CONQUÊTE, RÉSISTANCE ET TERREUR EN AFRIQUE-EQUATORIALE FRANÇAISE : Un passé colonial oublié du bassin de l’Alima-Nkeni

En 1900, l’empire français est en marche aux quatre coins du monde. En Afrique centrale, Paris institue un impôt de capitation qui mettra le feu au poudre. Après l’institution de ce racket, les Français passent à l’application d’une stratégie de mise en condition des populations par l’exercice d’une terreur de masse. Survivant d’un de ces massacres, Mgr Benoît Gassongo a capté des moments où s’exerça cette terreur de masse reléguée dans le silence du temps et de l’oubli, que l’auteur interroge pour exhumer un passé colonial ignoré des génération actuelles.

Cliquez sur ce lien pour acheter le livre

Ce contenu a été publié dans LIVRES A LIRE. Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Une réponse à CONQUÊTE, RÉSISTANCE ET TERREUR EN AFRIQUE-EQUATORIALE FRANÇAISE : Un passé colonial oublié du bassin de l’Alima-Nkeni

  1. LE CANNIBALE SASSOU, L'ENFANT CHERI DE LA FRANCE dit :

    Disons le que notre colonisateur est le peuple le plus barbare de la terre, qu’est ce que les congolais ont fait a la France pour qu’elle nous impose un cannibale. Quel conflit sur cette terre ou les hommes ne se réunissent pas. Combien des personnes sassou mange-t-il par jour? La seule cargaison militaire au Congo est celle qui se trouve a OYO après que sassou est tout detruit, cette base entretenu par la France. C’est de cette base que partent les armes qui tuent, les bébés, les enfants et les femmes dans le Pool.

Laisser un commentaire