JOURNÉE INTERNATIONALE DE LA FEMME : UNE RÉFLEXION SUR LES TROPHÉES DES FEMMES CONGOLAISES. Par Gisèle Patricia GOULOU

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16 réponses à JOURNÉE INTERNATIONALE DE LA FEMME : UNE RÉFLEXION SUR LES TROPHÉES DES FEMMES CONGOLAISES. Par Gisèle Patricia GOULOU

  1. Mes sincères félicitations notre chère Madame GOULOU,

    Le Congo a besoin de telles initiatives pour élever le niveau des femmes dans tous les domaines,

    J’adhère entièrement à cette réflexion qui interpelle au tant les femmes que les hommes, car les Congolais sont en train de perdre l’esprit de compétition à cause des antivaleurs promues par le système actuel.

    Heureuses aujourd’hui sont ces femmes plébiscitées, si elles ne font pas d’effort d’autres à leur place seront des lauréates l’année prochaine.

    Vive les femmes congolaises !!!!!!!!!!!!!

  2. Obambi Justin, Ounezé Mazanza dit :

    @ Mme Goulou

    Vous avez oublié une « illustre femme » do Congo….
    Donc, disons Un « Bantou Special » a la zairoise Aontoinette pour avoir « reussi totalement sa vie au Congo-Brazza » dans le flou le plus total mais tout simplement grace a son « matos ».
    .
    Lisez ceci »
    <>
    Source: http://nerrati.net/infopage-congo/index.php?option=com_content&view=article&id=1083&catid=3&Itemid=37

  3. Obambi Justin, Ounezé Mazanza dit :

    On ne connaît pas très bien la vie de Madame Antoine Sassou, tout ce qu’on sait qu’elle est née au Zaïre, toute sa famille est au Zaïre et c’est dans ce pays qu’elle dépose les gerbes des fleurs sur les tombeaux de ces ancêtres. Cette femme qui se dit être née d’un père congolais appelé TCHIBOTA maintient de façon douteuse ses vraies origines. Elle prétend, même être originaire de Diosso, alors que dans le village de Diosso, personne ne la connaît et personne ne connaît ses ancrâtes.

    Ce qui est sûre, elle est à 100% zaïroise, sa mère Mama poto, après son divorce à Kinshasa avec son ex-mari, va immigrer à Brazzaville, où elle rencontre monsieur TCHIBOTA, et, se marie avec monsieur TCHIBOTA. Plus tard, le couple décide de vivre à Pointe-Noire, ville originaire de monsieur TCHIBOTA, Antoinette sera élevée par monsieur TCHIBOTA qui n’avait pas hésité de lui attribuer son nom, puisqu’il prenait Antoinette pour sa fille. C’est pourquoi, Antoinette devient congolaise, mais née biologiquement de 2 parents originaires du Zaïre. On l’appelle, actuellement, Antoinette Sassou née TCHIBOTA.

    http://nerrati.net/infopage-congo/index.php?option=com_content&view=article&id=1083&catid=3&Itemid=37

  4. Un vrai patriote dit :

    Voici les femmes qui ont accompagnées des dictateurs dans le sang, la corruption et le mal :

    http://www.msn.com/fr-fr/actualite/photos/amour-sang-et-corruption-m%c3%a9tier-femme-de-dictateur/ss-BBqlJwc?ocid=mailsignoutmd#image=10

  5. OYESSI dit :

    Mon cher Obamabi Justin,

    Madame Goulou traite d’un sujet qui ne peut que l’honorer et la femme Congolaise avec. Pourquoi venez vous parler de Madame sassou qui n’a pas été citée parmi le femme Bantu Congolaise parce que justement elle n’en fait pas partie et elle ne le mérite pas.

    Avant de parler de l’origine de madame sassou, il faut commencer par celle de son mari qui a son père Dahomey actuel Benin puisque vous voulez ouvrir la boite de Pandore.

    Non mon frère, je ne suis pas l’avocat de madame sassou mais arrête ce cinéma qui ne vous grandira pas même si cette femme n’a été qu’une mauvaise première dame pour le Congo. Elle n’a pas su canaliser l’exprit assassin de son mari.

    Merci à madame Goulou pour la bataille intellectuelle que vous ne cessez de mèner.

  6. OYESSI dit :

    escuse moi d’avoir écossé votre nom qui est OBAMBI et non Obamabi

  7. Toto dit :

    C’est dommage que les gens fassent des commentaires sur des personnes qu’ils ne connaissent pas. Ie papa de mama poto est vili de madingo Kayes, il s’appelait DJEMBO Maurice c’est lui qui avait émigré au zaïre comme beaucoup de congolais à l’époque et il était couturier. Un membre de la famille.

  8. Kindua dia Mavoula dit :

    Toto
    Tu est vraiment un vrai vrai ToTo, à qui Oko montre la mer, alors que tu prétends « etre de la famille, donc proche de la mer, et tu ne connaissais pas la mer avant que Oko ne te la montre ».
    Même cas de ton histoire de famille avec les membres de ta famille qui donc emigriaent au Zaire: du nouveau dans les annales.
    Voila un vrai toto.

  9. LE PCT dit :

    La femme congolaise doit participer a la libration du Congo auprès des français qui se cachent derrière sassou.. Le congolais a perdu le droit de vote sassou vient d’avoir une nouvelle dotation des gardes de corps blancs.

  10. Obambi Justin, Ouenzé Mazanza,, Mfoa dit :

    @ Oyessi
    Mon cher Oyessi

    Je vous comprends.
    De 1. De la défense de madame Gisele Goulou, personne ne la fera mieux que moi. Pour des raisons que je citerai pas ici. Mais au minimum, sachez Gisêle a été ma voisine d’enfance, ma collêgue de classe et d’école, une amie au sens large, et une belle-soeur. Dommage qu’elle soit partie au pays des blancs car sa place est indubitablement ici au Congo là où elle mérite être au gouvernement pour occuper une place de choix et nous apporter ses contributions.

    De 2. De la défense de madame Sassou, je la ferai aussi. Je n’ai pas voulu ici ouvrir une boîte de pandore sur les origines de madame Sassou, ni contre elle; car elle et moi partageons le même sang et presque les mêmes origines. Ma mêre avait emigré du Congo-Belge a Mossaka par pirogue. Là, elle rencontra mon pere. Les deux, apres quelques années de dure labeur à Mossaka, decidêrent alors de venir a Brazzaville. Naturellement, ils habitêrent le nord de Brazzaville.
    C’est grace a madame Sassou que mes parents acquirent leur premiere parcelle à Brazzaville, a Ouenzé, et cette parcelle aujourd’hui est louée par un grand commercant ouest-africain qui y a mis sa quincaillerie sur l’Avenue Jeanne Vial. Madame Sassou, que ma mêre connaissait alors, avait personnellement intervenu aupres du maire de Brazzaville, Jean Jules Okabando, pour nous offrir cette parcelle. Donc de grace, je ne ferai pas injure a Antoinette.

    Enfin 3. J’avais tout simplement voulu dire que dans les lauréats « Bantu » de madame Goulou, elle avait oublié une « grande congolaise », en la perosnne de Antoinette.
    Ainsi est la vie, cher Oyessi!

  11. OYESSI dit :

    Cher Obambi,

    Je veux bien que vous vous dégonfliez et ne soyiez capable d’assumer vos conneries, c’est le propre de beaucoup de Congolais qui croient qu’on ne doit venir sur le net que pour vilipender les autres sans raison.
    A moins de me prendre pour un idiot pour me faire croire que madame Goulou avait oublié une grande dame en la personne de madame sassou pour ne pas l’avoir citée parmi les Bantus.

    Quand vous regardez les personnes supra citées, il leur est reconnu un mérite, chacune dans un domaine auquel elle a fait ses preuves. Dites moi dans quel domaine madame sassou a fait ses preuves pour penser que madame Goulou l’a oubliée.

    Et pour l’a lui rappelé, il a fallu avoir besoin de traiter madame sassou de zairoise comme vous le faites ci sessus?

    « Cette femme qui se dit être née d’un père congolais appelé TCHIBOTA maintient de façon douteuse ses vraies origines. Elle prétend, même être originaire de Diosso, alors que dans le village de Diosso, personne ne la connaît et personne ne connaît ses ancrâtes.

    Ce qui est sûre, elle est à 100% zaïroise, sa mère Mama poto, après son divorce à Kinshasa avec son ex-mari, va immigrer à Brazzaville, où elle rencontre monsieur TCHIBOTA, et, se marie avec monsieur TCHIBOTA.

    Plus tard, le couple décide de vivre à Pointe-Noire, ville originaire de monsieur TCHIBOTA, Antoinette sera élevée par monsieur TCHIBOTA qui n’avait pas hésité de lui attribuer son nom, puisqu’il prenait Antoinette pour sa fille. C’est pourquoi, Antoinette devient congolaise, mais née biologiquement de 2 parents originaires du Zaïre »

    Vous et votre famille qui aviez bénéficié des services de celle que vous traitez de Zairoise devaient avoir au moins de la reconnaissance même d’une Zairoise qui est aussi une personne à qui l’on peut devoir du respect.

    On peut être contre sassou et sa femme comme personnes publiques, mais comme personnes ordinaires, nous devons nous comporter comme les hommes respecteux des autres.

    Je suis un des Congolais qui n’aime pas sassou comme président,parce qu’il est médiocre. Est ce pour autant que je vais le détester comme simple Congolais? Non. C’est pourquoi je n’ai pas accepter de vous voir sortir du thème posé par madame Goulou pour vous défoncer contre madame sassou.
    Vous aviez vraiment heurté ma petite éducation qui reccommande les respect pour les autres et surtout pour une dame. Zaîroise soit elle.

    Merci d’avoir compris que votre sortie était inappropriée.

  12. Toto dit :

    Kindua dia mavula,
    c’est triste, tu prétends connaître l’histoire de ma famille mieux que moi même et tu n’a d’arguments que des insultes envers des personnes que tu ne connais pas. Bravo le Congo avancera bien avec toi. Je n’ose pas te qualifier tu parais trop intelligent et trop bien élevé avec une bonne culture historique sur les migrations des congolais de Brazzaville vers le Congo Kinshasa. Tu dois être très fier de toi devant tes enfants. Je m’incline. Bonne continuation.

  13. Elenga A. dit :

    C’est une réalité que dans notre pays, la journée du 8 mars est plus consacrée à la fête, alors qu’effective ce devrait être une journée de réflexion sur les droits des femmes, une journée de combat pour arracher leurs droits.

    En effet, par le mérite, donc les trophées Bantus, les femmes congolaises seront valorisées et connaîtrons un progrès.

    moi j’adhère à cette démarche louable.

  14. Bulukutu dit :

    Au delà, du débat sur le départ de l’actuelle locataire du palais des plateaux, il est urgent d’élargir le spectre de réflexion sur l’état du Congo et de l’Afrique. Nous devons comprendre que le sort du Congo est liée à un contexte global anti africains qui perdure depuis des années. Les congolais doivent prendre la mesure du danger qui nous guette en tant qu’africains. Les événements des ces cinq dernières années sont les prémisses de ce qui se préparent. Voici un lien à voir absolument, je vous en conjure. Merci à tous. http://youtu.be/dz5sOeD53Rc

  15. Felista dit :

    C’est une bonne analyse sur la journée de la femme au Congo, où les femmes se laissent distraire au lieu de se battre pour leurs droits.
    Pour les trophées Bantu, il faut encore réfléchir comment les organiser, c’est une logistique pas facile, mais comme vous l’avez présenté Madame Goulou, vous saurez comment faire vivre ces trophées Bantu pour le progrès des femmes et des femmes congolaises.
    Au vu de vos analyses, je vous fais confiance pour la suite, et bonne continuation et bonne chance.

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