À première vue c’est un voyage initiatique au bout de l’ineptie aux relents racistes que Dominique de Villepin a engagé en faisant le pèlerinage de Brazzaville pour célébrer un obscur 77ème anniversaire de la proclamation de cette ville comme capitale de la France libre.
LE TYRAN ET LE PÉRIL ANGLO-SAXON IMAGINAIRE
En réalité, les affaires africaines c’est sa première cuite à Dominique de Villepin. En effet, Il est en 1997, alors secrétaire général de l’Elysée à la suite d’Hubert Védrine [Mr réarmez – les], l’un des artisans du retour sanglant de Sassou Nguesso par un coup d’Etat qui a fait plus de 400.000 morts. C’est au pays de son ami le tyran Denis Sassou Nguesso, que Dominique de Villepin a conduit une délégation composée des anciens parlementaires Michel Terrot et François Loncle. Ainsi donc, curieuse coïncidence, au moment où le peuple congolais ose à nouveau être en quête de liberté et de démocratie, « Tintin » Dominique de Villepin colonialiste et paternaliste tente désespérément de sauver « Coco » Sassou Nguesso, fantoche rempart contre un péril anglo-saxon imaginaire.
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LE DISCOURS INCOHÉRENT D’UN ROI MAUDIT
Pourtant, dans un discours très curieux, celui qui n’a plus aucune fonction, ni aucun mandat, parle des discussions qu’il a eues avec ses amis parlementaires sur les relations bilatérales entre la France et le Congo. Au nom de qui et de quoi ce Bardamu aux longues jambes, engage t-il la France ?
Pourtant, Dominique le Roi Maudit ignore même la raison réelle de son séjour au pays du “nguiri” [sac de pétro CFA]. De sorte qu’il évoque le discours de Brazzaville de 1944 à la place du manifeste de 1940. Cet anniversaire commémore le résultat du soulèvement gaulliste de Brazzaville sous l’instigation du gouverneur Félix Eboué. C’est ce ralliement décisif de l’AEF qui apporte au Général De Gaulle une crédibilité à Londres. La Fondation Charles de Gaulle que nous avons contactée s’est totalement désolidarisée de cette initiative incongrue.
UN SILENCE NOMMÉ NGUIRI
Du reste, il est curieux de constater que les leçons du gaullisme s’arrêtent à la porte d’embarquement de Roissy. Comment peut-on célébrer la France libre dans Brazzaville occupée et terrorisée ? En fin de compte, si ce n’est par cynisme, c’est par racisme que l’Homme du Non à la guerre en Irak s’est transformé en Homme du silence sur la guerre dans le Pool.
Evidemment, il est intéressant de constater que cette escapade morbide se passe au moment de l’élection du président des Républicains. Le « Gaulliste » Dominique Villepin serait-il en quête des fonds pour son machin « République Solidaire » ? Cherche t-il à peser sur le patron de la « droite sociale » Laurent Wauquiez ?
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VERS UNE NOUVELLE SAISON AU CONGO
Au fond, la révolution du Bassin du Congo est un processus inéluctable et imminent et nous disons à la manière de Jacques de Molay : « Dominique De Villepin ! Michel Terrot ! François Loncle ! Bertrand Cochery ! Avant un an, je vous cite à paraître au tribunal International de Brazzaville pour y recevoir votre juste châtiment ! Maudits ! Maudits ! Soyez Tous maudits jusqu’à la treizième génération ! »
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La question qu’il faut se poser c’est pourquoi et comment pouvons nous faire pour que ces affaires sortent au grand jour et éclaboussent tous les protagonistes véreux concernés.
Au temps de l’internet et de la médiatisation immédiate pourquoi tout ceci reste encore trop confiné dans le milieu trop restreint Congo/congolais ce qui n’a aucun effet de nuisance sur tous ces profiteurs nuisibles.
Combien coûte l’organisation de ces festivités au trésor publiques ? Alors que cet argent aurait servi au CHU pour sauver des vies humaines . Sassou fait du sabotage avec l’argent publiques,car souvenons nous de l’aller et retour de Sarkosy à Brazzaville ça coûté trois cent milles euros . On se demande si il y’a une opposition dans ce pays ? Parfait kolélas , Tsaty Mabiala députés à l’assemblée de sassou se taisent pour pas perdre leurs part du cadeau . Honte à certains abroutis qui soutiennent encore ces idiots .
Aux Congolais.Tant que les armes ne seront pas prises pour chasser du Congo la France ,Mr Sassou et son clan.Il n’ y aura no paix,ni quietude moins encore le progress.Les esclaves qui attendent que leur les libere.Peine perdue.
Faire l’apologie de la dictature et jouer les idiots utiles , au bénéfice d’un roi presque nu , c’est se dénier en tant qu’homme tout court , et même temps un déni de réalité de la politique criminelle qui sévit au CONGO DE SASSOU .
Une honte , pour cette poubelle de français , qui ne peuvent VIVRE que sur la misère des peuples du sud , notamment celui du CONGO .
Qu’y avait il de si important , au CONGO pour organiser un spectacle désolant , digne de pieds nickélés ??
Pourquoi cette délégation des parlementaires français au CONGO , au moment où , LE FMI commence à serrer la bride sur le cou de SASSOU en vue son étouffement ???.
Les franc maçons français , sont une dernière racaille sur terre .
Ainsi ,les congolais de BRAZZA n’ont droit à rien .
C’est TRISTE ………………..
LES POLITICIENS français incoercibles sur la question de l’indépendance économique des Etats colonisés , fabriquent de façon inconsciente , une génération d’africains rebelles sinon terroristes aux intérêts français sur ces colonies déjà en retard de démocratie .
Comment expliquer ce panurgisme touristique organisé par DOMINIQUE composé des parlementaires français , dont la moralité est proche de zéro ???.
On l’aurait compris , pour un français lambda , cherchant mercantilement à fouiner au CONGO , mais , venant d’un groupuscule des gens censés avoir la connaissance parfaite des situations conflictuelles socio politiques dans lesquelles se débattent les dites colonies , mérite un passage devant la CPI ou les devant les juridictions internationales .
Actuellement , nous congolais , nous déconstruisons le système SASSOU , les français , pour des raisons de corruption , reconstruisent par doses homéopathiques ,le venin de SASSOU qui inhibe le corpus congolais .
ATTENTION ,Une large cotisation est en train se faire sur le dos du CONGO .Selon NGOLO qui ,a pris l’habitude de distiller quelques débris d’infos , SASSOU aurait décidé de réunir les grands argentiers mbochis , pour rassembler une petite somme de 8 milliards de CFA ANTI SANCTIONS DU FMI …..
Dés le mois de NOVEMBRE , plusieurs missi dominici seront ventilés en EUROPE AMERIQUE ET AFRIQUE pour chercher à amadouer la directrice du FMI LAGARDE ET ses collaborateurs dans le but ,d’atténuer les effets de la chicotte fmienne .
DOMINIQUE LE VIDE PAIN , en est la première rampe de lancement , viendront ensuite LUCIEN EBATA et KIKI pour le saupoudrage financier à dimension internationale .
Plus question , d’écouter les arguties tirées de la macro économie , place au médicament congolais c’est à dire , la corruption .
C’est la riposte argentée qui va se substituer aux arguments pâteux des congolais .Pour SASSOU trop discuter , on s’y perd ; mieux VAUT passer à la caisse ….
Eh oui , SASSOU cogne inlassablement , sur le CONGO , jusqu’à ce que mort s’ensuive .
Même NGOLO aurait semble t il eu pitié pour notre pays , car il ne comprend plus l’acharnement de SASSOU sur ce CONGO cadavérique qui ne demande que son enterrement ;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;
Tel un étranger , et encore ,SASSOU sans remords , imagine des scénarii épouvantables dans le seul but de conserver le pouvoir chaloupant ;;;; .
Tout y passe , avec le concours de ses affidés ,SASSOU exécute avec minutie le plan architectural de la destruction systémique du CONGO en 3D ….
TEL UN LOIN s’acharnant sur sa proie déjà désossée ;;;;.
Que faire face aux armes argentées du clan au pouvoir? Quel antidote aux nguiris, qui reste l’arme fatale du clan au pouvoir. Il nous faut absolument trouver un antidote aux nguiris, car les moundélés adorent les armes argentées venues des tropiques.
@ VAL DE NANTES,
NGOLO est l’unique membre du clan à avoir reconnu sur TELE CONGO que SASSOU avait perdu l’élection présidentielle à Pointe Noire. Il faut donc prendre au sérieux ce que dit ce Ngollo. Pour aller un peu plus loin, il faut dire que c’est l’homme du pouvoir qu’il faut utiliser comme ingredient pour la chute du tyran Sassou.
La visite de Villepin s’inscrit dans la mal-gouvernance des pays africains. Je viens de publier un papier sur Blastingnews qui permet d’expliquer pourquoi les blancs aiment bien nos dirigeants africains et pourquoi ils s’amusent avec l’Afrique. Thaler explique pourquoi les dirigeants africains n’aiment pas leurs pays.
Thaler, prix Nobel d’économie 2017, et l’Afrique francophone mal gouvernée
Peut-on s’inspirer des travaux du prix Nobel d’économie 2017 pour expliquer la mal-gouvernance en Afrique ?
Tous les Etats francophones d’#Afrique sont peu ou prou confrontés à des problèmes de mauvaise gestion budgétaire et de mal-gouvernance liés à une absence de lisibilité de leur politique économique. Pour une fois l’économie vient au secours du politique pour expliquer des faits conscients et rationnels qui appartiennent à la psychologie plutôt qu’à la rationalité économique. La plupart des chefs d’Etat en Afrique centrale francophone impute cette #Mauvaise gouvernance à la baisse du prix du baril de pétrole et l’absence de diversification de leur économie. La réalité est tout autre car la mal-gouvernance et la mauvaise gestion budgétaire sont des faits conscients et volontaires qui font intervenir l’humain dans la pratique de la finance comportementale. Pour #Richard Thaler, l’être humain choisit volontairement le court-terme car il a une aversion pour le temps long.
Les travaux de Thaler sont intéressants et dans la lignée de ceux de Kahneman, prix Nobel 2002, et de Schiller, prix Nobel 2013, car ils expliquent pourquoi la plupart des individus, dans lesquels on peut classer les dirigeants africains, possèdent une comptabilité mentale pour expliquer leurs choix et leurs décisions.
L’absence de culture économique de la part des dirigeants africains est compensée par une motivation psychologique au moment de la prise de décision
« Gouverner c’est prévoir » résume le principe de la bonne gouvernance. En Afrique francophone, ce n’est pas le cas car les notions de Nation et d’Etat sont floues, voire illisibles. Thaler introduit deux concepts, celui du chef d’Etat planerself qui fait des vœux au moment des fêtes de l’indépendance et qui ne sont jamais réalisés (accès à l’eau pour tous, réforme des systèmes éducatif et de santé, diversification de l’économie) et celui du chef d’Etat doerself qui agit à court-terme et succombe à toutes les tentations (gaspillage des ressources financières, corruption, pillage éhonté des pans entiers de l’économie au service d’une clientèle politique ou familiale).
Pour Thaler, l’inculture économique de l’individu n’est pas à mettre en cause, ce qui est important c’est son comportement humain, trop humain, qui vise à privilégier son bien-être par rapport à celui de la Nation toute entière. Thaler montre aussi que la charge émotionnelle qui structure les choix économiques et les décisions des individus, est fondamentale. On peut ainsi pousser le raisonnement jusqu’à expliquer le comportement de certains dirigeants en Afrique francophone instruits de culture française au sein de laquelle l’arbitrage entre l’émotion et la raison valorise le premier aspect (émotion). Certains chefs d’Etat en Afrique francophone valorisent plus la stratégie inductive et émotionnelle que la matérialité des faits. Au nom de l’aversion pour la dépossession des ressources financières, les fonds pour les générations futures au Congo, au Tchad ont été utilisés sans que l’on sache comment, pourquoi. Thaler esquisse une réponse : au nom de la préférence pour le temps présent.
Peut-on aider les gouvernants africains francophones à faire des choix budgétaires crédibles et à entreprendre des politiques publiques efficientes ?
Pour le Prix Nobel Richard Thaler, tous les éléments matériels sont importants mais insuffisants car il préfère mettre l’accent sur le rôle du cerveau humain dans les choix à minima de l’individu. Il explique qu’il faut renverser l’arbitrage entre le planerself et le doerself. Le doerself doit être neutralisé par le planerself. Pour cela, les gouvernants africains doivent reconstruire leur identité dans un collectif qui dépasse les limites du cadre familial et du clanisme politique. C’est une question centrale car évidente pour nous tous, mais difficile à mettre en œuvre surtout dans les pays francophones au sein desquels les instruments d’équilibre, de pouvoir sont certes existants, mais imparfaits car, dans tous les cas, c’est le pouvoir exécutif et le chef de l’Etat qui l’emportent toujours. Que faire ? Réfléchir à un mode de gouvernance politique pour lequel les Africains, à travers les expériences historiques des autres, doivent être capables d’en construire un ou plusieurs, de les faire fonctionner pour exister non pas à travers les autres mais à côté des autres. Les travaux de Thaler sur la psychologie et l’expérimentation (cliométrie) sont intéressants et le concept de « nudging » qu’il développe (« tendre vers » en Français) doivent nous permettre d’améliorer nos décisions concernant la santé, l’éducation et le partage des richesses. Thaler sera-t-il entendu, compris et médité ?
La présence des Villepin et autres ne permettra pas au FMI de balayer toute la mal gouvernance financière du Congo. Ce n’est que l’écume des jours. Ces gens-là ne représentent ni le gouvernement français ni l’assemblée nationale ou le Sénat français. C’est une bande de « has-been » qui ne représentent qu’eux-mêmes. En quoi Villepin est-il plus compétent ou plus populaire que Strauss-Kahn ? En quoi Villepin est-il plus influent que Le Drian qui a échoué à faire avaler la couleuvre Sassou à Macron ? Villepin et tous ceux qui l’accompagnent ne changeront rien à la mise en quarantaine du Dictateur par les hommes influents de ce monde, de Trump à Macron en passant par Merkel et tous les autres Dirigeants européens. Pendant que le Président égyptien est reçu en fanfare à l’Elysée, le représentant de l’UA pour la crise libyenne n’a même pas été convié à une seule réunion sur le sujet. Il est devenu une quantité négligeable, ce qu’il a toujours été en réalité s’il n’avait dilapidé des milliards pour quémander une place au sein de cette communauté internationale. Il faut savoir que tous les experts, consultants, observateurs d’élections et autres dépêchés auprès des dirigeants africains n’y vont que pour s’enrichir ou se faire un magot pour le restant de leur vie. Ceci dit, nous montrons par nos réactions que les Français ont raison de nous infantiliser parce que notre lâcheté le prouve chaque fois qu’un de ces mendiants se présentent au Congo. Ceci prouve à satiété que nous ne sommes pas mûrs pour la démocratie parce que nous laissons le soin de conquérir notre liberté à des acteurs extérieurs alors que nous sommes les premiers concernés. Il est temps de dépasser ce complexe du décolonisé que nous traînons depuis plus de 50 ans. Que dirait un Nigérian si un un homme politique britannique se présentait à Abuja ? Rien, un simple voyageur qui n’a aucune influence sur la politique intérieure du pays. Jusqu’à preuve du contraire, que j’attends toujours, ce n’est pas là France qui nous empêche de manifester quand les salaires, les pensions ne sont pas versées pendant des mois. Ce n’est pas non plus la France qui nous empêche de réagir quand les hôpitaux sont fermés. Ce n’est toujours pas la France qui bloque la route de Kinkala pour une marche de protestation contre le génocide dans le Pool. Non, en réalité, c’est notre manque de solidarité, de courage et les prisons de la peur dans lesquelles nous a enfermés Sassou qui nous font nous décharger sur la France. Quand les Vietnamiens et les Algériens ont voulu mettre la France dehors, ils l’ont fait et sont devenues des nations réellement souveraines. Un vieux sage ne disait-il pas que « Si l’on veut noyer son chien, on dit qu’il a la rage », n’est’ce pas, chers compatriotes ?
@ PAMBOU , VALIDATION DONC , archivez , enfin , comme quoi , il ne faut jamais enterrer un intellectuel avec un bouquin , au risque de le ressusciter ;;;.
Nous y sommes .
Bonne analyse cher David. Quand nous cesserons d’accuser l’exterieur pour expliquer nos echecs et nos lachetes, alors nous aurons fait un grand pas vers la liberte…
L’Afrique , et notamment le CONGO ne veut plus des élections au rabais , dont les résultats seraient déjà pipés , par des cohortes des voyous politiques .
Une réévaluation de nos institutions s’avère capitale ,pour enraciner les fondamentaux de la démocratie dans notre pays .
Un pays qui s’est transformé en lieu de corruption internationale ne peut inspirer respect .DOMINIQUE LE VIDE PAIN , en a profité , pour en tirer le meilleur bénéfice financier , tant nos institutions sont anesthésiées par des pratiques d’un autre âge .
dominique de villepin ancien ministre fr des affaires etrangeres nest ni roi ni un maudit
David Londi .Bravo pour l’éclérage pour ton intervention du 23/10/2017 à 21:43 dans Congo Liberty, en réponses à des prises de position cotracdictoires et sans fondements succidé par l’ INTERVIEW DE ROBERT POATY-PANGOU : La corruptrice Antoinette Sassou-NGuesso et ses origines douteuses » David Londi resume la vérité profonde que chacun doit comprendre. Nous les Congolais sommes le plus souvent nous sommes très drôles. Pour ne pas dire idiots. Nous savons reconnaitre et analyser la vérité. Nous ne savons pas aller droit au but. Nous n’avons pas de détermination. Une chose à reconnaitre est que l’ obstacle du développement du Congo, les malheurs actuels du Congo s’est avant tout le dictateur, tyran génocidaire Sassou Nguesso. Sassou Nguesso et sa clique. Quand quelqu’ un tue une personne, il est déjà un assassin traqué par les gens, la justice. Or Sassou Nguesso en dehors des crimes économiques, sociaux est quelqu’un qui commencé à assassinés des très nombreuses personnes depuis le début des années 1970; en passant par les assassinnats des présidents, Ngouabi, Massambat Débat, du cardinal Biayenda, sans oublier les massacres, génocides, guerres de 1997, du Pool en 1998- 2003, les disparus du Beach, d’Anga, de Ntsourou etc. Pourquoi se lancer encore à des analyses, aux discussions sans fondement qui nous écartent du but, de la lutte que nous avons sans repris. Notre ojectif qu’il ne faut pas du tout perdre de vue est celui d’arriver à mettre en prison Sassou Nguesso et sa clique. Il faut que le peuple arrive à neutraliser la dictature, Sassou Nguesso. Il faut éliminer le systéme maccabres Sassou Nguesso hors d’état de nuire tout en nous organisons pour la mise en place d# Un pouvoir réelement democratique et vers le progrès sur le plan humain et social.
Permettez moi de reprendre ici la brève analyse de David Londi que je trouve lucide , clare comme l’eau de source.
« Le drame des congolais réside dans le fait d’analyser la situation politique qui prévaut actuellement au pays par petits morceaux sans chercher à les inscrire dans un continuum. Il n’y a pas de génération spontanée en sciences et a fortiori en politique. Comment voir l’horloge sans penser à l’horloger ? Comment penser au chaos politique, économique et social sans penser au système mis en place par le trio Ngouabi, Yhombi et Sassou cornaqué par Noumazalaye ? Comment expliquer l’opposition féroce entre Lissouba et Noumazalaye, sur le dos de Massamba-Débat, dans les années 60 ? Se poser ce genre de questions revient à plonger dans les origines des contradictions et des malheurs qui gangrènent notre pays. Cette lutte sourde entre ces deux personnalités ne peut se comprendre qu’à l’aune de la lutte farouche dans l’unique et seul but de s’accaparer le pouvoir et le conserver, même dans les pires conditions. L’option Noumazalaye l’a remporté en favorisant l’installation du trio au pouvoir. Noumazalaye avait fait le constat qu’avec les outils d’expression démocratique habituels comme le suffrage universel les originaires de la partie septentrionale du pays ne pouvaient accéder au pouvoir et le garder durablement parce que démographiquement inférieurs, le niveau de maturité politique du peuple ne permettant pas de dépasser le vote éthno-centré.
Quelle solution ? Mettre en place un système politique contournant le suffrage universel, le socialisme scientifique. Dans ce système, le parti dirige l’État. En effet, il est plus facile de noyauter le parti et en faire un instrument de conservation du pouvoir que d’éduquer le peuple. Dès 1970, le parti congolais du travail voit le jour avec pour leurres quelques protagonistes du sud comme Ndalla Graille et Mberi Martin qui n’y feront pas de vieux os quand le système de cooptation prendra le pas sur les procédures de nomination au bureau central du parti d’où est élu le président. Les Sassou et les Ondjele feront la loi, les revanchards comme les appelait Sassou. Dès lors commenceront les assassinats politiques au Congo avec Sassou à la sécurité dans un premier temps. Jugez-en, vous-mêmes. Dès 1970, coup d’état de Kinganga. Cet événement va entraîner la mort d’une trentaine de nos compatriotes sans jugement aucun sous l’instigation de Sassou qui force la main à Ngouabi. A partir de cette date va démarrer une épuration ethnique au sein de l’armée et de l’administration. Ce phénomène prend une ampleur telle qu’un mouvement interéthnique en dénonce les effets néfastes, le M22 de Diawara, Okoko et bien d’autres, sous l’appellation « OBUMITRI » (Oligarchie Bureaucratique Militaro Tribaliste). Profitant de cette occasion, Sassou va forcer la main de Ngouabi pour les exterminer une quarantaine de nos compatriotes sans jugement, aucun. Sassou est toujours à la sécurité, un véritable Hoover congolais, connaissant tous les coins et recoins de la politique congolaise et des hommes qui l’a font. Sentant son heure venue et après avoir placé ses hommes dans les postes les plus stratégiques, en 197, il va faire d’une pierre deux coups. Il va assassiner Ngouabi et tous les opposants potentiels et, pour lancer un avertissement au clergé, il ira jusqu’à assassiner le plus gradé d’entre ses représentants, le cardinal. Le chef de l’État assassiné, le chef du clergé éliminé, ll ne reste plus qu’un Yhombi qu’il a soigneusement déshabillé qu’il va écarter, deux ans plus tard sans coup férir, en 1979, à l’époque il est 1er vice-président coordinateur des activités du Parti et ministre de la Défense. Après une décennie de règne, en 1989, il assassine Pierre Anga et bombarde toute la localité d’Ikongono et les villages autour, un génocide puisqu’il tue les gens pire ce qu’ils sont et non pour ce qu’ils font.
Ayant expérimenté l’échec aux élections vraiment libres de mars-août 1992, il reviendra en 1997 après avoir exterminé les partisans de Yhombi, le 10 mai à Owando, pour entrer dans une guerre qui prendra fin en 2002 et qui va tuer le 10ème de la population congolaise (400.000 victimes). Il affirme, dans le rapport Mouebara d’Opinion internationale que la violence fait partie intégrante des outils à mettre en oeuvre pour conserver le pouvoir. Il va récidiver de 2015 à 2017. Sassou est un « profito-situationniste » invétéré, il exploite des situations qu’il crée pour instaurer une situation de violence qui lui permet de régner et pour cela, il a besoin d’épouvantails ou des hommes derrière lesquels il s’abrite : les coups d’état, les kolelas, les Tsaty, les Ntumi (Ntumi 1), le clergé, etc. pour se parer des habits des démocrate. Mais tous ses crimes viennent sûrement le hanter la nuit pour avoir eu le fameux projet de changement de la constitution qui lui a permis de changer les articles 10 et 11 de l’ancienne constitution pour les remplacer par les 10 et 96 de la nouvelle avec pour objectif double : rester au pouvoir et impuni des crimes commis. Ce faisant Sassou reconnaît officiellement qu’il a commis tous ces crimes. Ne dit-on pas « Qui s’excuse, s’accuse » ? Le seul élément constant dans tous ces pogroms depuis 1970, c’est Sassou, le reste n’est que l’écume des jours. Nous sommes donc dans une dictature autocratique sanglante et dans ce contexte, les analyses politiques aussi pointues soient-elles ne servent à rien parce que nous avons les diagnostics. Ce sont les analyses qui précèdent les diagnostics et non l’inverse. Tous les gens sensés conviendront qu’après le diagnostic vient le plan d’action ou la thérapie. Nous y sommes. Je terminerai par « Actions speak louder than voice ».
Merci, frère A.D.
Lucien Pambou,
La personne interrogée dans l’article ci-dessous fait-elle partie de ceux que tu appeles les NAZE et autres qui n’aiment pas leur pays?
Je vous pose cette question parce que l’interviewé dans cet article NIE que les dirigeants du congo n’ont pas menti alors que tout le monde et le FMI en tête disent le contraire. Par ailleurs, vous qui pensez que les intellectuels de la diaspora sont des incapables, que pensez-vous des propos de l’interviewé par rapport au budget? Est-Il un connaisseur ou simplement fait-il aussi partie de ceux et celles que vous qualifiez des NAZES incapables que nous sommes?
»
Interview : Lucien Pambou : « Le Congo n’a pas menti »
Mardi 22 Août 2017 – 18:30
Lors de son adresse à la nation à l’occasion de la fête nationale, le président a reconnu que le Congo faisait face à des difficultés économiques « réelles » et « préoccupantes ». Le Congo est en cours de négociation avec le FMI pour mettre en place un plan d’ajustement structurel. Selon l’institution de Bretton Woods, le pays lui aurait caché une partie de sa dette publique. L’économiste congolais Lucien Pambou fait le point pour Les Dépêches de Brazzaville.
Les Dépêches de Brazzaville : le FMI a affirmé que le Congo aurait caché l’ampleur de sa dette. Et l’on entend dire beaucoup de choses sur la toile. Qu’en est-il exactement ?
Lucien Pambou : Le Congo n’a pas déclaré tous les éléments qui permettent de décrire l’ampleur et l’importance de sa dette extérieure. Il ne s’agit pas d’un mensonge mais d’un mode de calcul qui ne retient pas un certain nombre d’éléments de la dette, comme une partie des emprunts gagés sur le pétrole.
De plus, on peut penser aussi que le Congo n’a pas intégré dans sa comptabilité le solde primaire du budget et les charges financières relatifs au paiement de sa dette extérieure. Il faut savoir que les critères du Fonds monétaire (dette/PIB = 40%, dans la zone CEMAC dette/PIB = 70%) sont très exigeants et le Congo avec 77% était largement au-dessus pour le FMI comme pour la zone CEMAC, donc il y a eu une correction qui a permis de rétablir la vérité des chiffres (soit 117% du PIB).
LDB : Si cela est avéré avec un taux de 117% de son PIB. Comment le Congo se situe-t-il par rapport à d’autres États
LP : La plupart des pays de la zone CEMAC (Gabon, Tchad, Congo, Guinée équatoriale) se trouve confrontée à des taux d’endettement élevés, ce qui permet au Congo d’être dans la zone grise de ces pays endettés de l’Afrique centrale. Ceci a des conséquences importantes pour les finances publiques et l’économie. La baisse du prix du pétrole n’est pas le seul critère d’assèchement des devises, il y a aussi la mauvaise gouvernance et la mauvaise gestion des ministères et un recours systématique à l’endettement comme facteur de financement à moyen et long terme.
LDB : Tous les États sont endettés aujourd’hui, même des grandes puissances comme les Etats-Unis. Quand peut-on dire que l’endettement d’un État est problématique ?
LP : Les Etats-Unis constituent la première puissance endettée au monde, surtout vis-à-vis de la Chine. L’endettement en soi n’est pas un problème car c’est un moyen de trouver des financements à l’extérieur pour le développement des infrastructures économiques et sociales. En revanche, l’endettement est une contrainte forte et problématique dès lors que le taux d’intérêt qui structure la charge de remboursement de la dette est supérieur au taux de croissance de l’économie. La baisse des recettes pétrolières, minières ou agricoles n’améliore pas les conditions de remboursement. C’est le cas du Congo et de certains pays de la zone CEMAC.
Pour les Etats-Unis, ce n’est pas un problème car c’est la première puissance économique du monde, tant sur le plan financier que sur le plan militaire. Les Etat-Unis constituent le premier marché mondial en termes de liquidités et de potentialité économique, à la différence du Congo qui est un tout petit pays à revenus intermédiaires et qui a beaucoup de mal à présenter une carte économique et structurelle viable à long terme. Le Congo peut s’endetter à condition de rembourser, ce qui ne semble pas être le cas actuellement.
LDB : Certains congolais, qui ont gardé un souvenir amer des plans d’ajustement structurels, remettent en cause la pertinence d’une intervention du FMI. Quelle autre alternative aurait pu s’ouvrir au Congo ? En quoi le FMI peut aider le pays à se remettre sur pied ?
LP : Il y a le pragmatisme économique de court et moyen termes qui nécessite l’accord du Fonds monétaire qui a été sollicité par Paris qui est la gardienne des réserves congolaises et des pays de la zone Franc Cémac et de la zone Franc UEMOA. Il y a un discours politique dominé par le bavardage qui refuse l’aide du Fonds monétaire pour que le Congo s’effondre et que le président Sassou N’Guesso quitte le pouvoir. C’est le discours d’une partie de l’opposition au Congo et de la diaspora en France. Avec l’assèchement des devises dans la zone Cémac, la France a demandé l’intervention du Fonds monétaire comme cela a été fait avec succès en termes d’apports financiers pour le Gabon et bientôt le Tchad. À court et moyen termes, il n’y a pas d’autres alternatives et il ne faut pas espérer un retour de la hausse du prix du baril de pétrole. À long terme, il faut que le Congo réfléchisse de façon méthodique à travers une conférence économique et budgétaire articulée autour de la diversification sur les chantiers à entreprendre en priorité.
LDB : Quels seraient ces chantiers ?
LP : L’agriculture c’est bien, encore faut-il résoudre les problématiques liées aux conditions de transfert de technologie, de formation des personnels, de valorisation des filières, etc. Le Fonds monétaire ne peut qu’apporter des fonds à court terme avec ses solutions extravagantes et difficiles (réduction des salaires, réduction des importations, privatisation de certains secteurs de l’économie, exportations et dans les cas extrêmes dévaluation du Franc CFA, restructuration du secteur public). Il faut pour cela des Congolais informés et formés pour conduire ces réformes difficiles et actives. Quelle autre alternative aurait pu s’ouvrir au Congo ? Une course effrénée et sans retour vers l’endettement extérieur ? Impossible car sur les marchés internationaux les pays et les investisseurs privés refusent de prêter de l’argent au Congo.
LDB : Le chef de l’Etat n’a pas caché les difficultés présentes du Congo, qui frappent aussi les autres pays producteurs de pétrole. Quelles réformes entreprendre pour retrouver le chemin de la croissance ?
LP : Après le Fonds monétaire international et ses recommandations, le Congo doit :
organiser de toute urgence une conférence économique et budgétaire pour appliquer les décisions du Fonds monétaire en favorisant la diversification de l’économie avec toutes les contraintes et problématiques afférentes ;
modifier le fonctionnement et l’utilisation du budget en séparant le budget primaire finançable par le Trésor et les différentes régies financières et le budget global plus axé sur l’endettement extérieur ;
créer un fonds de réserve budgétaire qui serait abondé par une taxe prélevée sur chaque exportation congolaise de matières premières (pétrolières, agricoles, minières) ;
évaluer le contrôle et l’utilisation des ressources budgétaires de chaque ministère de façon annuelle afin de faire le point de façon systématique entre l’évolution du solde primaire du budget intérieur et la partie afférente à l’endettement extérieur.
Propos recueillis par Rose-Marie Bouboutou
Légendes et crédits photo :
Photo 1 : Lucien Pambou, diplômé de Sciences Po Paris et de Paris Dauphine, chargé de l’enseignement en économie et finances à l’Université Paris XIII Villetaneuse
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@yaya PAMBOU au secours , nous sommes gagés par KIKI ….
LE CONGO est sursurgagé sur plusieurs générations , KIKI VEND du pétrole fictif , non produit en empochant AU PASSAGE des milliards de CFA stockés dans les paradis fiscaux ;;;;;;;;;;;;;;;;;;;
Un puit peut être vendu à 3 voire à 5 traders , alors que ce pauvre puit est déjà gagé sur plusieurs années ;;;.
EH OUI , DU KIKI le fils à pétrole ,et la SNPC ne brasse que du vent ;;d’où la dette mystérieuse qui hante tout le pays ;;;;;;;;;;;;;;;
Malin ce KIKI il prend sa part en amont avec des traders , s’il vend un puit gagé à 5 traders pour un montant 750 mille euros et multiplié ce montant à 5 traders , vous avez le montant total de ce pauvre puit .
Maintenant imaginez qu’il vende 10 puits , avec cette technique , vous arriverez à plusieurs milliards de CFA placés au chaud dans les paradis fiscaux .
Résultat des traders trompés , qui cherchent à tout prix à récupérer leur capital plus intérêts , ce qui donne tranquillement au CONGO , un endettement extérieur à crever le plafond ;;;
Et c ‘est du KIKI , assurance à vie contre la pauvreté familiale .
KIKI LE DONALD TRUMP DU CONGO ………………
KIKI DEVIENT LE CONGOLAIS LE PLUS RICHE ;;;;;
QUI A VU ISABEL DOS SANTOS FILLE pétrolifère de DOS SANTOS A VU KIKI …………….
Tout est gagé , il n’ y a rien à faire .
La nouvelle trouvaille , ce sont les terres arabes , et pardon , arables de tous les départements du CONGO ……….à louer et pardon à gager sur plusieurs années .
ALORS le CONGO est il vendu oui ou non ?????