Comment organiser l’insurrection populaire contre le pouvoir tyrannique de Sassou-NGuesso et associés au Congo. Par David LONDI

Les associés Sassou et Kolelas

Objet

Je viens du monde opérationnel dans lequel la culture du résultat est la référence et où l’expérience consolide la théorie. De ce fait, l’article que je propose s’inspire des principes de gestion de projet dont le livrable final est la désintégration du système dictatorial qui sévit dans le pays depuis plus de quarante ans. Les aspects stratégiques et opérationnels, exposés ici, ne comportent pas les points à caractère confidentiel faisant partie d’un autre document diffusé vers les leaders de cette solution.

L’objet principal de cette proposition est de :

Créer les conditions d’une insurrection populaire pour désintégrer le système politique actuel au Congo et préparer l’avènement d’une démocratie assumée.

Parce que le dictateur n’organise pas les élections pour les perdre,

Parce que le dialogue ou les négociations ne peuvent pas être une solution dans un rapport de forces déséquilibré, en faveur du système,

Parce que l’intervention d’une puissance étrangère n’est pas forcément la solution idéale,

Parce que chaque jour meurent des innocents dans le Pool, des tortures…

Parce que le coup d’état, c’est attaquer la dictature par son point fort, domaine dans lequel il se prépare depuis plus de trente ans,

Parce que les systèmes de l’éducation, de la santé et de l’auto-suffisance alimentaire, l’insurrection est donc la solution la plus efficace et la plus aboutie démocratiquement.

 

Pascal Tsaty-Mabiala rendant hommage à Sassou-Nguesso en janvier 2016

Contexte

Le pays est engagé depuis plus de 40 ans dans la lutte contre la dictature. Les dernières élections libres couvrent la période de 1957 (premières élections territoriales impulsée par les lois Deferre pour l’assemblée territoriale) jusqu’en 1965 (première mandature sous la constitution I). Nous avons connu tout type de dictature pendant toute cette période de glaciation démocratique, de 1965 à maintenant, passant de la dictature dite du prolétariat à la dictature tout court, personnalisée et sanguinaire. Pendant cette période des coups d’état se sont succédés dont les plus marquants sont : 1970, coup d’État de Kinganga, point de départ de l’épuration ethnique dans l’armée et les fonctions régaliennes de l’État ; 1972 : coup d’État de Diawara, transéthnique, pour dénoncer cette « obumitrisation » de la société, couper les tentacules de cette oligarchie bureaucrato-militaro-tribale qui gangrène tous les secteurs stratégiques de l’État par un patronage qui prend le pas sur la méritocratie et une généralisation de l’incompétence ; le plus sanglant est celui de 1997 (400.000 morts : LCI) : récupération du pouvoir par Sassou. Mais force est de constater que de grands bouleversements majeurs dans ce pays ont été aussi initiés par des mouvements sociaux de 1963 et 1990.

« Mal nommer un objet c’est ajouter au malheur de ce monde, car le mensonge est justement la grande misère humaine, c’est pourquoi la grande tâche humaine correspondante sera de ne pas servir le mensonge » (Albert Camus). Nous devons donc appeler un chat, un chat. Ce peuple a été trahi par des leaders qui ont fini par accompagner Sassou pour des raisons multiples : cupidité, cynisme ou goût du pouvoir ou les trois à la fois. Nous ne pouvons pas continuer à nous contenter des mensonges ou des sous-entendus pour désigner le mal qui ronge notre pays. L’ennemi du peuple congolais n’est pas seulement que Sassou comme je l’ai développé dans mon précédent article « Sassou se maintient au pouvoir, non par son intelligence, ni son intégrité, ni même sa capacité à comprendre ce qu’il fait mais grâce à ceux qu’il utilise ». Ainsi est née, au Congo, une nouvelle classe politique  transéthnique couvrant le spectre politique allant du clan Sassou à Kolelas en passant par Tsaty Mabiala, Tchikaya, tous les gradés supérieurs de l’armée, les hauts fonctionnaires et les syndicalistes corrompus. Dans cette classe tout le monde joue un rôle défini par le leader Sassou et utilise le tribalisme comme idéologie ou la cupidité. Les opposants dits modérés, en opposition à ceux qualifiés de radicaux, jouent le rôle de briseurs de la colère légitime du peuple et accompagne toutes ses initiatives du système. Ils défendent des intérêts communs, intérêts de classe. Ils squattent la vie politique congolaise depuis plus de 20 ans, trente ans pour les plus anciens et certains se passent le relais de père en fils. Cette classe représente l’un des trois piliers sur lesquels repose le système Sassou, après ceux de l’instrumentalisation du tribalisme et de la corruption de la communauté internationale. Voilà notre ennemi que nous devons combattre pour libérer les énergies du peuple qu’elle emprisonne. Cette classe a marginalisé la vraie opposition qui devient atone et inopérante tant sur le plan national qu’international. Elle contrôle tous les échelons de l’armée, de la haute fonction publique, les corps constitués comme les syndicats ou associations religieuses ou civiles. En effet, une dictature a besoin d’un minimum de soutien populaire pour durer, cette classe le lui procure. Combattons-la avec les armes et les méthodes exposées par des spécialistes du domaine comme Gen Sharp. Mes deux dernières publications sur Congo Liberty exposent sa philosophie, sa perception et les solutions qu’il propose. Il évalue chacun des moyens de lutte et en tire des conclusions, sur le coup d’Etat : « Un coup d’État militaire contre une dictature peut paraître un des moyens les plus faciles et rapides d’éliminer un régime corrompu ; néanmoins, cette option pose de graves problèmes ; après avoir consolidé sa position, la nouvelle clique peut se révéler plus impitoyable et plus ambitieuse que la précédente. Les coups d’État peuvent être une solution si les nouveaux impétrants développent une conscience démocratique qui leur permet de remettre le pouvoir aux mains des civils pour organiser des élections libres et faibles comme cela a été le cas avec la révolution des œillets, en 1973, au Portugal ou de ATT au Mali. Sur les élections : « il n’en est pas question sous une dictature : elles ne sont pas un instrument efficace de changement politique ». Sur les négociations : «Lorsque les enjeux sont fondamentaux, qu’ils affectent des principes religieux, des libertés humaines ou le développement futur de toute la société, les négociations ne peuvent pas trouver une solution acceptable sauf si le rapport de forces s’équilibre ou s’inverse en faveur des démocrates. Ce qui n’est pas le cas actuellement. Sur des questions fondamentales, il n’y a pas de compromis possible. Seul un changement radical des relations de pouvoir en faveur des démocrates peut assurer la sauvegarde des enjeux fondamentaux », finalité de la lutte des démocrates et donc l’objet des réflexions que nous menons tous. Sur l’intervention d’une puissance étrangère : «Une telle vision est confortable, mais elle pose de sérieux problèmes car de dures réalités sont à considérer avant de s’en remettre à une intervention étrangère :

  • Fréquemment, les puissances étrangères tolèrent et même soutiennent une dictature afin de faire avancer leur propre intérêt économique et politique.
  • Certains iront jusqu’à trahir le peuple opprimé plutôt que de tenir leur promesse d’aider à sa libération, cela afin de poursuivre un autre objectif.
  • D’autres agiront contre la dictature pour mieux maîtriser le pays aux plans économiques, politiques ou militaires.
  • Les puissances étrangères s’investissent parfois de manière positive pour le peuple opprimé, mais seulement si le mouvement intérieur de résistance a déjà ébranlé la dictature au point d’attirer l’attention internationale sur la nature brutale du régime. ». Dans le cas spécifique de la France comme médiateur, nous savons tous que des conseillers français officiels ou officieux sont à tous les étages du système Sassou. Ce pays n’a jamais favorisé l’arrivée de la démocratie dans aucune de ses anciennes colonies parce que celles-ci fonctionnent comme des filiales pourvoyeuses de matière première et de puissance diplomatique. En effet, il ne faut pas oublier que l’aventure de la colonisation de l’Afrique subsaharienne avait été motivée par la dépréciation économique et diplomatique qu’elle avait connue après la défaite face à l’Allemagne, en 1870. Mise sous tutelle et ridiculisée par Bismarck, la seule façon qu’elle avait de redorer son blason était de se lancer dans l’aventure coloniale. Donc la grandeur économique et diplomatique de la France vient de ses ex-colonies. Celles et ceux qui ont fréquenté les clubs français qui réfléchissent sur les stratégies à adopter pour l’Afrique savent que les plus influents sont les décideurs économiques qui ont un poids plus important que les politiques. Ceux-ci ne sont pas prêts à lâcher la poule aux œufs d’or. De ce fait, aucun président français ne prendra le risque d’affaiblir la France, chose somme toute normale, du point de vue des français. Les solutions de libération sont donc endogènes avant tout. Donc organisons le peuple pour qu’il lutte pour sa libération contre le tyran. Depuis le statut de tyran que Rome accordait à l’Empereur en cas de danger pour la nation, nous savons tous que les tyrans fonctionnent avec les mêmes mécanismes, les mêmes ressorts et les mêmes impacts. Ne réinventons pas donc pas la roue, utilisons les travaux des spécialistes comme Gen Sharp. Des observateurs avertis disent  qu’ils ont favorisé le printemps arabe. Pour ce faire et éreinter mon exposé, d’aucuns diront que la stratégie de lutte ne doit pas  être exposée. Je n’adhère pas totalement à ce point de vue. En effet, dans tous les cas, exposer la stratégie de lutte et la porter à la connaissance du dictateur peut le conduire à réduire la brutalité de sa répression, sachant que celle-ci peut se retourner politiquement contre eux. La connaissance des caractéristiques particulières de la stratégie globale peut aussi contribuer à susciter des dissensions et des défections dans le propre camp des dictateurs. Cette technique a été développée par les Alliés pendant la deuxième guerre mondiale : les Allemands savaient que les Alliés allaient débarquer mais ils ne savaient ni quand ni où. Néanmoins, les détails opérationnels doivent faire l’objet de confidentialité absolue. Je propose donc un plan de l’organisation des conditions d’une insurrection populaire, la seule solution qui a réellement porté des résultats probants dans le pays (1963 et 1990). Il doit être déployé et suivi tout au long de sa mise en œuvre  avec des bilans intermédiaires et des réajustements d’adaptation. Il comporte une organisation, des rôles et responsabilités, une analyse de risques, un budget et un plan de communication professionnel.

 

 

Opportunité

« Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs » (Art. 35 Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1793). Le peuple est prêt à défier la dictature. Un génocide dans le Pool, des grèves dans tous les secteurs de l’économie et des services publics suite à une crise économique sans précédent qui a divisé le PIB d’environ 50% passant de 16 milliards de $ en 2013 à 8,8 en 2016 (Les perspectives pour 2018 ne sont pas plus reluisantes), des salariés sans salaire, des retraités sans pension, des étudiants sans bourse. Nous avons, sur le terrain, des forces combattantes, les mouvements comme Ras-le-bol et l’intersyndicale des Étudiants qui entrent résolument en résistance. Des mouvements de contestation du régime sont en train de se développer dans tout le pays du Nord au Sud. D’autres réseaux existent et sont prêts à entrer dans la lutte. Faute d’organisation et de leaders, ces mouvements s’éteignent les uns après les autres. Ne dit-on pas que le mouvement précède la conscience – la conscience procède du mouvement ? Voilà la raison pour laquelle le retour aux fondamentaux démocratiques tant revendiqués dans notre pays ne peut préexister à l’insurrection populaire qui marquera le commencement du long processus  d’entrée dans  l’ère démocratique. C’est la raison pour laquelle jamais aucune libération ne se fera sans la participation active de la population surtout face à une opposition qui devient de plus en plus atone et impuissante. Cette phase va donc précéder la période de transition avec des Dirigeants qui seront issus de cette insurrection.

Constat

Un manque de leader pour fédérer tous les mouvements sociaux qui se développent dans le pays ;

Une synergie d’actions insuffisante entre les leaders de l’opposition et les mouvements de résistance et les travailleurs en lutte ;

Une absence de stratégie globale de l’opposition pour fédérer les énergies combattantes dans le pays. Ceci n’est pas une critique parce que nous connaissons tous le contexte répressif imposé par le système ;

L’ existence d’une classe politique et des syndicats corrompus qui bloquent toutes les initiatives populaires d’une insurrection (grèves, contestations, etc.) ;

Une idéologie, le tribalisme, devenue un mode de gouvernement ;

Une armée qui a failli dans sa mission de protéger le peuple et qui n’est devenue qu’un instrument de répression au service du système et un conglomérat de mercenaires ;

Une insuffisance d’informations concrètes sur la situation dans le Pool (nombre de victimes, nombre de viols, nombre de villages détruits, etc.)pour une communication crédible basée sur des faits vérifiables et vérifiés pour contrer les mensonges du dictateur ;

La peur érigée en système de gouvernement et de maintien du statu quo par le pouvoir, les citoyens sont enfermés dans des prisons de la peur et de ce fait, tétanisés à l’idée de faire face aux forces répressives. C’est ainsi que l’on voit des salariés aller travailler avec des arriérés de salaires inacceptables, des retraités avec sept mois de pensions en retard… sans protester.

 

Faisabilité

Objectif principal

Créer les conditions d’une insurrection populaire dans tout le pays pour désintégrer le système intégrant toute la nouvelle classe politique.

Objectifs intermédiaires

  • Créer des cellules des Résistants très actives au sein de la population dans les villes, quartiers et villages, premiers cercles de résistance ;
  • Encourager le sentiment de solidarité pour créer du lien parce que le lien crée la cohésion du mouvement ;
  • Informer la diaspora sur l’état réel de mobilisation sur le terrain, une photographie, pour identifier ou réajuster les stratégies d’actions et créer une synergie d’actions entre l’ensemble des combattants internes et externes ;
  • Redonner confiance à la population à partir des actions des Résistants, courroies d’entraînement ;
  • Créer les conditions de dépassement de l’organisation ethno centrée et régionaliste des mouvements politiques pour un choix conscient des leaders afin de disposer des institutions solides et durables ;
  • Créer les conditions de levée de fonds.

Coût

La liberté n’a pas de prix mais elle a coût. Le coût total du projet est estimé à 1 500.000 € sur 6 mois, financé par la diaspora, des campagnes de levée des fonds par le « CrowdFunding » et la participation des « Business Angels » humanistes (Associations humanitaires et religieuses).

 

Mise en œuvre

Organisation

Les sections sont implantées dans les régions et les cellules dans les districts et quartiers. Cette organisation va fonctionner en réseau pour dépasser la problématique de leadership. C’est d’elle que naîtront les leaders de demain, véritable machine à détruire le tribalisme.

 

Stratégie de communication

Pour assurer le succès de la défiance politique, il est essentiel que la population saisisse la notion de non-coopération. La communication revêt donc une importance capitale. Tous les efforts et l’essentiel du budget doivent être consacrés à cette activité.

La cellule centrale de France a  besoin d’une profonde compréhension, non seulement de la situation particulière du conflit mais aussi des moyens de combat choisis. Pour cela les informations remontées par la section centrale de Brazzaville sont d’une importance capitale dans la conception, la planification et le déploiement des actions.

La cellule parisienne doit délibérément propager et populariser le concept de non-coopération par des petits fascicules que les combattants dans les cellules distribueront clandestinement dans la population. Malgré les difficultés et dangers inhérents à la communication d’idées, de nouvelles et d’instructions pour la résistance en période de dictature, les démocrates ont maintes fois prouvé que ces activités étaient possibles. Même sous les régimes nazis et communistes, il fut possible pour les résistants de communiquer, non seulement avec d’autres individus mais avec le grand public par la production de journaux illégaux, de pamphlets, de livres et, plus récemment, de cassettes audio et vidéo. Les instructions générales pour la résistance seront préparées depuis Paris et propagée par les cellules, via la section centrale de Brazzaville. Elles peuvent indiquer les cas dans lesquels la population doit protester et refuser de coopérer, et comment cela pourrait se faire. Les grands rassemblements, les défilés ou meetings ne seront pas favorisés.

Politique de formation

Des sessions de formation sont ouvertes à tous les résistants sur les techniques de défiance politique, sur les nouvelles technologies et sur l’agilité. Tout le monde doit partager la même vision et le même niveau d’information sur les objectifs et leur philosophie.

Plan de communication avec les médias

L’état actuel de la communication n’est pas le plus optimal parce que la cible couverte est très limitée. Pour celles et ceux qui vivent en France, il est facile de constater que des voisins français ou autres ne sont pas au courant de la situation dramatique du Congo Brazzaville. Or, nous devons agir sur les opinions des pays européens pour atteindre les hommes politiques. Borloo, par exemple, a la cote auprès de ses compatriotes, le connaissent-ils vraiment ? Cette omerta ou insuffisance de communication donne toute latitude aux hommes politiques français de prendre des décisions que certainement leur base désapprouverait si elle était informée. Viser l’opinion publique doit être un des objectifs même si nous devons rester conscients que les médias font partie du réseau qui investit au Congo. Voici quelques offres (sur ce sujet, la contribution est aussi la bienvenue): Offre premium sur BFMTV : 80 spots à 55.000 € sur une durée de 8 jours ; message principal : montrer la situation sociale (bombardements, exodes) et corrompus européens, français en particulier soit 10 spots / jour ; 1 quart de page dans le journal Le Monde : 41.000 € environ.

Contact: www.agenda-journalistes.com

Organiser des points presse avec des journalistes mensuellement (contacts : www.seduirelapresse.com).

Instances de communication

  1. point d’avancement quotidien sur la situation réelle du terrain en fin de journée ;
  2. point projet hebdomadaire : bilan politique de la semaine ;
  3. point pilotage mensuel : compte-rendu budgétaire et politique publié vers toute la diaspora via mail ;
  4. point presse hebdomadaire ;
  5. Organisation des réunions.

Afin d’optimiser la participation aux réunions, atteindre le plus de démocrates et minimiser les risques de répression, les réunions physiques seront limitées au strict minimum pour favoriser les outils d’organisation des réunions ou conférences.

Plan d’actions

Les cellules sont immergées dans la société de ce fait près des préoccupations de la population. Un fascicule du parfait combattant sera édité avec des tracts. Sur les marchés, les endroits publics, les stades, à la sortie des églises, les établissements scolaires, dans les hôpitaux, les concerts, etc., les combattants vont diffuser des tracts (laisser discrètement des tas de cartes sans les distribuer de la main à la main).

 

Infiltrer les structures culturelles, musicales, associatives, syndicales et religieuses et communiquer toutes les informations collectées à la section.

Les responsables de section remontent les informations, au fil de l’eau, à la section centrale qui les communique à la structure réunifiée de la diaspora (structure centrale) grâce aux outils informatiques à leur disposition.

Après analyse des informations reçues, la structure centrale les confine dans un reporting diffusé à l’ensemble de la diaspora sur la base du fichier des mailings. Ces éléments aussi vont être les entrants aux rencontres avec les acteurs de la presse. Toutes les actions entreprises sur le terrain par les combattants doivent faire l’objet de validation par la section de Brazzaville qui, à son tour, sollicite l’approbation de la structure centrale de la diaspora.

Actions intermédiaires (propositions bienvenues).

Les actions intermédiaires servent l’objectif principal. Elles doivent des images. Une action, empêchée par le système, est tout de même réussie si elle produit des images :

  1. Inciter à refuser de payer les taxes en développant une solidarité entre les concernés. Ce refus ne doit pas pénaliser les ressources des desobéisseurs ;
  2. Instiguer une marche pacifique vers le Pool. La cellule centrale parisienne doit convoquer la presse nationale et internationale. Une communication importante doit être faite pour cette action. Cette marche doit englober tous les quartiers de Brazzaville ;
  3. Préparer des sit-in en présence de la presse près une des ambassades d’un pays occidental. La presse doit être omniprésente ;
  4. Faire un concert de sifflets et des casseroles pendant 5 min sans bouger de chez soi, une fois par semaine à heure fixe ;
  5. Discréditer les faux leaders et lancer un programme de récupération des militants égarés chez des leaders de l’opposition faisant partie de la nouvelle classe politique, celle qui accompagne le clan Sassou ;
  6. Distribuer des tracts en direction de l’armée et de la police.

Analyse des risques

L’analyse des risques est l’affaire d’une réflexion de groupe pour mettre en œuvre les principes de « Team Building, Problem Solving » et optimiser la couverture et les parades. J’en ai identifié quelques facteurs de risques, je laisse le sujet ouvert.

 

Risque ressources humaines

Le réseau peut être plombé par la difficulté de recruter des Résistants avec pour impact, la fin de la résistance

Parades

Des contacts existent et des volontaires identifiés. Les étudiants disposent  aussi d’un réseau vaste que nous pouvons exploiter. Ceux-ci sont maintenant en résistance réelle avec le pouvoir

Risque répression

La force répressive du système est omniprésente pour créer un système de peur permanent pour maintenir le statu quo (arrestations arbitraires, tortures, menaces et assassinats …

Parades

La cellule centrale de Paris doit évaluer les réponses et répressions probables, en particulier les seuils au-delà desquels se déchaîne la violence de la dictature. Il sera nécessaire de savoir comment supporter, neutraliser ou éviter cette possible répression sans se soumettre ;

Créer une agilité dans l’action en optimisant les possibilités des nouvelles formes de communication (smartphones, sites internet, webradio, etc.) pour créer une mobilité supérieure à celle des forces répressives.

Risque financier

Blocage des fonds par le pays de domiciliation des comptes. Le risque va, alors consister en un tarissement des ressources et donc un impact direct sur la lutte.

Il est probable que les sommes récoltées ne soient pas suffisantes. Le risque va consister alors en arrêt de la lutte

Parade

Domicilier le compte de l’association, aux États-Unis ou Canada (réflexion à approfondir) ;

Il existe des sites spécialisés dans le « CrowdFunding » pour lever des fonds pour des raisons humanitaires. Beaucoup de personnes ou associations agissent pour aider les citoyens à abattre les dictateurs. Nous les avons testés.

Risque confidentialité et sécurité

Le pouvoir peut intercepter des communications circulant sur le réseau et identifier ainsi les résistants. Tous les résistants auront des pseudos gérés dynamiquement. Les contacts physiques sont interdits. Les conférences ou réunions se feront essentiellement en « audio ».

Parade

Toutes les communications sont cryptées et sécurisés grâce à la panoplie des logiciels de cryptage existants dans ce domaine en travaillant avec des ingénieurs en cybersecurity présents au sein de la diaspora à partir d’un cahier des charges rédigé par la cellule centrale de Paris.

Risque corruption

L’une des stratégies du système consiste à corrompre les opposants, les combattants, la société civile pour briser la résistance.

Parades

Dépasser le cadre du bénévolat pour les responsables des différentes cellules en leur attribuant un revenu constant sur une période de 6 mois (période de sensibilisation et des actions intermédiaires) ;

Tous les résistants managers (responsables des cellules) ne doivent pas avoir fait partie du système, qui a bu, boira.

Risque internet

Le Congo vit un risque grave d’être complètement d’internet. Nous avons vu ce risque se concrétiser par le passé.

Parades

Pour parer á cette éventualité, des solutions existent. Il est possible de se procurer des kits comprenant un ordinateur portable, un récepteur satellite et un câble de 50 mètres.

Il est aussi possible de monter des réseaux internet complètement décentralisés et hors d’atteinte des coupures gouvernementales, et ceux pour moins de 150 dollars.

Risque juridique

Des opposants sont emprisonnés, des combattants sont poursuivis en France, etc. Nous devons faire face à toutes ces situations en instaurant un pôle juridique très agile pour défendre nos compatriotes.

Parades

Constituer un pôle juridique pour se saisir de tous les cas litigieux. Ces professionnels seront financés par la cellule centrale de Paris.

Tous les objectifs principaux et secondaires doivent converger vers l’insurrection populaire pour désintégrer le système.

Par David LONDI

Diffusé le 02 juillet 2017, par www.congo-liberty.org

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35 réponses à Comment organiser l’insurrection populaire contre le pouvoir tyrannique de Sassou-NGuesso et associés au Congo. Par David LONDI

  1. Anonyme dit :

    Un des problèmes principaux est l’omerta médiatique et politique qui pèse sur ce pays. Le jour ou l’information sur la triste réalité du pays circulera enfin et sera relayée comme elle devrait l’être par les principaux médias internationaux alors la fin de règne de sassou sera proche.
    C’est la médiatisation qui a fait tomber Benali en Tunisie, pas les politiques Français qui eux se contentaient parfaitement de cette dictature, mais quand la pression médiatique fut trop forte et les opinions publiques alertées alors le régime de Bénali fut aussitôt lâché par ces derniers.
    La médiatisation de ce régime des plus corrompus de cette planète est du ressort de la diaspora ,pour l’instant les actions, surtout verbales, restent trop concentrées dans un cercle réduit entre Congo/Congolais.
    De nos jours la médiatisation est une arme bien souvent plus efficace que les armes à feux.

  2. David Londi dit :

    @Anonyme,

    j’adhère à ton raisonnement qui insiste sur la médiatisation des conflits. L’un des points sur lequel j’insiste dans mon exposé est celui-ci : tant qu’une résistance interne n’atteindra pas un certain niveau d’intensité, les caméras ne seront pas braquée sur le Congo dans un monde qui connaît de multiples conflits aussi sanglants les uns que les autres. Je propose d’organiser des points presse pour optimiser notre communication et toucher ainsi les opinions nationales des différents pays pour essayer de peser sur les décisions et comportements de certains politiques. La difficulté de médiatisation de notre conflit vient aussi de l’omniprésence des investisseurs au Congo dans les entreprises médiatiques comme Bolloré, gros acteur économique au Congo et en même temps patron de l’empire médiatique Canal+, pour ne citer que celui-là.

  3. Anonyme dit :

    Comme vous le dites si bien Monsieur LONDI et je reprend ici votre phrase:
    « Mal nommer un objet c’est ajouter au malheur de ce monde, car le mensonge est justement la grande misère humaine, c’est pourquoi la grande tâche humaine correspondante sera de ne pas servir le mensonge » (Albert Camus). Nous devons donc appeler un chat, un chat., il faut appeler un chat un chat.
    Un de nos malheurs est aussi dans le milieu Congolais lui même qui de l’étranger donne une fausse image de la vraie réalité du pays à l’instar de certain comme Lucien Pambou qui par sa notoriété et ses entrées dans les médias pourrait servir la cause mais à choisi une autre voix celle de banaliser ce système mafieux d’ailleurs il ne tardera pas à répondre à votre commentaire pour en arrondir les angles et tenter de vous entraîner vers des analyses réseautales fumeuses qui n’ont qu’un but adoucir les velléités envers ce régime.

  4. Anonyme dit :

    Je suis d’accord appelons un chat, un chat alors balayons aussi devant notre porte et sachons dénoncer les erreurs existantes dans le milieu diasporique Congolais.
    Je vous estime beaucoup car vous avez une perception claire et réelle de la situation et vous tentez d’y apporter votre contribution qui est très constructive mais lorsque vous vous laissez entraîner dans les analyses douteuses pambouesque alors la j’avoue que cela me gêne un peu.
    Lorsque l’on combat une dictature il n’y a pas de demi mesure on est pour ou on est contre, tous ceux qui ne voient pas le côté malsain de cette dictature sont à dénoncer et à combattre quels qui soient.

  5. LE CANNIBALE SASSOU, L'ENFANT CHERI DE LA FRANCE dit :

    Mon cher Mark tu raisonnes agacement comment la France le veut. Tu site des cas isolés pour juger un pays a deux milliards d’habitants, ou l’inde qui a 1 milliards d’habitants. L’Asie-pacifique c’est ton. La France est ton vrai mal c’est comme le cafard qui soufflement te mangeant. Il y a un congolais qui l’a compris c’est Massamba D. En travaillant avec la chine il est le seul congolais qui a construit des usines au Congo. Tout va de la façon que tu négocie est surtout qui tu es toi-même quel est ton rêve. Si ton rêve c’est celui de sassou, couché avec le maximum des femmes, tué le maximum des congolais, volé le bien publique sans quoi faire avec, alors dans se cas tu peux raisonner comme tu le fait.
    JE TE GARANTIE AVEC LA France RIEN NE CHANGERA, ON RESTERA ESCLAVE A VIE. A NOUS DE COMPRENDRE D’EXPLORER LES AUTRES HORIZONS. NOUS AVONS UN PAYS RICHE ET NOUS VIVONS COMME DES COCHONS C’EST LA France QUE TU ADORE.
    IL EST GRAND TEMPS DE METTRE LA FRANCE COTE SI NON OUBLIONS TOUT.

  6. David Londi dit :

    @Anonyme,

    mes convictions n’ont jamais varié et ne sont influençables par personne. Mon combat est clair parce que dans une situation dramatique que celle que traverse mon pays actuellement, je ne peux rester neutre. Ne pas s’engager devant autant de malheurs, c’est être du côté de l’oppresseur. Mon camp est choisi et je n’en fais pas mystère.

  7. Anonyme dit :

    Ce plan est mûrement réfléchi….j suis en tout point d’accord….
    Félicitations mon frère David…
    Merci pour c bijou

  8. Mark dit :

    David Londi dit:Comment organiser l’insurrection contre le pouvoir tyrannique de Sassou-NGuesso et associés au Congo.

    Avant le comment, la première question est celle de savoir si les congolais veulent d’une insurrection. J’ai l’impression que les congolais ne savent pas ce qu’ils veulent. Ils disent non à Sassou, ils sont les mêmes à faire le plein de ses meetings. Ils sont les mêmes à travailler pour lui plus tard. Les congolais ne sont pas constants. Si les congolais sont pour une inssurection alors comment? La réponse est simple: Avoir l’amour de la patrie et agir comme une seule personne. Du nord au sud, tous debout. Sassou partira. Si l’insurrection paraît périlleuse, la grève générale est une opération pacifique. Une année, deux ans…, pas de travail, pas de circulation, l’activité pétrolière à l’arrêt, Sassou partira. Une fois de plus, c’est l’atittude des congolais qui est difficile à determiner. Cela rend la situation plus complexe.

  9. David Londi dit :

    @Mark,

    Tu soulignes, ici, un paradoxe qui s’apparente au syndrome de Stockholm. En effet, les congolais semblent aimer leur bourreau. Est-ce si évident ? Leur comportement dans les urnes semblent montrer le contraire. Les rassemblements immenses de la campagne électorale indiquent que les congolais sont prêts à en découdre avec le système. Comment peut-on interpréter l’affluence à ses meetings ? Est-ce une adhésion réelle ? J’ai tendance a affirmer le contraire parce qu’il y a un certain racollage, un conditionnement ou un fanatisme guidé par des convictions tribalistes. Tu suggères la grève générale, bien sûr, elle fait partie de la défiance politique qui est l’un des objectifs secondaires de l’insurrection populaire. La cohésion ? Il faut admettre que le sentiment national n’existe pas chez les Congolais, en général, bridé qu’il a été par l’exacerbation du tribalisme. La cohésion est la conséquence de la façon dont on exerce la solidarité. Le comment ? C’est l’objet de ma tribune. Il faut redonner confiance au peuple. Ce peuple l’a déjà fait, en 1963 et en 1990. Il ne faut jamais douter de la puissance du peuple. Ce peuple est conscient mais il a été abandonné par ceux qui étaient censés le défendre. La situation dans le Pool qui commence à interpeller la communauté internationale, la crise économique avec une situation intenable vis-à-vis des créanciers et la situation sociale de plus en plus tendue sur le front de l’emploi. Un dictateur ne peut pas tout le temps contre son peuple, dit Machiavel. Il faut donc se battre.

  10. David Londi dit :

    @Loko ,

    oui, il faut dénoncer toutes celles et tous ceux qui accompagnent le clan Sassou parce qu’ils constituent l’un des piliers sur lequel s’appuie le système. Ils constituent une digue contre la colère légitime du peuple pour protéger Sassou. C’est en cela qu’ils constituent une nouvelle classe politique contre laquelle il faut se battre parce que c’est l’un des angles d’attaque contre le système Sassou. Sans cette nouvelle classe politique, je ne donne pas une semaine de règne à Sassou. Nous avons le devoir et l’obligation de détourner de tous ces faux-prophètes des compatriotes égarés qui les suivent. Il est ahurissant de soutenir le bras qui tue, viole et destructure son peuple. Ils sont tous responsables tant qu’ils sont de tous les malheurs que ce pays traverse. En allant aux élections, ils ont, par exemple, exempté Sassou de tous ses crimes en validant les articles 10 et 96 de la constitution qu’ils vont défendre dans cette nouvelle assemblée. Nos parents du Pool n’auront que leurs yeux pour pleurer. Pas de justice. Nous ne pouvons pas laissé faire cela,

  11. A.Diawara dit :

    Cela est une vérité dont chaque Congolais conscient de ses devoirs et responsabilités doit s’inspirer:“ le dictateur n’organise pas les élections pour les perdre. le dialogue ou les négociations ne peuvent pas être une solution dans un rapport de forces déséquilibrés. „ Une insurrection populaire pour désintégrer le système politique actuel au Congo et préparer l’avènement d’une démocratie assumée ou lutte armée restent les seuls solutions pour mettre fin à l’esclavage et à la barberie Sassou Nguesso au Congo.Depuis 1968, année de leur fameux coup-d’état, Sassou Nguesso, marche sur les cadavres, piétine tout un peuple et se livre à l’épuration éthnique, vole tous les Biens du Congo, sème la terreur.
    « Ce qui se déroule dans le Pool, c’est un génocide programmé, un holocauste, intitulé „Opération Mouébara“ nom de la mère de l ‘ initiateur ,dictateur , sorcier, criminel, génocidaire Denis Sassou Nguesso.Cette épuration éthnique avait déjà eu lieu entre 1998 et 2004. Cette nouvelle Opération Mouébara a pour objectif final de faire disparaitre du Congo les Laris, Bacongos, raser le Pool. Denis Sassou Nguesso et sa clique, complices veulent terminer leur crime de massacre de masse en s’achetant à coup des millions de Dollars, d’euro obtenu par l’argent du pétrole, bois, minerais du Congo bradés et appartenant au peuple Congolais, le silence, la complicité des médias, des politiques, dirigeants des organisations internationales.„Sassou Nguesso est un vrai assassin, corrupteur, génocidaire. Il est le mal du Congo. Il est un imbécile absolu qui ne cherche qu’à tromper tout le monde à l’infinie. Il faut voir sa médiocrité de Sassou-NGuesso par l’ interview, sur France24 pour se rendre à l’ évidence.
    Pour ceux qui se laissent manipuler, qui veulent aussi nous tromper comme cette classe d’opposition corrompue qui est prète à aller aux législatives pour donner une certaine légitimité au pouvoir illégal, illégime, mafieux, génocidaire, tribal, clanique,

    la poursuite éhontée contre Ntoumi, qui contrairement à ce qu’on avance n’est pas du tout responsable de la crise du Pool est un pretexte pour masquer l’épuration éthnique à huit clos dans le Pool. Il est temps de se rappeler un peu de l’histoire: L’ hitler de L’afrique; le bourreau Sassou Nguesso est bien un étranger qui n’a pas toujours voulu s’integrer et qui règne sur un pays qui n’est pas réellement le sein. Sassou Nguesso né des parents venus de l’ étranger, a toujours voulu la disparition des Laris, Bacongos originaires du Congo dont il a une haine féroce que lui personne connait le secret.

    http://www.sukissa.co.uk/?p=20698
    Après avoir assassiné le président Ngouabi, il est l’instigateur, la personne qui dirige la junte militaire, le comité militaire du parti (CMP) qui s’empare automatiquement du pouvoir Après le 18 Mars 1987.
    « Pour un mouvement monté à l’improviste, les rôles étaient plutôt mieux repartis. Par ailleurs, les enquêteurs agissent vite, mieux qu’au cinéma. Massamba Débat la tête à claques en prend pour son compte. Sur la charrette quarante-quatre autres personnes. La scène du crime, tel que le rapporte la version officielle ne tient pas debout. L’inculpation de Massamba-Débat a été vite déterminée.
    l’assassinat de Marien Ngouabi le 18 mars 1977, est un crime crapuleux.
    La fausse culpabilité de Alphonse Massamba Débat n’est que le fruit d’une conspiration de la haute hiérarchie militaire de Sassou Nguesso et ses complices de l’époque. Un moyen détourné de cacher un petit meurtre entre amis. Le coupable devait venir du voisinage. Dès le début de l’enquête, et mieux que dans les polars du cinéma hollywoodien, les « fins » limiers de la criminologie congolaise, avancent les noms des coupables. Sans qu’aucune preuve tangible de l’implication des coupables ne soit fournie.“ Le président Massamba Debat, Cardinal Biayenda ainsi de nombreuses autres personnes appartenant à la tribu Lari, Bacongo étaient tuées pendant des nombreux jours, sous les ordres de Sassou Nguesso en général, comme il l’a fait pendant le carnage lors de l’ attaque de « la maison de fonction du defunt colonel Tsourou le 16 . 12. 2013 par des militaires, la soit disant police nationale avec les blindés et hélicoptères.
    Maintenant encore, depuis plus d’ une année Le génocidaire, président illégitime illégal Sassou Nguesso et sa bane continuent à semer la terreur au Congo, à massacrer sauvagement les populations civiles dans le Pool, sous prétexte qu’elles sont prises en otage par Ntoumi et ses rebelles Ninja. Par conséquent, la communauté internationale et surtout la « France,ne peut par conséquent pas nier les massacres et le génocide actuellement en cours au Congo, en particulier dans le département du POOL (un des départements du Congo qui a désavoué le dictateur lors des dernières élections du 20 mars 2016). L’ex Président Hollande, les autres responsables politiques de la la France, ni Yves LE DRIAN, le nouveau premier ministre,responsable de l’ association mafieuse de Brazzaville qui travaille directement avec Sassou Nguesso le l’hitler de L’Afrique et s’y rend d’ailleurs et régulièrement dans la ville natale du dictateur congolais en jet privé sans passer par la capitale Brazzaville pour éviter les regards indiscret. »
    https://clubsassou2016.com/2016/01/26/marien-ngouabi-les-petits-secrets-dun-crime-odieux/
    https://clubsassou2016.com/2016/01/26/marien-ngouabi-les-petits-secrets-dun-crime-odieux/
    „Denis Sassou Nguesso n’a pas gagné l’élection présidentielle du 20 mars 2016, c’est donc un dictateur diminué qui est aux commandes de l’ethnie-Etat. le PCT se prépare à aller aux législatives en désordre. »
    http://la-lettre-du-congo-mfoa.over-blog.com/2017/05/congo-situation-critique-tot-ou-tard-les-falc-entreront-a-brazzaville-congo-situation-critique-tot-ou-tard-les-falc-entreront-a-braz

  12. A.D dit :

    Cela est une vérité dont chaque Congolais conscient de ses devoirs et responsabilités doit s’inspirer:“ le dictateur n’organise pas les élections pour les perdre. le dialogue ou les négociations ne peuvent pas être une solution dans un rapport de forces déséquilibrés. „ Une insurrection populaire pour désintégrer le système politique actuel au Congo et préparer l’avènement d’une démocratie assumée ou lutte armée restent les seuls solutions pour mettre fin à l’esclavage et à la barberie Sassou Nguesso au Congo.Depuis 1968, année de leur fameux coup-d’état, Sassou Nguesso, marche sur les cadavres, piétine tout un peuple.

  13. Djambala dit :

    à David LONDI,

    Tout d’abord bonjour et merci pour ce précieux document que vous venez de mettre sur la place public.

    Juste vous dire je suis entièrement d’accord avec vous sur toute la ligne.Aussi, si jamais la cellule centrale de la diaspora( de France) est mise en place,je prendrai mes responsabilités pour l’amour de ma patrie.

    Djambala.

  14. Miéri MAYOULOU NIAMBA dit :

    @David Londi, j’applaudis des deux mains à la lecture de votre tribune.

    Chacun de nous , congolais, doit prendre ses responsabilités face à ce régime que nous honnissons pour la plupart. Tant que le « collectif congolais » de la diaspora et de l’intérieur ne jouera pas vers un seul but, unique et ultime à court-moyen terme, on va continuer à patiner et laisser prospérer ce régime comme le font avec grâce ceux qu’on devrait arrêter d’appeler « les leaders de l’opposition » car dans une dictature aussi crasse il ne peut y exister d’opposition: le régime nazi n’avait aucune opposition en face d’elle en interne, seulement des RÉSIST

    Le Peuple, en mal de confiance, défait et déçu, apeuré et semblant abandonné, n’attend que des filles et fils dignes, valables et PATRIOTES, qui lui montrent un horizon, une direction claire, et une volonté infaillible pour qu’Il puisse se mettre en branle. C’est ce qui nous manque, c’est ce qui est à construire car en Septembre-Octobre 2015 comme en 2016, le Peuple a fait montre de sa volonté d’un changement par sa mobilisation et sa confiance mise en des gens qui ont bafoué celle-ci, pour rejoindre la mangeoire et trahir encore une fois, ou en d’autres qui étaient insuffisamment préparés pour le combat à mener.

    Ma position est claire, et l’objectif pour ma part est unique: DÉTRUIRE LE SYSTÈME actuel (les hommes et femmes qui le servent, les institutions qui le soutiennent, les relais internes et externes qui le perfusent ) car il détruit notre pays.

  15. David Londi dit :

    @AD,

    c’est clair, notre pays a traversé et continue à traverser des moments difficiles qui nous ont plongés dans une récession alors que nous avons tout pour être parmi les pays émergents au lieu d’être étiqueté PPTE. Notre taux d’alphabétisation a baissé , dans une région comme le Pool, aux alentours de 70% au lieu de près de 100% dans les années 70 et 80. Nous ne pouvons pas laisser continuer les fossoyeurs et les responsables de cette situation rouler les mécaniques en s’emparant de toutes les richesses du pays. Celles et ceux qui souhaitent le dialogue, qu’en est-il sorti des précédents ? Celles et ceux qui souhaitent le dialogue, se rendent-ils seulement compte que le plus fort ne négocie pas avec le plus faible. Ils le savent tous alors pourquoi le demandent-ils sinon pour faire diversion. Se rendent-ils seulement compte que Sassou s’est exonéré de tous les crimes commis sous sa mandature en insérant les articles 10 et 96 dans sa nouvelle constitution. Sur quelle base iront-ils à ces négociations ? Valider l’immunité de Sassou en le blanchissant de ses crimes comme à la conférence nationale pour le voir revenir, les armes à la main ? Lui trouver un paradis où il pourra couler des jours heureux ? Quelle serait la contrepartie, le deal ? Sassou est un criminel et sa place est à la CPI. L’on ne négocie pas avec un dictateur et encore moins avec un criminel bien que les deux se recouvrent. Il ne faut pas désespérer du peuple, il renferme une détermination et une force insoupçonnées et insoupconnables. Il prendra ses responsabilités, le moment venu et nous devons en créer les conditions.

  16. David Londi dit :

    @Meri,

    en effet, nous devons travailler sur une synergie forte entre les résistants internes et externes. C’est le sujet déterminant pour l’organisation et la réussite de cette insurrection que nous appelons de tous nos voeux. Des efforts doivent être faits pour que la diaspora d’une seule voix et unie dans ses initiatives. Sans cohésion nous courons vers un échec programmé. La lutte des ego ne sont pas tolerables quand nos compatriotes, au pays, vivent l’enfer. Effectivement dans une dictature, il ne peut y avoir d’opposition seulement que des résistants. C’est ici que toutes celles et tous ceux qui se déclarent « opposition modérée » font partie d’une classe politique que nous devons combattre en priorité. Sans cette classe, Sassou est comme un Général sans arsenal, sans munitions.

  17. David Londi dit :

    @Djambala,

    merci, cher frère. Cette structure prendra forme et toutes les bonnes volontés doivent y prendre part. Le temps est passé de rester neutre dans cet océan de souffrances, le faire c’est à la limite criminel, crime de non-assistance à personne en danger. Nous devons nous engager et agir, le pays a besoin de tous ses fils.

  18. Mwangou dit :

    @ londi et Congo liberty.
    Depuis le pays, on n’a jamais cesser de dire que la question de l’information était l’épine dorsale de la lutte pour la libération du Congo… Aussi, merci à londi de l’avoir éplucher avec tant de doigté et de perspicacité. Dommage que, pour sa gouverne, on apprenne à londi que certaines techniques de lutte par lui développées et exposées dans son texte, n’aient pas nécessairement des références étrangères. B kolelas est devenu le leader charismatique incontesté, suite à l’expérimentation et utilisation massive des tracts comme moyen d’information de la population et de harcèlement du pouvoir, inondant la ville de bzv des tracts signes par lui, mais dont la conception et la production étaient faites en France par des congolais bien connus.
    Ainsi donc, on peut y aller, si on veut y aller. Je te nourrirais des infos au plus près possible de la réalité pour que cette lutte ne puisse se fourvoyer… Pour le reste, c’est du plaisir de t’avoir lu et bien de la lucidité à tous ceux qui veulent d’un Congo nouveau.

  19. Revelino dit :

    Je n’ai rien à ajouter cher ainé. J’apprécie la hauteur de votre analyse. Je suis prêt à prendre mes responsabilités pour débarrasser le pays de cette vermine et de ce système odieux. Aucun fils du pays et patriote ne peut rester insensible à la situation du pays et celle-ci appelle la participation de tous.

  20. Le républicain. dit :

    Je désesperais de ces analystes et commentateurs politiques à deux sous nous expliquant à longueur de journée ce que nous savons déjà sur le mal que Sassou nguesso et ses acolytes font au Congo et aux congolais sans passer à l’étape de l’action. La pleurniche etant l’épicentre de leur lutte.
    J’applaudis des mains et des pieds ta reflexion monsieur Londi, sur les moyens pratiques de nous débarasser de ces parasites qui envoient inexorablement notre pays en abîme, si ce n’est déjà fait!
    Passons à l’action et vite!
    « Congolais debout fièrement partout »

  21. KOO' NGOH dit :

    @David Londi,
    Bonjour mon cher David,
    Il n’y a que quelque jours, le Sieur Lucien Pambou, affichait un papier sur lequel, soit disant, il venait donner sa part pour la résolution de la crise congolaise… Et beaucoup de gens, les vraies têtes congolaises incluses, d’accourir et de donner chacun leur esquisse de ce que sera le Congo d’après sassou.
    Le point de base du papier du Sieur Pambou Lucien était le dialogue. Je ne sais de quel dialogue il parlait et comment en initier, sachant bien dans son fort intérieur que le refus du dialogue par sassou depuis est une évidence (car le dialogue pour lui est synonyme de perte de pouvoir – référence Conférence Nationale). Ce papier devenait donc une pure incongruence et une incohérence nette…
    Tout ceci, toutes ces interventions, toutes ces idées avancées, n’entaient qu’une fuite en avant, une mise de la charrue avant les bœufs. Car c’est bien beau de penser à l’après sassou, mais avant que cela ne soit une évidence, il faut d’abord et actuellement résoudre l’épineuse question des leviers nécessaires et incontournables à manipuler afin que sassou soit viré et que cet après sassou vienne inéluctablement.
    A mon humble avis c’est plutôt sur cette question que tout congolais devait se pencher; et je vous remercie mon cher David pour cette tentative d’explication qui en principe expose les différents leviers à manipuler afin d’aboutir à l’éviction pure et simple de sassou et sa bande.
    Personnellement, ce qui m’attire plus c’est le coté communicatif. Je considère qu’il est l’un des leviers de base afin de mobiliser les congolais de tout le territoire en général et en particulier des grandes villes comme Brazza, Pointe-Noire, Dolisie et Nkayi . Devant le fait que l’internet est contrôlé, et que les operateurs téléphoniques sans omettre les medias audio-visuels, sont à la merci de sassou, la seule chose qui nous reste est la mise en place d’une radio mobile à fréquence modulée…
    Sans aller loin, nous, la diaspora, devons initier une levée des fonds et à la mise en place d’un comité qui doit étudier les contours de l’achat et de l’infiltration d’un appareil de ce genre au pays.
    N’ayant pas peur. Il faut désormais en discuter ouvertement afin que sassou sache que nous aussi nous sommes capables d’une organisation cohérente à la hauteur de ses méfaits et la menace qu’il représente. Merci David.

    KOO’ NGOH

  22. KOO' NGOH dit :

    SVP lire: « Tout ceci, toutes ces interventions, toutes ces idées avancées, n’etaient qu’une fuite en avant »
    Merci!

    KOO’ NGOH

  23. VAL DE NANTES dit :

    MOI , je pense qu’il faut emmener le CONGO à l’orphelinat.Le temps que ces vrais enfants s’en occupent.
    Tel,un vieux que les enfants placeraient dans une maison de retraite .Le pays fait pitié des assauts répétés des viols et des vols dont il est victime , de la part de ces salopards ,qui feignent de diriger le pays,dont le réel leitmotiv est le pillage outrancier de ces ressources .
    Je n’arrête pas de stigmatiser ces pseudos intellectuels , incapables de vivre des succès de leurs cerveaux;
    Résultat ;;c’est la ruée vers le parlement .

  24. David Londi dit :

    @Mwangou,

    merci pour l’information à propos de B. Kolelas et surtout content de te revoir sur Congo liberty. Cela faisait un bail. Oui, le point faible de notre combat, c’est la communication. Nos messages n’atteignent pas une cible assez large. C’est vraiment pénalisant pour contrer les mensonges de Sassou. C’est pour cela que j’insiste sur le fait d’intégrer un niveau de professionnalisme dans notre stratégie de communication en diversifiant les médias en fonction de leur audience. Cela coûte cher mais la liberté est à ce prix.

  25. David Londi dit :

    @Rivelino’

    merci, petit frère, pour ton enthousiasme. En effet, il nous faut prendre nos responsabilités.

  26. David Londi dit :

    @républicain,

    toutes ces réactions me font chaud au cœur. En effet, le pays s’enfonce inexorablement dans les abîmes et il faudra des années pour l’en sortir. Chaque jour nous apporte des informations qui nous sapent le moral et nous plongent dans le désespoir le plus profond. Nous avons tous fait le même diagnostic sur la situation économique et sociale du pays. Il est, en effet, temps de passer à l’action. Le peuple qui a donné 8% à Sassou, est prêt.

  27. David Londi dit :

    @KOO NGOH,

    disserter sur des stratégies dont on sait qu’elles sont vouées à l’échec, c’est effectivement navrant. Il y a des vérités incontournables dans une dictature qu’il faut dépasser pour aller plus loin dans la lutte : pas d’élections dans une dictature, pas de dialogue ou négociations dans une situation de rapport de forces déséquilibré, en faveur du dictateur, pas de négociations pour la paix parce que le dictateur et les démocrates n’en ont pas la même notion. La paix du dictateur est celle de la prison ou de la tombe. Proposer ce genre de solutions, c’est baisser les armes et s’aligner sur les positions du dictateur, en général parce que dans une dictature’dictature, l’on s’oppose mais l’on résiste.

  28. David Londi dit :

    @Val de Nantes,

    la République, au Congo, est mise effectivement entre parenthèses depuis 1969. Tous les outils démocratiques ont été gelés pour des raisons de privatisation du pouvoir par un trio de militaires. La brève parenthèse d’après la conférence nationale, sortie de la naphtaline aussitôt remisée par Sassou aux oubliettes, n’a fait qu’empirer la situation à cause de la naïveté des séances de lavement de mains interminables. Tous les fantômes des années 60 étaient remis au devant de la scène nationale après de longues années de la traversée du désert pour certains. Les acquis démocratiques de la grande messe nationale venaient d’être volés au peuple. Un criminel restera toujours un criminel. Il aurait fallu donc enfermer Sassou à perpétuité (je suis contre la peine de mort). Cette longue nuit s’achève-t-elle ?

  29. congolais étranglé dit :

    La junte au pouvoir à B/ville a tout volé. Nous avons le devoir de refaire la révolution des 13, 14, 15 août. Nous allons chasser le clan des voleurs ce mardi 15 août au boulevard. Nous avons dénommé ce  » journée de l’indépendance face aux rongeurs de la société Congolaise ».
    Nous lançons un appel à tous les opprimés de venir très nombreux huer sur nos prédateurs.
    Venez réclamer votre argent du pétrole.
    SASSOU A TOUT VOOLE CONGO OOÖ NOUS DEMABDONS SON DEPART OU SA MORT

  30. congolais DEBOUT dit :

    MARCHONS LE 15 POUR CHASSER LA JUNTE AU POUVOIR ILS ONT LES ARMES NOUS AVONS LES MAINS VIDES ET LES FORCES ARMÉES DU PEUPLE

    SASSOUFIT SASSOUFIT SASSOUFIT

    SASSOU DÉGAGE SASSOU DÉGAGE SASSOU DÉGAGE SASSOU DÉGAGE
    NOUS SOMMES ENTRAIN DE FICELER UN PROGRAMME SUR LA MARCHE DE CONTESTATION AU BOULEVARD NOUS ALLONS FORMER DES CARRES DANS CHAQUE CORPS QUI DÉFILE CIVIL COMME MILITAIRE. DES REPRÉSENTANTS DES INDIGNES. DEBOUT CONGOLAIS . NOUS ALLONS CHANTE L’HYMNE NATIONAL ET DEMANDER SASSOU DÉGAGE PENDANT CE TEMPS D’AUTRES PLUS NOMBREUX VONT SE DIRIGER VERS LE PALAIS POUR EXIGER LES MÊMES CHOSES QUI ÉTAIENT DEMANDÉES AU PRÉSIDENT YOULOU.

  31. David Londi dit :

    Après avoir lu les posts des uns et des autres, je constate que la mobilisation est intacte et nous sommes tous prêts à enfourcher les cheval de la résistance. C’est réconfortant. Mais nous devons franchir le pas et nous engager concrètement :
    – créer un vaste réseau de solidarité au sein de la diaspora pour participer au financement de la lutte. Il est primordial de constituer une base de données de potentiels contributeurs. Les informations sur la structure qui peut récolter et gérer ces fonds sont à prendre auprès du gestionnaire de ce site. Celui-ci pourra vous donner les détails dont vous aurez besoin. Comme exposé dans ma tribune , une transparence totale et un compte-rendu détaillé avec des états comptables seront communiqués a chaque contributeur. Nous sommes, rien qu’en France, une centaine de milliers régulièrement enregistrés, si chacun pouvait participer a hauteur de 20€, la lutte serait financée. L’action, ici, est de sensibiliser tous les compatriotes. Les combattants, sur le terrain sont prêts, il ne leur manque que les moyens. Nous devons aussi activer nos réseaux sur place pour enrichir le nombre de résistants. Il sera demandé, pour une question de sécurité, de créer des boîtes mail avec des pseudos pour figurer dans la base de données. Les vrais noms n’apparaîtront nulle part. Il faudra penser a une gestion dynamique des profils.
    – créer un contexte de confcall pour permettre a tous les compatriotes, ici et là-bas, de participer à des réunions afin d’intensifier la synergie entre les resistants

  32. David Londi dit :

    Désolé pour cette grossière faute : les chevaux, bien sûr !!!

  33. Tintin au Kongo dit :

    David, document intéressant, certes!, réflexion m^rie de longue date. Juste une question: dans la formation des cellules, comment feras-tu pour détecter les chevaux de Troie? Ils chercheront à avoir les places les plus stratégiques, si cela n’a déjà commencé! suivez mon regard. Pourquoi la manifestation de boulevard des armées avait échoué? Au moment où la foule attendait le mot d’ordre de marcher sur le palais, ils (les fameux leaders) lui ont demandé de rentrer à la maison. qui donc a trompé qui?

  34. David Londi dit :

    @Tintin au Kongo,

    tu poses là une vraie question. Ce facteur de risque, je l’ai identifié mais développer ses parades revient à donner des billes à Sassou. Il est donc délicat de les développer, ici. Néanmoins, ta vision et tes questions sont pertinentes.

  35. malonga dit :

    c’est de la pure idiotie, un scénario hollywoodien, bfmtv, bolloré, itélé travail avec sassou

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