La « boulette » africaine de Yann Barthès qui s’en prend à tort à Andrea NGombet

Sur le plateau de Quotidien le 3 mai 2017, émission animée par Yann Barthès (à droite) et « Ceci n’est pas moi », précise Andrea Ngombet (qui n’est donc pas à gauche) Capture écran Youtube / Lionel Bonaventure / AFP

L’animateur Yann Barthès se trompe et diffuse la photo d’une personne à la place d’une autre. « Normal, ironise Andrea Ngombet, c’est parce que je suis noir. » L’animateur du collectif Sassoufit exige un droit de réponse.

« Notre but était de donner un espace médiatique à des questions trop souvent mises de coté », explique l’organisateur. C’était sans compter sur l’ethnocentrisme des chasseurs d’audimat. Rien dans le reportage diffusé dans Quotidien sur la situation dans le Pool au Congo, l’emprisonnement d’opposants comme Okombi Salissa, rien sur les élections au Gabon ou encore sur l’arrestation récentes de deux activistes Nadjo Kaïna et Bertrand Solloh au Tchad –ils ont été libérés le surlendemain-. Non seulement, le sujet n’accorde pas une seconde aux questions africaines, mais en plus il ressort des vieilles casseroles pour discréditer l’organisateur de l’événement. L’objet du crime: des Tweets publiés en 2013 lors du débat sur le mariage pour tous. « Une connerie », nous explique Ngombet. Un message insultant visait Jean-Luc Romero. « Il nous avait chauffé et l’atmosphère était violente et tout le monde racontait n’importe quoi d’un coté comme de l’autre. » Jamais condamné pour ses propos, l’auteur des Tweets se défend d’être homophobe et présente encore des excuses à l’intéressé.La photo n’est pas la bonne. Sur le plateau de Quotidien, personne ne semble le remarquer. « Normal, ironise Andrea Ngombet, c’est parce que je suis noir.. » L’animateur du collectif Sassoufit pensait jusque-là n’avoir qu’un seul ennemi : Denis Sassou Nguesso, président du Congo-Brazzaville. Depuis mercredi, il en a un autre : Yann Barthès. « Et son ricanement », ajoute Ngombet, qui digère mal le fait d’avoir été malmené mercredi 3 mai sur TMC. Quotidien consacrait un reportage sur un événement qui se déroulait la veille à Paris.

Le vrai Andrea Ngombet, du collectif Sassoufit, à Paris le 14 décembre 2016

« L’Afrique s’invite dans la présidentielle » voulait accueillir l’un après l’autre les finalistes de la présidentielle pour parler Afrique. Objectif à moitié rempli puisque Marine Le Pen est venue, mais pas Emmanuel Macron. Il faut dire que la présidente du FN comptait plus d’amis dans l’assistance que le candidat d’En Marche, ce que le reportage n’a pas manqué de souligner. « On aurait été très contents d’accueillir des militants de Macron, répond Ngombet, le but de cette manifestation n’était pas de parler de Le Pen ou de Macron, mais de les entendre s’exprimer sur l’Afrique ». Ancien militant UMP, Ngombet avait invité des figures connues de la société civile africaine à Paris comme Martin Sali des « Résistants combattants de RDC » , l’exilé Tchadien Makaïla Guebla et la Gabonaise Laurence Ndong de « Tournons la Page ». Face à Marine Le Pen, cette dernière n’a pas mâché ses mots (voir la séquence ci-dessous)

Mais Ngombet réclame aussi un droit de réponse. Car une erreur factuelle s’est bien glissée dans ce reportage. Une de ces « boulettes » que Yann Barthès aime tant tourner en dérision. A la fin de la séquence, une photo montrant un homme en compagnie de Louis Aliot, le compagnon de Marine Le Pen, est diffusée sur un écran géant. Présenté comme Andrea Ngombet, le jeune homme s’appelle en réalité Miv et ne lui ressemble pas du tout! Ce que les chroniqueurs ne remarquent pas du tout! L’animateur de Sassoufit saisit l’argument pour s’inviter sur le plateau du Quotidien. L’idée n’est pas de reprendre le débat sur le mariage pour tous… mais de profiter des quelques 1.3 millions de téléspectateurs pour (enfin) évoquer les questions africaines. De quoi plomber l’audimat de Yann Barthès… Mais c’est bien connu, les Droits de réponse, ça plombe toujours les audiences…

« Nous avons reconnu notre erreur et nous l’avons rectifiée », précise l’auteur du reportage Valentine Oberti. La journaliste avec laquelle nous nous sommes entretenus après la publication de cet article vendredi 5 mai conteste les accusations d' »ethnocentrisme ». Elle rappelle que Quotidien consacre de nombreux reportages à l’étranger et qu’elle n’a en aucun cas voulu dénigrer les questions africaines, ni moquer les collectifs présents lors de cette rencontre. « L’angle que nous avons choisi était celui de la visite de Marine Le Pen, nous voulions faire réagir les bi-nationaux présents au programme de la candidate du FN, qui prévoit notamment la suppression de la bi-nationalité ».

Paris Match||Mis à jour le

Ce contenu a été publié dans Les articles. Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

10 réponses à La « boulette » africaine de Yann Barthès qui s’en prend à tort à Andrea NGombet

  1. VAL DE NANTES . dit :

    Cette méprise est révélatrice de la méconnaissance des problèmes africains et notamment du Congo , par des français qui n’ en ont rien à cirer .Mais , continuons en les tympaniser sur la cause congolaise .A force , d’acouphènes , ils finiront par lâcher les bribes ;;;

  2. Anonyme dit :

    Ce qui prouve encore une fois que la population Française est totalement déconnectée des problèmes africains et d’ailleurs tout est fait pour ce que cela en soit ainsi et perdure. Rien n’est fait par les politiques ou les médias pour qu’il en soit autrement.
    Nous nous connaissons la situation du Congo et déjà c’est bien souvent difficile à comprendre alors que dire de citoyens Français lambda qui pour la plus part n’arrivent même pas à situer géographiquement le Congo Brazzaville voir même à en connaître son existence.
    La bataille médiatique doit être menée inlassablement par la diaspora pour briser cette omerta rien ne nous sera donné.

  3. Bulukutu dit :

    Le fait qu’En marche n’est pas pris la peine de venir à cette réunion, en dit long sur ce qui va changer dans les relations Afrique -France, en cas de présidence Macron: RIEN

  4. Le nul qui veut savoir dit :

    il faut reconnaitre de Yann Barthes, que sa vulgarité et parfois son manque de sérieux dans ses présentations lui ont coûté son éjection de canal +; quant à savoir s’il connait le Congo, bien sûr sur qu’il connait bien la question du Congo-B pour avoir dévoilé une fois sur son plateau la fête d’anniversaire d’antoine tchibota en France. Ils connaissent bien la question africaine, mais apparemment ils ont des consignes à respecter. Pour savoir la position réelle de Marine Le Pen sur sa politique africaine, il n’y a qu’à suivre son discours devant le parlement de l’assemblée nationale tchadienne d’y il y a qlq semaines. Les africains doivent compter sur eux-même, rêver comme jadis sur le secours de l’Occident ou des politiques français, c’est vraiment de l’utopie.

  5. Lucien Pambou dit :

    A mes compatriotes,

    C’est triste ce qu’il s’est passé concernant Andrea Ngombet. Moi qui fréquente un peu les médias français quand j’en ai l’occasion, est témoin vivant de cet ostracisme vis à vis des Noirs, surtout Africains. Je peux faire deux remarques que je tire , hélas, désolé, de l’analyse du réseau.

    1. Les noirs africains, que nous sommes, somment trop naïfs, surtout nous Congolais de Brazzaville. certains d’entre vous ont cru que le Front National pouvait porter la cause des combattants congolais. réponse: faux car le père de Marion Le Pen, Monsieur Maréchal, est en business avec la plupart des pays africains. Et les naïfs congolais pensent que leur cause sera portée et entendue par le Front National.

    Vous avez beau vivre quarante ans ou cinquante ans en France, vous ne connaissez pas nos compatriotes français dits de souche parce que vous êtes trop entre vous à boire de la bière et à manger de la semoule, ce qui est une bonne chose, mais qui demeure insuffisante quand on veux, au sein du réseau trouver des alliances et des points d’appui stratégiques. Quelle force de persuasion les résistants congolais ont-ils auprès des médias français ? Aucune, pour la simple et bonne raison qu’ils n’ont ni l’influence, ni la puissance financière, et ils veulent mener une lutte en tendant la main pour que d’autres les aident.

    Yann Barthes est parfaitement dans son rôle et son attitude est délibérée, il fait croire qu’il s’est trompé et que Monsieur Ngombet peut avoir un droit de réponse. Réveillez-vous et ne vous endormez pas sur des chimères. Une partie de vos compatriotes français, dits de souche, ne vous font pas confiance car vous passez votre temps qu’à vous plaindre. Ce qu’ils aiment, c’est l’argent, or vous n’en avez pas, et certains opposants congolais qui veulent mener des luttes et ont pillé le Trésor congolais en venant à Paris avec des sacs ou des malles de devises après les événements de 1997, gardent cet argent pour eux, veulent une révolution au Congo, se répandent sur les ondes et ne disent pas la vérité aux gens qui les suivent.

    2. Il y a du mensonge dans l’air, de la falsification des stratégies. Si les résistants et ceux qui ne veulent pas du régime de Sassou le décident, qu’ils se coalisent en réseau. Je n’ai pas à leur donner le mode d’emploi mais, intellectuellement, je mets en echo la notion de réseau et elle vous explique comment cette notion de réseau est stimulante pour comprendre ce qu’il se passe en Afrique et au Congo Brazzaville.

    Sans méthode, sans stratégie, aucun combat n’est gagné par anticipation. Il y a les médias africains, comme Africa 24 où j’ai été éditorialiste, il y a Vox Africa. Si les résistants à Sassou estiment qu’ils doivent parler, qu’ils demandent à ces médias de passer à l’antenne puisque vous savez tous que dans mon opposition à Monsieur Constant Nemale, quand j’étais éditorialiste, il avait répondu sur ces pages de Congoliberty que Africa 24 était un média ouvert à tous à l’opposition, comme à la majorité dans les pays africains.De plus, retenez cet élément fondamental: le monde ne vit et n’est guidé que par les intérêts financiers.

  6. Lucien Pambou dit :

    …que nous sommes, sont trop naïfs….. au lieu de « somment »

  7. Bulukutu dit :

    L’initiative qui consiste à interroger les différents protagonistes de l’élection présidentielle française concernant leur politique africaine, est plutôt salutaire. Dommage qu’un des deux finalistes ne se soient pas prêtés au jeu. Qu’avait – il a perdre ? Côté FN, pas besoin d’en faire des tonnes, nous connaissons tous l’adn de ce mouvement politique. Fort de cette observation, les afro français se retrouvent sans offre politique crédible pour tenir cet équilibre tant recherché dans les relations franco africaine. Le gagnant – gagnant. A nous donc de l’imposer. Mais le noeud gordien reste toujours le même : Comment !!!

  8. URGENCE CONGO BRAZZAVILLE: LIBÉRONS LE PRÉSIDENT DÉMOCRATIQUEMENT ÉLU PAR LE PEUPLE CONGOLAIS. dit :

    Peuplé de 5 millions d’habitants, 4ème pays producteur de pétrole en Afrique, la république du Congo ou le Congo-Brazzaville, est un pays en ruine. Plus de 97% de sa population vit sous le seuil de la pauvreté en dépit de ses richesses colossales. Le pays a été ruiné par trois décennies de tyrannie.

    A la suite de la manipulation de la constitution pour s’accrocher au pouvoir à vie, le dictateur SASSOU NGUESSO a organisé des élections présidentielles le 20 mars 2016 dans des conditions dignes d’un régime Nord-Coréen.

    Il les a d’ailleurs perdu en récoltant 8% des suffrages exprimés. Mais le dictateur s’est autoproclamé président et a mis le Congo en état de siège. Du coup, il décide d’emprisonner le vainqueur de ces élections, Le Général Jean Marie Michel MOKOKO.

    Le dictateur lui reproche de s’être présenté aux élections et d’avoir refusé de reconnaître cette victoire volée. Le Général MOKOKO et ses collaborateurs et plusieurs centaines d’opposants politiques croupissent dans les geôles du pouvoir depuis plus de 10 mois. Soulignons que cet emprisonnement a été co-opté par la mafia françafrique qui mène une politique d’asservissement en Afrique.

    Depuis ce hold-up électoral, le Congo est plongé dans une crise sans précédent. Initialement politique, puis politico-économique, cette crise s’est transformée en véritable catastrophe humanitaire où les populations manquent de tout. Le pays est pratiquement aux arrêts du fait d’une gouvernance basée sur la tyrannie et la corruption.

    La terreur règne dans toute l’étendue du territoire. Les mercenaires recrutés à l’étranger pour des sales besognes sont omniprésents. Mais la réalité est que nous sommes comme sur un « volcan »: la situation peut se dégénérer à tout moment. Le tyran en est bien conscient.

    La politique de purification ethnique instauré par le dictateur s’intensifie: les massacres des populations du département du POOL qui l’ont désavoué aux élections de 2016, les empoisonnements des habitants de certaines villes du département de la cuvette Centrale dont est originaire le président démocratiquement élu, le Général MOKOKO.

    Seule une solution politique pourra ramener une paix durable dans le pays.
    Une transition politique s’impose donc à nous. Cette transition dont la durée sera fixée sur la base d’un consensus national, ne pourra être assurée que par un homme intègre, qui a de l’expérience de gestion des situations difficiles. Cet homme doit être un patriote congolais.

    Or, la plupart des cadres congolais, civiles ou militaires et religieux, ont plus ou moins côtoyé le dictateur SASSOU NGUESSO pendant ces trois décennies de tyrannie. Le général MOKOKO en fait partie, pour avoir été son conseiller pour des questions de paix et de sécurité en Afrique et auprès de l’Union Africaine.

    Tout comme il y a beaucoup de cadres originaires de la partie Sud du Congo qui ont travaillé avec le dictateur SASSOU NGUESSO. Il est étonnant de constater que certains d’entre-deux (les cadres originaires du Nord et Sud) continuent de collaborer avec le dictateur pour massacrer leurs propres populations.

    Nous avons une chance inouïe d’avoir un homme qui répond à ce critère d’homme intègre en la personne du Général MOKOKO. C’est un homme qui a d’ailleurs joué un rôle historique non seulement au Congo-Brazzaville mais aussi en Afrique.
    En effet, le Général Jean Marie Michel MOKOKO alias J3M, a été Chef d’Etat major des armées congolaises.

    Pendant cette période où il était à la tête des armées congolaises, il n’y a jamais eu de massacres des populations congolaises. Il est d’ailleurs l’Artisan de la conférence nationale souveraine de l’année 1991 qui a mis fin au monopartisme. Le Général J3M a passé une bonne partie de sa vie à régler des situations difficiles au TCHAD, MALI, en république Centrafricaine. Il est donc à mesure d’éviter le chaos à la chute du dictateur SASSOU NGUESSO.

    Le Général MOKOKO est le seul qui n’a pas été mêlé à des crimes humains et économiques. En effet, il a été à l’extérieur du Congo pendant les périodes de violence perpétrée par les présidents Pascal LISSOUBA et Denis SASSOU NGUESSO.

    Malheureusement nous constatons qu’un groupe de congolais ne veulent pas reconnaître le rôle historique joué par le Général MOKOKO.
    De plus, ces derniers se livrent au négationnisme, aux amalgames en voulant associer MOKOKO à SASSOU NGUESSO. Ces officines intellectuelles pensent que MOKOKO ne peut pas être l’homme de la transition parce qu’il est du Nord comme SASSOU NGUESSO.

    Certains disent même que si MOKOKO est arrivé en tête du scrutin avec un seul tour du 20 mars 2016, c’est parce que les populations Sud avaient massivement voté pour MOKOKO, un homme du Nord. Nous pensons d’un point de vue géopolitique nationale, ceci n’est pas une mauvaise chose.
    Nous déplorons cette attitude irresponsable qui ne va pas dans le sens de l’apaisement du climat politique et du renforcement de l’unité nationale.

    Par ailleurs, nous leur rappelons que si le Président Pacal LISSOUBA avait été élu en 1992 c’est parce que les populations du Nord avaient aussi à l’époque voté massivement pour LISSOUBA bien qu’étant originaire de la partie Sud du pays.
    Ce que ces officines ignorent, c’est que l’électorat n’appartient pas à un clan. Les familles congolaises sont des familles hétérogènes et multi-ethniques, de même que les départements qui sont composés d’individus venus du Nord au Sud, de l’Est à l’Ouest, et du Centre.

    Ce raisonnement géopolitique sectaire nous amène à nous poser des interrogations sur le genre d’intellectuels que nous sommes.
    Nous demandons à ces officines politico-intellectuelles de se ressaisir pour ne pas diviser davantage les congolais.

    En effet, la chute d’un dictateur apporte toujours du chaos. Le régime de MPILA qui cultive la haine et qui paradoxalement comporte en son sein un grand nombre d’hommes politiques du Sud d’ailleurs, a engendré chez certains individus revanchards un désir de vengeance, bien réel.

    Le Général MOKOKO n’est pas un homme de clan. Il l’a démontré par le passé. Nous devons saisir cette opportunité avec ce président élu, le Général MOKOKO.

    Quant au clan du tyran SASSOU NGUESSO qui s’entête dans une voie sans issue et qui veut se livrer à la politique « de la terre brûlée », il met en péril sa progéniture et son clan. Seul le Général MOKOKO est à mesure de sauvegarder leurs familles. Que ce clan cesse avec cette violence gratuite infligée aux paisibles populations. Le Congo-Brazzaville ne sera jamais la propriété des NGUESSO.

    Les gesticulations en cours (les élections législatives, l’achat des consciences par des pétro-CFA c’est-à-dire la monnaie des colonies françaises, les assassinats, les intimidations) avec la complicité des traites de la république, ne font que prolonger le mal dont souffrent les congolais.

    La dictature actuelle n’est plus en mesure de garantir les intérêts de nos partenaires étrangers.
    Mais plusieurs questions méritent d’être posées:
    1- Comment peut-on comprendre que la France, principal partenaire du Congo, peut-elle continuer à imposer l’Omerta sur la situation du Congo ?

    2- Imaginez-vous un seul instant que le président français démocratiquement élu, Emmanuel MACRON soit emprisonné par la volonté d’un groupe d’affairistes pour leurs propres intérêts ?

    C’est ce que subit actuellement le peuple congolais. Dans quelques heures ou jours, le président Français élu, Emmanuel MACRON va rentrer au palais présidentiel tandis que le président congolais élu, Jean Marie Michel MOKOKO, croupit toujours dans les geôles du tyran depuis plus de 10 mois avec la complicité de la françafrique.

    3- Le président élu Emmanuel MACRON va-t’il continuer la politique françafricaine de servitude de l’Afrique, et de continuer à collaborer avec le dictateur sanguinaire SASSOU NGUESSO dans le mépris total de la volonté des congolais?

    4- La mafia françafricaine va t’elle imposer au président E. MACRON sa ligne politique ?

    5- Le président élu E. MACRON va t’il instaurer un partenariat gagnant-gagnant dans l’espace francophone ?

    6- Les congolais ont-ils le droit de disposer d’eux-mêmes ? Ont-ils le droit de choisir la personne qui peut conduire leur destinée ?

    Comme le disait le célèbre physicien américain d’origine allemande, ALBERT EINSTEIN, nous citons « l’on ne peut espérer résoudre les problèmes avec les gens qui les ont créés ». Le clan des Nguesso étant à l’origine du malheur qui frappe les congolais, il ne peut en aucun cas apporter de solutions.

    L’union autour de MOKOKO est primordiale pour sauvegarder l’unité nationale et éviter que notre beau pays ne sombre dans la sauvagerie.

    Les résistants intègres extérieurs à la dictature restent mobilisés, et apportent leur appui à l’opposition républicaine. Dès lors, la protection du Général MOKOKO doit rester notre priorité.
    Le dossier judiciaire étant vide, à quand sa libération sans condition?

    VIVE LE PRÉSIDENT DÉMOCRATIQUEMENT ÉLU JEAN MARIE MICHEL MOKOKO

    VIVE LE CONGO-BRAZZAVILLE http://congo-objectif2050.over-blog.com/2017/05/urgence-congo-brazzaville-liberons-le-president-democratiquement-elu-par-le-peuple-congolais.html

  9. Yilukulu dit :

    Le problème de Ngombet est de s’être acoquiné avec les fâchons du FN. Cela a réveillé la gauche caviar et bobo dont Barthès est un des représentants médiatiques. Autre grosse erreur: s’en prendre au lobby gay. Crime impardonnable dans la FRANCE de 2017…. Et puis, pourquoi cracher sur Barthès seulement quand il ne dit pas des choses qui vont dans le sens des positions des « Sassoufit »???? Quand il épouse leurs thèses, c’est un grand journaliste, quand il ne le fait pas, c’est un nul…. Ngombet touche du doigt la dureté de la politique. Politiki yi kubiri !!!!

  10. UNITE dit :

    UNITE dit : Grâce à Paris Match, nombreux qui ne connaissaient pas Gombet, ont compris que ce dernier a eu des accointances politiques avec ceux qui ont perdu le pouvoir en France UMP. En
    outre ses retrouvailles avec Marine Le Pen au préjudice de Macron, à la veille d’un grand débat entre les deux, pour permettre à Marine Le Pen d’en parler, est une prise de position dans cette élection qui me paraît être un excès de zèle. Pour tous les africains qui sont là depuis 2000, ils savent qu’en 2002, les partis républicains se sont ligués contre son père. Pire aux élections municipales, ils ont empêché le FN d’être à la tête des grande villes.
    En sus, allant combattre les homos sexuels( Paris Match), alors que leurs demandes ne préjudicient en rien les congolais qui sont au Congo, il saura que la France n’est qu’un pays qui l’a accueilli. Dans ce pays, il ne peut pas être plus royaliste que le roi.

Laisser un commentaire