ARRESTATION DE CLEMENT MIERASSA: les réactions des Assises Nationales du Congo, de l’UPADS-France Europe, et de la Diaspora congolaise de Grande Bretagne

Clément Mierassa

Clément Mierassa

La Coordination Générale de la Plateforme Assises Nationales du Congo dénonce les actes de barbarie perpétrés par la milice du régime dictatorial de Brazzaville contre les responsables et membres du « Mouvement Citoyen pour le Respect de l’Ordre Constitutionnel » présents dans l’après-midi du mardi 04 novembre 2014 au domicile privé du Président Mierassa.

Elle informe le public et l’opinion internationale qu’une Conférence de Presse du président Clément MIERASSA assisté de Messieurs Paul Marie POUELE et Anatole Limbongo Ngoka, s’est tenue ce jour 05 novembre à 10h30 à Brazzaville. A cette occasion, les responsables des partis politiques et de la société civile, membres de l’opposition congolaise, ont vigoureusement dénoncé la volonté de Sassou Nguesso de museler, à tout prix, l’opposition et le peuple Congolais dans le dessein de réaliser son projet de président à vie.

Il est également établi que dans leur élan criminel, les sbires de Sassou ont sauvagement agressé le président Clément MIERASSA et tous ceux qui étaient en réunion avec lui dans sa maison, hier mardi 04 novembre. Ces derniers ont mis à sac le domicile du président Clément MIERASSA, emportant avec eux tous les téléphones portables et ordinateurs.

Plus grave encore, ils ont arrêté et détiennent arbitrairement, depuis hier, près de 35 personnes dont des jeunes étudiants et des responsables politiques au nombre desquels le professeur Anaclet Tshomambet du R.D.D, le professeur MAKITA-MBAMA de l’Association Convergence Républicaine pour le Développement et Monsieur Patrick Eric Mampouya, porte parole du Mouvement Citoyen pour le Respect de l’Ordre Constitutionnel.

La Coordination Générale de la Plateforme Assises Nationales du Congo suit de près la situation et reste en contact permanent avec le Président Clément Mierassa ainsi qu’avec les compatriotes Anatole Limbongo Ngoka et Paul Marie POUELE. Elle continue à entreprendre toutes les démarches nécessaires pour marquer notre solidarité à nos compatriotes et frères de lutte.

La Coordination Générale de la Plateforme Assises Nationales du Congo félicite les Forces Vives de l’intérieur, la « Plateforme de la Société civile » et la « Plateforme Sauvons le Congo » qui se sont vite rassemblées et ont entrepris de réagir ensemble aux côtés du Mouvement Citoyen pour le Respect de l’Ordre constitutionnel.

Elle remercie les responsables et journalistes de la radio RFI qui ont accepté de diffuser les informations tenues à leur disposition et d’interviewer directement le président Clément Mierassa.

La Coordination Générale de la Plateforme Assises Nationales du Congo appelle le peuple congolais ainsi que l’ensemble des Forces Vives de l’intérieur et de l’extérieur à la vigilance et au rassemblement pour relever courageusement le défi de la libération du Congo du joug d’un dictateur aux abois.

Une prise de position officielle de la Plateforme Assises Nationales du Congo sur la situation nationale sera publiée très prochainement.

Paris, 05 novembre 2014.

La Coordination Générale de la Plateforme Assises Nationales du Congo.

 

Arrestations arbitraires en république du Congo

 

Nous vous informons qu’au Congo, des arrestations arbitraires ont été effectuées, Brazzaville, au domicile d’un opposant politique, monsieur Clément Mierassa. En effet, monsieur Mierassa et d’autres membres du Mouvement Citoyen Contre le Changement de la Constitution tenaient une réunion au domicile de monsieur Mierassa, dans le cadre des activités visant à informer la population congolaise sur l’instabilité sociopolitique que pourrait engendrer le changement de la constitution souhaitée par les partisans du président de la république, monsieur Denis Sassou Nguesso.

Ce dernier qui accomplit actuellement son deuxième et dernier mandat – selon l’article 57 de ladite constitution – a laissé entrevoir la possibilité de changer la constitution afin de se maintenir au pouvoir.

L’article 21 du titre 2 de cette même constitution, stipule, à propos des Droits et des Liberté fondamentaux, que « L’Etat reconnaît et garantit, dans les conditions fixées par la loi, la liberté d’aller et de venir, d’association, de réunion, de cortège et de manifestation. » Pourtant, le matin du 4 novembre 2014, des hommes en uniformes ont fait irruption au lieu où se tenait la réunion et ont saccage du matériel, avant d’embarquer monsieur Mierassa et ses camarades.

Ces arrestations qui interviennent alors le président de la république avait ouvertement et publiquement déclaré que le débat sur la constitution était ouvert et libre, constituent une grave violation des droits de l’homme et installent un climat d’intimidation politique dans tout le pays.

Nous craignons que ce genre de situation – devenue monnaie courante et banale au Congo, puisse entrainer une grave instabilité sociopolitique qui plongera une fois encore, la population congolaise dans un chaos.

Par conséquent, nous attirons vivement l’attention des organisations internationales des droits de l’homme sur la situation congolaise.

Nous adressons également ce message à l’endroit de Monsieur Denis Sassou Nguesso et sa clique de sécurocrates pour leur faire savoir que les congolais n’ont désormais plus peur des manœuvres d’intimidation de ce régime, et que les basses actions désespérées, en vue d’intimider les populations, n’arrêteront pas les Congolais dans leur exigence de liberté, d’alternance politique et de démocratie. Monsieur Sassou ferait bien d’user de toute sa sagesse pour tirer quelques leçons de la situation qui a emporté le président Blaise Compaoré qui, comme lui,  se croyait encore très puissant il y a quelques à peine jours, mais qui a perdu le pouvoir en l’espace de quelques heures.

Ce mouvement historique d’émancipation des populations africaines refusant des présidents à vie ne pourra être stoppé par quelques intimidations policières de quelque nature que ce soit.

Nous exigeons la libération inconditionnelle de tous les membres de l’opposition qui ont été arrêtés  le 4 Novembre 2014.

En outre nous réclamons que Monsieur Denis Sassou Nguesso cesse de se servir de la force publique républicaine comme d’une vulgaire petite milice au service de ses caprices personnels.

Le Congo n’étant pas sa propriété privée, l’alternance politique dans ce pays est inévitable, elle s’impose et elle est pour très bientôt.

 

La Diaspora Congolaise de La Grande Bretagne

Par Marie Louise Ango

 

Déclaration    de la  Fédération    UPADS   France  Europe   sur  les  violences,   la privation des libertés et  les   arrestations  arbitraires des  opposants   congolais à Brazzaville 

 
          Depuis l’échec flagrant  des élections  locales du  28 septembre 2014, largement  boycottées  par les populations   congolaises, et, récemment    avec les  heureux  événements du Burkina Faso,  le  spectre  de la fin  politique  inéluctable  du  règne  de  Mr   Sassou Nguesso  et  de son régime  se  caractérise,   chaque jour,  par   une  pratique  de menaces  physiques, gratuites   et ciblées  d’opposants  et de  paisibles citoyens en quête   d’alternance   politique  crédible   dans le  pays.  
        Ce   4  novembre  2014,  à  Brazzaville,  pendant   qu’ils    analysaient  la situation  politique   au Burkina  Faso,  les anciens   ministres  Clément   Miérassa et  Anaclet Tsomanbet   et   trente  cinq  autres   membres du  collectif   des partis de  l’opposition  congolaise  et   du mouvement  citoyen   pour   le respect   de l’ordre   constitutionnel   ont   été   sauvagement   agressés  et  arrêtés  au   domicile    du  ministre  Mierassa.  Au  cours de  l’interpellation,   les   biens  de ce  dernier ont été   spoliés,  saccagés  et  confisqués   par une   horde de  milices  privées  et claniques  du   pouvoir  impopulaire  de Mr Sassou  Nguesso. 
        A  l’endroit   du   régime  de Brazzaville, la Fédération  UPADS  France Europe  déclare que  toute  atteinte   crapuleuse  à la   vie physique de  paisibles  citoyens  congolais   par   les  milices   du  pouvoir    et  autres  agents  de  la force publique  irresponsables  et  antirépublicains  soulèvera  la résistance   et  la riposte    appropriées   du  peuple congolais. Il  ne doit  plus  être  toléré   toute  atteinte   à la  libre  expression   des  citoyens  et  l’on  ne  peut  interdire  le droit  objectif   d’informer   et de  se  réunir   légalement  garanti   par  la  constitution   du  20 janvier  2002.
      Au   moment  où  le  peuple  ingénieux,  courageux   et  généreux   du  Burkina Faso  vient,   à la face   du  monde, d’inaugurer  la voix  pacifique et  consensuelle  de règlement   historique   des  conflits  politiques,  en  recherchant   l’équilibre  dans   le gouvernement  de  transition   démocratique  et civile,  dirigé  par une   figure  de   consensus   et de  compromis,   le   pouvoir   finissant, discrédité  et  archaïque  de  Mr  Sassou Nguesso   s’obstine  à réitérer     les  schémas    erronés,  dépassés   et   improductifs.  
      Le   temps  presse   pour   le   régime de Brazzaville. Il  ne   lui  reste  plus que   la voie  loyale   du   dialogue  national  inclusif que   ne cessent  d’exiger l’opposition    et   la société   civile  congolaises    ainsi  que la  communauté  internationale    afin de  créer  les   conditions   consensuelles  et   pacifiques   d’organisation    d’élections  transparentes  et  démocratiques   en prévision   du  scrutin   du  prochain  président  de la  république   du Congo, au  soir   du   dernier  et   second   mandat    constitutionnel   de  Mr   Sassou Nguesso. 
     Toute  autre  voie  trompe   l’œil  ou   frauduleuse  du  régime  de Brazzaville  pour   maintenir  au pouvoir  Mr Sassou Nguesso   contre  l’ordre  constitutionnel établi  et le bon sens   n’est   ni plus  ni  moins   qu’un  coup   d’état   constitutionnel   venant  parachever  le coup   d’état  militaire du  5 juin  1997,  mettant   en  danger   ce qui  en  reste  encore     de  la   fragile   cohésion   nationale  actuelle   au  Congo.    
      La  leçon    du  Burkina  Faso, c’est   de  se ressouvenir  que  tout   pouvoir   même   dictatorial    est   impuissant   face  aux  forces  populaires   rassemblées   et  déterminées.  
     C’est  ici   l’occasion  pour  la  Fédération  UPADS  France Europe   d’exiger  des   forces  vives  de  la nation congolaise,  aussi  bien  à l’intérieur  qu’à  l’extérieur  du  pays   de   se    fédérer,   sur des  bases  justes   et solides,   autour d’une  Union  des Forces  de l’ Alternance  à   créer  à  partir  du  socle élargi    du  collectif  des partis  de  l’opposition  congolaise,   du mouvement  citoyen  pour  le respect    de  l’ordre  constitutionnel  et   des  plateformes  politiques et  citoyennes de la société  civile.
      L’UPADS   que   dirige Mr Tsaty Mabiala  doit  en finir  avec ses  tergiversations   et  ses  louvoiements   permanents   pour   enfin  s’amarrer   à  cette grande  alliance  nationale et   républicaine  qu’est  l’ Union  des Forces de l’Alternance.  Celle   ci  incarnerait   désormais   la légitimité  historique conduisant   la  victoire  de la lutte  du   peuple  congolais   pour   le changement.    
     Enfin,   la  Fédération   UPADS   France  Europe:
                           – exige    que soit    faite   toute  la lumière   sur   le   saccage,  le vol, la  profanation  et la souillure   du  domicile   de l’opposant  politique  Clémént Miérassa,   interpellé   et  libéré. 
                          -condamne    avec fermeté   les  milices   privées   et claniques  de  Mr   Sassou Nguesso     auteurs de  plusieurs exactions   dans le pays. Leur  dissolution  s’impose  au   regard   de  la  constitution.   
                          -exige  la libération   inconditionnelle  des   opposants   politiques  congolais   en  détention  dans les    geôles  du    pouvoir. 
                          -invite  la   communauté     internationale    de se  saisir  des  nouvelles   formes de violences  et d’atteintes   des  droits fondamentaux   au  Congo  Brazzaville  sciemment   organisées  par   le  pouvoir en   sursis   de   Mr   Sassou Nguesso.
                          -réaffirme   son  attachement  au   respect    de la  constitution   congolaise   du  20  janvier  2002   qui    limite   à  deux  mandats   stricts non   renouvelables  la  durée  de l’exercice  présidentiel.  Mr  Sassou Nguesso,  chef  d’Etat  pendant  trois  décennies, concerné   par ces   dispositions doit   quitter  le pouvoir en  2016   pour  donner   toutes  ses   chances   à  l’alternance   politique   et   à  la  normalisation    démocratique au  Congo.
 
                        Fait   à    Paris  le   5   novembre  2014
 
           Le  1er Secrétaire   de  la  Féderation  UPADS France  Europe
 
                                 J.Ouabari  Mariotti
                                  ancien   ministre    
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35 réponses à ARRESTATION DE CLEMENT MIERASSA: les réactions des Assises Nationales du Congo, de l’UPADS-France Europe, et de la Diaspora congolaise de Grande Bretagne

  1. Anonyme dit :

    Rendre aussi public la déclaration de la fédération Upads France animée par Joseph Oubari Mariotti, que je trouve bien argumenter, toutefois le moment est venu ceux des congolais au service de Sassou qui sont en France; de rechercher tous ceux qui en ce moment se permettent de jouer ce rôle d’indicateurs ou d’agents de renseignements, ils répondront devant la justice, nous lançons un appel aux démocrates et patriotes congolais en France dorés et déjà d’identifier les agents de renseignements congolais en service à Paris ou Europe, le peuple congolais les rattrapera.

  2. Le Juge dit :

    Vous sortez maintenant petit à petit de votre torpeur aux Assises face à la bêtise qui a lieu au Congo. C’est bien et il faut frapper très fort sur ces canailles qui feignent de croire qu’ils vont étouffer notre volonté et détermination de les chasser du pouvoir. Aucun général au monde n’a pu arrêter linvasion d’une armée d’idées. Aujourd’hui, l’idée est que les africains ne veulent des présidents à vie et des partis uniques. Nous savons aussi que le contexte international est à l’avantage des Peuples qui luttent pour le respect de leurs droits et libertés fondamentales comme nous l’ont confirmé la décision du président Obama qui a supervisé lui à travers le US National Security Counsel (NSC)le départ par la honte de Compaoré. Quand la France hésitait encore, c’était Obama par un communiqué de madame Bernadette Meehan, porte-parole du NSC qui donnait le coup fatal à Compaoré pour qu’il quitte le pouvoir – allez voir ce communiqué sur le site web de la Maison Blanche ou bien faites une recherche sur Google avec le nom de Mme Meehan et Burkina et vous trouverez ce communiqué. Notez que ce n’était pas le State Department ni la Représentation US à l’ONU qui avait publié le premier communiqué US mais bien le NSC présidé par Obama lui même avec l’assistance de Suan Rice. C’est dire que le sort des 3 présidents africains qui avaient osé braver Obama en août etait scellé en ce moment là. Compaoré est le premier à tomber, il reste sassou et Eyadema. C’est dire que le contexte nous est favorable. Nous devons continuer à mettre la pression sur les nguesso jusqu’à leur abdication et fuite du pays.

    Aux Assises, je dirai qu’il faut penser l’après sassou pour éviter l’impréparation que l’on a pu voir au Burkina à savoir qui dirigera la période de transition. Nous savons tous que les forces armées sont à plus de 75% aux mains des gens provenant d’un même coin du pays. Donc, il n’y a aucune confiance de ce côté. Pour sécuriser l’après sassou, il nous faut une force neutre pour garantir les institutions démocratiques et discutez-en avec nos partenaires tels que les USA, la France et l’Angola, et sûr avec les forces sur le terrain. Laissez la sécurité de l’après sassou aux mains de sa milice cobra ce serait assuré la survie de cette racaille. Il faut aussi songer à l’abolition du pct.

  3. Jean Ngoma dit :

    N’importe quoi, le Congo n’est pas le Burkina Faso.

  4. NSIMOU William dit :

    Mme Ango, j’ai honte de toi, tu es soit disant en Grande Bretagne et tu confirme l’arrestation de Mirassa. c’est malheureux pour toi qui invente n’importe quoi. Tu crois que depuis la Grande Bretagne tu peux faire quoi? tu es entrain de faire ta publicité auprès de ta famille pour dire quez tu es sans papier en Europe, tu es malade, il faut te faire soigner.
    La revolution du Congo va arriver pas avec vos mensonges. Bon vent.

  5. Anonyme dit :

    @ NSIMOU William, Tu es sous informé ou quoi? Vas te faire enculer par ton père ou soit un proche. Enfoiré de merde.

  6. Marie Claire MOUSSITOU dit :

    Cette arrestation est une manifestation de la nervosité du pouvoir qui reconnaît implicitement à travers cet acte, la force que représente le mouvement qui s’oppose à la modification ou au changement de la constitution pour la confiscation du pouvoir au sein d’un clan mafieux.

    Le pouvoir veut détourner l’attention de la population sur d’autres sujets, à un moment aussi crucial où les projecteurs sont banchés vers ces hommes qui donnent de l’Afrique une image de la jungle.

    Je pense que le moment est plus que venu de sortir de la litanie de forums ou réunions sans issus, pour s’engager dans un mouvement de soutien à ceux qui sont en première ligne à travers des initiatives concrètes du genre :
    – soutien financier
    – soutien logistique
    – soutien médiatique
    – conseil stratégique

    Car, le combat se gagnera sur le terrain et non par la multiplication de table de toute forme.

    Nous savons tous que les opposants réels au Congo sont dépourvus de moyens financiers pour mener une vraie compagne de communication.

    Si la diaspora qui se présente comme engagée était assez bien organisée, elle aurait pu mettre en place une plate forme de collecte de tout ce qui peut contribuer à aider et encourager nos frères en lutte au pays (à condition de mettre de cotés nos égos et instincts grégaires).

    Exemple : Plutôt que de venir exhiber les diplômes, costumes ou titre aux différentes réunions, je souhaiterais que chacun puisse prouver ce dont il est en mesure d’apporter, en mettant de coté, de temps en temps, même 100 €, pour soutenir sur le plan les frères de lutte au Congo.

    On peut aussi essayer de développer des relais médiatiques, pour faire passer les messages de l’opposition interne, mais aussi dénoncer les manœuvres d’intimidation du pouvoir diabolique partout où nous sommes, et prévenir la communauté internationales des risques encourus par ceux qui s’opposent à la modification de la constitution…

    Pour terminer, mon total soutien à Monsieur Mierassa et tous ceux qui luttent et traversent avec lui, ces dures épreuves, que bon nombre de combattant de la liberté ont connu avant eux.

    Nous pouvons gagner, si nous nous organisons.

    Il n’y a rien en face, c’est maïs disent les ivoiriens.

  7. Madouma lissafi,

    Nous sommes devant notre incapacité de simplifier une équation pourtant à une seule inconnue.

    Celle relative au MANQUE ABSOLU D’UNE COERCITION DEMOCRATIQUE ET REPUBLICAINE.

    Tant que les MILICES militaires, policières et de gendarmes y compris les agents miliciens spéciaux restent les piliers du régime génocidaire sont toujours en place, nous congolais sommes condamnés à un régime continu d’exception. Ce depuis 44 ans du pct.

    La solution idoine? CREER NOTRE PROPRE COERCITION PUBLIQUE SUR LA BASE DE DE NOS FONDAMENTS IDEOLOGIQUES: NOS COUTUMES ET TRADITIONS.

  8. Marie laure dit :

    Solidarité quand tu nous lies!

    Mme Ango a le droit d’écrire sur ce qu’elle veut, entend ou pense. Si le contenu ne vous convient pas, débattez, argumentez et justifier votre contre opinion. Mais insulter dans l’espoir d’emporter la sympathie des compatriotes ou de se faire un visage, ne tient pas.

    Une révolution se prépare partout. Les patriotes qui sont au pays ont besoin de lire les avis,dénonciations et indignations de la diaspora.

    Solidarité oblige, Mme Ango est dans son droit. Si vous êtes outré par la liberté qu’elle prend à écrire ou par ses attaques toujours mordantes contre le despote d’Oyo, alors, fuyez ce site!

  9. Nassimina dit :

    Mme Moussitou,
    Permettez-moi d’être pour une fois paternaliste, mais vous avez quand bon cœur suite à votre intervention que j’avais lu sur un autre thread. Félicitations pour vos propositions. Moi j’adore les femmes. Elles sont concrètes et voient directement la solution comme elles le font toujours en s’occupant de leurs enfants et fainéants de maris qui sont tout le temps dans les bars avec des maîtresses.

    Oui, il faut faire le likelemba pour soutenir les congolais du congo qui luttent avec cette racaille. Je suis partant. Donnez-moi des noms et adresses. Toutefois, il faut une organisation et une charte pour administrer un tel fond. Avec une organisation structurée, il y a possibilité de lever des fonds auprès des fondations soutenant le processus de démocratisation en Afrique. Je pense à la Fondation Soros, celle des frères Cook, etc. Avec un bon plan marketing, il est possible de lever de milliers d’euros ou de dollars. Je sais que parmi nous, il y a des gens qui savent quelque chose dans le domaine du Fund Raising. J’avais travaillé dans le domaine quelques mois, il y a longtemps .

    Outre l’argent, comme le dit Mme Moussitou, il y a le lobbying médiatique pour sensibiliser les décideurs au sort du Congo. Faire ce genre de chose exige un ordinateur et des informations collectées. Ici, au lieu de compter sur les médias des autres, il est nécessaire d’avoir une radio Free Congo à l’image de la Radio Free Europe mise en place par les américains et européens pour aider les pays européens de l’est à lutter contre le communisme. Cette radio etait basée à Munich en RFA et etait financée en partie par les USA. En mettant en place un business plan out une telle radio, il y a possibilité d’intéresser des partenaires pour la financer. Une recherche dans les archives de Radio Free Europe serait un point de départ pour penser une telle radio. N’oublions surtout pas qu’au Commence c’était le Verbe, après le verbe s’était fait chair en la personne de Jésus Christ qui nous a transmis le message de son père. C’est une des raisons qui explique que les dictatures aiment bâillonner la presse. Il nous faut informer le Peuple de ce qui se passe réellement au pays avec l’établissement d’une radio propre concurrente de RTC. Cette radio pourrait émettre à partir du Cabinda et du Bas-Congo. Sassou avait bien une radio à Kinshasa en 1997 et pourquoi pas les congolais.

    Plus important à mon avis est le lobbying auprès des politiciens des pays comme les USA, la France, l’UE et des Institutions Financières Internationales tels que le FMI et la BM pour bloquer les circuits de financement de sassou et compagnie. Actuellement, ils sortent des montants énormes d’argent du trésor public pour les mettre sur leurs comptes privés à l’étranger de façon à ce que les caisses de l’état soient vides après leur départ. Pour ce qui est du pétrole, ils s’engagent sur des prêts gagés comme au bon vieux temps avant 1991. C’est inadmissible et nous devons les arrêter sur ce front. Avec le Patriot Act, les USA peuvent nous aider à détecter l’argent qu’ils auraie volé peu importe la banque où cet argent a été mis. Mieux, avec un accord avec les USA, nous pouvons obtenir toutes les transactions financières faites par cette racaille à travers leurs banques , y compris la BEAC, via le système SWIFT (Society for worldwide interbancaire Financial). Nous devons être inventifs et utilisés tous les moyens à notre disposition pour mettre cette racaille à genoux. US Justice Department avec un sous-comité du Congrès planchent sur les fruits de la corruption des nguesso.

    Au moment où il est annoncé que les revenus pétroliers vont exploser, il est impératif que nous disposons des moyens pour savoir combien paient les pétrolières et sur quels comptes va cet argent. Ici, je demande aux économistes et experts financiers et comptables de la diaspora tels que Malekat et le grand frère Ndoba de se mettre au travail. Il y a un très bon article du New York Times du 23 juin 2006 qui explique comment la CIA et le US Treasury Department travaillent avec SWIFT pour obtenir des millions de transactions bancaires. Nous avons le momentum actuellement, aussi rentabilisant notre relation avec les USA pour savoir ce que les nguesso perçoivent et bloquer cet argent afin de le remettre aux congolais après le départ de sassou.

    Bon, je suis disponible à apporter ma contribution pour faire chasser cette racaille.

    Mon mot de passe: je suis celui que tu avais offert la bourse pour aller étudier PennState University. Si tu lis congoliberty, alors tu me reconnaîtra grand frère. Cette racaille doit tomber après Compaoré

    Nassimila Mêrii.

  10. Le webmaster dit :

    Chers internautes,

    Pouvons-nous débattre sans insulter s’il vous plaît !

    Tout propos injurieux sera supprimé.

    Merci de votre compréhension.

  11. Anonyme dit :

    La politique n’est pas une science linéaire ceux des Sassouesiestes qui pensent que l’histoire ne les rattrapera pas ils se trompent on a bien vu d’autres puis puissants que Sassou. Dieu n’oublie pas les faiseurs de mal, l’œil invisible vous regarde,

  12. M.-SAMBA dit :

    Tergiverser ou se perdre dans un flot de parlotes, (pendant que nos soeurs et frères sur place au Congo Brazza ploient et souffrent amèrement sous les coups de boutoirs répétés depuis 30 ans, à cause du dictateur saSsOu le sanguinaire), ne rime strictement à rien. Il nous faut agir concrètement, entre autres, en aidant directement nos vaillants compatriotes qui sont au front, donc exposés face aux sbires de sAsSoU. Notre combat doit être mené de la manière la plus concrète et plus efficace possible. Je suis donc avec vous chers compatriotes de la Diaspora-France pour participer financièrement à tous projets concrets d’aide destinée à nos soeurs et frères en lutte au Congo pour accélérer le départ de sAsSoU et sa clique du pouvoir.

  13. Le Juge dit :

    Tâ Samba, voilà des actions «concretes». Qu’ils, les politiciens, nous dissent à qui remettre l’argent. Même pour ça series-vous incapables? C’est maintenant où jamais que nous allons libérer ce pays.

    ****
    Monsieur Jean Ngoma a dit:
    « N’importe quoi, le Congo n’est pas le Burkina Faso»
    Cher compatriote, avant de tirer cette conclusion, il aurait fallu nous expliquer d’abord la démarche que vous aviez suivi pour aboutir à des constations vous ayant permis de dire que le Burkina n’est pas le Congo. Ce que vous faîtes n’est qu’une pétition de principes, mon cher.

    Contrairement à vous, je dirai que Burkina Faso = Congo. Pourquoi ? Dans les deux pays l’ensemble de la population veut le respect de leur constitution alors que leurs présidents veulent, ou voulait dans le cas du Burkina, mourir au pouvoir. Deuxième point de ressemblance est le fait que les présidents des deux pays faisaient partie d’un triumvirat qui avaient eu l’outrecuidance de défier le Roi des Rois donc l’Homme le plus puissant de la planète sur la question des constitutions en Afrique, et ce dans sa propre maison à Washington. Troisième ressemblance entre les deux pays est le fait que the King of Kings i.e. Barack Hussein Obama avait décidé de sceller le sort de ces deux présidents en s’engageant de leur faire partir du pouvoir.

    Compaoré vient de quitter le pouvoir sans gloire en 48 heures comme un vulgaire bandit de grands chemins sans avoir même eu le temps de prendre ses sous-vêtements sommé qu’il était de quitter le pays avant que la population ne le lynche comme un petit voleur de porcs. Pour saisir l’importance du fait que le tombeur de Compaoré serait celui de Sassou aussi, il faut lire le communiqué de Presse sorti par Madame Bernatte Meehan, porte-parole du US National Security Counsel (NSC) qui disait le 30 octobre 2-014 à Compaoré ceci :

    « The White House
    Office of the Press Secretary
    For Immediate Release
    October 30, 2014
    Statement by NSC Spokesperson Bernadette Meehan on the Situation in Burkina Faso

    The United States is deeply concerned about the deteriorating situation in Burkina Faso resulting from efforts to amend the constitution to enable the incumbent head of state to seek another term after 27 years in office. We believe democratic institutions are strengthened when established rules are adhered to with consistency. We call on all parties, including the security forces, to end the violence and return to a peaceful process to create a future for Burkina Faso that will build on Burkina Faso’s hard-won democratic gains.
    http://www.whitehouse.gov/the-press-office/2014/10/30/statement-nsc-spokesperson-bernadette-meehan-situation-burkina-faso»

    Ce que dit le communiqué du US NSC, vous conviendrez s’applique aussi à Sassou qui caresse le rêve de mourir au pouvoir grâce au changement de la constitution. Cher Jean Ngoma, je ne sais pas avec quel oeil vous suivez l’actualité, mais remarquez que ce communiqué n’émane ni du State Department ni de la Représentante des USA à l’ONU, mais plutôt de la Maison Blanche. C’est dire que le sort promis par Obama à Compaoré-Sassou-Éyadéma est au Coeur de ses priorités. Je ne sais pas si vous savez quels sont les rôles et responsabilités du NSC, mais trouvez ici un condensé de ses attributions pour comprendre que le sort de Compaoré sera celui de Sassou.

    «Le Conseil de sécurité nationale (National Security Council ou NSC) est une organisation administrative dépendant directement du président des États-Unis. Il a un rôle de conseil, de coordination et parfois d’impulsion sur les sujets de politique étrangère, de sécurité nationale, et plus généralement sur l’ensemble des questions stratégiques. Il est en cela un acteur peu connu, mais majeur, parfois prédominant, de la politique étrangère des États-Unis.
    Il réunit statutairement le vice-président, le secrétaire d’État (équivalent du ministre des Affaires étrangères dans les autres pays), le secrétaire à la Défense et le conseiller à la sécurité nationale autour du président. Celui-ci le préside, tandis que son administration est dirigée par le conseiller à la sécurité nationale. Il a pour fonction première d’être un forum d’échanges permettant de conseiller le président. À ce titre, il se réunit régulièrement, en fonction de la situation internationale et des priorités du président.

    Lors des réunions du conseil, le président peut prendre des décisions, traduites par le conseiller à la sécurité nationale sous forme de directives et que les participants doivent mettre en œuvre. À ce titre, il est devenu un outil d’impulsion des décisions, de coordination et de vérification de leur mise en œuvre dans les mains du président, renforçant son pouvoir exécutif face au Congrès.» Source : Wikipédia.

    Cher Jean Ngoma, saisissez- vous maintenant que l’organe qui a enjoint Compaoré de quitter le pouvoir est présidé par Obama celui-là même qui avait exigé de Sassou-Compaoré-Eyadéma de s’abstenir de modifier leurs constitutions respectives ? Voyez-vous le départ de ce triumvirat est une affaire personnelle pour Obama au point de mettre nos petits pays sur l’agenda du NSC ?
    Vous alléguez que le Burkina n’est pas le Congo pourquoi ? Est-ce parce qu’au Congo, Sassou a acheté l’opposition, qu’il interdit des meetings dans des endroits publics, l’armée est composée des cobras, que certains syndicalistes sont corrompus. Mais faites très attention aux apparences. Qui vous dit que le tsunami qui va emporter son régime viendra de Brazzaville ou d’Oyo ? Et si le tout commençait de l’intérieur comme ce fut le cas de la révolution ayant emportée Mobutu en 1997 ? Sassou a ses cobras, certes, qu’ils commencent à tuer les congolais et on verra la suite. Savez-vous pourquoi Compaoré a arrêté de tuer les Burkinabé ? C’est la menace d’être traduit devant la CPI brandie par les USA. Et cette épée de Damoclès pèse sur la tête de Sassou et ses sbires au cas où ils l’auraient oublié. Des dossiers se montent sur tous ces tigres en papier du genre Okemba, Ndenguet, Obarra, Oboa, etc. Pire, les BMA qu’ils ont accumulés, ce n’est pas sûr qu’ils en bénéficient comme cela avait été dit à Compaoré et ses sbires. Le contexte international a changé de façon drastique. Les grands de ce monde ne soutiennent plus les régimes qui briment leurs peuples encore moins des présidents à vie.

    Voyez-vous, le Burkina = Congo. Le peuple attend de pied ferme l’annonce du 7 novembre 2014 de Pierre Ngolo sur la position de leur parti sur la question du changement ou non de la constitution. Et c’est dans 2 jours i.e. 48 heures. Qui vivra verra. Sassou doit partir sans conditions avant ou au plus tard le 14 août 2014. Qu’ils cherchent les congolais et il le trouvera en travers de sa route. Ilétait revenu au pouvoir dans les charrettes de Dos Santos, il y a risque qu’il quitte le pouvoir dans les mêmes charrettes comme nous l’ont enseigné les événements de Kimongo qui restent jusqu’à date non élucidés.

  14. Je suis très touché ,pour une première nous les congolais nous voulons vraiment allez de l’avant pour chasser ceux qui se croient plus congolais que les autres,organisons nous pour aider notre OPPOSITION qui lutte sur place au pays,nous sommes fatiguées avec ses pratiques,que tu sois du NORD,SUD,EST,OUEST,CENTRE nous avions un même COMBAT.Le TEMPS ET VENU pour reconstruire le Congo.

  15. ninjas dit :

    Les tribalistes espions des assises sortent, ou est nganga nicodème votre associé, ami de denguet et bouya, ce sont les tsomambet et mierassa qui sont aux manettes. Vous avez fini de faire le compte rendu de votre voyage aux États-Unis financé par le pouvoir.

  16. krazoch dit :

    Sassou Nguesso a peur, très peur. ça ne fait aucun doute!

  17. A TOUS,
    Je suis prêt a ouvrir une collecte ici en France pour soutenir des actions correctionnelles que mèneraient nos combattants sur toute la France contre les indiques qui sapent notre combat pour la liberté. Je n’ai pas demande de les tuer, mais une copieuse bastonnade ça peut remettre un homme a l’ordre. Meme pendant l’occupation en France, ces actions ont été menées. On ne peut pas comprendre qu’avec ce que endure un Peuple longtemps meurtri, au moment ou on est sur le point de l’en sortir par des actions multiformes et parfois mal comprises, qu’il se trouve encore des démons qui s’amusent a perdurer le calvaire.
    Que DIEU tout puissant qui a fait l’homme libre puissent les détruire avec les foudres très hautement électriques.

  18. Francine ETOU dit :

    ET SI SASSOU PARTAIT QUEL EST NOTRE CANDIDAT QUI LE REMPLACERAIT? OKEMBA DOMINIQUE? KIKI LE CONGOLO ZAIROIS? IL EST QUESTION DE CHASSER SASSOU NGUESSO ET SON CLAN ET REMETTRE LE CONGO TRIBALISE PAR SASSOU NGUESSO A PLAT.

  19. Bouetafogo dit :

    A Mabiala, Thierry Moungala, Okiémi, Ngollo, Obenga et compagnies; Vous qui parlez au ,nom du peuple, vous avez vu le cas du Burkina. C’est le peuple qui l’a mis out.

    Alors, vous qui parlez au nom du peuple pour le changement de la constitution.

    De quel peuple parlez-vous ? certainement de votre petit peuple à vous. Wait and see.

    Bonjour la République.

  20. LULENDO de Ponton dit :

    De quelle aide l’opposition en première ligne au pays a t-elle besoin? Au moins crois-je, deux besoins immédiats.

    – une figure unique titulaire du rôle de  » chef de l’opposition de la diaspora ». Mr MALEKAT pourrait assumer cette fonction.

    – que tous les autres patriotes deviennent pédagogue ou messager. Instruire son entourage sur la volonté des Congolais à bouter dehors le despote et putschiste Sassou à tout prix.

    Par conséquent, tous les milieux : politique, religieux, associatif, industriel, universitaire…devront être visités et les gens formatées sur le besoin ardent de liberté et démocratie de la population congolaise.

    Que toute la planète connaisse la lutte de notre Opposition nationale!

  21. La Mémoire dit :

    Le souci des Assises c’est de garder le pouvoir du Nord quand Sassou partira. Quand d’autres Congolais sont arrêtés, surtout du Sud Congo, c’est le silence total. On ne voit personne lever son petit doigt, on n’entend aucun bruit. Mais quand on arrête ceux qui ont profité du système actuel, il y a des levées de boucliers. Il y aurait-il deux poids et deux mesures? Y a -t-il des Congolais qui sont supérieurs aux autres? Ne vous faites pas avoir. Sassou ne leur fera rien du tout. Ils sont du Nord, il ne les tueras pas. Voila tout.

  22. Le Juge dit :

    La Mémoire, vraiment vous avez une mémoire courte. Pour votre gouverne, les Assises est une association multiethnique. En plus, prenez la peine de relire tous les communiqués publiés par ceux que vous dénoncez. Vous au pct, vous êtes aux abois et voulez encore divisez pour mieux régner. Ce mensonge cousu de fils blancs ne passe plus. A la fin, allez-vous arrêter de faire un procès en sorcellerie contre Malekat? Ce sont les congolais qui éliront leur prochain président au cours d’une election ouverte à tout citoyen remplissant les conditions énoncées dans la constitution et la loi électorale. Si chez vous, le coup d’état est le mode par lequel votre chef arrive au pouvoir, souffrez qu’avec le nouveau Congo pour lequel nous nous battons le president sera choisi par le peuple rien que par lui.

  23. revelino dit :

    Nous avons qu’un seul but: le départ de M. Sassou. Tout congolais doit comprendre que c’est essentiel pour l’avenir du Congo. Pour nos chers frères qui luttent au plan local, il faut qu’ils sachent que nous sommes avec eux. Il n’ y a pas d’élévation sans sacrifice. La liberté a un prix.

    Tous ceux qui sont épris de justice et de liberté doivent soutenir nos frères qui luttent sur le plan local. Et le message de M. Ouabari ou de tout autre congolais est essentiel en ses temps difficiles où la répression ne fera que s’accentuer. Avec le printemps burkinabé, la peur a changé de camp. Tous ensemble, nous vaincrons.

    Vive le CONGO !!!

  24. Anonyme dit :

    Ceux qui savent tant soit peu comment sont nées les Assises ne peuvent pas s’associer à ceux qui les vilipendent; car les Assises sont une manifestation d’une prise de conscience collectives de ceux dont le niveau politique est au-dessus de la moyenne et qui sont meurtris des souffrances du peuple congolais; aussi les vieux comme les Sathoud, Otta, sont en notre compagnie pas pour nos beaux yeux mais ils sont là pour une cause noble, celle d’abréger la misère d’un peuple congolais, penser que le pouvoir a financer les Assises est une hérésie, que sont donc les ABIGNA, TOUINGAMANI, NDOBA, TSIBA, et bien d’autres vaillants militants de l’UGEC et de l’AEC, pour ne citer que ceux là qui depuis des décennies luttent contre le parti unique. Résoudre à penser que les Assises sont seulement une œuvre de Malekat là aussi est une hérésie car l’idée de rassemblement est venu du brave Kihoulou Antoine, de Ouabari, de Matsiongo, avant que ceux-ci la fassent partager chez bien d’autres; d’autre part c’est au cours à l’hommage à la conférence nationale organiser par Congo y a Sika que Magloire Ndoba va nous faire partager cette idée des Assises en prenant appui sur l’expérience sénégalaise; l’idée qu’il entretenait depuis plus de deux ans avec Marcel ABIGNA. En résumé les Assises nationales est une œuvre commune et collective de ceux qui pensent que le Congo hier pays de lumière capitale de l’Afrique Equatoriale ne peut continuellement vivre dans les ténèbres comme il l’est aujourd’hui.

  25. Anonyme dit :

    Rien à faire, aux grands maux, les grands remèdes. Les paroles et les discours révolutionnaires sont comme de l’eau sur le dos d’un canard pour le pouvoir de Mpila. Au fer il faut opposer le fer: seule la lutte armée pourra chasser le despote d’Oyo! Quand un sorcier maléfique dirige un pays, seule la force peut le chasser. En effet, il n’a aucun sens humain et vous fait savoir qu’il est prêt à vous massacrer jusqu’au dernier si vous essayez de le déposer. Voyez le film d’aventure « Conan le barbare » et vous comprendrez que face à un despote sorcier maléfique et fétichiste, seule le langage de la force est admis. Notre despote sait que les congolais ont peur, car ils connaissent sa cruauté. Les congolais n’oseraient pas se lever dans la rue pour oser le bouter comme Compaoré. Et c’est vrai, le peuple congolais a peur: qui voudrait laisser une veuve et des orphelins? Le congo n’est pas encore prêt à se libérer du joug du Roitelet d’Oyo! Non, il nous manque le courage de passer concrètement à l’action. Le salut du Congo viendra de Dieu! seule une action extérieure et forte pourra liberer le Congo. Proposition à l’élite de la diaspora: soyez de bons politiciens et de bons tacticiens. Pour paralyser son adversaire, il faut le couper de ses soutiens. Rencontrez des politiciens occidentaux fiables et faites leurs de bonnes propositions. Je vous parie que la chute du pouvoir de Mpila se fera très rapidement et sans grands troubles! Vous aurez beau discourir, le peuple congolais terrorisé ne vous suivra jamais. Les gens ont trop en mémoire les sinistres événements de 1997. ils ont tellement peur (et le pouvoir le sait), qu’ils ne tenteront jamais une seule action concrète. Ils se laisseront imposer Sassou Nguesso en 2016, chacun boudant au fond de sa chambre, sans jamais oser agir concrètement pour changer les choses. Donc, aux vrais amis du Congo, je demande de nous aider à couper l’herbe sous les pieds au Despote de Mpila, en inversant la balance de ses soutiens et partenaires en faveur du Congo. Les affaires et l’argent dirigent le monde. Un Etat n’a pas d’amis, mais n’a que des intérêts. Les poissons suivent le cours du fleuve; Donc faites de bonnes propositions à nos partenaires et vous verrez où va leur loyauté. C’est que Sassou avait compris et que Lissouba avait refuser de comprendre. Dans ce monde, il y a des forts et des faibles. Pour gagner, il faut avoir les forts de son côté.Sinon, vous épuiserez votre salive et votre encre pour rien. Je ne suis pas partisan du néocolonialisme, mais le monde est une jungle que vous le vouliez ou non! Avant d’être fort on est d’abord faible et c’est petit à petit et de façon subtile qu’on s’affermit ( Exemple le plus concret: la Chine!). Alors chers dirigeants et élites africains, ne commettez pas la même erreur que Loumomba, Lissouba et qui sais-je encore! Comprenez que vous ne pourrez jamais faire émerger vos pays en vous comportant comme des idéalistes sans sens tactique.
    Merci!

  26. Le Juge dit :

    Où est donc passé Pierre Ngolo?

    Nous sommes le vendredi 7 novembre 2014 i.e. la date à laquelle il nous avait donné rendez-vous pour connaitre le point de vue du Pct sur le changement ou non de la Constitution de 2002. Après les innombrables demandes du peuple à Sassou pour changer la constitution afin qu’il puisse finir les chantiers pharaoniques en cours, aujourd’hui devait être normalement le jour du grand couronnement avec l’annonce du changement de la constitution. À l’allure où vont les choses, Pierre Ngolo va nous laissez sur notre faim comme Sassou sait le faire depuis le 31 juillet 1968 qu’il nous affame.

  27. MATETA NTELUMI dit :

    Le Congo n’est pas le Burkina car pendant que le Pool sera dans la rue contre Sassou, le Nord apeuré sortira pour le défendre. Vous le savez bien et ce sera comme cela.

  28. Le Juge dit :

    Si le congo n’est pas le Burkina, alors à quand le discours de Ngolo Pierre sur leur changement de la constitution ? Hier 7 novembre 2014 est déjà passé et on l’attend toujours. Tant qu’on y est si vous voyez Ngolo dites-le que nous attendons toujours son allocution. Bon, ne dit-on pas qu’il ne faut jamais taper quelqu’un qui est par terre. On vous laisse le temps de vous relever.

  29. yoka dit :

    SASSOU NGUESSO est notre PIRE EBOLA le PEUPLE est en DANGER DESINFECTONS-NOUS ! Je demande a tous les congolais de manifester pour la libérer nos compatriote de l’opposition ainsi que les étudiants et les professeurs enfermé par cet assassin de SASSOU-GUESSO. Le Congo nous appartient ensemble nous les vaincrons !

  30. Nkossi dit :

    Arrêtons une date pour aller manifester à l’ambassade du Congo à Paris et rédigeons une pétition que nous enverrons aux Présidents OBAMA et HOLLANDE sur ce qui se passe actuellement à Brazzaville, ceci afin de faire partir SASSOU avant 2016.

  31. ondongo dit :

    C’est une très très bonne idée ! Qu’il parte faire sa dictature dans le pays de son père
    au TOGO ou BENIN, le Congo ne veux plus D’ASSASSIN à la tete du pays, nous avons
    assez souffert cette fois si le peuple le mettra à la porte !

  32. FOUTY dit :

    L’imaturité de la classe politique congolaise me laisse sans voix! Les faits sont têtus, dit – on? Mais pourquoi nos dirigeants « actuels » se voilent – ils le visage plutôt que de regarder la vérité en face… Ce qui s’est pasé au Burkina Faso, est bel et bien un printemps noir…sachons tous tirer les leçons!!! N’oublions pas cette expression: « …on ne peut pas tromper tout le peuple tout le temps… »

  33. Le Juge dit :

    Il faut aller manifester au Vesinet devant la maison de sassou achetée avec l’argent volé. Après faire un sassou tour en visitant toutes les maisons achetées par ses enfants adultérins dans le 92 et le 16eme arrondissement de Paris. Les congolais doivent savoir pourquoi les sassou ont commis un génocide depuis 1997.

  34. ZOLA DI ROMA dit :

    Ecoutez chers compatriotes Congolais,vous avez bien raisonne ,chacun a donne son point de vue divergent et convergent,dependant parfois de chaque zone ethnique,regionale,politique.Moi,je suis Congolais et ce que m’importunait d’avantage c’est de voir mon beau pays le CONGO emerger dans des bonnes conditions,Education,les vrais hopitaux,pas les photocipies des infrastructures qu’on demontre,les professeurs competents qui ont pris fuites a l’etrangers,l’autosuffissance alimentaire,construire des universites modernes dignes de ce nom,et je vous dis la VERITE MEME APRES LE DEPART DE CET ASSASSIN,VOLEUR,PILLEUR comme le qualifie les gens,ce que ne signifie pas que je le soutiens,le Congo demeurera divise au fond de nos coeur, tant qu’on aura pas cet esprit de sacrifice comme L’IDOLE NELSON MANDELA,qui n’a pas regarde la couleur de la peau pour se venger.

    Cependant,vu tout ce qui s’est passe en 1993,1997,1998,les disparus de beach 1999,2000 au pool,l’histoire du 04 Mars 2012,l’arrestation de STOUROU en 2013,le Congolais a maintenant peur de sa peau et beaucoup des coeurs dse gens sont encore meurtris de sang et de haine,que ca soit les MBOCHIS,LES TEKES,LES KOYOS,LES MBEMBES,LES VILIS,LES LARIS,LES KOUNIS,…,j’en passe chacun voudrait sa part de gateau pour se venger dse annees perdues,

    Voila pourquoi,l’apres sassou me fait peur,les reglements des comptes,il faut qu’il aies une personne capable de neutraliser tout ce qui TRIBALE,L’ ESPRIT DE NEUTRALITE,DE SACRIFICE,NE PAS CONSIDERER CE QUI S’EST PASSE,CONDAMNER CEUX QUI LE MERITENT S’IL LE FAUT,CE QUI N’EST PAS FACILE APRES TOUS CE DONT NOUS AVONS SUBI,MAIS POSSIBLE,

    BONNE CHANCE A TOUS ET QUE LE BON DIEU NOUS GARDE,PAS LE DIEU DE LA FRANC-MACONNERIE.

  35. Anonyme dit :

    ce qui ne tue pas rend plus fort!!!!!!!! »

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