Les 630 participants au dialogue alternatif initié par l’opposition et quelques formations de la majorité ont rendu leurs conclusions, mercredi 29 juillet. Ils appellent le peuple congolais à la « résistance pacifique » face aux velléités du pouvoir de changer la Constitution en vue du maintien au pouvoir du président Denis Sassou-Nguesso en 2016.
C’est sous des applaudissements nourris que les leaders de l’opposition sont arrivés à la clôture du dialogue alternatif ce dimanche à Brazzaville, une initiative en réponse au dialogue national organisé auparavant par le pouvoir à Sibiti.
Devant une foule attentive, le député Mabio Mavoungou-Zinga, du Rassemblement pour la démocratie et le progrès social (RDPS) a fait la lecture de « l’appel de résistance pacifique » face aux velléités du pouvoir de vouloir changer la loi fondamentale.
« Nous participons au dialogue national alternatif sous le respect de l’ordre constitutionnel et l’alternance politique démocratique en 2016, appelant le peuple congolais à la résistance héroïque pour défendre l’ordre constitutionnel au cas où celui-ci venait à être violé », a clamé Mabio Mavoungou-Zinga.
Paul-Marie Mpouélé, président du présidium des travaux, a qualifié ce dialogue alternatif de « transversal » et l’a présenté comme « l’antithèse de celui de Sibiti ». Il a également exigé que la présidentielle de 2016 soit tenue « dans les délais constitutionnels ».
« La Constitution du 20 janvier 2002 nous rappelle notre devoir de citoyen de défendre la démocratie lorsque celle-ci est menacée et c’est le cas aujourd’hui », a martelé Gilda Moutsara Gambou, une des participantes à ce dialogue alternatif qui a rassemblé des membres de nombreux partis d’oppositions, parmi lesquels des représentants du Front républicain pour le respect de l’ordre constitutionnel et l’alternance démocratique (Frocad), du Mouvement Congolais pour la démocratie et le développement intégral (MCDDI) ou encore de la Convention pour l’action, la démocratie, et le développement (CADD).
Ces conclusions seront transmises dans un bref délai au chef de l’Etat, par l’entremise du ministre de l’Intérieur, Raymond Zéphirin Mboulou.
Au terme de cette déclaration, les signataires affirment quatre points essentiels :
1. Ils affirment leur « engagement de rester unis et solidaires et de mutualiser [leurs] moyens et ressources en cas de passage en force ».
2. Ils proclament que « la résistance à l’oppression est un droit naturel qui ne nécessite aucun protocole ».
3. Ils « prennent la communauté internationale à témoin de [leur] volonté de sauvegarder de manière pacifique et concertée les acquis de la démocratie validés par la conférence nationale souveraine ».
4. Ils « appellent le peuple congolais à la résistance héroïque pour défendre l’ordre constitutionnel au cas où celui-ci viendrait à être violé ».
Maintenant que toute la classe politique opposée au changement de la constitution est debout et unie comme une seul homme. Nous attendons a présent que sassou et ses sbires annoncent leur funeste projet du référendum. Sassou nous ne voulons plus de toi. Tous tes crimes de tous genre commis sur le peule congolais ne resterons pas impunis. Et d’ailleurs le peuple congolais s’est toujours posé la question sur l’animosité que tu as fait montre a leur égard alors que tu étais la pour concilier tout le monde et leur apporter le strict minimum vital.
Au regard de tout ce qui s’est passé à Diata…..on peut conclure que NIAMA APASSI OKIAAH…..
L’ARMÉE CONGOLAISE DOIT COOPÉRER AVEC LE PEUPLE CONGOLAIS, CAR C’EST ELLE QUE DOIT FAIRE RÉUSSIR LE CHANGEMENT VOULU ET SOUHAITÉ PAR TOUS
PIERRE NGOLLO,,,,, va vououou……NON LODOUA POOOHH
Voilà c’est cela qu’il fallait faire depuis longtemps.
La démocratie que vous demandez à Sassou. ,C’est cela. Il parle, vous apportez la contradiction.
Il a ses supporters généralement, des opportunistes et des profiteurs, mais vous vous avez des militants et sympathisants à votre cause. Une cause nationale.. L’obscurité contre la lumière. Le droit contre le désordre.
Cessez de pleurnicher.
Ou avez vous vu un lion abandonner sa proie de son gré,sinon sous la menace des canines,molaires et gencives. des hyènes.cent fois plus petites que celles du llon.
Bonne chance
.
On ne fait pas du propre avec du sale – car le sale salie tout naturellement le propre. Il faut donc du propre et du neuf du Nord au Sud et de l’Est à l’Ouest pour éviter que le pays soit submergé dans l’instabilité politique chronique avec la chute de Monsieur Sassou Nguesso.
L’homme politique congolais s’est toujours servit du débat sociopolitique, socioéconomique et sociétal mais ne l’a jamais nourrit.
Il est en effet, responsable de rien, ni même de l’inventaire de son mandat passé ou encours. Sinon, ça se saurait depuis de nombreuses années sur l’échiquier sociopolitique.
Par conséquent, une période de transition politique de 3 ans sera nécessaire pour la remise aux normes structurelles, conventionnelles et contractuelles de toutes les sphères politiques et sociétales de l’état et de la nation congolaise: restaurer l’état et son autorité, mettre en place les enjeux du devoir de mémoire de toutes victimes liées à l’intolérance politique (justice obligatoire, condamnations sans condition, réparation et indemnisation des familles de victimes en numéraire et ou en biens immobiliers, construction d’un grand mémorial des victimes, réconciliation, etc), confiscation éventuelle de biens mal acquis, repenser les institutions nouvelles, penser et repenser les nouveaux modèles économiques, de la condition humaine, du cadre de vie et puis préparer ensemble le nouveau fichier électoral et tenir dans la transparence, les prochaines présidentielles, législatives et locales.
C’est assez navrant de constater que ce régime criminogène, liberticide et kleptomane a non seulement pris en otage tout un peuple, mais s’est accaparé de toutes les richesses nationales et tous les biens de l’Etat au point d’en priver la jouissance aux forces vives du pays. Les appareils politiques de l’opposition ainsi que la société civile réunies et ayant l’appui du peuple souverain constituent désormais une majorité écrasante et une force redoutable, Comment dans ces conditions comprendre que ce régime puisse pousser l’outrecuidance jusqu’à humilier ce peuple au point de lui imposer la tenue d’une réunion de cette ampleur dans un cadre inapproprié? Au Congo, la saison sèche bat le plein et le dialogue alternatif des ténors de l’opposition et ministres du gouvernement s’est tenu en plein air. Quelle image donne-t-on du pays auprès de la communauté internationale? A l’évidence, une telle situation est symptomatique du triomphe de la démocrature, l’autocratie, la dictacture et la tyrannie incarnées pas l’effroyable tyran sanguinaire des bords de l’Alima. Pitoyable!
APPEL AUX LEADERS DE L’OPPOSITION
mIEUX VAUT TARD QUE JAMAIS. JE VOUS FELICITE POUR VOTRE INITIATIVE.
vOICI CE QU’IL RESTE A FAIRE..
vOS CONCLUSIONS EN TANT QUE ASSOCIATIONS POLITIQUES REGIS PAR LE DROIT ET RECONNUES PAR L’ETAT DOIVENT ETRE NOTIFIEES A LA COUR CONSTITUTIONNELLE
VOUS DEMANDEREZ ENSUITE QUE LA COUR DECLARE COMME FRAPPE DE NULLITE LE DECRET CONVOCANT LA REUNION DE SIBITI POUR VICES DE FORME ET DE FOND.
LA COUR SERA APPELEE AUSSI A STATUER SUR LA PROVENANCE DES FONDS QUI Y SERVI A L’ORGANISATION DE CETTE REUNION
SAISIR AUSSI LA COUR DE JUSTICE DE LA CEMAC A PROPOS DE CE DECRET.
fAITES COPIE A LA COUR DE JUSTICE DE L’UA .
VOUS
Je trouve les conclusions de ce dialogue très transcendantes et appellent tous les démocrates et patriotes sincères d’abord à crucifier tous les participants à celui Sibiti, des personnes aux petites vertus et aux mœurs légères d’une part et à leur bannir la route pour faire la politique;
Nous demandons aussi aux autorités congolaises, aux policiers, aux militaires, a la famille et aux amis de Sassou Nguesso de laisser les congolais manifester leur mécontentement. Manifester est un droit inaliénable en démocratie. Nous espérons que les armes lourdes ne sortiront pas pour tuer nos compatriotes qui ne demandent qu’a respecter et faire respecter leurs droits et obligations, leurs intérêts en tant que congolais. Accepter qu’on critique votre façon de gouverner le pays et votre comportement de voleurs, pilleurs, assassins, dictacteurs insoucieux et inconscients de la souffrance du peuple et surtout le fait que vous ayez accapar’e les nombreuses richesses du pays pour laisser la majorité des congolais dans la misère, la faim, portant des vêtements déchirés, marchant pieds nus, dormant dans les cases insalubres faute de moyens financiers. Vous avez laisser le pays au niveau de vie du moyen-âge, alors que vous et vos enfants menez une vie extravagante qui n’est pas necessaire et que vous ne meritez même pas. Votre incompétence est très visible, alors :ALLEZ VOUS EN. Laissez la place a ceux qui aiment le pays, qui ont une vision, de l’amour et de la volonté pour moderniser le pays et améliorer les conditions de vie des congolais. Nous sommes loin du pays mais nous manifestons en vous critiquant sur ces sites et pages congolais. ÉCOUTEZ ET AllEZ FAIRE AUTRE CHOSE. Vous n’avez pas le sens de la gestion des biens publics et vous n’êtes pas responsables, pas même dans des petites choses. Vous avez usurper les fonctions de dirigeants et vous régner avec des methodes qui utilisaient nos analphabètes ancêtres: vous aimez la guerre et vous perdez du temps a préparer la guerre contre votre propre population au détriment de la création d’emplois et des richesses.
Né à Ingouélé, près de Gamboma, dans le département des Plateaux, Mathias Dzon est un cadre discret de la Banque des États d’Afrique centrale (Béac), jusqu’à sa nomination à la tête de la Banque internationale du Congo (Bidc), en 1985, par le chef de l’État, Denis Sassou N’Guesso. Dès lors, le grand public le découvre.
Docteur d’État en sciences économiques, Mathias Dzon crée, en 1991, l’Union patriotique pour le renouveau national (Uprn), son parti politique, en compagnie de ses amis de l’Aec (Association des étudiants congolais), Ganfina, Bouity, Elo Dacy, etc.
Lors de la Conférence nationale souveraine, en 1991, il est candidat malheureux à la Primature. Il n’a pas fait le poids face aux autres candidats, et surtout, à Milongo, ancien fonctionnaire de la Banque mondiale, élu Premier ministre de la Transition. Aux premières élections de la nouvelle ère démocratique, il est député de Gamboma. Après son départ de la Bidc, il retrouve la Béac, le 15 mars 1995, en qualité de fondé de pouvoir à l’agence de Pointe-Noire. La guerre éclate en juin 1997.
À la fin de la guerre, il entre dans le gouvernement de Denis Sassou N’Guesso dont il est l’un des fidèles alliés. Il est propulsé au poste de ministre des Finances, le 2 novembre 1997. Mathias Dzon réussit, tant bien que mal, à remettre à flot un système financier déglingué. Mais le 18 août 2002, il est remercié et quitte le gouvernement. Il réintègre alors l’agence de la Banque des États de l’Afrique centrale. Lors de la 6ème session du conseil d’administration de la Béac, il est nommé en qualité de directeur national de cette banque, à Brazzaville. C’est un homme du sérail qui connaît bien cette maison.
Depuis sa mise à la retraite, il se consacre entièrement à la politique. De nombreux candidats se bousculent au portillon de l’élection présidentielle de 2009 : Anguios Ganguia Engambé, Bertin Pandi Ngouari, Clément Mierassa, Bonaventure Mizidy-Bavoueza, Guy-Romain Kinfoussia, Denis Sassou N’Guesso, Jean Ebina, Joseph Houdjuila-Miokono, Michel-Marion Madzimba-Ehouango, Joseph Kignoumbi-kia-Mboungou, Jean-François Tchibinda-Kouangou et Antoine Thomas Nicéphore Fylla Saint-Eudes ; Mathias Dzon est le candidat de l’Alliance nationale pour la démocratie (And), une plateforme des partis de l’opposition, après avoir appelé au boycott de ce scrutin. À l’époque, j’écrivais dans la Semaine Africaine, un article intitulé, 2009, un boulevard pour Sassou Nguesso. En effet, l’opposition au président sortant était anecdotique. La victoire de Denis Sassou N’Guesso ne faisait l’ombre d’aucun doute. Les résultats en font foi : Mathias Dzon est quatrième, derrière le vainqueur, Sassou Nguesso, Kignoumbi et Nicéphore Fylla Saint-Eudes. Le jour de la proclamation des résultats de cette élection, une frange de l’opposition organise une marche de protestation dans les artères de Brazzaville, sans résultat probant.
Depuis sa croisade contre le changement de la Constitution du 20 janvier 2002, Mathias Dzon fait partie de ce qu’il appelle, non sans forfanterie, la « vraie opposition ». « Tous les partis opposants sont à Brazzaville. Sibiti est un bled élevé en pleine forêt », déclarait-il récemment, pendant que le dialogue se tenait dans le chef-lieu du département de la Lékoumou. Des propos qui n’ont pas manqué de déclencher l’ire des sages de Sibiti.
Il ferraille avec l’énergie du désespoir contre le pouvoir en place, depuis qu’il a rejoint l’opposition. Il pourfend, avec un air de componction, toutes les initiatives de discussions citoyennes, Brazzaville, Ewo, Dolisie et, récemment, Sibiti. Jusqu’où ira-t-il dans cette opposition, dont les partitions, jusqu’à saturation, sont jouées sur les médias étrangers qui ont trouvé, comme on dit, « un bon client ». Peut-on, lorsqu’on vise le pouvoir suprême se satisfaire d’une opposition médiatique ? À l’évidence, non. Il en faut plus, sans doute.
MFUMU
Jeudi 30 Juillet 2015 – 13:15
http://adiac-congo.com/content/mathias-dzon-36184
Je suis satisfait des travaux de l’Opposition unie. Ses conclusions rejettent la fraude, la violence, la cupidité qui ont toujours caractérisé Sassou en politique.
Votre combat est celui de la fierté, de l’éthique et non celui qui galvanise la honte, ou un quelconque coup d’Etat.
Désormais une seule attente impérative avant les élections : la révision du fichier électoral.
Il n’y aura point d’élections en 2016, sans un fichier électoral fiable, revu et adopté par vous tous. Surtout, ne lâchez rien, les compatriotes jugeront chacun d’entre vous.
Que le Congo triomphe! Tel doit être notre défi commun.
Une bouffée d’oxygène qui nous fait espérer un avenir sans la corruption, sans la dictature, sans
le tribalisme : une espérance pour le peuple qui souffre tant.
Merci d’avance.
La race d’hommes politiques qui a fait du nihilisme sa seule raison d’exister sort de ses trippes leur refus du dialogue. Des politiques dont les formations politiques, pour la plupart n’existent que de nom, au sortir de leur monologue viennent de promettre la violence au peuple congolais.
Des intellectuels de leur trompe feignent d’ignorer ce qu’est un dialogue national, même si on venait à lui adjoindre l’épithète d’alternatif. Un dialogue dit national ne pouvait pas seulement enregistrer la participation que des opposants radicaux et de quelques aigris, insatiables et avides d’argent et d’éloges de la majorité présidentielle. A ce soi-disant dialogue il n’ya eu ni la présence des confessions religieuses, ni des syndicalistes, ni des associations œuvrant dans le social, dans la promotion des droits de l’homme ; bref il s’est agi d’une Assemblée générale des partis et individualités politiques sollicitant une place au soleil.
Qu’est ce qu’ils ont dit au cours de ce monologue, qu’ils n’auraient pas pu dire lors des consultations initiées par le Chef de l’Etat ou lors du Dialogue National inclusif de Sibiti, si ce n’est le fait de s’opposer pour le plaisir de s’opposer, sans rien proposer. Ce sont des gens qui s’excluent eux pour plaisir à la communauté nationale et internationale. Heureusement leur mauvaise foi a été mise à nu.
Réunion de l’opposition radicale, une assemblée générale des revendications
A la lecture des conclusions de l’assemblée générale radicale, qu’elle qualifie à tort de dialogue national alternatif se dessine l’entreprise suicidaire dans laquelle elle voudrait s’engager, avec pour obstination faire avaler à la population congolaise des couleuvres. Parce qu’un dialogue national, c’est un consensus autour des questions d’actualité de la République, ce n’est pas un étalage des revendications, accompagnées des menaces. Faut-il passer au crible de la raison nature des ténors de ce radicalisme pour s’en convaincre ?
@ Congo Ma partie,
Au lieu de dire n’importe quoi et de vous poser des questions, il vaut mieux pour vous de mettre bout à bout les deux conclusions du monologue du PCT de Sibiti et du Dialogue de Diata pour voir ce qui opposent les deux camps au lieu de jouer à l’idiot unitilement.
Pour vous aider à mieux comprendre,il faut que vous sachiez qu’ au monologue du PCT de Sibiti, il n’y a eu aucun consensus autour du changement de la constitution où trois tendances se sont dégagées malgré le fait que le PCT était assistée de ses amis guirisés:
1- On change la constitution du 20 Janvier 2002
2- On révise cette constitution
3- On garde cette constitution en l’état
voir leur communiqué final
Donc pas de consensus, c’est au ROI de décider, mais il va décider quoi? si ce n’est aller à l’élection en 2016 où il ne peut plus être candidat
Par contre au Dialogue de Diata où il y a eu des Républicains membres du camp du ROI,il y a eu consensus sur le NON changement de la constitution du 20 Janvier 2002.
Mais avant de lire ces conclusions, revite la constitution du 20 Janvier 2002 pour voir ce qui est permis de faire et ce qui ne l’est pas,évidemment si vous savez lire.
Il sait lire … Nous sommes sommes de mauvaise foi et lui évidemment, il est d’une grande
honnêteté intellectuelle !
Le régime de Sassou est une grande démocratie et le President Obama raconte n’importe
quoi !
Les dépêches de Brazzaville et Télé Congo sont des sources d’informations sûres
et objectives !
La Justice congolaise est indépendante.
Ils veulent changer la Constitution afin d’améliorer encore la démocratie !
Les Pctistes ont des fils a retordre, je pense apres le CHEMIN D’AVENIR, il est temps pour vous de prparer le CHEMIN DE LA FUITE.
Bonjour , je pense que leurs façon de faire parait illusoire , juste cette Opposition doit très soude en invitants de faire l’Impasse sur les chances de se Dictateur .ils doivent être a pieds d’oeuvre en montrant aux peuples congolais leurs qualités et de décider déjà devant le peuple le plus vites possible ou par leurs conclaves un vraie CANDIDAT , d’éviter d’être des par tissant de réflexion , afin que un jours nouveau se créait au Congo.
Nous sommes en attente de ça pour un congo unis , et des vraies opposition , pour barrer la route pour une 3 éme mandats au président Sassou