Depuis la multiplication de ses déclarations faites, depuis la France, où il semble s’être exilé, André Okombi Salissa (AOK) est dans le collimateur du pouvoir de Brazzaville. Seule personnalité du parti au pouvoir, le PCT, à avoir bravé le dictateur, en lui demandant de quitter le pouvoir, et en prenant, ouvertement, et publiquement, position contre la modification de la constitution, son retour est très attendu par les populations.
Le pouvoir, de son côté, redoute ce retour qui pourrait être difficile à gérer, car AOK que Sassou, lui-même, surnommait « Tout Bouge », du temps où tout allait, bien, entre les deux hommes, n’est pas homme à attendre, assis sur une chaise. Tout Brazzaville sait que son retour sera le commencement d’un combat de coqs. Pour prévenir celui-ci, les hommes, en armes, à Brazzaville, procèdent par intimidation. AOK avait été associé au colonel, Marcel Ntsourou, dans l’affaire des explosions du 4 mars 2012, pour être incarcéré, avec ce dernier. Mais le pouvoir n’avait pas pu réunir les preuves suffisantes pour son inculpation. Malgré cela, AOK avait été soumis, à plusieurs tracasseries, en juin 2013, avant de se rendre, à Paris, où il est, très actif, dans la diaspora congolaise et les hauts lieux de décision français. Ses hommes restés, à Brazzaville, ont été débarqués, de tous les postes de responsabilités qu’ils occupaient, dans les administrations et sociétés publiques. Les dirigeants du CADD-MJ sont, littéralement, interdits de se réunir, car Sassou Nguesso a, personnellement, déclaré, le 7 mai 2013, à Djambala, qu’il était le fondateur du CADD-MJ, et que AOK le dirigeait, sous ses ordres. Ayant déclaré la dissolution de cette association des jeunes, Sassou Nguesso avait, aussi, interdit toute action au nom du CADD-MJ, déclarant que toute action menée au nom du CADD-MJ serait regardée comme un trouble à l’ordre public et réprimée comme tel.
Cet ordre reçu cinq sur cinq, par les hommes en armes, est appliqué à la lettre. Le CADD-MJ a disparu dans la nature. Certains de ses dirigeants essaient de se retrouver sous le label CADD. Dernièrement, c’est le directeur général de la police nationale en personne, Jean-François Ndengué, qui a fait interpeller, les femmes de cette association. Trois hommes d’AOK sont, dans le viseur, des hommes de Sassou Nguesso.
Nicolas Kossaloba, docteur vétérinaire, militant émérite, il est l’ombre d’AOK, sur le terrain. Ancien secrétaire général du CADD-MJ et dirigeant actuel de la CADD, il est l’homme qui comble l’absence du chef auprès des troupes. C’est le seul capable de remplacer AOK auprès des militants. Une brouille avait failli naître entre les deux hommes quand Nicolas Kossaloba avait obtenu son entrée, au bureau politique du PCT, à la surprise de son mentor. Mais la paix est, depuis, revenue entre les deux hommes, que le PCT n’arrive pas à diviser. Nicolas Kossaloba avait, récemment, été interpellé, dans une affaire de marché truqué, et de détournement de fonds, au Port de Brazzaville, du temps où AOK était ministre des Transports. L’opinion publique attribue ces démêlées, avec la police, à la volonté de le faire taire.
Augustin Kala Kala, journaliste de formation, porte-parole du chef, est réputé pour son verbe incisif, qui dérange les caciques du PCT. Ancien 3e vice-président du CADD-MJ, il a été débarqué du ministère de l’Enseignement technique et professionnel. Il jongle entre les tracasseries policières et ses amis de la presse. L’homme est sur veillé. Les rumeurs policières disent que les deux hommes ne sont pas, encore, aux arrêts pour ne pas alerter AOK qui pourrait se sentir en danger. Connaissant l’homme, les Congolais savent qu’il bravera le danger.
Anicet Poaty-Amar est le plus discret, pourtant, le plus redouté et le plus redoutable, dans le Système AOK. Homme de l’ombre, ce juriste formé en France, diplômé d’économie et de sciences politiques, a fait un stage de formation, en Israël, sur « la sensibilisation, la stabilisation, et la déstabilisation politiques ». Ancien leader étudiant, à Cuba, il avait été formé, à « la conquête et la conservation du pouvoir politique, par les masses populaires ». Il a le profil des hommes que les dictateurs préfèrent avoir à leurs côtés, ou en prison, mais jamais en liberté, et surtout pas dans le camp adverse. Cet homme rigoureux qui parle plusieurs langues est le conseiller, le plus proche, d’AOK. Il l’accompagne, dans tous ses déplacements, à l’intérieur, et à l’extérieur. Les deux hommes parlent de tout. Autour d’AOK, on l’appelle « Le Spécial ». Tous les familiers des rouages d’AOK le désignent comme le stratège du groupe. Le pouvoir de Brazzaville en a fait un cas spécial et prioritaire, parce que l’homme est, aussi, un proche du colonel, Marcel Ntsourou, qui n’a, jamais, caché son admiration, pour lui. Des livres de stratégie portant un cachet de sa bibliothèque privée, auraient été trouvés au domicile du colonel, Marcel Ntsourou, après l’assaut, du 16 décembre 2013. Le pouvoir de Brazzaville a essayé de monter, contre lui, un dossier de trafic d’influence, dans lequel on aurait voulu lui reprocher l’achat d’une maison de l’ANAC alors qu’AOK était ministre des Transports et de l’Aviation civile. Le dossier a été mis, en stand-by, en attendant de trouver d’autres moyens, pour l’isoler ou l’éloigner d’AOK et réduire sa capacité de nuire. Il réside, actuellement, en France avec sa famille, dans le voisinage d’AOK.
Benjamin Okouya, dit « Ben », est le financier du clan. Il est du même village qu’AOK. Homme lige chargé des finances pendant les quinze ans passés, au gouvernement, avec AOK, il finance toutes les opérations. La police a perquisitionné toutes ses résidences, emportant, au passage, tout ce qui pouvait les intéresser. Après des détentions, à répétition, cet homme exubérant se fait, de plus en plus, discret, sans rien perdre de son attachement à AOK. Toutes ses affaires, à Brazzaville, et à Pointe-Noire, reçoivent, régulièrement, des visites de la police.
Le harcèlement contre ces hommes a, pour objectif, d’affaiblir AOK. Avec les pratiques actuelles d’élimination physique de ses adversaires politiques, par empoisonnement, notamment, il faut craindre que les hommes d’AOK entrent, dans la liste des personnalités que le dictateur de Brazzaville voudrait neutraliser pour empêcher la candidature d’AOK, à la présidentielle de 2016. Le directeur général de la police nationale a dit aux femmes de la CADD qu’AOK est le prochain, sur la liste, après Marcel Ntsourou. Il s’est juré de prendre AOK, au pied de l’avion, dès son retour, à Brazzaville. Le retour, plusieurs fois, reporté d’AOK laisse planer des doutes, dans les esprits, à Brazzaville. Après le grand bain de sang qui a entouré l’incarcération du colonel, Marcel Ntsourou, sciemment, mis en scène, pour lancer un avertissement à tous ceux qui seraient tentés de se mettre sur le chemin de Sassou Nguesso, le dernier dictateur sanguinaire d’Afrique, maintenant qualifié, de « Boucher de Brazzaville », dans les salons diplomatiques, AOK reste le dernier espoir, pour les jeunes, qui attendent de se ranger derrière un chef charismatique, pour affronter les milices de Sassou, dans la rue. Si AOK continue à hésiter, alors que les lieutenants de Sassou Nguesso multiplient les passages, dans les médias, pour annoncer la modification de la constitution, dans le but de maintenir Sassou Nguesso, au pouvoir, la bataille risque d’être perdue d’avance. Mais en rentrant, AOK doit être prêt, à faire face, à toute éventualité. Car depuis les massacres du 16 décembre 2013, Sassou Nguesso a bu toute la honte, plus rien ne semble pouvoir l’arrêter. A l’occasion du lancement des travaux de la municipalisation accélérée, à Sibiti, Sassou Nguesso a mis en garde la classe politique congolaise, en leur disant que celui qui va mobiliser le peuple contre la modification de la constitution le rencontrera dans toute sa rigueur. Ce qui rappelle qu’AOK, de son côté, avait, lui aussi, déclaré il y a quelques temps, que celui qui ira contre la démocratie le croisera sur son chemin. Ces deux chemins là, vont, donc, forcément, se croiser. Reste à savoir quand. Le chemin de Brazzaville est devenu un chemin de non-retour pour les responsables politiques de l’opposition au Congo. Les Mathias Dzon ou Me Jean- Martin Mbemba et autres, n’arrivent plus à sortir du pays, même pour se faire soigner à l’étranger, alors qu’il n’existe aucune procédure contre eux. AOK sait à quoi s’en tenir. Son entourage, à Brazzaville, confirme qu’il sera bien de retour, à Brazzaville, d’ici peu, déterminé à croiser le fer avec Sassou.
Source: http://www.afriqueeducation.com/index.php?option=com_content&view=article&id=329
CONGO-B : André Okombi Salissa, l’homme qui fait peur à Denis Sassou NGuesso
On n’en peut plus Tout Bouge, rentre au pays et rentre lui dedans !
Le tyran a perdu la tête ! Il chasse tous les RDC alors qu’il ne faut mettre dehors que 2 zaïrois : Kiki et Coco ! Il met le feu au pays après avoir carbonisé la Centrafrique.
Quiconque terrassera le démon Sassou NGuesso sera absout de toutes ses fautes. Vas-y Tout Bouge, bouge le de là lui et sa famille, les tortionnaires du Peuple congolais !
Dieudos Eyoka, Du respect M., ce n’est pas parce que tu hais une personne que tu dois dire de n’est porte quoi, ou encore parce que tu es peut être pas informer sur le code de la nationalité, avant de vouloir éclairer les autres, toi même tu dois savoir ce que tu dis pour ne pas apparaitre ridicule (comme les journalistes de la chaine molière TV) et enfin ce n’est pas avec une jeunesse comme ça que nous allons construire ce pays, c’est très regrettable.
ce que je viens de dire ce n’est pas que pour les fils du Président pour tous les couples congolais avec un(e) étranges(ère) au Congo, sont des congolais comme en France, Amérique …..
Ton envie excessif du pouvoir et la haine n’a pas de place au Congo, nous sommes une nation jeune, uni, malgré nos divergences.
Maintenant pour M. André Okombi Salissa citoyen congolais et cadre de ce pays, dite moi, on la vu à l’œuvre au pouvoir, qu’est ce qu’il a déjà fait de mieux dans la gestion de son portefeuille ?
moi je préfère pour l’avenir de notre pays que nous listons les acteurs de demain avec leurs points forts et faibles et nous fassions les analyses. pour ne pas demain nous fassions une grave erreur de déshabiller saint pierre pour saint X.
Même les Batékés veulent commander…
Salissa Okombi, Me Martin Mbemba comme Mathias Dzon doivent finir en prison comme Marcel Tsourou, car se sont des perturbateurs qui troublent l’ordre public.
Le Président en homme de paix ne permettra pas que la paix retrouvée soit mise à dure épreuve.
Quand la barbarie,les. Crimes de sang ,économiques et autres prévalent dans la vie d’un homme ,il doit savoir ou se placer.
Sassou a eu le pardon des congolais à la Conférence Nationale Souveraine alors qu’il se proposait de fuir dans la nuit du 24 au 25 avril en plein déroulement de cet évènement politique,n’eut été les assurances de Monseigneur KOMBO (cf livre de sassou lui même: le manguier,le fleuve et la souris.)
Il y’a eu lavement des mains le 6 juin 1991 à la fin de la CNS ,mais qu’est ce que sassou a servi aux congolais le 5 juin 1997:une guerre dans laquelle n’ont pas péri que les protagonistes mais beaucoup d’innocents et surtout l’image inoubliable de cet enfant avec cartable au dos au sortir d’une école.
Sassou doit savoir que s’acheter des armes est un fait mais qui sait si ceux ci ne peuvent se retourner contre lui-même . sassou
Savait-il un jour que son chauffeur,un gars du village,le Sous-lieutenant Akiéra allait vendre sa voiture à un libanais,du reste son ami personnel( le propriétaire de l’hôtel Olympic Palace,exproprié à la famille YOULOU ).
Kaddafi avait les armes les plus sophistiquées avec système de brouillage et autres,il savait déstabiliser de nombreux États ,commettre des actes terroristes en tout genre mais où est il aujourd’hui ?
Quant aux pauvres gueux du genre étoumbolo kia,continuez à vivre d’auto-satisfaction ,lorsqu’on ne sait pas qu’un nom propre même pris comme nom d’emprunts s’écrit avec majuscule ,on est presque certain de votre bagage,alors mettez vous dans votre malheureux petit coin.
Sassou,l’homme qui ne vit que d’anti-valeurs : tricherie aux élections et dans la vie de tous les jours,vols,viols,pillages,assassinats,inceste,crimes en tout genre dis- je est en fin de cycle. Il est temps pour lui de payer de tous ses méfaits car il a trop fait.
Qu’il sache surtout qu’il met en péril les bochis qu’il aime tant placer aux responsabilités .
Je vous invite à aller sur le suite suivant:http://banamikili.skyrock.com/
Ecouter attentivement le colonel Eric Makensi, BISHOP Elysée. Vous comprendrez tout.
A Monsieur JARVIS. Bravos, mon frère de voir qu’il existe des frères clairvoyants sur ce site où nous semblons plus assister à un match de ping-pong tribaliste entre mbochis et kongos.
A étoumbolo kia. Monsieur, L’ignorance est un danger que tout homme doit éviter disait Sébastien Nkoua.
En votre qualité de mbochi, probablement, je sais que vous descendez du peuple YORUBA (Nigeria, Benin, Togo) et que ce peuple a connu son apogée avec le Royaume d’OYO (devenu État d’Oyo actuel au Nigeria) divisé en 10 régions avec à leur tête des petits rois appelé « OBA ». Et votre sassou sanguinaire-putschiste veut nous refaire son royaume au détriment des 99% des autres congolais.
Mais, le peuple Kongo aussi est issu d’un grand peuple et Royaume éponyme, tout comme le peuple Téké.
Vos élucubrations sur les tékés vous disqualifient de la communauté des humains comme le juge qui les avait prononcées en son temps avec des victimes expiatoires à la clef.
Votre aveuglement et tribalisme conduisent le pays dans sa catastrophe et son drame actuels sauf pour vous qui êtes à la mangeoire peut être. Monsieur étoumbolo kia, TOUT A UNE FIN.
S’agissant de monsieur Okombi dit AOK. C’est l’exemple du drame du Congo-B. Voilà une personne qui a plein du sang des congolais sur les mains avec son FRONT 400 de 1997 et qui a servi fanatiquement le putschiste pendant 17-19ans et le jour où ce dernier l’a viré de la mangeoire, il est devenu opposant mais en papier. Tout le monde sait au Congo comment il s’est constitué ses biens mal-acquis… Bref! C’est la case jugement et prison qui l’attend comme tous les autres criminels.
L’un de nos drames et que le peuple congolais n’a pas de choix que de composer avec ses bourreaux nommés COBRAS, NINJAS, COCOYES, AUBEVILLOIS, disséminés dans les partis politiques afférents. PAUVRES DE NOUS CONGOLAIS!!!!
Bantu_avant_tout rire, mes frères, je vous aime, un vrai congolais de souche pur ne peut pas opposer son frère à un autre, mbochi, kongo, téké……, tous, on est congolais, c’est mm, avec des propos comme ça, qui démontre votre immaturité de la défense de ce pays, vous parler: des philosophes qui on développés leur pays alors nous les leurs lecteurs nous détruisons nos pays par nos mauvaises compréhension.
nous sommes au temps où, tout le monde vous s’unir, mais vous, vous voulez diviser, triste, pour nos pères qui ont acquis l’indépendance de pays au prix des grands sacrifices. Ils peuvent encore conter sur les autres fils qui aiment encore ce pays et son intégrité.
A JARVIS
Dommage, car visiblement vous n’avez pas compris mon message et pourtant, juré, mon frère, j’ai écrit en français! Vous pouvez relire tous mes messages…. je combats tout tribalisme mais sur ce site et tout le monde peut le relever c’est qu’une histoire d’indexation de l’autre comme criminel ou fautif… Je suis panafricain donc j’abhorre le tribalisme car je rêve des États-Unis d’Afrique et relisez bien ce que je dis à étoumbolo kia…
Bref, je ne peux pas faire plus pour vous. Il y’ a ceux qui comprennent, ceux qui ne comprennent pas et ceux qui font semblants de ne pas comprendre. Amen!!!
Quoi qu’il ne soit, OKOMBI SALISSA est et/ ou sera obligé de Rentrer car Là où il est, il constitue 1 des fusibles que le Président Sassou N’guesso aura beaucoup plus de difficulté à débrancher de la boite car il serait possible de s’électrocuter.
En plus il est, OKOMBI, celui qui connait très bien Denguess pour avoir côtoyé de très près la famille. Je souhaite qu’il soit en vrai lui-même dans sa décision et au pire moment, c’est-à-dire quand le Congo va être en grande turbulence, ce qui ne manquera pas avec l’entêtement du Président Sassou, il faut en ce moment là Arrivera Okombi Salissa avec son Inscription dans la liste des Candidats à la Présidence de la République du CONGO.
Je voudrai dire qu’au moment des Candidatures à la Présidentielle, c’est un moment très particulier, un moment où chaque Prétendant à cette Émulation sera solennelle car c’est comme un Baptême du Pays encensé par le Pays entier. D’ailleurs moi aussi je serai Candidat à la Présidence de la République pour Sortir le Congo du fond.
Il faut que nous soyons Nombreux à nous présenter à cette Election de 2017 afin que l’Âme du CONGO sera réunie autour de son Peuple meurtri voici bientôt 35 ans et au final il n’y a pas de grands Changements visibles en dehors des grandes Routes qui commencent à nous raccourcir les difficultés entre différentes contrées du CONGO. Je me passerai à comparer les bonnes routes que nous avons dans la partie septentrionale qui sont très belles à comparer à d’autres.
Vivement le Retour d’une Vraie vague de Candidatures afin qu’Otchombé se sente entourer par Son Peuple qui l’aime Beaucoup. Plus qu’il y aura des candidats, plus Nous aurons la Chance d’un Vrai Changement.
Okombi, Nzon et Mieransa, plus personne ne parle depuis un moment pendant que les autres gagnent du terrain et battent le fer pendant qu’il est encore chaud. Sont ils des vrais combattants de la liberte?
Ils devraient en effet passer au travers de medias de temps a autre pour continuer a appeler le peuple a un sursaut national, a se revolter contre ce projet machiavellique de changement de constitution. Tant que eux les leaders charismatiques continueront a garder le silence, ca veut dire qu’ils cautionnent la mascarade en cours. Et comme le congolais est egoiste ne regardant que le bout de son nez sans jeter un regard sur l’avenir………………
Okombi, Nzon, Mieransa tenez vous la main dans la main et combattez ensemble soyez presents sur les plateaux des medias appelez le peuple au boycotte tout en raappelant que les fameux sages ne sont pas les jeunes qui ont encore l’avenir devant eux.