L’effondrement progressif (par usure du pouvoir) de l’autorité du ministre de l’Intérieur, Raymond Zéphyrin Mboulou, ne relève plus de la rumeur ni de la simple critique institutionnelle. C’est un fait avéré et observable à travers l’incapacité manifeste de ce dernier à garantir l’ordre légal, à structurer le champ politique et à contenir les dérives sécuritaires. Ce que révèle cette impuissance n’est pas seulement une incompétence ministérielle, mais aussi un point de basculement du régime caractérisé par la perte du monopole régalien, la fragmentation du pouvoir et la mise en péril de l’unité républicaine.
Avec Mboulou, le Congo est passé de l’illusion d’une autorité ministérielle à l’implosion silencieuse du champ politique. Marchand des boeufs avec l’argent de la présidence, Secrétaire général adjoint de la présidence de la République et ministre de l’Intérieur depuis plus de 20 ans, Mboulou, ancien de l’ENA de Brazzaville à l’époque du CESB, incarne désormais une autorité d’apparat, privée de ses attributs essentiels. Le ministère de l’Intérieur, cœur logistique et politique de tout État, ne maîtrise plus les forces, ne pilote plus les dynamiques politiques et sociales, et surtout, ne filtre plus l’information stratégique qui structure la sécurité. Maître Bob Kaben Masuka par exemple, suspecté d’être dans le collimateur des concepteurs de la marche de contestation du 10 juillet a été pris à l’insu du procureur de la République et est introuvable par ses parents et confrères qui croyaient que ce dernier était à la CID; la recrudescence des bébés noirs, etc., démontrent à l’évidence que le pouvoir sécuritaire réel a migré vers des officines informelles, notamment des commandements spéciaux et certains cercles militaires tribalisés. Mboulou s’adonne plus à la chasse des petites filles et de l’argent qu’à gérer l’administration sécuritaire. D’autres preuves de sa mauvaise gouvernance nous sont données par la rareté des passeports et les arrêtés qui ont exclu du champ politique des formations politiques du PSDC, RDD héritière du général Yhomby Opangault ! Tout un symbole qui traduit l’exaspération des Koyos face à l’humiliation d’un pouvoir qu’ils avaient pourtant conquis de haute lutte aux kongo sans que jamais un Mbochi ne lève le doigt en 1968 (A la création du PCT, Sassou n’était alors que le « petit copté » de Ngouabi, Yhomby, Ndala). Le CNR de Ntoumi, représenté à peine dans quelques départements n’a pas été suspendu, idem pour le PCT qui est dans l’illégalité. L’érosion de l’autorité de Mboulou a entraîné une désorganisation profonde du champ politique. La structuration des partis, la régulation des campagnes électorales, la médiation des conflits territoriaux ou sociaux, toutes ces fonctions régulatrices sont désormais soit abandonnées, soit gérées à la carte par des acteurs paraétatiques, au service d’agendas claniques. La politique au Congo fonctionne actuellement comme un archipel d’initiatives disjointes, portées par des pôles de pouvoir rivaux : aucun d’entre eux ne reconnaît de fait la prééminence du ministère censé les coordonner. Cette dissolution de l’espace politique centralisé provoque une perte du lien civique et crée une gouvernance par zones grises, où l’opacité, la rumeur, la peur et le clientélisme remplacent le débat public, les procédures et les règles. Le PCT en est la caricature la plus ubuesque. Les déclarations faites par mon ami Iloki et Cie témoignent d’une schizophrénie.
Délégation informelle de la sécurité intérieure à des forces illégitimes
L’incapacité de Mboulou à imposer la primauté de son ministère dans les affaires de sécurité a ouvert la voie à une externalisation illégitime et dangereuse des fonctions régaliennes. Les forces spéciales (CID, GSPR, DGSP, GR, groupes rattachés aux clans présidentiels ou militaires) mènent souvent des opérations sans supervision, sans transparence et en totale violation des droits fondamentaux. Les instructions ne viennent plus du cabinet ministériel officiel seulement, mais des cercles claniques de la présidence ou de relais politiquo – militaires. On assiste à la naissance d’un système sécuritaire dual, où l’État officiel et l’État réel se concurrencent sur un même territoire. Cette situation, en rupture avec toute tradition républicaine, constitue une menace directe pour la stabilité du Congo, car elle érode la confiance dans les institutions et alimente la tentation de la contre-violence ou de la rupture. Elle explique l’irruption des pseudos candidats autoproclamés de l’opposition en réalité des accompagnateurs de Sassou en l’absence des garanties de transparence électorale. Une véritable comédie.
Une transition inavouée vers une guerre de succession
La passivité de Mboulou n’est pas neutre. Elle est exploitée comme une fenêtre d’opportunité par les différentes factions du pouvoir qui s’organisent, en coulisses, en vue de la succession de M. Sassou. 6 grands blocs se dessinent : le 1er, centré autour de JDO ; le 2è, porté par Jean-Jacques Bouya, cherche à réorganiser le pouvoir autour d’un axe techno-infrastructurel, avec le général Serges Oboa et Raoul Ominga entre autres ; le 3è, plus diffus, regroupe les forces de l’axe Ollombo-Gamboma, sous l’égide des officiers comme Pierre Oba, Nianga Ngatsé Mbouala, René Nganongo, Bienvenu Ebissou ou Aristide Ngakosso auxquels s’agrippent Pierre Ngollo, ya Bruno Jean Richard Itoua, Ludovic Ngatsé; le 4ème, le groupe de Denis Christel Sassou; le 5è, etc. Dans ce contexte de fragmentation avancée, l’absence de leadership politique au ministère de l’Intérieur contribue à attiser les rivalités, chaque faction testant ses capacités d’influence, de mobilisation et de contrôle territorial ; La guerre de succession, encore larvée, pourrait s’intensifier dans les mois à venir, d’autant plus que le pouvoir ne dispose plus d’une autorité centrale forte capable d’arbitrer. La récente loi réorganisant la gendarmerie et la police vient couronner ce chaos dans lequel le DGPN André Fils Obami Itou souffle le chaud et le froid. C’est bel et bien l’avenir des Mbochi (en réalité des dignitaires mais pas 92°/ des Mbochi) réclamé par le général Dabira et proclamé par le général Nianga Mbouala qui se profile à l’horizon. Conséquences, M. Sassou nommera bientôt des nouveaux officiers généraux et autres cadres à des hautes fonctions avec le concours de Françoise Joly pour contrecarrer…(Nous y reviendrons)
Ghys Fortuné DOMBE BEMBA
Cher Dombe Bemba , sachiez que la situation actuelle du pays n’est qu’une parenthèse malheureusement qui perdure, parce que nous ne sommes pas à la hauteur ! Notre République du Congo et le vive ensemble s’est arrêté depuis Octobre 1997 avec le coup force de Sassou Denis. Ce dernier dans son courrier au général Yves Motando du 07 Janvier 2000 est formel . Sassou Denis écrit, nous devons continuer, de nous appuyer sur la force, comme moyen essentiel de conservation de pouvoir contre les bakongo . Que le retour de la paix avec une élection transparente, signifie la perte du pouvoir . Mboulou , NToumi et les autres sont au service de Sassou Denis pour faire durer cette Barbarie Mbochi. Les congolais du sud Congo doivent s’élever pour rétablir la république congolaise et sa constitution de mars 1992 .
Au peuple Congolais dans son ensemble il faut absolument un sursaut d’orgueil et d’amour du Congo pour le sortir de l’ornière.
Nos ancêtres ont souffert de la déportation forcée hors du continent,vers les terres lointaines pour être mis esclavage pendant des siècles et l’autre esclavage sur place dite colonisation qui continue toujours jusqu’à nos jours avec les valets locaux comme facitateurs et représentants des maîtres.Prenez conscients car ce monde cruel et complexe est divisé entre les maîtres et les esclaves chose que d’autres peuples sérieux et coriaces combattent avec courage et détermination.
Réveillez vous ,sortez de la distraction et battez vous car personne d’autre ne fera le boulot à votre place.
les mbochis sont nes du metissage des Ngalas avec les Tekes-alima.Ils sont a plus de 70percent Tekes d ou les noms Nguesso,Ngolo,Ngobila,Ngakala,Ngakosso,Amboulou,Ngalefourou,Ngatse/Ngantsie..etc.
Le peuple Congolais dans son ensemble doit absolument mettre un terme à cette bêtise cinquantenaire de la fripouille et ses amis du Pct.Cette comédie n’a que trop durée.Avec tout le pognon de la manne pétrolière et d’autres recettes ne Congo ne devrait pas être dans cet état moyenâgeux.Il serait au même niveau du développement que les Emirats Arabes Unis avec des infrastructures ultra moderne où la caste mafieuse aime aller faire la Java, acheter les quartiers entiers et cacher les deniers publics volés.Le peuple Congolais a besoin des gens hors des clivages ethniques qui ne sont que des problemes artificiels créés par les agents du Pct pour pouvoir exister qui en réalité n’existe pas entre congolais.Ce pays a besoin des hommes et femmes pugnaces, rassembleurs,compétents, dignes et capables de travailler pour l’intérêt général et sortir le pays de l’ornière.
Les pseudos élections une énième farce dictée par les maîtres des valets locaux pour prendre toujours certains congolais pour les dindons de la farce.
Bref ce pays a besoin des gens qui vont réformer tout,l’organiser, réorganiser tous les villages,les réaménager,reconstruire des maisons dignes, stabiliser l’exode rural, choisir les zones et terrains pour faire sortir de terre des villes avec l’approche culturelle congolaise puisque ce pays n’a jamais construit de villes ainsi faire le plein emplois comme au temps du Président Massamba Débat et loger dans les villages et villes toutes les populations congolaises dans les bonnes et dignes.Au lieu de nous faire chaque les bricoles et coincées où les colons avaient construit à coup de milliards doublé de l’ingénierie de la surfacturation avec outrance.
Comment avec tant de pognon le peuple peut manquer de tout et surtout vivre dans les conditions très précaires.
Oust la fripouille et sa clique.
6 grands blocs se dessinent : le 1er, centré autour de JDO ; le 2è, porté par Jean-Jacques Bouya, cherche à réorganiser le pouvoir autour d’un axe techno-infrastructurel, avec le général Serges Oboa et Raoul Ominga entre autres ; le 3è, plus diffus, regroupe les forces de l’axe Ollombo-Gamboma, sous l’égide des officiers comme Pierre Oba, Nianga Ngatsé Mbouala, René Nganongo, Bienvenu Ebissou ou Aristide Ngakosso auxquels s’agrippent Pierre Ngollo, ya Bruno Jean Richard Itoua, Ludovic Ngatsé; le 4ème, le groupe de Denis Christel Sassou; le 5è, etc
SOUS DAUTRES CIEUX TOUS CEUX DONT VOUS VENEZ DE CITER VOUS ADRESSAIENT UNE PLAINTE SOLIDAIRE ET ON VOUS CONDAMNAIT A CINQ ANS VOIRE 6 DE PRISON FERME.
mais bon on est a brazza les gens ne sy connaissent pas en matiere datteinte a la personnalite
vous dites « ya bruno richard itoua » vous etes des amis? vous vivez ensemble au quartier?
vous dites ceci
Avec Mboulou, le Congo est passé de l’illusion d’une autorité ministérielle à l’implosion silencieuse du champ politique. Marchand des boeufs avec l’argent de la présidence
avec « mboulou » c’est votre ami?
mberi martin avait ete ministre de linterieur sous p lissouba. comment etait le congo?
pour rappel du temps de mberi martin la police nationale etait composee des seuls aubevillois qui travaillaient du centre ville de brazzaville jusqu au ccf. au dela du ccf la police nationale etait assuree par les ninjas de mr b kolelas ce qui etait illegal et anti constitutionnel. les ninjas n’avaient pas la qualite d’agents publics.
pourquoi mr pascal lissouba navait il pas juge b kolelas? alors comment etait le congo a cette epoque?
c’est mberi martin ministre de l’interieur qui avait impose un blocus a bacongo. finalement c’etait mieux. mberi ne voulait plus voir les laris a partir du ccf, et il vous avait laisse bacongo et makelekele pour vous pavaner. on aurait du l’accompagner dans cette tache mais bon a cette epoque NOUS PENSIONS QUE VOUS SOUFFRIEZ
marchand de boeuf? non mais on peut vous attraire devant un juge c’est une insulte mr
au post emis a 06:24
LA BETISE SERA CENTENAIRE ET MILLENAIRE
vous dites ceci
Le ministère de l’Intérieur, cœur logistique et politique de tout État, ne maîtrise plus les forces, ne pilote plus les dynamiques politiques et sociales, et surtout, ne filtre plus l’information stratégique qui structure la sécurité
vous etes surs de vos ecrits? coeur logistique et politique de tout etat? non mr.
vous connaissez la logistique vous? et que diriez vous du ministere du developpement industriel?
mr ghys
vous n’avez aucune competence en logistique. la logistique militaire est differente de la logistique sanitaire qui est differente de la logistique industrielle ….
la logistique industrielle dune cimenterie na rien avoir avec le ministere de l’interieur dont certains achats sont groupes avec ceux de la defense nationale
les deux departements police et armee utilisent parfois les memes vehicules 4X4
vous netes pas un expert
la politique ne se limite pas aux partis politiques mcddi upads pct….
meme au ministere de leconomie et des finances il y a une UNITE DES POLITIQUES ECONOMIQUES cest cette unite qui discute avec la bad la banque mondiale la bdeac …. dans l’evaluation des politiques publiques
le terme politique est polysemique. pensez vous etre serieux une fois vous a la presidence de la rep?
sin on suppose qu en 2026 vous etiez du departement communication du cnr de frederic bintsamou certainement vous le soutenez vous navez pas change
vous serez des gens serieux a la presidence?
Ah..ah Pierre Martin alias Ponyo Matata alias Fonseca alias Opimba alias DSD alias Noko.L’un des pigeons de la fripouille et grand propagandiste du système criminel du Pct sur la place de Paris.De l’autre côté du majestueux fleuve Congo chez nos frères un certain Sakomi faisait la même chose pour un autre système criminel comme le votre qui a détruit ce pays et a laissé des séquelles qui font encore très mal à ce grand peuple.Noko, le site congoliberty c’est l’un des compas de la presse congolaise en ligne.Un espace sérieux,des gens sérieux ou on parle de sujets sérieux et cela vous emmerde.Pourquoi ne vas -tu pas voir tes amis de la secte Pct sur votre journal dont vous avez confié la gestion au mercenaire devenu riche au Congo qui a échoué dans la presse dans son pays.Vous aimez tellement le mercenariat même un petit journal vous êtes incapables de donner sa gestion à un Congolais.Vas voir la Pravda d’Oyo où on ne parle que de la fripouille l’enfant de pauvre paysans comme tous les agents du Pct et l’homme qui ne pouvait pas gérer sa petite famille dans les années 60 .Sans etoffe,devenu valet des empires et serviteur des intérêts obscures étrangers au Congo et multimilliardaire par le vol des deniers publics.
Tel père tel fils ,tel père telle fille.Une famille des escrocs hommes et femmes.
Vas lire la Pravda d’edou ici on parle des choses sérieuses du Congo.
Vas faire la fête à Dubaï ou à Oyo,la fripouille va probablement organiser un mariage princier ces jours avenir.Vas amuser la galerie là bas.