Pour la majorité des intellectuels et autres érudits de l’Afrique de culture française, il est impossible d’établir un lien entre un dictateur et sa volonté de promouvoir la réussite économique de son pays. Il faut une démocratie qui fait appel à toutes les joutes politiques en lieu et place d’un dictateur éclairé. Avant de revenir sur le cas de Paul Kagame au Rwanda, on peut constater que les dictateurs en Corée du Sud et dans la cité-territoire de Singapour ont réussi à promouvoir un développement économique selon les canons de développement du modèle capitaliste occidental. Les reportages concernant la Corée du sud et Singapour émerveillent la plupart des dictateurs africains qui, par leur conception du pouvoir, se rapprochent beaucoup plus de l’autocrate nord-coréen Kim Jong 1.
Les prolégomènes du débat ainsi posés, il faut donc s’interroger sur les concepts de dictature politique et de réussite économique. Selon les canons universels de débat, la dictature politique implique le rejet de la démocratie politique fondée sur l’alternance, la suppression de tous les actes politiques et sociaux de liberté (le vote pour les élections libres hors périmètres de fraude, la liberté d’expression écrite et parlée, les institutions qui jouent leur rôle de pouvoir et de contre-pouvoir). La réussite économique, selon les critères occidentaux, implique le respect d’un minimum de critères: l’accès à l’eau, l’électrification intégrale du pays, la prise en compte des ressources humaines sur le critère de la compétence, l’organisation des conditions de production agricole intensive, industrielle et des services, la valorisation d’un système de santé et d’éducation, la construction des infrastructures et la mise en place d’une gestion pérenne des ressources économiques à long terme au service des populations du pays. Ces critères ne sont pas exhaustifs mais donnent un angle de compréhension de ce que nous allons essayer de démontrer concernant le cas de Paul Kagame au Rwanda.
Paul Kagame est-il devenu dictateur ou l’a-t-il toujours été ?
Le Rwanda est un petit pays de 12 millions d’habitants qui se développe à grande vitesse depuis la fin du génocide qui l’a rendu tristement célèbre en 1994. 800 000 Rwandais sont morts et on y trouve en majorité des Tutsis. Les Hutus ont aussi payé pour ce génocide massif qui a désorganisé le Rwanda. A la tête du FPR (Front patriotique rwandais, mouvement de libération à majorité tutsie, créé en Ouganda, en 1987-1988 par les exilés tutsis de la première et de la deuxième république du Rwanda), Paul Kagame, grâce à l’Ouganda anglophone, a organisé les conditions de la conquête du pouvoir en chassant les caciques du pouvoir rwandais représenté en majorité par les Hutus. L’assassinat du Président rwandais hutu, Juvénal Habyarimana, à la suite d’un missile lancé contre son avion (attentat du 6 avril 1994), a entraîné aussi la mort du président du Burundi, Cyprien Ntaryamira. En rétablissant la paix dans son pays grâce aux gacacas (prononcés gatchachas, système coutumier de justice chargé de dire le droit et la réconciliation et dans le même temps de juger les tortionnaires reconnus), Paul Kagame aura la rancune tenace vis à vis de la France et surtout de son Ministre des Affaires étrangères, Alain Juppé, sous la direction du gouvernement français de cohabitation en 1993 dirigé par Edouard Balladur qui, en complicité avec le Président Mitterrand, ont toujours soutenu les Hutus. C’est un point de l’histoire qui est très important. De nombreux débats ont eu lieu sur les responsabilités réciproques des dirigeants hutus, tutsis et français dans l’occurrence du génocide.
La victoire politique et militaire de Kagame lui a permis de reconstruire les institutions à sa main, avec un mot d’ordre : réconciliation, justice et stabilité politique. De nombreux opposants ont été emprisonnés, une partie de la presse à dominante hutu a été réduite au silence, voire s’est exilée dans les pays voisins. Kagame a réussi à reconfigurer son pays et créer les conditions du redémarrage économique. Kagame est-il un dictateur ? Je laisse aux lecteurs le choix décisif de le dire. Pour ma part, c’est un dictateur éclairé qui a tenu compte du contexte politique de son pays qui a créé les conditions de sa pacification relative en ouvrant un agenda nouveau pour le développement économique en rassemblant tutsis et hutus. A-t-il réussi ? Aucune réussite n’est totale dans le domaine politique, néanmoins s’est posé un problème : celui de la prolongation de son mandat politique. Une réforme constitutionnelle a été menée et il a été élu pour un troisième mandat de 7 ans avec 98,6 % des voix. Certains diront que c’est un résultat digne d’un régime à la soviétique. Certes, mais Kagame est un modèle unique de dictateur éclairé. Son modèle n’est pas réplicable au Gabon, au Tchad, au Congo, en RDC ou au Cameroun pour des raisons liées à l’absence de Présidents éclairés dans ces pays-là, mais aussi liées en partie à la main mise de la France qui, culturellement, préfère ses anciennes colonies dans la misère et tendant la main pour mieux les dominer. La France ne dit rien et accepte les gouvernances tribales au Tchad, au Gabon, au Congo Brazzaville, pays dans lesquels les modèles politiques et de gouvernance sont proches d’un modèle de gouvernance tribale, obséquieuse et non éclairée pour le développement. On préfère les intérêts et les privilèges des membres de son camp au développement économique de son pays.
Kagame et sa vision stratégique pour le Rwanda: réussite économique pour un développement pérenne
Les statistiques de la Banque mondiale montrent qu’entre 2000 et 2015, le taux de croissance de l’économie rwandais a été de 8 % par an en moyenne, une des plus fortes d’Afrique. Ce taux de croissance est le résultat d’un modèle économique articulé autour d’un partenariat public/privé au sein duquel les intérêts rwandais ont été valorisés par rapport aux intérêts privés. Les reportages sur le Rwanda et les voyageurs qui en reviennent, disent tous la même chose : Kigali a profité de l’augmentation du taux de croissance. Sur le plan de l’aménagement du territoire, des maisons et des immeubles émergent, la saleté, qui caractérise certaines villes africaines, est absente au Rwanda. Les parcs sont entretenus et le Rwanda devient le petit Singapour de l’Afrique.
Kagame a mis l’accent sur le développement des ressources humaines et sur l’utilisation de l’innovation comme facteurs de transformation de l’économie. De nombreuses voies goudronnées apparaissent. Le gouvernement fait des efforts pour moderniser la capitale et créer les conditions d’un bon climat pour les affaires ; De nombreux africains sénégalais, camerounais ou maliens migrent vers Kigali pour y trouver des emplois ou y créer des entreprises. Cette expansion économique ne concerne pas uniquement Kigali, la capitale, mais aussi les villages où chaque villageois reçoit des crédits pour développer son lopin de terre. Kagame a mis l’accent sur l’innovation. Des cafés, des commerces high-tech ainsi que des bureaux de haut standing émergent à Kigali et le Président Kagame souhaite créer une Silicon valley en 2018 qui serait la cité de l’innovation irradiée par les nouvelles technologies qui couvrent aujourd’hui à peu près 50 % du territoire.
Kagame inscrit d’emblée son pays et sa population dans une trajectoire de développement. Les autres dirigeants de l’Afrique centrale peuvent-ils imiter Kagame de façon méthodique, en tenant compte des réalités de leurs pays qui sont marqués par le sous-développement, la tribalisation des emplois, des compétences et de l’accès aux fonctions politiques, les déséquilibres du système de santé, d’accès à l’eau et le manque d’emploi ? Oui Kagame est un dictateur éclairé qui travaille pour son pays. C’est un débat que je veux ici et maintenant ouvrir car le rôle de l’intellectuel est d’amorcer ce type de débat sans empathie, sans parti pris et en fondant la démarche sur une neutralité axiologique sur la base des faits.
Certains esprits bien éclairés diront que la neutralité intellectuelle n’existe pas. Ils ont raison, mais à ce moment-là, on devient un intellectuel engagé en politique. Voilà le débat ouvert entre dictature et développement économique.
Lucien PAMBOU
Diffusé le 27 août 2017, par www.congo-liberty.org
Cher grand frère Lucien PAMBOU,
Paul Kagamé est-il un dictateur éclairé pour l’opposition rwandaise ou les populations de la RDC où les rebelles qu’il soutien sèment la désolation et la terreur ?
Peut-on être un dictateur éclairé avec des velléités coloniales en occupant et pillant un pays frère et voisin qu’est la RDC ?
Le mirage économique rwandais sans l’avoir étudié relève de la pure propagande car la réussite économique ne s’explique, ni par ses exportations et encore moins par l’innovation technologique. On ne le dit jamais assez, le Rwanda est l’un des pays les plus pauvres d’Afrique, et vit principalement de l’aide des pays anglo-saxons, dont les principales institutions financières dépendantes , ce qui explique la relative complaisance et bienveillance de ces dernières envers le régime dictatorial de Paul Kagamé qu’ils portent !
La question que les Africains doivent se poser est de savoir si les institutions de nos pays peuvent se passer d’hommes providentiels, en un mot, le Rwanda survivra t-il à Paul Kagamé ? je pense que oui, car personne n’est irremplaçable. Pour preuve Kagamé était bien l’homme fort du FPR, en revanche ,il faut rappeler qu’il été vice président lorsque son mouvement avait renversé le régime de Habyarimana !
Pour terminer, je dirai qu’il ne faut pas opposer le développement ou la réussite économique à la démocratie, car nous devons promouvoir en Afrique les libertés tous azimuts et la modernisation de nos pays. En ce 21e siecle, on ne peut plus promouvoir des théories sur des dictateurs éclairés qui relèvent d’une époque révolue! En revanche, il faut promouvoir des institutions en phase avec les us et coutumes d’un pays, sur la base des fondamentaux et critères universels des droits de l’homme et des libertés.
Néanmoins, il faut reconnaître à Kagamé son patriotisme et nationalisme et d’avoir une vision pour son pays, ce que malheureusement les dictateurs du Congo-Brazzaville, du Tchad n’ont pas comme tu l’as si bien souligné dans ton article.
Lorsqu’on écoute Patrick Mbeko et Charles Onana, on se demande si le Rwanda d’aujourd’hui résistera à un Congo-D. revigoré en pleine possession de ses moyens ? La question que pose m. Biango, sur les sources de revenus du Rwanda est cruciale. D’où viennent les finances du Rwanda hors aide internationale ? Poser cette question, c’est s’interroger sur la pérennité du modèle Rwandais et donc de sa possible transposition hors les murs de ce pays. La puissance du Rwanda dépend t-elle de la faiblesse de la RDC ? Peut-on dissocier la question du Rwanda de celle de la RDC ?
D’une manière générale, je ne cacherai pas sur une dictature éclairée au Congo B. Ce sera toujours mieux que l’actuel régime.
Nous avons besoin des institutions fortes et non des hommes forts. BILL CLITON avait laissé un bilan très positif aux Etats-unis et est parti pourquoi pas cela en Afrique centrale? Sassou quitte toujours après un chaos économique qu’il est toujours responsable. Quel est le bilan du chemin d’avenir c’est bien le renforcement des fortunes individuelles des NGUESSO et courtisans comme NDZOMBO, ONDONGO, AYESSA, BOUYA, GOKANA, ITOUA BRUNO, MVOUBA, OBA Pierre,
Que ferons nous d’eux. Nous ne ferons rien car nous avons laissé MOKOKO que nous avons appelé par des banderoles à revenir au pays nous sauvez. Il pouvait aller en exil mais a voulu nous sauver et quelle est la réaction des Congolais face à son emprisonnement et son empoisonnement encours par JDO?
Nous sommes incapable de nous soulever de manifester, d’arracher notre liberté comme le chantait Bob Marley: get up get up for your wrights !
8- Evolution de la perception internationale du régime rwandais
Le régime rwandais a longtemps bénéficié d’une image très favorable auprès des bailleurs d’aide internationaux. Les incursions de l’armée rwandaise en République démocratique du Congo (alors Zaïre) dans les années qui ont suivi le génocide ont été largement considérées comme des ripostes aux menaces d’agression et de guérilla des responsables hutus du génocide.
Il est apparu par la suite que le Rwanda cherchait à développer une présence dans l’est du Congo pour en exploiter les richesses minières. Ces accusations ont été mieux entendues lorsqu’elles ont été lancées par Laurent-Désiré Kabila, que le pouvoir rwandais avait aidé, avec l’Ouganda, à prendre le pouvoir en 1997.
L’accord de cessez-le-feu signé à Lusaka en juillet 1999 par la RDC, le Zimbabwe, l’Angola, la Namibie d’une part et le Rwanda, l’Ouganda et le Burundi d’autre part pour mettre fin aux guerres du Congo n’a jamais été complètement respecté, malgré le déploiement d’une force des Nations Unies, la MONUC, devenue MONUSCO en 2010. L’est du Congo est toujours en proie à des vagues de violence récurrentes, à des crises humanitaires chroniques et à des violations graves des droits de l’Homme, en particulier des violences sexuelles. Le cycle de violence est entretenu par la présence persistante de groupes armés soutenus notamment par le Rwanda en vue de l’exploitation illégale des ressources minières dans un contexte d’impunité généralisée, d’affrontements ethniques et d’incapacité des forces de sécurité à maintenir l’ordre. L’ingérence du Rwanda, qui appuie le mouvement rebelle M 23, a été condamnée par les États-Unis et de nombreux pays européens (Royaume-Uni, Allemagne, Pays-Bas). Elle l’a également été par le Conseil de sécurité de l’ONU, notamment dans sa résolution 2076 de novembre 2012 qui a fait suite à l’occupation de Goma par le M23 avec l’aide des forces rwandaises.
Globalement, les guerres du Congo, dans lesquelles le régime rwandais porte une lourde responsabilité, ont causé la mort de centaines de milliers de personnes.
Le caractère répressif du régime rwandais a également été dénoncé depuis quelques années. Washington a ainsi condamné le meurtre à Johannesburg, le 31 décembre 2013, de l’ancien chef des services de renseignement extérieur du Rwanda, Patrick Karegeya, devenu un opposant farouche au régime rwandais. Cet assassinat faisait suite à de nombreux autres, notamment celui en 1998 de Seth Sendashonga, ministre de l’Intérieur du premier gouvernement constitué par le FPR après le génocide. Il y a quelques jours, l’Afrique du Sud a expulsé trois « diplomates » rwandais soupçonnés d’être impliqués dans une tentative d’assassinat à l’encontre d’un autre opposant, le général Faustin Kayumba Nyamwasa, ancien chef d’état-major des forces armées rwandaises, membre fondateur du FPR, à qui les autorités sud-africaines ont accordé l’asile politique.
Les opposants au régime qui, à l’intérieur du Rwanda, tentent de participer aux élections ne sont pas épargnés. Victoire Ingabire, qui avait tenté de se présenter à l’élection présidentielle de 2010, a ainsi été condamnée le 13 décembre 2013 à quinze ans de prison ferme. Parmi les chefs d’accusation retenus contre elle, figurait notamment la « minimisation du génocide ». Son procès n’a pas été considéré comme équitable par les organisations de défense des droits de l’Homme.
Amnesty International a pour sa part publié des informations mettant en évidence des cas de détention illégale, de détention au secret, de disparition forcée et de torture au Rwanda.
http://www.mitterrand.org/Rwanda-Intervention-de-Paul-Quiles.html
La réponse est dans la vidéo ci-dessous d’un opposant et ancien premier ministre rwandais ;
« Bruxelles, Faustin Twagiramungu tance Kagame et Kabila »
https://www.youtube.com/embed/pU9q5Oq8osM
Poser et rédiger des pseudos articles plats et fleuves sur des questions et situations dont on connait d’avance les réponses, c’est le travail de diversion que le Sieur Pambou a comme fardeau, pour donner du temps a son sassou.
Article d’une nullité remarquable, empestée du nguessoïsme pure et dure. Perte de temps total pendant que sassou court toujours, décime et enterre le peu qui reste de ce Congo.
Qui d’entre nous tous ne connait depuis comment dégager sassou? Est-ce par des chiffon pareil?
Sorry !!!
KOO’ NGOH
Réponses à Mingwa, à Bulukutu, à Luciana et à Koo’Ngoh
A Koo’Ngoh : il n’y a pas de réponse à faire car on demeure toujours dans l’ordre du discours politique violent et sans intérêt. Donc, circulons au milieu des idées, là où il y a voir.
A Mingwa : bien sûr frangin, tu as raison et même à 150%. Pourquoi avoir écrit cet article alors que les faits sont là, implacables. Face à la connaissance j’ai une attitude humble. Face aux faits politiques, j’essaie de construire une piste de travail modeste. Kagame est un dictateur dit éclairé, il pille les ressources en RDC, il maintient les conditions d’une instabilité à l’est du Congo parce que Kabila est faible. Ceci étant, il essaie d’initier un modèle de développement qui essaie de lier dictature et volonté de travailler pour son pays, même si son clan en profite. Faut-il rejeter le bébé avec l’eau du bain ou essayer de s’inspirer de ce qu’il se passe au Rwanda pour lire la vie politique au Afrique différemment ? Il faut des institutions fortes, encore faut-il que les hommes respectent ces institutions et ne les affaiblissent pas pour leurs intérêts personnels (Tchad, Cameroun, Congo, Gabon). L’être humain est mauvais par essence (comme Koo’Ngoh, je plaisante bien sûr cher Koo’Ngoh). Il peut dans un premier temps accepter des institutions fortes qui le deviennent par la force du temps. Encore faut-il s’entendre sur ce que l’on entend par institutions fortes. Clinton et Obama le disent car ils s’appuient sur une expérience institutionnelle forte de plusieurs siècles aux Etats Unis. Dans les pays anglophones d’Afrique (au Ghana, c’est sûr, un peu moins au Nigéria), on essaie de bâtir ces institutions. Une révélation sous forme d’évidence: dans un monde de coopération et de débat institutionnel dominé par les intérêts, un pays comme la France ne souhaite pas des institutions démocratiques dans ses anciennes colonies. Elle préfère le désordre institutionnel pour mieux préserver ses intérêts. Ce n’est pas le cas de Grande Bretagne qui entretient des relations de maturité politique avec ses anciennes colonies dans le monde. Le débat sur Kagame est une esquisse, une tentative de poser une question qui fâche à haute voix, surtout parmi les intellectuels africains qui n’ont que la maîtrise du verbe, sans issue technique et technologique et encore moins scientifique. Nous pouvons toujours causer, s’indigner, dénoncer le colonialisme ou la domination comme je le fais ici et maintenant vis à vis de la France, sur le plan du développement économique et de la maîtrise des sciences et de la technologie pour l’action, nous sommes nuls, nuls à chier et bavards. Je prends ici les expressions de Koo’Ngoh qui m’inspirent. Je m’arrête là et le débat continue bien sûr.
Merci à Bulukutu et à Luciana pour leurs remarques fort importantes pour l’assise du débat que j’ai initié concernant Kagame et le Rwanda. Je ne suis pas naïf au point de considérer que Kagame au Rwanda est le nirvana.
Lucien PAMBOU en bon chien de garde, refuse toujours publiquement de comprendre et d’accepter que les vraies racines du mal du Congo sont: la malgouvernance permanente, qui plonge dans l’abime le Congo a la faveur d’un pseudo chef d’état très mal élu et à cela s’ajoute un clientélisme social érigé en loi qui fait de la corruption une valeur morale incontournable dont le Sieur PAMBOU se délecte.
Un balaie impitoyable doit passer. Des communications audio et visuelle préparatoires à l’usage de la force sont à mettre en circulation afin de galvaniser le peuple de prendre part au nettoyage obligatoire dont il sera le vrai artisan.
En dehors de cette ligne, le reste n’est que du bla-bla. Perte de temps (à l’image de ce chiffon d’article posté ici).
KOO’ NGOH
Au congo B ce n’est pas une dictature idéologique mais une dictature mafieuse basée sur le profit immédiat de ce clan familiale et de ses suppôts de satan, rien n’est fait pour la population seul compte les bénéfices immédiats et le pillage systématique à grande échelle.
Ce n’est pas de la politique
@ Lucien Pambou
Mon frère Lucien Pambou, une fois de plus, le titre de votre article ne me convaint pas.
Vous dites: REUSSITE ECONOMIQUE AU RWANDA. Croyez vous que le Rwanda a reussi économiquement? Les autres africains sont ils prêts à aller chercher la vie au Rwanda et en finir avec les traversées risquées de la Méditeranée?
Vous posez la question suivante: Le CAS DU RWANDA EST IL EXPORTABLE EN AFRIQUE? Pensez vous que la situation économique au Rwanda est mieux que celle du Maroc, l’Algérie, Le Nigeria…..?
Je sais que le Rwanda est un pays qui est en train de fournir un énorme effort. Seulement, la situation est presentée de manière exagérée dans votre article.
Une autre confirmation de la malleabilité des Africains, toujours prompts à assimiler sans la moindre résistance l’appât, naturellement personne ne se pose des questions sur bruit médiatique quant à l’exploit du Rwanda, on étouffe et etrangle sciemment l’information sur l’origine des fonds qui permettent à Kagame d’être bon élève de la banque mondiale et le FMI , qui étaient incapables de prévoir la catastrophe économique mondiale : Espagne, Italie, Grèce, Portugal, …pourquoi la corruption, l’évasion fiscale, le blanchiment d’argent, la vente de drogue, … sont des délits en Europe, mais en Afrique tout est permis , car personne ne veut mettre à l’ordre du jour le pillage du Rwanda et ses complices en RDC, comment ce pays est-il devenu le premier exportateur de coltan en Afrique? La priorité des médias Européens ne doit pas être celle des états Africains.
« Les autres dirigeants de l’Afrique centrale peuvent-ils imiter Kagame de façon méthodique, en tenant compte des réalités de leurs pays qui sont marqués par le sous-développement, la tribalisation des emplois, des compétences et de l’accès aux fonctions politiques, les déséquilibres du système de santé, d’accès à l’eau et le manque d’emploi ? »
Monsieur pambou laisse entendre dans ce paragraphe que la situation déplorable de notre pays ne serait en fait qu’une réalité à laquelle (notre cher et bien aimé) dictateur sassou devrait faire face alors qu’il en est le premier artisan responsable de ce sous-développement.
Bizarre cette propension à toujours trouver l’excuse alors que la réalité est simple et limpide, nous avons à faire à une bande mafieuse de voleurs et d’assassins qui a mis le pays en coupe réglée pour son seul et unique intérêt.
Point n’est besoin d’analyses quelles soient du réseau ou autre pour comprendre cela.
A Lucien
PAMBOU
Avec tes articles bidons, écrits à la soviétique mon cher , tu vas essaimer des dictateurs.
Que nous ne lisions plus sur ce site et venant de toi que Robert MUGABE est ceci ou cela.Pour toi, rester au pouvoir jusqu’en 2027 est le gage d’une gestion optimisée antérieure. Donc, un cadeau en faveur d’ un dictateur éclairé et indispensable.
Quelle est ton point de vue sur le devenir du Congo et de ton Afrique?
Tu signalais ta présence à Nice.
Viens réfléchir plutôt chez nous à Pointe-Noire mon ami.
Anonyme,
à Pointe Noire j’y serai pour les fêtes du Nouvel an.
A Mark et aux autres,
Je n’ai jamais dit que j’étais pour la dictature. La démocratie c’est mieux mais sans ses avanies. Dans une situation bloquée comme c’est le cas au Congo et en Afrique, faut il rester les bras croisés et attendre une révolution sous forme de guerre civile ? Sassou parti, les remplaçants seront ils intègres et honnêtes ? Rien n’est moins sûr. Je ne m’interdis pas de réfléchir à haute voix.
« Sassou parti, les remplaçants seront ils intègres et honnêtes ? Rien n’est moins sûr »
– C’est sur que çà c’est de la haute analyse intellectuelle, il faut mieux garder sassou tant que l’on aura pas trouvé la perle rare.
« faut il rester les bras croisés et attendre une révolution sous forme de guerre civile »
– Quelles sont vos propositions MONSIEUR Pambou ??? Mais il est vrai, j’avais oublié, que vous n’êtes que dans l’analyse à la Pambou, je dénigre tous ceux qui s’opposent à sassou et je temporise et tente d’atténuer toutes les attaques qui touchent de près le maître d’oyo.
@ Lucien Pambou
Vous n’avez pas répondu à mon post. Je ne vous ai pas parlé de dictature dans mon post. J’ai posé des questions assez claires sur un article que je juge biaisé. Il faut répondre et non esquiver, cela me donne l’impression que vous écrivez des articles soit pour la diversion ou soit vous prennez vos lecteurs pour des idiots. Cela ne me fait pas plaisir quand vous me repondez en me parlant des choses que j’ai pas dites, comme si vous me prenez pour un idiot qu’il faut divertir. Une fois de plus, je n’ai pas parlé de dictature dans mon post. J’ai posé un autre problème.
Le modèle de Kagamé n’est pas exportable. A long terme, il n’est pas viable. De plus, réussir en affaiblissant les autres est un aveu d’échec. Si Kagamé était vraiment doué, il n’aurait pas besoin d’affaiblir la RDC en pillant les ressources de cette dernière. Il réussirait avec le peu de ressources dont dispose son pays. Ce qui n’est pas le cas. C’est un comportement qui montre une certaine faiblesse. Pour réussir, Kagamé a besoin de rendre ces voisins faibles en semant le désordre autour de lui. La révision de la constitution du pays montre à quel point ce monsieur ne conçoit la vie politique qu’à travers sa personne. C’est dommage. Cependant, je lui reconnais l’amour de la patrie et un nationalisme qui fait défaut chez nous au Congo Brazza. Toutefois, « ce dont l’Afrique a besoin est de disposer des institutions fortes et non des hommes forts » comme l’a dit le Président Obama. Que va advenir le Rwanda à la mort de Kagamé ? Un Chaos ?
Sassou n’aime pas les congolais et il n’aime pas son pays. Le cas Sassou relève de la psychiatrie. Mettre le désordre dans le pays pour un but sordide est une démarche suicidaire et criminelle. Un patriote ne vole pas son pays, ne tue pas ces concitoyens pour un gain sordide, privilégie sa nation. C’est pourquoi, il n’est pas possible de donner une once de virginité à Sassou. Il devra payer le désordre et la nature anxiogène de son système.
Sassou Nguesso est un vai chef de gang criminel, terroriste, génocidaire`au sommet de l’état depuis la fin des années 60, depuis 33 ans comme chef d’état, président illégal, illégime. Il faut une grève illimitée dans le secteur pétrolier et tous les autres secteurs et conjugué d’ une lutte armée au Congo
Il n’ ya absolument plus une autre solution pour en finir avec la dictature mafieuse, hautement criminelle, génocidaire, terroriste de Sassou Nguesso. Sassou Nguesso est reponsable des malheurs, de la crise, du génocide, du chaos économique au Congo. Le pouvoir du dictateur Sassou Nguesso tue, viole, assassine, terrorise quotidiennement à grand jour au Congo .Qu’est ce qu’ a apporté le chemin d’avenir au peuple Congolais. Que va nous apporter la contitinuité de la gouvernance mafieuse, criminelle, génocidaire de Sassou Nguesso ? Rien du tout. Si le peuple Congolais incapable de nous soulever de manifester, d’arracher notre liberté, d’assurer notre survie,les Nguesso et courtisans vont continuer à nous tuer ouvertement ou à petit feu. Les génocides, les prisons, la terreur, vont terrasser davantage les Congolais.Les Sassou et clan vont continuer de plus en plus le pillage des richesse du Congo , jouir des biens mal acquis, de la richesse illicide.La Gouvenance Sassou Nguesso a mis la république du Congo complèment à terre: les forêt vierges du bassin Congo sont en danger.Les immenses machines à découper sont à l’ouvrage. Les moteurs bramant et l’odeur et fumées diesel,dominent la scène dans les forêt vierges du bassin Congo. La forêt vierge du Congo est massivement déboisée. Le dictateur Sassou Nguesso et ses enfants , ses gendres, neveux , nièces et son clanmettent notre précieux héritage commun en danger. la pollution maritime à Pointe -Noire et La cote maritime, l’océan sont en danger .Les cours d’eau des villes, Pointe-Noire , Brazzaville, une grande quantité de déchets et polluants y est rejetée. Sassou Nguesso et ses multiples gouvernements maitres de la corruption à grande échelle, ne sont pas arrivé en 33 ans d’ existence à garantir l’eau courante potable, l’électricité aux Congolais. La voirie, les services de forêt, les fontaines publiques, ainsi le déplacements, voyage par le CFCO qui existaient jusque la fin des année 60 ne sont plus que des vieux souvenir . Le chômage terrasse de plus plus les Congolais . Le régime Sassou Nguesso est incaple de donner du travail à la jeunesse, à la population active de moins de 3 millions de Congolais. Le taux de pauvreté, la famine ainsi que la dette de la République du Congo, ne font que honteusement s’augmenter. Le régime Sassou Nguesso, dont le président illégal, fils Kiki et autres membres de famillle comptent parmi les gens forunés du monde entiers et qui planqué beaucoup d ’argent dans les paradis fiscaux,n’a pas pu créer des emplois, garantir le Congo-Brazzaville d’entreprises capablent à faire vivre les Congolais poutant potenciellement si riche. La misère de la santé au Congo des écoles des centres hôspitaliers est ciante. Les hôpitaux sont des vrais mourroirs. la dette du Congo que Sassou Nguesso et ses responsables tels que Jean Jacques Bouya et Gilbert Ondongo ont tant cherchée à cacher est de près de 120% du PIB. Comment à la lumière de cette vérité, les Congolais se mntre encore passifs et attendre qu’ils soient enterés vivants? Seule la grève illimitée dans tous les secteurs peut arriver à mettre un terme à toutes le génocides à toutes les combines mafieuses et terreur du régime Sassou Nguesso. Il faut sans retard se bmobiliser pour renverser Sassou Nguesso et clan.
les crimes et les massacres humains (génocides) commis dans la région du Pool.
les détournements, les blanchiments et les dettes du Congo.
Cela n’est certes pas quand Kagamé s’accapare des richesses naturelles d’autrui au lieu de coopérer Avec ce dernier pour aquerir ses biens, Kagamé est un dictateur qui vole les Biens du Congo Démocratique pour developper son pays. Il est un patriotique.Il serait bien qu’il instaure Oeuvre pour la démocratie dans l’exercice future de son pouvoir. Sassou Nguesso, le terroriste, criminel, génocidaire , entouré de ses enfants , clan tous criminels est le derniers des Chefs d’état qui ne sait pas qu’on vien au pouvoir pour servir et non se servir. Sassou Nguesso, sa famille et sa clique détrise le Congo, le peuple Congolais qu’il condamne dans la misère, la terreur, la prison à ciel. Il est en tout cas regrettable qu’il soit né.
A Mark
Je réponds à ton post de 00h47 le 28/08/2017. Mark, je ne prends jamais les individus pour des idiots. Je peux être féroce dans mes analyses, comme je viens de le faire, là maintenant ( « Macron et la sondageocratie », si ça t’intéresse, tu peux aller le lire sur Blastingnews en tapant Pambou dans la rubrique opinions) et pour tous mes articles qui sont publiés par Blastingnews et par d’autres sites sur la toile. Je ne moque pas des gens, je m’en tiens aux faits. Désolé pour mon étourderie et pour la réponse globale à Mingwa, Bulukutu à laquelle je j’ai associé.
Après Nice, je suis allé à Bordeaux, j’ai visité le Musée d’Aquitaine, instruit par l’étage réservé à l’esclavage et au développement de la ville à partir du 18ième siècle. J’ai noté que des armateurs bordelais, escrocs ou respectables comme Tourny, des politiques véreux, corrompus, des esclavagistes armateurs, des notaires ont consacré une partie de la fortune volée à construire l’actuelle ville de Bordeaux à partir du 18ième siècle alors que moyenâgeuse elle était composée de petites principautés sur lesquelles régnait Aliénor d’Aquitaine qui a été reine des francs et d’Angleterre. Voici pour la carte postale. On peut être escroc mais avoir un amour patriotique pour son pays, ce qui ne semble pas être le cas des hommes politiques corrompus de l’Afrique noire en général et de l’Afrique centrale en particulier. Sur ce site, on dit que Bouya, Ondongo, Sassou, Kiki et tout le clan présidentiel détournent de l’argent. Si c’est avéré, ils doivent être traduits devant les tribunaux, si c’est vrai ils pourraient utiliser cet argent pour bâtir réellement le Congo. C’est un débat avec des preuves et arguments pour ou contre la défense.
Ce clin d’œil malicieux, provocateur mais tellement réaliste opéré, je reviens à l’essentiel de tes questions.
– Tu dis « c’est quoi réussir économiquement ? ». Pour moi, c’est permettre aux populations modestement de pouvoir se soigner, d’avoir accès à l’eau, de permettre à leurs enfants d’être éduqués. Certains de mes parents analphabètes regrettent le temps de la colonisation française (ce qui n’est pas mon cas) où ils étaient marginalisés, traités comme des sous-indigènes français, mais au nom des lumières avaient accès à ces éléments de base -eau, santé et éducation- que je viens de citer plus haut. Je ne suis pas nostalgique du système français, nous sommes très peu nombreux sur les sites officiels à dire ce que nous en pensons car d’autres Africains ont peur. De quoi ? Je n’en sais rien. Je suis connu à la DGST après la création du CRAN, j’en prends mon parti. N’ayons pas peur de critiquer la France qui soumet les Etats africains avec l’aide de collaborateurs assermentés. Kagame serait-il asservi par le Fonds monétaire et la Banque mondiale ? C’est le cas, mais au moins lui est intelligent et utilise les marges de l’asservissement financier pour développer son pays. Pourquoi ce n’est pas le cas en Afrique centrale ? Malgré notre bavardage et coups de menton, nous sommes nuls scientifiquement et techniquement (ce qui est normal, Bordeaux que j’ai visité, ne s’est pas construit en un an) ; la France le sait et au nom de ses intérêts, elle ne favorisera jamais le développement de l’Afrique francophone car elle sait que ses représentants politiques, de la majorité ou de l’opposition, sont nases et dépendent d’elle.
– Le modèle est-il transférable à d’autres pays ? La réponse est bien sûr non et j’y ai répondu dans mon texte.
– Quels critères pour décliner la réussite économique ? Des critères admis par tous : l’augmentation du PIB, discutable bien sûr, l’accès à l’eau, l’augmentation relative du pouvoir d’achat, etc. On ne peut comparer le Rwanda, le Maroc et le Nigéria car les modes de comptabilisation statistique sont différents. Le Maroc voit partir ses enfants vers l’Europe par la migration marine et il y a un taux élevé d’analphabètes, même si le système sanitaire marocain est supérieur au système rwandais.
Je m’arrête là. Le Rwanda exploite la RDC, la RDC est complice du Rwanda, c’est grâce à Kagame que les Kabila père et fils sont aux affaires. Macron va créer le CAP dès demain après la rencontre avec les ambassadeurs, une espèce de conseil d’assistance présidentielle formée de moitié d’africains et de français pour conseiller Macron vis-à-vis de l’Afrique, en fait pour mieux asseoir la Françafrique nouvelle organisation. Kagame dit non, l’Afrique francophone ne peut que baisser la tête et accepter car elle n’est rien et que la masse monétaire qui circule dans la zone CFA ne représente que 1% de la masse monétaire française. J’ouvre, Mark, d’autres pistes de débat. Voilà, j’ai répondu à tes questions, de façon surement imparfaite, mais j’assume comme toujours.
J’ai bien aimé votre » clin d’œil malicieux »
» Sur ce site, on dit que Bouya, Ondongo, Sassou, Kiki et tout le clan présidentiel détournent de l’argent. Si c’est avéré, ils doivent être traduits devant les tribunaux, si c’est vrai ils pourraient utiliser cet argent pour bâtir réellement le Congo. C’est un débat avec des preuves et arguments pour ou contre la défense. »
Vous êtes capable d’écrire des articles sur les dirigeants Africains comme ce dernier sur le dictateur éclairé Kagamé en détaillant ses réalisations ainsi que sur les politiques Français mais curieusement rien sur « VOTRE président » sassou, mais il est vrai qu’il n’est présent QUE depuis 33 ans à la tête du pays et qu’il vous est encore difficile d’énumérer toutes les réalisations positives de ce monsieur.
« Si c’est avéré » « si c’est vrai » « C’est un débat avec des preuves et arguments » vous êtes dans le doute et la retenue dès qu’il s’agit de sassou et de son clan……bizarre non……???
Ce n’est pas un clin d’oeil malicieux c’est un parti pris.
Je vous propose un titre pour votre prochain article:
Dictature, gabegie économique et pillage systématique du bien publique: le cas spécifique de Sassou Nguesso au Congo Brazzaville est-il enviable en Afrique ? Par Lucien PAMBOU
Cher Anonyme, je n’écris que des articles de mon inspiration et non ceux que l’on me soumet. Je tiens trop à ma liberté intellectuelle. Je ne peux pas être anonyme puisque je dis mon nom et surtout ne te desanonyme pas, ce n’est pas une attaque contre ton anonymat. Encore un clin d’oeil malicieux.
@ Lucien Pambou
Tu as certainement compris que ton article était biaisé, contenant des informations non vérifiée issues des faux médias. Quand tu parles de REUSSITE ECONOMIQUE, je me demande si tu réalise la portée de ce que tu racontes. Tout ce que l’homme blanc raconte à la télé n’est pas forcément vrai. Il ne suffit pas de lire une information écrite par l’homme blanc et en faire un commentaire sans mener ses propres investigations. Je t’ais dit que c’est un pays qui est en train de fournir un énorme effort. Seulement, il a les mêmes problèmes que les autres pays d’Afrique noire. Je vais régulièrement au Rwanda et dans plusieurs pays du monde pour des raisons de travail. Le Rwanda n’est pas le pays que tu as presenté dans ton article, un pays qui serait d’après toi, un modèle pour les autres pays africains. Le Rwanda est un marché où les occidentaux vont acheter à moindre coût, les ressources que ce dernier (Rwanda) va piller en RDC. Ainsi, ces occidentaux font des bons commentaires sur ce pays. C’est la mafia au Rwanda.
Je m’invite au débat sur un point essentiel de l’analyse de mon frère Pambou que j’ai connu quand nous étions tous étudiants à l’université Paris X Nanterre. La seule différence à l’époque entre Pambou et moi c’est que j’étais militant de l’AEC et de la FEANF. alors qu’il était considéré comme étudiant carriériste c’est-à-dire il fallait d’abord donner la primauté aux études; hors pour nous non seulement il fallait étudier mais il fallait aussi aiguiser notre conscience politique bref ce n’est q’un petit rappel de notre passé.. Venons en à l’objet du débat; moi ce qui me taraude dans le post de Pambou c’est l’affirmation de dictateur éclairé. Il faut quelques rappe;l toute analyse des hommes politique où des hommes d’État qui ne prend pas en conte les qualité, et les vertus des hommes qui nous gouvernent est superficielle car la marque essentielle des grands hommes d’Etat se trouve dans leur qualités essentielles On peut citer des grands hommes d’Etat qui ont marqué l’histoire de leur peuple en bien; on peut citer Nelson Mandela;en Afrique du sud,; le Général de Gaulle en France; Churchill en Grande Bretagne; Gandhi en Inde et Roosevelt et Kennedy aux Etat-Unis; Ceux qui ont marqué l’histoire de leur pays en mal, on peut citer Hitler en Allemagne, Mussolini en Italie, Franco en Espagne,et Pinochet au Chili; aussi j’avais à l’époque rédiger une réflexion sur l’approche d’Aristote de la dictature J’avais souligné que la dictature se repose sur quatre piliers.essentiels
Le premier c’est que toutes dictature à pour ennemis les grands esprits, des hommes intelligents, les philosophes, les grands penseurs; Sassou comme Kagamé ont passé leur temps a tué la matière grise,Combien des cadres de haut niveau que Sassou a tué..
Le deuxième pilier c’est celle des ressources, des moyens. Surtout Sassou et bien d’autres dictatures pour afaiblir les opposants et tous ceux qui contestent leur politique il faut les rendre les opposants pauvres ; mettre les cadres et les élites dépendants, à la limite pauvres et fragiles; cette posture des dictateurs s’appuis sur le proverbe arabe qui dit que: « Si vous voulez que votre chien vous suive il faut l’affamer. Combien des cadres congolais sont aujourd’hui corrompus? presque la totalité. Ceux qui semblaient avoir amasser les fortunes étaient comme des cibles. La mort d’Ibala Glad, Mougounga Kombo Nguila.
Le troisième pilier pour une dictature c’est de provoquer les guerres; c’est un moyen de de traumatiser le peupler et s’appuyer sur la peur; derrière toutes les guerres que nous avons.connu Sassou en est l’artisant.
Le quatrième pilier c’est de ses amis la dictature en fait des alliés; mais quand les amis commencent avoir l’aura dans le pays elle les élimine, C’est la triste des dictatures africaines Kagamé y compris.
A mon frère Pambou il faut qu’il se rappelle un fait historique qui peut nous inspirer tous. « Quand la Perse gagne sa guerre contre la grande Grèce la première décision des vainqueurs c’est d’épargner de la mort des élites, les tête pensantes, les savants, et les illustres philosophes de la Grèce; en fait de les protéger .Tous ceux qui sont à l’origine de la connaissance et du savoir. Dans notre pays on passe le temps a tué les génies pour garder les ignorants à la tête du pays
A Lucien PAMBOU
Lucien
C’est ton cousin à qui tu as donné RDV pour la saint sylvestre.
On me signale que le Président SASSOU est faché contre toi.
Brazzaville croule sous les immondes,pue le kaka, les moustiques sement la mort, il égorge en plein jour 352 congolais, se fait saisir 112 comptes par Tracfin en france depuis 2008,vole les élections, emprisonne le vainqueur, égorge NTSOUROU, fait quelques réalisations et construit 12 stades Denis sassou nguesso à travers le pays,……tous les postes juteux sont réservés aux bochis.il veut legguer le pouvoir à son fils. tous ses enfants sont députés….
Tu ne trouves bon que d’ encenser Paul KAGAME qui traine moins de casseroles.que lui.
Vous etes terribles vraiment
A anonyme
J’espere que tu viendras m accueillir a l aeroport cher cousin
Ah bon le President Sassou est fache contre moi comment ca puisque tu dis anonyme que je suis celui qui lui tresse des lauriers sur la tete et celui qui le menage le plus
Merde alors je fais mal mon boulot de valet
brrrrr j en tremble et j ai peur je suis au premier ou au deuxieme degre anonyme
lis le papier d’abigna un qui me connait reellement tu verras que c’est toujours la chose intellectuelle et la connaissance qui me guident depuis mon adolescence et la fac
la politique je la fais en france puisque je suis un liberal assume membre de lr et ancien conseiller municipal elu sous l ere sarkozy de 2008 a2014
Mr Pambou a bien fait de montrer dans son article l’influence de l’ancienne puissance coloniale, (ici la France) dans le maintien du sous développement dans ses ex mais toujours colonies dont la direction a été confiée dépuis les années 60 aux colons noirs, Les congolais lisent très peu et ne connaissent pas l’histoire de leur propre pays. Pour mieux saisir ce qui se passe en Afrique francophone et au Congo notamment, il faut bien repartir à la période de la décolonisation qui commence au début des années 40.Pour notre pays le président Youlou qu’on le veuille ou non reste la clé de la vie politique et institutionnelle. Il avait très vite compris la supercherie de ce que signifait les indépendances. Son souci de vouloir promouvoir le développement économique de notre pays, en l’ouvrant à d’autres pays occidentaux comme les USA et la RFA ( Allemagne) a été aux yeux de la France un ‘acte de lèse majesté qu’il fallait sérieusement punir. Jérôme Ollandet dans un ouvrage interessant intitulé Tchicaya, Opangault, Youlou…édité à Brazzaville en 2008 explique que la diplomatie de Youlou avait abouti à l’arrivée des américains dans notre pays. Lorsque ces derniers commençaient à promouvoir la culture de leur pays au Congo en s’interessant à la formation des jeunes aussi bien à Brazzaville et Pointe Noire comme aux Etats Unis en leur accordant des bourses d´’etudes, les français avaient démandé à leurs homologues américains d’arreter d’éclairer les congolais, c’est à dire de ne pas ouvrir les yeux des indigènes, Ça n’a pas duré, quelques mois après les américains abandonnaient l’ex Moyen Congo qui fait partie du précarré de l’empire colonial français ( Sur ce point lisez » L’ouverture vers les USA pp 186- 189). La RFA interessée au projet de l’Abbé Youlou de construire le barrage du Kouilou sur le fleuve Kouilou -Niari au site de Sounda, le gouvernement français a simplement prié les hommes d’affaires allemands de ne pas rien sans son avis.( Voilà ce qu’écrit Ollandet: « Les hommes d’affaires allemands interessés au projet ( du Barrage au Kouilou), intimidés par le gouvernement français se retractèrent abandonnant Fulbert Youlou avec son grand projet dans les bras ». p. 239). Pambou a donc raison de souligner ce rôle négatif du pays colonisateur car toute démarche prétendant developper les pays francophones cités dans son article entre autres en déhors de l’orbite de l’orbite français, sans la permission était ( il me semble que ça continue: Cas Lissouba) un acte particulièrement désordonné et par conséquent punissable. Youlou Fulbert n’a pas bénéficié de l’appui français conformément aux accords secrète de coopération et de défense de 1958. L’indifférence français suite à la chute de l’Abbé Youlou peut aisément être considérée comme une punition.
Rappeler cela, je peux dire que si Kagame semble reussir de promouvoir la stabilité et le développement économique de son pays, Qui est Paul Kagame? Formé aux USA, Mr Kagamé n’a pas appris à manger les fromages faisandés qui détruisent le cerveau et vous imposent l’assimilation. La culture américaine et anglaise est pragmatique (Karle Popper n’est pas un français) et c’est cela qui a façonné l’homme Kagamé qui bénéficie du soutien des USA, une Grande Puissance que la France craint aussi. C’est dans ce sens que Mr Kagamé et ses ministres ne ménagent jamais les autorités françaises lorsqu’il s’agit du génocide de 1994. Fort de cet appui important, la France ne peut pas perturber l’action politique de Kagamé qui a reussi d’installer les USA au coeur du continent africain pour controler les Grands Lacs et avoir le droit de l’oeil sur le sol et le sous sol de cette partie du continent. Autrement dit Kagamé a reussi de chasser les français de son pays pour y installer ses amies américains et anglais. Profitant de ce soutien et vrai patriote Mr Kagamé loin de reprendre comme un perroquet les formules cartésiennes, s’appuit sur le pragmatisme anglais de Popper pour dévolopper son pays. On ne peut le lui en vouloir. En ce sens Mr Pambou a bien fait de l’appeler un dictateur éclairé. A la vérité son action politique ne peut pas être imitée les autres dictateurs qui écument les pays comme le Congo B, le Gabon, le Tchad, le Caméroun, etc, L’exemple de Youlou est là. Lissouba et Goagbo sont d’autres victimes ayant subi la punition.
Pour une fois lucien pambou est visité par le Saint-Esprit, je ne comprends pas cette mauvaise querelle qu’on lui fait. Je préfère vivre sous une dictature éclairée que sous le joug d’une kleptocratie.
A OKOMBA
MERCI CHER COMPATRIOTE DE REPLACER LE DEBAT DE L AFRIQUE FRANCOPHONE DANS SA PERSPECTIVE HISTORICO FRANCAISE
NE PAS LE FAIRE C EST MECONNAITRE LA REALITE DES ETATS
TOUTE ALTERNANCE POLITIQUE AU CONGO NECESSITERA DE RESOUDRE L EQUATION SUIVANTE ETRE AVEC LA FRANCE ET MONTRER LES MUSCLES POUR DEFENDRE SES INTERETS OU CONSIDERER LA FRANCE COMME UN SIMPLE PARTENAIRE
ELLE NE SE LAISSERA PAS FAIRE AU DELA DE VOS VEILLEITES D INDEPENDANCE PERENNE
ELLE SAIT QUE VOUS ETES NAZES ET BAVARDS
VOTRE SEUL REFUGE MAJORITE COMME OPPOSITION C EST LA FRANCE
MEDITEZ CE QUE JE DIS MALGRE VOS EFFETS DE MANCHE ET VOS COUPS DE GUEULE INUTILES
QUE FAIRE REVISTEZ L HISTOIRE DU CONGO DE LA FRANCE AU CONGO DES ELITES PASSEES OU PRESENTES CONGOLAISES VIVANT EN FRANCE OU NON
IL FAUT TOUT UN TRAVAIL DE PSYCHIATRIE COLLECTIVE DU PEUPLE CONGOLAIS
MERCI ENCORE COMPATRIOTE OKOMBA POUR TA LUCIDITE INTELLECTUELLE,
Mon frère ABIGNA, je suis d’accord avec vous, à la fin de la deuxième guerre mondiale, les éminences grises et des scientifiques Nazis ont été récupérés pas les États – Unis, l’ URSS et l’Europe, et ces scientifiques ont beaucoup apporté dans la recherche spatiale aux États-Unis, le Canada Applique une politique qui attire dans le pays des hommes et femmes intelligents de toutes les origines, le Silicon Valley aux États Unis attire des hommes et femmes bien formés, le contraire de ce qui se passe dans les régimes tyranniques où on decapite des hommes intelligents ou ils sont poussés vers la porte d’exil, mais bon sang, que peut -on attendre d’un tyran entouré des médiocres?
non on ne peut pas exporter un modele econopmique de 800mille morts mr p kagame est avant tout l’assassin de juvenal habiarymana. il a travaille mais avec les recettes du coltan de la rdc.p kagame doit etre attrait devant un juge international. denis sassou ng nest pas un dictateur les congolais semblent confondre dictature et ordre . sassou ng a retablit lordre sur tourte letendue du territoire national puisque le rwanda semble vous emerveiller quel est son idh
Quand on veut trouver une solution à un problème, il est impossible de faire l’impasse sur l’analyse du contexte dans lequel il est né et de l’environnement dans lequel sera implanté sa solution.
Aujourd’hui, au regard du contexte socio-politique, culturel, économique et légal de la vie communautaire au Congo, il m’est difficile d’entrevoir des solutions efficaces aux maux qui minent ce pays sans penser à un pouvoir visionnaire qui saura faire respecter la loi avec rigueur tant les problèmes à résoudre sont innombrables. Et ce n’est qu’un homme à poigne doublé de vision qui peut mener à bien ce genre de travaux herculéens qui sont en face de nous et que le président fainéant est incapable de résoudre malgré le fait qu’il exerce le pouvoir depuis 1968.
J’ai parlé de situer les problèmes dans leur contexte parce que toute solution à un problème qui ne tient pas compte du contexte est voué à l’échec. Les cas Milongo et Lissouba sont là pour nous servir de preuve. Ces deux messieurs n’ont pu appliquer complètement leurs programmes parce que, entre autres, ils ont ignoré d’intérêt les capacités de nuisance de Sassou et de la France dans la stratégie de mise en œuvre de leurs politiques. Là où ils ont échoué, des leaders visionnaires ayant une main de fer auraient peut-être réussi malgré les peaux de bananes que les empêcheurs à tourner en rond auraient mis sur leurs chemins. C’est ce que Kagamé et Obiang Nguema ont réussi à faire en dépit des complots intérieurs et extérieurs téléguidés par la France.
Aujourd’hui, on peut voir le fruit de la vision de ces deux leaders africains. Ils ont fait le choix entre le désordre des professionnels de l’agitation de la politique politicienne et le service à leurs populations. Ce n’est pas nouveau et surtout sorcier. Ils n’ont pas inventé la roue. Les tigres asiatiques ont pris ce chemin bien avant eux: Malaisie, Corée du Sud, Hong Kong sous les britanniques, Singapour, Sultanat du Brunei. Les populations ont épousé la vision du développement économique de leurs leaders politiques; et ils ont vu juste malgré les privations et autres brimades. Aujourd’hui, ils sont enviés.
Le chantier du développement presque parachevé, voilà qu’ils lancent le chantier de la démocratisation de la vie politique de leurs pays respectifs,, à l’exception de Brunei.
Ils ont fait des choix et des paris ayant remporté le consensus. Ils ont réussi sur les deux tableaux. Tant mieux pour eux. Les Chinois leur ont emboîté le pas en privilégiant l’essor économique de leur pays. Économiquement, la vision que leurs leaders ont eu en 1978 donnent d’excellents résultats puisque la Chine est aujourd’hui la deuxième puissance économique mondiale qui achète le monde entier.
Que veulent les congolais? des kleptocrates démagogues ou des visionnaires capables à la fois d’apporter des solutions aux problèmes d’emploi, de création des richesses, de logements, d’éducation, de santé … et de mettre hors d’état de nuire ces parasites qui vivent aux crochets du trésor public?
Nous autres congolais ne savons parfois pas ce qui est important et accessoire. Si on le savait, sassou ne serait jamais revenu au pouvoir, mieux ne serait jamais au pouvoir si à cause de notre naïveté nous n’avions pas chassé Youlou du pouvoir. Oh Lissouba a fait pire que Sassou. Nous sommes allés le chercher à l’aéroport. Oh Youlou a tout volé. Oh Yhombi a tout volé. Où en sommes-nous avec nos choix naïfs ?
Faire la politique consiste en premier à répondre aux besoins de ses populations. Les congolais, notamment les jeunes, veulent du travail que permet la création des richesses. Avec le travail on mange, on se soigne, on envoie les enfants à l’école, on aide la famille et les amis, etc. En 1976 quand le débat politique faisait rage au sein du parti communiste Chinois, Deng Xiao Peng eut cette formidable boutade qui sortit Mao de ses gonds: peut importe la couleur du chat, pourvu qu’il attrape la souris. Qui de lui et de Mao et autres gardes rouges ont raison aujourd’hui ?
Le contexte est très important dans toute solution. Ne l’oublions pas. L’analyse du contexte nous aide à faire des choix éclairés.
Voilà le peu que j’avais à dire. L’important c’est le peuple qui veut du pain et un protecteur de ses droits. Le reste n’est qu’une distraction des intellectuels qui aiment jouer avec les concepts et autres mots.
a Tous et a toutes
Imprimez le texte de BAKALA TELEMA et lisez le plusieurs fois
Meditez le texte de BAKALA ETdffusez le dans la diaspora congolaise
C’est un texte de synthese et bon pour construire le Congo de demain
MERCI MERCI MERCI ET ENCORE MERCI A TOI BAKALA TELEMA
PAMBOU LUCIEN
A tous mes frères.je vous pose une seule question don’t j’ai deja la reponse et j’aimerais savoir la votre egalement.
Maintenant que nous savons tous en grand nombre comment fonctionne l’empire francais,ses laquais et ses agents.Bref tout un systeme qui maintient le peuple Congolais la tete sous l’eau.
Qu’est ce que nous devrons faire pour deserrer cet etau?.
Nous sommes l’unique peuple de cette terre sur lequel tout le monde est assis.Nous manifestons notre incapacite a retourner le feu par des longues analyses qui nous font tourner en rond.Notre situation changera le jour ou nous commencerons a agir.
Chers compatriotes, panafricanistes et amis des peuples africains opprimés
Nous savons tous que les potentats africains sont soutenus par la France mafieuse et leurs réseaux à travers le monde entier. Nous avions entrepris depuis aussi la lutte de contestations et résistances vis à vis de ces mafieux. Notre lutte est depuis médiatisé et porte déjà des soutiens et appuis. Nous devrons continué notre combat de contestations et résistance sous toutes formes jusqu’à la mise en œuvre des démocraties véritables dans nos pays respectifs.
Les mafia sassou nguesso-chirac-sarkozy-hollande-macron-jean Yves olivier-famille pigasse-famille bollore-strauss khan-Yves le drian etc… ne vivent que leurs dernières épisodes.
A notre lutte à jamais
Lucien Pambou toujours dans son entreprise subtile de promotion de la dictature d’Oyocratie en faisant des parallèles hasardeux entre la dictature et le développement.
Le cas des tigres asiatiques cités dans l’article n’est pas à comparer à celui du Rwanda dont le modèle s’appui sur un appareil militaro-tribal essentiellement tutsi.
Pour comprendre le miracle des tigres asiatiques, il faut revenir au contexte de la lutte contre le communisme, qui favorisait des aides aux pays cibles, pour créer les conditions d’une lutte autonome contre la progression du fameux socialisme scientifique. Il faut ajouter à cela le choix des stratégies d’autonomisation qui sont passés de la substitution aux importations ou la création des industries industrialisantes.
Concernant Kagamé, il faut rappeler qu’il n’est autre que l’ancien chef des services de renseignements ougandais, ayant pris la tête d’une rébellion appuyée par les pays voisins pour prendre le pouvoir au Rwanda.
Ce rébellion a émergée dans le contexte de l’assassinat de d’un président hutu qui, qui s’est suivi par un génocide connu de tous.
Ce génocide auquel Kagamé est censé avoir mis fin et qui lui a conféré un statut d’impunité, favorisant ainsi l’exportation du modèle de prise de pouvoir par une pseudo rébellion, en plaçant à la tète du pays conquis des personnes sous contrôle.
Comme pour le cas du Rwanda, la RDC est aujourd’hui dirigée par un ancien garde de corps de Kagamé.
Toute cette politique expansionniste est dictée les superpuissances dont l’objectif de transformer les anciens africains souverains en zones économiques contrôlées par leurs multinationales.
Le Rwanda devient alors une plaque tournante du pillage des ressources de la RDC, dont l’exploitation sous le contrôle d’un Etat souverain serait moins rentable.
Même si l’on peut reconnaître une politique de réinvestissement de la rente prélevée à partir des ressources de la RDC, ce modèle de croissance reste fragile, de part l’état de pauvreté de la majorité de la population, la faiblesse de la classe moyenne, la forte dépendance à l’aide internationale, mais surtout de la capacité à maintenir à long terme l’influence sur les pays voisins.
C’est donc le modèle que tout bon panafricaniste ne devrait pas imaginer un seul instant.
Autrement, il faudrait aussi s’imaginer une course à l’enrichissement en Afrique au détriment des pays voisins, pouvant par exemple conduire l’Angola à occuper la Cote Atlantique du Congo, et pourquoi pas le Niari, pour les besoins de son développement.
Oh ouais, des théories, rien que des théories éphémère depuis la nuit des temps, vraissemblablement jusqu’à l’an 3000 et bien au-delà, à cette allure.
Lorsque certains vous parlent mais en vain catégoriquement et incontournablement de ‘force brute’ à cette jonction-ci, et bien, d’autres croient indêfiniment dans la candeur et vous parlent quand même et encore de ‘tapis rouge’ pour les barbares…
Que voulez-vous?
PS. Pour les francs-maçons grincheux;
Lire: …*éphémère(s)
…*indéfiniment
Et, blablabla…