Il faudra un jour faire le procès des procès selon Sassou, tant l’arbitraire est flagrant.
Sale temps pour les anciens adversaires de Denis Sassou Nguesso à l’élection présidentielle de 2016 au Congo-Brazzaville. Les challengers de l’élection présidentielle face au khalife d’Oyo tombent l’un après l’autre sous le coup de la justice pour tentative de coup d’Etat. Au rythme du métronome, au Congo-Brazzaville de Denis Sassou Nguesso, les procès politiques ainsi que les verdicts se suivent et se ressemblent comme deux goûtes d’eau. Candidats à l’élection présidentielle de 2016, Guy Brice Parfait Kolelas, Pascal Tsaty Mabiala et Claudine Munari Mabondzo risquent-ils d’être accusés de tentative de coup d’Etat ? Seront-ils les prochaines cibles de Sassou Nguesso, Christian Oba et Michel Oniangué en vue de défricher le terrain de l’échéance présidentielle de 2021 ?
Vingt ans de prison, c’est la peine retenue par les magistrats de la Cour d’Appel de Brazzaville, Christian Oba et Michel Oniangué sur instructions de Sassou et des officines de Mpila pour châtier tout adversaire politique. Au terme donc d’une instruction menée à charge, émaillée de couacs, de non observation de la procédure et de rebondissements judiciaires, c’est au tour d’André Okombi Salissa, le patron du « Front 400 » de goûter aux affres de la Justice du Congo-Brazzaville qui a envoyé à la mort le colonel Marcel Ntsourou après sa condamnation à la perpétuité et le général Mokoko pour vingt ans à la maison d’arrêt de Brazzaville. Le général Norbert Dabira s’en est tiré avec cinq ans de prison pour avoir envisagé de faire exploser l’aéronef de Denis Sassou Nguesso. Bonne étoile ou justice à géométrie variable ? A l’échelle des condamnations, au Congo-Brazzaville, il est moins risqué de faire sauter tout un quartier de la capitale ou intenter à la vie du chef de l’Etat (le cas du général Norbert Dabira qui a écopé de cinq ans de prison) que d’entrer en rébellion contre les forces publiques pour se présenter contre Sassou surtout lorsqu’on est originaire du septentrion.
André Okombi Salissa n’a jamais reconnu les résultats du scrutin présidentiel de 2016 proclamant victorieux Denis Sassou Nguesso, alors qu’il n’aurait recueilli que 8 %, tout comme un autre candidat, le général Jean-Marie Michel Mokoko, ancien chef d’État-major des forces armées congolaises (FAC), qui a été jugé et condamné à vingt ans d’emprisonnement en 2018.
Au Congo-Brazzaville, Sassou Nguesso et Jean-Dominique Okemba exigent des magistrats qu’ils soient perpétuellement longanimes. Ce qui est le cas de Christian Oba et Michel Oniangué. Les consignes de la condamnation d’André Okombi Salissa à vingt ans de prison ferme ont clairement et scrupuleusement été respectées au doigt et à l’œil par les deux magistrats : Christian Oba et Michel Oniangué, originaires de l’axe Oyo-Boundji-Ollombo (OBO). Au cours du procès, Christian Oba, frère de Pierre Oba ( ministre des Mines et ancien ministre de l’Intérieur) et Michel Oniangué ont été malmenés et rendus minables par l’avocat dakarois Boucounta Diallo.
Les appels du pied du patron du « Front 400 », André Okombi Salissa inventoriés par Serge Armand Zanzala n’ont pas réussi à attendrir le cœur artificiel de Denis Sassou Nguesso (d’après la chanson de Lutumba Simaro). « Je suis du système… », « Sassou Nguesso est mon mentor… » et « Je ne peux pas prendre les armes pour tuer Denis Sassou Nguesso » : trois phrases d’André Okombi Salissa qui suscitent des réactions controversées !
(congopage.com, 4 mars 2019). Pensait-il être racheté en se livrant à une telle déclaration d’amour ? La crainte d’André Okombi Salissa d’une mise à l’écart totale et définitive expliquerait-il ce rapprochement avec Sassou Nguesso, son partenaire historique dans la guerre du 5 juin 1997 contre Pascal Lissouba ? L’embastillement d’André Okombi Salissa « Tout bouge » n’a provoqué aucune levée de bouclier de la part des membres du « Front 400 » réputés très agressifs et très appréciés par Sassou Nguesso pour leur atrocité et leur bestialité à l’endroit des habitants de la région du Pool en 1998.
André Okombi Salissa aurait mieux fait d’adopter une posture de rupture avec le système et afficher une stratégie plus offensive et plus incisive.
Benjamin BILOMBOT BITADYS
Quand tu rends service au diable,il te remerciera par l’enfer
Chers frères batékés, contentés vous des miettes que vous donnent vos maitres les mbochis. Ne voyez pas plus gros que vos yeux comme okombi, car vous finirez comme tsourou. Merci sassou
Okombi au moins paie ses crimes ici sur terre. Peut-être il n’ira plus en enfer
Merci cher frère Bitadys ,avec grand plaisir de te lire ! Le moins que l’on puisse dire c’est que Okombi paie le prix de son imbécillité et sa naïveté . Pourtant Dabira qui préconisait abattre l’ avion de sassou que écope de cinq et son nouveau Hotel le Crystal à Moukondo reste ouvert , même sa chaîne de télévision fonctionne et souvent je vois sa femme Christine faire des allés et retours Paris Brazza . Tandis que ma petite nièce Gisele ne peut plus mettre les pieds à Brazzaville. Mais je finirai par félicité okombi d’avoir mis à nu la justice d’oyo , avec ses Français et Sénégalais .
A Benjamin et A tous
Non chers compatriotes.ne blâmer pas okombi salissa qui vient au grand jour de valider la théorie du réseau que je défends sur ce site.il vient de s apercevoir tardivement que la vie dans un réseau nécessite une réflexions ex ante et non ex post des attitudes et postures a voir dans le réseau. C est trop tard de vouloiretre pardonner
Trop tard pour salissa il n apas su lire ni les trajectoires ni les birfucations et encore moins les noeuds du réseau.on change pas de veste comme cela.il fallait que salissa fut manouevrier ce qui manifestement n est pas le cas.salissa en s enrichissant dans le réseau pensait que clé suffisait pour avoir du poids et l inluence.la connaissance et les approches de savoirsdes sciences politiques doivent être valorisés par les hommes et femmes politiques congolais.qu’ ils commencent par lire machiavel jurgen habermas et hanna Arendt.Après seulement ils pour faire de la politique
Bonne journee
ET les KINFOUSSIA, les MPIKA, les Roland NGOUABI …… SONT DES COLONELS ?
Si j’avais un fils et que Satan NGUESSO l’avait tué dans les explosions du 04 mars 2012, dans les assassinats de Chacona ou parmi les disparus du beach….. étant Colonel ou simple soldat, je ferais tout pour « ABATTRE » Satan Assassin NGUESSO… ou alors il faudrait qu’il me finisse aussi pour qu’il puisse oser mettre son sale nez dehors sans peur.
Colonel ou simple soldat je vengerais la vie de mon fils ou de mon père dans n’importe quel pays du monde où Satan NGUESSO s’aviserait à fouler le sol, quitte à en mourir dans l’honneur et la fierté comme les vaillants samouraïs Japonais.
Au lieu de fuir comme une poule mouillée, de rabattre sa queue entre les jambes comme un castrat ou un inapte mental et physique et de se contenter de procès en justice infructueux en France au Congo ou ailleurs.
– COMMENT UNE SEULE PERSONNE COMME SASSOU PEUT AVOIR TUER, FAIT TUER ET TUE ENCORE PLUS D’UN MILLION DE CONGOLAIS DEPUIS 1977 ET PERSONNE N’ARRIVE A LUI LOGER UNE BALLE DANS SA SALE GUEULE D’ASSASSIN GÉNOCIDAIRE ?
L’armée congolaise ne forme t’elle que des lâches ?
L’armée congolaise n’a t’elle plus de tireurs d’élite ?
Les parents de tous ces gens qui ont été tués par Sassou, sont ils tous des lâches pour qu’il n’y ait UNE mais UNE SEULE PERSONNE pour venger tous leurs morts ?
Où sont passés les enfants de NGOUABI, les enfants des KATALI, ICKONGA, MASSAMBA-DEBAT, ANGA, AVOUKOU, ADOUA, KIMBOUALA-NKAYA, NTSOUROU, DIAWARA, MOTANDO …… des disparus de Chacona, des disparus du Beach, des victimes des explosions du 4 mars 2012 ?
TOUS DES LÂCHES ?
Si on ne peut tuer le père, ne peut on pas tuer ses enfants à lui aussi pour qu’il voit les souffrances qu’il fait subir aux parents de tous ceux qu’il à tuer ?
Pourquoi chercher des solutions compliquées à un problème qu’une seule balle de fusil résoudrait ?
LES CONGOLAIS SONT-ILS TOUS DEVENUS DES LÂCHES AU POINT Où en 40 de TUERIES BESTIALES, DE CRIMES CRAPULEUX ET DE MULTIPLES GENOCIDES, SASSOU N’A EN CONTREPARTIE JAMAIS SUBI NE FUT-CE QU’UN PETIT ATTENTAT A SA VIE ?
Après avoir massacré autant de Congolais, comment Sassou et ses enfants peuvent-ils encore se pavaner dans le Congo sans la moindre inquiétude ?
A Vengez vos enfants = Bo boma yé !
Totale validation à toi.
Oui et ça se dit militaire de la république des lâches.
Mais où sont passés nos Diawara, nos Kikadidi, nos KIGANGA, et nos Anga d’aujourd’hui ?
A tous nos opposants qui attendent les éléctions de 2021, continuez de rêver.
A ceux qui veulent dialoguer avec le monstre préhistorique, acceptez encore de vous faire enc… sans vaseline.
Ce sont des tireurs d’élite qu’il vous faut pour en finir avec le génocidaire, dictatueur, multi-criminel contre l’humanité.
Un seul homme entrain d’anéantir tout un peuple et de détruire sans scrupules tout un pays.
Le jour où ce fils de pute mourra la fête sera sans limites dans tout le Congo.
Eh oui, le malheur du Congo c’est d’avoir rencontrer cette abomination du nom de NGuesso, sorti droit de l’anus du diable.
Il est entendu qu’il faut défendre toutes celles et tous ceux qui sont victimes des procès staliniens qui se déroulent dans cette dictature. C’est le devoir de tous les démocrates. Je le fais et le ferai toujours mais je ne soutiens pas leur stratégie politique dont le moteur est l’opportunisme. Depuis 1977, date à laquelle le dictateur avait tué la république soit disant « une et indivisible » en lançant la fameuse accusation « Ba Kongos ba bomi Marien, le dictateur était déjà identifié comme un criminel. Ces faits ont été validés par les différents témoignages pendant la Conférence Nationale. La question que je pose à celles et ceux qui ont travaillé avec lui est : Comment des compatriotes, le sachant, l’ont-ils rallié ? Par conviction politique, par tribalisme ou par cynisme ? Comment un dictateur qui a froidement assassiné Ngouabi, Massamba Débat et le Cardinal Biayenda et beaucoup d’autres (conférence nationale) pouvait-il encore l’objet d’adhésion ? L’on ne peut être opportuniste tout le temps, il arrive un moment où la dure réalité vous rattrape. Tous les opposants qui ont travaillé avec le dictateur ont été discrédités par le fait de l’avoir rejoint parce qu’ils ont contribué à la pérennisation de la dictature parce qu’une dictature ne peut durer longtemps si elle n’a pas un minimum de base sociale. Tout le référentiel qui a vu se lever un monstre comme le dictateur actuel. Du passé nous devons faire table rase pour rebâtir sans eux parce que L’on ne peut pas résoudre les problèmes avec le contexte qui les a créés. C’est l’erreur que nous commettons souvent.
Désolé pour les coquilles, je n’ai pas relu mon texte !
@ LONDI
« La question que je pose à celles et ceux qui ont travaillé avec lui est : Comment des compatriotes, le sachant, l’ont-ils rallié ? Par conviction politique, par tribalisme ou par cynisme »
Vous avez parlez de rallier? D’aucuns par conviction politique parce qu’ils croyaient aux mielleuses paroles de la révolution rouge, d’autres par naïveté et le plus grand nombre par tribalisme.
« Tous les opposants qui ont travaillé avec le dictateur ont été discrédités par le fait de l’avoir rejoint parce qu’ils ont contribué à la pérennisation de la dictature parce qu’une dictature ne peut durer longtemps si elle n’a pas un minimum de base sociale ».
Là je ne suis pas d’accord avec vous tout simplement parce que le Congo n’est pas une société ou propriété privée de Sassou. Les opposants qui sont avant tout citoyens congolais et cadres formés pour la plupart n’ont pour employeur principal que l’état et ils sont avant tout fonctionnaires d’état. Où vouliez vous qu’ils aillent travailler si ce n’est à l’état qui les former en leur attribuant des bourses. Faillait il qu’ils acceptent d’être des chômeurs par le simple fait que c’est Sassou qui est président?
Je souhaiterai que nous évitions toujours cet amalgame fait quand on parle d’un Charles Zacharie Bowao, Mathias Dzon, Norbert Dabira, Marcel Tsourou Jean Marie Tassoua, André Okombi Salissa qui ont été du camp du général d’opérette putshiste Sassou pendant la guerre du 5 Juin 1997 et les suivantes dans le Pool et Jean Marie Michel Mokoko qui n’a jamis participé à aucune guerre civile par patriotisme.Il a été appelé à appoter son expérience professionnelle à la présidence de la république bien plus tard en temps de paix en 2005.
Et même là, il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas dit on et si ceux qui ont travaillé avec le diable ont changé, pourquoi continuer à les critiquer sans que nous mêmes n’allions affronter le diable.
Je voulais le souligner pour que nous n’ayons pas l’habitude de mettre tous ceux qui sont à l’opposition dans le même panier à crabes qui ne remontent jamais le panier pour en sortir en empêchant les autres d’en sortir. Si tel est le cas, qu’est ce qui nous restera comme opposants au Congo puisque tous ressemblant aux crabes qui se neutralisent au lieu de sortir du panier.Il nous restera peut être ceux qui sont hors Congo qui n’ont jamais travaillé sous Sassou président et qui se disent opposants sans venir se battre sur place n’ayant pour mode de combat que la critique parfois stérile.
MONSIEUR OYESSI
NOUS NE SOMMES PAS DES OPPOSANTS. NOUS SOMMES DES CONGOLAIS.
L’IDIOT, SES ESCLAVES VOLONTAIRES ET LES BLANCS MAL ÉDUQUÉS ONT DÉTRUIT LE PAYS. CELA NE SERT À RIEN DE CHERCHER LES POUX À TES COMPATRIOTES.
NOUS VOULONS, VOUS VOULEZ LE DÉPART DU SYSTÈME DE CET IDIOT.
NOUS AIMONS NOS PARENTS QUI SOUFFRENT SUR PLACE. C’EST PLUS RAISONNABLE DE RENDRE SERVICE À NOTRE PAYS SANS VENIR AUGMENTER LE NOMBRE DE VICTIMES AU PAYS. NOUS LE SOMMES DÉJÀ À L’ÉTRANGER. DE TOUTES LES FAÇONS, LES SOUTIENS DE CET IDIOT SONT AVEC NOUS ICI.
@Oyessi,
mon propos concerne celles et ceux qui ont rallié le dictateur sur le plan politique. À aucun moment je ne remets en cause le haut fonctionnaire lambda qui, somme toute, n’a cherché qu’à servir son pays en retour de l’éducation financée par l’Etat. Je m’adresse aux militants politiques des partis politiques comme le PCT, MCDDI, UPADS … Sur quelle base ou conviction le font-ils dans un contexte où le vote ethno-centré ? Je suis persuadé qu’il n’y a pas de vraies opposition digne de ce nom au Congo.
Tout à fait londi.tous ses oposants sont tous dans le réseau congo et leurs problème est comment survivre dans celui ci et comment apparaître blanc(et ce n est pas de l humour noir) comme neige une fois ce réseau aura disparu afin de se refaire une virginité politique qu’ ils n ont jamais cultivé et encore moins recherché.qui est opposant au congo?
Les prisonniers actuels qui ont mangé dans la gamelle avant d être emprisonnés pour désobéissance ou les autres qui n aspirent que d aller faire un tour dans la gamelle
Sassou peut dormir tranquille avec des congolais gamellistes de l intérieur comme certains de la diaspora.arrêter congolais gamellistes de jouer les hypocrites.et certains n attendent su une chose que les mbochis partent pour que s autres ethnies coalisees ou non prenent le business.pauvre congo avec des enfants bavards et méchants entre eux.la culture française a réussi son œuvre sur les esprits fragiles negres congolais plus guidés par l émotion que par la rationalité politique.j ai peut être tort .je l admet par anticipation mais je l ai dit.le Congo c est un conglomérat d etnies qui se barrent pour le pouvoir.commme cela est triste
Lire qui se battent
Désolé pour led fautes d orthographe et autres coquilles
MONSIEUR LUCIEN PAMBOU,
LES PREMIERS GAMELLISTES, SE SONT TES PARENTS, TES AMIS, ET TA SŒUR TCHIIBOTA DU KOUILOU.
ENCORE DU BLA BLA POUR UN PROBLÈME AUSSI SIMPLE.
L’IDIOT, SON SYSTÈME BASÉ SUR DES ESCLAVES VOLONTAIRES ET DES BLANCS MAL ÉDUQUÉS DOIVENT ÊTRE COMBATTUS PAR LES CONGOLAIS INSTRUITS, INTELLIGENTS, LABORIEUX, TEMPÉRANTS, ORDONNÉ ET ÉCONOMES.
ORDONNÉS
@Lucien, nous sommes d’accord, au Congo il n’existe pas de partis politiques dans le sens noble du terme capables d’accoucher les esprits et de leur donner un programme de développement économique et social. Ce sont des chapelles éthniques qui se lancent dans la compétition mortifère d’accaparement des richesses du pays. Les leaders de ces chapelles ont fini par construire une classe politique dont la hiérarchie est réglée par le taux démographique éthnique ou par la capacité de maintenir un climat de violence permanent pour l’exercice du pouvoir. Dans ce système, plus le taux démographique éthnique est important plus on te ménage et te procure un certain niveau de vie digne des piliers incontournables de la dictature. Il y a donc une corruption financière et politique construite à partir de la confiscation des richesses organisée par la dictature qui transforme tous les autres citoyens en simples contributeurs assujettis à loi du dictateur. Tous les hommes politiques, comme tous les citoyens, évoluent dans cette logique. Ils vont à la soupe servie au palais et ils s’en contentent parce qu’ils sont privés de ressources. Ils ne peuvent pas mordre la main qui leur donne à manger. Ils n’ont pas les moyens de leur opposition. C’est pour cela qu’il faut se rendre à l’évidence. Les deux leaders (Kolelas et Tsaty) ne sont pas soumis au même traitement que Mokoko, Makaya et Okombi parce qu’ils disposent d’une capacité de nuisance importante par le fait qu’ils disposent d’une base éthnique importante. Ils constituent ainsi une digue pour le dictateur. Les changements majeurs ne viendront donc pas d’eux aussi longtemps qu’ils ne disposeront pas de capacités financières et militaires importantes. Pour l’instant ils ne sont pas si mal lotis que cela avec une garantie financière que leur assure le pouvoir et à laquelle veille personnellement le pouvoir. Les congolais doivent s’organiser autrement pour combattre ce système en s’affranchissant des hommes politiques et syndicalistes et en s’adressant directement au peuple, stratégie que j’ai exposée, ici. C’est comme cela que ça s’est passé au Burkina, Tunisie et se passe encore en Algérie.
David Londi a dit: « Les congolais doivent s’organiser autrement pour combattre ce système en s’affranchissant des hommes politiques et syndicalistes et en s’adressant directement au peuple, stratégie que j’ai exposée, ici. C’est comme cela que ça s’est passé au Burkina, Tunisie et se passe encore en Algérie ».
Nous passons quand aux travaux pratiques sur le terrain, au bord du fleuve Congo ?
Quelles sont douces les eaux de la Seine et de la Somme!
@Climibie,
j’attends avec impatience des volontaires du nord au sud pour constituer un réseau de cellules résistantes sur la base de la stratégie que j’ai proposée. Vous savez comme me joindre.
a Londi
Tu as raison cher compatriote d ‘apeller les congolais à te rejoindre.
Tu es suffisament instruit de la chose politique pour savoir que ton appel risque de rester lettre morte aux motifs que les congolais que nous sommes sommes bavards emollients et emotifs
tu as propose un débat sur le changement des institutions axé autour de la federation pour notre pays.
OU en sommes nous de ce débat j ‘ai peut etre rate une marche
Les congolais comme la plupart des africains aux motifs que nous ne maitrisons ni le fric ni la techno et les sciences appliquees preferont la vassalite avec des faux semblants d elections démocratiques sommes d accord a la soumission du reseau international.
Nous sommes complexes vis a vis du blanc et nous avons peur. helas mais c est un fait
On peut etre soumis certes a moyen terme mais nous sommes incapables de reflecfhir à long terme sur les modalites de sortie de cette emprise comme dans l image biblique de DAVID CONTRE GOLIATH
alors bavardons indignons nous en bavardant
@Lucien,
oui, le débat se poursuit. Le livre est sorti chez Bookelis, tag Fédéralisme. Je vais participer à un débat, le 23/03, à Paris sur les institutions. Je présenterai le projet d’instauration du fédéralisme au Congo. Ceci s’inscrit dans une stratégie globale avec des jalons majeurs : organisation de la lutte contre la dictature ; préparation de la transition ; convocation d’un référendum si victoire des idées fédéralistes lancement de l’assemblée constituante et instauration du fédéralisme. Il faut apprendre à planifier la lutte pour aborder tous les facteurs de risques et avoir une communication convaincante. La chute du dictateur ne doit pas être une finalité en soi, ce n’est qu’une étape !
Ah, les congolais ! Il y en a toujours qui croient avoir la science infuse et qui ne tirent aucune leçon de notre histoire. On passe au maintenant au fédéralisme comme on passe du coq à l’âne, au même titre que ceux des années 60 qui nous avaient importé le communisme, cette soi-disant panacée devenue bantu. AAAAAAAAAAAAh bâ con-golais, tiadi heinnn ! Continuez à fantasmer.
@Mwissi Ndamba, en direct de Mwissi Ngandu qui te dit que si tu as un autre projet pour préserver les persécutions dont notre peuple souffre, présente-le. Cela fait des années que cette idée a mûri, ce n’est nullement une idée qui tombe du ciel. Tu peux venir en débattre et tu t’en feras, peut-être, une idée plus exacte au lieu de se lancer dans des jugements de valeur. Je ne me permettrai jamais de juger sans évaluer les tenants et les aboutissants d’une proposition.
@Mokongo zoba
Le fédéralisme au bout du fusil ?????
Le fils du pays l’a toujours dit que « c’est par la force brute du canon que cet odieux personnage dégagera du Congo. » J’en viens à me poser la même réflexion.
Au point où nous sommes, d’autres voies de lutte deviennent indispensable.
@revelino
Exact ;
Sinon ,le reste est du domaine des incantations futiles .Ce monsieur ,mécréant de son état , doit faire l’objet d’un dégagisme à l’artillerie et que ceux , dont c’est le métier s’ingénient à mettre en application ce désir inextinguible du peuple congolais .
@MUSSI NDAMBA.
On a l’impression que vous êtes animé par un instinct grégaire ,car en métabolisant la défaite intellectuelle ,vous prolongez le bail présidentiel du criminel SASSOU .
Le projet fédéral ne pourrait se réduire à un péage des pensées politiques venant des autres congolais ,mais une ébauche politique qui en appelle d’autres .
Cher compatriote ,
Votre fierté , ne serait elle pas de performer ,plutôt que de se dénigrer ?
Je n’aurais pas aimé échanger ma place à la vôtre , car il est des hontes,qui se muent en un acharnement des jalousies .
Mussi Ndamba
Grosse mais très grosse validation
Si Diaspora Congolaise savait…………
Si intelligentsia locale pouvait !
OKOMBI paie le prix de son infidélité politique .Avant de verser les larmes sur son sort ,encore faudrait il scanner d’où il vient ?
De qui il est l’élément ?
N’a t’il pas craché ,de manière voilée , le morceau sur le prétoire ?
Était il du bon coté de l’histoire politique de notre pays ?
Cette génération a déjà brulé leurs cierges et je ne pense pas qu’il faille en faire un préalable à la marche irréversible de notre pays vers une véritable démocratie horizontale .
Il est des passés dont le souvenir ne pousse point à la nostalgie ,mais aux interrogations inquisitoriales .
Ses argumentaires juridiques mi figue mi raisin ont ébranlé nombre des congolais qui ont cru en cet homme .
Il en ressortait un rappel des services rendus au maître sur la base desquels il prophétisait un pardon de celui qui l’avait fait prince .
Mais ce fut peine perdue .
La métamorphose politique ne s’improvise pas ,car elle est une conviction intime des idéaux politiques en lesquels on a longtemps cru .S’en démarquer sous l’effet d’une déception politique est une supercherie .
La lettre autrefois ouverte de ‘Sir’ Malanda, le pacifiste vaincu par nature, adressée à Takou-La-Merde est évidemment restée morte. Rien donc d’étonnant même pour les enfants du secondaire comme cela était prévisible!
Et même si rien, en vérité, n’est définitivement garanti, cependant seuls des citoyens alertes et informés peuvent prendre conscience de la toile d’influence tissée par la ‘petite-gigantesque’ machinerie militaro-mbochiotte et la confronter avec nos méthodes et objectifs démocratiques et surtout de canonniers, afin que la sécurité et les libertés puissent réellement et définitivement fleurir côte à côte…
« A vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes. »
JFK
Et pourtant la paix est rarement refusée aux pacifiques. Que s’est-il passé, papa?
Sinon, c’est avec les pacifistes qu’on fait les meilleurs collabos. Rendez-vous à l’évidence une bonne fois pour toutes!
Qui a des oreilles, entende.
Avec ce visage avenant d’OKOMBI en direction du maitre ,on ne peux que douter de l’affranchissement politique de l’apprenant .
Ces images ,malheureusement ,en disent long sur la complicité fusionnelle entre ces deux ex maquisards .
A force de pouvoir protéger de façon mordicus ,le pouvoir nordiste ,nos frères du nord , rebelles ,tardifs s’en mordent les doigts .
La différenciation tribale est le seul critère pour bénéficier du pardon du tyran .
Que cet épisode politique centré sur le maintien du pouvoir au nord ,soit la dernière erreur à ne plus commettre par ceux du nord , dont le moteur de la vie est la domestication des privilèges et caetera qu’offre le pouvoir politique .
MOKOKO et OKOMBI avaient commis plus qu’un péché véniel ,mais un péché mortel contre la nation congolaise .
Réduire une nation à un campement militaire NORDISTE ,vous expose à une déflagration ; type MPILA .
Les victimes se confondent avec les pyromanes .
JUDICIAIREMENT, LA CONDAMNATION D’OKOMBI EST SUJET A DEBAT MAIS POLITIQUEMENT, ELLE EST UNE TRES BONNE CHOSE CAR IL N’Y A PAS UNE FACON ON NE PEUT PLUS CLAIR DE MONTRER LA MALEFICIENCE DU SYSTEME.
OKOMBI, S’IL S’EST VRAIMENT CONVERTI A LA DEMOCRATIE, IL A EU TORD DE NE PAS AVOIR Dénoncer le système. Au contraire, il s’en est réclamé. C’est une très grande faute politique s’il se considère comme démocrate et un bon élément du système s’il attend le pardon de Sassou et la réhabilitation par le parti. Son cul placé entre deux chaise risque de l’emporter, comme a été emporté Ntsourou si Sassou ne le pardonne pas. Nous sommes dans une dictature, Okombi le sait très bien. En dictature la justice est aux ordres, alors quelle naïveté d’attendre d’attendre de la justice d’une dictature une sentence juste.
QUI SE RESSEMBLE S’ASSEMBLE MÊME COSTUME MÊMES HABITUDES