M. Jean Claude Gakosso, ministre de la culture du dictateur Sassou Nguesso a adopté le 4 aout 2014, un budget de 6 milliards 500 millions FCFA pour la 10e édition du FESPAM.
Ce festival de musique inutile qui sert de stratagème pour détourner les fonds publics se tiendra du 18 au 25 juillet 2015, et aura pour thème : «La dynamique des musiques africaines dans la diversité des expressions culturelles».
On le dira jamais assez, cette coquette somme d’argent aurait pu servir à construire des dispensaires dans nos villages, ou offrir des table-banc à nos enfants qui dans les écoles publiques s’asseyent à même le sol. Chaque année, le budget du FESPAM augmente au moins d’1 milliard FCFA !
La dictature de Brazzaville a bien compris qu’il faut distraire le Peuple en l’abreuvant de boissons et le faire danser afin qu’il ne pense pas à la révolte… ! Mais jusqu’à quand ?
Par congolais zoba
Diffusé le 6 aout 2014, par www.congo-liberty.org
Aussi longtemps que le peuple n’a pas droit à de l’eau courante, à de l’électricité, à des villes salubres avec un système de santé moderne et pour tous, avec un système éducatif performant et moderne, et qui puisse manger à sa faim avec une autosuffisance alimentaire assurée à jamais, toutes ces festivités relèvent des actes purement criminels.
Mais, rien d’étonnant au pays du dictateur-sanguinaire.
David Charles GANAO disait à la CNS en 1991 : Comment peut on voler de l’argent dans ce pays ou l’on meure comme des mouches?
L’on sait, tout ce fric restera dans les poches.
Alors que dans toutes les rues et chaque semaine à Brazzaville ,il y a:
un enterrement, une veillée,
des matières fécales que l’on cale au coin des parcelles faute de camions vidangeurs
des bataillons de moustiques qui vont en guerre et visiblement sans parade aucune gagnent toutes les batailles
de détritus qui sont abandonnés au coin des rues
la méningite qui rampe et tue
la misère qui vous défie visiblement
le paludisme chronique terrorisant
la lassitude dans tous les visages
le sourire dans la bouche des chefs
Le gouvernement congolais n’ a pas eu le courage de prendre part à la Table –ronde sur les constitutions dans les deux Congo (RDC et Congo-Brazzaville) organisée en marge du Sommet AFRIQUE-USA par la National Endowment Democraty (NED).Cela montre à quel point Sassou et ses hommes sont des incaples qui ne sont bon pour chercher à corrompre. Il faut tout faire pour que Sassou Nguesso le dictateur sanguinaire, ne se maintienne pas au pouvoir. Sassou Nguésso veut rester au pouvoir par la fraude et l’ intimidation. Il veut « maintienir les listes électorales truquées et d’une Conel partiale au mépris des règles internationales ». Il faut lui barrer la route par tous les moyens. Grève générale, désobéissance civile au Congo. Manifestations devants les parlements, chanceleries et institutions internationales à l’ étranger sont des stratégies à mettre en pratique. Le peuple congolais, du nord au sud doit prendre conscience et rester uni contre la dictature Sassou Nguesso.
Il est plus qu’urgent de chasser du pedestal ce groupuscule qui vole, ruine et détruit le patrimoine commun des Congolais chaque jour que le bon dieu a fait.Cette caste des mafieux doit être délogée le plus tot que possible.
Buala ya congo manbu…pendant ce temps, les droits des artistes musiciens ne sont pas payés et leur clochardisation les emmenent à chanter les louanges du dictateur.
Regarder Loko Massengo obligé d’aller chanter pour KIKI à sa conférence Porte Maillot…Rapha Bounzeki est mort parce que ne pouvant se faire soigner et que dire de Youlou Mabiala…
Idem pour les Roga Roga, Jacques Koyo.
Le système tyrannique de Sassou a tout détruit dans notre pays, c’est triste pour nous !
A quand un Festival du livre africain? Toujours la musique avec son corollaire la danse.
Si jusqu’aujourd’hui, on ne comprend pas que la musique et la danse constituent l’opium de nos peules pour qu’ils oublient leurs misères, on ne pourra pas penser aux véritables préoccupations du peuple dont les 3/4 vivent dans la misère. Avant les indépendances, les colons ont tout fait pour enfumer les peuples des deux rives en créant des bar-dancings dans presque tous les quartiers des grandes villes où l’alcool, le sexe étaient au rendrez vous pour les faire oublier les véritables problèmes politiques. Tous nos grands musiciens ont chanté les prouesses de Kinshasa et Brazza où les « ndumbas ( prostituées et femmes libres) étaient les héroïnes. Aujourd’hui, c’est le FESPAM qui endort le peuple qui devrait penser à ses préoccupations fondamentales au lieu d’aller assister à la « fête des fesses ».
On comprend pourquoi il n y aura jamais le FESTIVAL DU LIVRE AFRICAIN, Comme on le dit, s’il faut cacher des secrets aux Africains, il suffit de les mettre dans des livres.
Heureusement il y a le BASSIN DU CONGO qui fait la promotion du livre de la sous région a chaque salon du livre de Paris. Mais il faut craindre qu’avec la « qualité » de certains écrivains qui sont politiquement permanents en ces lieux, que les écrivains du Bassin du du Congo se transforment en écrivains du BAS SEIN DU CONGO. J’ai dit..
Mawa!
AVEC MOINS D’UN MILLIARD LA FERME DE KOMBE PEUT RELANCER SES ACTIVITES.POURQUOI GASPILLER DES MILLIARDS EN INVITANT DES GROUPES AVEC DES FILLES AUX DANSES SUGESTIVES?
Quelqu’un d’entre vous, peut-il me renseigner sur ce qu’est devenu ce grand commis de l’Etat, l’ancien ministre des Affaires Etrangères et de la Coopération, et ancien Ambassdeur du Congo à l’OUA et aux Etats-Unis, l’initiateur du FESPAM ? C’est lui qui en effet obtint de l’OUA que le FESPAM fût organisé par notre pays et non par Madagascar ou l’Ex Zaïre ?
Frédéric.
ba miziki ya soni, mipendé ya basi libanda, bakombo ya bakomnzi ba koyemba na kati , é ba zo bina, mé oyo liboma nini yango ! Révélation / SODOME NA GOMMORHE to komi na tango ya suka.