A l’heure où ces lignes sont écrites, donc quatre mois après l’apparition des premiers cas du COVID-19 en Chine, aucun traitement officiel et unanimement accepté par la communauté scientifique n’a été trouvé. Le nombre des malades et des morts à travers la planète progresse à un rythme inquiétant. Mais très curieusement, depuis quelques semaines, la Chine qui justement avait commencé avec le camouflage des chiffres et des faits, nous montre des chiffres évoquant la diminution drastique des cas dans le pays de Mao Tse Toung. Le compteur en Chine s’est presque arrêté à près de 81.000 cas et près de 3.500 morts. Ironie du sort, les Chinois disent craindre l’importation du COVID-19 par des étrangers arrivant dans leur pays !
Baisse du nombre de nouveaux cas en Chine. Très peu de nouveaux décès (on pourrait vraiment s’en réjouir si tout cela est vrai ! ). Alors que partout dans le monde, la progression des courbes de la pandémie (cas avérés comme décès) est exponentielle. Par quels miracles donc les chiffres se sont arrêtés ou inversés en Chine ? L’OMS a-t-elle un contrôle sur ces chiffres donnés par la Chine ! On voudrait vraiment le savoir. Il y a forcément une odeur de quelques mensonges quelque part. Sans oublier les chiffres très faibles, comme par vrais miracles, de ceux de la Russie (moins de 2,000 cas et moins de 10 morts en 4 mois. On s’connaît ! ) Si la chloroquine a fait ses preuves en Chine pour traiter et soulager des malades, et donc endiguer la progression de la pandémie dans le pays, pourquoi les autorités chinoises ne le déclarent pas publiquement !
Mensonges encore : Les réalités en Afrique noire.
Comme en 1918-1919, l’Afrique de 2020 est presque démunie de moyens adéquats, aucune infrastructure sanitaire ou presque, encore moins un personnel formé pour faire face à cette pandémie. Deux grands noms de la musique africaine ont été emporté par le virus : Aurlus Mabele et le doyen des stars Manu Dibangu (une grande partie du succès du regretté Michael Jackson est dû au « Makossa » du grand Manu. Merci Manu ! Nous te rendrons hommage au moment venu ! Ceux des Congolais ou des Camerounais qui ont encore dans leurs placards le disque 33-Tour de la Coupe d’Afrique des Nations 1972 peuvent encore se réjouir de la chanson originale.)
L’Afrique de 2020, avec ses réalités, ses manques, ses mensonges, ses censures, ses non-dits, risque de payer le prix fort de cette pandémie sans précédent depuis un siècle. Au Congo-Brazzaville pour ne citer que ce pays où le mensonge officiel et le déni de la vérité font partie des « valeurs normales de commandement », jusqu’au Vendredi 27 Mars 2020, on ne parlait que de 4 cas. Ignoble et cruel mensonge. Alors que la globalisation a rendu les échanges et voyages des personnes plus fluides à travers la planète, parler de 4 cas quatre mois après les premiers cas en Chine est d’une déconcertante inconscience. Le Gabon, l’Angola, …, ne sont pas loin de ces chiffres qui tous sonnent faux. Les femmes, maîtresses et enfants des dignitaires africains allaient pour beaucoup faire leurs emplettes (courses) en Chine, à Dubai, à Paris, … où ils ont assurément contracté le virus, l’ennemi invisible. Les africains, les congolais, les gabonais, les angolais se mentent à eux-mêmes.
Parmi ces mensonges en Afrique, il y en a même ceux qui viennent des médecins, des gens de qui pourtant les populations attendent vérité et assurance. Certains disent disant même que le virus est vite neutralisé par des températures (africaines) supérieures à 20oC. On Ou voudrait bien le croire et l’espérer. Aucune preuve scientifique n’a attesté cette thèse.
Autres jolis mensonges en Afrique : des couvre-feux (entre 19h et 6h du matin) en majorité instaurés par des pouvoirs militaires dictatoriaux, limitant les mouvements de citoyens (déjà très dépourvus) entre seulement 7H du matin et 18H. Comme si le coronavirus ne se transmettait seulement qu’entre 19h et 6 h du matin. Mensonges à nos propres consciences. Que de ballets de mensonges, de morts, de faux mots, des peurs réelles, de fausses solutions, des dans angoisses quotidiennes, et des injustices sans solutions.
Et enfin … quelques petites et tristes vérités dans tout ceci :
Dans ces ballets de mensonges et de vraies peurs, de souffrances et de familles endeuillées, que voit-on ? On y voit Des corps médicaux débordés et angoissés, des médecins qui tombent, des élus qui sont fauchés, des rues tristement vides et des magasins fermés comme à l’approche d’une épouvante, des écoles et universités fermées presque partout dans le monde entier, des enfants et parents enfermés dans des maisons sans autres formes de secours, sauf celui venant certainement de Dieu. Et en même temps, des questions qui trottent les têtes. Y-aurait-il une petite poignée de personnes qui savent et détiennent la vérité sur cette pandémie qui nous hante tous, sur ce virus qui nous chasse tous ? Seraient-elles là, ces personnes, quelque part assises dans ce monde devenu un petit village trop vulnérable, en train peut-être de ricaner, mais aussi peut-être surpris par les dimensions apocalyptiques prises par leur créature ?
Il est vraiment difficile de ne pas se poser des questions de bon sens sur les origines de ce virus , si virulent. Croire que ce coronavirus est le résultat d’une transmission banale et hasardeuse entre les animaux et les hommes n’est pas aussi vite accepté par ce même bon sens !!!! Cela fait des millénaires que les chinois, africains, indiens, européens, asiatiques, … consomment des animaux et oiseaux et nul pareil virus n’est jamais apparu dans un marché à animaux comme celui de Wuhan en Décembre 2019. Même Ebola n’a jamais fait plus de 12 ou 15,000 morts en moins de 5 moins ou en une saison entière.
Une autre vérité aussi qui mérite d’être mentionnée ici avec force et énergie, est le fait que ni le virus de la pandémie de 1918-1919, ni le coronavirus de 2019-2020, ni les virus H1N1, ni les pandémies des pestes européennes des 13ème ou 14ème siècle, aucun mais alors aucun n’a jamais trouvé son origine sur le sol africain, comme par bonheur pour ses enfants. Mais le bonheur s’arrête juste là, car ces mêmes africains hélas n’échappent guère aux ravages injustes de la présente crise mondiale comme d’ailleurs des autres épidémies venues d’ailleurs. Avec le temps, nous apprenons que le virus du Sida aurait été une vraie création humaine. Certains assertent que cela aurait été fait pour cibler certaines populations du monde. L’homme est un loup pour l’homme. Triste vérité !
Je voudrais terminer ce texte en rappelant la philosophie principale d’un des grands auteurs africains qui, dans la majorité de ses écrits, aimait à nous rappeler que: « L’Homme est la Solution à l’Homme. » Son nom : Ousmane Sembène, surtout dans Le Mandat dans les Bouts de Bois de Dieu. Nous urgeons les créateurs de ce monstre bactériologique, s’ils existent et s’ils sont humains, de mettre à la disposition de l’humanité l’antidote de leur créature. En attendant, prenez minutieusement soin de vous, de vos proches. Essayez quand même de vous laver les mains, de mettre des conditions d’hygiène, de vous protéger contre cet ennemi invisible ; sinon l’Afrique risque de payer le prix lourd de la bêtise. Sauf si, comme le prétendent certains, et espérons que cela soit vrai, les milieux favorables à ces virus sont les zones tempérées, ce qui pourraient donner un peu de soulagement naturel à l’Afrique.
J’ai dit !
Bissa Bô. Diffusé le 04 avril 2020, par www.congo-liberty.org