Un mbochi en chasse un autre tel est devenu le leitmotiv du maire d’Oyo, monsieur Denis Sassou Nguesso qui a décidé de faire de la République du Congo un véritable État mbochi dans sa vision étriquée de ce qu’est une République, du latin « Res publica » qui désigne la « chose publique », autrement dit tout ce qui concerne la vie politique et les affaires de gouvernement.
Il sied de faire comprendre à monsieur Denis Sassou Nguesso que nous avons le Congo-Brazzaville en partage, lui qui n’a jamais appréhendé en 40 ans de pouvoir dictatorial la quintessence de la fonction de Président de la République. Qu’il se comporte en un fieffé tribaliste commence à nous poser un sérieux problème car à bien y voir le Congo-Brazzaville se transforme peu à peu en un État où seuls les mbochis ont le droit de cité.
Les récentes nominations au niveau de la police et des services de renseignements nous donnent la nausée car ce ne sont que les mbochis et ersatz, les soi-disant plus méritants dans les forces de défense et de sécurité congolaises qui ont été promus.
Dans cette stratégie de resserrement de rang autour des hommes en armes se dessine le plan de cette succession dynastique digne d’une dictature qu’est notre pays le Congo-Brazzaville.
Ont été nommés, les agents des forces de défense et de sécurité proches de monsieur Denis Christel Sassou Nguesso notamment le général de police Obami Itou Fils, le nouveau directeur de la police nationale. Le jadis puissant conseiller spécial, actuel secrétaire général du Conseil national de sécurité, monsieur Jean Dominique Okemba, seulement maintenu en première section jusqu’au 31 décembre 2025 donc avant la présidentielle de 2026, doit manger son pain noir avec la défénestration des généraux de police Jean François Ndenguet et Philippe Obara. C’est la nuit des longs couteaux qui se profile.
Monsieur Jean Dominique Okemba longtemps pressenti par les Français comme le possible remplaçant de monsieur Denis Sassou Nguesso doit revoir ses cartes, la grogne au sein même de la famille biologique, du clan, pour son éviction devient tenace car il est dorénavant considéré comme une pièce rapportée en tenant compte des liens familiaux. Adieu les réceptions du couple Okemba dans les salons somptueux et feutrés parisiens.
D’autres mouvements administratifs sont-ils à craindre au niveau du commandement des forces armées congolaises afin de s’assurer le contrôle total de nos forces de défense et de sécurité ?
Alors que l’année 2024 a été proclamée « année de la jeunesse », ce sont les vieillards qui sont promus afin de garantir le droit de répression de nos forces de défense et de sécurité. Au lieu de promouvoir les jeunes à des postes de responsabilités, on proroge des colonels et des généraux admis à faire valoir leur droit à la retraite dans des activités inutiles sinon que répressives contre le peuple congolais. Le Congo-Brazzaville est devenu une maison de retraite dans laquelle ce sont les vieillards qui s’occupent des jeunes. Quel paradoxe !
Notre pays est en cessation de paiement avec une dette publique totale s’élevant à 14,2 milliards de dollars américains soit 98,96 % du PIB (produit intérieur brut) au 31 décembre 2023. Cette dette correspond à la moitié des 14 milles milliards de francs CFA des générations futures soit 28 milliards de dollars américains d’antan dilapidés par monsieur Denis Sassou Nguesso qui n’est responsable de rien car ce dernier ne veut pas rendre des comptes sur ce casse du siècle. L’histoire jugera !
Pendant que le peuple congolais souffre, les scandales financiers concernant les membres du clan Sassou Nguesso s’empilent et le train de vie de l’État ne fait que s’accroitre pour un résultat nul.
Le dernier scandale des biens mal acquis concerne monsieur Denis Christel Sassou Nguesso, ministre de la Coopération internationale et de la promotion du partenariat public-privé de son état, avec le cambriolage le 25 décembre 2023 de son hôtel particulier dans les Hauts-de-Seine, le département 92 en France. Le montant du vol est si exorbitant que ce dernier suffirait à apurer une partie des arriérés des salaires des fonctionnaires, des bourses des étudiants et les retraites des retraités maltraités congolais. Cet hôtel particulier a été confisqué par la justice française dans le cadre de la procédure des biens mal acquis en toute impunité en France. Cette même France se sert de ces dossiers comme d’une épée de Damoclès pour mettre au pas les dirigeants africains, tels que messieurs Denis Sassou Nguesso et Mahamat Idriss Deby Itno pour continuer le pillage des ressources africaines.
Cette demeure d’exception a été acheté en 2009 pour 5,2 millions d’euros et rénové pour 5,4 millions d’euros grâce à un vaste système de détournement des deniers de la rente pétrolière du Congo-Brazzaville. Comme par hasard ont également été dérobés des contrats pétroliers congolais dans cette bâtisse. À croire que c’est une manie des Sassou Nguesso de garder des documents officiels chez eux comme les huit accords sur la cession de nos terres au Rwanda qui sont introuvables au niveau du parlement et du gouvernement congolais.
Un scandale de plus pour notre ministre de la Coopération internationale et de la promotion du partenariat public-privé qui se rêve en futur Président de la République, après avoir déjà détourné à son profit environ 50 millions de dollars d’argent public selon l’ONG Global Witness. Comment peut-on rêver à exercer des hautes fonctions quand l’on se comporte en kleptomane au détriment du bien-être du peuple ?
Cette dernière affaire de biens mal acquis sort dans la presse française après la dernière visite d’État de monsieur Denis Sassou Nguesso en Russie au cours de laquelle ce dernier a bradé nos ressources au détriment de la France qui voit rouge dans cette histoire. L’instrumentalisation de la justice en France à des fins politique ou raciste est un secret de polichinelle car cette dernière n’est pas indépendante. En effet le procureur de la République Française en charge de l’action publique n’est pas une « autorité judiciaire » au sens de la jurisprudence européenne (CEDH 4 déc. 1979, Schiesser c. Suisse). Ceci a été réaffirmé par l’arrêt Medvedyev rendu par la Grande chambre de la Cour européenne le 29 mars 2010. Le procureur de la République en France dépend du ministère de la Justice qui est responsable de sa carrière, ce qui bride l’indépendance de ce dernier soumis à son autorité hiérarchique le ministère de la Justice. Le magistrat doit présenter les garanties d’indépendance à l’égard de l’exécutif et des parties, ce qui n’est pas le cas du procureur de la République en France.
Un autre scandale est celui du local content (contenu local) normalement mis en place pour faire participer les opérateurs privés congolais à l’exploitation et à la commercialisation du pétrole mais, en fait ne sert qu’au clan Sassou Nguesso qui à travers une myriade de sociétés pétrolières sans expérience dans le domaine pétrolier récupère presque gratuitement les actifs pétroliers qui devraient revenir normalement à l’État congolais. En revendant rapidement ces actifs pétroliers, ils réalisent de sacrés bénéfices au détriment de l’État congolais, donc du peuple qui ne tire aucun profit de cette manne pétrolière. Le Congo-Brazzaville est devenue une kleptocratie éhontée.
Le Congo-Brazzaville a perdu officiellement environ 20 % de sa production pétrolière en passant de 320 000 barils à 260 000 barils par jour. Ces 60 000 barils de pétrole par jour sont devenus la propriété privée de monsieur Denis Sassou Nguesso qui ne reverse plus rien au trésor public congolais. Avec le cours du pétrole Brent en dollars à 86.86 $ ce jour 06 juillet 2024, la famille Sassou Nguesso toucherait par jour 5 211 600 de dollars américains (3 150 044 261,04 de francs CFA) soit 156 348 000 de dollars américains (94 501 327 831,20 de francs CFA) par mois pour des voyages en famille, des mariages et des sommets inutiles. C’est inhumain devant la misère du peuple congolais.
Le Congo-Brazzaville, depuis l’indépendance, ne s’est jamais retrouvé en si mauvaise posture comme il l’est maintenant tirant à hue et à dia. Le pays est à la dérive, en crise politique, économique, morale et sociale.
Tout rapprochement des pays africains avec la Fédération de Russie devient un casus belli pour les Occidentaux, et tous les coups sont dorénavant permis même les déstabilisations à travers des coups d’État.
En ces temps durs d’une crise multidimensionnelle, monsieur Denis Sassou Nguesso pense beaucoup plus à sa succession qu’au bien-être du peuple congolais. Le jeux des chaises musicales au niveau de nos forces de défense et de sécurité sont les signes d’un pouvoir à bout de souffle prêt à tout pour se maintenir même au prix de sacrifices des centaines de milliers des Congolaises et des Congolais comme lors de la guerre fratricide du 05 juin 1997 qui permit leur retour par effraction aux affaires.
La seule paix que monsieur Denis Sassou Nguesso propose au peuple congolais est celle des cimetières, l’enfermement ou l’exil forcé car le Congo-Brazzaville est devenu un camp militaire.
Malgré toutes ces manigances et ces stratégies de conservation du pouvoir, soucieux des bonnes conditions de vie du peuple congolais, nous ne cesserons de dénoncer cette imposture de monsieur Denis Sassou Nguesso arrivé au pouvoir pour se servir et non servir le peuple avec une dose de cynisme et de mépris pour le peuple congolais.
La jeunesse congolaise se doit de faire son deuil de cette année 2024 pompeusement déclarée « année de la jeunesse » car les promesses n’engagent que ceux qui y croient. Certains jeunes congolais chantres du pouvoir de Brazzaville ont vite déchanté devant cette mafia politique, administrative et économique qui règne dans notre pays.
« Un homme d’État est celui qui pense aux générations futures, et un homme politique est celui qui pense aux prochaines élections » dixit Abraham Lincoln.
Monsieur Denis Sassou Nguesso est un labile homme politique qui ne pense qu’à sa panse. Le fait que ce dernier tire peu profit des leçons de l’Histoire est la leçon la plus importante que l’Histoire nous enseigne.
Patrice Aimé Césaire MIAKASSISSA
Diffusé le 06 juillet 2024, par www.congo-liberty.org
Il faut arrêter de pleurer
Par lpambou
Sans excuser ce que fait le président sassou et son clan que mes réflexions à travers la notion de reseau ont mis en évidence
Je constate que ceux qui se plaignent ne font rien pour que cela change au moins à la marge car ils se servent tous dans la gamelle reseautale
C est dur à entendre et à accept et pourtant c est la vérité vraie
Lpambou Mkaya mvoka
Cher Patrice c’est avec un grand plaisir de te relire ! Nous vivons dans un faux pays avec un état défaillant où l’état Mbochi écrase le sud Kongo ! Personne ne peut rester indifférent devant le véritable martyr que subit le peuple kongo ! Une population qui vit dans une misère la plus affreuse. Le nouvel article du parisien concernant les biens mal acquis précise bien que Sassou Denis est le président autoproclamé du Congo. Contrairement aux faux intellectuels congolais qui considèrent Sassou comme président .
Nous payons le prix des effets nocifs de la sénilité.. Déjà ne pas n’exprimer un dégoût,une nausée au fait de nommer uniquement des cadres nordistes dans toute la sphère publique présuppose une disposition pathologique dont Sassou ferait mieux de se soigner.
Alors ,ce fameux vivre ensemble ?..
La raison bafouée au nom de l’instinct tribal. Et c’est la République qui tend vers sa désintégration dans toutes ses dimensions..
Des primates auraient réfléchi à deux fois , avant de s’y exercer sans honte.
Eh oui ,la honte, l’indignation ont élu domicile dans la tête éperdue de Sassou.
Massamba Débat et Youlou s ‘en retourneraient dans leur tombe,en ce 21 ème siècle….
Avons -nous ce modèle de gestion administrative publique au sein de l’Afrique Centrale ?..
Avec une politique économique illisible et aventureuse Sassou et cie se livrent à des broutilles qui ne rapportent rien à la nation congolaise..
Les économistes congolais devraient un jour se justifier sur cette carence intellectuelle au sujet de l’inefficacité chronique de notre économie nationale….
Nommer des cadres nordistes est un sérieux problème pour le pays,mais celui de la compréhension intellectuelle de l’architecture monétaire qui régit un pays en est un autre..
Regardez les débats sur la nécessité ou pas de sortir le CFA de l’Afrique Centrale et de l’ouest. Ces joutes verbales sur le CFA sont portées par les économistes de l’Afrique de l’ouest, aucun économiste de l’Afrique Centrale n’y a été vu ..
Pour moi , la sénilité tribale de Sassou me glisse sur la peau , l’eau de pluie sur les ailes canard…
L’essentiel de mes journées est consacré aux prochaines réformes profondes de système monétaire basé sur le remplacement du CFA par une monnaie issue de l’addition de nos ressources naturelles….
Voilà le combat intellectuel vers lequel nous tendons tant les nécessités économiques d’un pays se jouent sur la maîtrise de la monnaie dans les échanges internationaux… D’où j’en appelle aux économistes congolais de revoir leur logiciel en ce qui concerne la construction de l’économie nationale…
Redéfinir l’économie nationale au moyen d’une politique économique répondant aux critères de Keynes et de Milton Friedman.. C’est tout !.
Le reste n’a pas plus d’importance.. Prenons de la distance intellectuelle !. Des futilités !! Car le défi demeure la compréhension de la macroéconomie… Et ça , nous sommes à la traîne..
L’ivoiro beninois Mathurin Albert Sassou alias Sassou l’imposteur et l’agent de l’impérialisme francais au Congo que Ngouabi Marien le tres regionaliste et naif avait fait la promotion.Ngouabi Marien l’homme qui avait commis la grosse betise de faire sortir de la grande foret equatoriale du Nord ces pecheurs et chasseurs analphabètes Yaka noki noki devenus tres vite les agents locaux au service de l’empire francais qui avaient fini par l’eliminer.La fripouille ivoiro beninoise pour se servir et servir les interets de ses maitres s’appuie principalement sur les descendants d’abbeys ivoiriens arrives sur le sol Congolais entre 1910-1915 sous l’escorte coloniale devenus Mbochi d’Edou-Oyo par le processus d’assimilation et d’intégration ainsi que d’autres ressortissants des villages environnants.
Les Congolais doivent s’investir a fond pour chasser du Congo l’imposteur beninois Mathurin Albert Sassou alias Sassou Denis et sa clique
A bas l’imperialisme et le néocolonialisme.
A bas les agents locaux de l’empire francais.
A bas la fripouille ivoiro beninoise,ses enfants, sa caste,ses ministrons,ses mercenaires Rwandais et Tchadiens et sa nomenklatura.
Vive le Congo eternel et sa reforme approfondie.
Gloire au peuple Congolais.
Gloire aux vrais professionnels Congolais de tous les domaines.
Pendant que ADO et la cote d’ivoire se vantent d’être là deuxième économie de la CEDEAO, après le Nigeria, grâce aux investissements financés par de la dette publique, Sassou se noie dans un tribalisme primaire.
Quelle misère !!.
Un pays qui ne connait pas l’impact des investissements dans une économie nationale est un drame existentiel .
L’agriculture est un des éléments de la politique économique d’un pays,l’on a du mal à comprendre la vente des terres congolaises au Rwanda.
Ce qui suppose que le Congo Brazzaville n’a aucune politique agricole dans sa politique économique . La honte !!.
Tout ceci nous ramène à la question de la maîtrise de la macroéconomie seule capable de nous inscrire dans une vision globale de la gestion optimale de notre économie nationale. ..
L’économie nationale doit être découpée en termes des politiques sectorielles, et surtout structurelles desquelles dépendent les investissements publics de type keynesien..
Je prends un exemple précis :
Si je veux consacrer un pourcentage du PIB congolais au domaine de recherche et développement,il me faut au préalable avoir défini les besoins industriels et les besoins en capital humain pour optimiser mon rendement de la dépense en recherche et développement. . C’est ce qu’on appelle » une créance dans ma politique structurelle »
Pourquoi ?
C’est simple.
Si le Congo Brazzaville consacre 3 % de PIB pour sa recherche et développement,au bout de 10 ans, les bénéfices pouvant en résulter génèrent des créations d’emplois industriels grâce à la recherche, c’est à dire l’étape des laboratoires,et ensuite l’étape du développement c’est à dire l’étape industrielle. Ceci ,en moins de 15 ans ,on pourrait déjà parler d’une naissance de la petite industrie au Congo Brazzaville..
À défaut,d’une activité bancaire utile au financement de l’économie nationale, c’est l’Etat,par la dépense publique G d’investir dans la politique structurelle pour en espérer les profits à long terme. ..
Le court terme concerne la relation client et banque.Or il se trouve que notre pays,en dépit de ses revenus pétroliers, ne possède nullement une politique bancaire orientée vers le financement de l’économie nationale. C’est le premier obstacle développement économique de notre pays. . Ce qui revient à dire que le Congo Brazzaville n’a pas une politique d’épargne nationale,un levier important pour financer des investissements sans en passer par la dépense publique G .
Car toute dépense publique suppose un prêt et donc des taux d’intérêts,et privant,au passage, l’activité économique privée des moyens de financement, c’est ce qu’on appelle : l’effet d’éviction ‘. Ce scénario n’est valable que dans une économie respectant les standards internationaux. ..
Pour le Congo Brazzaville ,les revenus pétroliers sont des financements sans recourir à la dette publique, car ils sont des revenus propres de l’État. .
Bref, chers compatriotes,il suffit de mieux coordonner toutes ces politiques sectorielles pour asseoir une politique économique digne de ce nom,et sans oublier la maîtrise de notre monnaie..
Pourquoi,je parle de la coordination des politiques sectorielles ?..
En ingénierie de prévention,il y a un domaine qui s’appelle » la coordination des systèmes de SSI ‘
En fait ,il s’agit tout simplement de découper un grand bâtiment en morceaux pour y placer tous les systèmes de sécurité incendie de façon à mieux isoler ce bâtiment en d’incendie. C’est à dire que si la partie A est incendiée,la partie B est sécurisée par la mise en sécurité au moyen de tous les éléments de prévention réservés à cet effet.
C’est ce qu’on appelle « : le compartimentage ».
Autrement dit, notre bâtiment est sécurisé par compartiments de manière à mieux à l’appréhender en cas d’incendie.
En économie nationale, c’est un investissement sectoriel qui serait l’idéal de notre développement économique….
Un investissement sectoriel – l’agriculture.
Qu’est-ce qu’on y met ,en termes du pourcentage en PIB ?.
Et pour qu’elles projections industrielles , agroalimentaires ??.
Etc ,ce sont des politiques structurelles à long terme dont les résultats peuvent se vérifier au bout de 5 à 10 ans..
Compter le nombre d’années que Sassou est au pouvoir, cette vision de politique structurelle aurait permis au Congo Brazzaville de décoller réellement de sa paupérisation ancestrale.
Dommage !!.
Faire du ADO sans politique monétaire relève d’une aventure économique,apprise dans les arcanes des institutions financières, où est passé ce ADO….
Sa démarche tient en deux phases : Dette publique+ investissements.
Les bénéfices de cette approche économique de type keynesien sont inscrits dans la durée..Mais entre-temps, il y a aura des créations de richesses dues au multiplicateur keynesien,car toute dépense publique est une recette publique future..
Que disent Thomas Pyketti et Nicole cage du programme économique du NFP.’: En face d’1 euro dépensé vous aurez 1 euro de recettes C’est ce qu’on appelle ‘ l’équilibre budgétaire ‘…
Attention : l’economie est une pure science ,au sens de Kopper.
Est- ce que Sassou et cie y comprennent quelque chose ? .
En ingénierie incendie, si vous êtes incapables d’interpréter les couleurs affichées dans l’écran de contrôle EC , c’est tout le bâtiment qui reste exposé à l’incendie.
Avec Sassou, le Congo Brazzaville y est exposé ..
Lire ,, quelles projections industrielles.
lassassin de marien ng est bel et bien b kikadidi. vous le savez bien.quand vous reecoutez toutes les videos de la conf nat tous reconnaissent que marien ng etait mort a domicile il setait battu contre b kikadidi mienakou tadet un autre bebe noir ou ancetre ninja une 404 …vous le savez bien mr!
denis sassou ng l’a dit sur youtube que » la 404 de b kikadidi est toujours au mausolee marien ng » propos dun chef detat donc supposes sinceres et veridiques.
question aux kikadidi
PAPA AVAIT IL UNE 404 OUI OU NON PAPA SAVAIT IL CONDUIRE OUI OU NON PAPA AVAIT IL CONDUIT LA 404 EN CE 18 MARS 1977 OUI OU NON
pas un seul mot sur le mistral encore moins sur le pretendu transfert du pouvoir a al m debat. pourquoi marien ng
devrait il remettre le pouvoir a lui al m debat et non pas a un autre? un lari proche de marien etait deja celebre a cetet epoque un certain auguste bitsindou il a meme un college.cl ernest ndalla un lari , etait aussi proche de marien ng. marien ng aurait pu porte son choix sur cl ernest ndalla. sil fallait remettre le pouvoir il y avait deja des competences emergentes du cote des laris .et pourquoi fallait il le remettre a lui al m debat , au pool et non pas une autre region?
si cette information etait reelle pourquoi al m debat navait il jamais remercie marien ng sur le choix porte sur sa personne? et pourquoi navait on jamais officialise le jour de la « remise » du pouvoir a al m debat avec informations aux institutions de la rep a cetet epoque (pct bp du pct cc du pct assemblee nationale populaire ambassades armee populaire nationale commissaires politiques actuel prefet et sous prefet onu oua …) pourquoi la demarche officielle et diplomatique n avait elle jamais ete activee?
POOL LIS BIEN CE QUI SUIT
IL N Y AVAIT JAMAIS EU PROJET DE REMISE DU POUVOIR ET LE POUVOIR NEST PAS UN BIEN PRIVE COMME UNE CHEMISE UN PANTALON UN BIC UN ORDINATEUR NON MR ON NE PEUT EXERCER SUR UN POUVOIR TOUS LES ELEMENTS DE CONSTITUTIFS DE LA PROPRIETE LUSUS LABUSUS ET LE FRUCTUS NON MR POOL ON TE LE REPROCHE ASSEZ SOUVENT LINGENIERIE NE REPREND JAMAIS A LAPPEL .CA SENT LE VILLAGE CHEZ TOI. ON NE PEUT JOUIR DU POUVOIR COMME ON LE FAIT AVEC UNE VOITURE QUE LON PEUT VENDRE TRANSFORMER SA GUISE ECHANGER TRANSFERER A LA PERSONNE DE SON CHOIX NON MR…
CE PROJET DE REMISE DU POUVOIR DE MARIEN NG A AL M DEBAT ETAIT UNE INVENTION DE TA PART UN FANTASME POLITIQUE
pourquoi aimez tant revenir sur cette affaire? dautant plus quun jugement avait ete rendu valant autorite de la chose jugee.
presentez au moins vos condoleances a celine mvouka(premeire dame a la date 18 mars 1977) et a germaine mvouka (belle soeur de marien ngouabi).
quand est ce comptez vous consoler cette famille? de 1977 a la date daujourdhui elle na pas encore recu la plus petite des condoleances…
Gnoka alias Noko alias Ortega Daniel alias Petit David alias DSD alias R alias bec jaune alias Marie Blanche alias Marie Charlotte Opimbat alias Marie Gilbert Accrombessi alias Marie Francoise Valerie.Une Marie Francoise Valerie peut cacher une autre Yamuragiye Mureka alias Francoise Joly.
Ngouabi Marien le regionaliste et naif qui (les Yaka Noki Noki,analphabetes,pecheurs et chasseurs vivant dans la grande foret equatoriale du Nord) vous a fait sortir des brousses et fait les promotions bidons tous azimuts que vous avez fini par faire assassiner a commis la grosse betise.Vous etes tous des agents internationaux et locaux de l’imperialisme francais au Congo qui deciment les populations Congolaises,pillent,ruinent,volent et détruisent ce pays depuis 1968.
Continuez a raconter les conneries et les contre verites.
Le peuple Congolais aura raison de vous tous.Ce jour-J,vous reviendrez sur cette page lire ces ecrits.
A bas les agents locaux de l’imperialisme francais.
A bas la fripouille ivoiro beninoise, ses enfants, sa caste, ses ministrons, ses mercenaires Rwandais et Tchadiens et sa nomenklatura.
Vive le Congo eternel et sa reforme approfondie.
Gloire eternel au peuple Congolais.
Gloire aux vrais professionnels Congolais de tous les domaines.
Gnoka alias Noko alias Ortega Daniel alias Petit David alias DSD alias R alias bec jaune alias Marie Blanche alias Marie Charlotte Opimbat alias Marie Gilbert Accrombessi alias Marie Francoise Valerie.Apres le livre Qissati de l’emirati Sheikh Mohammed Rashid al Maktoum pour donner a la fripouille et au reste des imbeciles qui detruisent le Congo.Voila le recit d’un photographe qui a vu l’evolution de Dubai qui coincide avec la meme periode du pouvoir de l’indecrottable beninois Mathurin Albert Sassou.Une fois encore ces bedouins vous montrent comment on construit un pays.
Comment un photographe indien a capturé la naissance du Dubaï moderne.
S’élever dans le désert : le photographe Ramesh Shukla a été témoin de la façon dont Dubaï est passée d’un désert désertique à une métropole moderne au cours du dernier demi-siècle.
« Je ne suis pas célèbre – mon appareil photo est très célèbre. Cette caméra.
Ramesh Shukla sort un appareil photo Rolleicord, un cadeau d’anniversaire de son père il y a 70 ans. C’est le même appareil photo avec lequel il a quitté l’Inde en 1965 ; le même qui a pris des photos de cheikhs et de dirigeants politiques ; le même qui a capturé la formation d’une nation.
Aujourd’hui âgé de 85 ans, Shukla a raconté et raconté l’histoire de sa vie tellement de fois que les détails sont difficiles à cerner, mythifiés en une série de moments essentiels qui racontent l’histoire d’un aventurier courageux partant à la recherche de fortune et d’opportunités.
Comme il le raconte, le photographe alors âgé de 26 ans est monté à bord d’un navire depuis Bombay (aujourd’hui Mumbai) vers les États de la Trêve – aujourd’hui les Émirats arabes unis (EAU), mais à cette époque, un ensemble de cheikhs indépendantes le long de la frontière. côte orientale de la péninsule arabique. Il est arrivé au port de Sharjah avec juste un dollar en poche et quelques rouleaux de film, et a fait du stop sur une charrette à âne, puis sur une moto, jusqu’à Dubaï : non pas la métropole scintillante qu’elle est aujourd’hui, mais un village de pêcheurs poussiéreux. sans routes, entouré d’immenses étendues désertiques.
« Chez moi, il n’y avait ni eau, ni électricité. C’était très difficile », raconte Shukla. Cela ne l’a pas empêché de sortir et de documenter les pêcheurs, les plongeurs de perles et les chameliers vivant dans ce petit village côtier.
Mais un changement se profilait à l’horizon. Les États de la Trêve, bien que n’étant pas une colonie, faisaient partie d’un « protectorat britannique » qui allait bientôt prendre fin, et du pétrole n’avait été découvert dans le golfe Persique que quelques années plus tôt, les premières exportations commençant à créer de la richesse pour les petits Émirats arabes unis. population. Et à cette époque, il y avait très peu de personnes dans la région possédant les compétences, les connaissances techniques et l’équipement nécessaires pour produire des photographies de qualité comme Shukla.
Sa grande chance s’est produite lorsqu’il a assisté à une course de chameaux à Sharjah en 1968. Les cheikhs des différents émirats étaient présents ce jour-là, et Shukla a pris une photo du groupe assis au bord de la piste.
Parmi eux se trouvait Cheikh Zayed Bin Sultan Al Nahyan, feu émir d’Abou Dhabi, souvent qualifié de « père fondateur » des Émirats arabes unis. Le lendemain, il est retourné à l’hippodrome et a présenté la photo à Cheikh Zayed, lui demandant sa bénédiction – et cela a tout changé.
« Quand il a vu la photo, Cheikh Zayed m’a dit : ‘Tu es Fannan’ (qui signifie « artiste » en arabe) », raconte Shukla.
Après la course de chameaux, Shukla s’est retrouvé invité à des événements officiels en tant que photographe, accédant à des lieux et à des personnes dont il n’aurait pu rêver que quelques années plus tôt.
suite 1
Il a développé une amitié avec la famille royale et Cheikh Rashid bin Saeed Al Maktoum, dirigeant de Dubaï jusqu’à sa mort en 1990, l’a encouragé à rester aux Émirats. Ainsi, en 1970, sa femme et son fils l’ont rejoint à Dubaï.
« Là où j’ai grandi, nous avions une pièce qui était notre salon, notre cuisine et la pièce sombre », explique Neel Shukla, le fils de Ramesh. « Nous avions des thalis, pour la façon indienne de manger : c’est une plaque d’acier sur laquelle vous mettez vos différents légumes, dal et roti. Ce même thali était utilisé pour manger et développer des films.
Neel rappelle que les ressources étaient rares, notamment l’eau, qui était acheminée par des ânes depuis des puits dans le désert. L’eau utilisée pour développer les photos devait être mesurée avec précision, et l’épouse de Shukla, Taru, jouait un rôle essentiel dans le travail de son mari : pendant qu’il photographiait des événements, elle enregistrait des notes techniques qui auraient un impact sur la façon dont les images seraient développées plus tard, comme l’éclairage, l’exposition et la vitesse d’obturation.
« Sans ma famille, ma femme et mon fils, je ne pourrais rien faire », déclare Ramesh Shukla.
Le 2 décembre 1971, Shukla a été appelée à se joindre à un moment d’une importance historique majeure pour la région : la signature de l’accord d’unification qui a vu six des émirats – Abu Dhabi, Dubaï, Sharjah, Umm Al-Qaywayn, Fujairah et Ajman – se réunissent sous le nom des Émirats arabes unis. (Ras Al-Khaimah est devenu le septième émirat deux mois plus tard.)
La photo de Shukla de Cheikh Zayed signant la déclaration d’unification est immédiatement reconnaissable pour les habitants du pays – même 50 ans plus tard, grâce à son utilisation sur le nouveau billet de 50 dirhams, imprimé en 2021 pour célébrer le 50e anniversaire de la nation.
Shukla a continué à documenter Dubaï et les Émirats tout au long des années 1970, 1980 et 1990, même s’il possède encore des « centaines » de pellicules non développées de cette période. Il continue de les développer, publiant des images inédites des cheikhs dans des expositions toutes les quelques années.
suite 2
Dans le but de perpétuer son héritage, Shukla – avec l’aide de son fils Neel – a créé un laboratoire de chambre noire pour enseigner à la prochaine génération de photographes émiratis les compétences techniques de la photographie analogique.
Le cours « masterclass » d’un an, qui débutera en septembre de cette année pour 10 étudiants, est gratuit par l’intermédiaire de Dubai Culture, une organisation gouvernementale. Shukla espère que cela donnera aux jeunes photographes une chance d’acquérir des compétences qui se perdent depuis l’avènement de la photographie numérique.
«Ils obtiendront leur diplôme sous le mentorat de mon père, et ils bénéficieront de ce statut grâce au photographe des pères fondateurs», explique Neel Shukla.
Au fil des années, les photographies de Shukla ont été compilées dans des livres et présentées dans des expositions comme un témoignage essentiel de la formation du pays. Bien que son nom figure dans les livres et les affiches, il insiste sur le fait que c’est le Rolleicord qui a fait tout le travail.
« J’ai dit à mon père : ‘Papa, je ferai un jour cet appareil photo mondialement connu’ », dit-il. « C’est mon rêve. »
Avec des millions d’exemplaires de ses livres distribués au cours des dernières années seulement, on peut affirmer qu’il y est parvenu.
A bas la fripouille ivoiro beninoise, ses enfants, sa caste, ses ministrons, ses mercenaires Rwandais et Tchadiens et sa nomenklatura.
Vive le Congo eternel et sa reforme approfondie.
Gloire eternel au peuple Congolais.
Gloire aux vrais professionnels Congolais de tous les domaines.
A Gnoka alias Noko alias DSD alias R alias bec jaune alias Petit David alias Marie Blanche alias Ortega Daniel alias Marie Charlotte Opimbat alias Marie Gilbert Accrombessi alias Marie Francoise Valerie alias Luis Fonseca.
Luis Fonseca le Mbochi mafieux, faineant et voleur peut cacher l’autre Mbochi de Panama papers.Vous etes des criminels et agents de l’imperialisme francais au Congo.Des l’an 2000,tous les descendants des abbey Ivoiriens devenus Mbochis d’Edou-Oyo s’etaient improvises entrepreneurs dans le Btp et l’imposteur ivoiro beninois leur avait donne des marches gre a gre de la construction pour tous les enrichir malheureusement ces Mbochis de la caste mafieuse et d’autres mafieux du systeme Mbochi n’avaient laisse que des elephants blancs.
Plus de quatre decennies des assassinats des Congolais,du pillage,du vol des deniers publics et de la destruction du Congo par l’imposteur ivoiro beninois Mathurin Albert Sassou et ses comparses.
Malgre de successifs booms petroliers,le pays est dans l’etat moyennageux.
Le Congo est pris en otage depuis Juillet 1968 par les agents locaux de l’empire francais.Gnoka alias Luis Fonseca le peuple Congolais aura raison de vous tous.
A bas la fripouille ivoiro beninoise, ses enfants, ses ministrons, sa caste mafieuse,ses mercenaires Rwandais et Tchadiens et sa nomenklatura.
Vive le Congo eternel.
Gloire eternel au peuple Congolais.
Gloire aux vrais professionnels Congolais de tous les domaines.