David LONDI est un intellectuel originaire du Congo-Brazzaville qui milite pour la restauration de la démocratie dans son pays. Partisan du Fédéralisme pour une meilleure répartition des richesses, il parle de l’imposture et la forfaiture de l’opposition congolaise et du Clergé, tous complices de la dictature de Sassou-NGuesso.
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Bravo à notre frère David Londi pour son dévouement. Merci à Congoliberty pour la réalisation de cette interview. Prochainement, le journaliste doit paraître dans l’émission. Une fois de plus félicitation à David Londi pour ses articles et sa grande contribution sur ce site.
Merci pour vos lumières et vos chaleurs pour la république,la vraie,celle de demain basée sur le fédéralisme.
DJEMBO TATY
NO comment – car qui s’assemble se ressemble. Ta vidéo, je l’ai même mis en lien avec la mienne de ce 19 septembre 2019. A+++
Que nos compatriotes comprennent l’urgence de faire triompher l’exigence du présent sur l’apathie du passé .
L’exigence du présent .c’est la correction intellectuelle appliquée á nos erreurs politiques passéistes dont la structure institutionnelle ,qui est inadéquate et á la consolidation de la paix définitive de notre pays et au développement territorialisé de celui ci.
@David Londi, notre réflexion politique est d’essence galiléenne ,seule ,l’histoire jugera .
C’est encore l’église qui commetta l’irréparable.
La vertu de la jalousie ,c’est qu’elle donne á la victime ,une attitude roborative . Seule l’intelligence supérieure pourra sauver le Congo .
Merci .
Et nous ,fédéralistes ,dirons aux autres compatriotes dubitatifs ,cette devise de EMMANUEL KANTE » nous avons vécu de manière à ce qu’on ne nous impute pas de démarches lâches « .
Soit comme BAUDELAIRE « Agis comme plus jamais tu ne pourras agir « .
Les juristes qui défaillent sur le plan des idées institutionnelles novatrices sont légion sur ce site , c’est la dramaturgie congolaise ,où ce sont des non juristes qui tentent d’ébaucher un condensé institutionnel pour répondre à la crise politique sévissant ,depuis belle lurette ,dans ce (métapays ).
La France et ses alliés dont le dictateur Sassou Nguesso et ses opposants politiques ne feront rien tant que le peuple de moutons des congolais ne prendront pas leur destin en main ; c’est à dire commencer à manifester par des grèves et des marches de tout bords.
C’est ainsi que cette communauté des occupants du Congo (France, sassou, opposants) lâchera enfin ce pays. Mais tant que ces occupants ne sentiront pas leurs intérêts menacés, ils continueront la prolongation de l’occupation du Congo Brazzaville.
Peuple congolais, que nous sommes, il faut une désobéissance civile illimitée et au meilleur des cas d’être dans la rue et chasser le tyran et son système politique liberticide, antidémocratique, antisocial, criminogène et confiscatoire du bien commun.
@Mark,
cher frère,
l’engagement de tous les démocrates contre le système qui sévit au pays est un devoir. Chacun, comme toi et bien d’autres, apporte sa pierre à l’édifice.
Merci.
@Djembo Tsaty,
nous sommes à la croisée des chemins avec beaucoup de contradictions à dépasser. 60 ans de douleur nous ont laissé un pays exsangue, il est temps de changer de paradigmes et aller vers un système respectueux de ce que nous sommes profondément.
Merci.
@Val de Nantes,
l’élection du président au suffrage universel direct est le premier facteur de risques dans ce pays. Ne pas l’admettre, c’est faire de cessité intellectuelle. Créer des régions agiles économiquement et socialement est certainement la voie que nous devons suivre dans ce pays.
Le fédéralisme est le choix de bon sens. Je reviendrai sur ce point sur la deuxième partie.
Nous ne baisserons jamais les bras.
Monsieur David Londi, excellent orateur et observateur de la vie politique de son pays, répond avec subtilité aux excellentes questions du Congo Liberty par Mingwa. Bravo
Concernant le voyage de Monsieur Sassou Nguessou en France, il est à constater qu’il n’ a été reçu par aucun officiel. ce comportement des responsables français vis-à-vis du président fantoche autoproclamé qui s’impose par des armes montre qu’il est bel et bien un employé de la France, donc un préfet à qui on donne les ordres comme on veut. La conséquence de cela est que le Congo n’a pas de président et qu’il est administré par un préfet de la France, dans ce cas on ne peut parler d’ Congo indépendant. D’ailleurs à l’issue de ce voyage on n’a vu personne de la classe politique opposante manifester. Une partie de l’opposition nommée par lui même et l’autre qui s’affiche comme radicale en refusant de reconnaitre ce dictateur comme président, apeurée et parfois corrompue observent avec passivité l’humiliation du peuple congolais à travers un homme , devenu baobab que les Congolais ne peuvent pas abattre. Ce préfet steward qui aime se promener à travers le monde dans les avions de luxe ne se gène pas de ne plus être reçu par ses hôtes, mais est rencontré comme un vulgaire mendiant. Les Congolais au lieu de s’acharner sur les réseaux sociaux devraient plutôt se lever comme un seul homme et sauver ce qui reste;
quant à l’Eglise congolaise, Monsieur David Londi ex séminariste a bien décrit le comportement de ses religieux affamés, et soumis.
@Gayino,
merci pour ce complément à mon entretien avec Congo Liberty. Effectivement les Congolais sont surexcités quand un dignitaire du pouvoir est reçu en France. Observe-t-on ce même phénomène quand le premier ministre britannique se déplace au Ghana, Nigéria, etc. ou quand le président est reçu au 10, Downstreet, à Londres ? En vérité, les Congolais veulent faire une révolution par procuration. Ils sont persuadés que la désintégration du système se fera par la France. Mais ils ignorent qu’aucun président français ne prendra la responsabilité d’affaiblir son pays en établissant des relations équitables avec ses anciennes colonies qui lui procurent le niveau de puissance mondiale qui est le sien.
N’oubliez pas les déclarations de quelques figures de la scène politique ou économique française comme celles-ci : »La France n’a pas de pays amis que des intérêts » (De Gaulle); « Il y a des cargaisons fantômes qui partent au large de l’Atlantique » (L.Prigent), etc. Nous avons, au fil des années, développé un complexe de subordination à l’ancienne puissance coloniale qui ponctue chaque moment important de la vie politique congolaise.
Depuis les indépendances, les différents dirigeants ont tout laissé en l’état jusqu’à l’organisation, dans les moindres détails du pays : structure et infrastructures tournées vers l’exportation selon le schéma colonial : collecte des produits qui sont drainés vers le port d’expédition, Pointe-Noire; une administration pléthore qui se structure et s’organise autour des processus issus du système colonial dans lequel, le congolais était un petit fonctionnaire gérant les affaires coloniales, etc.
Il est donc clair que nous devons entreprendre un travail de conscientisation des populations pour les faire dépasser ce fameux syndrome de Stockholm qui les fait aimer le bourreau qui les dépouille . La désaliénation mentale et intellectuelle est donc le principal combat que les démocrates doivent mener pour pousser les populations à s’affranchir de ce complexe que l’on ne trouve pas dans les anciennes colonies britanniques de l’Afrique subsaharienne.
Merci Gayino !
La réponse à Gayino, c’est David LONDI. Désolé.
D’ailleurs , en matière d’économie nationale ,la définition,en soi ,est totalement erronée .
Comment parler d’économie nationale au Congo ,quand celle-ci ne se borne qu’ á une seule région , en l’occrrence ,celle du kouilou .
Une économie nationale est un agrégat des économies régionales .Alors qu’ en – t’il , au Congo ?
Dites nous ,les régions qui contribuent au PNB ,c’est-à-dire PIB+ revenu extérieur ?
Serions nous pas atteint d’un aveuglément intellectuel?
Il y a bien sûr,une relation dialectique entre le pouvoir et l’économie .Commençons par nous attaquer á l’urgence institutionnelle , qui est le moteur du pouvoir pour définir le modéle économique ,qui n’est que la conséquence de la nouvelle forme d’Etat qui hiérarchisera la pyramide de tous les pouvoirs au niveau national , régional,local .
Le fédéralisme s’impose comme une évidence naturelle á l’impensé économico -politique que traine notre pays .
Notre pays ,au vu de son exodus politique provoqué par la médiocrité de ces dirigeants ,se doit de plus de cérébraliser ses doutes que de camoufler ses erreurs ,á l’image de nos juristes diasporiques dont on moque le mutisme .
Bref.
On se débrouillera sans eux.
lire ;; atteints
Par analogie ,le changement de paradigme institutionnel ,c’est en mathématiques ,le changement de variable .
Dans un calcul de l’intégrale ,ce changement de variable s ‘y impose pour résoudre l’énigme .
Au départ ,vous avez une fonction f (g(x)). En changeant de variable ,elle devient u =g(x).Cette simplification nous évite des torticolis futiles .
Mon équation devient claire ,car j’aurai ,au préalable éliminé une parenthèse qui rendait mon équation illisible .
Ainsi ,donc en mathématisant l’équation institutionnelle ,nous rendons inactive la fonction présidentielle pour prioriser le poste de premier ministre beaucoup plus opérationnel ,malléable et consensuel dans sa conception socio -politique .
Contrairement aux handicapés intellectuels qui renvoient la faute aux politiciens qui respecteraient l’esprit institutionnel ,nous leur opposons cette logique cartésienne ( démonstration de la vérité par la raison ) .DIXIT , DESCARTES .
En résumé ,c’est la question qui est mal posée ,plutôt que la réponse donnée ..C’est une autre dialectique qui reste à méditer .
Le but de la philosophie ,c’est aussi de reconnaitre sa propre ignorance . Aux intellectuels dénudés de reprendre le chemin cartésien .
THEOPHILE OBENGA » dira que ,la philosophie sert surtout à dénouer des complications « .
Ramenée au contexte politique foireux que connait notre pays , cette analyse politique en vaut la peine .
Cher David Londi vous êtes un esprit éclairé , j’ai retenu dans une dictature le dialogue et les élections ne servent à rien . Entre nous soit dit parfait kolélas , Paulin Makaya , Bowao Tsaty Mabiala qui veulent dialoguer avec le fou dictateur sassou sont une bande des corrompus qui d’ailleurs perçoivent des paies comme les membres du bureau politique et du comité central qui perçoivent deux milliards annuel du trésor publique , révélation du camarade membre du comité central Maruis OKANA . Et maintenant c’est officielle Tsaty Mabiala et parfait reçoivent l’argent de Bouya révélation dans l’audio de la petite Ingani membre du gouvernement d’oyo . Effectivement l’épiscopat congolais est très divisé Abagna et Urbain Ngassongo rendent compte à sassou en Mbochi et ya Milandou n’a pas l’étoffe d’un chef ,sa docilité à été un poison dans l’église catholique .
J’ai Compris pourquoi ,Descartes fut un penseur exceptionnel . Philosophe , Mathématiques , Physicien ,bref ce maillage de connaissances érudites est une source d’inspiration.
L’analyse cartésienne est la solution évidente aux questionnements institutionnels auxquels fait face notre métapays ,car virtuel .
Servons nous des raisonnements emipiriques , c’est-à-dire , fondés sur l’expérience pour trouver la clé du problème .
Okay, David
Je valide l’analyse que nous partageons. Il reste à convaincre les gens sur la nécessité du Fédéralisme qui est la voie du bon sens. A pas feutrés, les gens y viennent.
@Samba dia Mampouta,
cher Samba,
participer aux institutions d’une dictature revient à la valider. C’est le cas de toutes celles et tous ceux qui y participent que je n’ai jamais considérés comme des hommes politiques, au sens noble du terme, mais des chefs ethniques ou régionalistes. L’activité des démocrates congolais doit consister à les disqualifier pour assécher le vivier ethnique sur lequel ils prospèrent. Ils forment tous une classe politique qui vit bien la situation politique et sociale actuelle. Malades, ils sont évacués pendant que des milliers de citoyens vont dans les mouroirs que sont les hôpitaux congolais. La « PCTisation » des esprits fait qu’ils militent tous pour des dialogues qui n’ont jamais rien donné de probant depuis 1974. C’est maintenant aux populations de prendre leur responsabilité en se détournant des faux prophètes que sont les dirigeants officiels congolais. Dans une dictature on ne s’oppose pas, on résiste.
Oui, Pierre,
il est évident que pour tout esprit éclairé, l’élection du président au suffrage universel direct est à l’origine depuis 1959, responsable de toutes les calamités qui s’abattent sur ce pays. Le conserver revient à s’inscrire dans la même logique pour les 50 ans à venir ! Même si l’on arrive à en élire un qui soit intègre, démocrate et respectueux de la Constitution qu’en sera-t-il du second, du troisième, etc. ? Jules Grevy, l’un des constituants de la IIème République française et ami de Tocqueville, ne disait-il pas que l’on ne pouvait pas être sûr d’élire tout le temps un démocrate à la tête du pays qui quitterait le pouvoir à la fin de son mandat ? Il avait raison. En effet, Louis Napoléon Bonaparte, démocratiquement élu, a restauré l’Empire et chez nous, au Congo, Sassou a bien succédé à Lissouba qui était démocratiquement élu à la faveur d’un coup d’état.
Voilà, cher Pierre, ce qui devrait pousser naturellement les Congolais vers le Fédéralisme que nous portons profondément enfouis en nous !
Je ne désespère pas qu’ils y arrivent, tous !