ECO : future monnaie CEDEAO-UEMOA et diplomatie monétaire de réseau de la France en zone franc

La création, l’existence et le fonctionnement du franc CFA soulèvent des passions dans la zone franc.

Il y a d’un côté les contempteurs de cette monnaie qui estiment que le franc CFA soumet les utilisateurs en Afrique de l’ouest, en zone UEMOA (Union économique et monétaire de l’ouest africain, soit 8 pays) et en zone CEMAC (Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale, 6 pays), à une « servitude volontaire ». Les arguments avancés sont connus, les mécanismes de fonctionnement de la zone franc (gestion de la monnaie par le Trésor français, existence d’un compte d’opérations, parité fixe du franc CFA à l’euro – soit 1 euro = 655,96 franc CFA -) font du franc CFA une monnaie forte qui favorise plus les opérateurs français que les pays utilisateurs. Il faut donc changer le franc CFA et créer une autre monnaie. Nous sommes au cœur de la justification de la création de l’ECO d’ici 2020  pour la zone UEMOA élargie à la CEDEAO (Communauté économique des Etats d’Afrique de l’ouest, créée par le traité de Lagos le 28 mai 1975, l’acronyme en anglais étant Economic community of west african states –Ecowacs- ), ce qui, de facto, intègrerait les pays anglophones comme le Libéria, le Ghana ou le Nigéria. Les questions techniques et politiques sur le taux de change de l’ECO, taux de change fixe ou flexible vis-à-vis de l’euro ou vis-à-vis d’un panier de monnaie se posent.

Il y a de l’autre côté ceux qui estiment que la monnaie n’est qu’un voile à la manière théorique des auteurs libéraux et que la véritable richesse d’un pays n’est pas sa monnaie mais son organisation de travail, source de création de richesse, la monnaie n’étant que le point focal de l’accumulation et de l’investissement pour un développement pérenne. Au fond pour les tenants de cette analyse, il ne sert à rien de se soustraire au franc CFA car les problèmes d’organisation ne changeront pas, les opérateurs économiques sont toujours occidentaux, le tissu industriel dans la plupart des pays de la zone franc est absent, les entreprises qui existent en zone franc sont occidentales ou chinoises. Elles réalisent le maximum des transactions économiques aux dépends des entreprises nationales quasi inexistantes, et rapatrient une grande partie de leurs bénéfices vers leurs pays d’origine. Pour les tenants du franc CFA, avant de changer de monnaie il faut organiser les conditions de sortie de celui-ci de la zone franc, une zone que la France dirige depuis sa création en utilisant une stratégie de réseau car la diplomatie monétaire française estime que les deux zones ne se valent pas en termes d’efficacité économique et monétaire. D’ailleurs, pour ceux qui en douteraient, il y a inconvertibilité entre le franc CFA ouest-africain et le franc CFA CEMAC. Pourquoi est-ce ainsi ? Il y a une volonté de la France d’utiliser une stratégie monétaire de réseau voulue afin de partitionner la zone franc.

Signification de la diplomatie monétaire de réseau

La volonté de sortie du franc CFA par les quatorze membres est un débat récurrent au sein de cette zone monétaire. La France, après l’humiliation allemande de 1939 (comme le rapportent les travaux de Jérôme Blanc dans « Pouvoirs et monnaie durant la seconde guerre mondiale en France », ) a imposé aux pays africains le même régime monétaire d’humiliation à partir de 1945 jusqu’à nos jours. Il faut se souvenir qu’en 1939, la France était dans une zone Mark et une grande partie de l’or français était stocké dans les banques allemandes. Ce modèle a été reproduit au nom de la garantie monétaire du Trésor français à la plupart des pays africains, esclavagisés et colonisés par la France. Le système continue.

Pourquoi parler de diplomatie de réseau alors que la zone franc apparait comme une zone homogène ? Le réseau est un outil d’analyse qui permet de disséquer les problèmes en montrant comment la France, au nom de l’interconnaissance qui appartient au réseau, agit en fait en partitionnant les décisions au sein de la zone franc. Les Africains de la zone franc ont l’impression d’appartenir à la même zone, alors que dans les faits ce n’est pas le cas, même si les institutions monétaires (banques centrales –BCEAO et BCEAC-) fonctionnent sur le même mode. Géographiquement la zone franc se prête à l’analyse réseautale. Il y a 8 pays en Afrique de l’ouest et 6 en Afrique centrale. Si on reprend l’analyse théorique de l’efficience, qui n’est pas l’efficacité, la France estime que la zone franc UEMOA est plus active que la zone CEMAC qui n’est en fait que le lieu d’exploitation des matières premières agricoles, minérales et pétrolières. L’inconvertibilité du franc CFA entre les zones UEMOA et CEMAC est inacceptable techniquement et politiquement et pourtant les pays africains de la CEMAC ont été mis devant le fait accompli. Ils n’ont pas protesté. Concrètement vous ne pouvez pas utiliser partout dans la zone franc la même monnaie, il y a une monnaie CEMAC et une monnaie UEMOA, ce qui traduit une inconvertibilité entre les deux formes monétaires du franc CFA. La plupart des Africains ne le savent pas et pourtant nous sommes au cœur du problème monétaire et de la diplomatie française qui agit par division. Pourquoi c’est ainsi ? Les réponses sont simples. Pour la France les performances des deux zones sont différentes. La zone ouest-africaine peu ou prou respecte les critères de convergence tirés de l’euro (en termes d’endettement, de déficit par rapport au PIB et d’inflation) et imposés à la zone franc en termes de taux d’intérêts, de taux d’inflation et de convergence réelle des économies. Même si dans cette zone les pays sont aussi confrontés à des problèmes budgétaires facilement solvables, rien de tel dans la zone CEMAC au sein de laquelle la mal-gouvernance, la corruption des fonds constituent le mantra des différents gouvernements. On peut alors se poser la question suivante : pourquoi la France favorise-t-elle l’évolution monétaire en autorisant la création de l’ECO et pourquoi ce n’est pas le cas en Afrique centrale ? Nous sommes au cœur du principe de la différenciation monétaire. La France géographiquement peut élargir la zone CFA UEMOA à la CEDEAO et créer ainsi, pour elle, un marché en profondeur pour ses entreprises. D’ailleurs, la France en sous-mains incite le Maroc à devenir membre de la CEDEAO pour en faire un pont élargi vers le reste de l’Afrique car le Maroc, par son réseau bancaire, investit largement en Afrique subsaharienne. Se pose la question du taux de change entre la nouvelle monnaie à créer, l’ECO, son arrimage ou non à l’euro, la validation ou non d’un taux de change fixe ou flexible. Sur le plan politique, la France joue finement et de manière réseautale en adoubant les propositions de Alassane Ouattara, président de Côte d’Ivoire, qui manœuvre pour un taux de change fixe entre l’ECO et l’euro, soit 1 euro = 1 000 ECO, ce qui est de façon tacite et explicite une dévaluation du franc CFA. Cette nouvelle monnaie en gestation doit surmonter de nombreux problèmes, comme la convergence réelle et monétaire entre les pays de l’UEMOA et le reste de la CEDEAO. Comment seront traitées les réserves en devises des différents Etats UEMOA auprès du Trésor français ? Qui créera la nouvelle monnaie ? On peut penser que les usines de Chamalières en Auvergne sont prêtes pour créer les billets et les pièces. Où sera localisée la nouvelle banque centrale ? Comment se traduira dans les faits la nouvelle gouvernance administrative et monétaire de l’ECO ? Quelle place pour la France ? Les pays anglo-saxons sont-ils réellement prêts, au-delà des discours grandiloquents et politiques, à se dessaisir de leur souveraineté monétaire ? Que feront dans cette affaire les pays d’Afrique centrale, membres aussi de la zone franc ? Devront-ils sous l’injonction française et au nom du réseau global, rejoindre la nouvelle entité monétaire créée par l’ECO ou bien rester dans l’ancienne zone franc ?

Passons rapidement en revue les problèmes techniques liés à la création de l’ECO comme monnaie alternative au franc CFA

Pour les contempteurs de la zone franc, on peut noter très vite plusieurs problèmes techniques. Sur quels critères sera décidé le taux de change fixe ou flexible ? Les thuriféraires de l’ECO estiment qu’il faudra rattacher la parité à l’euro pour un taux de change fixe, pour d’autres il faut rechercher un panier de monnaie afin d’utiliser un taux de change flexible. Sur quels critères seront retenues les monnaies qui rentreront dans la composition du taux de change flexible ? La théorie économique enseigne qu’un pays de petite taille, ce qui est le cas globalement de la majeure partie de la zone franc, doit exister dans une relation de taux de change fixe avec les pays avec lesquels il commerce. Le problème est qu’il faut déjà au départ créer un vaste marché unique entre les pays membres de la zone, ce qui permet les échanges commerciaux entre ceux-ci et de favoriser la mobilité des facteurs de production travail et capital en cas de difficulté économique d’un pays au nom de la théorie des zones monétaires optimales élaborée par Mundell dans les années 60. Or rien de tout cela dans cette nouvelle zone ECO naissante et on répète les mêmes erreurs au moment de la création du franc CFA. La France, subtilement et au nom de la théorie du réseau, élargit son marché d’impact pour ses entreprises en direction des pays anglophones et le président Macron ne s’en est jamais caché, à savoir dépasser le cercle traditionnel de la francophonie classique vers une francophonie plus ouverte sur le monde africain.

On peut revenir à un autre problème : celui de la coordination entre les pays membres en cas de déséquilibre externe. Sur quels critères se fera l’ajustement  quand un pays a des problèmes d’équilibre externe. Faudra-t-il une politique de relance budgétaire par des dépenses en veillant à ne pas porter atteinte à la valeur de l’ECO ou alors demander des efforts collectifs aux autres pays pour l’aider financièrement ? Si on veut un modèle monétaire qui tienne un peu la route, il faudra au sein de la zone monétaire créer des banques de développement qui vont favoriser le réel développement économique grâce aux crédits à des taux bonifiés et garantis par la banque centrale de la zone ECO. Ces crédits permettront d’amorcer le cycle de l’investissement utile pour la création de nouvelles activités. Le problème monétaire est important certes, mais il demeure secondaire par rapport à celui de l’organisation politique, institutionnelle, structurelle, technique et économique des pays membres de la nouvelle zone.

Vive l’ECO, pourquoi pas,  et devant nous les problèmes. La vie étant un pari risqué, pourquoi ne pas l’assumer ?

Lucien PAMBOU Diffusé le 23 aout 2019, par www.congo-liberty.org

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36 réponses à ECO : future monnaie CEDEAO-UEMOA et diplomatie monétaire de réseau de la France en zone franc

  1. Anonyme dit :

    Ce qu’il faut retenir de cet article, c’est surtout la dernière phrase:
    « Le problème monétaire est important certes, mais il demeure secondaire par rapport à celui de l’organisation politique, institutionnelle, structurelle, technique et économique des pays membres de la nouvelle zone. »
    Car par rapport au niveau de déliquescence atteint par le Congo Brazza organisé par le tyran de l’Alima sassou et sa famille mafieuse le problème lié à la monnaie parait bien secondaire pour la grande majorité de nos concitoyens.

  2. Bulukutu dit :

    La liberté d’abord et à n’importe quel prix. Il faut aller au bout du processus d’indépendance. Il n’y a pas de souveraineté, sans indépendance monétaire. La monnaie n’est pas tout, mais elle fait partie du tout.
    Le Nigeria a posé comme condition aux pays francophones, de sortir de la tutelle française en matière monétaire.

    Le Nigéria acceptera t-il de ne plus avoir la maîtrise de sa monnaie ? Instrument stratégique permettant à un pays exportateur, d’être compétitif à l’international. Idem pour le Ghana?

    Les anglophones d’Afrique de l’Ouest sont-ils aussi naïfs, au point de se laisser berner par les pays francophones qui agissent sur commande de leur maître ?

    L’omni-présence des entreprises étrangères justifie t-elle de renoncer à son indépendance monétaire ? D’où la question.

    Le Maroc : proxy français pour contrer le Nigéria.

    Conclusions : c’est aux africains de savoir ce qu’ils veulent vraiment. La France a raison d’assurer ses arrières dans un monde qui change et où les alliés d’hier ne sont plus ce qu’ils ont été.

  3. VAL DE NANTES. dit :

    Je me rappelle d’un BAKABADIO ,après mes cours de mathématiques dispensées par le docteur sekou , au cours de ces enseignements à L’amphi proche du stade MASSAMBA DEBAT ,à qui nous avions de demander de « trivialiser « certains concepts économiques afin qu’ils soient mieux compris des étudiants .

    Le texte est clair ,mais trop long pour les non initiés .
    La monnaie est la face visible d’un pays .

    Elle n’est qu’un instrument d’échanges dans les rapports commerciaux qu’entretiennent des pays
    Sous cette belle phrase se cache un loup : le rapport de force .

    Le premier handicap qui fragiliserait cette nouvelle monnaie ECO ,est sa valeur .
    Dévaluer ,pour vendre quoi ?
    Qui fixe le prix sur le marché ?
    Pendant combien de temps votre balance commerciale devra t – elle être déficitaire ?
    Sur quel poste de votre balance commerciale ,avez vous un avantage sur les autres ?
    ( THÉORIES SUR LES AVANTAGES COMPARATIFS DE DAVID RICARDO ).

    Quelle valeur économique pourrait avoir cette monnaie issue des économies de rente ( matières premières , fiscalités douteuses ,statistiques aléatoires ,incapacité de déterminer le montant du PIB ,etc )
    Ont ils trouvé un COLBERT africain ?
    Combien d’industries crédibles pour maintenir à flots cette monnaie ?

    La désaliénation monétaire est louable ,mais elle souffre du manque des coordinations des politiques économiques pour arriver à la convergence monétaire digne de ce nom .

    Le premier facteur de développement de ces économies devrait sur la transformation des matières premières en produits finis ayant pour quelques uns des coefficients techniques s’alignant sur ceux des pays développés .

    Bref ,la conséquence économique de cette dévaluation rampante ,c’est défier la courbe en J .
    Les trois parties de cette courbe graphique montrent trois mouvements :
    Une baisse , une stabilité ,une croissance .

    L’inexécution de ce mouvement vous confine à l’inflation et la dévalorisation de la monnaie au niveau international .

    L’intention est bonne ,mais il manque des ingrédients économiques .
    Le combat pour l’indépendance monétaire suppose la maitrise horizontale et verticale des économies africaines ( matières premières ).
    NB : les boeufs détestent être derrière la charrue .
    MERCI .

  4. Bakala Louzolo Téléma dit :

    “Il y a d’un côté les contempteurs de cette monnaie qui estiment que le franc CFA soumet les utilisateurs en Afrique de l’ouest, en zone UEMOA (Union économique et monétaire de l’ouest africain, soit 8 pays) et en zone CEMAC (Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale, 6 pays), à une « servitude volontaire ». Les arguments avancés sont connus, les mécanismes de fonctionnement de la zone franc (gestion de la monnaie par le Trésor français, existence d’un compte d’opérations, parité fixe du franc CFA à l’euro – soit 1 euro = 655,96 franc CFA -) font du franc CFA une monnaie forte qui favorise plus les opérateurs français que les pays utilisateurs. Il faut donc changer le franc CFA et créer une autre monnaie”.

    Est-ce réellement ce que les contempteurs du CFA reprochent à cette monnaie? Qui sont les porte-paroles de ce courant pour que l’on confronte ce que vous dites avec leurs propos.

    “ Nous sommes au cœur de la justification de la création de l’ECO d’ici 2020 pour la zone UEMOA élargie à la CEDEAO (Communauté économique des Etats d’Afrique de l’ouest, créée par le traité de Lagos le 28 mai 1975, l’acronyme en anglais étant Economic community of west african states –Ecowacs- ), ce qui, de facto, intègrerait les pays anglophones comme le Libéria, le Ghana ou le Nigéria”.

    Oh, ce sont les créateurs de l’eco les contempteurs du CFA que vous mentionnez ci-dessus ?
    Ranges-tu ouattara dramane parmi les contempteurs du CFA ? C’est toi qui écrit que les contempteurs veulent créer l’eco. Donc ouattara est un critique du CFA . N’est-ce pas c même ouattara qui disait depuis le jardin de l’elysée que le CFA se portait mieux et qu’il n’y avait pas de problème au sein de la zone CFA?

    “Les questions techniques et politiques sur le taux de change de l’ECO, taux de change fixe ou flexible vis-à-vis de l’euro ou vis-à-vis d’un panier de monnaie se posent”.

    N’est-ce pas ce même ouattara dramane alassane qui disait que la parité eco -euro serait la même que celle entre le CFA et l’euro?

    “Il y a de l’autre côté ceux qui estiment que la monnaie n’est qu’un voile à la manière théorique des auteurs libéraux et que la véritable richesse d’un pays n’est pas sa monnaie mais son organisation de travail, source de création de richesse, la monnaie n’étant que le point focal de l’accumulation et de l’investissement pour un développement pérenne. Au fond pour les tenants de cette analyse, il ne sert à rien de se soustraire au franc CFA car les problèmes d’organisation ne changeront pas, les opérateurs économiques sont toujours occidentaux, le tissu industriel dans la plupart des pays de la zone franc est absent, les entreprises qui existent en zone franc sont occidentales ou chinoises. Elles réalisent le maximum des transactions économiques aux dépends des entreprises nationales quasi inexistantes, et rapatrient une grande partie de leurs bénéfices vers leurs pays d’origine”.

    Qui sont-ils? Peut-on avoir les noms des tenants de cette ligne de pensées pour que l’on confronte leurs propos à ce que tu affirmes?

    “Pour les tenants du franc CFA, avant de changer de monnaie il faut organiser les conditions de sortie de celui-ci de la zone franc, une zone que la France dirige depuis sa création en utilisant une stratégie de réseau car la diplomatie monétaire française estime que les deux zones ne se valent pas en termes d’efficacité économique et monétaire”.

    Si je comprends bien, depuis la création du CFA , la France a toujours pensé que les deux zones ne se valaient pas. En 1994, la dévaluation du CFA était le fait de la mauvaise gestion de la cemac ou de l’umoa?

    “D’ailleurs, pour ceux qui en douteraient, il y a inconvertibilité entre le franc CFA ouest-africain et le franc CFA CEMAC. Pourquoi est-ce ainsi ? Il y a une volonté de la France d’utiliser une stratégie monétaire de réseau voulue afin de partitionner la zone franc”.

    Ah bon? Donc depuis 1945 la diplomatie monétaire du réseau était mise en place? Est-ce la même stratégie mise en place avec le franc du Pacifique?

    Quand tu parles de non convertibilité, veux-tu dire non utilisation de la monnaie cemac dans la zone umoa et vice versa? Les deux CFA sont convertibles.

    “Pourquoi parler de diplomatie de réseau alors que la zone franc apparait comme une zone homogène ? Le réseau est un outil d’analyse qui permet de disséquer les problèmes en montrant comment la France, au nom de l’interconnaissance qui appartient au réseau, agit en fait en partitionnant les décisions au sein de la zone franc. Les Africains de la zone franc ont l’impression d’appartenir à la même zone, alors que dans les faits ce n’est pas le cas, même si les institutions monétaires (banques centrales –BCEAO et BCEAC-) fonctionnent sur le même mode.”

    Si ces pays n’apparti pas à la même zone, comment expliques-tu la dévaluation du CFA en 1994 alors que seuls les pays umoa qui ne respectaient pas les règles de fonctionnement du CFA ? Le cemac se portait bien, son compte des opérations auprès du trésor français était excédentaire; pourquoi l’avoir imposé la dévaluation au même titre que la zone umoa qui souffrait de la chute des produits agricoles?

    “Géographiquement la zone franc se prête à l’analyse réseautale. Il y a 8 pays en Afrique de l’ouest et 6 en Afrique centrale. Si on reprend l’analyse théorique de l’efficience, qui n’est pas l’efficacité, la France estime que la zone franc UEMOA est plus active que la zone CEMAC qui n’est en fait que le lieu d’exploitation des matières premières agricoles, minérales et pétrolières”.

    Que produit l’uemoa? Des services? Lesquels? Des biens manufacturés ? Lesquels? Ils vendent leurs services et produits manufacturés sur quels marchés? Intérieurs ou extérieurs ? Par ailleurs, dans l’uemoa, ne produit on pas les matières premières agricoles et minérales ? Le cacao, le café, l’or, la bauxite, etc ne sont-ils pas produits dans ces pays?

    “L’inconvertibilité du franc CFA entre les zones UEMOA et CEMAC est inacceptable techniquement et politiquement et pourtant les pays africains de la CEMAC ont été mis devant le fait accompli”.

    Je croyais que c’est depuis 1945 que la décision était prise pour que le CFA de l’afr centrale n soit pas utilisée en Afrique de l’ouest et vis versa. Comment peux-tu dire que la cemac a été mise devant les faits accomplis alors que c’est une décision qui date depuis 1945?

    “Ils n’ont pas protesté. Concrètement vous ne pouvez pas utiliser partout dans la zone franc la même monnaie, il y a une monnaie CEMAC et une monnaie UEMOA, ce qui traduit une inconvertibilité entre les deux formes monétaires du franc CFA. La plupart des Africains ne le savent pas et pourtant nous sommes au cœur du problème monétaire et de la diplomatie française qui agit par division. Pourquoi c’est ainsi ?”

    Faux et archifaux. Tout le monde sait que le CFA de la cemac ne peut être utilisé en zone uemoa et t vis versa. De tout cela a toujours été ainsi. Les ouest-africains et les français qui rapatriaient l CFA chez eux devaient aller les échanger en banque. Cela n’a JAMAIS changé.

    “Les réponses sont simples. Pour la France les performances des deux zones sont différentes. La zone ouest-africaine peu ou prou respecte les critères de convergence tirés de l’euro (en termes d’endettement, de déficit par rapport au PIB et d’inflation) et imposés à la zone franc en termes de taux d’intérêts, de taux d’inflation et de convergence réelle des économies”.

    Ce que tu dis ici ne tient pas la route. Voir ma réponse au paragraphe ci-dessus. La France n’a que faire des performances économiques de ces pays tant et aussi longtemps que leurs comptes des opérations auprès du trésor français étaient excédentaires.
    Les pays uemoa ont vécu en parasites des pays de la cemac qui pendant plusieurs décennies ont contribué deux fois plus en devises au compte des opérations auprès du trésor français. Quand ils étaient déficitaires, c’est l’argent de la cemac qui couvrait leurs déficits pendant toutes ces années. Aujourd’hui, la cemac a décidé de retirer son argent du trésor français. Voilà que les pays uemoa refusent de jouer la solidarité que la cemac a joué pendant des années pour couvrir leurs déficits auprès du trésor français .

    “Même si dans cette zone les pays sont aussi confrontés à des problèmes budgétaires facilement solvables, rien de tel dans la zone CEMAC au sein de laquelle la mal-gouvernance, la corruption des fonds constituent le mantra des différents gouvernements”.

    Le vrai problème est l’argent mis au trésor public français. Au congo, Cameroun, Tchad et Guinée Équatoriale quand l’argent du pétrole coulait à flot et que les gouvernants se livraient à la kleptomanie, il n’y avait aucun problème tant qu’ils continuaient bon an mal an plus de 10,000 milliards de CFA au trésor français , dont plus de 4,000 milliards de CFA pour le seul Congo , et ce chaque année . Mais quand, le Congo , la Guinée Équatoriale ont décidé de ne plus jouer aux sapeurs pompiers en retirant leur argent du trésor français , c’est là où la France a créé un problème de toute pièce.

    Sassou et Obiang avaient raison de réduire la contribution des deux pays du compte des opérations du trésor français . L’argent des deux pays profitaient plus aux autres pays, notamment la côte d’ivoire ,le Cameroun et le Sénégal qui sont plus peuplés et économiquement plus structurés alors que leurs contributions au compte des opérations du trésor français étaient deux fois moins élevées que celles du Congo et de la Guinée Équatoriale. Il fallait mettre fin à cette arnaque. Oui, je dis bravo à sassou et à Obiang. Chaque pays doit contribuer au compte des opérations auprès du trésor français à la hauteur de la taille de son économie , de sa population et de son utilisation du crédit.

    “On peut alors se poser la question suivante : pourquoi la France favorise-t-elle l’évolution monétaire en autorisant la création de l’ECO et pourquoi ce n’est pas le cas en Afrique centrale ? Nous sommes au cœur du principe de la différenciation monétaire”.

    La France ne favorise rien. La France est dans une impasse TOTALE; d’où cette fuite en avant qui consiste en un chantage à la cemac pour qu’ils adoptent des mesures cosmétiques qui consistent à changer le nom CFA pour calmer la demande des populations utilisatrices qui veulent la fin du CFA contrôlé par la France. Je vous renvoie aux discours de la France en 2017 et 2018 quand la toile s’enflammait à propos du CFA et surtout lisez les déclarations de ouattara et macron sur le CFA encore re 2017 et 2018.

    C’est le Tchad, le Cameroun et la Guinée Équatoriale qui sont les vrais partisans de la rupture d’avec le CFA tel que nous le connaissons aujourd’hui . Deby avait mis la question sur la table OUVERTEMENT. Aussitôt,il était invité à l’elysée où une ligne de crédit d’un milliard de dollars lui était offerte. C’est ça la vraie réalité. Aujourd’hui, Deby est le nouvel allié des amis de Kemi Seba. C’est tout dire. La France sait qe la cemac A les moyens de la rupture d’avec la CFA , mais c’est la volonté politique qui manque pour couper le cordon ombilical.

    “La France géographiquement peut élargir la zone CFA UEMOA à la CEDEAO et créer ainsi, pour elle, un marché en profondeur pour ses entreprises”.

    La France investit et exporte plus hors zone CFA que dans les pays utilisant cette monnaie.

    “D’ailleurs, la France en sous-mains incite le Maroc à devenir membre de la CEDEAO pour en faire un pont élargi vers le reste de l’Afrique car le Maroc, par son réseau bancaire, investit largement en Afrique subsaharienne. Se pose la question du taux de change entre la nouvelle monnaie à créer, l’ECO, son arrimage ou non à l’euro, la validation ou non d’un taux de change fixe ou flexible”.

    Qh bon? La France a besoin du Maroc pour commercer avec le reste de l’Afrique? Donc la France n’est pas déjà dans le reste de l’afrique?

    ouattara n’a t-il pas déjà réglé cette question du taux de change de l’eco et de son arrimage à l’euro? C’était devant macron que ouattara avait dit que le CFA portera désormais le nom d’eco et que l’eco aura le même taux de change qu’a le CFA vis à vis de l’euro. Est-ce que le débat n’est pas clos?

    “Sur le plan politique, la France joue finement et de manière réseautale en adoubant les propositions de Alassane Ouattara, président de Côte d’Ivoire, qui manœuvre pour un taux de change fixe entre l’ECO et l’euro, soit 1 euro = 1 000 ECO, ce qui est de façon tacite et explicite une dévaluation du franc CFA”.

    ouattara avait dit que le CFA sera désormais l’eco et que l’eco fonctionnera suivant les règles actuelles du CFA. D’où vient cette idée d’une nouvelle parité de 1 euro pour 1000 eco?

    “Cette nouvelle monnaie en gestation doit surmonter de nombreux problèmes, comme la convergence réelle et monétaire entre les pays de l’UEMOA et le reste de la CEDEAO”.

    ouattara a déjà réglé ces questions. Les règles sont celles qui r hissent le CFA actuel.

    “ Comment seront traitées les réserves en devises des différents Etats UEMOA auprès du Trésor français ?”

    ouattara a déjà dit le CFA sera désormais l’eco et que les règles de fonctionnement de l’actuel CFA s’appliqueront à l’eco. Il l’avait dit en France dans les jardins de l’elysee, et ce après la réunion avec les autres roitelets de la CEDEAO sur la création de l’eco en 2020. Pouvait-il faire de tla les déclarations dans la cour de l’elysée sans l’autorisation de son maître macron?

    “Qui créera la nouvelle monnaie ? On peut penser que les usines de Chamalières en Auvergne sont prêtes pour créer les billets et les pièces. Où sera localisée la nouvelle banque centrale ? Comment se traduira dans les faits la nouvelle gouvernance administrative et monétaire de l’ECO ? Quelle place pour la France ?”

    ouattara a déjà donné la réponse à ces interrogations.

    “Les pays anglo-saxons sont-ils réellement prêts, au-delà des discours grandiloquents et politiques, à se dessaisir de leur souveraineté monétaire ?”

    Le Nigeria et le Ghana ont déjà dit non à ces interrogations. Il n’y a pas débat .

    “Que feront dans cette affaire les pays d’Afrique centrale, membres aussi de la zone franc ? Devront-ils sous l’injonction française et au nom du réseau global, rejoindre la nouvelle entité monétaire créée par l’ECO ou bien rester dans l’ancienne zone franc ?”

    Oh, n’est-ce pas que la stratégie monétaire reseautale veut que la France maintienne la cemac et l’uemoa séparées? Pourquoi encore vouloir les mettre ensemble ? C’est un peu contradictoire.

    Passons rapidement en revue les problèmes techniques liés à la création de l’ECO comme monnaie alternative au franc CFA”

    ouattara a dit que le cfa sera l’eco. De quels problèmes techniques parles-tu?

    “Pour les contempteurs de la zone franc, on peut noter très vite plusieurs problèmes techniques. Sur quels critères sera décidé le taux de change fixe ou flexible ? Les thuriféraires de l’ECO estiment qu’il faudra rattacher la parité à l’euro pour un taux de change fixe, pour d’autres il faut rechercher un panier de monnaie afin d’utiliser un taux de change flexible. Sur quels critères seront retenues les monnaies qui rentreront dans la composition du taux de change flexible ?”

    tu te répètes. Tu as déjà soulevé ces enjeux que ouattara a déjà résolu. Le CFA sera l’eco et fonctionnera suivant les règles du CFA .

    “La France, subtilement et au nom de la théorie du réseau, élargit son marché d’impact pour ses entreprises en direction des pays anglophones et le président Macron ne s’en est jamais caché, à savoir dépasser le cercle traditionnel de la francophonie classique vers une francophonie plus ouverte sur le monde africain”.

    Faux et archifaux ! La France investit et exporte plus dans les autres pays africains que dans la zone CFA . Donc ce que tu écris ne tient pas la route.

    “On peut revenir à un autre problème : celui de la coordination entre les pays membres en cas de déséquilibre externe. Sur quels critères se fera l’ajustement quand un pays a des problèmes d’équilibre externe. Faudra-t-il une politique de relance budgétaire par des dépenses en veillant à ne pas porter atteinte à la valeur de l’ECO ou alors demander des efforts collectifs aux autres pays pour l’aider financièrement ?”

    De quoi parles-tu sincèrement? Que fait-on depuis 1960? Est-ce que les problèmes que tu listes ne sont jamais survenus avec l’actuel CFA ?

    “Vive l’ECO, pourquoi pas, et devant nous les problèmes. La vie étant un pari risqué, pourquoi ne pas l’assumer ?”

    Célèbres-tu le CFA changé en eco d’après ouattara depuis les jardins de l’elysee?

  5. Lucien Pambou Mkaya Mvoka dit :

    Bakala Téléma,

    J’avais promis un article de fond au mois d’aout, promesse tenue. Concernant les contempteurs, je te renvoie au livre de l’économiste togolais, ancien ministre de la prospective et ancien directeur du numérique à la francophonie, à savoir Kako Nubukpo et mon ami le camerounais Martiel Ze-Belinga. le titre du livre: « Sortir de la servitude monétaire. A qui profite le CFA ? « , éditions La Dispute.
    Mon article est long, j’en conviens. Il y a des aspects techniques qui nécessitent à eux seuls de nombreux papiers. Je te renvoie à la littérature théorique économique et empirique classique que tu trouveras dans tous les manuels de macroéconomie.

    Bonne journée Bakala.

    Lucien Pambou.

  6. val de Nantes dit :

    La monnaie est le reflet d’une ėconomie.
    Cette partie africaine en a -t -elle rėellement ce dont je doute..
    .Les ressources naturelles ne peuvent garantir une monnaie dont la valeur fluctue au grė des prix du marchė fixės pour la plupart par les consommateurs, c’est le paradoxe de cette belle aventure..
    Le dumpimg monėtaire est une exigence ėconomique et son succės dėpend des critęres qualitatifs (haute valeur ajoutėe ) et quatitatifs (ėconomies d’ėchelle )
    Cette partie africaine est loin d’avoir rėuni ces conditions.
    Sachez aussi que le naira (monnaie Nigerianne ) est indexė sur le prix fluctuant du baril de pėtrole ,d’où son influence moindre dans cette zone ėconomique.
    Son taux de change est tres faible par rapport aux monnaies voisines..
    Rėsultat : Une inflation galopante des produits .
    Le chemin est semė d’embuches, mais à l’impossible nul n’est tenu.

  7. Anonyme dit :

    Pour ce qui concerne la sortie ou non du CFA,des gouvernants responsables auraient eu en zone CFA une attitude digne. Cela aurait été dans un pays comme la Suisse,une occasion pour organiser un referendum d’opinions ou d’initiatives je ne sais afin de décider en conséquence. Ainsi, Chaque citoyen donnerait son opinion.
    Pöur ma part, gérée ou non par le Trésor Français,cette histoire de CFA importe peu.
    Ce qui est primordial, est que la France respecte et fasse respecter les cadres institutionnel, législatif et juridique et politique en Afrique. Ces cadres, violés, foulés aux pieds par des dirigeants mal ou non élus, accentuent les divisions tribales au lieu de les atténuer.
    Mettre un terme à ces présidences à vie,réduit les inégalités, les fuites de cerveau, la pauvreté, dynamise l’esprit patriotique..
    C’est déprimant,frustrant et peu productif, que de voir des générations entières de citoyens régner pendant 15,20.30,50,55 ans , ,accumuler de très grandes richesses ,disposer du droit de vie ou de mort sur d’autres citoyens avec le soutien de cette France.
    Le problème du CFA n’est pas une urgence en Afrique francophone. L’Afrique noire a besoin que la France ait une parole d’honneur. Elle doit cesser d’être hypocrite en Afrique noire. La France est comptable de cette situation.
    Les relations franco-africaines demeureront grâce à cette monnaie . Et pourquoi ne commencerions nous pas à créer une autre langue.?.
    La France doit prendre les peuples africains comme murs et cesser de soutenir des dictatures.
    ..

  8. kikadidi leo dit :

    la monnaie reste un outil d echange si les echanges avec la france ou l europe baissent il est normal que l europe ou la france ni trouve plus d interets

  9. Bakala Louzolo Téléma dit :

    Lucien Pambou,
    J’aimerais bien t’entendre sur les positions prises par dramane alassane ouattara sur l’éco car, dans ton texte tu passes sous silence ces faits . Pour ce qui ne savent ce qui s’est passé , ton texte leur donnera l’impression que la messe n’est pas encore dite alors que les propos de ouattara prouvent le contraire.

    Par ailleurs, est-ce normal que des pays comme le Congo et la Guinée équatoriale puissent contribuer à eux seuls le même montant de devises auprès du trésor français que l’ensemble des pays de l’uemoa? Je rappelle que pendant plusieurs années le Congo versait plus de 4,000 milliards de cfa et la Guinée équatoriale plus de 3,000 milliards de cfa auprès du trésor français quand l’ensemble des pays de l’uemoa versaient 7,000 milliards de cfa. Est-ce qu’une telle situation est juste et fondée économiquement et socialement? J’aimerais t’entendre sur ce point et que propose-tu comme solution pour résoudre ce problème ?

    Par ailleurs, est-ce normal que la France finance pour 1 milliard d’euros le métro d’abidjan à même les réserves en devises déposées sur le compte des opérations de son trésor public par l’ensemble des pays de la zone franc?

  10. Kassava de Tsibakala dit :

    Chers compatriotes,

    Je suis sidéré de lire toutes ces inepties sur la théorie de la monnaie et des échanges économiques entre états, dont tous les intervenants avant moi ont bien voulu contribuer dans ce débat contemporain sur les économies africaines. Ne prenons pas les choses à la légère car les enjeux sont de taille. Tout l’avenir de l’Afrique se joue à présent dans ce tout qui se trame en Afrique de l’Ouest. Les pires convoitises économiques paraissent les moins-visibles dans ses échanges entre ‘’ cols-blancs’’ dans ces belles salles de conférences, les lectures horizontales de textes, voir même certaines déclarations de fameux participants, nous ramènent droit vers le niveau d’immaturité de certains garçons de courses à la solde des impérialistes occidentaux que nous avons d’ailleurs tout de suite reconnu, je cite Ouattara l’ivoirien. La France a un très sale agenda caché dans cette histoire. Elle se dit être préoccupée par cet évènement qui pointe à l’horizon, d’après Macron, mais pas du sens circonstanciel ‘’ africain ‘’ de ces mesures socio-économiques salvatrices continentales, plutôt dans le souci d’une récupération positive pour l’économie française.
    Prenons garde et interrogeons-nous sincèrement.

    Tous les africains, qui ont pu accéder aux connaissances des sciences économiques doivent se récuser. Nous devons avoir tous honte sur la carence de notre génie à l’échelle continentale…
    Qu’ont-ils apporté réellement depuis des lustres au continent ‘’ Afrique’’ ces soi-disant diplômés en économie ? C’est vrai qu’ils n’ont pas été tous des présidents ou chef d’état dans leur pays respectif, mais ils ont au moins été conseiller dans plusieurs institutions, ils ont accompagné, siégé et participé dans l’élaboration de plusieurs documents d’actions économiques à plusieurs niveaux supranationaux lors des grandes rencontres et on a le droit de se poser la question sur la qualité de l’impact le plus saillant qu’a suscité leur contribution ? Doit-on obligatoirement être président dans son pays pour faire bouger les lignes ?

    Pourquoi les universitaires africains ne se retrouvent-elles pas pour créer et animer des cercles de réflexions ? Pourquoi manque-t-il à l’Afrique de telles initiatives académiques ? Où sont les chercheurs africains ? Je suis désolé et je constate qu’il y a encore beaucoup de questionnements sur le naufrage de l’économie en Afrique ….

    Les économistes africains confondent en général les débats de l’heure. Nous ne sommes plus dans les dissertations creuses. Lorsque nous parlons économie en générale, évitez s’il vous plait de vous attarder sur les théories divulguées ça et là par certains théoriciens jadis en rapport avec leur temps. L’Afrique d’aujourd’hui est un géant économique qui n’arrive pas à s’articuler et de se donner une identité mondiale dans le concert des nations. Les divers tâtonnements du leadership que nous disposons à la tête de nos états ne nous invitent de n’emprunter que des sentiers bâtis par l’occident. Mais pourquoi diantre, les universités africaines ne s’accapare-t-elles pas ce devoir de sortir le continent de cette emprise économiques néocoloniales ?

    Toute l’économie africaine souffre en générale du manque de démarcation des réflexions organisées au sein d’un corps d’avant-gardistes ’’ authentiquement africains‘’ animé par des universitaires, économistes, monétaristes, Entrepreneurs-managers, de philanthropes et juristes.
    En dehors des vertus que l’on attribue à la monnaie de devoir symboliser la souveraineté d’une nation ou des peuples, une monnaie est plus que çà. Les économistes et les monétaristes sont unanimes et vous diront sans détour, que la monnaie est une vulgaire denrée qui doit être mise en circulation dans un marché libre afin de générer de la valeur ajoutée. Elle doit créer des métiers, des emplois, des filières et aussi des produits au-delà de n’être utilisé que comme un ‘’ banal outil de change.

    L’économie africaine est curieusement le seul marché au monde où la monnaie en tant que denrée n’occupe pas une place significative dans son économie. Quel gâchis !!!! C’est quand même curieux, vous ne trouvez pas…

    Posons-nous alors, la vraie question : pourquoi est-ce que la monnaie n’occupe-t-elle pas cette place prépondérante qu’elle se doit en Afrique ?

    Ma réponse : l’Afrique est en manque d’une intelligentsia capable de transmettre les connaissances nécessaires à sa jeunesse, pour la maîtrise des instruments qui conviennent à transformer les mentalités. L’Afrique doit maintenant comprendre que l’économie est un champ de bataille brutale, qui ne tolère pas les faibles et les distraits. Seuls les guerriers disciplinés et convaincus survivent dans différentes épreuves. Qu’on le veuille où non, les rapports de force entre nations ne se mesurent depuis la nuit des temps que dans leurs rapports économiques. Les guerres à visage découvert en brandissant l’épée et la Kalachnikov des temps passés entre états sont révolues, elles ont laissé la place aux intelligences économiques entre les peuples. L’Afrique doit très vite le comprendre…. Il n’existe pas un autre champ de concurrence que l’économie. Les pays n’entretiennent pas de rapports amicaux dans le sens ‘’sentimental’’ entre eux, mais des rapports d’intérêts.

    L’Afrique a un déficit pédagogique dans ce contexte envers sa jeunesse, elle a intérêt de le définir dans sa politique d’éducation comme le plus grand challenge de notre siècle. Plusieurs des leaders politiciens africains sont encore enfermés dans la bulle de révolution pubertaire des années de l’indépendance. Ils doivent se surpasser et se donner nettement un objectif en se définissant vouloir faire de leur nation, un acteur économique majeur dans le monde.

    L’homme africain doit apprendre à être désormais prêt dans une dimension nationale, de faire du mal à une autre nation dès lors que les intérêts vitaux de son propre peuple seraient menacés. Cette simple réflexion, cache en principe le creuset par lequel plusieurs dispositions jailliront de l’état d’esprit des citoyens, afin de se munir des ingrédients vitaux pour l’affirmation et la survie de tout un peuple dans ce monde économiquement concurrentiel.

    L’Afrique n’a pas besoin de partenariat dont les intérêts sont asymétriques. La France ne doit jamais bénéficier d’un quelconque privilège en tant que partenaire, elle doit être vue et considérée comme un parmi tant d’autres de nos interlocuteurs économiques. L’Afrique doit se démarquer du monde sentimental et composer dans le monde des intérêts économiques entre nations.

    Vive le Congo

    Kassava de Tsibakala

  11. Lucien Pambou M kaya m voka dit :

    A Kassava de Tsibakala,

    « Posons-nous alors, la vraie question : pourquoi est-ce que la monnaie n’occupe-t-elle pas cette place prépondérante qu’elle se doit en Afrique ?
    Ma réponse : l’Afrique est en manque d’une intelligentsia capable de transmettre les connaissances nécessaires à sa jeunesse, pour la maîtrise des instruments qui conviennent à transformer les mentalités. L’Afrique doit maintenant comprendre que l’économie est un champ de bataille brutale, qui ne tolère pas les faibles et les distraits. Seuls les guerriers disciplinés et convaincus survivent dans différentes épreuves. Qu’on le veuille où non, les rapports de force entre nations ne se mesurent depuis la nuit des temps que dans leurs rapports économiques. Les guerres à visage découvert en brandissant l’épée et la Kalachnikov des temps passés entre états sont révolues, elles ont laissé la place aux intelligences économiques entre les peuples. L’Afrique doit très vite le comprendre…. Il n’existe pas un autre champ de concurrence que l’économie. Les pays n’entretiennent pas de rapports amicaux dans le sens ‘’sentimental’’ entre eux, mais des rapports d’intérêts.
    L’Afrique a un déficit pédagogique dans ce contexte envers sa jeunesse, elle a intérêt de le définir dans sa politique d’éducation comme le plus grand challenge de notre siècle. Plusieurs des leaders politiciens africains sont encore enfermés dans la bulle de révolution pubertaire des années de l’indépendance. Ils doivent se surpasser et se donner nettement un objectif en se définissant vouloir faire de leur nation, un acteur économique majeur dans le monde.
    L’homme africain doit apprendre à être désormais prêt dans une dimension nationale, de faire du mal à une autre nation dès lors que les intérêts vitaux de son propre peuple seraient menacés. Cette simple réflexion, cache en principe le creuset par lequel plusieurs dispositions jailliront de l’état d’esprit des citoyens, afin de se munir des ingrédients vitaux pour l’affirmation et la survie de tout un peuple dans ce monde économiquement concurrentiel. »

    Les Africains n’aiment les débats théoriques et empiriques sur l’économie. Les intellectuels africains docteurs en économie vivent sur des théories dépassées et n’actualisent leurs connaissances sur le renouveau de la pensée économique théorique et empirique avec les post-keynésiens, la synthèse keynéso-néclassique, la nouvelle macroéconomie et les problématiques liées à l’économie hétérodoxe. Les questions monétaires y sont traitées micro et macro économique. Les Africains sont absents car ils estiment qu’ils n’ont rien à dire. De plus il n’y a pas de véritable spécialiste des questions monétaires en Afrique, sinon que des gens qui reprennent des éléments éculés des théories dépassées. de plus, dans les débats politiques, la monnaie n’intervient jamais car on n’en sait rien et que tout le monde estime que seul le champ politique est important. On comprend mieux pourquoi , les Occidentaux, dont la France, font ce qu’ils veulent.

    A Bakala Téléma,

    merci d’acter définitivement que le réseau est bien un outil analytique. Concernant Ouattara, c’est un membre du réseau d’accord avec Paris en acceptant un taux de change fixe avec l’euro, mais Paris fait comme s’il n’y avait pas accord et comme d’habitude fait tourner les Africains en bourrique. Concernant la contribution du Congo et de la Guinée équatoriale, c’est de leur faute, mais ces deux pays sont tenus par le réseau central de la zone franc qui fait ce qu’il veut et comme il l’entend. Je parle de Paris. La France fait ce qu’elle veut avec l’argent du réseau zone franc comme financer le métro en Côte d’Ivoire et le ciel ne tombera pas. C’ est bien le boss du Réseau zone fanc qui etablit une differenciation entre les contributeurs de cette zone
    Ce n est pas celui qui contribue le plus qui est le plus considere

    VOILA une subtilite que ne peuvent comprendre ceux qui ne sont pas au fait des subtilités des relations internationales structurees aujourdhui autour d un bilateralisme reseautal qui s ‘oppose au multilateralisme dont macron au niveau international se veut etre le depositaire vis a vis de Trump alors que le meme Macron au niveau de la zone franc agit de facon reseautale en differenciant les zones ouest et centre

    Que faire cesser de pleurer de se lamenter et comme dit kassava de tsibakala se mettre au travail theorique et empirique sur les problèmes de developpement dont la monnaie avec une expertise typiquement africaine

    Au dela des indignations et des joils discours dont nous sommes coutumiers en sommes nous capables?

  12. Bakala dit :

    Lucien Pambou ,
    Tu ne dis rien d’intelligent dans ta réponse à mes questions. Tu te moques des africains, mais tu reproduis un discours qui n’éclaire point le sujet que tu as soulevé. Tu as voulu nous induire en erreur en cafouillant , malheureusement tu n’es pas capable de soutenir ce que tu écris. Tu as voulu nous présenrté quelque chose en voie de construction; or la réalité est toute autre. La messe est dejà dite et ouattara a dejà dit tout ce que tu as voulu nous présenter comme un nouveau chantier. Ais l’honnêtete intellectuelle de reconnaître que tu as été pris en flagrant délit de manipulation des faits.

    Tu dis du Congo et de la Guinée équatoriale que c’est de leur faute. Quelle est cette faute? Éclaire nous sur cette faute.

    Tu parles de la France qui tourne les africains, mais c’est la France elle-même qui est tournée en bourrique en prenant une fuite en avant en avouant sa faiblesse quand elle a licencié un des tenants de la fin de la zone franc de l’OIF. Est-ce un acte de maîtrise ou de panique? Emprisonner Kemi Seba, est-ce un acte de maîtrise ou de panique?

    Il faut sortir de ce discours des nganda pour parler sérieusement et honnêtement aux gens.

    Pour finir, souffre que je te dise que je n’ai rien acté pour ce qui est de ta fumeuse théorie du réseau qui pour moi n’est une MAFIA!

    J’attends tes réponses point par point comme je l’ai fait pour ton article. Et surtout sois sérieux.

  13. Lucien PAMBOU M kaya M voka dit :

    A Bakala Telema

    On ne va pas reduire le debat a une interpellation a deux

    Que penses tu des remarques de kassava dont j ai reproduis une bonne partie ci dessus. J attends tes reponses sur les points importants qu il souleve

    JE CROIS TU N AS OUJOURS PAS COMPRIS LA SUBTILITE ET LA COMPLEXITE DU RESEAU

    JE TE REDONNE LE TITRE D UN OUVRAGE STIMULANT DANS CE DOMAINE( LES RESEAUX SOCIAUX DE ALAIN DEGENNE ET MICHEL FORSE EDITIONS ARMAND COLIN)

    Comme tu ne comprends toujours pas je vais prendre le temps de t expliquer un certain nombre de faits

    1/ Ouattara est d ‘accord avec le taux de change fixe entre l eco et l euro

    2/ la France fait comme si s il n yavait pas accord pour voir les reactions des autres pays anglophones de la cedeao en faisant croire que le système est en discussion alors que dans les faits tout est ficele. je ne suis pas naif mais mon travail est de montrer comment le reseau fait fonctionner sa propre logique ce que tu n as pas l’heur de comprendre. combien de fois dois je te le dire .tu n es pas mon etudiant a qui volontiers je dois repeter la meme chose

    3/ voila comment fonctionne le parrain du reseau et comment de manière servile et volontaire les pays membres de la zone franc acceptent ce qui leur arrive. cest la France qui imprime la logique de fonctionnement et les pays membres de la zone franc suivent qu ils le veuillent ou non. Sinon ils ont le droit d en partir mais on voit ce qui est arrive a la guinee et au Mali

    4/ as tu lu le livre que je t ai indique sur la zone franc de kako nubukpo et de mon ami martial ze belinga? A QUI PROFITE LA ZONE FRANC, ed la dispute

    5/ Tu parles de manipulation de ma part .Tu utlises un langage de militant qui n’est pas le mien.

    Moi je fais de l analyse et je ne suis pas naif au point de penser que Ouattara n est pas complice

    .En revanche si tu vas au point 1 et 2 de ma reponse tu comprends mieux mon analyse

    6/ j attends toujours un papier de fonds de ta part sur le site .je t ‘en avais promis un c ‘est fait nous y sommes et avec humilite

    7/ la theorie du reseau est une mafia avec toi. Avec des remarques comme les tiennes c’est normal que kassava de tsibakala montre notre incapacite a discuter réellement et théoriquement des problèmes qui nous concernent dont ceux lies à la monnaie

    8/ c est dommage bakala tu as des choses à dire mais au nom de l ’emotion de l ‘irascibilite tu perds tes moyens tu verses qulelques fois dans l anatheme injurieuse

    DOMMAGE DOMMAGE ET REDOMMAGE RESSAISIS TOI STP et fais nous un vrai papier sur les institutions , la monnaie, le developpement utiles pour le debat et pour le congo surtout

    Merci d ‘avoir repondu a mon article point par point j ‘attends que tu en publies un pour en faire autant

    Bonne soiree BAKALA ET VIVE L HOMME DEBOUT QUI DEBAT

  14. Anonyme dit :

    Les africains ont intérêt à adopter une posture radicale dénouée de tout complexe d’infériorité, par rapport à la problématique du nazisme monétaire francais irrépressible, que symbolise l’ECO-FCFA. Est ce judicieux, après soixante années d’Indépendance, de vouloir encore se contenter de ce que d’aucuns dénoncent à raison comme étant la plus grande tromperie néocoloniale ? L’avenir nous apportera la réponse, car l’Histoire est en marche et le processus irréversible, la france le sait.

  15. Bakala Louzolo Téléma dit :

    Forcé et contraint , te voilà entrain de te rattraper en tentant de vouloir présenter une partie des faits tel que tu devais le faire dès le début au lieu d’embrouiller les gens et faire le rétropédalage dès que tu es coincé. Il n’y a point d’insolence dans mon propos. C’est plutôt toi qui es insolent en voulant prendre les autres pour des niais au point d’utiliser un langage infantilisant à leur égard.

    En tant qu’économiste , la question t’a été posée : trouves-tu normal que des petits pays que sont le Congo et la Guinée équatoriale contribuent à eux deux , au compte des opérations du trésor français, le même montant que l’ensemble des pays de l’uemoa? Ta réponse en tant qu’économiste est “ c’est la faute du Congo et de la Guinée équatoriale”; “ la France dicte et ils exécutent “. Tu es plus intelligent que ça , n’est-ce pas? Alors pourquoi une telle réponse de nganda?

    Un second exemple. Tu parles des contempteurs du cfa qui veulent créer l’eco. On te demande leurs noms, tu donnes le nom de kako Nubukpo. Mais est-ce que ce monsieur milite pour la création de l’eco? Veux-tu nous faire croire que Koko Nubukpo est du même camp que ouattara dramane alassane qui exigea à Macron son licenciement de l’OIF? Vouloir faire passer les tenants de l’eco pour des contempteurs du cfa est une manipulation voir de la malhonnêteté intellectuelle. Ceux qui veulent de l’eco sont pour le cfa. Il faut avoir le courage de le dire et de corriger ce que tu as écrit.

    Un autre exemple de manipulation de ta part quand tu veux faire croire que la non utilisation du cfa cemac en zone uemoa et du cfa uemoa en zone cemac a été décidée récemment suite à la crise actuelle. C’est complètement faux. La non utilisation réciproque a été décidée dès 1945.

    Bref, Il n’y a qu’un paragraphe dans ton texte qui n’est pas manipulation, celui où tu parles de la création des banques de développement. Et même là, tu passes sou silence le fait que les banques nationales de développement avaient été démantelées dans la plupart des pays africains , et ce à la demande du fmi et de la banque mondiale.tu dois le savoir en tant qu’economiste. Tu dois savoir les raisons de leur démantèlement. Donc en proposant de nouveau leur création , tu devais dire en quoi ces nouvelles banques allaient être différentes des premières qui firent faillite. Aucune proposition sinon éblouir la galerie comme le mantra “réseau “

    Dire à une personne la vérité ne veut pas dire que l’on ne veut pas débattre dans la sérénité. Pourquoi ne doit-on pas dire les choses telles qu’elles apparaissent?

    Tu parles de ton réseau . C’est toi qui ne comprends rien dans ce que tu dis quand tu utilises ce mot pour vouloir déresponsabiliser des délinquants en qui tu trouves des qualités supérieures du genre : auteur de la convertibilité du franc cfa en yuan chinois.

    Tu parles de papier de fonds. Laisse aux autres le soin de juger ton propos. Me concernant, je n’ai rien à prouver. Je t’ai donné mes références l’autre jour. Il a fallu un livre pour démentir ce que j’avais écrit ici sur Congoliberty.

    Lucien Pambou, j’ignore pourquoi tu tiens les propos que tu écris, tu es libre, mais je sais que tu es intelligent. Aussi, arrêtes de faire exprès en nous prenant pour ce que nous ne sommes pas. Va faire des articles de sensation à Jeune Afrique auprès de l’employé de l’ arabe de service.

  16. Lucien Pambou Mkaya M VOKA dit :

    A BAKALA TELEMA LOUZOLO

    Tu as du mal a me suivre

    c est normal que les contempteurs ceux qui ne veulent plus du cfa comme kako nubukpo militent pour une autre monnaie dont l ‘eco

    L economie n est pas une science normative mais positive.

    A PROPOS DE L ATTITUDE DU CONGO ET DE LA GUINEE EQUATO JE NE SUIS PAS MILITANT COMME TOI ET MEME SI JE L ETAIS CE N EST PAS A MOI DE DIRE CE QUE DOIVENT FAIRE CES DEUX PAYS

    JE CONSTATE QU ILS RESPECTENT LES REGLES QU ON LEUR IMPOSE AU SEIN DU RESEAU ZONE FRANC DOMINE PAR PARIS. MON AVIS N INTERESSE PERSONNE BIEN OU MAL ON S EN FOUT
    .
    J ATTENDS TOUJOURS UN PAPIER DE FONDS DE TA PART

    TU N AS RIEN APROUVER CERTES MAIS TU AS A ECRIRE STP

    FAIS LE POUR QUE L ON VOIT TA CAPACITE D EXPOSITION ET D ANALYSE

    JE VAIS M ARRETER LA ET JE NE TE REPONDRAI QUE SI TU FAIS UN PAPIER DE FONDS SUR LE CONGO OU SUR AUTRE CHOSE .TU VOIS JE SUIS TRES LARGE

    BONNE JOURNEE

  17. Bakala Louzolo Téléma dit :

    Ahhh Lucien Pambou, c’est maintenant ça le débat de fonds???? Anyway! On fait comme ça .

  18. Bakala dit :

    “c est normal que les contempteurs ceux qui ne veulent plus du cfa comme kako nubukpo militent pour une autre monnaie dont l ‘eco”

    Il faut corriger cette contre-vérité . Le cfa sera désormais l’eco et il fonctionnera selon les règles qui régissent le cfa. C’est ce que ouattara dramane alassane avait dit dans les jardins de l’Élysée, et ce un jour seulement après la rencontre des pays de la cedeao pour entériner la création de l’eco. Donc l’eco n’est que le CFA QUI A CHANGÉ DE NOM. Aussi, on ne peut dire que les tenants de l’éco sont des contempteurs du cfa comme veut le laisser croire Lucien Pambou.

    Kako Nubukpo n’a jamais demandé le changement de nom du cfa comme ouattara . Donc c’est une manipulation de vouloir le mettre dans un même sac que dramane alassane ouattara le chien couchant de macron. Dire le contraire c’est faire preuve de militantisme.

  19. Lucien Pambou M KAYA mvoka dit :

    A mes compatriotes congolais et aux autres contributeurs sur ce site CONGO LIBERTY
    QUEL DEBAT INTELLECTUEL POUR L election presidentielle de 2021,

    Je vous remercie pour vos nombreuses remarques concernant mon papier sur la monnaie

    CES REMERCIEMENTS VONT EN PRIORITE A KASSAVA DE TSIBAKALA QUI PAR CES REMARQUES A MIEUX PRECISER LES EFFETS DE MON PAPIER SUR CE QUE DOIT ETRE LE COMPORTEMENT DES AFRICAINS ET DONC DES CONGOLAIS SUR LEUR AVENIR INTELLECTUEL POUR TOUS LES SUJETS LES CONCERNANT DONT CEUX DE LA MONNAIE

    MERCI ENCORE KASSAVA DE TSIBAKALA

    je profite de cette adresse pour ouvrir le debat pour 2021 a savoir l ‘election presidentielle au CONGO

    Ceux qui pensent que les choses sont faites et comme d habitude Sassou va gagner , et que rien n est utile d interroger les politiques sont invites à nous dire neamoins pourquoii ils tiennent cette position meme si on sait que le regime de sassou est hors jeu pour eux

    Pour les autres je souhaite que tous les politiques congolais de la majorite et de l opposition meme si eux tous sont enfermes dans un reseau consanguin que d aucuns qualifient de Mafia nous disent comment ils comptent gouverner le congo apres 2021

    . QUESTIONNAIRE pour les impétrants a l election presidentielle de2021

    1/quelles reformes concretes pour des institutions au service des populations congolaises, reformes portant ou non sur la constitution de 2016 ou retour sur celle nee de la conference nationale.Restons nous dans un système presidentiel ou devrons nous evouler vers un système federaliste theorise par deux internautes de congo liberty que sont Londi david et Val de Nantes

    2/que les candiadats declares nous disent s ils veulent une fois elus sortir ou non de la zone franc.que ces candidats nous disent s ils veulent renegocier le partage de la production petroliere avec la France qui soutient total.il faut qu ils sachent que lissouba a perdu une partie de sa gouvernance politique en autourisant oxy entreprise americaine a exploiter le petrole congolais contre total

    3/les candiadats devront dire de facon ferme si le bilateralisme dominant depuis l esclavage avec la France sera modifie au profit du multilateralisme en direction de la chine et autres pays ce que fait le congo actuellement.le dire l accentuer en montrant aux Français qu ils n ont plus le monopole de la relation privilegiée

    4/ comment reconcilier les congolais entre eux en évitent la chasse aux sorcieres ethniques meme si certains estiment que sous sassou les mbochis ont profite des largesses du pouvoir.je tiens a reaffirmer que j ai des amis mbochis qui n ont pas recu une miette du pouvoir les mbochis sont des congolais et ils ne doivent pas apparaitre comme des chiens galeux a exclure de la republique
    il ya des mbochis corrompus et tricheurs mais de grace pas tous les mbochis

    5/ Décider ou non de la suppression des ecoles privees dont certaines concourrent a l abaissement du niveau d education au congo.Introduire dans la constitution a amender des parts de budgets incompressibles concernant l education la sante et les pensions de retraite quelaue soit la situation economique

    6/ revoir la fiscalite et les obligations concernant les operateurs etrangers economiqus s au congo il s agira de reintroduire une planification strategique des zones de developpement. comment s appuyer sur les zones économiques spéciales actuelles pour une optimisation des ressources en terme de formation de la valeur ajoutee de la creation des emplois donc des embauches et de la distribution decente des slaires

    il s ‘agit aussi de favoriser l acces aux licences d’importation des produits etrangers par les congolais ce qui ne semble pas etre le cas en ce moment ou les etrangers sont favorises par rapport aux congolais

    7/ redonner des marges de manœuvre aux départements et communes pour le developpement des insfrastructure et l attractivite des operateurs etrangers aux quels on obligera dans les cahiers de charges de participer a la la formation de leurs employes et de leurs acces aux fonctions de responsabilite

    VOICI DES ELEMENTS DE DEBATS AUXQUELS PEUVENT REPONDRE LES CANDIDATS POTENTIELS A L ELECTION PRESIDENTIELLE DE 2021 2021 C EST DEJA LA

  20. Anonyme dit :

    MONSIEUR Pambou l’indécrotable petit professeur donneur de leçons et qu’on aimerait bien qu’il fasse ce qu’il demande aux autres, comme lorsqu’il dit « ……JE NE TE REPONDRAI QUE SI TU FAIS UN PAPIER DE FONDS SUR LE CONGO…… » On pourrait lui répondre à QUAND MONSIEUR pambou nous ferez vous l’honneur de rédiger un papier de fond sur le CONGO ce que, jusqu’à présent, vous n’avez jamais fait à part essayer de nous enfumer, à longueur de posts, avec le terme réseau mis à toutes les sauces.
    Le réseau, le réseau, rien que le réseau mais quid des principaux acteurs Congolais de votre fameux réseau par contre, vous vous permettez de nommer les autres acteurs lorsque ceux ci ne sont pas Congolais mais on ne trouve jamais apparaître le nom du principal intéressé à qui ce site est dédié, sassou nguesso, votre président le tyran de l’Alima.

    Il ne faudrait pas oublier MONSIEUR Pambou du haut de votre suffisance que ce site est principalement dédié au Congo et s’intitule.

    POUR UN CONGO LIBRE ET DEMOCRATIQUE: SASSOU NGUESSO DOIT PARTIR

  21. Lucien Pambou M KAYA mvoka dit :

    A ANONYME

    A QUAND UN ARTICLE DE FONDS SUR LE CONGO ME DEMANDEZ VOUS?

    BINGO ANONYME

    JE vous renvoie et desolé a la lecture de mon ouvrage(LA MONDIALISATION UNE CHANCE POUR L AFRIQUE,? LES AFRQUES NOIRES FRANCOPHONES DE L OUEST ET DU CENTRE SUJETS D HIER ACTEURS DE DEMAIN HARMATTAN 2014)

    toutes les questions que vous vous posez trouvent reponse en partie de manière approfondie sur le CONGO dans cet ouvrage

    Bonne lecture anonyme et reste dans la prise en compte des outils analytiques sans les oukases émotionnelles a la bakala telema sur mon ego ou sur ma sufisance intellectuelle

    Restes rationnel au niveau des outils conceptuels dont j ai demontre la pertinence dans mon mon article sur l eco future monnaie et diplomatie monetaire de reseau de la France en zone franc

    je souleve en etant le 1er sur ce site les questions rationnelles au dela des larmes et des emotions traditionnelles dont sot coutumiers certains intervenants sur ce site les questions et problématiques concernant la presidentielle de2021

    TIENS UN PETIT SECRET CE SONT LES REMARQUES DE KASSAVA DE TSIBAKALA QUI M ONT INCITE A CE TYPE DE DEMARCHE

    TU VOIS ANONYME JE NE SAIS PAS TOUT ET JE M ENRICHIS AUSSI AUPRES DE MES COMPATRIOTES COGOLAIS INTERVENANTS SUR CE SITE

  22. Anonymous dit :

    Restes rationnel au niveau des outils conceptuels dont j ai demontre la pertinence dans mon mon article sur l eco future monnaie et diplomatie monetaire de reseau de la France en zone franc.

    Quels outils conceptuels as-tu démontré la pertinence ? On t’a posé de simples questions, tu as refusé d’y répondre. Tu as bafouillé en disant une chose et son contraire à la fois. C’est toi qui n’es pas rationnel vu que tu es en mission.

  23. lucien PambouMkaya Mvoka dit :

    a Anonyme OU anonyme 5 oui le reseau ne t en deplaise est un outil conceptuel

    je ne voudrai pas etre
    mesquin en disant que moi j agis et en nom propre pas toi car sur ce site certains ont confondu anonyme canal historique et anonyme 5 qui es tu , AS tu peur d exister alors calme toi

    BREF C EST MESQUIN. J ESPERE QUE TU ACHETERAS MON BOUQUIN ET QUE TU LE LIRAS. BIZARRE TU NE PARLES PAS DE MON BOUQUIN .JE NE ME CONTENTE PAS QUE DE PETITS POSTS SOUS FORMES D ARTICLE SUR CONGO LIBERTY

    J AI FAIT DE LONGUES REPONSES AUX UNS ET AUX AUTRES

    VOILA JE PREPARE PEUT ETRE UN AUTRE PAPIER SUR LES INSTITUTIONS CONGOLAISES

    PAUVRES CONGOLAIS ET NAZES QUE NOUS SOMMES MOI YCOMPRIS C EST POUR CELA QUE LE L OCCIDENTAL NOUS PREND POUR DES MOMES NAIFS BRAIILARDS ET INCAPABLES

    NOUS SOMMES INCAPABLES DE DISCOURIR

    PAMBOU EN MISSION DE QUI? DE SASSOU, DU RESEAU

    SI C ETAIT LE CAS JE NE PASSERAI PAS MON TEMPS SUR CE SITE A REPONDRE AVOS REMARQUES INTELLIGEMENT EMOTIONNELLES

    JE SERAI AU CHAUD DANS LE RESEAU AVEC LE PRIVILEGES

    A QUI JE M ADRESSE ANONYME OU ANONYME5

    DEVOILES TOI ANONYME

  24. Anonymous dit :

    Voilà qu’il demande aux gens de se dévoiler. Crois-tu que tout le monde veut un poste à Mpila pour se dévoiler ? Il nous renvoie à ses livres quand il n’est pas capable d’expliquer ce qu’il écrit . Un humble aurait simplement se contenter de ce qu’il a écrit . Ce n’est qu’un vaniteux qui peut se faire passer pour le professeur et dire aux gens ce qu’ils doivent lire.

  25. Lucien pambouMkaya mvoka dit :

    a anomyme le vrai ou le 5

    c est sympa les joutes intellectuelles mais pas quand elles deviennent stériles et in compréhensibles. ca devient chiant et on perd du temps comme les congolais savent le faire et on comprends mieux pourquoi Sassou sans etre intellectuel comme vous est la depuis 40 ans et gere le pouvoir et vous passez votre temps a bavasser et a pleurer.je sais que cela emmerde certains ce type de discours .Renseignez vous Pambou l enfant de toukoula est comme cela en France dans son milieu professionnel de fonctionnaire de l education nationale et au sein de mon parti politique les lr

    je dis un certain nombres de choses que cela plaise ou non. alors tu vois un poste a mpila .si j avais voulu en avoir un j aurai procede autrement coco .ne me prends pas pour un cave je sais qui sont les etres humains surtout les bavards congolais

    on comprend mieux avec les sachants africains et surtout congolais pourquoi les regimes dictatoriaux prospèrent et restent longtemps au pouvoir et pourquoi les populations ne peuvent esperer un quelconque secours

    reponse les sachants congolais sont bavards et inaudibles
    j ai pose une serie de questions qui ne manqueront pas d etre a l agenda de2021

    j attendai des reponses ou un debat et je recois des fadaises sur mon attitude et du bavardage nazique

    Don c est bon c est la rentree je passe a autre de plus interessant et je reviens vers vous tous fin septembre ou fin octobre je verrai en fonction de mon agenda AVEC UN ARTICLE COMME D HABITUDE DE FONDS ET J ASSUME CE QUE JE DIS. N EN DEPLAISE A CERTAINS LE CIEL NE TOMBERA PAS

    en attendant anonyme j ai plein d articles sur la toile tu tapes mon nom et prenom et tu te ressources voila seule reponse possible face aun anonyme
    abientot fin septembre ou fin octobre car j ai plus important a faire

  26. Anonymous dit :

    Pambou dit: je souleve en etant le 1er sur ce site les questions rationnelles au dela des larmes et des emotions traditionnelles dont sot coutumiers certains intervenants sur ce site les questions et problématiques concernant la presidentielle de2021.

    Quelle suffisance? Il dit qu’il est le premier sur ce site a soulever des questions rationnelles . Donc il nie aux autres les capacités de raisonner rationnellement. Chez les médecins, on parle du syndrome de la Toute Puissance de Dieu. De quel syndrome souffres-tu pour nier aux autres les capacités d’un raisonnement logique ? Tu mens à toi-même.
    Bonnes vacances .

  27. Uhem mesut dit :

    On peut aussi faire le choix d’ignorer la vanité et la suffisance de certains sur ce site. Celui qui se pose en donneur de leçons peut choisir l’échange et non le mépris. Il essaie de se placer au-dessus par le mépris. C’est le signe d’une personne en manque de reconnaissance. C’est un trait récurrent chez le sieur Pambou. Il écrit ses articles sous sa vraie identité, et alors. Quelle légitimité a t-il pour mépriser les autres intervenants ? De quel droit? Il donne les bons points à un tel, mais au nom de qui? Au nom de quoi ? La fumisterie resautale ne lui donne aucun droit de mépriser les autres et on plus il veut être payé pour cela en nous incitant à acheter son livre. Quel culot ?

  28. Fathi Ndiaye dit :

    Mesdames et Messieurs,

    Je suis étrangère de nationalité franco-sénégalaise et je vis en France depuis 15 ans. Congo-liberty est un site intéressant que j’aime beaucoup. Il y a de bons textes sur votre site mais vous restez trop dans l’attente et à vous injurier inutilement. Vous ne gagnerez jamais face à monsieur Sassou qui a bien compris le sens et l’utilité de la communication politique.

    Dommage que vous ne traitez pas suffisamment des questions relatives aux femmes pour le développement das vos propos. C’est dommage et pendant ce temps ma Chine, surtout la France, continuent de malmener le Congo. Ce n’est pas de votre faute car même si vous vivez en France depuis de nombreuses années comme moi, on n’a pas compris le double langage hypocrite, et qui pommade de la France.

    On appelle certains pays africains, comme le Rwanda et le Togo, au G7 de Biarritz, tous les Africains sont contents. C’est dommage que vous passiez beaucoup de temps à vous opposer inutilement, la France pendant ce temps se gave.

    Je connais Monsieur quand il a fait le CRAN, il est très intransigeant, brillant et honnête et souvent incompris. Il a été un excellent éditorialiste sur Africa 24 en introduisant l’aspect historique dans ses analyses. Je n’ai pas compris pourquoi il a été licencié alors qu’il apportait une façon nouvelle de rendre compte de l’information.

    L’Afrique doit s’organiser et mobiliser tous ses enfants. Dommage qu’elle se disperse dans des sujets inutiles.

  29. Fathi Ndiaye dit :

    Lire … je connais Monsieur Pambou…

  30. Anonyme dit :

    Bizarre ! bizarre !
    Mais rien d’étonnant car ce n’est pas la première fois que le sieur pambou nous pond d’un post téléguidé pour essayer de redorer son blason. Quand il ne l’écrit pas lui même sous un autre pseudo.
    La manque de reconnaissance chez ce MONSIEUR est vraiment pathétique.

  31. Fathi Ndiaye dit :

     » La manque de reconnaissance chez ce MONSIEUR est vraiment pathétique. »
    je passe sur l’expression le ou la manque et du MONSIEUR en majuscule. Vous devez être fiers de ce Monsieur Pambou car son talent oratoire en langue française et sans accent dans les médias Africa N°1, Africa 24 et à l’UMP m’ont fait plaisir. Son érudition et ses diplômes me font comprendre pourquoi vous le jalousez. C’est dommage parce que l’Afrique ne se construira jamais. Comme d’habitude et jaloux les Africains ne se font pas confiance. Au moment où on célèbre les 400 ans et plus de l’esclavage, je comprends pourquoi Monsieur anonyme est incapable de construire par lui-même. Je ne suis téléguidée par personne mais c’est dommage que les Africains, surtout les Congolais, soyez trop jaloux de la réussite des autres.
    Vive la France triomphante sur les Congolais incapables.
    Monsieur Pambou n’a pas besoin de reconnaissance car il est dans la société française à son petit niveau aux plans politique, professionnel et associatif.
    Monsieur anonyme, ressaisissez vous, c’est une femme africaine qui vous le demande.

  32. Anonyme 5 dit :

    Mais on voit des Anonyme 5 partout maintenant !!! Anonyme c’est Anonyme et Anonyme 5 c’est Anonyme 5 je ne suis pas l’auteur de ces post qu’on me laisse en dehors de ces débats qui ne m’intéresse pas !
    Contentez vous d’exprimer vos point de vue avec des mots obscènes et arrêter de fantasmer sur mon pseudo !

  33. LUCIEN PAMBOU M KAYA MVOKA dit :

    A toutes et a tous honte a nous aucun papier sur les 400ans et plus concernant l esclavage DES NEGRES

    j avais pris la decision de n intervenir que fin septembre mais helas je m apercois que ce que je dis me donne raison

    Aucun papier concernant les 4oo ans sur l esclavage. QUE DU BAVARDAGE SUR L INESSENTIEL SOURCE DE PRODUCTIVITE DES CONGOLAIS DE LA DIASPORA ET DU CONGO

    Nos soit disants sachants intellectuels congolais n ont rien a dire sur l esclavage en revanche ils bavent a longueur de site sur l inutile

    dommage que le CRAN ‘ conseil representatif des noirs de France que j ‘ai cree avec des noirs et des antillais et pour lequel j ai été le premier secretaire general n est rien a dire et n organise rien sur le sol Français

    J AI HONTE ET MAL ET JE ME COMPRENDS QUAND JE DIS QUE NOUS LES NOIRS DE FRANCE ON EST NAZES BAVARDS NAIFS ET ENFANTS

    je suis fatigue et je prends quelques jours de distances avec quelques betises épistolaires sur le site congo liberty

    que les soit disants sachants sur ce site écrivent sur les 400 ans concernant l esclavage
    je vous lirai avec gourmandise

    MERCI POUR VOS CONTRIBUTIONS AU DELA DES EMOTIONS

    LA TRAITE ET L ESCLAVAGE NECESSITENT QUE CES FILS CONGOLAIS EN PARLENT

    AVOS PLUMES MESDAMES ET MESSIEURS

    et je serai heureux de vous lire en pendant mon absence epistolaire sur la toile de congo liberty

  34. Bakala Téléma dit :

    Fatih Ndiaye,
    Arrête ton sale discours. Qui est jaloux de Lucien Pambou? Jaloux de quoi? Connais-tu tout le monde qui intervient sur ce site?

    Que dira le plus connu des congolais , Alain Mabanckou que Lucien Pambou jalousa ici sur ce site? Demandes à Lucien Pambou quelle était ma réponse à ses attaques sous la ceinture contre Alain Mabanckou?

    Alain Mabanckou combattu sur ce site; jamais il n’a dit que les congolais étaient jaloux de lui.

    Arrêtez , des milliers de congolais sont fonctionnaires dans la fonction publique française ou docteurs en économie pour ne pas dire docteurs en doctorat. Personne ne l’envie . Ok!

    Croyez-vous que parce qu’il est économiste qu’il peut venir raconter n’importe quoi ici! S’il veut faire sa publicité pour aller à la mangeoire qu’il aille aux Dépêches de Brazzaville et à Jeune Afrique où il avait dit que grâce à Sassou le franc cfa était convertible en yuan et vis versa.

  35. Anonyme dit :

    Cher frère Bakala Téléma pas besoin de répondre au pseudo « Fathi Ndiaye  » qui n’est autre que le sieur MONSIEUR pambou. Cette pratique déjà employée l’année dernière avec notamment le pseudo « Laurence du Congo » et bien d’autres que j’ai oublié depuis, c’est un coutumier du fait.
    On n’est jamais si bien servi que par soi-même, dit le dicton. C’est pathétique.

  36. Frigo Moussikimbila dit :

    Et oui, Lucien « Lupi » c’est bel et bien ce faux vrai vili qui déteste pathologiquement le Pool et ses ressortissants. Croyez-le et ne vous leurrez point. Oui Anonyme, il use de cette fumisterie il y a longtemps en effet malgré ses supercheries entretemps de faire semblant de demander aux uns et aux autres de se découvrir nommément. Je l’avais démasqué ce petit fanfaron et souligné depuis sur Zenga Mambu.

    Dis donc Lucien, ça va bien dans la tête? Attention, « 55 » parlait aussi bien français, et un peu plus tard c’était sans chemise en public…

    Porte-toi à merveille, Fathi Ndiaye!

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