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La désobéissance civile, le rendez vous manqué
La désobéissance civile décrétée par l’opposition congolaise contre le coup d’état constitutionnel du dictateur congolais Sassou, a débuté avec les résultats que nous connaissons. Plusieurs de nos jeunes, de nos enfants qui n’aspiraient qu’à une vie meilleure y ont perdu la vie dans la quasi indifférence de la communauté internationale. Certains autres continuent toujours à être arrêtés chaque soir, emprisonnés à Bakongo, Makélékélé, Diata, Pointe Noire d’une manière extra judiciaire sans que leurs parents n’aient de leurs nouvelles sans que l’opposition en fasse un casus belli. La réussite de cette contestation programmée dépendait du soulèvement qui se devait d’être populaire et national.
C’était le nombre contre les armes.
Il n’y a pas eu le nombre et les armes ont parlé… Plusieurs dizaines de morts…La communauté internationale n’a rien dit…Le Congo n’est pas la Syrie…le pétrole y est presque gratuit et en bonnes mains.
Avons-nous fait l’autocritique de ce raté, l’opposition est elle prête à le faire ?
Les congolais n’aiment pas Sassou
Quolibets sur les ethnies supposées être celles des manifestants, chansons folkloriques Mbochis, ‘’Sassou Nzambé tsengué’’ (Sassou dieu sur terre) chantait la soldatesque de Ndengué dans le véhicule qui transportait quelques leaders de l’opposition, arrêtés et brutalisés pour s’être interposés à l’arrestation de quelques jeunes de Diata .
Tous mes remerciements en direction de mon frère et ami Marion Mandzimba qui a eu le courage de nous faire parvenir ce témoignage révélateur.
A toutes les occasions, Sassou a toujours utilisé cette grosse ficelle pour briser une contestation et transformer une situation politique en un complot ethnique.
‘’Le fameux Bacongo ba bomi Marien’’ est symptomatique de cette volonté permanente de la part du dictateur président (grand homme de paix) d’appeler à la guerre civile et profiter de l’occasion pour envoyer à la mort des cadres gênants.
Certes, les quartiers nord de Brazzaville n’ont pas répondu à l’appel, mais la situation n’est pas pour autant ethnique comme a voulu nous le faire croire le ministre Ngakosso de passage à Paris. Il ne s’agit pas d’une une mutinerie tribale mais bien d’une révolution retardée.
Le désaveu contre Sassou et son système mafieux est total comme le prouvent les résultats du scrutin référendaire du 25 octobre 2015. Même les zones traditionnellement acquises au bourreau d’Oyo ont boudé les urnes, (moins de 10% de participation : journal Le Monde du 26 /10/2015).
La colère et la révolte grondent encore sous les chaumières. Les cendres ne demandent qu’à être rallumées.
Le Congo, une nation décimée, un pays à libérer
Sassou a donné les faux résultats de son pseudo référendum (près de 98 % d’avis favorables)
La constitution a été promulguée le 6 novembre 2015, aussitôt contestée par l’opposition.
Tous les indicateurs du coup d’état sont en place.
Un flou artistique s’est abattu sur le Congo qui vit avec des institutions dont la base légale est celle d’une constitution ancienne. Qu’à cela ne tienne, nous n’avons jamais pensé que le problème congolais actuel était celui de l’alternance démocratique ou celui des joutes juridiques stériles autour de la gouvernance électorale. Le problème s’appelle Sassou Nguesso.
Sans réaction de notre part, dans quelques semaines, les 10% favorables à la nouvelle constitution, éliront Sassou ou son fils comme Président
Encore une dizaine d’année du traitement actuel et la situation serait proche de l’irréversibilité.
Le Congo est un pays décimé avec l’officialisation du tribalisme comme projet de société. Il nous faut imaginer une autre organisation sociale.
Le Congo est un pays occupé car la maffiafrique y règne en maitre. Il vaut mieux être riche et expatrié que pauvre et congolais. Il faut le libérer par tous les moyens
Le Congo est une prison à ciel ouvert. Du jour au lendemain ‘’nzambé tsengué’’ peut décider du sort de ses administrés (en résidence surveillée, en prison ou au cimetière.).
Un changement de stratégie s’impose.
Il faut passer à une autre stratégie.
Une résistance tout azimut s’impose.
Il faut rendre le pays ingouvernable par tous les moyens.
Et maintenant quelle stratégie pour l’opposition ?
Et pendant ce temps que devient notre opposition ?
Kolélas Parfait et Okombi Salissa ont été libérés de l’encerclement de leurs domiciles.. Le FROCAD et L’IDC ont reconduit la désobéissance civile. Espérons qu’ils auront analysé les raisons qui ont conduit à l’échec du mouvement.
Poursuite de la désobéissance civile ou négociation sous l’égide des institutions internationales ?
Le dictateur de Mpila a déjà donné son point de vue en déclarant madame SASKIA DE LANG, ambassadeur de l’Union Européenne au Congo persona non grata. Celle ci proposait une rencontre entre l’opposition et la dictature.
Un gouvernement d’union nationale est déjà dans les tiroirs.
Et la Diaspora ?
Pendant ce temps à travers l’Europe et particulièrement en France, les forces vives extérieures se mettent en mouvement. Tout y passe, occupation de l’ambassade du Congo, seat in devant cette même ambassade tous les vendredis puis tous les dimanches, manifestation devant le siège de Total, manifestation devant l’assemblée nationale, manifestation sur les champs Elysées, autodafé devant le siège de jeune Afrique, marche grandiose du Trocadéro à Château rouge…
Vieux militants des organisations politiques, Société civile naissante , Sans voix qui hier hésitaient à parler à visage découvert de peur d’être reconnus à Brazzaville, Jeunes congolais nés en France, tout y passe.
De la simple protestation d’un jour, nous sommes passés à plusieurs marches et manifestations par semaine.
Quelque chose a changé, les congolais sont touchés dans le plus profond de leur âme. Des quelques dizaines dans les regroupements hier, nous en sommes rendus à des milliers aujourd’hui.
Nous sommes loin du simple référendum constitutionnel, le problème du départ définitif de Sassou, de son système et de la réorganisation sociale du Congo est posé clairement.
Vu l’ampleur du mouvement, une seule question se pose.
Les organisations et partis traditionnels dans leur forme actuelle peuvent elles proposer une offre politique crédible à cette lame de fond ?
La France, le problème et une partie de la réponse.
Depuis la conceptualisation de la Francafrique par notre ami Francois xavier Verchave (Noir silence) et bien avant encore, rien n’a changé sous le soleil de la maffiafrique.
François Hollande a été élu avec l’apport significatif du vote Franco Africain, la jeunesse africaine y a cru. (Discours de Kinshassa et de Dakar) Puis arrive le coup d’état constitutionnel du général Sassou Nguesso destiné à acter sa présidence à vie .
« Le président Sassou peut consulter son peuple, ça fait partie de son droit et le peuple doit répondre« ,
déclare, le chef d’État français.
Cette phrase lourde de sens vient rappeler à ceux qui l’avaient oublié, la persistance des réseaux françafricains. Cette position est en désaccord avec celle de L’UE qui émet des réserves quant aux résultats du scrutin.
Que penser alors du front national qui condamne ce tripatouillage constitutionnel ?
Les franco africains ont toujours voté massivement pour la gauche sans demander une quelconque contre partie au nom de la lutte contre la françafrique.
La forte mobilisation actuelle et la gravité des enjeux laisseraient à penser que cette quasi unanimité du vote risque de prendre du plomb dans l’aile. Déjà, plusieurs franco congolais songent à l’abstention ou regardent du coté frontiste.
En tout état de chose, il serait vain et naïf de penser un instant que le problème congolais serait réglé
Par la communauté internationale. Pour faire la conférence nationale, nous n’avons pas eu besoin de la France.
Les organisations et partis traditionnels dans leur forme actuelle peuvent ils proposer une offre politique crédible à cette lame de fond ?
- D’ores et déjà, il n y a rien à négocier avec le tueur et kleptocrate de Brazzaville avec ou sans l’UE.
- La lutte à changé de forme, la problématique n’est plus d’avoir une autre gouvernance électorale mais celle de libérer le Congo
- C’est donc d’une libération nationale qu’il s’agit, de la lutte totale contre L’OBUMITRI
- De facto, les organisations politiques sont obligées de changer de forme et de devenir des structures de RESISTANCE avec tout ce que cela implique.
- Il n’est plus question d’envoyer nos jeunes à la mort dans des marches face à un bourreau sans pitié
- Il faut rendre le pays ingouvernable par tous les moyens.
- La paix des armes n’est pas une paix mais un esclavagisme déguisé
- A nos amis de Brazzaville, La résistance dans la Diaspora ira dans le même sens que toutes les actions menées au Congo pour peu qu’elles servent à déstabiliser la dictature.
- L’union des forces vives de l’intérieur et de l’extérieur reste indispensable.
Benjamin Toungamani
Diffusé le 14 novembre 2015, www.congo-liberty.org
ALERTE TOTALE ALERTE ROUGE SASSOU NGUESSO
Le terrorisme et le chaos sont devenus les tasses de thé (diurétique ou digestif ) et de café (stimulant) par les dictateurs arabo-musulmans et dans la mêlée ceux d’Afrique noire dont un certain Sassou Nguesso.
De l’attentat septembre 1989 à Boko Haram, sassou Nguesso et ses maitres à penser obscurs: analysent et préparent des processus terroristes en mode africain. Sassou Nguesso finance Boko haram et tout le monde le sait d’ailleurs. Sassou Nguesso entretien le chaos religieux en Centrafrique et le monde le sait d’ailleurs. Sassou Nguesso entretien la criminalité dans le bassin du congo et surtout au Congo Brazzaville. Sassou Nguesso doit dégager et maintenant et sinon les français vivront bientot des premiers crimes de masse en mode noir congolais. Hollande gouverner c’est prévoir, la France sera bientôt face à deux fronts contre elle: les victimes de la francafrique et l’extrémisme musulman.
FRANÇOIS HOLLANDE DÉGAGE CE SASSOU NGUESSO ET MAINTENANT AVANT QUE LE CONGO BRAZZAVILLE ANIMISTE ET CHRÉTIEN DEVIENT UN ETAT ISLAMISTE ET DJIHADISTE TOUS VOS SERVICES SECRETS CONNAISSENT POURTANT.
rendre le pays ingouvernable!… bon Dieu . SVP relisez les textes que vous proposez sur le net: ne poussez pas la jeunesse à vivre d’inutiles drames. Vous trop loin des réalités.
Cessez SVP de pousser les jeunes congolais au sacrifice. Vautrés dans vos salons de Paris, vous écrivez n’importe quoi. Nous menons une lutte non armée et c’est tout.
Le Congo est dans la situation d’une prise d’otage avec déjà des morts. Si nous ne nous battions pas par la violence contre les preneurs d’otage, il est naturellement possible que Sassou Nguesso va tous nous tuer: un à un, opposant par opposant, contestataire par contestataire. Chez les bantous c’est les vieux qui meurent avant les jeunes. Donc les adultes doivent se sacrifier pour la jeunesse ou pour l’avenir du pays.
La lutte contre sassou devient une lutte armée avec les moyens d’une vraie armée. Tout le sud congo doit d’abord être saboté par des opérations incontrôlables: chemin de fer, coupeur de routes, mise hors service des stations d’essence, de commerces des étrangers blancs, etc.
Nous y préparons et tous les plans seront bientôt opérationnels et nous comptons sur l’opposition politique mais sur la résistance armée et la résistance politique.
sassou sacrifie du jour aux jour les peuples congolais sur tout ce du Sud si les kongo etais mbochi sassou ne pouvais pas donnez lordre de tire’ sur son propre peuple ,alors si le congo veut vivre en paix il nous faut le depart de sassou . peuple congolais du Nord au sud commencer des enlevements des agents petrolier au congo render le congo une zone de insecurite’ pour TOTAL & INIS de ITALIE faite comme les nigeriens et la solution sera trouvez
Concrètement qu’est ce que tu proposes. Du bla bla sassoufit. Il y a un temps tu lançais l’opération Exodus. Où tu en es? Tu parles trop mais on ne voit rien venir. Maintenant nous voulons des actions, du mouvement.
Il s’agit d’imposer un rapport de force au préfet zident pour l’obliger à négocier. Pour cela, pas besoin d’envoyer les jeunes au charbon. Les actions de sabotages bien ciblées devraient rapporter les résultats attendus. Inutile d’affronter le préfet zident de manière frontale. Il a accumulé une puissance militaire qui n’a pas d’égal au Congo. Il faut donc lui imposer une guerre asymétrique, un cadre différent qu’il ne maîtrise pas. C’est ce que les vietnamiens ont imposés aux américains dans les années 60 et 70. La comparaison avec la guerre du Vietnam s’arrête à la stratégie à adopter. Le Congo utile majoritairement situé au sud devra être une terre de repli tactique ou les actions de sabotages seront menées. Asphyxier économiquement le pouvoir central pour limiter son pouvoir de nuisance, pour ensuite le mettre à terre. Mais cette stratégie n’est pas sans conséquence pour les populations civiles. Il faudra imaginer une stratégie pour qu’elle soit épargnée des éventuelles pénuries en tout genre. Pour le reste, il faut de la détermination, de l’organisation et la foi que cette cause en vaut la peine. Si nous y croyons pas, il vaut mieux arrêter de palabrer sur les sites web en tout genre. Comme l’a dit un internaute plus haut, place à l’action en coordination avec les structures politiques locales opposées au pouvoir central, mais aussi à la société civile. Dans tous les cas, cette lutte ne dépend que de nous, et nous seul. A nous de voir si nous sommes prêts.
Ô que cela a pris du temps, mon vieux frère Benjamin pour conclure qu’il nous faut une guerre de libération nationale pour libérer le Congo de cette oligarchie parasitaire qui a fat main basse sur le pays.
À mon humble avis, la première des choses à faire = sensibilisation du peuple sur les enjeux. Aussi, il faut un outil de communication dédié à cette action. Donc créons une RADIO VIA INTERNET QUE LES CONGOLAIS POURTONT ÉCOUTER afin de savoir pourquoi faut-il en finir une bonne fois pour toute avec le fils de satan et ceux de sa génération qui vivent à x crochets de l’état.
Kuna
C’est toi qui parles trop. Le doyen n’a jamais dit que c’est à lui de tout faire. A moins que tu penses qu’il doit prendre tout le monde par la main. Puisque tu sembles bien le connaitre, pourquoi ne lui poses tu pas la question. Les assises, les affaires BMA et autres, c’est peut être rien mais pour nous qui travaillons avec lui depuis la CNS et maintenant, nous pensons que ses principales qualités c’est sa modestie (il est même un peu trop modeste à notre goût) mais surtout nos justesse de ses projections et analyses.
Si tu penses que les analyses qu’il fait dans cet article ne sont pas justes, alors n’en tient pas compte. C’est aussi simple que ça.
Les congolais disent que ceux qui ont des oreilles entendent…
En effet, à l’intérieur du Congo comme à l’extérieur continuant d’être déterminé! Pousser le putschiste vers la sortie, ensuite vers la CPI.
Ce n’est pas avec des slogans creux, des chansons et des danses dans les rues de Paris ou à l’ambassade du Congo, des lettres ouvertes au dictateur que nous parviendrons à faire partir ce monstre de l’Alima. Mais comment nous, Congolais, pouvons être naïfs à ce point. Sans actions spectaculaires (pour attirer l’attention de la presse, de l’opinion nationale et internationale), sans véritable désobéissance civile sur toute l’étendue du territoire national, sans attentats contre les dignitaires du pouvoir et leurs rejetons qui veulent, pour leurs intérêts, pérenniser le système; ce sera le statut quo.
L’histoire nous apprend qu’il y a deux façons d’accéder à l’indépendance : soit par la négociation, c’est à dire de façon pacifique, soit par la lutte violente. Pour notre gouverne, votre gouverne, n’attendons rien de Sassou par la négociation. Il ne nous reste donc plus que la lutte armée. Si nous ne regardons pas cette réalité en face, si nous continuons à pratiquer la politique de l’autruche, si nous n’avons pas suffisamment de couilles pour risquer notre vie ou nos vies, si nous n’avons pas le sens du sacrifice; nous n’aurons plus que nos yeux pour pleurer. Le Congo sera alors une dynastie où les Nguessos se succéderont à tour de rôle avec des Congolais pour esclaves non affranchis, non libérés…
Les sangsues que sont ces nguessos ne partiront pas d’eux-mêmes. Ils ont pillé le pays et tué des dizaines, des centaines et des milliers de Congolais. Ils le savent, ils en sont conscients. C’est pourquoi, ils tiennent à conserver le pouvoir pour continuer à tirer avantage de l’impunité. Il faut que les rapports de force nous soient favorables. Faute de quoi, nous sommes condamnés à souffrir, à pleurer, à mourir de faim, de soif, de maladies…
ATTENTION SASSOU , la diaspora t’a à l’œil , en dépit des attentats contre paris , ce n’est qu’une pause , pour respecter le deuil français .
La diaspora , pour des motivations plurielles ;ne baissera jamais les bras , car il y va de sa survie , en Europe , et surtout dans notre pays ;
Nous aurons , le devoir de faire une thérapie de choc , sur notre pays ; en cas de victoire , laquelle se dessine actuellement , vu l’illégalité de votre posture présidentielle issue d’une pseudo
victoire référendaire .
Cette diaspora , longtemps vouée aux gémonies lucifériques , vous rappelle à vos souvenirs , d’un
président finalement tribalo -clanico régionaliste .
Vous ne travaillez que pour , une partie étriquée du pays , à laquelle vous vous sacrifier à tout verser .Cette vision apocalyptique du pouvoir , ne peut ramener la paix dans notre pays .
@Kuna
Kuna dit :
14/11/2015 à 17:02
Concrètement qu’est ce que tu proposes. Du bla bla sassoufit. Il y a un temps tu lançais l’opération Exodus. Où tu en es? Tu parles trop mais on ne voit rien venir. Maintenant nous voulons des actions, du mouvement.
@Kuna, l’opération Exodus n’est pas synonyme du « chemin d’avenir » ou plutot du « chemin qui, de 2016 à 2025 le congo sera totalement devenu la propriété des nguesso ». L’opération Exodus ne peut être applicable qu’après la chute du tyran sassou et de son système. Kuna, sassou dégage et Exodus opérationnel.
NOUS LES VIEUX et Specialistes du metier des Armes sommes prets a donner une main forte de Qualite a ce mouvement qui devient celui des JEUNES desherites par nos conseils techniques afin de venir a bout de l’arsenal militaire illegalement utilise contre le Souverain Primaire.
Nul ne peut gagner contre la guerre Populaire et l’outil ne vaut que par l’ouvrier qui s’en sert! Les engins blindes chinois utilises par la garde dite republicaine, sont une veritable pacotille avec des pneus de peugeot 104. Et si le pouvoir essaie de sortir les canons, alors-la, meme Mr. HOLLANDE se sentira concerne au point au point d’ordonner le « RPIMA » Francais base au Gabon d’entrer dans la danse pour arreter la vraie recreation. Il n’acceptera pas deux fois de faire porter le fardeau des genocides en Afrique, a la France et au PS particulierement.
Du coup, NOUS n’avons plus peur de vous aider ouvertement.
Soutien les Enfants, personne n’est ne President et on a pas besoin de grandes etudes pour le devenir. On le devient par la sagesse et il n’y’a pas un age pour etre Sage.
Surtout mefiez-vous de tous les FRANC MACONS dans vos affaires. Ils sont tous freres, c’est pourquoi NOUS ne croyons pas beaucoup a la franchise de tous ces Mec de l’IDC/FROCAD dont plusieurs repondent de ces loges de Fous.
https://youtu.be/I6uHYn7lh5k
Très bon article, le peuple congolais n’a plus d’autre alternance que la RESISTANCE pour chasser le très minable et indigne sanguinaire de mpila, ce monsieur sans vision, ce sanguinaire féroce qui n’a jamais été élu, ce pauvre type qui se décape la peau et met le yombo pour noircir les cheveux à 77 ans, il a par ailleurs menti sur ton âge. Il suffit de voir ses mains noirâtres et vieillissantes dans la caméra qui le montre promulguant sa dite constitution et tranchant avec le teint claire du maquillage. Quel minable personnage, le plus grand assassin dafrique
A l’universite Marien Ngouabi, quand nous avons voulu nous manifester contre le retard sur nos bourse, monsieur Sassou avait envoye des militaitres pour nous frapper, le premier jour ils avaient reussi leur sale besogne, apres nous avons decide de rester a la maison en desertant l’universite, vu l’ampleur de la situation , monsieur etait bien oblige de nous verser notre bourse. ni ecole ni travail, seulement les medecin en urgence a l’hopital, je crois que Sassou cherchera a negocier.
les vrais Opposants doivent partir et montrer leur force à BRAZZAVILLE AU CONGO que de venir nous embrouiller en FRANCE dans les médias.. Croyez vous que on restant en FRANCE vous pouvez vaincre sassou ? Ne demandez plus aux enfants d’aller dans la rue. Aucun opposant qui est sorti dans la rue le 20 octobre si c’est pas M. MAKAYA Paulin. ENVOYEZ VOS PROPRES ENFANTS VOUS AVEZ L’ARGENT POUR PAYER LES BILLETS D’AVIONS