Evocation du parcours politique tumultueux d’un homme des sciences : De la récusation du Professeur Pascal Lissouba au grade de Doyen de la Faculté des Sciences.

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Au lendemain de la révolution congolaise des 13-14 et 15 aout 1963 qui portera Alphonse Massamba Debat au pouvoir, deux principaux courants politiques antagonistes respectivement incarnés à l’époque par la tendance Ambroise Noumazalaye alors Secrétaire Permanent du Mouvement National de la Révolution (MNR) d’une part et, la tendance Pascal Lissouba alors Premier Ministre d’autre part, coexisteront au sein de la gauche historique avec un impact considérable sur l’ensemble des institutions politiques du pays depuis les années 60/70.

Face aux incessantes querelles idéologiques, confrontations et affrontements politiques ponctués d’intrigues et de rivalités historiques et légendaires entre les tenants de ses deux différentes tendances antagonistes de gauche qui aboutiront à la montée en puissance de l’armée dans l’arène politique avec l’arrivée au pouvoir du Commandant Marien Ngouabi en 1968, suite à la démission du Président Alphonse Massamba-Debat, le Professeur Pascal Lissouba décidera de se tenir loin des pesanteurs politiques, pour se consacrer désormais à son noble métier d’enseignant, chercheur, universitaire et scientifique, après avoir démissionné du poste de Premier Ministre, où il se verra remplacé le 6 mai 1966 par Ambroise Edouard Noumazalaye, son rival depuis la FEANF (Fédération des Etudiants d’Afrique Noir en France).

Mis en état d’arrestation avec Massamba-Debat, Noumazalaye, Ndalla, Hombessa, Lounda, Bindi, Maboungou-Mbimba et Van Den Reysen…, pour répondre devant la Cour révolutionnaire de justice de l’accusation de complicité dans le triple assassinat des hauts fonctionnaires de 1965 : Joseph Pouabou (Président de la Cour Suprême), Lazare Matsokota (Procureur de la République), Anselme Massoueme (Directeur de l’Agence Congolaise de l’Information), Pascal Lissouba sera acquitté et relaxé, le 21 novembre 1968, avec ses coaccusés tous dirigeants de la deuxième République du Congo, qui seront cependant interdits de toute activité politique et de sortie du territoire congolais pendant deux ans, à l’issue d’un procès organisé à huit clos par les militaires.

De nouveau libre de toute responsabilité politique, Pascal Lissouba renouera avec l’enseignement de la biologie cellulaire et de la génétique au Centre d’Enseignement Supérieur de Brazzaville, où il mène des travaux de recherches et fait plusieurs publications scientifiques. En 1970, il devient directeur de l’Ecole Supérieure des Sciences (future Faculté des Sciences de l’Université de Brazzaville)

Lorsque survinrent les événements dits du M22 consécutives au coup d’état manqué de Ange Diawara, dans lequel furent impliqués la majorité des membres du comité central et du bureau politique du PCT issues du 2eme congrès extraordinaire tenu du 26 au 31 décembre 1972, à l’instar de Claude-Ernest Ndalla alias Graille, Ambroise Noumazalaye dit l’oiseau (soit 30 sur 45 au comité central et, 2 épargnés sur 5 au bureau politique), Pascal Lissouba (la pipe) sera arrêté et jugé avec une centaine d’autres personnes signataires du Manifeste 22, parmi lesquelles figuraient entre autre : Camille Bongou (sous-lieutenant), Lecas Atondi Monmondjo (directeur de l’ENA), Gabriel Nzambila (sous-lieutenant), Elie-Théophile Itsouhou (membre du comité central, chargé de l’organisation), Benoit Moundele-Ngolo (sous-lieutenant, chef de la milice), Bernard Combo-Matsiona (en congé de parti), Benjamin Ndalla (lieutenant, membre du comité central du PCT), Antoine Mayitoukou (membre du parti, adjoint au maire de Bacongo), Simon Mafouta (membre du parti, adjoint au maire de Makelekele), Kimbouala Nkaya (capitaine, ancien membre du bureau politique du PCT, exclu le 9 avril 1971), Guy Romain Kinfoussia (lieutenant), Fulgence Gombessa (Sergent-Chef), Etienne Ngoma (sergent) Franklin Boukaka (musicien), etc….

Malgré sa condamnation à la réclusion par la cour martiale, il sera vite remis en liberté suite à des pressions multiformes internationales du monde scientifique et politique sur les autorités militaires de la République Populaire du Congo.

En réaction à sa nomination au grade de Doyen de la Faculté des Sciences sur décision du Conseil d’Etat de l’époque, le Professeur Pascal Lissouba adressera en date du 09 novembre 1973, la lettre confidentielle suivante au Premier Ministre (Henri Lopes) via son Ministre de l’Enseignement Professionnel, Technique et Supérieur chargé de la Recherche Scientifique (Jean-Pierre Thystere Tchicaya), avec lesquels il proposait cinq (5) ans en arrière au Président Alphonse Massamba-Debat, enclin à un bras de fer engagé avec les officiers progressistes mené par le Capitaine Marien Ngouabi : « la mise entre parenthèses du socialisme scientifique et l’instauration d’une démocratie nationale comme issue de sortie de crise par la désignation d’un comité chargé d’élaborer des reformes permettant de consolider l’unité nationale», à travers la fameuse lettre ouverte du 26 juillet 1968, par ailleurs cosignée de Jean Edouard Sathoud, alors Directeur adjoint de la Banque Centrale  et actuel Président d’honneur des Assises Nationales du Congo pour l’Alternance Démocratique.

85eme ANNIVERSAIRE DU PRÉSIDENT PASCAL LISSOUBA CE MARDI 15 NOVEMBRE

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Lettre du Professeur Pascal Lissouba récusant sa nomination au grade de doyen de la faculté des sciences.

9 novembre 1973

DIRECTION                                                Professeur Pascal LISSOUBA

350-ES/73

CONFIDENTIEL                                                                A

                                                                       Monsieur le Premier Ministre

S/C de Monsieur le Ministre  de l’Enseignement                                                             Technique, Professionnel et Supérieur

Monsieur le Ministre,

Par ma lettre du 1er aout 1973 sous référence 278/ES/73, j’ai porté à la connaissance du Ministre de l’Enseignement Technique, Professionnel et Supérieur, mon souhait clairement exprimé, et semble-t-il accepté par vous-mêmes, de me voir déchargé des préoccupations administratives afin de me consacrer aux travaux de recherche, à l’enseignement, et répondre éventuellement aux obligations à caractère international.

J’ai le regret, après promulgation de la décision du Conseil d’Etat, de vous confirmer ma décision, et de vous prier de faire droit à cette requête par la désignation, sinon d’un nouveau doyen plus digne  de confiance, du moins d’un intérimaire.

J’avais, volontairement et par courtoisie, vu l’énoncé des raisons objectives et subjectives, politiques et humaines, à la base de ma démission. J’avais espéré que quiconque, comme vous-mêmes, ayant suivi l’histoire et l’évolution politique de ce pays, ne pouvait que me comprendre et, le plus simplement du monde, consentir à « me laisser dans mon coin », en attendant que la paix sociale « décrétée » et que j’applaudis sans retenue, puisse gagner les cœurs, les esprits et les consciences, et réajuster la portée exacte de certains événements grossis pour des considérations mesquines au regard de l’enjeu : unir pour la construction nationale.

Monsieur le Premier Ministre, cette paix sociale fut ma constante et unique préoccupation à l’abri d’une quelconque lutte pour le pouvoir, et d’une ambition dont on entache volontiers et gratuitement tous mes actes et toutes mes paroles.

Victime d’une défiance quasi viscérale, diffamé à souhait, poursuivi par une campagne calomnieuse implacable qui a pris des proportions dramatiques à la faveur des événements  électoraux et judiciaire et mises en relief par les refus du Chef de l’Etat de me recevoir (requéte des 15 – 18 juin et 2 juillet 1973), je ne puis, dans ces conditions, accepter l’honneur d’étre Doyen de la Faculté des Sciences.

Mon maintien signifierait que je sollicite une confiance dont la vanité de par ce qui précède, faits et actes, saute pertinemment aux yeux.

Pour contourner cet écueil, il eut fallu laisser le jeu de la démocratisation : à défaut de la confiance de l’exécutif, celle de la majorité des agents, techniciens, étudiants et professeurs de la Faculté, m’aurait permis d’espérer une appréciation correcte d’un dévouement que je me refuse à reconnaitre qu’il ait eu, à aucun moment, une quelconque faille.

Par ailleurs, bien que n’ayant jamais été associé au colloque ayant abouti au slogan « école du peuple », j’ai contribué à la préparation des voies et moyens de la réalisation des orientations qui y ont été dégagées et que j’ai intimement partagées. Des documents ont été preparés, et des négociations aboutirent au financement des structures conformes aux objectifs retenus prioritaires. Tout cela fut confisqué au profit de nouvelles orientations dont je conteste l’efficacité.

Mon devoir de « responsable » eut été la remise en cause des actuelles tendances de la Faculté des Sciences, partant de l’Université, et du système général d’éducation sous-entendant une reforme de nos structures politico-administratives et économiques. Cela ne peut se faire qu’à travers des débats à tous les niveaux, sans antagonisme, et où la passion ne devrait céder en rien à la camaraderie. J’en suis, « par principe », exclu.

Concevez que je puisse me consacrer à l’enseignement et à mes travaux de recherches qui me donnent, en ce moment, une saine satisfaction avec l’appui de mes assistants dont je dirige les travaux de thèse.

Telles sont mes ambitions légitimes et incontestables !

Heureux si, averti par ces cheveux blancs, et à l’abri d’une bureaucratie envahissante et « disputée », je consacre aux nouvelles générations que je nourris de l’objectivité et de la rigueur scientifique ce qui me reste d’ardeur révolutionnaire.

Je sais qu’en vous-mêmes vous me donnerez une fois de plus raison, car la confiance politique ne se marchande pas, et vous prie de croire, Monsieur le Premier Ministre, à l’assurance de ma parfaite considération et de tous mes devoirs.

Professeur Pascal Lissouba

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36 réponses à Evocation du parcours politique tumultueux d’un homme des sciences : De la récusation du Professeur Pascal Lissouba au grade de Doyen de la Faculté des Sciences.

  1. UNE ESPERANCE GACHEE PAR LE TRIBALISME! OEIL DE LYNX dit :

    LE Congo ne se consolera jamais assez d’une si GRANDE ESPÉRANCE!

    SURTOUT LES CRÉATEURS ET INNOVATEURS!

  2. Bissa Bo dit :

    Je ne sais pas qui est l’auteur de ce texte; auteur à lui j’adresse mes felicitations pour ce commencement du travail qui viendra tot ou tard: travail de reconnaissance de la valeur vraie et intrinsèque du Professeur Pascal Lisouba.
    Je réecrit le 1er commentaire à ce texte: « UNE ESPERANCE GACHEE PAR LE TRIBALISME », signé par Oeil de LYNX (ci-dessus).
    Merci a toi aussi Oeil de LYNX. Ne pas dire cela serait pure hypocrisie.
    De tous les pays qui ont eu des conferences nationales souveraines et connues les premiers changements democratiques en Afrique dans les annees 1990, le Congo Brazzavill est le seul pays à avoir fait in profond saut dans les abimes de l’effroyable (situation actuelle du Pool).

    Oui, il faut le dire, le tribalisme au Congo est un probleme presque insoluble. Lissouba est l’une des plus grandes victimes de ce tribalisme abject. Avce tous les centaines des milliers de morts depuis 1959.
    Il est aujourdhui amusant de lire ou d’ecouter les sieurs comme Massenguo Tiasse, Martin Mbemba, Miakassissa, Makaya Paulin, Kolelas enfants, les Poaty Pangou, Modeste Boukadia, et j’en passe. Le Journal la Rue Meurt de Brazzaville avait fait de Lissouba et de tous les ressortissants des pays du Grand Nioari leur proues et leurs proies a broyer. Le resultat, on le connait, depuis 1997.
    Qu’ils se rejpouissent alors aujourdhui des actions de Sassou dans le Pool… Car eux tous ont, pour des raisons que eux seuls connaissent, manifesté un rejet basé sur le tribalisme a l’encontre de Lissouba. Ils ont torpillé la democratie naissante au Congo. Qu’ils fassent la fete aujourdhui.
    Depuis 1997, le seul homme politique qui a rendu hommage a Lissouba est, tres tres curieusement monsieur Okombi Salissa Andre, dans son adresse du 11 Juillet 2015 a Brazzaville. Okombi Salissa, le dit-on vaillant combatant qui tenu le Front 400 a Brazzaville pour combattre le pourvoir democcratiquement elu de Pascal Lissouba.

    Les Hommages a Lissouba dans ce pays viendront; tot ou tard.

    Bon anniversaire Professeur.

  3. les africains humilient les africains et puis... dit :

    Lettre ouverte au Président Donald TRUMP

    Monsieur le Président,

    Les Congolais se sont réjouis de votre élection à la Maison Blanche ; ceux qui survivent dans l’ancienne colonie française comme ceux qui l’ont quittée et se sont exilés en Europe. Ceux qui ont trouvé refuge aux Etats-Unis, en devenant citoyens américains, ont voté pour vous, pour la plupart.

    Les populations du Congo-Brazzaville, et de la quasi-totalité des pays d’Afrique, ont été très déçues par votre prédécesseur, Barack Obama. En huit années de ses deux mandats, il n’est venu à bout d’aucune des dictatures dont elles souffrent. Même un micro-pays, le Burundi, qui dépend presque totalement des aides extérieures, dont celles des USA, a réussi à lui tenir tête. Et ce sont ces dictatures qui alimentent les émigrations, rappelons-le, dont les Africains sont les premières victimes… !

    Il faut reconnaître que notre président autoproclamé, Denis Sassou Nguesso, y est pour beaucoup. La fronde qu’il a menée à travers notre continent a porté ses fruits. A cause de lui, on ne compte plus les modifications de constitution et le maintien au pouvoir des dictateurs après des élections truquées. Elles constituent toutes des freins au progrès et à l’amélioration des conditions de vie dont les populations ont un urgent besoin. Alors que des projections démographiques avancent que l’Afrique pourrait compter jusqu’à 4 milliards d’habitants en 2050, ces dictatures impitoyables mijotent, en s’amusant de la misère de ces derniers, la bombe humanitaire et migratoire qui engloutira l’Europe ; les Etats-Unis ne seront pas épargnés malgré tous les murs qui pourraient être construits pour les protéger.
    kiki et Bilou

    kiki et Bilou

    Peut-être, Monsieur le Président Trump, n’avez-vous jamais entendu parler de Monsieur Denis Sassou Nguesso ? Lui-même et son fils Denis Christel ont été, il est vrai, plutôt très proches de la Clinton Foundation qu’ils ont dû largement subventionner. C’est un mal absolu, un président du Congo qui, depuis l’élection de Jimmy Carter, a connu tous vos prédécesseurs : Ronald Reagan, les Bush père et fils, Bill Clinton et Barack Obama. Certes, il s’est grandement maintenu au pouvoir grâce à leurs homologues français de Giscard d’Estaing, à Jacques Chirac et Nicolas Sarkozy en passant par des présidents socialistes comme François Mitterrand et François Hollande. L’Union Européenne a été, pour le moins, également passivement complice. Mais, notre président à vie aurait eu le plus grand mal à y parvenir sans l’aide d’hommes de pouvoirs parallèles, de la Franc-maçonnerie internationale ou de la très haute finance.

    Georges Soros, parmi ces derniers, semble y avoir joué un rôle prépondérant. Depuis le début de ce 21ème siècle, les Organisations Non Gouvernementales ( ONG) ont été aux avant-postes des dénonciations des crimes et délits commis sur tous les continents. D’un autre côté, les médias, de plus en plus limités financièrement dans leurs investigations, s’étaient naturellement appuyés sur les travaux et révélations des ONG. Tout le monde était gagnant, ces dernières bénéficiaient ainsi d’une publicité gratuite qui leur permettait d’attirer de nouveaux donateurs. Parmi eux, le philanthrope américain d’origine hongroise, Georges Soros, s’est fait une solide réputation en finançant les plus incisives dans le domaine de la corruption, des droits de l’homme et de la liberté d’expression au travers d’un fonds spécialement dédié, Open Society Foundations.

    La République du Congo est un des pays les plus corrompus au monde. Quasiment toutes les recettes pétrolières, minières et forestières aboutissent dans les poches du gang familial à la tête du pays. Sassou Nguesso avait modifié la constitution congolaise, en Octobre 2015, pour se représenter encore aux élections présidentielles qu’il avait avancées en Février 2016. Après en avoir truqué le résultat, il a emprisonné le véritable vainqueur ainsi que la plupart de ses opposants et, depuis quelques mois, il bombarde les populations civiles de la région du Pool, qui n’ont pas voté pour lui. Depuis une quarantaine d’années de pouvoir, les crimes commis sont innombrables, comme l’assassinat d’un Cardinal (enterré vivant), le premier depuis plus de 500 ans.

    Alors on ne peut que s’étonner que l’Open Society Foundations ne cite jamais le nom de « Sassou N’Guesso » ni ne s’intéresse à ce qui se déroule au Congo Brazzaville. Des ONG, parmi les plus importantes et les plus influentes, qui étaient très actives dans la dénonciation des crimes du président congolais, curieusement n’interviennent plus à son sujet. Curieusement aussi, elles comptent Open Society Foundations parmi leurs principaux donateurs. Il en découle alors, automatiquement, le silence de la presse internationale pour tout ce qui concerne le pouvoir dictatorial et criminel de Denis Sassou Nguesso.

    Monsieur Soros, avec son partenaire Tony Blair, l’ex-Premier ministre britannique, s’intéressent beaucoup au secteur minier en Afrique, notamment en Guinée Conakry et en République Démocratique du Congo (RDC), deux pays sous influence de Denis Sassou Nguesso. Outre le fait que ce dernier dispose d’une immense fortune personnelle, dans des paradis fiscaux, qui ne peut qu’intéresser la haute finance, les organisations contrôlées par Monsieur Soros avaient toutes raisons de ménager notre tyran national.

    Ce n’était pas totalement par hasard que Denis Christel Sassou Nguesso était auprès de la Clinton Foundation pour apporter son concours financier à votre adversaire démocrate. L’argent volé par ce clan familial kleptocrate, et cryptocommuniste, a trouvé refuge en grande partie aux Etats-Unis où il est blanchi dans des acquisitions de champs pétroliers en Afrique, au travers d’une société situé à Washington.

    Monsieur le Président Trump, les Congolais n’attendent pas que vous envoyez des troupes à leur secours. Ils espèrent seulement que vous allez encourager les médias américains à révéler ce qui se passe réellement dans leur pays et également que vous ferez bloquer ces structures de blanchiment d’argent congolais aux Etats-Unis ; qui, jusqu’à votre élection, y prospéraient sans être inquiétées.

    L’Afrique pourra se développer, dès lors qu’elle sera libérée des dictatures totalitaires et les flux migratoires se tariront obligatoirement. Les Etats-Unis pourront alors, grandement, profiter d’un continent qui représentera, à lui seul, un quart de l’humanité.

    En espérant que vous consentirez à nous apporter ces aides décisives,

    Et en vous souhaitant la réussite de votre mandat,

    Très respectueuses salutations.

    Mingwa BIANGO

    http://congo-objectif2050.over-blog.com/2016/11/bruxellles-2017-et-new-york-2018-les-2eme-et-3eme-sommets-mondiaux-conogragrphiques-et-puis.html

  4. Mindjoula dit :

    @Bissa Bo

    Régler des comptes ne mènent à rien. Il y’a tant à dire également sur cet homme mais on préfère se taire et lui souhaiter un joyeux et heureux anniversaire. Quand au POOL, « Qu’ils se rejouissent alors aujourdhui des actions de Sassou dans le Pool… »

    Hélas pour vous, le POOL se relevera. Tout ce qui ne tue pas rend plus fort. Le pool n’en est pas à son premier bombardement… Il est resté debout. A ce jour, il est debout. Demain, il le sera encore.

  5. Anonyme dit :

    Beaucoup de bonnes intentions au départ, mais la traduction sur le terrain ne fut pas à la hauteur. Quel gâchis. Il fait partie d’une génération qui n’a pas su dépasser les antagonismes ethniques.

  6. Bissa Bo dit :

    1. @ Wilfrid Sathoud
    Felicitations pour avoir produit cet texte.

    2. @ mon frere Mindjoula

    Primo, on se calme.

    Secondo, prière de lire attentivement.
    Pourriez-vous indiquer une seule phrase dans mon 1er commentaire ci-dessus dans laquelle Bissa Bo aurait écrit  » il n’y a rien à dire sur cet homme » ou phrase du genre « Lissouba est un homme irreprochable »? Calmons nous alors.

    Tertio: Il ne s’agit pas ici de règlements de comptes.
    Il s’agit tout simplement de la verité vecue pas vous, par moi et par tous les congolais. Evidemment, je sais que dire la verite ou retablir la verite peut faire mal a certains egards. Mais l’enterremment de la verite est beaucoup plus pire que le deterrement de cette meme verite.
    J’aurais préféré que vous soyez un MINDJOULA DETERREUR de la VERITE au lieu d’etre un MINDJOULA deterreur des autres choses connues dans le commun de nos populations.

    Citez moi alors un seul compte réglé à qui que ce soit dans mon 1er commentaire.

    NON, mon frere Mindjoula, c’est simplement la verite qui vous dérange. Ce n’est pas une surprise.

    Quand je parle de Massenguo Tiasse (rappel: « Lissouba est un malade mental, un danger pour la democratie, un genocidaire,.etc… », lire un rappel de RPP sur ce site), je ne règle de compte a personne.
    Quand je parle de Mbemba Martin, Sony Labou Tansi, Kolelas Bernard, Makaya Paulin, Mvouba Isidore, etc… avec toutes ses entreprises, leur haine, leurs mepris contre un homme, je ne règle de compte a personne. Je retablis tout simplement la verite.
    Pourquoi je ne cite pas le nom du 1er ministre Andre Milongo, un homme de grande stature et de grande retenue, pourtant lui aussi est homme du Pool?

    Souvenez-vous, Massenguo Tiasse et Boukadia etaient les « proches parmi les proches de Sassou Nguesso en France en 1995-1996 », alors qu’ils preparaient tous le coup d’état contre la démocratie. Dire cela n’est pas regler les comptes, mais retablir la verite qui fait mal. J’assume.

    Parlant du Pool, la derniere partie de votre commentaire montre a suffisance ce que vous etes en realite. Mais je ne retiendrais pas de vous cette partie de votre commentaire.

    Mais sachez une chose: Tous les fils et filles du Congo habités par la raison, comme moi Bissa Bo, comme vous Mindjoula, souffrent enormement de la situation que vivent tous nos parents du Pool.

    Sachez aussi: pendant que les crimes d’armes sont commises contre les paisibles populations dans le Pool, dans le meme temps, des crimes d’ordre social. economique, culturel, sanitaire sont commis tous les jours dans presque toutes les regions du Congo.
    Quand les enfanst sont sans ecoles, sans dispensaires dans La Likouala, la Sangha, la Niari, Le Kouilou, Les Plateaux, la Bouenza …, on appelle cela crimes. Point.
    Quand les femmes, homes sont sans ssoins appropriés alors que les dignitaries du pays amassent et tesaurisent les sacs d’argent dans leurs maisons, on appellee cela crimes. Point.

    Le Pool fait partie du Congo. je fait partie du Pool, le Pool fait partie de moi.
    Raisonner comme vous le faites, ca n’arrangera pas les problemes du Pool.

    Le Congo est Congo: un seul pays.

    Bien a tous.

  7. enfant de Komono dit :

    Balissou , Joyeux Anniversaire grand pere , vous etes unique dans votre genre , hommes nous sommes tous pecheurs , vous , avez cruz a la liberte mais les hypocrites qui marchaient avec vous vous ont trahis . Balissou ha , quel gachis . je suis sur que vous avez laisser des ecrits sur vos recherches scientifiques , demain on en puisera . Balissou les mots me manquent car pour moi , vous avez ete cette lumiere qui luit dans l obscurite , malheuresement les mechants aimant l obscurite on tous fait pour detruire cette espoir . Que le Seigneur vous Benisse

  8. Mindjoula dit :

    @Bissi ba mon Frere uterin
    Dans ta liste tu as oublié parmi les acteurs du coup d’etat contre la democratie de citer Mberi Martin, Munari Claudine, Bakala Mayinda qui etaient aux premieres loges aux cotés du President Pascal Lissouba. Ceci est tout juste aussi une verité. J’espere qu’elle ne blesse pas.

  9. Mindjoula dit :

    Joyeux anniversaire à mon prof de la fac des sciences. Merci prof de m’avoir orienté après la licence vers Reims ou j’ai fait Biologie moléculaire. Mes collègues se reconnaîtront. Une fois de plus merci.

  10. Bissa Bo dit :

    @ Mindjoula

    Non mon frere, la verité-là ne me blesse pas. Rassure-toi. « Ta vérité à propos de Mberi Martin, Munari Mabonzo Claudie, Bakala Mayinda; des elements de Sassou Nguesso aux cotés de Lissouba », ne peut pas blesser un homme « deterreur de verité » que je suis.

    L’autre verité, mon cher frere, est celle-ci. « Pascal Lissouba, malgré ses défauts et manquements humains », est l’homme politique qui a le plus cru en une Nation Congolaise. Je voudrais ajouter aussi le nom de Marien Ngouabi.
    Pendant que Lissouba « pensait et croyait Congo », les Mberi, Munari, Ikounga et autres « pensaient à eux d’abord, c.a.d à leurs enrichissements personnel, leurs ventres, leurs honneurs ». Mais pire, pendant le meme temps, les Massenguo Tiasse, Mbemba Martin, Boukadia Modeste, Matsanga willy, Kolelas Bernard, Makaya Paulin (l’un des organistaeurs des milices, Sassou le sait si bien qu’il le garde « quelque part », triste de de le dire), les Mvouba Isodore et leur chef Sassou Nguesso, eux tous pensaient non seulement a eux-meme, mais ils complotaient tous pour TUER LA DEMOCRATIE AU CONGO. Ce qu’ils ont tous reussi avec brio depuis 1997.

    Un Peuple sans Histoire est un Peuple sans Memoire (Alain Foka sur RFI).
    Une Peuple qui a peur d’affronter son passé aura toujours du mal a trouver des voies et des voix pour l’Avenir.
    Pascal Lissouba avait eu tort d’être né intelligent et dee croire en la science. La science don’t tous ses detracteurs au Congo se sont moquée. A tort!

  11. enfant de Komono dit :

    Bissa Bo merci pour tes comments au moins si les Laris en majorites et autres ethnies du Congo peuvent penser a la verite , Sassou devrait deja quitter le pays .

  12. Robert POATY PANGOU dit :

    Mes très chers frères,

    Pascal LISSOUBA est celui qui a voulu toucher aux « ACCORDS de Matignon ».

    Son compte a vite été réglé.

    Voilà où nous en sommes.

  13. jean boko dit :

    il y a pas ke des laris mais les congolais en generale pense tout ba et il sont trop tribal et hypocrite

  14. Bissa Bo dit :

    @ mon frere Robert Poaty Pangou

    J’aurais vraiment aimé que cette vérité-là habitasse en vous, dans votre coeur et votre ame, quand vous collaboriez le plus serieusement du monde avec le vieux Kolelas Bernard au sein du MCCDI (financé et armé par celui qui etait alors devenu votre meilleur allié et sauveur, Sassou Nguesso) pour torpiller le mandat democratique du president Lissouba, et donc pour contribuer a l’assassinat de la democratie naissante au Congo.

    Quel gachis !!!!

    Mais je salue votre courage pour la reconnaissance indirecte des fautes commises (fautes que tout le congo entie paye depuis presque 20 ans).
    Que du temps perdu, que des hommes et femms perdus, quel gachis pour tout un pays !

  15. Alors là? dit :

    Quand tu parles de la partie nord du pays , tu parles de quel nord.
    – QUELS SONT les assassins de NGOUABI n’est pas les hommes du nord qui après manipulèrent les sudistes comme boucs emissaires.
    – QUI JETA YHOMBI en prison après l’avoir évincé du comité central du pct avec le soutien du très peureux thystère, et filou ngoma foutou?
    -Qui posa les bombes au cinéma lux pour faire passer aux aveux dala graille , et autres?
    – Qui assassina ANGA dans la foret d’ikongono?
    – Qui a tenté à la vie de ntsourou? liquidé motando, noumazalaye et autres?
    -Qui a jeté en prison jean ngouabi, bananganzala et MOKOKO
    -Qui a jeté le venin sur marion ewango et CHERCHE à tuer OKOMBI
    c’est dire que la violence de ce système, est vécue avec effroi par les fils du nord, qui sont tétanisés par ses escadrons de la mort.
    Le POOL a un problème , il faut vous en prendre à vous meme .par votre légereté vous signez des accords contre nature et trahissez vos propres frères.HIER l’ennemi fut sassou, et après ce fut lissouba aujourd’hui encore sassou avec qui vous etes partis signer des alliances à oyo.
    C’est vous qui etes les grands diviseurs du sud et faites le lit de SASSOU. QUI est fou, est ce sassou ou vous? vouS parlez comme des pies mais etes laches comme des tétards.
    Vos hommes d’église , sont corrompus; vos enfants et vos femmes corrompus. vos femmes préfèrent vivre l »humiliation auprès des hommes du pouvoir que de se marier avec l’homme respectable du pool selon elles n’a pas l’argent..VOUS ETES VOS PROPRES SORCIERS et SASSOU plus malin que vous.taisez vous.et regardez bien le miroir.

  16. Vilain Sassou dit :

    Lissouba Pascal c’est l’incarnation du mérite et de l’excellence. L’homme est un visionnaire. Je lui souhaite un joyeux anniversaire. Mwana ya Ma Bouanga « Tu es le meilleur ».

  17. Citoyen Monoko dit :

    Les historiens enseigneront que Lissouba est le seul président élu au suffrage unversel direct au Congo. Sassou est un voleur d’urnes, il n’est pas un homme d’Etat.

  18. Elvis Mobati dit :

    Alors que Lissouba avait deja connu la reconnaissance scientifique dans le monde, Sassou se mettait à l’école du crime et du vol. Son rêve c’est de voir le Congo détruit par son goût du sang humain.

  19. Mwana ya Dol. dit :

    Pascal Lissouba, 85 ans, quel bonheur pour cet homme d’exception. Que Dieu soit loué. Pascal ya motéma. Malgré les trahisons de tes soi disant disciples, tu restes un modèle pour toute une génération.

  20. Ibeka Jules dit :

    @Vous frere Elvis Mobati

    Vous le dites si bien!
    L’ecole du crime, du sang, de la corruption, et de la destruction de tout un peuple.
    Comme Le dit RPP, voilà là où nous en sommes.

  21. Laurent mokili Itoua dit :

    Sassou laisse les populations du Pool tranquilles. Tu es un fou, un détraqué mental, fils de pute.

  22. Pili Pili le coeur chaud. dit :

    Sassou c’est l’incarnation de satan sur terre. Il est entrain de maudire sa descendance.

  23. Bon anniversaire notre président l’intellectuel. Aujourd’hui tout le monde ne parle que du bien de vous et pourtant vous étiez le plus mauvais les congolais ils ont une mémoire courte surtout l’homme du pool, maintenant ils on vu le président le criminel au monde c sassou dracula psychopathe

  24. Mass Nzonza dit :

    De sources sures, il semble que Massenguo Tiassé, desormais exilé politique, voulait souhaiter un Joyeux AnniversaIre au Professeur Lissouba. Mais finalement, apres reflexion et apres « passage en revue des troupes », il a renoncé. Les troupes lui auraient dit ceci: mieux vaut aller demander pardon à sassou (qui a fait de lui un riche) que de reconnaitre la puissance de Lissouba.
    Voilà la réalité du Congo. Toute une logique!

  25. Anonyme dit :

    Si lissouba était si intelligent que ça, il ne serait pas tombé dans le piège de Sassou, le 5 juin 1997. S’il était si intelligent, il aurait su s’entourer et éviter les vipères comme Mberi, moukoueke et compagnie.

  26. Anonyme dit :

    Être intellectuel ne fait pas de vous un grand homme d’état.

  27. Mass Nzonza dit :

    Anonyme, … On n’a pas non plus besoin de la BARBARIE pour être un grand homme d’Etat.
    Mais au moins, on a besoin de la culture pour être un grand homme d’etat (Mandela, Houphouet Boigny, Senghor, Nkrumah, Mbeki, pour ne citer que les africains…)

  28. Dominique EBIOU dit :

    Joyeux anniversaire Professeur Pascal LISSOUBA et merci d’avoir contribué à ma réussite au DESS de productions animales et technologies agroalimentaires en régions chaudes, à l’Université de Paris XII-Créteil/IEMVT.

  29. Anonyme dit :

    LE PATRIOT dit :
    13/11/2016 à 02:33[[
    A quand le depart du terroriste sassou et son system
    A quand la fermeture de l’ambassade de France au Congo]]

    Je dis yoyeux anniversaire à notre père, grand-père, notre frère, cousin…
    Votre seule erreur est de ne pas avoir fermé l’ambassade de France au Congo Brazzaville.
    Vous avez déjà en votre temps, en tant que président, demander la justice sur les 60 % pris chaque mois aux Congolais à l’État Congolais.
    Votre demande de 37 % environs vous avez partir du poste du président de la République du Congo La jeunesse, nous la classe actuelle, la classe politique, demandons à 100 % avant de repartir chaque Franc « oui chef »(wiesf.com) à qui de droit.

    Vive Le Sud Congo vive la république nouvellement qui sera rendue démocratique bravo professeur bravo pour avoir commencé à demandé justice

  30. Yintou Ya Zoba dit :

    Le Grand Pascal Lissouba, Où tu te trouves sois fier de ta notoriété de scientifique reconnu dans les cénacles internationaux. Tu es la fierté du Congo. N’en déplaise au clan des prédateurs et des médiocres incarné par Denis Sassou Nguesso. Ce dernier est un gros complexé sur le plan intellectuel et militaire. C’est un Général d’opérette de fabrication PCT.

  31. Mbata ya mwana moké dit :

    Sassou Nguesso n’a pas la carrure d’un homme d’Etat. Il est un chef de clan.Voilà un homme qui passe son temps à apprendre à ses enfants comment vider les caisses de l’Etat Congolais. Aucun de ses enfants ne peut se prévaloir d’un cursus universitaire prestigieux. Ils sont friands des faux diplômes.

  32. lomandet blandine dit :

    Sassou Nguesso est un chef de gang. Nguesso tu es un rigolo.

  33. Anonyme dit :

    Quel gâchis en effet… Un homme à qui on avait confié la démocratie congolaise « chérement acquise », pour reprendre l’un des termes préférés des aficionados du dictateur infatigable.
    Lissouba et sa bande, au terme de quelques années de gestion de l’Etat, avaient réussi l’incroyable tour de force de rendre Sassou, que nous avions eu un mal fou à chasser du pouvoir, à nouveau populaire… et ce pour notre plus grand malheur !!!
    Donc, excusez moi si je ne lui souhaite pas bon anniversaire…

  34. VAL DE NANTES , dit :

    @ANONYME,un petit NTSABA .DONC ADMIS

  35. macktchicaya dit :

    « AUX ÂMES ECLAIREES LA LUMIÈRE DIVINE DEMEURE UN GUIDE »

    Le professeur pascal Lissouba demeure un visionnaire, mais au milieu d’un Congo rempli d’incultes et de rapaces, rien ne pouvait sortir de sa bouche sans que ses détracteurs patentés s’en prennent à lui. Il a une grande faute qui le suivra toute sa vie c’est de n’avoir pas compris avec qui il était, c’est -à -dire son entourage et même familiale.
    En politique chez nous à cette époque et d’ailleurs maintenant tant que les sentiments vont primés au dessus des lois nous avancerions jamais.
     » Le poisson commence à pourrir toujours par la tête » après la conférence Lissouba avait manqué le début en s’entourant des rapaces et les mêmes qui longtemps avaient gâché son parcours.
    Mais il faut reconnaître en lui sa vision d’un Congo en petite suisse.

    Bonne anniv Doyen

  36. macktchicaya dit :

    anonyme
    kolelas devra quitter le pacte d’avec le pct,,,,s’il veut évoluer longtemps en politique il faut le lui dire ouvertement,mais objectivement, son père lui a laissé un héritage chargé d’obscurité,,,,,,il s’en mordra les doigts s’il ne change pas son fusil d’épaule au profit du peuple qui lui témoigne un respect jusqu’alors en fait une bonne partie combien même tribale. il a une base solide mais qui commence à s’éloigner de lui vu ses positions floues.

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