La raison du plus fort au pouvoir, est toujours la meilleure pour écraser toute dignité humaine en toute impunité. Inacceptable.
C’est la triste réalité qu’a subi le vendredi 05 mai 2017 entre 16h et 17 h , la jeune compatriote Belinda, caissière au Supermarché PARK ‘N’ SHOP , situé au centre-ville de Brazzaville, à proximité de la Direction Générale des Impôts. L’histoire est simplement l’expression de la méchante volonté de «Madame chef», énième concubine d’un ayatollah de Mpila, que nous nommerons ci-après « Dame X ».
Nous vous rapportons ici le témoigne, vidéo à l’appui, d’un citoyen meurtri par le triste événement qu’il a vécu de ses yeux; nous ne pouvons malheureusement rendre publique la vidéo pour ne pas exposer les différents témoins qui y sont identifiables et seraient ainsi exposés à la répression aveugle des personnes incriminées. Mais l’information étant vraie, chacun est appelé à vérifier.
Tout se passe donc le vendredi dernier. La fin de journée approche et les clients abondent dans le magasin. C’est le moment où les caissières sont appelées à faire preuve de célérité avec attention pour ne pas commettre des erreurs qui entraîneraient des encombrements en caisse.
C’est dans ces conditions que Dame X, richement vêtue, arrive à une caisse avec un chariot bien rempli. Son choix se porte vers la caisse de Belinda. la jeune caissière que tous les clients fidèles affectionnent non seulement pour le joli sourire qui illumine son beau visage mais aussi parce qu’elle a toujours été accueillante et avenante depuis son embauche, à la satisfaction de ses supérieurs.
Belinda fait son travail et c’est le tour de Dame X. Cette dernière vide son cadis et pose ses articles sur le tapis. Comme pour tous ses clients, Belinda scanne avec application article après article, les yeux fixés sur son écran. Et exceptionnellement, elle doit en même temps répondre à son patron, son patron, indien propriétaire du super marché, qui vient à elle pour lui demander quelques renseignements techniques comme il est habituel entre celui-ci et ses employés. Belinda répond à son patron en poursuivant le scannage des produits de Dame X. A la fin, elle présente la facture à Dame X qui lui tend des billets qu’il faut. Machinalement, Belinda lui rend la monnaie sans plus, et, veut passer au client suivant.
Mais surprise, ce n’est pas du goût Dame X qui entend certainement marquer son passage. Dame X interpelle subitement la jeune caissière en ces termes :
- «Eh ! Toi là, tu me rends la monnaie sans me regarder ?
Belinda, étonnée et, en s’excusant, lui répond simplement qu’elle ne « pouvait à la fois saisir les données de caisse, répondre à son patron et lever la tête avec instance pour regarder les clients »
Dame X, énervée, lui rétorque avec furie :
- « Mais ! pour qui te prends tu pour oser me répondre, toi qui est moins que rien et qui peut être ma « bonne » ; sais-tu à qui tu as affaire ? Attends voir, je vais te montrer qui je suis. Tu vas voir.»
Dame X se tient donc debout et décide de rester là multipliant les injures et les menaces sur la caissière. Dans la file, les clients sont éberlués et s’impatientent.
Instantanément, Dame X sort alors son téléphone, appelle et dit véhément à son correspondant qu’elle venait d’être « l’objet d’une provocation de la part d’une caissière insolente…envoies moi une intervention ».
Moins de 10 mn après, arrive en trombe une voiture noire qui stationne devant les baies vitrées du magasin. Un jeune homme en costume, aux allures de garde de corps car son pistolet automatique sous la veste n’échappe pas aux observateurs, sort et entre dans la super marché, se dirige vers la caisse où se tenait Dame X. Dans un ton grincheux, il demande :
- « Qui cherche des problèmes à ma patronne ?
Tout de suite, le personnel du magasin intervient pour lui expliquer le problème invraisemblable et incompréhensible qui se posait en soulignant notamment l’innocence de Belinda. Ce qui ne manqua pas de confondre le garde du corps qui, par une sorte de gêne tout en attirant l’attention de la caissière sur une prochaine fois, s’en référa à sa patronne Dame X en lui suppliant de s’en tenir à cela.
Les vigiles du magasin, employés d’une société de gardiennage propriété de la famille de Oyo, sont scandalisés mais n’y peuvent rien. Eux-mêmes, d’ailleurs, pour la plupart recrutés parmi les populations les plus asservies, notamment venues des quartiers et milieux pauvres de la ville sont obligés de se taire devant la démonstration de puissance de Dame X. Oui ! c’est le code de survie au Congo…et de la servitude volontaire: ne jamais s’interposer dans les différents qui impliquent les « familles au pouvoir » ; tant il est vrai que « quand les éléphants se battent, c’est l’herbe qui prend les coups ».
Mais c’est loin de ce que Dame X supposait suffisant. Et clic, clic…elle rappelle qui de droit, en lui demandant de dépêcher sur les lieux une vraie équipe d’intervention car elle devrait monter à cette jeune caissière qu’elle était une femme importante, femme d’un chef.
Aussitôt demandé, aussitôt fait. Dans les minutes qui suivent, une B.J blanche toutes roues rutilantes et remplie de barbouzes lourdement armés, tous avec lunettes noires et certains avec cagoules, débarque sur les lieux sous le regard enjoué de Dame X qui tout de suite désigne sa proie, la pauvre Belinda qui crie au secours désespéramment.
Vite fait, pas de questions…le patron du supermarché qui veut s’interposer est balayé d’une main. Et hop ! Belinda est soulevée manu militari et jetée comme un sac dans la cabine de la BJ qui démarre pour une destination inconnue à la grande stupéfaction de tous les témoins.
Tous ceux qui assistent à la scène sont tétanisés même les plus audacieux n’osent rien dire car ils savent qu’ils ont affaire à des tueurs sans foi ni loi. Ils avaient en mémoire que ce qui arrivait à Belinda, n’était plus un fait rare et caractérisait désormais la barbarie institutionnalisée dans ce pays où ceux qui se sont accaparés du pouvoir, l’exercent au mépris des droits élémentaires des citoyens.
Entre temps, le patron indien qui assume cumulativement les charges de Consul de l’Inde, extrêmement courroucé, reprend l’initiative. Il téléphone à qui de droit à la présidence: le président 8 % ? Ndenguet ? Jean Dominique Okiemba ? Nul ne saurait le dire.
Dame X est toujours là, impassible et toute imbue de sa puissance.
Toutefois, minute après minute la situation s’envenime. On frôle l’incident diplomatique…et puis arrivent sur les lieux les émissaires du pouvoir, paniqués, qui plaident l’apaisement et se déploient au téléphone. En même temps arrivent une équipe de police dépêchée par le Commissariat de la Coupole. Les désolations et regrets pleuvent…au même rythme que les recherches par téléphone en direction des différents lieux de tortures connus des seuls sbires du pouvoir.
Puis les langues se délient, chacun donnant des détails sur les hommes de la B.J. L’information importante est son immatriculation relevée par l’un des témoins et par les vigiles.
Coup de fils par ci et par là…et 15 mn après un contact est établi avec l’équipe de la BJ des kidnappers qui s’en allait vers une direction inconnue. Ouf ! C’est le sentiment que laisse supposer la forte respiration ressentie chez tous ces serviteurs zélés du pouvoir qui étaient là baba et qui semblaient réaliser la folie inhérente au système qu’ils servent.
Enfin, vient l’épilogue. 20 mn après, la BJ réapparaît subitement en trombe, freine et balance à l’extérieur Belinda la jeune caissière et redémarre.
Tout le monde est soulagé mais pas Dame X qui est toujours là mais ne s’avoue pas vaincue. Front fermé et visage teigneux, elle se retourne vers Belinda et lance son dernier venin devant tous les émissaires et la police qui assistent bouches bées :
- « Saches que ce n’est pas fini, je te ferai disparaître, c’est promis »
Sans autre forme de gêne et en toute impunité, Dame X, monte dans sa voiture qui démarre aussitôt.
Qui est donc cette fameuse Dame X qui peut ainsi martyriser une jeune employée sur son lieu de travail ? Aux dernières nouvelles une ressortissante Rwandaise, devenue congolaise, pour services rendus. Lesquels et à qui ?
07 mai 2017
Source: A.R.M.
Par Alexis Richard MIAYOUKOU
Les larmes et les bras m’en tombent ;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;
Qui est cette salope ?
Et oui notre pays est entrain de se déshumaniser.Jusqu’à quand allons nous subir cette humiliation?
Merci Alexis pour ce poignant et douloureux témoignage, c’est triste et j’ose espérer que Madame BELINDA aura le courage nécessaire pour surmonter le traumatisme subi. Le Congo-Brazzaville est mort
Vous comprenez maintenant la haine des soit-disant français de souche envers des français dits »immigrés »? Quand une rwando-congolaise ose dicter sa loi selon son éducation de la rue! Oh quelle tristesse pour ce pays; tantôt c’est des libanais, des ouest-africains, et demain encore la Françafrique avec Macron comme président français…
Ce serait tout craché la mentalité de Fatima Beyina-Moussa
Terminés les temps de lamentations
Maintenant appliquons systématiquement, la loi de Talion : « oeil pour oeil, dent pour dent » ou encore : » tu me mords, je te mords davantage ».
Il nous faut connaître cette femme et lui rendre sa monnaie surtout si elle ne comprend pas le langage de bienveillance, ni celui de l’hospitalité.
Affaire à suivre.
Notre conduite doit désormais être de rendre coup pour coup ! Ne laissons pas la barbarie régner en paix.
Il faut donner son nom et celui de son « Jules » pour que cette Hutu Rwando-congolaise ne récidive plus, car la vie de la caissière est toujours en danger… « DAME X » a promis la faire disparaître, à jamais.
Le nouveau chef des dictateurs africains à 39 ans. Sassou Nguesso serait obligé de courber devant ce jeune président. Eh oui, qui vivra verra.
AUCUN pays au monde ne peut tolérer que des « étrangers » puissent monter avec arrogance et insolence inouies sur le nez de ces Nationaux, sauf bien entendu, au CON-go, avec les chieurs des rivières.
Il faut à tout prix CHASSER les singes!
Je n’en dirai pas plus.
EH OUI ,CONGO ,un pays virtuel .Après CONGO ZOBA , selon des yangaris , c’est maintenant aux rwandaises de promettre l’enfer à nos parents .
CONGO , pays inexistant .On y puise des ressources financières , pour les plaquer à l’étranger .Les étrangers y prospèrent sans difficultés , car les congolais sont des assistés d’un système politique qui les ont cloués au sol ….
L’air hagard , ils s’en remettent aux églises exotiques qui les déplument davantage ;;;;;
Voilà , le CONGO du vivre ensemble de SASSOU .L’homme avait politiquement abdiqué depuis des lustres , sous l’effet des vitamines de ces partisans criminels , il dirige en titubant .
Le pays est à l’image de son personnage hideux ;;;;
lire ;;;; qui les a cloués au sol
Ceci me rappelle un burkinabais, locataire de la maison de mon père; qui voulait bien narguer celui-ci parce qu’il se disait grand commerçant…Je lui avais appelé un jour afin qu’il libère la maison sinon je payais un billet d’avion rien que pour lui et ça allait chauffer, il avait finalement libéré la maison. Donc nous les congolais on ne doit pas se laisser faire.
Quelque soit la durée de la nuit, le soleil finit par apparaître, il n’y a pas d’homme fort car étant mortel ce n’est que Dieu qui est fort. C’est malheureux pour nous les congolais car aujourd’hui je me demande si on est vraiment chez nous, en fait pour sassou on est que des cafards que lui et son clan doivent pietiner comme ils veulent, un soit disant président qui n’aime pas son peuple . Il nous croit faible mais il avait bien réçu sa gifle dans les urnes même pas honte mr 8%. Du courage Belinda, le jour va arriver où ces hommes qui se croient fort seront humiliés j’espère qu’elle aura le temps de prendre son vol pour le Rwanda
souvenons nous à Pointe-Noire de ce Batard libanais qui a rendu infirme notre compatriote Flore Barros Tchicaya. Vraiment au pays dirigé par les singes rien n’est impossible. Mais did donc cette pute hutu devenu congolaise grace à ses grosses fesses se croit intouchable, elle prenait Belinda pour une Tutsi comme en 1994 dans sa terre natale. Mais dame X nous aussi les Congolais on sait tuer et tu periras avant Belinda car elle est une vraie congolaise.
Tous derrière NTOUMI. Advienne que pourra.
Le toxicomane de fils de la femme du satan a une femme rwandaise.
C’est vraiment triste notre Congo, je suis révolté!
Après le Béninois SASSOU NGUESSO Denis, chef terroriste de 77 ans, et après les Waras, c’est maintenant au tour des Burundais (ce peuple barbare) de prendre les Congolais pour du bétail dans notre propre pays. Cette Dame X doit savoir que elle et le sanguinaire SASSOU NGUESSO Denis seront tenus pour responsables si quoi que ce soit arrivait à cette caissière. Bandes de criminels psychopathes!!!
J’ai espéré, un moment, en lisant ce papier, assister à une guerre des polices. En vain. Les sbires du régime, hélas, pratiquent une solidarité de soumission. Car, ne serait-ce que par dignité, les vigiles de cette épicerie, puisqu’ils bossent pour un patron mbochi, auraient dû manifester leur instinct territorialiste. Malheureusement, ce qui les opposait ce jour-là était inférieur à ce qui les unit en général : la survie éternelle de Sassou au pouvoir. Non la guerre des condés n’aura pas lieu sous Monsieur 8%.
DEMANDONS A DIEU DE PROTEGER NTOUMI ET DELUI ACCODER LA VICTOIRE QUAND AU SEIGNEUR MILANDOU IL EST DE CEUX QUI ONT TRAHI LEUR AME
DE PLUS IL NE SERT A RIEN DE NOUS LAMENTER IL FAUT AGIR ET VITE