Historicité de l’exploitation pétrolière en République du Congo. Par Wilfrid SATHOUD

Vue d’ensemble Fpu Likouf de la plateforme pétrolière du projet Moho-Nord.

L’histoire de l’exploitation pétrolière en République du Congo se confond avec celle de la colonisation de ce pays, qui faisait jadis partie intégrante de la fédération de l’AEF (Afrique Equatoriale Française), regroupant à l’époque coloniale les territoires du Moyen-Congo, du Gabon, de l’Oubangui-Chari et du Tchad, alors placés sous l’autorité administrative unique d’un Gouverneur général résident à Brazzaville.

D’après la légende basée sur les archives du Bureau Minier de l’AEF, la révélation de la présence des indices d’hydrocarbures sur toute l’étendue de la côte de l’AEF, par les premiers explorateurs remonterait aux années 1893-1894.

Par la suite, c’est le Gouverneur Général Raphael Antonetti qui aurait confié, en 1929, à un certain ingénieur géologue de l’Ecole des Pétroles de Strasbourg nommé Ledebeff, la mission de mener des études de reconnaissance sur la teneur des suintements bitumineux constatés au large des bassins côtiers bordant les agglomérations où seront érigés au fils du temps les villes de Pointe-Noire et de Libreville, aux confins des territoires Congolais et Gabonais.

L’ingénieur Ledebeff en pleine prospection sur le terrain.

A l’issue de cette mission, dont les travaux permettront de réaliser les esquisses d’une double cartographie topographique et géologique du domaine minier de l’AEF publiée pour la première fois en 1946, après 15 ans d’intenses travaux de recherches, l’ingénieur Ledebeff indiquera entre autre dans son rapport circonstancié adressé au Gouverneur Général : «..J’ai pu constater que les indices de pétrole justifient dans une large mesure les espoirs qu’on peut fonder sur cette région et donnent la quasi-certitude de la présence des gisements de pétrole dans la zone du littoral de l’AEF ».

Tenant compte des résultats de cette étude, les autorités coloniales de l’époque décideront alors de placer l’exploitation du pétrole dans le bassin côtier de l’AEF, sous le régime de « réserves stratégiques ». D’où, ils procèderont dans un premier temps à l’approbation des accords portant sur la création d’une Mission de Prospection des Pétroles de l’AEF (MPPAEF) conclu entre la Colonie et l’Office National des Combustibles Liquides (ONCL), par décret du 26 mars 1931.

A l’origine, la Direction locale de cette structure (MPPAEF) sera assurée par M. Ledebeff, sous l’autorité du Gouverneur Général et l’assistance technique de l’ONCL représenté par un professeur de l’Ecole Nationale des Pétroles de France, nommé M. Jung.

Au regard de l’importance des moyens à mettre en œuvre pour entamer la phase de prospection des gisements pétroliers localisés en AEF et amorcer les premières opérations de forage, il sera donc envisager avant le déclenchement des hostilités de la deuxième guerre mondiale, la création d’un Syndicat d’Etudes et de Recherches Pétrolières (SERP). Le capital initial de ce Syndicat sera repartit entre le Gouvernement Général de l’AEF, l’ONCL et la CFP (Compagnie Française des Pétroles), créée depuis 1924 sur décision de Raymond Poincaré, alors Président du Conseil de la IIIème République Française, dont le nom sera attribué de ce fait à l’immeuble abritant de nos jours le siège social de la société TOTAL E & P Congo, actuellement 1er opérateur dans les domaines de l’exploration-production pétrolière et 2e distributeur des produits pétroliers au Congo .

La Direction Général de TOTAL E & P Congo

Courant 1934, le premier permis général de recherche et de prospection pétrolière de l’AEF, couvrant une superficie de 160 000 Km2 sur les côtes du Congo et du Gabon sera attribué au Syndicat d’Etudes et de Recherches Pétrolières (SERP). Malgré l’insuffisance des moyens financiers engloutis pendant la 2e guerre-mondiale, auxquels s’ajoutaient les problèmes techniques, le manque de voies de circulation et l’obstacle naturel constitué par la forêt équatoriale qui rendait difficile le travail et la progression des équipes dans certaines zones, le SERP parviendra tant bien que mal à réaliser les premiers forages, sous la direction du géologue Victor Hourq, avec une forte implication de la main d’œuvre locale africaine.

Les premiers forages réalisés les mains nues par la main d’œuvre locale africaine.

Au lendemain de la 2e guerre-mondiale, la France envisage impulser une nouvelle dynamique à sa politique pétrolière, avec la création par ordonnance du 12 octobre 1945, d’un Bureau de Recherche de Pétrole (BRP), dont les principales missions visaient entre autre d’établir un programme national de recherches élargies à ses dépendances coloniales, la prise de participations dans différentes entreprises pétrolières, l’intensification des campagnes de recherches et la rentabilisation des gisements, à l’origine classés sous le régime de « réserves stratégiques » dans différents territoires relevant de l’empire coloniale français.

C’est ainsi que la véritable épopée de l’exploitation pétrolière en on shore et en offshore commencera à prendre une envergure considérable sur le territoire Congolais et Gabonais, dans le cadre de l’Afrique Equatoriale Française (AEF), à partir de 1947.

Suite à l’attribution d’un permis général de recherches d’une durée de 40 ans, couvrant une superficie de 136 000 km2 dont 116 000 à terre et 20 000 au large, à la Société des Pétroles d’Afrique Equatoriale Française (SPAEF) créée le 1er juillet 1949, avec un capital initial de 5 milliards de Fcfa répartit de la manière suivante : BRP (65%), AEF (21%), CFP (12%) et divers partenaires (2%), deux premiers gisements pétroliers seront mis en exploitation. Il s’agit d’abord de celui dit de la Pointe Clairette, découvert le 16 janvier 1956, du côté de Port-Gentil au Gabon et ensuite, celui dit de la Pointe-Indienne découvert le 13 décembre 1957 sur le littoral de Pointe-Noire au Congo. Ce dernier révèlera par ailleurs, en sus du pétrole de qualité très paraffinique, fluide et immédiatement commercialisable, la présence de l’un des plus grands bassins potassiques du monde exploité à l’origine par les Mines Domaniales de Potasses d’Alsace (MDPA) en joint-venture avec la SPAEF, affiliée à Elf Aquitaine, l’un des ancêtres du groupe pétrolier français TOTAL.

Voici à ce sujet un récit évocateur des caractéristiques originelles du gisement de la Pointe Indienne, tel que relaté dans une luxueuse plaquette révélatrice des potentialités économiques de la ville de Pointe-Noire et, des activités de la Chambre de Commerce, d’Agriculture et d’Industrie du Kouilou-Niari, publié à l’époque en 1963 aux Editions Paul Bory à Monaco.

Pointe-Indienne

Le 13 décembre 1957, un forage effectué au Congo par la Société des Pétroles de l’Afrique Equatoriale faisait jaillir le pétrole à la Pointe-Indienne, à une vingtaine de kilomètres au nord-ouest de Pointe-Noire.

Un terminal dit « la Rivière Rouge » fut construit à une dizaine de kilomètres du port, en bordure de la côte. Ce terminal d’une capacité de 27.300 m3 est relié aux pétroliers mouillés au large sur cinq bouées flottantes ancrées par 15 m de fond par une conduite comprenant une canalisation de 400 mètre de 22’’ de diamètre enterrée jusqu’à la vanne de plage et une conduite sous-marine (Sea line) de 2.360 mètre et de 22’’ de diamètre dont l’extrémité est positionnée par une bouée.

Assemblage des tubes de sea-line

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Mise place du traîneau spécial de lancement et ensouillage de la conduite du sea-line au droit de la barre

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La production s’est élevée successivement en 1960 à 51.874 tonnes de brut à partir de 8 puits producteurs et à 102.939 tonnes en 1961.

Au cours de ces deux années, les exportations ont atteint 147.000 tonnes.

Si les hydrocarbures paraissent susceptibles de prendre une place non négligeable dans les produits congolais exportés, ils doivent aussi contribuer à l’essor de l’industrialisation de Pointe-Noire.

La Centrale thermique de Pointe-Noire ne peut, malgré les renforcements dont elle a été l’objet depuis 1946/47, satisfaire aux besoins grandissants de la ville et de ses industries, qui vont se développant. Afin de pallier cette insuffisance qui risque rapidement de s’aggraver, il vient d’être envisagé d’utiliser les gaz de la Pointe-Indienne, exempts de souffre, et pouvant être employés à l’état brut pour assurer la chauffe au moins partielle des chaudières de la Centrale actuelle.

Finition de l’installation des champs productifs de la Pointe-Indienne qui alimenteront bientôt une Centrale thermique.

Il existe actuellement cinq groupes thermiques. Un sixième sera installé à la Pointe-Indienne, ce sera un groupe à turbines, capable de produire jusqu’à 2.500 kW, en utilisant le gaz de pétrole de la Pointe-Indienne. De cette façon l’énergie hydraulique du pays sera autonome. L’électricité produite par le groupe de la Pointe-Indienne sera transmise à la Centrale de Pointe-Noire par la voie aérienne.

Éventuellement les groupes de Pointe-Noire serviront en cas de panne à la Pointe-Indienne et pour permettre les travaux d’entretien, les groupes de Pointe-Noire, pour la plupart des Diesel, sont capables de produire 500 à 1.500 Kw. Il y a aussi un groupe à piston libre, une transition entre les diesels et les turbines.

L’installation d’une Centrale à la Pointe-Indienne sera une façon d’utiliser les ressources du pays (gaz de pétrole). Aussi elle permettra une autonomie en énergie hydraulique, en toutes circonstances ;

Le 31 mai 1960, soit 3 mois avant la proclamation de l’indépendance de la République du Congo, la concession d’exploitation du gisement pétrolier de la Pointe-Indienne sera attribuée, pour une durée de 75 ans, à la société des pétroles de l’Afrique Equatoriale Française (SPAEF) qui a été très actif dans l’exécution des travaux de recherche et d’exploration. Au lendemain de l’indépendance, la SPAEF procèdera à un changement de raison sociale, pour se transformer en SPAFE (Société des Pétroles d’Afrique Equatoriale), avant de s’associer à la firme Mobile, pour entreprendre ensemble entre 1963 et 1968, les travaux de forage offshore sur le permis d’exploitation Congo-Marine 1.

La phase d’industrialisation dans l’exploitation pétrolière en République du Congo prendra ainsi son envole à partir de 1968, suite à l’octroi des permis de recherche offshore couvrant l’ensemble du plateau continental à deux nouvelles sociétés, à savoir : Elf Congo et Agip Recherches Congo qui parachèveront les efforts considérables de recherches des sociétés pétrolière pionnières et demeurent de nos jours les principaux opérateurs pétroliers du pays.

Actuellement, la société Total E & P Congo caracole en tête de peloton des sociétés opératrices du secteur pétrolier congolais, en tenant compte de bonnes perspectives qu’augure l’exploitation du gisement Moho-Nord, récemment découvert et officiellement mis en exploitation depuis le 15 mai 2017, qui est parvenu à atteindre un pic de production largement en deçà des prévisions initiales, à hauteur de 450 mille barils/jours, contre 140 mille initialement prévu sur une durée de 35 ans.

Tenant compte à titre d’exemple des sérieux problèmes d’insuffisance de sources d’approvisionnement en énergie électrique qui touchent actuellement la ville de Pointe-Noire et par extension la République du Congo, il serait hautement souhaitable que l’ensemble des opérateurs du secteur de l’amont pétrolier s’impliquent à envisager ensemble, sous l’impulsion des pouvoirs publiques et du gouvernement de la République, dans le cadre de la Provision pour Investissement Diversifiée (PID) prévue par les accords de partage de production et de leur Responsabilité Sociétale d’Entreprise (RSE), les possibilités d’optimiser au maximum l’exploitation des potentialités gazières générés par leurs différentes activités et d’autres actions citoyennes au bénéfice des populations congolaises, afin de remédier un tant soit peu à ce fléau qui ne cesse de prendre une ampleur considérable au fil du temps, et de redoré leur image de marque quelquefois ternis à tort ou à raison.

Wilfrid Sathoud, Manager RH, ancien stagiaire dans différentes sociétés opératrices du secteur pétrolier en République du Congo (Hydro-Congo, TotalFinaElf Congo, CMS Nomeco Congo, etc…).

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5 réponses à Historicité de l’exploitation pétrolière en République du Congo. Par Wilfrid SATHOUD

  1. LA DESCENTE AUX ENFERS COMMENCE dit :

    Monsieur SATHOUD ,
    IL Y A UN FRANGIN QUI NOUS A DIT  » ne raisonner pas les imbéciles , ça les instruit ».
    NOUS AURONS BESOIN DE CE GENRE D’INFORMATIONS LE MOMENT VENU.
    CONCENTRONS NOUS SUR LE DÉPART DE CE SYSTÈME DE MERDE.
    NOUS SAVONS QUE LES CONTRATS SONT SIGNÉS ENTRE NOS IDIOTS DE SERVICE ET LES BLANCS MAL ÉDUQUÉS AU DÉTRIMENT DES CONGOLAIS.
    COMMENT NOUS POUVONS METTRE HORS D’ÉTAT DE NUIRE SES DEUX ACTEURS INHUMAINS,?
    PAPA, GARDE SES INFORMATIONS AU CHAUD. TU DONNES LA POSSIBILITÉ AUX VOYOUS DE PRÉPARER DES FAUX DOCUMENTS.
    CASSONS DÉJÀ TOUT, NOUS POURRONS RECONSTRUIRE AVEC LES RESSOURCES MINIÈRES QUE NOUS AVONS ET LES RESSOURCES HUMAINES DONT TU FAIS PARTIE.´
    C’EST UN DES SEULS LANGAGES QUE SES VOYOUS CONGOLAIS ET SES BLANCS MAL ÉDUQUÉS PEUVENT COMPRENDRE.

  2. LA DESCENTE AUX ENFERS COMMENCE dit :

    LA PREUVE QUE SES BLANCS LÀ SONT MAL ÉDUQUÉS : ILS ONT DES PROBLÈMES AVEC LES GILETS JAUNES MALGRÉ TOUT LE PÉTROLE QU’ILS VOLENT.
    LA PREUVE QUE sassou EST UN IDIOT : IL PREND L’ARGENT DES RETRAITÉS, DES SALARIÉS, DES BOURSES MALGRÉ TOUTES LES RENTRÉES FINANCIÈRES DU PAYS QU’IL EMPOCHE.,

  3. vraicongolais dit :

    d’une certaine manière, il paraît surprenant que diosso,loango, deux villages très très proches du champ de pointe indienne n’aient toujours pas d’electricite, tandis que la torche de champ,située à moins d’un km continue de brûler à perte du gaz depuis plus de 60 ans, et cela en face des propriétés de grands notables originaires de ce coin.
    kiadi mingui,
    peuple villi, ressaisissez vous, cessez d’avoir peur sans raison, au lieu d’importuner les visiteurs des gorges de Diosso pour leur quémander des sous non mérites.
    vous êtes dans le tchitombi depuis depuis et vous avez peur.Pendant ce temps vous tirez le diable par la queue tous les jours, avec des enfants en haillon.
    Mme Gnali, Gomez, et bien d’autres: le lions club c’est bien, mais son propre village dans une telle misère devrait vous pousser à réfléchir,plutôt qu’à essayer d’y enterrer des déchets industriels.

  4. mwangou dit :

    vraicongolais bien parlé.
    le 12/10 dernier, je suis allé à Pointe-Noire. Je me suis rendu au village Matombi, sur la route de Bas-Kouilou… Je crois qu’il est inopérant de parler aujourd’hui des Gorges de Diosso… Même les habitants de Pointe Noire ont tendance à oublier cette merveille de mère nature dans notre pays…, du fait de l’abandon de cette route de jadis, pour le même Bas Kouilou…Il semblerait que des raisons d’éboulement sur cette route de Diosso, ont contraint de déplacer le tracé, lequel a valorisé le village Matombi au bord de la mer. Et à partir de ce village, le déboisement volontaire et par nécessité économique a fait ce qu’il fallait faire pour enlever au site de Diosso ce qui faisait son charme : cette forêt dans ces Gorges.
    Par ailleurs, la production de l’électricité par des turbines à gaz du côté nord, sur la route de Dolisie, a été une occasion d’alourdir les budgets des ménages à Pointe Noire, où le kwatt est vendu au double du prix de celui de Brazzaville… le forfait électricité pour un ménage est jusque là à un peu moins de 16000 francs, alors qu’il est de 35000 francs à Pointe Noire…
    « peuple villi, ressaisissez vous, cessez d’avoir peur sans raison, au lieu d’importuner les visiteurs des gorges de Diosso pour leur quémander des sous non mérites. » Le peuple Vili, n’a jamais eu peur; il est seulement victime de son hospitalité, qu’on se risquerait sans trop de mal à assimiler à de la naïveté, si celle-ci peut être aussi une tare collective, sociale.
    « Mme Gnali, Gomez, et bien d’autres: le lions club c’est bien, mais son propre village .. » Bien des intervenants sur ce site ont souvent relevé l’imposture que ruisselle ces officines marchand de bonheur individuel, qui ne sont que des instruments de notre emprisonnement culturel intellectuel. On y rangera dans le même sac, franc-maçonnerie, rose-croix et autres…

  5. LA DESCENTE AUX ENFERS COMMENCE dit :

    J’AI DONNE UNE PARTIE DES NOMS DES INDIVIDUS QUE NOUS DEVONS CHICOTTER SUR LA PLACE PUBLIQUE. IL FAUT AJOUTER LE NOM DE CELUI QUI SE PREND POUR LE ROI MA LOANGO.

    POUR LES FÊTES DE FIN D’ANNÉE, VOUS ÊTES INVITÉS CHEZ LES ESCLAVES DE sassou CI -DESSOUS :
    ALLEZ CASSER LEUR FÊTE, NOUS AVONS LES MOYENS DE RECONSTRUIRE.
    A- …………………………………….
    B- Bouiti-Viaudo Roland, Batchi Gabriel, Bissouta Mabonda Alois Devic, Beli Victor, Bongo Emilon Patrick, Bayendissa Brice Dimitri

    Ongoly Née Loumingou Geneviève …
    C- Coussoud-Mavoungou Martin Parfait Aimé

    D- ……………………………………
    E- …………………………………….
    F- Follo Isaac Raymond
    .
    G- GOMEZ VINCENT
    H-
    K- Kaba Vele Née Mpan Suzanne, Kando Jean François
    L- Louemebet Landry Autria Fabrice, Louvounou Alphonse

    M- MAKOSSO COLLINET, MAVOUNGOU COUSSOU, Mabiala Alexandre, Makosso Fils Basile, Mavoungou Gustave, Mavoungou Maurice, , Mboungou Goolfred Florent, Mamona Ferdinand, Mioko Germain, Makosso Christian Ernest

    N- Nguimby De Moussyth Kinga Patrick E, Nkodia Kynd Gaétan
    O- Ongoly Née Loumingou Geneviève, Okandza Fernand

    P- PAKA HONORE, Paka Banthoud Genest Wilfrid, Pambou Dadet Daniast
    S- Sounda Jean Aimé

    T- TCHIBOTA ANTOINETTE, TCHICAYA JEAN MARC, Tchibinda Alain, Tchignoumba Mboumba Gilbert Paul
    V- VIAUDO
    Veuillez compléter la liste S.V.P.

    On demande à chaque région de présenter sa liste.
    CECI EST UN ACTE CIVIQUE
    QUE CEUX QUI PORTENT LE MÊME NOM METTENT UN PRÉNOM À CÔTE DES NOMS DES INDIVIDUS INCRIMINÉS POUR ÉVITER LA CONFUSION.
    NB : LE DIABLE MBOCHI PASSE PAR SES HOMMES POUR NOUS ATTEINDRE.
    VOUS POUVEZ NOUS SIGNALER SI VOUS N’ÊTES PLUS MEMBRE DE LA MAFIA QUI DÉTRUIT LE CONGO, CAR IL N’Y A QUE LES IMBÉCILES QUI NE CHANGENT PAS.

    LES PARENTS DES ESCLAVES, DONT LES NOMS FIGURENT SUR CE MUR, DOIVENT RÉÉDUQUER LEURS SUJETS

    LE FMI, CEST LE VRAI BRAS ARMÉ DE L’ONU INCAPABLE DE METTRE DE LÓRDRE EN AFRIQUE, AU MOYEN ORIENT, EN PALESTINE.
    IL FAUT VOUS CACHER MESSIEURS LES DIPLOMATES ZÉLES.

    POUR QUE macron COMPRENNE QUE C’EST UN CON, IL A FALLU QUE LES GILETS JAUNES CASSENT. C’EST DOMMAGE DANS UNE SOIT-DISANT DÉMOCRATIE.
    ALLEZ CASSER LEURS FÊTES DE FIN D’ANNÉES.

    RAPPELÉ UNE ÉNIÈME FOIS SANS SANCTIONS. C’EST QUOI SES CARTONS JAUNES QUI NE SE TRANSFORMENT JAMAIS EN CARTONS ROUGES. C’EST LE CYNISME, 60 ANS APRÈS LES INDÉPENDANCES.
    MAIS LAISSEZ NOUS VIVRE NOTRE VIE, BON SANG!

    ALLEZ CASSER, NOUS AVONS LES RESSOURCES POUR RECONSTRUIRE.
    C’EST LA LÉGITIME DÉFENSE

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