Congo-liberty : vous avez occupé les postes les plus éminents de la diplomatie congolaise : Ministre des Affaires Etrangères d’André MILONGO en 1992, et ensuite Ambassadeur à Addis-Abeba (Ethiopie) et à Washington (USA) jusqu’en décembre 1997, sous le Président LISSOUBA. Pourquoi n’avez-vous plus servi votre pays après la fin de la guerre ?
DIEUDONNE ANTOINE GANGA ( DIAG) : Comme je vous l’ai déjà dit, lors d’une précédente interview, « il n’est jamais bon de se définir soi-même. L’on agit et laisser les autres juger. », dixit le Cardinal Congolais Joseph Albert MALULA. Mais comme vous insistez, je vous informe qu’au lendemain de la guerre, mes collaborateurs et moi-même, avons été rappelés par les nouvelles autorités de notre pays, qui n’avaient jamais pris aucune décision utile et nécessaire pour nous y rapatrier aux fins de le servir, en notre qualité de fonctionnaires. Au contraire, elles ont préféré nous laisser nous débrouiller dans la nature. Ce n’est que l’année dernière, donc 19 ans après notre rappel, après moult démarches au Ministère des Affaires Etrangère et de la Coopération, que j’ai pu avoir les billets de rapatriement de ma famille et de moi-même. Mes collaborateurs attendent toujours les leurs, depuis 20 ans. Allez-y comprendre quelque chose. Donc ce n’est pas mes collaborateurs ni moi qui n’avons plus voulu servir notre pays, mais les nouvelles autorités qui n’ont pas voulu nous utiliser. Est-ce qu’elles ont voulu peut-être appliquer à notre endroit la maxime « Vae victis » ou ce que j’appelle « le syndrome TRUMP » dont l’objectif est d’être contre le principe de la continuité de l’Etat, d’effacer tout ce qui a été créé ou laissé par son prédécesseur ? Posez-leur la question pourquoi ? En tout cas, nous nous étions mis à la disposition de notre ministère de tutelle, le Ministères des Affaires Etrangères et de la Coopération.
Congo-liberty : Les Congolais à travers vos nombreux ouvrages ont découvert l’écrivain que vous êtes. De quand date votre premier ouvrage et d’où vous vient cette passion pour l’écriture ?
DIAG : J’ai publié en 1994, mon premier ouvrage « Congo : l’Epître pour la paix ». C’est la situation politique de notre pays, le modus vivendi et le modus operandi des gens ainsi que mon exil aux U.S.A qui ont suscité et suscitent en moi, la vocation d’écrivain et qui me donnent cette passion pour l’écriture.
Congo-liberty : NTINU « La retraitée maltraitée de Mfoa », LA NUDITÉ DU PÈLERIN, LES LEÇONS DU TROTTOIR, LA PAIX AU CONGO BRAZZAVILLE…pour ne citer que ces ouvrages, laissent l’impression que votre source d’inspiration est chevillée à l’actualité de votre terre natale. Etes-vous un écrivain engagé ?
DIAG : Oui je me considère comme un écrivain engagé pour la culture de la paix, pour dénoncer, combattre l’injustice et pour vulgariser, protéger et pérenniser la culture Koongo que d’aucuns voudraient voir disparaître. Je me sens à travers mes ouvrages, comme le défenseur des veuves et des orphelins d’une part, et comme le protecteur de la culture Koongo d’autre part, laquelle culture nous a été léguée depuis par nos ancêtres au Kongo Dia Ntotila, l’ancien grand royaume du Kongo. C’est à ce propos d’ailleurs, que j’ai écrit mon ouvrage « Grand-Père, parle-nous du peuple Koongo », préfacé par notre aîné Ya Guy MENGA.
Congo-liberty : Depuis 1993 jusqu’aux massacres actuels dans la région du Pool, le Congo-Brazzaville connait un cycle de violence sans précédent. Votre nouvel ouvrage « LA PAIX AU CONGO BRAZZAVILLE » vient de paraitre chez l’Harmattan-Paris. Peut-on y puiser des idées pour mettre fin à ce désastre humain ?
DIAG : Oui, cet ouvrage est ma modeste contribution à la résolution du problème épineux de la paix au Congo. J’y émets quelques idées, quelques voies pour mettre fin au désastre humain que nous n’avons en aucun cas le droit de perpétrer.
Ne pensez-vous pas qu’il soit le temps maintenant de passer de la violence au dialogue, de la domination au service, du profit à la solidarité, de l’exploitation à la justice, de l’oppression à la liberté, du mensonge à la vérité ? Celui enfin de vulgariser la culture démocratique qui doit faire de nous des citoyens d’une société libre, égale et fraternelle cherchant à satisfaire leurs intérêts par un travail honnête, à exercer leurs droits à se sentir responsables de leur existence ?
Avec le Pape Saint Jean-Paul II, j’affirme « qu’il ne faut pas oublier que la guerre et la violence ne constituent pas seulement des forces de dislocation qui affaiblissent ou détruisent les structures familiales ; elles exercent aussi une influence néfaste sur les esprits, allant jusqu’à proposer et presqu’à imposer des types de comportement diamétralement opposés à la paix. »
Dans cet ouvrage, je nous invite à devenir des conjurés de la paix, à combattre les ennemis de la paix. Nous devons tout mettre en œuvre pour maintenir la dynamique de la paix, à honorer les symboles de la paix que nous avons érigés, nous-mêmes, par exemple à Brazzaville : l’Avenue de la Paix, la place de la Paix et la forêt de l’Unité Nationale.
Enfin, mon ouvrage pose les questions suivantes : « Que voulons-nous ? Qui perturbe la paix et pourquoi ? Quelle raison fondamentale justifierait de mettre en péril notre pays et la vie des citoyens ? Quelle sont les conditions d’une paix durable et comment y parvenir ? »
Congo-liberty : Votre livre parle de la Paix…mais, tout le monde use et abuse de ce vocable. Qu’est-ce que la Paix, est-ce l’absence de guerre ou englobe-t-il d’autres variantes comme le Bien-être de l’humain ?
DIAG : Comme l’a explicité le Concile Vatican II, « La paix n’’est pas simplement une absence de guerre, elle ne se réduit pas à l’établissement d’un équilibre entre forces adverses, elle ne provient pas d’une domination despotique, mais il est tout à fait exact et approprié de l’appeler l’œuvre de la justice. » Malheureusement, dans notre pays, l’on use et abuse de ce noble vocable : la Paix.
En effet, depuis 1997, malgré les appels, les engagements ou les pactes pour la paix que les hommes et les femmes politiques ont signés, la paix n’est toujours pas stabilisée. La sécurité demeure précaire en de nombreux endroits, particulièrement dans le Pool, ma région. Trop d’armes restent entre les mains de personnes incontrôlables.
Qui plus est, les hommes et les femmes politiques arrogants, obnubilés par leurs égotismes et goûts effrénés du pouvoir pour le pouvoir, foulent aux pieds les intérêts du peuple congolais qui n’aspire qu’à la paix, à la sécurité et au bien-être social. Ils n’hésitent point à rompre tous les appels, les pactes et engagements solennels pour la paix qu’ils ont signés, lorsque leurs intérêts sont mis en cause.
Comme l’a affirmé notre compatriote Jean MANDZOUNGOU, « en fait, notre classe politique n’est pas en mesure de tenir une seule promesse. Depuis 1997, on a feint de croire qu’on pouvait asseoir la paix et la préserver à partir des seules déclarations d’intentions, sans avoir à vérifier et à sanctionner les actes des uns et des autres sur le terrain. Cette politique du faux consensus et de l’impunité a eu pour résultat d’affaiblir sérieusement l’autorité de l’Etat.
La réalité aujourd’hui est que nos leaders politiques sont inconstants et hypocrites. Ils renouent facilement avec leurs vieux démons, tant leur pratique montre que la fin justifie les moyens. La violence, la manipulation de l’opinion, la corruption des esprits et la tricherie restent encore les moyens d’action pour la conquête ou la conservation du pouvoir. Les milices privées ou officielles, loyales ou rebelles, demeurent à cet égard pour les uns et pour les autres, un enjeu stratégique.
Le vrai problème est dans la tête de nos responsables politiques. Tant que ceux-ci n’auront pas compris et mis en avant les intérêts fondamentaux de notre peuple. Tant qu’ils manipuleront les esprits fanatiques à leur cause égoïste, le pays connaîtra encore et pour longtemps son chemin de croix, avec des simulacres de repentance, de cessez-le feu, d’accords et autres pactes pour la paix à répétition dont ils seront eux-mêmes les fossoyeurs. ». Comprenne qui pourra !
Congo-liberty : La guerre, encore la guerre dans le Pool depuis l’annonce de l’élection contestée de SASSOU-NGUESSO, le 4 avril 2016. Quelles peuvent être les solutions pour sortir de ce que certains appellent « un génocide contre les populations civiles ? »
DIAG : La guerre du Pool et la situation dans le Pool, telles qu’elles se présentent aujourd’hui, affectent tout le pays tout entier. C’est un drame. A mon avis, la solution pour en sortir est une solution nationale. Il faut maintenant voir l’avenir sans oublier le passé. Que faut-il faire pour résoudre de façon nationale, la crise qui affecte le pays tout entier ? Est-ce par la violence ? Est-ce par le dialogue ? Réfléchissons-y. Il est certain que notre pays est bloqué. La vie y est au ralenti. Reconnaissons-le. La méfiance s’est établie entre les Congolais. Devons-nous nous croiser les bras à ne rien faire ?
Comme l’affirmait le Premier Ministre Bernard KOLELAS « L’une des conséquences de ces événements, c’est l’explosion d’une flambée de haine tribale qui fait qu’aujourd’hui des congolais fuient d’autres congolais, alors qu’ils vivaient jusque-là ensemble, que le voisin ou le collègue de travail qui, hier, était un ami, est tout-à coup devenu un ennemi irréductible du simple fait qu’il n’est pas du même terroir. La haine tribale a cristallisé les oppositions et porté à son paroxysme, la violence des affrontements. »
Ce n’est donc pas par la guerre, c’est-à-dire par la violence, que le problème du Pool sera résolu, mais par le dialogue, comme en 1959, au lendemain des émeutes entre les partisans du Président Fulbert YOULOU et du Vice-Président Jacques OPANGAULT. En effet, il nous faut suivre l’exemple du Président Fulbert YOULOU, des Vice-Présidents Jacques OPANGAULT et Stéphane TCHITCHELLE et de leurs collègues Simon Pierre KIKOUNGA-NGOT, Pierre GOURA, Prosper GANDZION, Germain SAMBA, Faustin OKEMBA, Apollinaire BAZINGA, Emmanuel DADET, etc. qui, après les tragiques événements de 1959 entre les partisans du Président Fulbert YOULOU et du Vice-Président Jacques OPANGAULT, ont pu faire montre de dépassement dans l’intérêt du pays et des populations congolaises. Je pense, à mon humble avis, que les autorités actuelles et la classe politique le peuvent aussi. Il suffit qu’ils le veuillent. Car là où il y a la volonté, il y a une route. C’est cette intime conviction qui justifie ma modeste contribution, par mon ouvrage « La paix au Congo : diagnostic et remèdes. », pour la paix qui s’articule autour de la nécessité urgente d’un dialogue pour une négociation véritable et sincère en vue de tourner définitivement la page de cette guerre stupide et ridicule du Pool dont l’action délétère sur la paix sociale et l’unité nationale n’est plus à souligner.
Comme aussi en 1993, lors de la guerre fratricide et stupide entre les Koongos et les Tékés de la Bouenza, de la Lékoumou, du Niari et du Pool, les honorables députés Ange-Edouard POUNGUI, Jean-Blaise KOLOLO, Victor TAMBA-TAMBA, Charles MADZOUS, Simon DIASSAKOULA, Albert MALOULA-NZAMBI, et tous les autres membres des Comités parlementaires Ad-Hoc et Inter-Régional du Pool et des pays du Niari pour la paix, n’avaient ménagé aucun effort pour faire fumer le calumet de la paix entre les belligérants.
Congo-Liberty : D’aucuns pensent que le dialogue est un signe de faiblesse. Quant aux autorités, elles pensent qu’il n’y a aucune possibilité de discuter avec le pasteur NTOUMI et ses adeptes qu’elles qualifient de terroristes. Pensez-vous que le dialogue soit possible ou qu’il soit la voie pour sortir de la crise du Pool ?
DIAG : Oui. Je persiste et je signe en mon âme et conscience, même si je suis incompris, que le dialogue n’est pas un signe de faiblesse et que dialoguer, c’est faire preuve d’humilité. Comme je l’ai écrit dans mon ouvrage « Si Bacongo m’était conté », le dialogue sans exclusive au Mbongui est l’unique voie pour sortir le pays de la crise. Le dialogue ne portera préjudice ni à la paix, ni à la sécurité de chacun. Il mènera inéluctablement à la réconciliation véritable et à la paix totale des cœurs des esprits auxquelles nous aspirons, tous. Car, comme l’a dit le Président Félix HOUPHOUET-BOIGNY, « aucun conflit ne trouve de solution sans le passage obligé par le dialogue et la négociation, seuls en mesure de refermer les blessures.» La paix est plus qu’une exigence dont dépend la réconciliation de tous les Congolais et de chacun de nous ; c’est la survie de la nation. Les autorités devraient se rapprocher du Pasteur NTOUMI et de ses adeptes qui sont nos enfants, nos frères ou nos cousins, pour discuter avec eux. Vous savez, l’histoire nous apprend que l’égoïsme et la force, ont parfois fait la gloire de quelques-uns, mais presque toujours le malheur de tous. Jusqu’à ce jour, les gens meurent, errent avec les enfants, sont malnutris dans le Pool. Les gens y vivotent et ont un avenir incertain. Alors, jusques à quand ce calvaire des populations du Pool va durer ? Jusques à quand faudra-t-il continuer d’enjamber d’autres cadavres pour arriver à la démocratie et à la véritable paix dans notre pays ?
La fraternité et l’unité sont une nécessité pratique et de bon sens (un proverbe populaire de chez nous dit bien, qu’on ne peut porter le paquet qu’une seule main a lié, car ce paquet se défait et s’éparpille à la moindre brise). Unité et fraternité humaines sont aussi exigence, obligation morale, car l’être humain n’est pas un moyen d’accomplissement de la volonté du pouvoir politique et économique, il en est le but magnifié. Car le pouvoir doit savoir écouter et constater qu’il n’y a ni trêve ni salut durable pour les uns, sans paix et réelle espérance pour les autres.
Les hommes dans leur immense majorité, ont un extrême besoin de paix. Mais amèrement je constate que dans la violence aveugle, la haine fauche et détruit la vie, détruit ce que nous avons de plus cher, en tant qu’être humain, les enfants.
Petites brutes arrogantes, ou tristes zombies mutilés, craintifs, apeurés, hébétés par l’imbécile folie des adultes, tes sont les aujourd’hui bien des enfants du Pool jetés sur les routes du désespoir.
Nous avons donc tous l’obligation historique de réparer les dommages que toutes ces actions immodérés ont causées au pays. Il revient principalement aux autorités actuelles du pays, et secondairement aux autres dirigeants politiques, aux autorités religieuses, à la société civile et à nos sages, de prendre les nécessaires initiatives dans ce sens, en utilisant les différentes médiations ou les autres voies, en vue d’une négociation véritable et sincère, qui prenne en compte essentiellement les intérêts de nos populations qui n’aspirent qu’à la paix, à la sécurité, et au bien-être social. Il est dommage de constater aussi que les cadres de toutes les régions de notre pays soient aussi muets que les carpes de la Dzoumouna, devant ce drame humanitaire du Pool.
Enfin, il nous faut coûte que coûte aussi prendre le contre-pied des antivaleurs générées par nos comportements lâches et complices des gens de mauvaise foi. « Craignons que l’histoire n’ait à nous reprocher d’avoir été des lâches, parce que coupables ou d’une politique de commodité pour nous-mêmes, ou d’une politique d’opportunisme », dixit Monseigneur Louis BADILA.
Avec Erutam KIMBEMBE, j’affirme « qu’ Il nous faut construire. Car construire c’est unifier le pays et consolider le tissu social et non le briser. Construire c’est dynamiser les couches sociales, non pas pour diviser afin de régner, mais pour les renforcer afin qu’elles contribuent à l’édifice national. Construire c’est vivre en harmonie avec le peuple. Construire c’est protéger le peuple tout entier et non le détruire par la violence sur des populations innocentes. »
Congo-liberty : Pendant que la région du Pool est assiégée et meurtrie, les partis politiques concourent aux élections législatives, est-ce normal ?
DIAG :. Je suis exaspéré par ce qui se passe dans le Pool. Je suis triste et en colère. J’en ai honte. M’inclinant donc avec une profonde douleur devant la mémoire de toutes les victimes innocentes de cette guerre absurde du Pool, je ne puis que demander que soit différée la tenue des élections législatives à une date ultérieure. Les organiser maintenant, serait faire preuve d’indécence, de mépris et de non-respect pour le peuple congolais en général et pour les populations et pour toutes les personnes mortes au Pool en particulier.
Comment peut-on envisager d’organiser ces élections, pendant qu’au même moment, dans la région du Pool, nos parents, nos frères, nos sœurs et nos compatriotes y sont molestés, violés, pillés et tués ? Je pense que les autorités qui veulent organiser ces élections législatives et les leaders des partis politiques qui veulent y concourir, ont un peu de sagesse de Salomon dans leurs cœurs. Que cette sagesse les amène à la raison.
Congo-liberty : Pour terminer, évoquons un fait de notre histoire dont vous avez été l’un des acteurs. Votre nomination en tant que Ministre des Affaires Etrangères faisait suite à une grave crise politique pendant la transition. Votre personnalité aurait contribué à apaiser les relations conflictuelles entre le Gouvernement d’André MILONGO et la présidence de SASSOU-NGUESSO. Dans quel climat travailliez-vous et quel a été votre apport dans la décrispation du climat délétère de l’époque ?
Diag : Comme je vous l’ai dit, au début de cette interview, « il n’est jamais bon de se définir soi-même. L’on agit et l’on laisse les autres juger.» Mais je puis vous affirmer néanmoins que beaucoup de nos compatriotes me reconnaissent, lors de mon passage au gouvernement de TRANSITION dirigé par le Premier Ministre André MILONGO, d’avoir su réconcilier et amener à œuvrer ensemble, le Président SASSOU-NGUESSO, humilié, rejeté, esseulé et dépouillé de tous ses pouvoirs par la Conférence Nationale Souveraine, le Président du Conseil Supérieur de la République, mon ami et condisciple Monseigneur Ernest KOMBO et le Premier Ministre André MILONGO. Ce qui m’a valu d’être qualifié par le Ministre Aimé Emmanuel YOKA, « d’un des hommes les plus équilibrés du Gouvernement de transition ». Nous avons travaillé dans un climat courtois et très respectueux dans la transparence.
N’oubliez pas que je suis un diplomate. C’est ma fonction. Tout diplomate, « par essence est un ministre de paix, et dont le premier devoir, comme représentant de défenseur des intérêts de son pays, est de se comporter toujours en conciliateur, en agent de concorde et d’apaisement. »
C’est ce que j’ai fait, en arrivant au gouvernement où avant moi les trois institutions, le Président de la République, le Président du Conseil Supérieur de la République et le Premier Ministre se regardaient en chiens de faïence. Je suis fier d’avoir pu réunir avec mon aiguille, comme nous l’enseignent le Kimuntu, la philosophie Koongo, ou le lumburu, la philosophie téké, ce qui était épars et pu les réconcilier et les amener à travailler ensemble pour faire aboutir avec mes autres collègues du Gouvernement de Transition les missions que nous avait ordonnées la Conférence Nationale Souveraine.
Congo-Liberty : Votre mot de la fin ?
DIAG : Que chacun de nous s’investisse dans ce travail à mener ensemble pour qu’une nouvelle génération de cadres, du Nord au Sud, liés par les valeurs humanitaires communes, donnant la priorité au Congo, offre à ce dernier et au Pool, les perspectives d’une alternative libératrice et émancipatrice.
Que du peuple congolais, sorte un « Deus ex machina » pour trouver très vite une issue heureuse à la crise du Pool qui affecte ipso facto, tout le pays.
Que les Congolais en général et les fils et filles du Pool, las de pleurer nos morts, implore le Tout-puissant afin que l’esprit de pardon et de paix, habite tous les Congolais.
Enfin, je nous invite à méditer sur ces mots du cardinal Emile BIAYENDA, qui a offert sa vie pour la paix au Congo : « L’amour est le pardon, la paix et son essence, le dialogue est sa joie. On ne s’aime réellement que lorsque l’amour devenant miséricorde, pardonne tout en élevant l’autre au plus profond de de son humilité. »
J’ai dit.
TELECHARGER L’INTERVIEW DE SEM DIEUDONNE ANTOINE GANGA ( PDF )
Interview réalisée par Mingwa BIANGO
Diffusé le 05 juin 2017, par www.congo-liberty.org
Jean-Marie Dikamona
Monsieur le Ministre,
Votre interview est pleine de sagesse.
J’espère que les autorités congolaises, en l’occurrence M.Sassou-Nguesso, le vrai coupable, de la tragédie des peuples du pool, auront cette sagesse à la Salomon, que vous évoquez.
Les populations du Pool en ont assez de la violence depuis 20 ans. Il est temps qu’on cherche les voies et les moyens pour y mettre fin. Les populations du Pool ne sont pas des citoyens de seconde zone. Ils doivent avoir le même traitement que les autres compatriotes. Aidons à recouvrer la dignité, la paix et la liberté de vaquer à leurs occupations, comme celles d’Oyo et d’ailleurs.
M. le Ministre,
Vous restez constant dans vos propos sur la paix. Je vous ai vu personnellement à l’œuvre pendant le gouvernement de transition. Soyez toujours ce messager de la paix. Les congolais sincères, patriotes en ont besoin, surtout en ce moment où les rancœurs et les haines ne font qu’envahir leurs cœurs. Ils vous seront reconnaissants.
Vous serez certainement incompris par certains compatriotes qui pensent que la solution passe par la guerre, par la violence. Tenez bon ! N’oubliez pas qu’il est beau de voir courir sur les montagnes le messager qui annonce la paix.
Jean-Marie Dikamona.
Le Ministre Dieudonné Antoine Ganga est un homme vertueux et plein de sagesse. Pendant 20 ans, il a du attendre son billet de rapatriement, lui et ses collaborateurs. J’espère pour lui qu’il a pu bosser aux Etats Unis. Le Ministre Ambassadeur Ganga appelle les oracles de la paix pour se pencher au chevet du Congo. Vous avez raison Monsieur le Ministre, mais vos partisans d’hier et actuels sont dans le réseau Congo dominé par le Président Sassou qui utilise les institutions en fonction de la situation politique née de la défaite militaire de Lissouba après 1997.
Sassou utilise sa victoire militaire en la modulant politiquement par des élections présidentielles et législatives contestées par l’opposition. La communauté internationale observe au nom des critères qu’elle a édictés (vote, élection, démocratie, pluralisme) que le Président Sassou remplit les critères attendus. Certains disent sur ce site que le Président Sassou corrompt la presse internationale pour que les déséquilibres politiques et les crimes humanitaires (Pool) et économiques (confiscation de la richesse par Sassou et son clan -Kiki, Etoka, Willy, Edgar-). Les preuves concernant cette corruption n’ont jamais été établies de façon très concrète. De temps en temps sur ce site apparaissent des faits de corruption organisés par le clan Sassou, comme les investissements immobiliers réalisés par Bouya au Canada.
Dans l’analyse du réseau ces éléments sont pris en compte mais ils doivent être étayés par des preuves concrètes. Monsieur Le Ministre, vous souhaitez la paix au Congo, on peut s’interroger de façon diversifiée.
1. Etes vous sûr que tous les Congolais veulent la paix, malgré leurs discours au grand jour, alors que dans les différents cénacles réseautaux auxquels ils appartiennent ils disent le contraire ?
2. Quelles ont été les actions du Président Milongo en termes de désignation des hauts fonctionnaires appartenant à toutes les régions du Congo?
3. Quand on est nommé haut fonctionnaire et que l’on connait la cartographie de la diplomatie congolaise, quelle marge de manœuvre a-t-on et avez-vous eue pour dire qu’il fallait nommer des diplomates et ambassadeurs congolais relevant de toutes les ethnies ?
4. Créez un mouvement politique pour promouvoir les oeuvres de paix, de dialogue comme vous le sous-entendez ? C’est bien de vouloir la paix, encore faut-il se donner les moyens politiques, economiques et financiers pour installer la politique de cohesion nationale durable au congo
Ya Diag
Yengué tieno
Très captivant cette interview avec des mots qui apaisent. Mais malheureusement c’est plus un langage diplomatique, et je m’en excuse du fait que je me méfie toujours des diplomates, généralement ils jouent le plus souvent le jeu du plus fort d’où il y a plus de gain en terme d’intérêt. Il n’est plus sous tutelle certes mais dans son langage j’ai juste compris que ce Monsieur (Son Excellence Monsieur Le Ministre) est prêt à travailler avec Sassou si celui-ci le lui demandait, et c’est bien là où je garde ma méfiance vis-à-vis de lui malgré ses belles paroles. Qu’à cela ne tienne, j’ai du moins retenu deux groupes de phrases dotées vraiment d’intelligence et de sagesse, je cite Monsieur Le Ministre: 1/ « Les autorités devraient se rapprocher du Pasteur NTOUMI et de ses adeptes qui sont nos enfants, nos frères ou nos cousins, pour discuter avec eux. Vous savez, l’histoire nous apprend que l’égoïsme et la force, ont parfois fait la gloire de quelques-uns, mais presque toujours le malheur de tous. » Et de 2/ « Les hommes dans leur immense majorité, ont un extrême besoin de paix. Mais amèrement je constate que dans la violence aveugle, la haine fauche et détruit la vie, détruit ce que nous avons de plus cher, en tant qu’être humain, les enfants. Petites brutes arrogantes, ou tristes zombies mutilés, craintifs, apeurés, hébétés par l’imbécile folie des adultes, tels sont aujourd’hui bien des enfants du Pool jetés sur les routes du désespoir. » En tout cas bravo!
Monsieur Lucien Pambou:
Vous demandez donc aux opprimes de produire les preuves prouvant l’oppression! Vous etes pathetique. Les enfants forces de s’assoir au sol dans les classes « gavee jusqu’a plus de 300 eleves pour une capacite de 35 eleves », sales et sans enseignants, le manque d’eau, d’hopitaux, d’electricite… ne sont t-elles pas des preuves pour qualifier celui que vous appelez affectueusement president de criminel corrompu? Vous vous moquez des gens avec vos analyses.
Plus tot aujourd’hui, vous vous etes pourtant debarasse de votre dependance sassouiste pour repondre de facon tres resolue au tribaliste Pangou. On vous croyait guerri, malheureusement non, vous avez tres vite rechute. Il vous faut un vrai traitement de choc qui consistera a vous donner moins de fromage et vous obligera a rejoindre les autres rats de jardin qui ne savent pas ou se trouve le fromage. Defendre sassou et sa bande est la preuve que vous ignorez ce qu’est la misere, la condition la mieux partagee par les congolais.
Bonne interview pleine de sagesse, Monsieur Antoine NGANGA, le père de mon ami, frère et condisciple Antoine NGANGA, cadre à la Société Générale, de Patricia NGANGA cadre dans une multinationale à Bruxelles et Virginie. Merci Monsieur Dieudonné NGANGA pour votre modestie et votre humilité, le Congo a besoin de vous, des gens sages et brillants comme vous, et non pas cette racaille à la manette plus portée par le goût du sang des autres, des minables personnages. Merci Monsieur Dieudonné NGANGA
Voici au moins un intellrctuel enfants du Pool qui leve sa voix pour tenter de trouver des solutions a la crise
Son Excellence.vous etes le seul intellectuel du Pool a lever la voix pour tenter sagement de trouver des solution a la crise dite « du Pool « qui en realite comme vous l’avez si bien dit paralyse le pays tout entier. Ceux qui disent sournoisement que le pays est dirige et qu’il n’y a pas crise au Congo n’ont rien compris de la sagesse congolsise telle que vous l’ avez etaller ci.
Merci Monsieur le Ministre.
Ces paroles de sagesse sont certainement un antidote contre la violence. Mais pour dialoguer, il faut être au moins deux. Et j’ai bien peur qu’au Kongo, les possibilités d’un dialogue franc et salvateur n’aient été épuisées. Pensez-vous qu’un multirécidiviste comme le pouvoir actuel soit encore prompt au dialogue ? Depuis 20 ans, c’est la loi du plus fort qui règne et en aucun, celui qui occupe le trône de Mfoa, n’ira au dialogue parce que pour lui ce serait un signe d’abdication. Bien entendu, j’enfonce des portes ouvertes…
VIVRE ENSEMBLE DANS LA PAIX RECOMMANDE LE RESPECT DE LA LOI.
Pourquoi dans les pays des blancs (démocratiques) il n’y a pas des rebellions ni des coups d’états?
Nous pouvons apporter plusieurs réponses a cette question, mais voici la raison fondamentale :
1- Le respect de la loi c’est-à-dire la constitution est sacrée, elle NE peut pas être changer par un individu pour prolonger son pouvoir
2- La séparation des trois pouvoir a savoir : l’exécutif, le législative et justice
3- Le point le plus capital le droit de vote
Quand un président est élu, IL doit respecter la constitution, le pouvoir législative et juridique est la pour le remmener a l’ordre, MAIS SE DERNIER EST MÉDIOCRE, LES PROCHAINE ÉLECTIONS, LE PEUPLE PAR LEUR DROIT DE VOTE SANCTIONNE CE DENIER PAR UN CHANGEMENT DÉMOCRATIQUE ÉLECTION DU NOUVEAU PRÉSIDENT.
ON N’A PAS BESOIN D’UN COUP D’ÉTAT NI D’UNE RÉBELLION
LE DROIT DE VOTE EST TRÈS IMPORTANT, DANS LE CAS CONTRAIRE LES ÉLECTIONS N’ONT AUCUN SENS.
POUR LE CAS DU CONGO, LA France NOUS RETIRÉE NOTRE DROIT DE VOTE, EN NOUS IMPOSANT LE PLUS GRAND CRIMINEL AFRICAIN AU NOM DE SASSOU, EN SOUTENANT SASSOU (SOUTENANT LE REFERENDUM ILLÉGAL DE SASSOU, LA COUVERTURE DIPLOMATIQUE, MÉDIATIQUES, BLOQUANT UNE RÉSOLUTION PAR SON DROIT DE VOTE SUR LE PROBLÈME DU POOL, ÉQUIPANT SASSOU EN HOMMES DE TROUPES ET EN ARMES LA GUERRE 1997…)
ET LA France LE SAIT TRÈS BIEN QU’A LA FIN LES CONGOLAIS SERONT MECONTENTS ET LA SUITE C’EST VIOLENCE PAR CE QUE AUCUN MOYENS DÉMOCRATIQUES POUR ENLEVER SASSOU QUI
TUE
VOLE LE BIEN PUBLIQUE
VIOLE LA CONSTITUTION
CULTIVE LA DIVISION
PRATIQUE L’ÉPURATION ETHNIQUE
ALORS LA France EST GAGNANTE CAR NOUS PERDONS TOUTES NOS ÉNERGIES POUR FAIRE PARTIR SASSOU, PENDANT SE TEMPS LA France VOLE TOUTES NOS RICHESSE NATURELLES.
Qu’elle est la solution c’est le dialogue, les congolais doivent s’assoir ensemble et trouver des solutions,
MAIS LA France EN PASSANT PAR SASSOU BLOQUE LE DIALOGUE.
QUE FAIRE MAINTENANT, LA SOLUTION C’EST CELLE DU RWANDA, CHASSER LA France, ET POUR REUSSIR PAS DES TRAITRE COMME
KOLELAS
POATY
THIERRY
TSATY
ET AUTRES
NOUS NE POUVONS PAS PARLER D’ÉLECTIONS LÉGISLATIVES SANS DROIT DE VOTE. CAR SASSOU VA NOMMER SES PARENT ET LA VIE CONTINUE MÊME DANS LA MISÈRE TOTALE.
Une equation de mathematique a besoin d etre resolu ,alors il ya un processus avec des details precis pour aboutir a la bonne reponse.forte et constater que,beaucoup des nos freres manquent une maturiter dans la maniere dont ils prennent les choses.au lieux de perdre l energie a insulter n importe qui et n importe comment ,cette maniere des choses ne nous donnera pas la bonne reponse aux hypotheses de notre equation que nous voulons vraiment donner une reponse.Ce que nous devons connaitre est que ,on politique il n ya pas des amies eternel et il n ya pas d enemies eternel .voila pouquoi vous devriez bien penser lorsque vous vous expresser sur se genre de plate form.les meme politiciens que vous consider comme des dieux pourrons vous decevoirent demain.je trouve que l opposition congolaise doit continuer a demander au gouverment la main ,pas avec des declarations de guerre mais plutot pacifique si nous voulons un congo prosper.ils sont au pouvoir la balle et de leur coter,tout comme le malade qui va chez le medecin.et le future ne se conjugue pas dans le passer ,mais plutot au present.ne crier pas ici et la pour la reponse :la solution et au mains des congolais,mais cela a besoin aux congolais d etre reeduquer dans la maniere que nous consevons l avenir.les hommes politique ne sont pas des dieux ,laissons l esprit du fanatique par ce que les hommes politique come and go soyons passion l eterniter n existe pas.comme le stipulai un politicien congolais chacun aurai sa part .apres 20 les caisses se vident les milliard et million ne sont peut etre plus voila pouquoi ils incitent la mass a destabiliser les choses puis que le ptemps et l age n est plus a leur profit .ils voient leur propre interets,ils ne viendront pas pour transformer le congo a un paradis.soyons sage et vigilant .
Merci Congo Liberty pour la qualité de notre invité. C’est vrai que ça nous change des NZABA et autre POITY PANGOU.
La profondeur de ce papier nous pose la question de la formation de notre élite.
MR GANGA est ancien séminariste de la même promotion, comme il le dit lui même, que Monseigneur KOMBO. On notera que beaucoup de ses références sont liés aux hommes de Foi. (MALULA, BIAYENDA, Pape Jean PAUL)
Curieusement du côté du NORD Congo, ils sont tous MILITAIRES.
Et à l’orée de 2020, certains viennent pérorer sur ce site en voulant nous imposer un certain GENERAL qu’on veut nous imposer comme GENERAL du PEUPLE …
Cherchons l’erreur…
Ah les laris, zut, les bacongos, ils aiment bien causer entre eux, se féliciter entre-eux et s’exclamer entre-eux. A croire que les intellos ne sont que chez-eux. Décidement, vous ne changeraient jamais !!!
Contenu de l’article n’apporte rien d’exceptionnel et rien de nouveau. Sous Milongo, les gens ont bouffé l’argent comme sous Sassou actuellement et précédemment. Ce qui est étrange, il y’ a toujours ce côté on bouffe aussi, mais chez nous, c’est religieux, on est différent parce que il y’ a la foi. Pfffff !!!!
Nord comme Sud, ils sont tous pareil. Les congolais sont envieux, jaloux des uns, des autres et lorsqu’on leur demande de bosser, ils deviennent paresseux.
La sittuation pool reste une preocupation de tous les congolais et si nous croyons qu ils ya que l homme du pool pour les remedes ,nous y arriverons pas.rien ne peut se faire si croyer si nous acceptons la main du pouvoir en place ,appelons les choses avec leurs noms,meme la bible dit qu il faut respecter les authorites .vous savez quoi parfois il faut ecarter l arrogance et accepter les faits.vos ninja que vous glorifier ne peuvent renverser le pouvoir ,alors faite pression a ceux les qui les controlent de les convaincre que les choses ne vend que etre negative pour la region du pool,ne penser pas que il ya des congolais qui fete par ce les meurt?je ne pense pas.ce que peuple commencer a faire c est d exposer les complices qui vivent entre eux et laisser de penser comme si nous etions dans des annees 50,et dire que nous avons des problems a regler entre nous avant de trop accuser,les etat generaux du pool une reconsialation au saint pool d abord,a prendre accepter les tribus du pays,par ce que si memoire est bonne depuis les annees 1958 l homme du pool se crois etre trop superieur aux autres,voila pourquoi n importe tribue qui accendent au pouvoir ne peut bien gouverner .donc. Cherchons le diable dans notre maison avant quand va chez le voisin et je vous le dit ,il faut reeduquer. Envoyer les enfant a l ecole ,connaitre dieu,respect les autoriter,les biens d autrui.par ce les autres regions avances malgrer la conjoncture econimique et le pool du faites les gens veulent toujours vonger.pour prouver quoi ce qui va faire nous restons dans les meme zizani et les gens viennent pauvre pouquoi par ce qu il n ya pas l esprit humble et les jeune pool se prennent pour des impolie ,delinquant,et sapeur toujours pret a quitter le pays pour l europe d ou bloquer et se prennent en otage par les parents qui les demandent de n est plus venir au pays,automatiquement tu oublier les valeur et le non respect des dirigeants.voila en resumer les peut de point culmunant qui mines la region du pool.tout congolais doit dire quelque choses pour en finir avec la crise .mais soyons positif ensemble nous vaincrons la societer civile doit aussi apporter des solutions.amen
@ITOUA-ITOUA,
Es-tu fier de toi de te découvrir comme un COMPLEXÉ et JALOUX tribaliste ?
Gêne-toi un peu.
Merci !
« Nord comme Sud, ils sont tous pareil. Les congolais sont envieux, jaloux des uns, des autres et lorsqu’on leur demande de bosser, ils deviennent paresseux. »
Commençons par élever le débat nous même. En quoi c’est anormal de dire que tous les Présidents du Nord ont tous été des Militaires. C’est qu’une réalité. En quoi devrions nous l’occulter.
Mokoko, qui a sollicité le suffrage universel est aussi Militaire. Brillant militaire sans doute. Le noter est ce aussi de la jalousie ?
Dire que les seuls candidats militaires aux dernières Présidentielles, ( deux généraux) étaient du Nord. Est ce de l’envie?
Dire qu’il n’y eu aucun civil Candidat de la partie Septentrionale du Pays aux présidentielles serait aussi de la jalousie? Et pourtant, des civils brillants il y’en a. Aujourd’hui il y’a plus de professeurs certifiés CAMES au Nord qu’au SUD du Congo.
Pourquoi s’auto empêchent t-ils de briguer la magistrature suprême ?
Toute vérité devient Tribalisme. Au nom de cette définition du tribalisme, car c’est le mot que Mr ITOUA n’a pas voulu lâcher, il nous faut taire toutes les vérités.
Bizarre conception d’une volonté de vivre ensemble.
Je pense maintenant les choses peuvent mieux se passer sont que nous pointons les uns aux autres ,car le debat ne peut que etre reel lorsque nous sommes tous unis et avoir un interet commun.nous vonlons tous revoir les choses se normaliser .mais une chose ouvrant nos coeur et soyons sincere envers les autres.le congo et un beau pays et refletant son image ,l uniter nous rend puissant oublion se qui nous divisent.,il ya aussi des bonnes choses qui se passe ,mais lorsque nous sommes aveugler par la haine se difficile de faire une distinction entre le bon et le mal .ceux qui insultent ne repondent plus par ce que c est important et je demande a tout congolais de bonne foi ,a pouvoir dire un mot pour ce qui est pour le pays et l avenir des nos enfants qu ils jouissent de ce beau pays.meme les occidents ne font confiance a quelqu un qui et toujours negatif pour son pays.
M. le ministre Dieudonne Antoine Ganga, merci et heureux suis-je de lire cet entretien, o combien instructif pour quiconque epris de paix et de justice aimerait mettre de son temps a comprendre et de son energie a travailler la recherche d’une solution durable de la vie en bonne intelligence au Congo. Seulement voila: le perturabateur de la paix au Congo a bel et bien un nom, meme si tout le monde le sait mait se tait: Denis Sassou. Il y’a 20 ans monsieur Sassou dormait pour lui quand la force publique, sous l’auorite du bien elu President, P. Lissouba (qui n’etait pas exempt de reproches…) alla perturber son sommeil… Les naifs y avaient cru. Mais pas ceux qui avaient les yeux (pour lire les briefing news des agences d’intelligence), les oreilles (pour ecouter ce qui se disait parmi les partisans de monsieur Sassou dans les quartier Nord de Brazza ou ceux qui s’entrainaient au maniement d’armes a Chambistcho, a cote d’Oyo).
La paix que monsieur Sassou se targue d’avoir ramene au Congo apres sa victoire militaire en 1997 a ete une paix des armes. Une paix imposee par la peur que le vainquieur la guerre du petrole a su distillee dans le subconscient des populations. Helas, pendant 20 ans monsieur Sassou n’a pas pu transformer sa victoire militaire en victoire politique et democratique.
Monsieur l’ambassadeur Ganga, pendant plus de 16 ans la region du Pool a ete en paix avec elle-meme. Le Rev. Pasteur Ntumi et ses fideles n’ont plus ete coupables des actes d’agression sur les populations civiles, comme ce fut le cas pendant la premiere guerre du Pool. Pendant cette intermede de tranquilite dans le Pool il y’avait certes la misere apres que la region ait ete detruite et abondonnee. Mais au moins les populations vaquaient tranquilement a leurs occupations quotidiennes. C’est le changement de la Constitution de 2002, pourtant taillee aux mesures de monsieur Sassou lui-meme et le hold electoral qui a suivit le presidentielle de 2016 qui sont venus mettre fin a la quietude des populations du Poll. Jusqu’au declechement de cette guerre Ntumi etait encore ministre delegue de monsieur Sassou. Pourquoi avoir confondu un citoyen, Ntumi, avec les populations qui sont du meme groupe ethnique que lui? Sassou est un gros TRIBALISTE. Pourquoi certains Congolais feignent d’ignorer les vraies origines de cette deuxieme contre les populations civiles du Pool?
Vous avez attendu l’amassadeur 19 ans pour enfin recevoir les billets du Congo pour que vous rentrez chez vous. Et vos anciens collaborateurs attendent toujours pour obtenir les leur. Triste. Un des ministres de Sassou, monsieur Dzon, pour ne pas le citer, avait lance une boutate a Washington que « certains diplomates seraient des clochards », etc. Mais ce que Sassou alias Ali Baba et les 40 voleurs ignorent, c’est que plusieurs familles des anciens diplomates ont vole en ecclat, faute de moyens de vivre decemment. D’autres ont perdu enfants et epouses pendant cette attente de 20 ans. La mechancete de Sassou a des victimes. Pourtant les Bouya, Nguesso et cie achetent des biens en Occident. C’est l’argent qui manquait pour rapatrier les diplomates? Non. Bref.
@ Lucien Pambou. Vous dites ce qui suit: » Dans l’analyse du réseau ces éléments sont pris en compte mais ils doivent être étayés par des preuves concrètes. Monsieur Le Ministre, vous souhaitez la paix au Congo, on peut s’interroger de façon diversifiée.
1. Etes vous sûr que tous les Congolais veulent la paix, malgré leurs discours au grand jour, alors que dans les différents cénacles réseautaux auxquels ils appartiennent ils disent le contraire ?
2. Quelles ont été les actions du Président Milongo en termes de désignation des hauts fonctionnaires appartenant à toutes les régions du Congo?
3. Quand on est nommé haut fonctionnaire et que l’on connait la cartographie de la diplomatie congolaise, quelle marge de manœuvre a-t-on et avez-vous eue pour dire qu’il fallait nommer des diplomates et ambassadeurs congolais relevant de toutes les ethnies ? »
A votre premiere question, bien cher monsieur Pambou, je dis que oui en effet les Congolais ont un desir ardent de vivre dans leur grande majorite en paix. C’est une infime minorite, accrochee aux fiances publiques qui s’y oppose. Connaissez-vous un peuple qui refuse de vivre en paix tant que tous les citoyens sont egaux devant la Loi? Si c’etait pas le cas, les Congolais seraient alors la le seul peuple au monde qui se plairait a la violence politique recurrente. Un petit indice que j’ai pu observer de loin, tout comme beaucoup de Congolais qui m’a rassure et convaincu de cette soif que les Congolais ont de vivre en paix. Pendant la campagne presidetentielle, bien que les moyens de battre campagne n’etaient pas egaux pour tous les candidats, nous avons vu comment le candidat Mokoko avait ete accueilli dans la partie Sud du pays dont il n’est pourtant pas originaire. La liesse que suscitait ses passages sont un signe qui montre, pour moi en tout cas, que lorsque les Congolais ont une chance de faire un choix LIBRE, ils savent voter pour leur interet. Comme en 1992.
Votre deuxieme question sur les actions que le PM Milongo avait entrprises dans la designation des haut fonctionnaire me fait sourir. pour votre gouverne, M. Milongo est celui qui avait nomme feu colonel Tsourou a son dernier gallon. Jean-Luc Maleka a ete le choix de Milongo au poste de ministre du budget, sachant le ministre Malekat est originaire de la Likouala. Aussi elu a la tete du gouvernement de Transition, il avait garde Mokoko comme CEMG et bien d’autres cadres militaires anciens collaborateurs de Sassou etaitent reste en fonction. C’est le cas Ngoulodele et bien d’autres. Pourtant le PM Milongo etait chef des armees pendant la Transition. J’etais un jeune journaliste, loin de la sphere du pouvoir, mais ma curiosite et ma quete de verite m’ont amene a connaitre ces quelques faits que je prends pour example. C’est monsieur Sassou qui designe en fonction de la tribu ou l’ethnie du fonctionnaire. Vous n’avez qu’avoir la composition de son haut commandement militaire ou les postes cles de l’administration ou bien encore les postes important dans les compagnies du service publique ou para-etatique. Quant a vortre 3 question elle specifiquement posee a monsieur l’ambassadeur Ganga, je ne peux repondre.
@ monsieur Itoua. vous ecrivez: » Ah les laris, zut, les bacongos, ils aiment bien causer entre eux, se féliciter entre-eux et s’exclamer entre-eux. A croire que les intellos ne sont que chez-eux. Décidement, vous ne changeraient jamais !!!
Contenu de l’article n’apporte rien d’exceptionnel et rien de nouveau. Sous Milongo, les gens ont bouffé l’argent comme sous Sassou actuellement et précédemment. »
Ce que vous dites reflete bien l’etat d’esprit des tenants du pouvoir de FAIT de Brazzaville. C’est aussi avec le meme esprit que les jeunes recrus des milices du despote ecclaire au neant vont dans la region du Pool boufer le moukongo. Pitie. Vous confondez tout. Comme votre pere Sassou. Ce dernier disait dans une video rendue publique qu’a ndele(la ville de Brazza siege des institutions) il n’y avait pas encore personne pour le remplacer. S’il Kani, chef mbochi il n’est pas president de tous les Congolais tant que la majorite d’entre nous ne lui accordons pas notre vote.
Poor country!
Mr Nganga,
Revenez dans une autre vie et vous serez compris.
Il manque à votre discours une dimension psychologique et psychanalytique des personnages de l’univers politico-mafieux congolais.
Quand on sacralise le meurtre dans une constitution, je doute fort que l’on soit pour le dialogue.
Soyons réalistes et pragmatiques. Quand on se fait accueillir à l’aéroport avec des drapeaux rouge sang; que l’on parle du goût du sang et des larmes; que l’on exige aux populations de Brazzaville sud de voter pour lui aux risque de vivre les affres de 1991-1997, etc, je ne crois pas que l’on a l’étoffe d’hommes de paix.
Le dialogue est impossible au Congo avec les mêmes acteurs. Le Congo d’aujourd’hui ressemble à l’Espagne Franco qui n’a jamais voulu pacifié son pays. Il a fallu sa disparition pour les espagnols commencent à se parler.
Monsieur Bakala Telema, merci pour ton post qui me fait gagner du temps et preserve l’energie d’en ecrire un, tellement que je me suis retrouvé en vous tout au long de tes quatre paragraphes. Le monsieur qui prétend être Président et chef de l’Etat, même voyou n’accorde aucun respect à la dignité humaine… Les images d’enfants et de femmes malnutruits dans le Pool m’ont laissé sans voix. Pendant que l’homme de paix, tata 8% déclarait dans son palais que tout allait bien dans le Pool, ces images de détresse ont rattrape son gros mensonge.
Monsieur se fait appeler « nzambe na nsengue », dieu sur terre, montrant bien que l’illuminé c’est pas celui que l’on croit, qui se défend dans les forets du Pool. L’illuminé est plutôt celui qui avait dit devant un parterre de notables mbochis que personne ne pouvait le remplacer a nguele(la ville capitale des institutions de la république). Mais le pouvoir d’état n’est pas a confondre avec le pouvoir tribal de Kani mbochi. Je ne crois pas au dialogue avec un tel homme qui en plus ne sait rien faire de son temps libre, loin du pouvoir politique sinon a comploter. Sous lui le Congo ne connaîtra jamais une vraie démocratie, avec des élections libres et d’institutions républicaines. Monsieur l’ambassadeur Ganga, monsieur Sassou me connait et comprend rien a cette belle contribution. Seul un humain peut comprendre votre approche. Or lui est hors normes. La Constitution l’exhonore déjà des délits et crimes qu’il n’a même pas encore commis.
Merci Bakala Telema.
@BALIELE BAKIMA , ADMIS et donc validation ;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;
Pour compléter au tant que faire se peut , l’analyse du doyen , je dirai avec une conviction chevillée au corps que l’instrumentalisation de la tribu à des fins politiques est un fond de commerce , pour des intellectuels et hommes politiques congolais en mal d’idées génératrices des revenus issus de leur génie créateur ;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;
On tue , pour s’approprier les finances publiques ;;;;;.
SASSOU et compagnie en sont des maudits exemples ;;;;;
Sassou Nguesso et son clan sont des véritables dangers pour la paix et le développement au Congo et dans la sous région.
Pour ceux qui se laissent manipuler, qui veulent aussi nous tromper, qui veulent ignorer le problème des disparus du Beach ainsi que d’autres crime contre l’humanité de Sassou Nguesso, l’ hitler, comme cette classe d’opposition corrompue qui est prète à aller aux législatives pour donner une certaine légitimité au pouvoir illégal, illégime, mafieux, génocidaire, tribal, clanique,
la poursuite éhontée contre Ntoumi, qui contrairement à ce qu’on avance n’est pas du tout responsable de la crise du Pool est un pretexte pour masquer l’épuration éthnique à huit clos dans le Pool. Il est temps de se rappeler un peu de l’histoire: L’ hitler de L’afrique; le bourreau Sassou Nguesso est bien un étranger qui n’a pas toujours voulu s’integrer et qui règne sur un pays qui n’est pas réellement le sein. Sassou Nguesso né des parents venus de l’ étranger, a toujours voulu la disparition des Laris, Bacongos originaires du Congo dont il a une haine féroce que lui personne connait le secret.
Depuis plus d’ une année le génocidaire, président illégitime illégal Sassou Nguesso et sa bande continuent à semer la terreur au Congo, à massacrer sauvagement les populations civiles dans le Pool, sous prétexte qu’elles sont prises en otage par Ntoumi et ses rebelles Ninja.
Excellence Monsieur le Ministre,
j’apprécie votre plume. Cependant, j’aimerais répondre de façon logique à vos questions car il faut toujours appeler chat-chat. « Enfin, mon ouvrage pose les questions suivantes : « Que voulons-nous ? Qui perturbe la paix et pourquoi ? Quelle raison fondamentale justifierait de mettre en péril notre pays et la vie des citoyens ? Quelle sont les conditions d’une paix durable et comment y parvenir ? ».
Que voulons-nous ?
Nous voulons absolument la paix, la liberté, l’emploi et la libre circulation des biens et des personnes. Nous refusons la guerre dans le Pool et ailleurs au Congo. Ceux qui viennent mourir dans le Pool et ceux qui sont massacrés sont tous des innocents.
Franchement, nous voulons absolument la vraie paix et celle des esprits. Sassou Nguesso sera emporté par sa barbarie. Le faux général a mal choisi sa cible. Cela dure déjà vingt ans et nous continuons à résister. Depuis son jeune âge, le fils du féticheur Soussa qui lui donna la malédiction de devenir un grand chef est toujours assoiffé de sang. Il n’a aucun lien de sang avec les Nguesso.
Qui perturbe la paix et pourquoi ?
Seul Sassou perturbe la paix depuis des décennies. C’est lui et lui seul. Il a toujours dit: » je mettrai Brazzaville à feu et à sang ». Cette guerre est planifiée depuis longtemps et il exécute son plan machiavélique. Il a tant massacré dans le Pool et il continue à tuer. Nous résistons et nous résisterons jusqu’au bout. Que toutes les régions du Congo s’Insurgent contre Sassou, le sanguinaire. INSURGEONS-NOUS! INSURGEONS-NOUS! Lui, c’est un peureux, un ingrat et un pleurnichard. Il est l’éternelle victime alors que c’est bien lui qui crée toutes les tensions et toutes les guerres. Vraiment, les hommes qui ont des couilles bien suspendues n’existent plus comme Matsoua André et Mabiala Ma Nganga. Furent-ils des pièces uniques?
Il perturbe la paix pour demeurer tout simplement au pouvoir en faisant des dépenses folles et en corrompant les dirigeants français à l’image de Jacques Chirac et François Hollande, le cheval le plus minable et menteur comme un soutien – gorge. Leur soutien à Sassou est bien visible. Jean Yves Le Drian, l’habitué d’Oyo est un allié de Sassou et il faudrait se méfier de lui. De toutes les façons, Sassou sait corrompre et il envoie ses chiens renifleurs partout pour acheter les consciences et les lobbies. la rencontre entre trump et lui est un grand échec et j,en remercie la DIASPORA qui travaille fort jusqu’à la chute du tyran. La liste des membres de la diaspora publiée ne nous fait pas peur, venez, nous vous attendons. Qui vivra, verra!
Quelle raison fondamentale justifierait de mettre en péril notre pays et la vie des citoyens ?
Comme Sassou incarne le mal, la raison fondamentale est de détruire le Congo afin que les dirigeants français et Total focalisent leurs budgets sur la vache au lait ou la poule aux œufs d’or. Il faudrait chasser les Français trop fourbes et voleurs. Chirac a tellement contribué à la mort des Congolais et freiné la démocratie que la terre refuse de le prendre.
Quelle sont les conditions d’une paix durable et comment y parvenir ?
Les conditions d’une paix durable consistent à chasser Sassou du pouvoir et son clan et de renégocier tous les contrats avec la nuisible France qui n’a pas besoin du développement du Congo et de l’épanouissement des Congolais. Face aux massacres dans le Pool, Hollande est parti sans mot dire et il a rencontré Sassou au Mali. Pour y parvenir, nous ne dialoguerons pas avec Sassou qui mérite la prison à vie et nous refusons les législatives, etc.
mr dieudonne antoine nganga a manque de dire clairement aux gens que le dialogue serait une stupidite dans la mesure ou celui qui recherche regulierement la paix est ce baggareur de tous les temps soit le pool. le pool setait battu en 1959.contre les tekes. cette guerre commence en bembes tekes setait achevee en lari teke .de quoi setait il mele? fulbert youlou fut oblige de faire monter des eaux mr j opangault tiers au conflit
en 1977 le pool revient a la charge souhaite un dialogue et voila, marien ngouabi craque fait remonter a la surface des eaux al massamba debat de boko vers brazzaville.
en 1993 1994 le pool est battut aux elections par p lissouba. il crie au diable et lance ses jeunes sauvages a la presidence il sont stoppes net par une rafale tiree de mbaou ferdinand et de j m nguembo.en beau fou mr lissouba dissout l’assemblee vous ne l’avez pas dit et c’est grave mr , mr lissouba renvoie le peuple congolais aux urnes.ses insuffisances manageriales transpirent. mr p lissouba n’avait pas une experience averee en matiere de conduite de projets electoraux. je suis desole mr d a nganga et etrangement vous ne l’avez pas dit. de 125 deputes sous andre milongo le parlement lissoubien n’en comptait que 123 ce qui etait anti constitutionnel car le seuil legal etait de 125. la encore mr d a nganga vous ne l’avez pas mentionne. alors le pool
cet autre beau fou de la politique congolaise s’excite ,le pool demande les armes. sassou ng lui en offre.le pool se bat donc.dans sa folie le pool chasse de bacongo et de makelekele tous les niboleks la encore c’etait anti constitutionnel et mr vous ne l’avez pas dit j’ai bien envie de conclure que vous avez caresse le pool.la guerre chauffe, p lissouba est couvert de honte le pool signe les accords pool pays du niari au gabon.entre temps le pool rpromeut la sauvagerie ninja avec a l’epoque willy matsanga commandant camille …et les laris les encensait comme aujourdhui avec frederic bintsamou
1997 comme je vous lai dit les insufisance manageriales en conduite des projets electoraux avaient de nouveau transpire.en lieu et place d’organiser des elections constitutionnellement prevues en juillet 1997 mr p lissouba avait lache ses pythons contre denis sassou ng lui meme python.c’etait evidemment anti constitutionnel.une guerre civile eclate.elle avait commence en cocoyes cobras et setait achevee en ninjas cobras comme en 1959.de quoi se mele le pool?
mr dieudonne antoine nganga
LE POOL A ASSEZ DIALOGUE DANS CE PAYS ET CEST LARGEMENT SUFFISANT. APPRENEZ MR A CHICOTTER LE POOL.IL N Y AURA PAS DE DIALOGUE
le pool aime les dialogues pour acceder aux instances dirigeantes de l’etat.c’est suite aux accords pool pays du niari que le colonel philippe binkinkita lari et ninja avait ete nomme commandant de la force dinterposition, corps militaire au demeurant ANTI CONSTITUTIONNEL
tous ceux qui appellent sassou ng a respecter la constitution n’ont fait que la violer.
mr le ministre cest le dernier point
un violeur dune jeune fille peut il demander a un autre violeur depouser la jeune fille?les bras men tombent quand je vois le pool oser donner des lecons de droit constitutionnel a denis sassou ng.NOUS NE DIALOGUERONS PAS NOUS ALLONS RESTER COMME CA. LE POOL NE VOYAGERA PAS LE POOL N’IRA NULLE PART IL N Y AURA PAS DE MAPUTO 1 MAPUTO 2 MAPUTO 3… LE POOL SERA UNE ZONE SAUVAGE jusqu en 2090 91 92…
Le pool va de Boko a Ngabe, de kimba a Ignie en passant par Vindza, Kindamba, Mayama, Brazzaville… Le pool est peuple des tekes, laris, kongo, pygmees, hangala, soundis et minkengues. Le pool est le lieu ou le Congo a ete cree au 19e siecle par le roi Makoko et De Brazza a Mbe. C’est grace au pool que les sauvages des marecages de la cuvettes ont ete sortis des forets pour briller aujourd’hui dans la criminalite, le viol, et le banditisme d’etat. Detruire le pool, c’est scier la branche sur laquelle ces sauvages criminels sont assis. Brazzaville, une ville dans le pool, ne survivra pas a la destruction du pool. Le chemin de fer passe par le pool tout comme les routes nationales 1 et 2. Elles pourront etre coupees a tout moment et Brazza sera asphixie. Arreter de raconter n’importe quoi.
Quel est le nom de celui qui divague? Qu’il apprenne a écrire comme Alain Mabanckou, Dongala, Guy Menga ou son Excellence Dieudonné Antoine-Ganga qui sortit Sassou de son isolement en 1991. Le sanguinaire et son clan ont la mémoire courte. Se sont les fils et les filles du Pool qui l’ont beaucoup hissé. En 1991, Bernard Kolélas l’a présenté a Kinkala comme mwana mbouta. Quel texte de loi ce sanguinaire at-il déja respecté. Sale truc!!!!!!!
TUER LE POOL ,c ‘est priver le CONGO de sa sève nourricière ;;;;Le pool a le don de s’offrir au pays des talents rares ,des personnes aux qualités multidimensionnelles sans oublier ses potentialités agricoles .
LE POOL , fait peur , et par ricochet suscite de la jalousie .SASSOU est l’un des ceux ,qui n’ont
pas supporté cette forme de suprématie naturelle de cette région sur d’autres .
LE CRIME DU POOL , c’est de toujours donner le la ;;;;;
lire ;;le don d’offrir au pays