Des messes en mémoire des victimes des explosions du 4 mars 2012 ont été organisées ce dimanche dans certaines églises de Brazzaville à l’occasion de la commémoration du sixième anniversaire de ce drame qui avait fait près de 300 morts et plus de 17 000 sans-abris. Ces derniers qui dénoncent l’attitude des autorités, continuent à revendiquer la reconstruction de leurs habitations soufflées par ces explosions d’un dépôt d’armes et de munitions de l’armée.
A un jet de pierre de la place Docteur-Blanchet, des jeunes et des vieux attablés devant des bouteilles de bière sous un manguier ont le regard tourné vers les nouvelles maisons construites par le gouvernement, mais pas encore occupées, le long de la principale avenue qui traverse Mpila.
Au loin, ils voient deux tours jumelles en construction qui surplombent le fleuve. Tout ce beau décor contraste avec leurs maisons soufflées par les explosions qui attendent toujours d’être réparées.
« Je vis à Mpila depuis 1959, témoigne un sinistré, mais les explosions ont détruit nos maisons. Jusqu’à présent, on ne peut pas nous donner une réponse valable par les autorités. On vient nous promettre en disant qu’on va nous réparer nos maisons, mais jusqu’à présent on ne répare jamais. »
« Aujourd’hui, poursuit un autre, on est restés orphelins de nos biens, orphelins de nos chers frères [tués par les explosions]. Le drame remonte à six ans, mais nos toits suintent encore jusqu’aujourd’hui. » Lire la suite…
SOURCE : RFI
Ah que c’est triste, sur la robe de la dame est gravée l’effigie de l’assassin!
Certes je suis triste pour les sinistrés de Mpila . Mais qu’en est il pour les sinistrés de 1993, 1997, 1998 2001? Car sassou reste le principal artisan de toutes ces guerres , c’est lui qui arme son vieil ami Beŕnard Kolelas d’où l’avènement de la milice nindjas . Les congolais s’étonnent de la proximité des enfants Kolelas et sassou , mais c’est une vieille amitié à l’époque le vieux Matangou de glacière Bacongo l’avait dénoncer .
Ce fut un moment o combien difficile pour le pays, on pense à tous les compatriotes qui de près ou de loin ont été touché par ce drame sans précédent. Mais la république elle est restée debout. Cela étant, Rfi l’ex bien nommé « poste colonial » doit se garder de toute forme de récupération intempestive des tragiques événements du 4 mars, à des fins de propagande médiatique.
Il n’y avait eu que quatre morts, dixit M. Bowao, ministre de la Défense de l’époque. Depuis, les sinistrés n’ont jamais été indemnisés et, aujourd’hui même, on ne connaît pas le nombre exact des morts et des disparus. Pendant ce temps, en très peu de temps, les BOUYA, les KIKI LE PETROLIER, les CLAUDIA SASSOU LEMBOUMBA, sont devenus milliardaires. On parle même d’eux dans tous les paradis fiscaux du monde. A quand la révolte des sinistrés ?
Il y a des milliards pour faire la guerre dans le Pool et massacrer les populations de cette région, mais il n’y a pas d’argent pour indemniser les sinistrés de 2012. A chacun de réfléchir!
« Il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis. »
Nos opinions peuvent varier. Vouloir à tout prix garder les siennes contre l’évidence est un signe de bêtise. On utilise ce proverbe pour souligner qu’un entêtement orgueilleux confine à la stupidité mais aussi pour justifier un changement d’opinion.
« Il n’est pire sourd que celui qui ne veut pas entendre. »
Le responsable de la tragedie parle ici. suivez le https://www.youtube.com/watch?v=Y_sF6e2Icoc
@mascad ,exactement.Je suis hors d’Europe.Le Congo brazza reste honteusement confondu avec le Congo Rdc .
Notre message est difficilement audible ….
Lorsque je vous dit que médiatiquement nous n’existons pas aux yeux du monde, c’est la triste réalité de cette Omerta médiatique parfaitement orchestrée qui pèse sur la Congo Brazza. Il ne faut pas que s’en lamenter mais au contraire en faire un combat à par entière.
Harceler les médias, les organes de presses, sortir de courtes vidéos audibles par les communautés internationales, pas besoin de kalachnikov ni de million d’Euros. C’est aussi cela la résistance prendre les compétences ou elles sont, on peut être bon débatteur et mauvais communicant et inversement à chacun ses compétences, Il faut un minimum d’organisation une petite équipe bien organisée et maîtrisant bien le monde informatique pourrait faire beaucoup pour la cause en ce sens.
Des ossements humains dans les tanks de stockage d’eau de la SNDE à Brazzaville (Congo).
Des ossements humains auraient été retrouvés dans les tanks de stockage d’eau de la SNDE à l’usine de Djiri selon des travailleurs de cette compagnie. Ces travailleurs, fâchés de la prochaine privatisation de la compagnie auraient décidé de ne plus rien caché. Comment ces ossements se sont retrouvés dans les tanks ?
Certains voient en cette découverte, les restes mortels d’un sujet tombé accidentellement dans les tanks, mais d’autres soutiennent qu’il s’agirait bien de la preuve des pratiques rituelles portant à contaminer l’eau dont le but principal serait d’endormir les consommateurs.
Des travailleurs de la SNDE auraient fait cette découverte depuis quelques semaines, mais avaient préféré garder le secret sous les menaces de leur hiérarchie. Aujourd’hui, après la décision du gouvernement de privatiser cette société, ils auraient décidé de passer à la vitesse supérieure en divulguant ce secret.
C’est dans les quartiers nord de Brazzaville que la consternation se fait visible face une nouvelle qui laisse tous les consommateurs de l’eau de la SNDE stupéfaite. Depuis des années ce genre de rumeur a toujours couru dans la ville sans preuve, et aujourd’hui, ce sont les propres travailleurs de la SNDE qui la propagent.
Selon eux, le directeur général de la société en complicité avec quelques autorités de la république seraient les principaux responsables de cette contamination fétichiste de l’eau de la SNDE dans le seul but de calmer les ardeurs du peuple consommateur dans l’idée d’une révolution….
La vidéo de Mr Okemba est très intéressante et démontre ce que nous avons toujours invoqué au proces du colonel, c’est à dire la thèse de l’accident.
Un accident dû à la déliquescence qui règne dans l’armée congolaise et le détournement des fonds publics afin de sécuriser les soutes.
En réalité un caporal chef à fait un barbecue et celui-ci s’est renversé dans la soute.
Cela apparaît aberrant mais c’est ainsi.
Le régime a fait d’une pierre deux coups en éliminant le Colonel et en faisant croire qu’il n’y avait pas de responsabilité de sa part.
Quand n est capable de mettre sur pied un tel scénario, on est capable de tout.
Le Colonel me disait : c’est de la vermine. (Elle mange sa proie vivante)