PAR COORDINATION COLLECTIF SASSOUFIT
Le vieux tyran congolais, Empereur de la Françafrique et de ses relais corrompus qu’il alimente généreusement depuis des décennies, du fond de sa Berezina affûte ses derniers coups. Que ne ferait-il pas pour obtenir du FMI, sans aucune condition préalable le plan de sauvetage, dont il a tant besoin pour rester indéfiniment à la tête de l’Etat congolais et de son pouvoir criminel ?
Toutes les pistes sont bonnes, et quelques soudards jeunes et vieux restent fidèlement à ses côtés. Il sait qu’il peut compter sur une Rédaction de Radio France Internationale toujours prompte à rapporter, sans discussion aucune, sa propagande infâme. Alors, grâce à un petit billet de la Voix de la France à l’étranger, ces Congolais adeptes de la sorcellerie n’ont eu aucun mal à ressusciter la très obscure Organisation syndicale des travailleurs d’Afrique centrale (Ostac) ; “en veilleuse depuis plusieurs années”, selon la “radio de Paris”, mais en réalité dans un coma profond tout au long des années de pillage plus que de corruption qu’a connu le malheureux Congo.
Durant ces vingt dernières années, l’Ostac s’est tue royalement. Elle n’avait pas trouvé bon de s’élever contre les récents licenciements, par milliers de travailleurs principalement à Pointe Noire. Les mois, les trimestres et les semestres de retards de salaires ne l’ont pas non plus émue ; pas plus les pénuries de carburant pour les voitures, de kérosène pour les avions, les retards de bourse pour les étudiants bloqués à Cuba, à Moscou et partout dans le monde , sans oublier les hôpitaux fermés et leurs personnels impayés…
Les tentatives de grèves dans le secteur pétrolier, qui a cassé des dizaines de milliers d’emplois, n’ont pas réussi à obtenir son soutien. Il était clair pourtant que le Général Ndenguet était à la manoeuvre pour briser, par la menace et l’intimidation, tout arrêt de travail annoncé notamment chez TOTAL.
Le très sensible secteur de l’éducation n’était pas en reste. Le même général, toujours chargé des basses oeuvres, s’en est donné à coeur-joie dans la torture des leaders estudiantins notamment avec Nelson Apanga et Béranger Bouet. Il n’en fallait pas plus pour que toute idée de grève soit abandonnée par les responsables syndicaux des autres secteurs, trop conscients des dangers auxquels eux-mêmes ou des membres de leur famille étaient exposés.
L’Ostac était alors dans son coma profond et ce n’était sûrement pas la Rédaction de RFI qui allait réveiller cette Laide au Bois dormant syndicale de la République bananière du Congo…!
Cette organisation syndicale miraculeuse avait été créée sous Sassou 1 à la faveur déjà d’un Programme d’Ajustement Structurel du FMI auquel avait veillé des structures pétrolières, mortes depuis : ELF la sulfureuse récupérée au bénéfice d’une OPA par TOTAL et AGIP, depuis devenue ENI, la pétroleuse italienne.
Déjà, il était question d’atténuer les effets drastiques préconisés par les équipes du FMI. Mais pas une d’entre elles n’avait pensé s’attaquer à la corruption et aux détournements dans le secteur pétrolier ; ni de supprimer la décote de 5 dollars, imposée par ELF, sur chaque baril de mélange Djeno produit, alors que le prix du baril de pétrole était inférieur à 20 dollars.
Le processus qui a abouti à l’adoption par le Congo en 1985 d’un programme d’ajustement structurel avait été marqué par trois phénomènes qui sont la baisse du rythme de croissance, la crise des finances publiques et la dégradation de la situation monétaire et de la balance des paiements.
Les autorités du Congo avait opté pour « la rupture avec la division internationale capitaliste du travail et la construction d’une économie autocentrée et autodynamique » puis avait fini par se soumettre aux exigences du FMI, précisément au moment où s’exécutait le plan quinquennal 1982-1986 qui était censé incarner l’option choisie.
En ressuscitant, fort à propos, l’Ostac, comme il l’avait déjà fait en 1985, ce régime totalitaire va jouer sur le ressort de l’anti-libéralisme — déjà relayé par la Rédaction de RFI –, du néocolonialiste, de l’anti-impérialisme, de l’anti-capitalisme et de la xénophobie. Peu importe pour tous si cela évolue tout simplement en une haine primaire du blanc…
A 84 ans, Martin Alini est l’un des plus vieux syndicalistes gabonais mais aussi le président d’honneur de l’Ostac. Pour lui, les conditions qui encadrent les programmes de bailleurs de fonds en Afrique centrale rappellent la colonisation.
« Si nous sommes indépendants, pourquoi ils ne le font pas dans d’autres pays ? demande-t-il. Pourquoi ils ne le font pas à Cuba ? Ils croient que l’Afrique centrale en générale et le Gabon est un département pour donner les ordres ? »
Avec l’onction divine (pétrole ) offerte au CONGO ,SASSOU a été incapable de transformer l’océan de misère en océan de bonheur , sauf pour sa famille .
Chercher à emberlificoter la communauté des pauvres , afin de se dresser contre le FMI est une des dernières faces séniles dont il pourrait se servir ,pour diluer la honte qu’il incarne aux yeux des congolais .
A , 75 BALAIS passés et encore , il n’ y a que des robots , pour faire face à tant d’infamies ;;
Ces camouflages cameléoniques le ridiculisent plus qu’ils l’honorent .
Tous les artifices mis en service , en vue de badigeonner l’image du chef mafieux ,ne résistent pas à la réalité des faits devenus tatillons par la force des choses .
SASSOU , ne peut aller au bout de son mandat , car il se trouve esseulé , au milieu d’une époque sur laquelle il n’a aucune prise .
Son parcours exodique ressemble à un chemin de croix pour les congolais .
La révolution numérique apparait comme un talon d’achille ,dans l’exercice mafieux de sa fonction .Y faire face , c’est comme lutter contre le vent .
SASSOU doit se rendre à l’évidence .
CE VIEUX MAFIEUX PUE LA MAGOUILLE PARTOUT IL PASSE. CETTE FOIS, les congolais en ont marre de cette odeur qui les étouffent sans pitié. A moins que la théorie du complot refasse surface. Sait-on jamais..
Sassou veut faire perdurer ces mensonges aux congolais , alors que ce fou furieux a perdu toute confiance auprès des institutions financiers internationales . Ni la France ne soutiendra ce fou financier , le reste relève des fantasmes du fou Mbochi sassou . Ce malade mental qui affament les opposants pour bien les corrompres à l’instar de Mberi Martin qui hier à subit la furieure du chef barbare Mbochi . La fin de la barbare Mbochi n’est plus question des mois , car la réalité financière doit s’imposer .