Les positions des forces politiques en présence étant tranchées, comme on sait, entre opposition radicale et majorité présidentielle, peut-on imaginer l’une ou l’autre partie, surtout la majorité présidentielle, se surpasser, faire des concessions dans l’intérêt général? C’est une bonne question à laquelle il faudra trouver de réponse.

  3. Isidore AYA de Makoua dit :

    Philosophie et débat de conscience: l’Afrique noire se ridiculise-t-elle par elle-même?

    On apprend tous les jours l’existence et la gravité de nouvelles crises politiques et terroristes en Afrique noire. Que se passe-t-il? L’Afrique noire progresse-t-elle ou bien assistons-nous à une vaste entreprise de marketing de gestion du chaos?

    La communication politique et de gestion du chaos à l’échelle du continent noir: peut-on être à la fois pyromane et pompier?

    Peuple d’Afrique noire, sommes-nous victimes de notre propre anthropologie ou de l’état d’esprit à caractère dictatorial ou de l’irresponsabilité individuelle et collective? S’agit t-il d’une stratégie de la vente de l’industrie du chaos à l’échelle du continent noir?

    Aujourd’hui, aucun africain libre et raisonnable ne peut nier que les dictateurs confiscatoires de processus d’alternances politiques, des libertés fondamentales et d’évolution de la condition humaine à l’échelle africaine sont tous fichés comme des pyromanes et pompiers.

    Ils sont pyromanes et pompiers des crises politiques, socioéconomiques, environnementales et sociétales qui secouent leur pays, parce qu’ils les ont eux-mêmes soit engendrées et/ou entretenues dans le temps de leur pouvoir, pouvoir qu’ils se souhaitent détenir à vie.

    A chaque crise politique ou humanitaire qui sévit comme d’habitude en Afrique noire, le premier réflexe des représentants des organismes non-gouvernementaux et des associations humanitaires est d’abord de demander à l’ONU et aux experts de l’Afrique noire: qu’elle est la nature du régime politique? qu’elle sont les mentalités, habitudes et comportements du dictateur en place? Traite t-il bien, mal ou très mal ses sujets? Le pays est-il pauvre ou riche en ressources naturelles?

    Nous vivons maintenant dans un monde où l’industrie dictatoriale africaine peut dicter ce dont il est judicieux ou non de parler au monde libre et civilisé.

    En effet, l’industrie dictatoriale africaine contrôle les essais chaotiques effectués par des organismes politiques privés internationaux et ne distille que les données politiques qui lui conviennent.
    Les revues politiques internationales rejettent des papiers « controversés », mais publient les yeux fermés des articles signés de grands noms alors que chacun sait qu’ils ont été écrits par des agences de communication pour le compte des dictateurs stupides, sanguinaires et criminogènes.

    Les sommets politiques ou socioéconomiques africains (ordinaires ou non) sont devenus de véritables foires commerciales. Il y a plus de lobbyistes travaillant pour le compte de cette industrie que de délinquants financiers (paradis fiscaux) et d’affairistes internationaux des matières premières, et de trafiquants d’armes de guerre et de munitions… L’argent du lobbying corrompt absolument tous les africains, du pouvoir dictatorial aux pseudo opposants politiques en passant par les résistants politiques et même la société civile (associations).

    La vie politique africaine devient tout un enjeu: politique, économique, militaire, cultuel, géostratégique et puis…

    Dans le passé, on a décolonisé l’Afrique noire pour traiter les problématiques: humanisme, société et civilisation. De nos jours, on crée des crises politiques ou humaines à l’échelle africaine pour vendre d’abord des dictatures puis des religions, et enfin des munitions et des armes de guerre, et suivent les organismes humanitaires qui sont la pour gérer le service après-vente. Quel bazar cette Afrique noire!

    Quand une race est stupide, peut-on utiliser ces hommes politiques pour vendre les guerres de religion? Quand une race est assise sur une mine d’or, peut-on utiliser les matières premières comme une compagnie d’assurance et les dictateurs à endiguer la spoliation de cet écosystème sociétal riche comme alibi au pillage systématique de ce continent noir?

    Cette dévastation forestière, pétrolière et minière provoque inéluctablement des empreintes écologiques fortes et des risques sanitaires et environnementaux majeurs d’abord à l’échelle nationale, continentale et puis planétaire, sans compter les changements climatiques et les problèmes de santé publique (l’inflation des cancers).

    Les dictateurs dont l’image dictatoriale vient à expirer, continuent d’être vendus sur le marché international, sous une nouvelle appellation démocraturiale (condensation pseudo démocratie + dictature).

    C’est par ce tour de passe-passe que les donneurs d’ordre ou représentants du crime organisé international vont décider de remplacer les anciennes dictatures stupides, sanguines et criminogènes et de présenter la nouvelle génération de dictatures non addictives de violence, de barbarie et de crime contre l’humanité, bien que ces nouveautés ne soient pas plus efficaces sur le progrès des libertés fondamentales et de la condition humaine en Afrique noire.

    Dans les années à venir, on assistera de plus en plus en Afrique à une création de toutes pièces de démocratures sponsorisées par les corporations liées au marché des matières premières, du trafic d’armes et du crime organisé.

    Publié par Isidore AYA TONGA, Philosophe et scientifique environnementaliste, adepte de la philosophie de l’expertise contradictoire. Votre ambassadeur numérique pour la vulgarisation de la culture scientifique et de la paix des cœurs au 21è siècle !

  4. Mbia dit :

    Le changement de la constitution est un faux débat qui ne doit pas du tout interesser les congolais intelligeants, conscients et de leurs responsabilités.
    Pas de négociation avec le dictateur et les autres criminels au pouvoir.Sassou Nguesso, famille clan,doivent repondre à la CPI tous ses crimes de sang et économiques commis. Les congolais sont menacés par la faim et maladies alors que Sassou Nguesso qui instauré un systeme mafia comme mode de gouvernement avec lequel l’argent du trésor public, des revenus directs du pétrole, du bois et d’autres matiéres premières, taxes douanières est dilapidé par ses enfants bâtards, sa famille, son clan, les maitresses n’a qu’à une préoccupation, réviser la constitution pour se maintenir au pouvoir. Si on laise faire faire Sassou Ngesso , son PCT, ce qui revient à dire continuer à faire souffrir les congolais qui ne manqueront plus de vivre d’autres disparus du Beach, des massacres, des génocidesdans le Pool où ailleurs et vivre dans une sorte de prison ouverte. A cause de la malgouvernance de Monsieur Sassou Nguesso. le Congo est déjà aujourd’hui confronté à un problème d’assainissement et de d’environnement insuportable. Ce problème comme tant d’autres va s’accentuer et le Congo comptera de plus plus en plus de maladies et des morts dus aux maladies hydriques.
    Jeunes congolaises et congolais, ne vous laissez plus berner. Votre avenir sera ce que vous ferez aujourd’hui. Recensez sur toute l’étendue du territoire congolais tous les biens appartenant à cette bande de voleurs fainéants parasites comme l’ a écrit Nassimina Mêrii .Les biens mal acquis du systeme Sassou Nguesso -PCT représentent une « folie des grandeurs que le monde contemporain n’a jamais jusqu’à lors connue et dont la litanie des faits ne cesse plus d’alimenter tristement la chronique depuis une décennie.Sassou Nguesso, un président semi illétré, illégal,non élu de la république du Congo, sa famille, sa clique; près de 0,5 % de la population congolaise recelent, bradent sans scrupule les richesses du pays pour servir leurs propres intérêts, plaisirs.l’argent du Trésor public congolais est détourné pour acheterles biens personnels, massivement les armes de destruction massive et entretenir une armée, police privées et milices composées par un bon nombre de terroristes recherchés dans le monde pour protéger et garder infiniment le pouvoir.http://brazza-news.com/?p=12214. On se croirait dans un film Westen d’hollywood d’un mauvais goût,qui touche à la bêtise. Pourtant il est ici question d’une vérité nue et cruelle. » Sassou Nguesso qui se prend pour le proprétaire du Congo, un Dieu et sa famille, ses enfants adultérins, son clan au pouvoir, ses dignitaires, ses courtisans et ses valets locaux et étrangers, tuent, sans état d’âme,à petit feu le peuple congolais pour jouir des privilèges du Congo, pendant que le peuple désœuvré est condamné à ramasser les miettes, à mourrir comme des mouches par des maladies multiples dues le plus souvent à la misères, le manque d’hygiène. Epouvantable que tout cela peut paraitre,il y a aussi les assassinats, génocides surtout des années 1997 à 2003 à Brazzaville et dans les régions du Pool, Niari, Bouenza sans oublier les explosions de Mpila, arrestations spectaculaires accompagnés de carnage des civils telle que celle de Ntourou ainsi que l’affaire des 353 disparus du Beach en 1999 qui durcissent le triste calvaire vaicu par le peuple du Congo. Le peuple du Congo vit dans la peur, la hantise particulièrement pendant près de 18 ans que le dictateur génocidaire Sassou Nguesso est revenu au pouvoir par un coup d’état; le plus sanglant de l’histoire moderne. Dominés par la peur, »les Congolais ont développés le syndrome de Stockhlom syndrome de Stockhlom= un phénomène psychologique ou les otages et victimes partageant longtemps la vie de leurs bourreau développeraient une sorte d’empathie voire de sympathie envers ce dernier »,comme l’a déjè écrit un certain PiliPili. Les intellectuels, officiers de formation de l’armée font le jeux ou se taissent, laissent faire, comme si de rien n’était.Le nombre des biens immobiliers de Sassou Nguesso, de ses enfants, de sa famille, de son clan, de ses maitresses,dans des quartiers les plus huppés, chèrs de Paris, Monaco et d’autres capitales du monde ne se comptent plus. Sassou Nguesso, ses enfants et leurs complices voyagent dans des jets privés à travers le monde.
    Il est urgent que les choses changent. On ne peut plus tolérer au pouvoir un président irresponsable et son gouvernement incompétant qui fragilise tant les populations meurtries  » par la malnutrition, le manque d’eau potable, le manque d’ accès aux soins hospitaliers. Les Congolais meurent en masse à cause des « maladies sont liées aux problèmes de qualité de l’eau, d’assainissement et au manque de salubrité et d’hygiène. On ne peut plus laisser Sassou Nguesso et sa clique diriger le pays avec tant de crimes, génocides, tel que celui des disparus du Beach est par exemple, »une tuerie collective orchestrée par des hauts responsables de l’État, qui s’est déroulée entre le 5 et le 14 mai 1999 au Beach de Brazzaville sous la responsabilité de Sassou. »http://blogs.mediapart.fr/blog/jecmaus/200813/congo-brazzaville-revelations-accablantes-sur-les-crimes-de-sassou-nguesso-dans-la-region-du-pool. Sassou, sa clique, sont système doivent dégager au plus vite.Il est grand temps que le Congo adhére au monde civilisé, démocratique et que l’ » EXERCICE DES DROITS CIVILS ET POLITIQUES »de ce monde y soit pris en compte. Vu le nombre de crimes contre l’humanité depuis des années, Sassou Nguesso et sa clique ne doivent plus un seul jour de plus jouir de libertés qu’ils bénéficies jusqu’aujourd’hui.Trop c’est trop. Le comportement de Sassou Nguesso et de sa famille, de sa clique rompus à la règle du profit personnel et le plaisir, ainsi qu’aux pratiques sataniques, n’ est pas du tout conforme à la doctrine politique et à la jurisprudence de ce monde. Il faut exiger le départ de Sassou Nguesso et sa clique pour trahison, vols, recels de biens de communauté,assassinats,crimes contre l’humanité, génocides, mal-gouvenance,dépravation des mœurs au Congo. Pour le nouveau Congo, les personnes impliquées dans les vols, recels de biens de la communauté, assassinats politiques, crimes contre l’humanité, génocides ne doit plus exercer des activités politiques,des responsabilités dans des entreprises étatiques.Cela est une exigeance judique et morale. Partout dans le monde une personne qui détourne,confisque le bien commun est traitée comme un hors la loi,un criminel. Elle doit être punie par la justice sans autre forme de procès. Pourquoi cela n’est il pas ainsi au Congo et un grand criminel comme Sassou Nguesso et sa clique ont toujours continué à dicter la loi. Sassou-N’guesso veut à tout prix changer la Constitution pour l’intêret personnel. Ils appellent maintenant aux négociations.On ne peut pas continuer à se laisser diriger par Sassou Nguesso ou d’autres personnes hors la loi. On ne peux pas négocier avec les criminels, les assassins du peuple. Il faut impérativement dire non au dialogue, non aux élections bidonnées et oui aux manifestations pacifiques pour que Sassou quitte le pouvoir!.Ils ne tireront pas sur la foule. Ne cédons pas à la peur qu’ils essaient de semer. Ils ne peuvent pas. Et ils le pourront encore moins si nous restons tous pacifiques. Il n’y aura pas de guerre comme l’a déjà dit sacer. « C’est maintenant qu’il faut dire stop aux scrutins mascarades ».Denis Sassou N’Guesso, qui a déjà été au pouvoir 27 ans, n’organise pas des élections pour les perdre. Le parlement sera nommé par le parti-Etat, le Parti Congolais du Travail (PCT), qui ne laissera aucune chance à des forces d’opposition. Les listes électorales ne sont pas fiables, puisqu’il n’y a pas eu de recensement administratif convaincant depuis 1997. La répression, la corruption, le népotisme, la construction par le pouvoir de faux partis, ne permettent pas à une opposition réelle de s’organiser. Le découpage électoral avantage le Nord du pays, dont les circonscriptions regroupent beaucoup moins d’électeurs qu’au Sud. »http://survie.org/francafrique/congo-brazzaville/article/congo-brazzaville-c-est-maintenant. Sassou Nguesso, famille clan,doivent repondre à la CPI tous ses crimes de sang et économiques commis. » pas d’eau, pas d’électricité, pas de routes, d’écoles ni d’ hôpitaux. Pour moins d’un Euro, un Congolais meurt de faim ou faute de soins. » Les villes du Congo sont les villes les plus sales du monde. ./ http://www.congo-internet.com/pdf/congo_vu_par_thiery_hayes.pdf / « Pointe-Noire, est par exemple confrontée aujourd’hui à un problème d’assainissement et de d’environnement, la ville pétrolière du Congo Brazzaville est devenu hostile à la vie, avec la prolifération des décharges sauvages d’ordures dans toutes la ville ou presque. » Pour quelles raison doit on encore tolérer le dictateur génocidaire Sassou Nguesso et sa clique pour qui le gain et plaisir particuliers prime sur le reste:http://congo-liberty.com/?p=80 .4e producteur du pétrole brut en Afrique, le pétrole au Congo est pour le peuple congolais une malédiction dont les revenus ne lui profite guère. Denis Sassou Nguesso a fait de sorte que le pétrole soit avant tout soit une affaire du fils bâtard; Denis Christel Sassou Nguesso qui gagne au moins un milliard de dollars par mois. http://www.zenga-mambu.com/fiche.php?id=2386.
    Sassou Nguesso est un bandit de grands chemins .il est un imposteur qui s’est médiateur pour des conflits régionaux.( http://congo-liberty.com/?p=11192#comments ).Il dilapide l’argent du trésor congolais pour corrompre les autres chefs d’états, chefs rebelles et autres pour imposer sa volonté et sa soif de reconnaissance. Sassou Nguesso se permet jusqu’á aller payer les salaires des travailleurs des autres états, alors que chez lui le peuple; plus de 90 de la population vivotent.Face à tant de misére qui revient au peuple congolais, gens qui succombent à des crises cardiaques,malnustuction, à la suite d’AVC, de manque d’hygiene, de mauvaises conditions sanitaires, malnustruction, mortalités enfantilles et maternelles les morgues sont deviennus un commerce juteux.Sassou Nguesso est responsable des assassinats de Marien Ngouabi, du Cardinal Emile Biayenda, du Président Massamba débat et des assassinats du comité militaire du parti en 1977. Le dictateur Denis Sassou Nguesso; le terroriste d’ état depuis 1968 est un obstacle pour la paix, le développement du Congo.http://www.zenga-mambu.com/fiche.php?id=4954. Il est un des auteurs de l’attentat du DC10 d’UTA qui avait fait 270 morts, dont une quarantaine de Congolais, en 1989 au-dessus du Niger. Le pouvoir de Sassou Nguesso est maintenant aux abois.L’heure a sonné pour mettre fin à la dictature Sassou Nguesso. »Peuple du Congo! Levons nous pour chasser le dictateur, sa clique et son systéme diabolique, criminel.

  5. Chers compatriotes, heureusement que le départ de SASSOU ne dépend pas de ces faux opposants ! Mais du président français , mon collectif écris souvent ,à Madame Hélène le GALL , la conseillère Afrique du président François hollande afin qu’elle puis tenir informé le président du danger que représente Le boucher d’Oyo sassou. Le dialogue ou encore la transition seraient non constitutionnelle ,voilà piège que vous tant le diable sassou ! Les congolais iront votez en Août 2016 avec une nouvelle commission électorale transparente et des observateurs internationaux Onusiens ! le reste n’est que la pure supercherie de sassou .

  6. ni meho dit :

    Merci pour l’article même si il y’a des contre vérités historiques:

    Alex NDZABANA WA IBACKA, a peut être été proche des idées diawaristes mais n’a jamais été compagnon de lutte de Diawara. Les purs diawaristes ne savent pas comment il a fait pour se retrouver à la tète de l’association M22. Ceci étant dit, il a été accepté et adoubé. Si vous regardez effectivement la composition du bureau de cette coordination, vous verrez que c’est effectivement les anciens de M22 qui sont à la manœuvre. Si ce ne sont eux même, ce sont leurs enfants. C’est clair.
    Je ne connais personnellement pas Anatole Limbongo Ngoka. Il est m’est d’avis qu’il est M22, Je l’ai croisé entouré de diawaristes à Bacongo, en juin 2014, entrain de travailler un texte. Quelques semaines après était publié le mémorandum de leur plateforme.

  7. Anonyme dit :

    A Mr. Le Comte de Mpouya,
    Soyez gentil, Mr. Limbongo Ngoka Anatole a un contentieux avec le Pool pour un comportement rétrograde, sauvage et incivique qu’il avait eu pendant la CNS, contre un pauvre Professeur de CEG qui avait été abattu par les paras du GAP au pont de Djoue lors du Coup d’Etat échoué de Elf via Général Mokoko Jean Marie.
    Les Faits: Le Professeur était venu chercher son salaire et rejoignait son Poste a Kinkala. Suite a ce forfait, l’hippopotame du pont du Djoue s’était déchaîné comme pour dire qu’il y’avait eu soulèvement de la nature. Donc Mgr. Nkombo avait demandé une minute de silence a la mémoire du disparu, Limbongo Ngoka était le seul a refuser et surtout pendant la minute de silence, a traiter le Disparu de Ninja.
    Pardon Le Comte de Mpouya, le nom que tu utilises est mon village coté maternel, ne souille pas avec cet énergumène. Qu’il vienne a Mfoa nous l’attendons.
    Merci

  8. ni meho dit :

    Etonnant, sous Mgr NKOMBO, le terme NINJA n’existait pas me semble t-il. Anonyme ne se trompe pas t-il de période?

  9. Anonyme dit :

    A Moubenda,
    Si vous n’êtes qu’un prête-nom, je ne vous en veux pas pour votre intervention. Mais si c’est le Moubenda que tout le monde connait ici a Brazzaville comme le tueur des 353 du Beach et le criminel de la guerre de 1998, pardon je vous prie de vous taire. Vous ne savez le sors qui vous est réservé.
    On a poussé le vice jusqu’à vous nommer député, l’heure de rendre des comptes n’est plus loin.
    Autant je suis prêt a pardonner le President SASSOU de ses crimes économiques, mais autant je serai impitoyable envers tous ses hommes de main.
    Vous n’êtes pas obligés d’accepter le sale boulot; mais vous le faites pour vous attendre a des contre-parties. C’est du mercenariat! Et dans ce groupe il y’a Ntsourou, Okombi Salissa avec son front 400 et que certains veulent blanchir, Moubenda (Tchikambou), Bakana Vital le tueur des religieux au Pool, et la liste est longue nous la publierons. Freddy Menga et Moungabio sont deja en Enfer en train de gémir sous les fouets de Belzebul.
    Je termine en disant que si vous n’êtes pas ce Moubenda que nous attendons pour le pendre au marche de Madibou d’ici la fin de l’année, alors pardon mon Frère.
    Sans rancune.

  10. Anonyme dit :

    Ni meho, Ce que je dis était bien sorti de la bouche de Libongo Ngoka; et comme la CNS était en direct a la Télé et a la Radio, nombreux sont ceux connaissent cette inoubliable affaire. Vous pouvez le lui demander et les K7 sont là. Ce que nous faisons en bien ou en mal publiquement, finit par nous rattraper un jour. Le saviez-vous que c’est le front 400 qui décapitait les gens dans le couloir humanitaire et précisément aux deux silos de la Centrale Hydro électrique du Djoue?Les Tchadiens étaient avec eux.
    C’est de tout çà qu’il faut que nous établissions les responsabilités des uns et des autres. Le pétrole sur lequel tout le monde cherche a s’agripper est de loin ma préoccupation; ce n’est pas une denrée alimentaire.

  11. toto moches dit :

    C est qui est plus important il faudra d abord faire un nouveau recensement les fichiers électorales surtout n est pas accepter le dialogue avec ce criminel de sassou parce-quil est très intelligent

  12. pilipili dit :

    Et pendant ce temps matraquage des consciences par le Pct et ses sbires tout azimut aux quatre coins du pays et dans les quartiers pour aller prêcher la bonne parole du bienfait du changement de la constitution.
    Organisation d’une marche pour la paix le 1er mars.
    Matraquage médiatique ou tous les médias du pouvoir donc nationaux (télévisions, journaux) sont sollicités.
    Même les églises dite de réveil (ou plutôt d’abrutissement) sont sollicitées. Ces églises qui prennent de plus en plus d’ampleur au pays, abrutissent encore un peu plus la population qui tombe entre leur main, ne sont en fait que des boutiques de commerçants charlatans qui ont flairés l’argent facile à gagner sur la naiveté des gens.
    Et tout ceci à coup de millions de CFA détournés au trésor public.
    Et dans le même temps intimidation de la population par les mouvements de la force publique qui manœuvre en pleine ville en faisant usage de leurs armes.
    Tout cela pour étouffer les voix qui pourraient s’élever et s’opposer eu changement de la constitution et les marginaliser en inversant les rôles en laissant penser par ce matraquage des consciences que les opposants à ce changement sont aussi les opposants à la paix.

    « DEGAGE » « QUITTE LA »

  13. ANONYME,
    A propos des k/7 que vous détenez sur LIMBONGO vous ferez mieux de les sortir ainsi vous aurez rendu service à tous ceux qui étaient absents de la Conférence Nationale,,afin qu’ils y découvrent la vérité. Mentir pour mentir salir pour sali,r vous y gagnez quoi? Sachez une chose, le parcours politique de cet homme est linéaire il n’est pas en dents de scie comme ceux de ses aînés. ANATOLE LIMBONGO NGOKA n’est pas du Pool, cependant, ses meilleurs amis sont originaires du Pool. Arrêtez de pondre des inepties car bon nombre des concitoyens l’ont suivi à la Conférence nationale et ont apprécié son comportement intègre. L’homme continuera à œuvrer inlassablement pour son Pays, à y apporter sa modeste contribution à la construction de son pays, ce ne sont donc pas vos Mensonges qui vont l’arrêter à toujours bien faire. BAKALA DIA KOUBA, dit ANONYME,,,on attend tes fameuses K/7 SUR INTERNET Si tu es véridique sinon taie toi et va rejoindre la compagnie des menteurs dirigée par Sassou et le Pct.

  14. Anonyme dit :

    A Melie De Joy Massanga,
    Je n’interviens pas pour le plaisir ou pour chercher a salir. Limbongo Ngoka le sait et il peut confirmer mes dires. Donc pas d’insultes s’il vous plait, car au moment des faits, si ma memoire est bonne, il était membre de l’UPADS.
    Si on vous dit que Okombi Salissa est le chef du front 400 qui a tué dans les couloirs humanitaires vous direz aussi que c’est faux. Faire partir SASSOU seul n’est pas le but que nous recherchons au Pays. Vous ne verrez nul part l’action de ses mains contre un individu quelconque. Mais ce sont ceux qui acceptaient ces sales missions que nous aimerions avant tout connaitre car la dessus il y’a de quoi dire si nous ne voulons pas que les mêmes choses se répètent. Qu’un de ceux qui sont en France là-bas prennent la place de SASSOU, les gabegies avec le pétrole vont reprendre. Mais nous, ce n’est pas ce pétrole qui nous intéresse en premier, c’est plutôt le bien vivre avec de bons soins, une bonne eau, un océan poissonneux et débarrassé de ses nombreux puits polluant, et enfin la garantie des libertés.
    Je termine en disant que vous êtes libre de faire la promotion de Mr. Limbongo Ngoka, mais nous l’attendons a Brazzaville.

  15. tata mbiemo dit :

    @ anonyme,

    Juste te dire que Libongo Ngoka a toujours vécu à Brazza car il est cadre à la S.N.E et a occupé encore très récemment la dircetion des ressources humaines de cette société. Une autre contre-vérité, Libongo Ngoka n’a jamais été membre de l’Upads, en revanche, il a été membre du MCDDI et s’était rapproché un moment de l’abbé Yanguissa.
    C’est plutôt toi qui doit te rendre au pays.

  16. massanga dit :

    Anonyme,
    Pas d’ injures dites vous certainement mais lorsque l’on produit des contre vérités sur la toile n’est ce pas déjà de l’INJURE? Sachez bien ceci, vos déclarations mensongères sont salissantes vis à vis de ce père de famille, de sa famille politique et de son environnement. LNA n’a jamais été membre de L’upads il n’a non plus était dans les couloirs de la mort pour donner la mort à ses compatriotes et même parlant de ce monsieur qui aurait trouvé la mort en allant chercher son salaire, penses-tu qui se sont croisés vers le djoué? Faux C’était mal connaître ceux qui tenaient les bouchons au sud car la condition si ne qua nun du franchissement de ces barrages était qu’ill fallait parler sa langue maternelle, en tout cas LNA était un homme mort s’il c’ était aventuré par là-bas même pour une cause juste par exemple accompagnée ses enfants qui sont du sud, il ne le pouvait, car parlant le lingala et ne maîtrisant pas le kituba. Alors tu l’en veux tout simplement parce qu’ il aurait fait du bruit pendant la minute de silence ? Et c’est pour ça que tu t éfforces de le salire? .penses-tu qu il soit de la trempe de ce qui ont de la mauvaise Éducation ? Pour terminer sache que je ferais toujours la promotion de cet homme vrai en politique car ils ne sont pas nombreux à être constants dans ce domaine. Il n’est pas dans la prostitution en politique. OK? J’ attends toujours tes K/7 pour confondre Limbongo. Allez courage !!!!

  17. ANKOBEKE DIAKOULABANTOU dit :

    MERCI POUR VOS COMMENTAIRE §JE COMPREND COMMENT LES CONGOLAIS SONT PASSIONNES POUR LEUR NATION.MAIS SACHEZ QUE L’AVENIR DE CE PAYS DEPEND DE VOUS SOYEZ PLUS OPERATIONNEL QUE THEORIQUE!UNISSONS NOS FORCES POUR BATIR CETTE NATION!LE DEBAT CONSTITUTIONNEL N’EST PAS UN TABU,
    POUR LE RESTE JE PREND BONNE NOTE.MES SALUTATION A TOUT LES CONGOLAIS QUI AIME LEURS PAYS§ A BIENTOT

  18. L’ opérationnalité dans le débat actuel, ne peut se rechercher que dans le texte de la constitution du 20 Janvier 2OO2 pas ailleurs, et ne pas le faire dans ce cadre c’est faire preuve de la malhonnête intellectuelle qui caractérise le pouvoir de SASSOU. Pourquoi alors avoir appelé de tous ses vœux à la naissance d’une loi suprême pour la regarder avec tant de mépris si on n’est pas soit même un homme malade, irrésolu, inconstant, incompétent, pourquoi s’être arrogé 2 fois 7 ans au lieu de 5 ans comme auparavant et être à la fin de la 14ème année, et toujours être dans l’ incapacité mentale de réfléchir sur la suite à donner à sa Constitution? Ne cherchons pas de midi à quatorze heures ce qui est claire et limpide et si on est atteint de cécité intellectuelle il y a un collyre très efficace a cette pathologie, c’est le sang de JÉSUS capable de rendre pur tout ce qui a été déclaré impur. Notre Constitution déclare à son article 56 al.11 et 12 : » Le président de la République est garant de la continuité de l’Etat… », donc à ce titre il est en droit d’entreprendre tout ce dont le pays a droit en amont pour la mise en oeuvre d’un chronogramme que l’on trouve dans les articles 61 et 62 déclarant ceci: » La convocation des électeurs est faite par décret en conseil des ministres.
    Le premier tour du scrutin de l’élection du Président de la République a lieu trente jours au moins, et quarante jours au plus avant la date d’expiration du mandat du Président de la République en EXERCICE, donc pour que les éléments contenus dans ces deux articles puissent trouver leur application effective, il faut que le président les mettent en mouvement avant 2016 !!!!!!!!! OKKKKKKKKKKKKKKKKKKKKKKKK? Par ailleurs, ALLER AU DIALOGUE POUR UNE ÉVENTUELLE RÉVISION OU POUR UN QUELCONQUE RÉFÉRENDUM OU ENCORE MOINS D’UN CHANGEMENT DE CONSTITUTION SE SERAIT LA TOUT SIMPLEMENT-LA LA MISE EN OEUVRE DU MIGNON JEU DE SASSOU QUI PAR CE BIAIS CHERCHE A ATTIRER UNE FOIS ENCORE LES » POLITICHIENS » DONT LE BEC EST PROMPT A LA MANGEOIRE ET AU GOSIER MAL REMPLI.

    L’OPERATIONNALITE DES CHOSES EST CLAIRE, pourquoi le Président de la République attend t-il encore au lieu de se mettre au travail?

Laisser un commentaire