APRI-BUSINESS : Comment devenir millionnaire en moins d’une année en cultivant du manioc

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27 réponses à APRI-BUSINESS : Comment devenir millionnaire en moins d’une année en cultivant du manioc

  1. De la Rumba dit :

    Personne ne réagit à cela ? !!! C’est la source de richesse d’une nation et la base de sa sécurité alimentaire… mais bien sur, les Congolais ne s’intéressent pas à l’agriculture comme à la politique….hein ?

  2. AKOUA!!! dit :

    A Monsieur Ballay,
    Je souhaiterai savoir si votre société fait des études de faisabilité car je suis dans le domaine mais je n’ai pu faire une étude de faisabilité pour pouvoir rendre mon activité bancable.
    Merci

  3. William dit :

    Bonjour,

    Non seulement « manioc, base de securite alimentaire mais aussi, opportunite de creation d’entreprise.

    Mr Ballay, je vais entrer en contact avec vous, dans des delais courts, pour un entretien qui va certainement etre profitable a tous.

  4. SOLDAT DU DEVELOPPEMENT! L'IRLANDAIS DE VENDZA dit :

    Bonjour GRAND BALLAY

    Cher Ainé, cela s’appelle un soldat du développement! CONTINUEZ DANS CE COMBAT!

  5. batoumeni dit :

    Bonjour,.Comme;si,ce,séminaire,m’était,destiné.Effectivement,nous,avons,commencé,,a,défricher,nos,champs,pour,cette,culture,de,manioc.en,cette,saison,seche.,Nous,disposons,de,quelque,hectares;et,sais,notre,premiere,experience,sur,cette,culture,nous,avons,besoins,de,vos,conseils,et,soutients…

  6. La Duchesse de Linzolo dit :

    Moi et mon groupe avons beaucoup de projets agricoles avec un bon budget qui pourront donner du travail aux congolais MAIS nous attendons le départ de Sassou et les conditions de protection des investissements et des investisseurs et entrepreneurs, sinon nous le ferons ailleurs dans un pays ou le climat des affaires est plus propice. Il nya pas que le manioc pour faire de l’argent. On veut accroitre la production de façon mécanique mais aussi en utilisant la main d’oeuvre locale les produits comme: la pomme de terre, la patate sucrée, le riz, la canne a sucre, mais, blé, soja… et utiliser les techniques apprises aux USA dans l’elevage des poules et des cochons. J’ai travaillé au contrôle de la qualité alimentaire et pharmaceutique, en appliquant les normes ISO, HACCP et autres pendant longtemps et j’ai profité pour améliorer mes connaissances dans le domaine afin de les utiliser en Afrique. Mais c’est tellement bon et facile. Easy does it.
    Et pourquoi pas se lancer dans la transformation? On est capable de vivre et manger américain au Congo. Nous sommes capables. Nous avons les meilleures terres, la main d’oeuvre bon marché et facile a former et des consommateurs (qui mangeront local au lieu de payer cher les produits importés). Bonne chance.

  7. Anonyme dit :

    Démolis tous les camps de Cobras qui sont au Pool et nous irons faire nos champs. C’est eux l’obstacle majeure.

  8. Anonyme dit :

    Le sujet est bon, mais le climat politique n’est pas favorable a l’Éclosion des affaires agricoles. Vous habitez Brazzaville, pour aller faire vos champs a Linzolo, les bouchons commencent au pont du Djoue. Si vous partez tres tôt, on vous soupçonne de transporter des armes. Et si vous arrivez en retard, le soleil est déjà a son zénith, vous ne pouvez pas faire grand chose. Et si ramenez un petit manioc de Mpati, le premier a vous le ravir c’est encore le cobras placé par Ndenguet au pont du Djoue et a Ngangalingolo. Ce n’est pas un climat favorable a l’agriculture.

  9. YAMOUWONDA dit :

    Pourquoi pas comment devenir cultivateur de tubercules de manioc , comme titre de l article? Ça sent tout simplement de l arnaque , une façon de se faire de l argent sur le dos des pauvres congolais. Il y a plein de tubercules de manioc qui pourrissent déjà dans les champs au Congo et plus particulièrement dans la partie Nord du pays. Les cultivateurs ne savent pas quoi en faire . Le problème se situe dans la transformation.
    Au 21 e siècle , nous sommes , voyez dans quelles conditions cette tubercule continue a être transformée.Nous n avons que des fabriques artisanales a raison d au moins 20 pains de manioc par jour et non industrielles.

  10. YAMOUWONDA dit :

    Quel site de transformation irez vous visiter alors qu il n y en a aucune au Congo ?
    S il y en avait comment expliquez vous que dans le stand du Congo a l exposition de Milan le mois dernier on ait eu que les produits Kwanga Excellence ( fufu et pains de manioc fabriqués a Montréal au Canada) et la farine de NG ( propriété d une fille de l autre la a Edou ?

  11. DIA NKELANI dit :

    Moi ensemble avec les membres de notre Coopérative, nous œuvrons dans l’agropastoral. Certes que l’activité du manioc parait efficace mais elle ne demeure cependant pas la seule qui peut favoriser l’émergence socio-économique d’une population aussi appauvrit que la nôtre. A notre niveau, nous tentons de développer d’autres branches d’activités plus dynamiques, rentables et pourvoyeuses d’emplois. Nos projets visent un développement durable, inclusif et équitable au grand bénéfice de la population, pour lesquelles nous sommes à la recherche des partenaires tous azimuts.
    Je m’inscris en faux qu’il nous faudra attendre la chute d’un régime X pour entreprendre avec Y qui sera mieux pour le Pays, mais il faut travailler, travailler et encore travailler pour changer l’image de notre Pays.
    Pour tous ceux qui veulent partager avec nous, nous vous invitons à nous contacter aux adresses suivantes: cooploussakou@gmail.com et en copie clifkelanith@hotmail.com.

    Merci!

  12. Pascal Malanda dit :

    Bonjour cher Anonyme

    Vous dites : « Le sujet est bon, mais le climat politique n’est pas favorable a l’Éclosion des affaires agricoles. Vous habitez Brazzaville, pour aller faire vos champs a Linzolo, les bouchons commencent au pont du Djoue…. »
    La plupart de mes amis installés en Europe depuis belle lurette me disent la même chose. Il y a une part de vérité dans cette affirmation, mais une part seulement qui masque mal nos problèmes anthropologiques : Le rapport du Congolais à la terre s’est fortement dégradée depuis l’indépendance. Beaucoup de Congolais préfèrent la facilité de l’administration à la richesse venant de la terre. Je travaille depuis 5 ans sur le terrain et je sais de quoi je parle. Il est plus facile pour un jeune de recevoir 60.000 cfa par mois à s’ennuyer dans un bureau que d’attendre 12 mois pour recevoir 6.000.000 cfa d’un ha de manioc. Il est vrai que le travail de la terre est de loin plus contraignant et surtout on a pas le temps de mettre la cravate au retour des champs.
    Il faut reformater la pensée de notre jeunesse.
    Vous dites :
    « Si vous partez tres tôt, on vous soupçonne de transporter des armes. Et si vous arrivez en retard, le soleil est déjà a son zénith, vous ne pouvez pas faire grand chose. Et si ramenez un petit manioc de Mpati, le premier a vous le ravir c’est encore le cobras placé par Ndenguet au pont du Djoue et a Ngangalingolo. Ce n’est pas un climat favorable a l’agriculture. »
    Encore une fois, ce que vous dites est vrai, mais en partie seulement.
    Je travaille avec des jeunes et moins jeunes à Ignié (pk Rouge) et à Loudima. Au départ, ils ont tous le même raisonnement que vous. Mais la pédagogie du terrain arrive à les transformer. Ils apprennent à surmonter les difficultés et à relever les défis.
    A Ignié, la plupart des producteurs de manioc sont des Rwandais. Ils vendent leur production aux Ouest-Africains pour la production de l’amidon. Pendant ce temps, les Congolais dissertent sur l’impossibilité de faire l’agriculture à cause de Ndéguet ? Croyez-vous sincèrement que Ndéguet se réveille chaque matin avec l’idée d’aller emmerder les agriculteurs congolais sur toute l’étendue du territoire national ? Ne lui attribuez-vous pas des pouvoirs qu’il n’a pas ?
    Notre pays a ceci d’exécrable : Le climat des affaires y est horrible (c’est vrai), mais les étrangers y affluent pour faire des affaires. Des affaires pas toujours louches comme on le pense ou l’affirme pour diaboliser l’adversaire.
    Au cours du vol qui me conduisait dernièrement à Brazza, j’étais assis à côté d’une jeune Française de moins de 25 ans qui allait en visite mensuelle dans la boîte NTIC qu’elle a créée avec quelques amis lyonnais. Elle me parlait des tracasseries, mais aussi des immenses opportunités dans ce désert technologique qu’est le Congo. La preuve, elle se tapait un voyage mensuel au frais de leur boîte. D’aucuns diront qu’il y a forcément un type du pouvoir derrière. J’avoue ne rien en savoir.
    Avant cela, j’avais fait un voyage et j’étais assis, à l’aller comme au retour à côté d’un ingénieur strasbourgeois qui allait monter une chaîne d’embouteillage d’eau à Brazza, à la demande d’un Libanais. Un mois plus tard, il allait sur Luanda pour le même Libanais.
    Je peux citer comme cela des histoires de jeunes Espagnols, Tunisiens, Algériens, Brésiliens, Chinois, Turcs et même à ma grande surprise, des Croates. Pendant ce temps, les Congolais dissertent sur le meilleur climat d’affaires qui sera instauré à la chute de Sassou.
    Est-ce que la lutte politique exclut la lutte économique ? Est-ce que le combat pour la démocratie exclut la gouvernance économique ?

    Pascal Malanda

  13. Pascal Malanda dit :

    YAMOUWONDA dit :
    « Pourquoi pas comment devenir cultivateur de tubercules de manioc , comme titre de l article? Ça sent tout simplement de l arnaque , une façon de se faire de l argent sur le dos des pauvres congolais. »
    Monsieur Yamouwonda,
    Vous êtes d’une ignorance crasse et d’une méchanceté inouïe.
    Le mot millionnaire vous fait bondir parce que vous souhaitez confiner les Congolais à leur médiocrité. La terre congolaise est capable de fournir des milliardaires à la nation. C’est pour lutter contre l’obscurantisme que vous propagez que nous faisons ce travail d’information et de formation.
    C’est avec 2.500 fr cfa qui ne couvrent même pas les frais de chaque participant qu’on va s’enrichir ? Sortez de votre jalousie et de votre haine qui tuent le Congo profond.
    A Ignié, nous avons 25 ha de manioc arrivé à maturité. Ce sont 500 tonnes de tubercules à valoriser. Nous voulons montrer aux jeunes ce qu’ils peuvent en faire. Vous êtes le bienvenu. Si vous ne pouvez pas y venir, envoyez un de vos « petits » qui crèvent de misère et d’oisiveté à Brazza. J’en prendrais volontiers un en charge. Pas pour vous soulager de votre jalousie, mais pour occuper ces jeunes que vous avez abandonnés à leur sort.
    Vous dites : « Il y a plein de tubercules de manioc qui pourrissent déjà dans les champs au Congo et plus particulièrement dans la partie Nord du pays. »
    Vous adorez parler de ce que vous ne maîtrisez pas. Cela marche en politique ou vous passez des journées à disserter sur la médiocrité de Sassou et l’incurie de l’opposition. Entre-temps, les Congolais meurent de faim. La production congolaise est loin de satisfaire les besoins nationaux. D’où les prix pratiqués qui sont tout simplement hallucinants.
    Les voies d’évacuations sont un vrai problème en effet. Il y a une grande amélioration sur les grands axes et les pistes agricoles. Je condamne la mauvaise gouvernance du pays, mais mon honnêteté intellectuelle m’empêche de nier le travail d’ouverture de pistes agricoles en cours.
    Vous dites « Les cultivateurs ne savent pas quoi en faire . Le problème se situe dans la transformation. »
    Faux ! Ils savent quoi en faire. Ce qui leur manque, ce sont les moyens techniques et financiers pour moderniser leurs exploitations. Et c’est à cela que nous voulons apporter notre contribution.

    Vous dites : « Au 21 e siècle , nous sommes , voyez dans quelles conditions cette tubercule continue a être transformée.Nous n avons que des fabriques artisanales a raison d au moins 20 pains de manioc par jour et non industrielles. »
    Qu’avez-vous fait pour y remédier, en dehors de la palabre stérile que vous étalez ?
    Ah, j’oubliais, c’est Sassou qui vous empêche de le faire. Pauvre Congo !

    Vous dites « Quel site de transformation irez vous visiter alors qu il n y en a aucune au Congo ? S il y en avait comment expliquez vous que dans le stand du Congo a l exposition de Milan le mois dernier on ait eu que les produits Kwanga Excellence ( fufu et pains de manioc fabriqués a Montréal au Canada) et la farine de NG ( propriété d une fille de l autre la a Edou ? »
    C’est le même blablabla qu’on entend depuis 1968, l’année ou le Congo a cessé de s’occuper de la terre. Depuis, la Côte d’Ivoire qui venait chercher les plans de cacao et d’hévéa dans la Sangha est devenue leader mondial dans ces domaines pendant que le Congo n’arrive pas à nourrir sa population.
    J’ai croisé monsieur Bilié, un temps président de l’association des planteurs d’hévéa de Côte d’Ivoire. Il m’a dit : « Quel gâchis avez-vous fait du potentiel que vous aviez dans les années 1960 ! Je suis allé chercher les premiers plans d’hévéa chez vous. Regardez-ce que nous en avons fait. » Et il m’a fait visiter ses plantations.
    No comment !

    Pascal Malanda

  14. Pascal Malanda dit :

    Cher Dia Nkelani
    Vous dites : « Je m’inscris en faux qu’il nous faudra attendre la chute d’un régime X pour entreprendre avec Y qui sera mieux pour le Pays, mais il faut travailler, travailler et encore travailler pour changer l’image de notre Pays. »
    C’est un immense plaisir de sentir de partager avec vous cette conviction. Partisans du pouvoir ou de l’opposition, après les débats, il faut manger, se soigner etc. Mais les uns comme les autres semblent avoir fait de l’appauvrissement des Congolais, leur fonds de commerce. Il est vrai que « ventre affamé n’a point d’oreille » donc facilement corruptible et manipulable.
    Cher Dia Nkelani, nous vous contacterons très certainement. L’union des acteurs de la production est une force dans le développement du Congo.
    Un grand merci pour votre témoignage si réconfortant

  15. DIA NKELANI dit :

    Merci Mr Pascal Malanda, je suis déjà rassuré que vous allez nous contacter car, le Congolais demeurera pauvre tant qu’il ne voudra pas travailler en équipe (s’ouvrir et se cultiver). Nous avons besoin des échanges d’expériences.
    Merci encore!

  16. LE MYTHE DE LA TERMITE... Iniesta dit :

    Ayant quelques fois gouter de tout ce qui est N’tsôômbé, M’boûûmbou, Abôh, Lépossi, M’Bindzo… Je pense qu’existe une alternative à la politique d’importation et à la consommation effrénée de la viande ou de la volaille élevée aux ormones. D’où l’intitulé: LE MYTHE DE LA TERMITE.

    Grosso modo, il s’agit de l’Enthomophagie que pratiquent depuis toujours les sociétés africaines, anciennes ou modernes. Cette culture mérite plus d’attention, car placer dans une logique de production de masse et sous un label BIO, cela pourrait constitué une réelle solution d’avenir dans le cadre de la lutte contre l’insécurité alimentaire en Afrique.

    Sachant que dans ces insectes tout à fait sain, il y a l’équivalent de deux ou trois commandes de « Yââ Jean » (lamelles de viandes pimentées, populairement détourné en Yââ Mado pour les gourmets ou Yââ Jean pour la gourmandes) que l’on retrouve bien souvent vendus sur les étales nocturnes de Bacôngo. A l’instant je vois encore défilée ‘image de ce cher cousin habitant ce quartier de Brazzaville et qui connaissait si bien les meilleurs vendeurs du coin.

    Bref, grande est toujours la suprise de constater que les occidentaux s’y mettent déja, avec une grande détermination. Apparemment, crevettes, gambasses, moules frites, coquilles saint jacques, escargot, foie gras et autres grenouilles ne sont plus synonyme de raffinement cullinaire.

    Demain, qui sait, l’Enthomophagie sera l’ingrédient secret du mythe de la gastronomie francaise qualifiée de meilleur au monde. Mais qui est en pleine dégringolade. Connaissant les francais, ils ne tarderont pas à nous en faire une chanson au Phuquet et dans le Guide Michelin. Nous qui connaissons suffisamment nos chenilles, nos grillons, larves, termites, criquets et scarabées… Etc.

    Cet art culinaire nous a été transmis par nos Ancêtres. C’est aussi cela la tradition qui rebute tant les acculturés occidentalisés à outrance. Ces habitués des fast food et de la tartiflette. Cela dit, un congolais visionnaire (ô y en a beaucoup) ou des africains en général doivent s’y atteler. Avant que les occidentaux nous en fassent un symbole de branchittude élitiste. Ils n’hésiteront pas à en faire tout un business international. Y compris nous le revendre en produit industriel, sous divers formes.

    En parlant du manioc, tout congolais connait l’alchimie d’un morceau de N’Gouri Yaka, accompagné d’une assiette de N’Dzèndzè par exemple. Au départ on est toujours réticent, mais c’est quelque chose quand même. Par contre, les beignets au piment du marché Total (reconstruit, rénové, modernisé… d’où la nécessité d’un second module) comme dessert, là est une autre histoire.

  17. YAMOUWONDA dit :

    Mr Malanda Pascal .Quel site de transformation irez vous visiter alors qu il n y en a aucune au Congo ? S il y en avait comment expliquez vous que dans le stand du Congo a l exposition de Milan le mois dernier on ait eu que les produits Kwanga Excellence ( fufu et pains de manioc fabriqués a Montréal au Canada) et la farine de NG ( propriété d une fille de l autre la a Edou ?

  18. YAMOUWONDA dit :

    Croyez vous que c est le mot millionnaire qui sortira le Congolais de sa médiocrité ? Mr Malanda Pascal .

  19. YAMOUWONDA dit :

    Dites nous quel est le cycle de production de votre tubercule de manioc qui fera des producteurs Congolais des millionnaires en moins d un an ?

  20. YAMOUWONDA dit :

    Voous avez ecrit .
    Faux ! Ils savent quoi en faire. Ce qui leur manque, ce sont les moyens techniques et financiers pour moderniser leurs exploitations. Et c’est à cela que nous voulons apporter notre contribution.

    S ils savent quoi en faire le tubercule ne pourrirait pas a même leurs champs. Ce sont des gens comme vous qui entrainez les autres dans des projets sans étude de faisabilité, la preuve en est que vous voulez y apportez votre contribution pour la modernisation de leurs exploitations , ce qui n est pourtant pas en soi une mauvaise chose. Mais au finish il y aura quoi ? Encore plus de tubercules a pourrir dans les champs.

  21. YAMOUWONDA dit :

    YAMOUWONDA-BUSINESS : Comment devenir millionnaire en moins d’une année en transformant du manioc.
    Ne trouvez vous pas que cela a du sens.

  22. YAMOUWONDA dit :

    En combien de temps vos hectares plantés a Igné sont ils arrivés a maturité cher Mr Malanda ?.

  23. AKOUA!!! dit :

    Mr Malanda,
    Continuez de faire ce que vous avez à faire, c’est mieux. Malgré ce que vous essayez de faire comprendre à certains de nos frères qui pensent que la terre n’est pas une richesse parce qu’ils sont partisants de la vie facile,ils persistent en cherchant les poux dans la tête de Ndenguet qu’ils voient partout.
    Je vous avais demandé si votre structure faisait des études de faisabilité, mais vous ne m’aviez pas repondu, trop pris à repondre à ceux qui vous distraient.
    De toutes les façons, j’ai votre adresse, je passerai au temps opportun car vous m’intéressez.

  24. Pascal Malanda dit :

    Cher Akoua
    Toutes mes excuses pour le retard de ma réponse.
    Vous avez raison, je me suis laissé entraîner par un débat stérile.
    Concernant votre question, nous ne faisons pas directement d’études de faisabilité.
    Ce que nous pouvons faire, c’est financer une étude de faisabilité par quelques cabinets locaux.
    C’est dans ce cadre que nous axons notre activité sur l’appui de l’existant. L’appui est financier et technique. C’est un outil en plein développement que nous expérimentons à Ignié et bientôt à Loudima.
    M’inspirant d’une sagesse très américaine, je me dis : « Ne demande pas ce que le Congo a fait pour toi, demande-toi ce que tu as fait pour le Congo »
    Je vais apporter ma modeste contribution à un Congo prospère.
    Au plaisir de vous rencontrer. Soyons nombreux à nous attaquer à la pauvreté qui prive nos jeunes (et moins jeunes) de toute dignité élémentaire.

    Bonne soirée à vous

    Pascal Malanda

  25. YAMOUWONDA dit :

    J ai mis Mr Malanda au petit coin dans le site Zenga Mambu ou nous nous avons aussi transporté et clos le débat..
    Le cycle de croissance étant d un an je ne vois pas comment est ce qu il pourra rendre les gens millionnaires en moins d un an.

    Il ne sait pas qu il y a risque de contamination ,donc un grand danger pour les cultures en allant quetter des boutures chez les paysans.
    Vous voulez aller apprendre quoi aux congolais , ces bêtises ?

    On ne trompe que celui qui a des yeux. A bu oh oh pia!

  26. Pascal Malanda dit :

    Yamouhonda a écrit:
    « J ai mis Mr Malanda au petit coin dans le site Zenga Mambu ou nous nous avons aussi transporté et clos le débat.. »
    Non, monsieur Yamouhonda, vous pouvez tuer autre chose, mais pas la vérité. Je vais clore définitivement le débat avec vous en démontant votre jalousie couplée d’une méchanceté sans cause. J’aurais compris votre acharnement si nous nous connaissions et que je vous avais causé un quelconque préjudice. Je ne vous connais ni d’Adam, ni d’Eve, j’engage une initiative qui ne vous concerne pas, vous la qualifiez d’arnaque. Je vous donne des éléments d’argumentation, vous versez dans l’injure et la calomnie. Le débat avec vous est une pure perte de temps. Nourrissez votre jalousie et bonne chance.
    Vous dites :
    « Le cycle de croissance étant d un an je ne vois pas comment est ce qu il pourra rendre les gens millionnaires en moins d un an. »
    Puisque vous semblez développer de l’urticaire sur la possibilité de devenir millionnaire en moins d’un an en cultivant du manioc, je vais vous aider à sortir de votre ignorance.
    Si vous êtes un connaisseur de la culture, vous devez savoir qu’il existe des variétés hâtives. Maturité à 6-8 mois. Nous allons l’expérimenter en octobre. Cela vous convient ?
    Voici un exemple concret d’une personne qui a gagné plus d’un million en moins d’une année. J’aurais pu vous donner ces coordonnées pour la contacter en Saint Thomas que vous êtes. Mais je préfère préserver son anonymat. Puisque je suis sûr qu’elle me lit, elle pourra éventuellement témoigner de la véracité du récit ci-dessous, si elle le veut.

    Monsieur X plante 3 ha de manioc à Y dans la région de la Bouenza. La variété utilisée arrive à maturité à 12 mois. La marge brute par ha est de 500.000 cfa. Au huitième mois, monsieur X contacte notre cabinet et nous propose d’acheter sa production sur pied avec une décote liée au risque. Après négociation, sa marge passe à 400.000 cfa pour une vente à 10 mois.
    Question, cher Yamouhonda, quel bénéfice X a-t-il réalisé dans la transaction ? Au bout de combien de temps a-t-il reçu son argent ?
    Répondez honnêtement à ces deux questions.
    Monsieur Yamouhonda, la transaction va plus loin. Sachant que nous avons un service de courtage automobile, monsieur X nous demande de ne pas lui verser le 1.200.000, mais de lui acheter un véhicule dont il va faire un taxi. Nous sommes opposés à ce genre de transaction, mais nous respectons la volonté du client. La somme étant inférieure au prix de revient d’une Corolla à Pointe-Noire, nous lui faisons une avance. Le véhicule est livré à Pointe-Noire. Monsieur X économise donc un voyage sur Bruxelles et n’a aucun frais de courtage.
    Est-il gagnant dans la transaction ?
    Yamouhonda, nous voulons aider les Congolais qui le veulent à sortir de la misère. Vous criez sur les étrangers qui dominent le commerce, l’industrie, la production etc. dans notre pays. Nous proposons des démarches de prise de responsabilité des jeunes par les jeunes eux-mêmes. C’est en cela que nous différons de vous.

    Vous dites :
    « Il ne sait pas qu il y a risque de contamination ,donc un grand danger pour les cultures en allant quetter des boutures chez les paysans. »
    Nous travaillons sur la base des recommandations de vulgarisation contenues dans un document de référence du CIAT (centre international de l’agriculture tropicale) en Colombie. C’est un établissement qui a mené un vaste travail sur la culture du manioc et c’est un référent de la FAO. Nous travaillons aussi avec le CVTA (Centre de vulgarisation des techniques agricoles) de Combé. Vous pouvez contacter le directeur dudit centre et lui demander si nous sommes en contact. Enfin, j’ai des contacts personnels et professionnels avec le directeur général de l’agriculture du Congo.
    Vous dites :
    « Vous voulez aller apprendre quoi aux congolais , ces bêtises ? »
    Non, c’est vous qui voulez maintenir les Congolais dans l’obscurantisme le plus abject. Allez-y critiquer Sassou et Ndéguet, ça vous réussit beaucoup mieux. Ni Sassou, ni Ndéguet ne m’ont jamais empêché de planter une bouture de manioc à Ignié ou un grain de maïs à Loudima. Ici, nous sommes sur du concret, du palpable, du chiffrable. Si vous n’avez rien à apporter, circulez, il n’y rien à voir.
    Vous dites :
    « On ne trompe que celui qui a des yeux. »
    J’espère que les vôtres sont à la bonne place.
    Vous dites :
    « A bu oh oh pia! »
    Je dis Amen !

  27. YAMOUWONDA dit :

    Je prends vos éléments d argumentations en compte voila pourquoi je viens tout le temps vous posez des questions .

    Quant a moi je ne pense pas avoir répondu aux questions que je vous ai posées .
    Parmi toutes mes questions ,celle pour la quelle j attendais impatiemment la réponse c était de savoir quel était le cycle de croissance de( votre ) tubercule de manioc .

    Votre réponse n a t elle pas été la suivante et je vous cite :Celle qui est arrivée à maturité, c’est la « violette » plantée fin mai 2014. C’est une variété qui arrive à maturité entre vers 12 mois.

    Pouvez me dire ce que signifie une expérimentation ou un test ?

    Il a fallu vous taire Mr Malanda . Pourquoi êtes vous revenu a la charge ?

    C est donc sur la base d une expérimentation que vous promettez aux gens d être des millionnaires ?

    Ne voyez vous donc pas que vous êtes entrain de dire des bêtises ?

    Je vais vous décevoir en vous disant que cette expérience de 6 a 8mois , celle que vous voulez refaire dans votre laboratoire maison a été un véritable fiasco lorsqu elle a été faite au centre de Loudima.

    Vous n êtes qu un pauvre type Mr Malanda parce que vous voulez détournez le débat en venant tout le temps citer les noms des deux autres la qui t ont peut être embauché pour jeter de la poudre aux yeux au congolais en général et des jeunes en particulier .

    Lorsque l on cultive pour un cycle de 12 mois et que l on vend ce produit 10 mois après ,cela fait 22 mois .

    C est plutôt 22 mois pour devenir millionnaire en cultivant du manioc et non moins d un an .

    Continuez toujours de prendre les gens pour des imbéciles .

    Si vraiment vous travaillez sur la base de recommandations du CIAT ,un référent de la FAO vous n aurez pas sorti cette autre bêtise qui est d aller quêter des boutures chez des paysans ou sur les exploitations de vos voisins.

    La FAO crie haut et fort en interdisant formellement cette pratique pour le risque de contamination.

    Jusque la,vous ne m avez a aucun moment contredit.

    Vos 500 tonnes a valoriser dont vous êtes fiers d en parler , savez vous combien de Kilos de fufu allez vous en tirer ?

    160 Kgs a peu près . Diviser par le poids d un sac cela vous donnera le nombre de sacs que vous aurez a vendre .

    Le prix d un sac x nbre de sacs = votre million.
    Bravo .

    Vous engagez une initiative que vous ne maitrisez pas encore .

    Comment pouvez promettre a des gens de devenir millionnaire pour une expérience que vous n avez pas encore faite et pour laquelle vous ne connaissez point l aboutissement ?
    Dites moi ou se trouve la logique dans tout cela .

    C est votre démarche qui pose problème surtout avec ce genre titre pompeux et mielleux.

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