Sans conteste, le malheur du Congo est d’avoir rencontré Sassou Denis.
Comme anesthésiés, tétanisés, les Congolais regardent sans sourciller la vente à la découpe de leur terre sacrée aux rwandais par Sassou Denis. Le devoir de défendre notre terre contraint tout congolais, où qu’il soit à user de tous les moyens imaginables pour défendre notre pays, tel qu’il est menacé par Sassou Denis et son clan.
Il n’y a pas si longtemps, le minable et controversé Léonidas Mottom, tristement connu pour la publication de ses photos “intimes” avec une femme au lendemain de sa nomination au Ministère de la Culture et des arts de 2016 à 2017, entrait en transe devant quelques sans dents de la région de la Sangha pour s’opposer, lors du dernier simulacre du scrutin législatif, à toute candidature extérieure autre que la sienne, d’un non ressortissant de cette contrée. « Ezali likambo ya Mabélé ». Il s’agit de défendre notre terre, disait-il en substance, en transe et en sueur, faisant répéter en choeur ce refrain à un public niais acquis à sa cause.
Oui, c’est cela, et comme disait si bien Confucius: « Lorsque les mots perdent leur sens, les gens qui les prononcent perdent et leur dignité et leur liberté ».
Ventriloque et successeur putatif de son dictateur de père, Christel Sassou-Nguesso, sûr de lui, a évoqué sans gêne, le projet de développement agro-pastoral à Yamba dans le ranch de Masangui. Non seulement ses propos sont inacceptables, mais ils sonnent à la fois comme une insulte et une provocation à l’ensemble des Congolais.
En assénant devant Paul Kagamé et son criminel de père « qu’une autorisation expresse d’occuper 11.000 hectares de terres au profit des fermiers rwandais a été délivrée par les autorités congolaises compétentes pour le développement de ces activités agro-pastorales, que ce projet va se poursuivre à une plus grande échelle », Sassou Denis, son fils et son clan viennent de déclarer la guerre au peuple du Sud du Congo.
Loin d’être fainéant, de se laisser aller au « Lédza, lé nwa, lé yiba mbongo ya l’Etat, pour aller tout claquer à Dubaï, et lè Botola bassi ya ba ninga », le peuple du Sud qui n’a pas voix aux chapitres est doué, volontaire, ingénieux et travailleur.
Celui du Pool, Bala ba Ntsana (les enfants orphelins) est courageux. Celui de la Bouenza en général et de Mouyondzi en particulier, travaille et ravitaille.
Alors que Sassou Denis a toujours dit haut et fort que l’agriculture était la priorité des priorités, pourquoi céder nos Terres aux rwandais?
Pendant que nous y sommes, pourquoi ne pas céder les terres de la partie septentrionale du pays dans la mesure où l’épicerie bovine familiale de Sassou Denis à Oyo a fait faillite depuis belle lurette?
« Quand ce n’est pas clair, c’est qu’il y a un loup », disait si bien Martine Aubry, ancienne ministre du parti socialiste français.
Là où les Nga NTSIE et Mfumu Toto (les propriétaires terriens) n’ont jamais osé vendre nos terres aux étrangers, le criminel Sassou Denis et son voleur de fils Christel Sassou-Nguesso franchissent le pas.
Deux observations s’imposent quant au cynisme et à la désinvolture de Sassou Denis vis-à-vis des congolais.
La première observation évidente ne souffre d’aucun doute. Sassou Denis, sans vexer qui que ce soit, n’est pas congolais de souche. S’il l’était, il n’aurait pas commis cette impaire en foulant aux pieds nos traditions qui sont « la démocratie des morts ».
Intronisé chef canton ivoirien, s’appelant désormais NANAN NGATA KHLOE, Sassou Denis a levé le voile sur ses origines. Il est par ailleurs curieux qu’il soit seul à porter le patronyme de Sassou au sein de toute sa famille. Ce qui explique aisément son cynisme et son dédain envers les congolais.
La seconde observation prouve sa méconnaissance de l’Histoire, de son utilité du point de vue politique et moral. L’Histoire, autrement dit l’exploration du passé, nous aide à entrevoir d’où nous venons… et où nous allons.
De génération en génération, les hommes et les femmes qui nous ont précédés se sont efforcés d’améliorer leur sort et de laisser à leurs enfants une Terre plus hospitalière. Nous leur sommes redevables du sort relativement confortable qui est le nôtre.
L’Histoire et son enseignement nous permettent de nous imprégner de leurs principes et de leurs leçons, voire d’éviter leurs erreurs, afin de faire fructifier leur héritage et le léguer à notre tour à nos propres enfants.
Que laissera Sassou Denis aux générations futures pour lesquelles il vend les Terres aux étrangers, et pour lesquelles, il a ostensiblement dissimulé 14.000 milliards de CFA? RIEN. Après lui, le déluge.
Cette séquence de la vente de nos Terres aux rwandais doit et devrait être un levier pour l’unité de l’ensemble du pays, sinon du peuple Kongo. Notre terre est sacrée. Bouéta Mbongo, Matsoua André, Tchimpa Vita et bien d’autres se sont battus pour libérer nos Terres. Il est hors de question que nos Terres soient spoliées par les caprices de Sassou Denis. Si nous croisons les bras, le Congo sera tout simplement rayé de la carte.
L’agenda caché de Sassou Denis est connu: assurer sa succession par son fils, Christel Sassou-Nguesso. Faire occuper les Terres du Sud par les rwandais lui permettra de mater toute contestation qui viendrait inéluctablement de la partie Sud du pays. Les Congolais dans leur ensemble n’accepteront pas l’accession au pouvoir d’un intrus, d’une pièce rapportée, aux moeurs douteuses, aux antipodes du Kongo dia Ntotéla.
De plus, en déterrant la hache de guerre, en se croyant omnipotent et omniscient, en vendant sciemment les Terres du Sud Kongo aux rwandais, Sassou Denis vient de signer son acte de décès. Avec un peu de chance, il aura une sépulture au Congo si son fils, Christel Sassou-Nguesso accède au pouvoir par la force avec l’aide des rwandais.
A l’inverse, les os de Sassou Denis seront enterrés à l’étranger comme ceux de Mobutu. Ou bien, il finira de son propre chef comme Hitler.
Olivier MOUEBARA
Diffusé le 28 août 2023, par www.congo-liberty.org
comment dissimuler 14000mille milliard a la banque mondiale et au fmi?la soif du pouvoir fait delirer certains. et les menaces de mort comme quoi qui deteste envie et qui chatie aime bien.
Eh oui,les os de Sassou en prennent le chemin. D’ailleurs, la mort est une absence de de sensations. Il s’en moquerait presque ,l’hither congolais… C’est un Nietzschien. Il se contente des avantages matériels de l’ici bas au lieu d’espérer un arrière monde introuvable.
C’est la devise vitaliste de Sassou et ses divers apôtres.. Un Sassou- Calvinisme, réglé sur le dos saignant des pauvres congolais, sucés jusqu’à l’autel de l’eucharistie.
Le pétrole congolais et les terres congolaises sont un domaine réservé à cette caste cuvettiste., ils en font ce qu’ils veulent..
Cher olivier Mouebara
Existe il au Congo un probleme lie à la vente des terrains congolais à des rwandais par le president Sassou et son gouvernement?
La question ainsi posée est à la fois politique et democratique
Politique elle questionne en profondeur les prerogatives executives et juridiques que la constitution met à la disposition du president de la republique du congo pour engager de tels actes aupres d un autre Etat et de son president ici le Rwanda de kagame
je demande à nos eminents juristes congolais de nous renseigner sur l ‘effectivite politico juridique d’un tel acte sans passer par une consultation de la representation nationale(Assemblee nationale et Senat meme si le Pct est le parti majoritaire au sein de ces deux chambres)
Je ne suis pas sufisamment outille intellectuellement et encore moins juridiquement et dans le domaine du Droit constitutionnel pour apporter la reponse idoine à a la question que je pose
Au plan démocratique on peut se demander en terme de creation des richesses , en quoi l ‘exploitation des terres par les rwandais apporteront des connaissances pastorales aux populations du Sud sachant que les rwandais eux memes eprouvent des difficultes pour augmenter la productivite de leurs propres terres agricoles.
Toujours sur le plan démocratique et selon nos traditions les proprietaires terriens locaux ont ils ete dedommages par les operations d ‘expropriations dont ils sont les victimes?Comment ont reagis les chefs de villages meme si certains d ‘entre eux au nom de la theorie réseautale ont fait allegeance au parti majoritaire ( le PCT)
S il n ya pas eu un dedommagement des terres expropriees de la part de la puissance Publique, il faut le faire
Et à ce stade ce sont plus les questions que des réponses qui emergent sur les significations et motivations reelles du cadeau venu du ciel pour les rwandais ; cadeau genereusement attribue par le President Sassou et l executif congolais
Il reste à s interroger sur les contreparties attendues par le Président Sassou pour le bien etre des populations congolaises du Sud et pour les autres congolais appartenant à d autres regions
Attention,chers compatriotes : de Adorno , nous retiendrons que « : la domination se transmet entre les dominés _.
Des contreparties au sud,une blague.!!. Une deuxième blague,car la première relève du pétrole, réduit à la propriété des notables mbochis.
Si les terres ont été vendues ,la question que l’on peut se poser : où l’argent pour les Sudistes ?.
Le Sudiste se voit retirer l’hostie jusqu’à l ‘ultime prière de sa finitude. Rien !!. La prédation, au sein de ce clan ,a atteint son apogée.
Sassou Denis , nous est imposé par la seule volonté de Jacques Chirac et non le vote des congolais ! Parce que le professeur Lissouba démocratiquement élu voulait voir clair sur le tonnage de l’or noir réel tiré au large de pointe noire. Donc ces des cerveaux malades qui considèrent ce fou furieux comme président sont aussi fous que Sassou Denis. Comment ce fou qui n’a jamais reçu mandat du peuple se permet à vendre des terres dans le sud Congo ? Tout comme le le parti politique de Kagamé FPR qui vient acquérir nos terres est illégal. À la libération ces ventes seront nulles.
Dans la Sassoucratie,rien n’est prévu pour le sud, sauf les affidés qui y sont liés. La vente des terres est un acte de défiance à l’égard d’un peuple qui est épuisé par la déraison politique ,ce que Malebranche qualifie de « : folle du logis « . C’est à dire l’association de la folie et de l’imagination .
Comment peut -on imaginer un tel scénario où des terres sont vendues sans comprendre pourquoi ces terres arables ne sont jamais exploitées à bon escient ??.
Et Malebranche ajoute que « : c’est l’erreur qui crée la misère des hommes ».
Autrement dit : l’imagination est la puissance de se tromper.
C’est un cas d’école que cette forme de folie imaginative consistant à brader une potion de territoires d’un pays dans la perspective uniquement présidentielle. C’est plus une logique politique que commerciale.
Pourquoi ?
L’agriculture fait partie de la politique économique d’un pays et de ce fait , elle est inscrite dans l’annuité budgétaire.
D’où la question suivante : y a- t-il une politique économique dans ce pays ??.
Quels sont les postulats d’une véritable politique économique d’un pays ?.
L’agriculture constitue pour un pays le pilier de sa souveraineté économique et donc nationale. Si l’on ne maîtrise pas notre indépendance alimentaire en la sous traitant nous aliénons notre indépendance vis-à-vis de l’étranger . En témoigne le blé ukrainien. Rien ne nous garantit une assurance alimentaire des produits rwandais cultivés au Congo Brazzaville, intérêts financiers obligent.
Un marché est un lieu de confrontation de l’offre et de la demande. En microéconomie, la loi de l’offre, c’est à dire le vendeur ne vend son produit qu’à un prix élevé au plus grand nombre. La demande, c’est à dire les acheteurs congolais, privés de solvabilité car disposant de peu de revenus n’y feraient pas face.
Le père de cette loi , Jean Baptiste Say ,parle des produits qui s’échangent entre produits,la monnaie est un voile pour éviter le troc.
L’objectif du vendeur est d’acquérir d’autres produits sur ses produits mis sur le marché.
Le cas du Congo Brazzaville, prêteur des terres arables prouve l’insuffisance de connaissances de la micro- économie où interagissent plusieurs facteurs dont la solvabilité de l’acheteur.
L’objectif économique du vendeur rwandais est différent de l’objectif politique,car c’est l’économie qui détermine les rapports de force entre nations. C’est l’erreur dont parle Malebranche , c’est à dire » la folie du logis’ ou folie de Sassou.
Un peu de micro -économie vous ferait du bien , Sassou.
Dans la Sassoucratie,rien n’est prévu pour le sud, sauf les affidés qui y sont liés. La vente des terres est un acte de défiance à l’égard d’un peuple qui est épuisé par la déraison politique ,ce que Malebranche qualifie de « : folle du logis « . C’est à direl’association de la folie et de l’imagination .
Comment peut -on imaginer un tel scénario où des terres sont vendues sans comprendre pourquoi ces terres arables ne sont jamais exploitées à bon escient ??.
Et Malebranche ajoute que « : c’est l’erreur qui crée la misère des hommes ».
Autrement dit : l’imagination est la puissance de se tromper.
C’est un cas d’école que cette forme de folie imaginative consistant à brader une potion de territoires d’un pays dans la perspective uniquement présidentielle. C’est plus une logique politique que commerciale.
Pourquoi ?
L’agriculture fait partie de la politique économique d’un pays et de ce fait , elle est inscrite dans l’annuité budgétaire.
D’où la question suivante : y a- t-il une politique économique dans ce pays ??.
Quels sont les postulats d’une véritable politique économique d’un pays ?.
L’agriculture constitue pour un pays le pilier de sa souveraineté économique et donc nationale. Si l’on ne maîtrise pas notre indépendance alimentaire en la sous traitant nous aliénons notre indépendance vis-à-vis de l’étranger . En témoigne le blé ukrainien. Rien ne nous garantit une assurance alimentaire des produits rwandais cultivés au Congo Brazzaville, intérêts financiers obligent.
Un marché est un lieu de confrontation de l’offre et de la demande. En microéconomie, la loi de l’offre, c’est à dire le vendeur ne vend son produit qu’à un prix élevé au plus grand nombre. La demande, c’est à dire les acheteurs congolais, privés de solvabilité car disposant de peu de revenus n’y feraient pas face.
Le père de cette loi , Jean Baptiste Say ,parle des produits qui s’échangent entre produits,la monnaie est un voile pour éviter le troc.
L’objectif du vendeur est d’acquérir d’autres produits sur ses produits mis sur le marché.
Le cas du Congo Brazzaville, prêteur des terres arables prouve l’insuffisance de connaissances de la micro- économie où interagissent plusieurs facteurs dont la solvabilité de l’acheteur.
L’objectif économique du vendeur rwandais est différent de l’objectif politique,car c’est l’économie qui détermine les rapports de force entre nations. C’est l’erreur dont parle Malebranche , c’est à dire » la folie du logis’ ou folie de Sassou.
Un peu de micro -économie vous ferait du bien , Sassou.
Bongo yi wiriiieee.
À qui le tour ?.
Tremble Sassou ,on y est presque !!..
Tozako ya
Alerte Info!
Africaines, Africains, la joie est très grande ce matin… Malgré la fermeture des frontières, le coupure de l’internet, le vol des élections et la proclamation des résultats frauduleux, le peuple du Gabon est en cours de libération. La dynastie des Bongo est en voie de disparition définitive et très bientôt, la nouvelle jeunesse courageuse chassera les envahisseurs qui occupent ce territoire du Gabon souverain avec des bases militaires. A suivre!
Vive le Mali!
Vive le Centrafrique!
Vive le Burkina!
Vive la Guinée!
Vive le Niger!
Vive le Gabon!
Vive le Co… heu…
Tic-tac, tic-tac, tic-tac…
Coup d état au Gabon pour dire non à Ali Bongo et à sa famille
Dans un article que j avais publié sur congo liberty
Putschs militaires en Afrique : l armée est elle un acteur utile pour l alternance pour l alternance démocratique ?
J ai fait une série de propositions et je suis assez content que mon intuition théorique et d analyste était la bonne
L armée propose une période de transition de 2ou3ans ; ce qui permet de revoir la constitution et son nouveau mode opératoire
Voici comment les intuitions théoriques peuvent en confrontation avec les faits peuvent être concordants
Voici j ai dit
Oui,mon@ frangin CDJ.
J’ai fait un rêve. Mais avec la mbochisation de l’armée,est – ce possible,ce scénario gabonais au Congo Brazzaville ?
On s’en approche,mais ???. J’aurais aimé être du gabon , pour y étaler mes compétences professionnelles.
Aaaah, le Congo Brazzaville,si tu peux avoir en ton sein des dignes fils.
Nous rêvons tous comme Val de Nantes …
Mais je suis confiant et nous pourrons tous, je l’espère, après avoir fait sortir les prisonniers politiques de prison, nous retrouver à Brazza pour fêter la victoire de la liberté.
C’est mon voeu le plus cher.
mr delbar la derniere fois que sassou est partit ceux la meme que vous soutenez ce sont fait une guerre difficile a oublier bonne chance mr delbar.d ailleurs personne ne repond a ma question?comment dissimuler 14000mille milliard et demander de l aide a la banqque mondiale et au fmi?