Âgé comme le dictateur Sassou-Nguesso de 72 ans, l’ex dictateur tchadien, Hissène Habré, qui était au pouvoir de 1982 à 1990, est accusé de crimes contre l’humanité, crimes de guerre et crimes de torture.
Au lieu de répondre de ces actes, l’ex dictateur tchadien choisit le pourrissement en congédiant ses juges. Le tyran d’alors, responsable de 40.000 morts se dégonfle.
Ne tirant aucune leçon de l’Histoire, notamment de la détermination populaire, le criminel Sassou-Nguesso, dont la liste des assassinats ressemble au Bottin, titille les congolais, en soufflant sur les braises à Sibiti.
« Si vous pensez que l’éducation coûte chère, essayez l’ignorance », disait Licoln.
Confrontés depuis 36 ans à l’ignorance du dictateur Sassou-Nguesso, des Mapapa et consorts, les Congolais n’en peuvent plus. Asphyxiés, nous aspirons tous à l’alternance démocratique et à l’auto-détermination des peuples.
Prompt à donner jadis des leçons au Professeur Pascal Lissouba pour mieux mettre en musique son coup d’Etat en 1997, les propos du criminel Sassou-Nguesso devant ses troupes excitées, le rattrapent aujourd’hui. Tel un boomerang, les propos d’alors du dictateur Sassou-Nguesso, n’ont pris aucune ride.
Défenseur de la Constitution hier et de ses valeurs intrinsèques, le dictateur Sassou-Nguesso en devient le fossoyeur.
Ne respectant ni sa parole, ni son serment, le criminel d’Oyo cherche à livrer un combat de trop. Son but avoué et affiché, est d’entraîner notre pays dans une période d’incertitudes et de fortes turbulences. Le Congo c’est lui, et lui c’est le Congo. Après lui, c’est le chaos.
Face à cette attitude irrationnelle, force est constater que l’heure est grave, et qu’il ne sert à rien d’échafauder des stratégies intellectuelles.
Ne comprenant que le langage de la violence, le dictateur Sassou-Nguesso ne pourra renoncer à ses velléités de modification constitutionnelle que si nous réussissons à le faire plier. Notre mobilisation du Bourget est un signe encourageant.
Caillassé au Bourget malgré un cordon sécuritaire corrompu de 300 personnes recrutées par son neveu Edgard Nguesso, le dictateur Sassou-Nguesso a été surpris et sonné par la détermination des Congolais de la diaspora.
Les combattants doivent maintenir la pression sur l’entourage du dictateur Sassou-Nguesso. Notre stratégie est de terroriser tous ceux qui, de près ou de loin, militent pour son maintien au pouvoir au delà de 2016.
D’ailleurs, pourquoi l’assassin du cardinal Emile Biayenda ne fait pas du Congo une monarchie? Pourquoi vouloir modifier sa propre Constitution, alors que plusieurs dispositions constitutionnelles le lui interdisent ?
Que peut-on faire dans un pays dans lequel les « universitaires » et les « intellectuels » ont abdiqué devant la puissance de l’argent ?
Le doyen de l’Université Marien Ngouabi, Placide Moudoudou, en a fait l’illustration sur les ondes de RFI, en cautionnant le tripatouillage constitutionnel du dictateur Sassou-Nguesso.
Depuis plus de trente ans, le dictateur Sassou-Nguesso manipule, tue, séquestre, corrompt, humilie, intimide, empoisonne (Côme Mankassa qui a été invité à la table du dictateur à Mpila en a fait les frais), et affame le peuple.
Le dictateur Sassou-Nguesso a fait du Congo le pays le plus endetté au monde par tête d’habitant, où le taux de mortalité est le plus élevé en Afrique, où la population s’appauvrit au quotidien, où les hôpitaux sont des mouroirs permanents, où les antivaleurs sont devenues la règle…
Le dictateur Sassou-Nguesso ira jusqu’au bout de son entêtement. Il a récemment déclaré à un cacique de son parti admis dans un hôpital parisien: « Je ne vous laisserai pas le pouvoir ». Fatalement ignorant, le commanditaire de l’assassinat de Bruno Ossébi veut embraser le pays.
Face à un tel mur, bien que cerné de toutes parts, le dictateur Sassou-Nguesso refuse d’entendre raison.
Son parent, Benoît Moundélé Ngollo, a été relevé de ses fonctions de Préfet de Brazzaville, pour avoir marqué sa désapprobation quant au projet de changement constitutionnel qui doit permettre au sanguinaire du bord de l’Alima de se maintenir au pouvoir.
Tous les Congolais, où qu’ils se trouvent, doivent se battre pour libérer le pays du joug du dictateur Sassou-Nguesso.
L’unité sera notre socle pour chasser les Mapapa et nous débarrasser de Ndenguet (qui est poursuivi en justice par Amnesty International à la suite de sa malencontreuse opération Mbata ya mokolo), Obami Itou, Rodolphe Adada, Gokana, et d’autres valets.
Le dictateur Sassou-Nguesso finira par perdre son combat de trop dans quelques mois. Argentier de Kabila qu’il rencontre en catimini nuitamment et de Pierre Nkurunziza, les Congolais sont déterminés à le chasser du pouvoir et du pays par tous les moyens.
Sentant sa fin arrivée, le dictateur Sassou-Nguesso avait demandé pardon au Pape lors de son dernier séjour au Vatican pour tous ses crimes commis au Congo. Les Congolais ont la dent dure et ne le pardonneront pas.
S’il n’est pas encore trop tard pour « bien faire », le dictateur Sassou-Nguesso a encore quelques mois pour se raviser.
S’il s’entête, il finira par faire une catastrophique sortie de piste. A l’image de son ami Christophe de Margerie. Il le retrouvera en enfer pour déguster leur vieux Whisky.
Olivier Mouebara
Diffusé le 23 juillet 2015, par www.congo-liberty.org
Mes frères mobilisons nous car c’est dans l’unité que nous pouvons vaincre ce combat. Pouvons nous organiser une marche pour demander aux autorités de France d’intervenir. Je suis en France pour ma part.
Je reitere mon appel solennel aux vaillants cadres militaires Congolais et aux anciens de la defense civile,l’heure du nettoyage et du toilettage de la maison(Congo) est arrivee.Faites descendre du perchoir le corbeau(Mr Sassou Denis alias Nguesso) qui s’entete et qui ne veut pas entendre raison.Les temps sont revolus,il faut emmener le feu vers le perchoir du Corbeau d’Edou.
A FABRICE,
Votre appel est un sincère , certes mais ce que vous pourriez c’est de vous rendre partout où il y a un représentant du peuple Français pour déposer tout ce que vous aviez comme document prouvant l’animosité de ce pouvoir au Congo. Je veux dire prenez rendez-vous avec un député ou sénateur de sorte que vous lui parler du Congo en lui donnant les éléments qui concoure avec vos dire. Vous aurez sur ce site des document sur la gestion du pétrole congolais, et autres. Allez dans les Mairie voir les responsables et dire ce que vous savez du pouvoir Congolais,,,,allez à l’assemblée nationale faire savoir aux députés responsables de la politique africaine et discutez avec eux ,,,,ceci pourra mobiliser. Dans les facultés saisir les étudiants à la cause des enfants congolais de Brazza qui soufrent,,,,,,,voilà les pistes pour sensibiliser ,,,,et donc attirer du monde pour la cause du Congo.
PEUPLE DE MAKOUA ET KOUYOU NE CÉDANT PAS AUX CAPRICES D’UN TYRAN A BOUT DE SOUFFRE AUX ABOIS…
Entre Makoua et mambili river, sassou passera bientot dans la zone tribale de Isidore AYA TONGA où vit actuellement sa mère au KM30 …
SASSOU ne touche pas à ma mère, mes proches, amis, frères et sœurs, cousins et autres – sinon à la libération, cela deviendra mon dernier combat contre ceux qui ont emprisonné, perturbé et ou détruit ma famille à Brazzaville, Makoua, etc…
Suite à L’Interview du Général Mokoko sur Zenga-Mambu: Sassou se déplace à Makoua: En mission de travail à Ouesso (aujourd’hui) pour l’inauguration de la route Mambili – Ouesso, Sassou a dû revoir son agenda. Suite à l’interview du Général Mokoko sur Zenga-Mambu, il envisage désormais de rencontrer les sages de Makoua (rire et moquerie par le cerveau AYA Isidore) – afin que ces derniers plaident sa cause auprès du Général MOKOKO.
Pour Sassou, le Général Mokoko doit se ranger du côté des comploteurs contre la république (quelle connerie sassou); ceux qui sont pour le pouvoir à vie des Nguesso.
http://congo-objectif2050.over-blog.com/2015/07/l-appel-du-mouvement-du-15-aout-aux-soldats-et-officiers-militaires-congolais-encore-dignes-de-leur-devoir.html
Les premiers dont il faire la peau c’est Ndenguet et Dominique Okemba, si ces deux la tombent il sera beaucoup facile de mettre la main sur Sassou, sous le viseur du peuple congolais c’est Ndenguet et Okemba. Peuple congolais soyez prêt à pourchasser ses deux là dans leur dernier retranchement.
LE DIABLE DE L’ALIMA PEUT COMPLOTER AVEC QUI IL VEUT ET QUOI QU’IL FASSES L’HEURE DU DEPART A SONNE
L’HOMME DES MASSES DES ACTIONS NEFASTES ET NUISIBLES POUR LE PEUPLE SE VOIT TOUS LES JOURS APPLIQUER LA LOI DE FINITION DE TOUS LES DICTATEURS EN FIN DE REGNE.
PAR AILLEURS SES DEPLACEMENTS ET SES INITIATIVES SONT PARFAITEMENT LES MÊMES QUE CEUX DE MARIEN NGOUABI AVANT SON ASSASSINAT.
CONSEQUENCE : SES PROPRES PARENTS VONT LUI REGLER SES COMPTES. A DEFAUT D’UNE ELIMINATION PHYSIQUE, BIENTÔT IL SERA MIS HORS D’ETAT DE NUIRE.
toko atake liboso ba ndako pe ba bien nabango avant to kende dans la rue
MONSIEUR ROGER CE GENRE DE PROPOS MONTRE COMBIEN » NOUS » AFRICAINS NE SAVONS PAS PRENDRE NOTRE MAL EN PATIENCE POURQUOI AVOIR CE GENRE D’INTENTIONS CE N’EST PAS EN ATTAQUANT LA MAISON DE QUELQUES AUTORITÉS DE NOTRE PAYS QUE VOUS ARRIVEREZ A EXPRIMER VOTRE MÉCONTENTEMENT LE FAIT D’AVOIR DE MAUVAISES INTENTIONS MONTRE COMBIEN QUE CERTAINS AFRICAINS EN PARTICULIER LE CONGOLAIS N’ONT PAS UN ESPRIT PACIFIQUE,REPUBLICAIN ET SURTOUT PATRIOTIQUE. IL FAUDRAIT LE SAVOIR CAR LE VANDALISME EST PUNIT ET SANCTIONNÉ PAR LA LOI . « SOYONS UNIS » DISONS « NON » A LA VIOLENCE ET A TOUS CES MAUX QUI MINENT LA SOCIETÉ CONGOLAISE. » LE CONGO TERRE D’AVENIR »
Message des collectifs en France natifs de Makoua pour Sassouffit ! Message sollicité par Mapa Anicet qu’il veut qu’il soit publié dès la fin de la journée sur zenga Mambu
Cher peuple de Makoua,
Chers compatriotes natifs de Makoua,
Chers cadres, intellectuels, politiciens, démocrates et républicains natifs de Makoua.
Philosophie de la sagesse, de l’être et de l’existentialisme !
On est toujours un peu moins sage lorsqu’on se sait être entouré d’innombrables institutions fictives et de sagesse arbitraire ou obscure.
Par ailleurs, la sagesse consiste à ne plus vouloir transformer les gens en ce qu’ils ne sont pas, mais à accepter ce qu’ils sont, et à comprendre leur expérience de vie (Fun Chang).
Par conséquent, les gens ne devraient pas toujours tant réfléchir à ce qu’ils doivent faire, ils devraient plutôt penser à ce qu’ils doivent être (Maître Erkhart).
Cher peuple de Makoua,
Chers compatriotes natifs de Makoua,
Chers cadres, intellectuels, politiciens, démocrates et républicains natifs de Makoua.
Les collectifs des natifs de Makoua pour Sassouffit vous informe que suite à l’interview du Général Mokoko, originaire de Makoua/Mossaka sur Zenga-Mambu, Sassou Nguesso se déplace à Makoua-Penda.
Le but inavoué du général d’armée Denis Sassou Nguesso est qu’il envisage de rencontrer les sages de Makoua (rire et moquerie du représentant des collectifs des natifs de Makoua en France, Isidore AYA TONGA).
Ce tyran aux abois souhaitent-il rencontrer les Kani (sages) et otouérisés de Makoua ? Pour quoi faire ? Abrutir de plus bel les congolais à l’échelle de Makoua ? Ou comploter contre le Général Mokoko afin que les pseudo-sages se rangent du côté des comploteurs de la République et perdurer le pouvoir à vie du dictateur Denis Sassou Nguesso ?
Les collectifs des natifs de Makoua pour Sassouffit lancent un appel solennel aux Makoua, à la région de la Cuvette, et au peuple Congolais
-non au coup d’état constitutionnel
-oui à «Sassou Nguesso Dégage» au plus tard au 14 août 2016, à 14h30 mins et 25 secondes.
-oui à une période de transition politique ou d’union nationale de 2 à 3 ans afin de :
Jean Jacques Roussseau quand à lui pensait que, c’est les idées et les individus qui font le monde. Et par conséquent pour construire une société meilleure, il faut d’abord réformer l’individu.
Mais qui réformera cet individu au Congo ? Le cerveau, les mentalités, les habitudes et les comportements ont été abîmés par 34 ans de dictature Denis Sassou N’Guesso.
La vertu, la matière grise, l’intelligence, l’éducation et les valeurs morales ont été tout ce temps, détruites, anéanties par la volonté d’un homme qui a mis tout son cœur pour détruire la raison, la réflexion, l’esprit critique, la volonté générale et la souveraineté d’un peuple à l’échelle congolaise.
Il est actuellement difficile et presque hasardeux de prétendre réformer l’individu congolais, sans savoir comment va se terminer la chute du Président de fait ou autoproclamé Denis Sassou N’Guesso – certainement dans le chaos total- et sans connaître la suite donnée à l’environnement sociopolitique au pays.
Si l’on réfléchit et s’accorde tous ensemble, sans guerre des égos, et des partis politiques, sur quel Congo de demain nous voulons, alors nous pourrons définir ensemble comment réformer l’individu, savoir quel congolais de demain nous voulons construire, et penser à la mise en place des infrastructures, des programmes et des moyens humains et financiers d’éducation au Congo.
Par ailleurs, l’union n’est pas la fusion, l’union c’est l’unité, l’une des trois valeurs de la république congolaise (Unité – Travail – Progrès).
Mais étant donné la situation chaotique où se trouve le pays – aucun parti politique ni gouvernement d’union nationale, ne pourra prétendre réformer le socle de l’individu et de la société congolaise.
Les pouvoirs politiques et les gouvernements d’union nationale n’ont toujours bien fonctionné qu’en cas de guerre avec l’ennemi venu de l’extérieur et ou dans le cas d’une période de transition politique nationale en vue de la refondation de la nation.
Par conséquent, une période de transition politique de 3 ans sera nécessaire pour la remise aux normes structurelles, conventionnelles et contractuelles de toutes les sphères politiques et sociétales de l’état et de la nation congolaise : suspensions du système illégitime, des traités, des conventions illégitimes, des lois et règlements contraires aux intérêts des congolais, audits, devoir de mémoire, justice, condamnations, réconciliation, amnisties et confiscations éventuelles des biens mal acquis, et puis…
Car une maison, quelle qu’elle soit, abîmée ou non, sans socle ni fondation, s’écroule dans le temps comme un château de cartes.
Isidore AYA TONGA, le coordonnateur en France des collectifs des natifs de Makoua pour Sassouffit !
Monsieur Roger, l’attaque des maisons des autorités de ce pays n’aboutit d’aucune solution.
Vous congolais comme moi ne devrait pas pensé ainsi pour ce beau pays le CONGO, ne jamais comparé le CONGO avec d’autre pays qui sont passé dans les litiges comme les nôtres…. Le peuple congolais se décide d’aller dans les rues c’est pour tout détruire sans se rende compte que le pays repart toujours en arrière. vaux mieux réglé les choses dans la simplicité autrement dit la PAIX etc……………….
Sassou a plus tue que boko haram ,son enemi jure est le peuple congolais les armes qu il achète c est pour tuer les congolais
La majorité presidentielle a probablement convaincu la plus part des partenaires extérieurs, ainsi que la dite communauté internationale. Au passage je salue le fait que le dialogue de Sibiti s’est dérouler sous un climat constructif de paix et de bonne entente. Mais une chose est certaine, Washington n’est pas totalement convaincu. Or, contrairement à la france les USA sont une super puissance mondiale. Ils ont démontré dans le plus grand secret de polichinelle combien étaient ils calables d’organiser des opérations d’envergure. Tel que le « printemps arabe » et autres Fables de La Fontaine, dont la CIA a le secret de la mise en scène mediatique. Pour l’heure, attendons de voir comment la cinquième colonne dans le pays va se comporté dans les jours et mois à venir. Qui sait, les americains sont peut être revenu à plus de realisme. Nous le saurons après le voyage de B.Obama au Kenya, car il y prononcera forcement un discours à portée continentale.
Remaniement ministériel en vue …. Tsaty Mabiala aux Affaires Etrangères
Je partage vos avis quant à la non violence.
S’il doit y avoir violence, elle ne doit venir que du régime dictatorial.
Je sais bien que c’est facile à dire quant on vit tranquillement dans un pays démocratique.
On ne peut pas repartir vers des temps de fraternité en glissant sur des flaques de sang d’innocents.
Notre cher Congo a déjà tellement souffert.
Installer la démocratie par la paix, voilà ce que Mandela nous dirait aujourd’hui.
Bien à vous
A DELBAR
Cher monsieur, je viens de prendre connaissance de votre post ci-dessus, et j’ai comme l’impression que vous perdez l’idée selon laquelle ce pouvoir n’entend que le message de la violence; le dire ainsi n’est pas pour ma part inciter les congolais à cette méthode. Mais par ailleurs à un moment donné de l’évolution de l’asservissement et l’étouffement du peuple par ce pouvoir brutal et tribaliste, ce même peuple sortira dans la rue et la suite personne ne pourra la décrire. Vous émettez ici des théorie comme si ce pouvoir comprend ce langage, non ce monsieur aux affaire n’écoute pas cette musique celle de l’apaisement et du consensus. Pour quoi s’arme -t-il autant? est ce s’opposer à lui et son système est anormale? Pourquoi sa milice ne cesse de traquer les opposants jusqu’à en brutaliser certains?
Ce pouvoir ne veut pas entendre un autre son de musique que la leur; heureusement qu’à l’opposition les leaders ont une stratégie qui leur permet de contenir pour l’heure la colère du peuple, sinon depuis ils se seraient tous rendu dans la rue. Que l’on casse les maisons de ces ministres ou députés le peuple n’aura rien à se reprocher car ce sont des biens mal acquis qui reviendront un jour à la nation. Si ce pouvoir a conscience de la colère du peuple alors ces gouvernants céderont mais si par malheur ils pointent leurs armes contre ce peuple pendant qu’ils parlent de la paix alors en ce moment là pas de pitié pour eux, même jusque dans les trous les seront traqués.
Cher monsieur l’on ne souhaite cela , mais l’histoire nous le dira car l’attitude d’un peuple dépend de ce que le politique lui présente en face. L’exercice de la démocratie ne doit pas être imposer qu’à l’opposition pendant que ceux qui gouvernent eux s’arrogent toutes les richesses du pays sans rendre compte au peuple. Si ce gouvernement veut un bras de fer il l’aura. Et ma foie cette foi-ci ce ne sera plus comme avant, car le peuple les poursuivra jusque dans leur dernier retranchement. Ce peuple n’a que trop souffert et là c’est la fin; le vase est plein. Il crée une crise et veut prendre le peuple en otage; mais il est constitué de malades ce gouvernement? et vous voulez qu’en les caresses comme des enfants dociles.
S’ il les a bien suspendues comme Ndala graille à l’époque de la jmnr, qu’il annonce le referendum. Pas par personne interposée comme il le fait toujours. Que lui même l’annonce, ce ne sont pas les médias nationaux qui lui manque.Quant au peuple, il est prêt, mais avant çà, tous les nguirisés de Sibiti recevront la réponse du peuple eux et leurs enfants. A suppo suppo et demi, ça n’arrive pas qu’aux autres. Nous qui n’avons rien fait, nos maisons ont été cassées et pillées; eux, ils ont détourné les fonds publics pour réaliser ces bâtisses qui bientôt tomberont en ruine. Nous allons ratisser large de cm2 en cm2.