Dominique Strauss-Kahn menotté et entouré des policiers du NYPD, le 15 mai 2011.
EXCLUSIF Dominique Strauss-Kahn conseille le président congolais, qui négocie un soutien financier du FMI.
Dominique Strauss-Kahn continue ses tribulations africaines. Selon nos informations, cela fait plusieurs semaines qu’il conseille le président congolais Denis Sassou-Nguesso dans ses discussions avec le FMI. Le Congo va, en effet, entamer, le mois prochain, des négociations pour obtenir un soutien financier alors que sa situation s’est nettement dégradée sur fonds de baisse des prix du pétrole. Le FMI a notamment découvert, cet été, que la dette publique du pays atteignait, en fait, 120% du PIB, et non 77% comme affichée. En mai 2016, La Lettre du Continent avait déjà fait état d’une visite à Brazzaville sur invitation du potentat congolais. Alors que son clan est poursuivi par la justice française dans l’affaire des biens mal acquis, Sassou-Nguesso se plait à agiter la carte DSK, ex-patron du FMI, devant ses interlocuteurs hexagonaux et internationaux, comme gage de son sérieux financier.
Rattrapé par la justice
De son côté, DSK s’est reconverti dans le conseil via sa société Parnasse, domiciliée au Maroc, après l’affaire du Sofitel...lire l’intégralité de l’article
Rattrapé par la justice
De son côté, DSK s’est reconverti dans le conseil via sa société Parnasse, domiciliée au Maroc, après l’affaire du Sofitel. Mais il traîne encore des casseroles judiciaires puisqu’il est visé par une enquête pour escroquerie en bande organisée, abus de confiance et abus de biens sociaux dans l’affaire LSK, ce fonds d’investissement qu’il avait monté avec le financier Thierry Leyne. Alors il essaye de se placer en Afrique, notamment auprès de Macky Sall au Sénégal et de Faure Gnassingbé au Togo. « Il a plutôt eu une bonne influence au Togo, en soutenant l’éviction de l’ancien ministre des Finances et en poussant le gouvernement à faire remonter les chiffres de la dette cachée, souligne un diplomate français. Depuis, le Togo est revenu sous programme du FMI et a signé un accord triennal portant sur 241,5 millions de dollars. » Contacté via son plus proche collaborateur au sein de Parnasse, Philippe Valachs, DSK n’a pas souhaité faire de commentaires.
Dsk est la conséquence de notre aliénation mentale ,conjuguèe à l’auto dénigrement du capital humain congolais par Sassou .Ce qui est Blanc est bon.Pauvres noirs.
L’intelligence n’a pas de couleur ,Sassou a du à s’en convaincre .
Que cache la visite expresse et secrète de Dominique Strauss Kahn à Brazzaville ?
En effet l’économiste français est arrivé à l’aéroport maya maya de Brazzaville le 28/08/2017 à bord d’un jet privé à 23h30 heure locale, conduit dans un hôtel de la place il a été vu à la présidence de Mr 8% en matinée en compagnie Mr Calixte Ganongo ministre de la galère du très inefficace et ridicule gouvernement mouamba 2. Après une réunion avec Mr 8% et Mr Ganongo, il s’est rendu à l’aéroport de maya maya ce 29/08/2017 à 15h pour décoller à 16h heure locale.
A Anonyme et aux autres,
Que cache la visite de DSK ? Elle ne cache rien, Sassou confronté à une situation délicate fait preuve de pragmatisme, utilise son réseau international et appelle le meilleur d’entre les spécialistes de la finance mondiale (malgré ses frasques libertines et privées, ce n’est pas mon problème). DSK est réputé être au point, d’abord en tant que prof que j’ai eu à Nanterre, ensuite en tant que Ministre. C’est lui qui a décliné la pratique de l’utilisation de l’Euro et en tant que Directeur du Fonds monétaire international.
Si on va au bout, que montre la visite de DSK et pourquoi y-a-t-il une faiblesse de la part des économistes congolais sur place ? On peut penser qu’il n’y en a pas. Ceux qui sont directement concernés par la macroéconomie et les finances, se contentent uniquement de regarder le problème et de ne rien dire. la formation des ressources humaines en Afrique laisse à désirer, la plupart des professeurs d’économie se contentent de leur cours et n’interviennent dans le champ politique, non pas pour prendre le pouvoir, mais pour orienter le gouvernement par des préconisations théoriques pouvant déboucher sur l’action. Nous ne sommes pas malheureusement dans cette culture intellectuelle. Nous préférons la culture de la politique politicienne et il ne faut pas s’étonner que d’autres fassent l’expertise à notre place. Sassou a une part de responsabilité dans cette absence d’utilisation des ressources humaines, mais tous les Congolais aussi y ont leur part de responsabilité car dans les différents dialogues ou conférences nationales, la réflexion économique de fond, les moyens mis en oeuvre et l’évaluation ne sont jamais posés.
Faut-il abandonner le Congo à son sort ? Si on prend le raisonnement politique comme l’ont fait certains sur ce site, il faut laisser le Congo mourir de sa belle mort et de l’incurie de ses dirigeants qui ne savent ni gouverner, ni prévoir car gouverner, c’est effectivement prévoir. C’est la théorie de la tabula rasa, ce qui n’est pas , de mon point de vue, une bonne chose car le Congo continuera d’exister au delà du régime politique de Sassou et il faudra apporter des réponses pérennes pour le développement. Nous sommes tous responsables. On attendait d’un Lissouba, il parait intellectuel (chez nous, cela veut dire qu’on est courant de tout, mais finalement de rien car nous sommes intellectuels dans le vide et l’air ambiant). Je reviens à ma théorie de réseau en recontextualisant le problème. Il y a un réseau international auquel le Congo n’échappe pas, marqué par le poids de ses relations historiques avec la France. La France défend ses intérêts au Congo, en Afrique centrale et dans toute l’Afrique. C’est aussi le parapluie monétaire et financier via les clubs de Londres et de Paris au sein desquels sont négociées les dettes privées et publiques avec des taux d’intérêt concessionnels et des périodes de maturité de la dette sur 30 ou 40 ans. Si on veut faire simple, je vous prête de l’argent à un taux inférieur à celui du marché et sur une période de 30/40 ans. Si votre taux de croissance est inférieur aux conditions de remboursement de la dette, vous entrez dans un encalminage financier qui vous oblige à réemprunter sur le court et moyen terme, et si vous ajoutez à cela la corruption, l’évasion fiscale, le détournement des fonds publics, vous créez les conditions de l’augmentation de votre endettement public. La baisse du prix du pétrole est un critère important mais non exhaustif pour expliquer la situation actuelle qui est amplifiée par l’absence de diversification de l’économie et par le fait que nous importons la plupart de notre alimentation à cause d’une agriculture et d’une industrie déficiente.
Je ne reviens pas sur les conséquences d’un plan d’ajustement structurel que le Fonds monétaire international peut initier et qui peut sur le long terme se traduire par une dévaluation et j’avais ici même, sur Congoliberty, posé les conséquences d’une dévaluation ou d’une sortie de la zone franc. Pour ma part, il faut accepter le sauvetage par le Fonds monétaire international et réorganiser intellectuellement et pratiquement le pilotage de l’économie congolaise. Des solutions existent en fonction de notre contexte politique et économique et de notre dépendance vis-à-vis des financements extérieurs, vis-à-vis des nouvelles stratégies productives et de diversification de l’économie à mettre en place. Que les économistes commencent à réfléchir pour leur pays et organiser des séances de débat et de confrontation d’idées. C’est à ce prix que le discours économique retrouvera du sens par rapport au discours politique trop facile. Avec une condition : le contexte historique, politique du Congo.
Ce qui nous arrive est, en partie, de la faute de notre opposition: elle ne parle que politique, jamais Economie. Tous les jours, on nous parle de fraude, de gabegie, etc.; mais sans aucune précision, rien que du flou. Pas d’analyse sérieuse de la situation socioéconomique du pays.
Aussi, dans ce grand flou, les filous de la République agissent tranquillement, convaincus que personne ne découvrira leur jeu.Prenons le parti de faire comme nos frères des parties méridionale, septentrionale, occidentale et orientale du continent c’est à dire prendre le temps d’étudier et de comprendre le fonctionnement de l’Etat congolais. Cela conduit à une analyse critique responsable qui fait prendre conscience au commun des congolais, de l’ampleur du désastre dans lequel est confronté le pays.
Cessons de faire comme les ex-zairois, c’est à dire passer son temps à injurier.
Il a démontré à sassou, documents a l’appui, que la dette du Congo n’est que de 8% du PIB.
Chers compatriotes, panafricanistes et amis des peuples africains opprimés
Nous savons tous que les potentats africains sont soutenus par la France mafieuse et leurs réseaux à travers le monde entier. Nous avions entrepris depuis aussi la lutte de contestations et résistances vis à vis de ces mafieux. Notre lutte est depuis médiatisé et porte déjà des soutiens et appuis. Nous devrons continué notre combat de contestations et résistance sous toutes formes jusqu’à la mise en œuvre des démocraties véritables dans nos pays respectifs.
Les mafia sassou nguesso-chirac-sarkozy-hollande-macron-jean Yves olivier-famille pigasse-famille bollore-strauss khan-Yves le drian etc… ne vivent que leurs dernières épisodes.
A notre lutte à jamais
Ah ça en matière de 8% Sassou s’y connaît .Gakosso dg des impôts agrégé en économie cames sert à quoi ?Sassou n’y arrive plus ,faute d’un niveau d’étude suffisant .Connaît t’il le pib?
Quand les congolais , dans leur immense majorité réclament la congolisation des cadres ,SASSOU , par esprit tribal inassouvi , africanise les européens à des postes à haute valeur technique .
Résultat , plusieurs économistes et autres cadres de haut niveau de notre pays , sont frappés d’inéssentialité .
Notre volonté affirmée de faire de notre pays , un pays émergent , avec l’utilisation efficiente de ces ressources humaines , ne peut triompher que si on se jette dans la balance tous les moyens , y compris bien sûr , la violence .
@lucien ,quand FRANCE ;S’AGRIPPE à ses intérêts que font , en l’occurrence , les congolais ,en particulier Sassou, pour défendre les leurs ?.
Passer sous les jambes hypocrites du FMI est un aveu d’impuissance intellectuelle .
Cher Lucien Pambou, tu dis très justement: « Que les économistes commencent à réfléchir pour leur pays et organiser des séances de débat et de confrontation d’idées. C’est à ce prix que le discours économique retrouvera du sens par rapport au discours politique trop facile. Avec une condition : le contexte historique, politique du Congo »
Non! le problème congolais ne peut pas se resumer par l’absence des Economistes de talent au Congo comme tu sembles le dire de façon subliminale. Le problème Congolais est Sassou. Pourquoi ne le dis-tu pas? Où est ce que les réflexions des Economistes congolais seraient appliquées ? Chez sassou? depuis quand un dictateur plus préoccupé par ses éléphants blancs tels le port d’Oyo ou l’aeroport militaire d’Ollombo , s’interesserait aux propositions des Economistes congolais?
Pourquoi toi-même, que l’on a vu pendant longtemps sur France 24, tu n’es pas allé mettre ton expertise au Congo? Eh ben, sassou n’a jamais été interessé par le développement du Congo. C’est un trusime de le dire.
On a vu comment le gvt Milongo avait essayé de redresser l’économie congolaise en peu de temps parce qu’il y avait de la rigueur et du patriotisme. Or Sassou avec son clan de voleurs ont résussi à plonger le pays dans les abysses de la médiocrité après avoir vanté des execedents budgétaires records. Hallucinant!
Commençons , par valider notre propre intelligence , avant de toujours célébrer les cerveaux extérieurs .
Oui , SASSOU a horreur de l’intelligence congolaise , surtout , si celle ci n’est pas mbochi .Passer sous les jambes bancales et hypocrites du FMI est un aveu d’impuissance intellectuelle pour un pays , comme le nôtre ; lequel s’est permis d’être distributeur des crédits à plusieurs pays africains , il y a si peu .
La situation économique actuelle ne peut être comparée aux situations antérieures , car les indicateurs macroéconomiques ont été démultipliés du fait d’un baril de pétrole affolant .
Sassou a prouvé à la face du monde , que son génie repose plus les assassinats de ces compatriotes que sur la gestion orthodoxe de l’économie de son pays .On peut certes comprendre , qu’on ne soit pas un génie , partout , mais là ,c’est la vie de tout un pays , qui va en payer le prix .Son départ va immensément cadeauter le pays .
La seule recommandation sous prescription internationale , que le FMI puisse adresser à SASSOU ,c’est de mettre en évidence l’inaptitude de SASSOU à rediriger notre pays , AU REGARD ,de L’INSOLENCE financière , dont celui ci a baigné , il y a très peu de temps .Il n’y a aucune autre solution qui vaille , que celle de son départ du pouvoir .Et , les congolais leur en sauront vivement gré .
Le marchandage financier sur un cadavre en coma irréversible , est un supplice générationnel pour le peuple congolais .QUE , LE FMI
VIENNE SIGNER L ‘ACTE DE DECES DE SASSOU et tout le monde s’en portera mieux .Que le blé , nous tombe du ciel , de SASSOU LE PEUPLE n’attendra rien .
Les dignitaires mbochis , s’en frottent encore les kikis , car les libidos endormies sous l’effet de la crise financière passagère , vont retrouver la gent féminine qui semblait leur tourner le dos .
LE CONGO ne peut rembourser cette dette , car toute la ressource pétrolifère a été consignée au profit des yeux bridés , les chinois .
Comment ALLONS NOUS y faire face ?
ALLLONS NOUS peut être leur vendre tout le CONGO .
‘Laurence Pambou’ se serait-il travesti en ‘pinta da costa’ en dernier lieu?
Oyo Con-go bossoto!
KIADI_
Oui au FMI sans le gouverneur noir du congo. L’intelligence congolaise boycotte le pouvoir de Brazzaville qu’elle juge incompétent. Pourquoi souffler de bonnes idées à un sourd? L’intelligence attend le départ du prefet-zident pour servir à nouveaux le congo.
Cher Lucien Pambou ait quand meme un peu d’amour propre sur ta personne.Ne te prostitue pas autant à ce niveau et ne te vend pas si tres moins chere aupres de l’oyocratie.A moins que toi meme ne vale rien et t’eforce a entré dans l’oyocratie.Parceque la diarrhé verbale que tu venais de pondre plus haut ici est simplement indigeste.
Voyons mr Pambou: Le couple sassou-mouamba actuel n’est pas nouveau puisque mouamba fut conseillé economique de sassou sous le mono.Donc la politique economique congolaise qui est actuellement en crise part de la vision mise en place durant leur premiere collaboration.
Mouamba a été repeché à tambour battant et presenté par la propagande oyocratienne comme le meilleur des economistes du cercle sassouland.Donc ton argument disant qu’au congo il n’y a pas de bons economistes et c’est pour cela que sassou a usé de son reseau international (cette fois ci il n’a pas usé de son reseau international d’armes.Heureusement pour les congolais) n’est que farfelu.
Et dsk,ce pervers sexuel qui a ému le monde entier lors de son arrestation aux usa n’est pas à sa premiere visite de conseil criminel aupres du potentat d’oyo.Ils ne tournent qu’en rond.
Le probleme congolo-congolais reste bien ce monstre de sassou l’inamovible sanguinaire soutenu par tout types de mafia dont celle economique avec les depradés sexuels comme dsk .
Rien à dire d’autres sinon demandé aux congolais de continuer dans la lutte pour chasser le despote.
Ah, Mpambu!. Lucien, c’est Lux, lucis: la lumière. Mais tu n’es guère phosphorescent. Dommage! vae tibi!
oh tintin et le soyons serieux
pas beau pas gentil mechants et boah comme diraient vos enfants quand ils etaient petits
pas beaux vous contre tonton pambou
ou snt les arguments contre lui il n yen a pas pas beajux vous pleurnichards impenitents sans analyse contradictoire
pas beaux