Conférence sur le Fédéralisme au Congo-Brazzaville : Christian MAYANDJI parle du Fédéralisme et la propriété foncière en Afrique

Christian MAYANDJI est un militant panafricaniste gabonais qui milite pour le Fédéralisme en Afrique, le seul système institutionnel à ses yeux qui mettra fin aux pillages des richesses africaines par des présidents monarques africains et leurs alliés les multinationales occidentales , a t-il déclaré à la Conférence sur le Fédéralisme au Congo-Brazzaville qui s’est tenue le 30 avril 2022 à Paris.

La Rédaction

Diffusé le 03 mai 2022, par www.congo-liberty.org

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6 réponses à Conférence sur le Fédéralisme au Congo-Brazzaville : Christian MAYANDJI parle du Fédéralisme et la propriété foncière en Afrique

  1. Samba dia Moupata dit :

    Belle contribution de ce frère Gabonais , dans la préparation de la perspective ! Mais le problème Mamadou Sassou Dénis reste entier ? En effet Sassou Dénis est le président de l’étranger qui est armé par les multinationales pour commettre les crimes les plus odieux , a fin sauvegarder les intérêts de ces occidentaux ! Voilà a quoi nous devons réfléchir avant tout !

  2. VAL de NANTES dit :

    Totalement d’accord avec lui .Oui ,c’est une nouvelle approche de la gouvernance économique dans nos pays et notamment au CONGO BRAZZA .
    Il faudrait responsabiliser les régions dans la maitrise de leurs économies tirées des diverses ressources dont elles disposent .
    Aucune région fédérée ne pourrait être lésée car le fédéralisme se fonde sur une péréquation économique et financière qui replace toutes les régions sur un pied d’égalité .
    Fédérer ne veut nullement dire diviser mais réunir les forces sur un objectif à atteindre . L’objectif à atteindre est l’économie .
    On n’attendra pas le retour de JESUS sur terre pour voir se développer nos régions .Toutes les expériences politiques ,essayées depuis la sortie du (sema ) c’est à dire la prison ,ont été soldées par des morts politiques , des morts sociales , en un mot par une grosse désillusion …
    L ‘échec politique patent de nos ainés devrait nous servir de leçon politique . Les institutions ne peuvent être immuables ou éternelles au regard des multiples exigences auxquelles notre pays se trouve soumis .
    KARL POPPER et BACHELAR nous recommandent d’en contester la fausse prétendue supériorité.
    Elles tiennent plus de l’abstraction que du concret …
    Ces institutions surannées et périmées sont des simples instruments d’agilité intellectuelle dont les contenus vous renvoient à l’arrière monde .
    Ce sont des photocopies dont les originaux ont été conçus par des personnes soucieuses et lucides sur les réalités de leurs pays .
    PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE ( voleur actif ) et plus un premier MINISTRE (voleur actif ) , chers compatriotes , il y a maldonne . C’est trop LOURD .
    LE CONGO n’a pas des sous à jeter par le hublot .
    Si ce n’est pas une escroquerie nationale , alors je ne sais pas ce que c’est .
    OOOOHH , il nous faut un chef .Quel chef ?
    CHEF de qui et de quoi ?.
    A cet âge , pour vous discipliner ,il vous faut un père fouettard et voleur ,de surcroit ,quel enfantillage !.
    Pour cultiver le blé , ogre , l’avoine , soja , tournesol etc , faudrait -il avoir un chef ?.
    Si le CONGO POSSÉDE EN SON SEIN des prisonniers institutionnels ; il doit les libérer pour qu’ils aillent ailleurs .
    PLUS QUESTION DES présidents , laris ;mbochis ,bembe ,vili ,bateke , bayaka , pounou ,kouyou bayombe beti , makoua etc . Ce sont des vendeurs du vent .
    Place à un délégué des affaires nationales ,c’est à dire un premier MINISTRE , chétif en termes d’influences politiques car dépendant des parlementaires vétilleux .
    Socrate nous recommande d’éviter « l ‘hubris « .c’est à dire « rien de trop « .
    SASSOUFIT .Place au blé .
    Vraiment arrêtez de nous prendre pour des jambons .La diaspora fédéraliste a tout compris .

  3. Anonyme dit :

    Merci de la relation entre le droit de propriété (droit d’accession) et du principe fondamental de droit du souverain primaire, sur son sol et ses ressources naturelles. Merci Christian MAYANDJI.

  4. Je vous propose justement une méthode pacifique, juridique, pour que cela change radicalement, sans faire couler une goutte de sang.

  5. Mon intervention vise à vous communiquer les moyens juridiques et les mécanismes financiers pour mettre fin à la monarchie présidentielle, quel que soit le nom du bénéficiaire de cette position.

  6. christian Biango dit :

    Bonjour et merci cher homonyme !
    Démonstration magistrale dont j’espère l’amplification dans l’intérêt du Congo Brazza et de la sous-région Afrique centrale.

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