Adama Barrow, le président gambien victime d’une crise d’Oyo-Nguesso-Sassouïte aigüe. Par Rigobert OSSEBI

Le pdt gambien Adama Barrow et le tyran Sassou

Le président Adama Barrow, quatre mois après son élection à la tête de la Gambie, a été atteint, comme tous ses homologues francophones d’Afrique occidentale, par une crise d’Oyo-Nguesso-Sassouïte aigüe. Le Gambien est la dernière victime connue de cette pathologie rare qui n’atteint que les chefs d’Etats, chefs de gouvernement, ministres, responsables de partis, députés et sénateurs, responsables d’institutions internationales. Africains ou pas.

Ce 14 avril, l’avion transportant le président gambien a atterri dans l’après-midi à l’aéroport international Maya-Maya de Brazzaville. Vêtu de blanc, il a été accueilli au pied de l’appareil par son homologue congolais Denis Sassou-Nguesso ; Il l’avait invité pour le féliciter de sa victoire contre le dictateur Yahya Jameh, mais surtout pour lui administrer le traitement habituel qu’il réserve à tous ses visiteurs et patients atteints par ce nouveau fléau qu’est l’Oyo-Nguesso-Sassouïte aigüe ! Ce déplacement, le premier en Afrique Centrale d’Adama Barrow qui a été réservé au président congolais, prouverait qu’il pourrait être atteint par une évolution grave de cette pathologie, la MatteoRenzite, qui se déclare lorsqu’un très haut responsable effectue son premier voyage officiel extérieur pour se rendre auprès de l’autocrate congolais.

Après les hymnes nationaux, le président Barrow a répondu aux questions des journalistes dans le salon d’honneur de l’aéroport. Très discret sur la réelle motivation de son déplacement à Brazzaville, le Gambien a affirmé être venu renforcer la solidarité africaine et s’imprégner de l’expérience de son homologue.

« Nous avons des gens qui ont de l’expérience, qui ont été aux affaires depuis très longtemps. Tous les jeunes présidents devraient apprendre auprès d’eux, a déclaré le président Adama Barrow, ajoutant : Le président Sassou-Nguesso pourrait être un excellent conseiller. »

Cette dernière déclaration ne laissera aucun doute à tout observateur averti ou à tout spécialiste de cette épidémie. En effet, le fait d’affirmer que Denis Sassou Nguesso puisse résoudre une crise, solutionner un problème, apporter la paix dans un pays en guerre, ou comme nous venons de le voir « être un excellent conseiller » constitue un symptôme incontestable du diagnostic d’une Oyo-Nguesso-Sassouite aigüe ; avant tout examen approfondi des comptes bancaires et des coffres-forts personnels.

Sous la menace d’une implosion rapide de la coalition qui l’a amené au pouvoir, Adama Barrow a effectué ce court séjour au Congo en suivant les conseils d’un Macky Sall, jamais guéri de cette terrible maladie qui lui impose de fréquents séjours à Oyo.

Les deux présidents ont eu un entretien dans la soirée sur lequel rien n’a filtré… Ce samedi 15 avril, le chef de l’Etat gambien a regagné Banjul avec, semble-t-il, une infime partie de la potion magique qu’il espérait recevoir. La crise financière sévit très sérieusement au Congo. Des patientes et des patients très célèbres ont depuis longtemps vidé les rayons de stockage du précieux produit. Adama Barrow en sera quitte à revenir le quémander à Brazzaville, s’il n’est pas destitué d’ici-là.

Rigobert Ossebi

Diffusé le 16 avril 2017, par www.congo-liberty.org

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30 réponses à Adama Barrow, le président gambien victime d’une crise d’Oyo-Nguesso-Sassouïte aigüe. Par Rigobert OSSEBI

  1. VAL DE NANTES . dit :

    C’est pathétique et ahurissant d’instrumentaliser des jeunes chefs d’états africains issus de la sève présidentielle .Alors que SASSOU ne veut pas y goûter ;;;;
    C’est psychologiquement ,incompréhensible ;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;
    Aimer , la démocratie chez les autres , pour ne pas se la faire appliquer , cela dérive d’une psychopathie incurable ;;;

  2. Butterfly dit :

    Barrow est entré dans le Cercle des mafieux. Il a préféré le cash tout de suite de Sassou Nguesso.
    Des voyous tous !

  3. CONGO-MFOA dit :

    Tout ce qu’il peut apprendre auprès de Sassou Nguesso, c’est comment piller son pays, l’appauvrir et comment paupériser son peuple et massacrer tout ou partie d’un peuple détesté…

  4. Bulukutu dit :

    Comment fais-tu pour durer au pouvoir ? Je vend le sous-sol de mon pays aux multinationales occidentales pour qu’on me laisse tranquille. Vassaliser l’Afrique.

  5. Lucien Pambou dit :

    Aux intellectuels africains et autres « sachants » de la vie politique africaine

    Avec modestie et humilité intellectuelle, je remercie les uns qui commencent à accepter mes analyses sur la théorie du réseau, et les autres la contestent. Dans un prochain papier, je vais mettre de façon très explicite en débat la position du réseau dans la longévité politique ou non de certains Présidents africains, comme Sassou, Wade ou Robert Mugabe du Zimbabwe et Alpha Condé de Guinée. Ce travail intellectil est une réponse à ceux qui pensent que je me cache derrière la théorie fumeuse et enfumeuse du réseau pour expliquer la situation dans nos pays. Je préviens tout de suite, je m’appuie sur une organisation intellectuelle et mentale que j’ai reçue de mes maîtres blancs français que je conteste, qu’eux-mêmes ont reçu de la part des Américains, à savoir les notions de rationalité instrumentale ou procédurale, discursive et non fondée sur l’empathie. Au Congo, nous n’aimons pas le travail intellectuel, argumenté et de fond (pour cause, après avoir obtenu un doctorat, un master, nous nous estimons intellectuels et nous confondons intelligence et instruction). Je déflore, au sens noble du terme (vous voyez je joue avec les mots et la langue française – c’est ce que l’on me reproche en partie, d’être trop à l’aise dans la langue française (demandez à Constant Nemale d’Africa 24 ce qu’il en pense), certains pensent que je suis né ici (les assistants techniques d’Africa 24 où je suis resté trois ans de la création à 2014) car je parle la langue de Molière (il parait, sans accent congolais-), les principaux arguments de mon papier à venir sur Congo Liberty.

    Si Sassou, Wade (qui a essayé, mais n’a pas réussi), Mugabe, réussissent à se maintenir au pouvoir, c’est en partie à cause de la complicité des intellectuels africains, avides de pouvoir, de privilèges et qui ne travaillent que pour eux-mêmes (sur ce site Congoliberty, il y en a plus plein qui n’attendent que la chute de Sassou pour remplacer le mode de gouvernance M’Bochis qu’ils critiquent par un autre mode de gouvernance ethnique). Kolelas fils, sans avoir un niveau d’instruction très élevé (certains parlent d’un simple BTS), a compris une chose qui est vitale pour sa carrière : comment vivifier, réoxygéner l’histoire paternelle d’un Bernard Kolelas qui, depuis l’indépendance, s’est accommodé des objurgations de positions pour appartenir au réseau Congo en fonction de la situation politique du moment. Après le réseau Youlou des indépendances, il y eut dans l’intermède le réseau Massamba Debat, ensuite le réseau Ngouabi, le mini-réseau Yombi, le réseau durable Sassou dans lequel nous sommes et le réseau Lissouba.

    Vous aurez quelques éléments analytiques d’importance qui nous permettront d’organiser le débat. On pourra sortir de la torpeur de bière, de femmes et de lévitation intellectuelle de bavards impénitents, pour commencer à voir nos propres malheurs que nos Présidents, évoqués en amont de mon texte, utilisent pour continuer à être au pouvoir. On dit qu’ils s’imposent par la force armée. Les choses sont beaucoup plus subtiles qu’il n’y parait et j’essaierai d’en apporter la démonstration. On m’accuse d’être sassouiste, je réponds : ni pour, ni contre Sassou mais enfant de la République congolaise, élevé par un père ajusteur à la CFAO, une mère analphabète vendant des beignets dans la rue et instruit par l’école congolaise et française.

  6. Anonyme dit :

    Les relations d’Etat à Etat, ni plus ni moins. Elles doivent se renforcer à l’avenir, dans le cadre de la solidarité panafricaine. Adama Barrow est un homme d’Etat, il demeure le dirigeant d’un pays souverain d’autant plus. Son discours politique ne peut plus être celui d’un simple candidat à la présidentielle, voir d’un désinvolte militant de base, sur Internet. Franchophone, anglophone, lusophone, arabisant, hispanophone… Etc. Ce sont des concepts colonialistes importés de l’Occident impérialiste, c’est une grande source d’aliénation, pour les africains acculturés et pour les noirs déracinés en générale. Etre anglophone ou anglo-saxon de culture ne change absolument rien au quotidien des citoyens gambiens. Seules l’unité, la paix et la stabilité sont gages de développement socio-économique.

  7. congomfoa dit :

    @Anonyme a dit : « Seules l’unité, la paix et la stabilité sont gages de développement socio-économique ».
    Crois-tu que c’est auprès de BIGKILLER alias Sassou Nguesso qu’il (Barrow) pourra les trouver? En a-t-il vraiment trouvé le véritable artisan ? Vous voyez bien qu’il est allé auprès de « BIGKILLER » !

  8. VAL DE NANTES . dit :

    BRAZZA ,C’est le lieu du pèlerinage des jeunes chefs d ‘Etat , en quête des mauvaises pratiques de gouvernance politique et économique ;;;;

  9. Bakala Telema dit :

    Lucien Pambou,

    Toujours le blabla. Tu nous dis être économiste et diplômé en gestion, spécialiste des réseaux. C’est bien. Mais à quand l’utilisation et la mise à disposition de tes connaissances et théories pour aider les jeunes congolais à sortir de la galère?

    Tu critiques les congolais d’être bavards et belliqueux. Tu es à leur image.i.e. une personne qui parle sans apporter des solutions aux maux qui minent le Congo.

    Ce que les jeunes congolais et congolaises attendent de toi est que tu leur expliques comment s’en sortir en gagnant dignement leur vie. Être économiste sert à quoi? N’est-ce pas, entre autres, pour créer de la richesse et des emplois.

    Aujourd’hui, dire que Sassou est au cœur d’un réseau ne change rien au quotidien des congolais. Pire cela participe à leur obscurantisation. Voilà plus de 40 ans qu’ils sont abreuvés de ces théories oiseuses qui ne font que les enfoncer, alors que d’autres pays avancent grâce au partage d’idées de leur classe scolarisée qui participent au transfert des technologies et des savoirs.

    Chez nous, tout est critique négative et politique. C’est comme si l’ensemble des congolais vivaient de la politique. La vie locale est résumée à la politique. Tout le discours communautaire est limité à la politique. On ne peut penser le Congo sans parler de la politique qui se résume à Sassou et ses complices de l’opposition.

    Dites-nous, à l’époque coloniale, comment faisaient nos parents et grands-parents? Attendaient-ils derrière le colon pour chercher à subvenir à leurs besoins ou se débrouillaient-ils? Du temps du colon, il y avait bien des congolais entrepreneurs.

    Au Cameroun que font les populations qui sont brimées par le pouvoir de Biya, tels que les Bamiléké? Ne sont-ils pas dans le business? Attendent-ils toujours l’état pour aller de l’avant?

    J’ai un condisciple Douala, à travers lequel j’ai connu l’un des frères Nana. Il vient de rentrer à Nkongsamba pour se lancer dans l’agroalimentaire. En 2015, il a remporté un prix européen pour sa marque de café: trois mélanges. Son affaire génère plus d’un milliard de francs, en l’espace de moins de 5 ans.

    Ceci est pour dire qu’il faut présenter aux jeunes congolais d’autres voix que celles de la critique politique qui les conduit droit à la mort et à la destruction. La politique n’est pas une fin en soi. La politique est un outil au service du citoyen.

    Sassou s’est toujours moqué de nous parce qu’il sait que bon nombre d’entre nous veulent sa place que pour faire ce qu’il fait actuellement avec sa clique. D’où son mépris. D’ailleurs, on le voit sur ce site où on demande de ne pas critiquer les gens du même coin.

    Bon, bref. C’est un point de vue qui n’engage que moi, car je suis fatigué de ces querelles qui ne mènent pas aux changements. Chez certains ouest africains, des discussions mènent aux changements de leurs villages, communautés. Il en va de même des éthiopiens installés en Amérique du Nord. Ils créent des structures financières pour accompagner celles et ceux qui rentrent au pays pour participer aux changements des conditions socio-économiques locales.

    Ne commettons pas les mêmes erreurs que nos aînés de la FEANF et autres AEC pour qui le devenir du pays se résumait à des luttes politiciennes dont l’issue a été le sacrifice des populations qui n’avaient rien demandé. Leur seul malheur était d’être nés sur le même territoire que certains illuminés qui ont toujours pensé que la politique est la fin de l’homme.

    Sous le colon, Youlou et Massambat Debat, il y avait des congolais qui se débrouillaient très bien sans parler que de la politique. Ces gens étaient des modèles pour les jeunes congolais qui voulaient être comme eux: Ntientie, Ebina, Mbouyou, Mavoungou, Koumba, Mbemba, etc. ou bien Galiba, Lissouba, Mbouramoué, Makany, etc.

    Avec le discours qui est le nôtre,aujourd’hui, nous voulons que les jeunes congolais prennent pour modèles ces gangsters kleptomanes qui siphonnent le pays à tour de rôle depuis 1968, et qui préparent leurs enfants pour prendre la relève.

    Il y a un intervenant, du nom d’Ebadep, qui un jour parla ici du manque de conscience nationale chez nous. C’est ce qui nous manque. Si nous en avions, la diaspora scolarisée devait mettre ses connaissances en œuvre pour participer au soulagement des souffrances du peuple, comme le Hamas et les frères musulmans le font en Palestine et en Egypte. Ils n’attendent pas l’état kleptocrate palestinien ou égyptien pour venir en aide aux peuples martyrisés. Ils créent des écoles, fournissent des soins médicaux, distribuent de la nourriture grâce aux fonds collectés auprès des diasporas. Chez nous les congolais, Koto! Rien. Parler pour Parler.

  10. Anonyme dit :

    Depuis qu’il est veuf, il cherche peut – être à se reconvertir ?

  11. Anonyme dit :

    Bakala Telema bravo … bravo … et encore bravo d’avoir si bien expliqué le positionnement pernicieux de Lucien Pambou, qui à part se faire mousser n’apporte rien à la lutte contre la mafia d’Oyo … pire encore il ne fait que l’entretenir.
    Sa théorie fumeuse des réseaux qu’il nous déclame en long et en large à longueur de commentaires, en quoi une fois énoncée et répétée apporte t-elle quelque chose de concret à la lutte contre l’oppression que subit tout un peuple.
    Mais comme le dit si bien, Lucien Pambou, il ne peut être ni pour, ni contre sassou, alors quand on est bardé de connaissances et de diplômes comme il aime à se définir et que l’on est pas capable de dénoncer l’injustice qui frappe son propre pays et ses compatriotes les plus démunis …. à quoi sert un Lucien Pambou ??? …si ce n’est d’entretenir le système.

    Lorsque l’on est neutre en situation d’injustice, c’est que l’on a choisit le camp de l’oppresseur… et ce monsieur… Lucien Pambou, en toute connaissance de cause a choisit le camp du bourreau du Congo..

  12. VAL DE NANTES . dit :

    @ BAKALA DU CHAMPAGNE A COLOGNE ;;;;;;;on vous y attend .

  13. mwangou dit :

    @ Bakala Telema
    Tout à fait en phase avec votre post… J’ajoute un mais…mais sassou nguesso n’est pas Biya et le Cameroun n’est pas le Congo. Je ne voudrais pas trop en dire ici. Sachez seulement que sassou nguesso ne laissera personne avoir des idées en économie; il doit nécessairement donner son quitus. je m’arrête là…
    pour le reste, il faut aussi se dire que c’est par éducation que les Congolais ne voient leur avenir qu’au travers le prisme du politique. Toutes ces années du marxisme et toute cette violence politique de l’argent facile…la même politique qui a fait que l’armée par ex. ne soit plus une armée nationale, cette même politique a fait que le Congolais ne regarde plus que du côté de la politique pour sa vie…
    le raisonnement de Pambou n’est pas si fausse, ou dénudé de bon sens…Les posts ici présents ont chacun à son niveau apporté un plus dans notre combat…

  14. Lucien Pambou dit :

    A Bakala Telema et à Anonyme,

    Un économiste n’a pas la vocation d’apporter des réponses concrètes au développement d’un pays qui dépend essentiellement de l’action politique sur le terrain. Me demander ce que je fais de façon concrète pour le Congo, je ne peux que vous retourner la remarque. En revanche, moi je ne me cache pas, j’interviens à visage découvert, sans pseudonyme, en faisant des préconisations. Mwangou l’a reconnu et il sait qu’elle est la fonction traditionnelle d’un intellectuel. A place qui est la mienne, je fais des propositions au Congo, comme c’est le cas sur Hutchingon Post: http://www.huffingtonpost.fr/lucien-pambou/le-president-congolais-relevera-t-il-les-defis-quil-a-fixes/

    Et maintenant que le Congo ne suive pas, ce n’est pas mon problème car je ne suis pas un politique.

    A très bientôt Anonyme, et à visage découvert quand on n’a pas peur et que l’on ne se reproche rien.

  15. Lucien Pambou dit :

    Désolé Anonyme,

    je me suis laissé un peu aller en te demandant d’agir à visage découvert. Reste anonyme car toi, c’est toi et moi, c’est moi. On n’a ni la même histoire, ni la même culture, ni les mêmes horizons.

    Cordialement.

  16. Anonyme dit :

    Ce qui est sur c’est que l’on n’a pas les mêmes horizons car face à une dictature des plus féroces qui asservi notre peuple et le rend de plus en plus démuni de jour en jour, ne pas prendre position c’est prendre fait et cause pour cette mafia sordide
    J’ai choisis mon camp celui du peuple asservi, Monsieur lucien Pambou lui a fait un autre choix.

  17. Mamanou dit :

    Comment un président élu démocratiquement peut vouloir les conseils d’un sanguinaire n pervers satanique idiot comment ce mr ?

  18. KOO' NGOH dit :

    @ Anonyme
    Bravo Anonyme…
    Calmez-vous et prenez un bon petit verre en signe de relaxation… C’est votre droit inaliénable d’être anonyme sans chercher à se justifier auprès de qui que ce soit, encore moins auprès d’un nguessoiste…. Car la charte des droits et libertés reconnu partout dans le monde civilisé (sauf au pays des nguesso) vous en est un fort support. C’est votre droit d’être anonyme, un point c’est tout…!!!
    Nous savons bien que tous les nguessoistes puants qui se respectent comme certains ici, ont toujours eu des problèmes à reconnaitre les droits et libertés individuels… Mais que voulez-vous? Cela ne doit pas vous étonner… N’est-ce pas qu’ils reflètent tous bien en eux leur dictature propre et d’où provient leur puanteur sociale exécrable?
    Passons!

    KOO’ NGOH

  19. mwangou dit :

    @Mamanou
    et si ce président démocratiquement élu, l’a été grâce au concours financier de notre célèbre donateur? ceci s’explique plus sagement, la contrepartie c’est la visite d’Etat, mais surtout les pensions de retraite pas versées et des retards de salaire de certains fonctionnaires au Congo…
    @L. Pambou: gardons-nous de nous pousser vers le combat à visage découvert; car l’ennemi en face à son arme de contrattaque qui est très secrète, anonyme presque, que nous savons tous très efficace.. notre combat a besoin de combattants.

  20. mwangou dit :

    @ Tous
    Avant hier soir, à la télé de ce pays, le célèbre procureur passe en direct; son message est le suivant : « A tous les parents, si vous avez des enfants bandits, il faut les encadrer, les surveiller…, car si la police les attrape, c’est tant pis pour eux… ». Ici au Congo, on sait ce que veut dire ce type d’expression; « c’est tant pis pour eux » sans fioriture, pas de prison pour ces bandits; exécution immédiate par la police…
    2 jours seulement auparavant, au pont du Djoué sur la route de Kinkala, le commissaire de l’arrondissement abat de trois de coup de feu, trois jeunes hommes qualifiés de bandits. L’exécution a lieu devant tous les passants. Les cadavres étaient sur le point d’être balancés dans la rivière que des passants interviennent pour dire que ces malheureux méritent quand même quelques égards dès lors qu’ils sont morts…cela se passe la matinée. On rapporte qu’arrivé dans son commissariat à Makélékélé, le fameux commissaire a encore abattu un autre supposé bandit dans l’enceinte du commissariat.; un autre supposé bandit a été exécuté dans sa concession..Ce commissaire porte le surnom de « Dessin Animé ».
    A chacun d’en juger… j’avais le soucis d’informer…

  21. Anonyme dit :

    Monsieur Pambou que j’ai un pseudo ou pas cela est mon problème pas le votre et connaître ma véritable identité n’apportera rien de plus au débat (d’ailleurs anonyme est aussi un pseudo comme la grande majorité utilisés sur ce site).
    Ceci n’a rien à voir avec le fait de se cacher ou pas car moi je ne suis pas dangereux pour mes compatriotes mais vous Monsieur Lucien Pambou vous avancez, bien sur avec votre propre nom, mais sous un camouflage d’intellectuel, économiste, donneur de leçons qui vous rend encore plus pernicieux et dangereux.
    Alors que vous pourriez mettre votre personnalité, vos connaissances et vos réseaux au service de notre pays et de nos compatriotes vous choisissez d’accompagner cette mafia en lissant dans chacun de vos articles ce système corrompu et surtout le premier d’entre eux sassou.
    Vous dites que vous ne faites pas de politique mais en écrivant vos articles condescendants envers ce régime de dictature c’est faire de la politique.
    Pas besoin d’être politique pour voir ou se cache le mal, trop facile de se cacher derrière vos théories pour ne pas prendre partie alors que devant autant d’infamies tout citoyen Congolais quel qu’il soit et surtout ceux comme vous qui avez tous les moyens de vous exprimer devrait se lever et dénoncer cette dictature des plus féroce.

  22. KOO' NGOH dit :

    @ Anonyme,

    Bonjour,
    Mais s’il vous plait, pourquoi directement ne dites-vous pas que le fait d’être anonyme ne change rien dans la nature du combat que l’on mène contre la dictature et l’injustice des nguesso?
    C’est un combat d’idées qui se mène sur la place publique et non un combat d’individus.
    Ce sont ceux qui sont à court d’idées qui toujours ramènent ce combat au niveau d’individus; d’où la nécessité pour eux de savoir ce qu’est un tel ou tel autre, à qui il est affilié, qui sont ses parents, qui sont ses amis, que et qui représente t-il, pourquoi, comment et surtout son point de repère et de logement,… afin qu’ils s’attaquent directement et facilement à son intégrité physique…
    Voila le rôle pour lequel sont mandatés certains nguessoistes ici sur le net, comme ce Monsieur. Vous les reconnaitrez facilement. C’est l’essence de tout le combat des nguessoiste qui aujourd’hui s’attaque à l’intervention libre, juste, démocratique et bien visée de tous contre l’injustice et la dictature. Cela se révèle actuellement pour eux comme une asphyxie.
    Desmond Tutu l’avait clairement bien expliqué et ne peuvent le comprendre que les saines consciences et non les moribondes… Que dans un combat contre l’injustice et l’oppression, tu ne peux être neutre; car si tu l’es, tu renforces l’oppression et l’injustice… Point final.

    KOO’ NGOH

  23. KOO' NGOH dit :

    Sorry…
    SVP, lire: « … C’est l’essence de tout le combat des nguessoiste qui aujourd’hui s’attaquent à l’intervention libre… »
    Merci!

    KOO’ NGOH

  24. Lucien Pambou dit :

    Bonjour à tous,

    Avant le débat d’idées est de retour et c’est mieux ainsi. Il ne vous a pas échappé cher Anonyme que je me suis laissé aller quand j’ai demandé votre identité. Vous avez remarqué que je me suis repris. Etre taxé de nguessoiste ou pas, je peux déployer des tonnes de démonstrations sans arriver à vous démontrer l’inverse. En revanche, je suis sûr sur un point, c’est que le débat intellectuel au Congo commence à poindre et, pour ma part, il est absolument important de mettre en évidence les éléments de contradiction.

    Sur le plan politique, ma théorie, du réseau que je commence à densifier, me permet d’expliquer les contradictions des hommes politiques congolais et leur attitude vis à vis de Sassou. Ils peuvent parfaitement refuser de travailler avec Sassou puisqu’ils estiment que celui-ci est le diable. Or, belle contradiction de leur part, certains, tout en le critiquant, se précipitent et entraînent avec eux dans l’ignorance et la couardise une partie de nos compatriotes congolais qui interviennent sur ce site, ou qui sont membres de la diaspora. J’en veux pour preuve tous les quolibets de certains sur ce site concernant Parfait Kolelas et sur le double jeu que d’autres ont identifié pour expliquer son attitude à la fois d’opposant et de compagnonnage avec Sassou. Pako n’est pas le seul, il y en a d’autres.

    Ce qui m’intéresse, car je n’ai rien contre Monsieur Pako, c’est de l’identifier comme acteur politique du réseau et de décrire dans le réseau sa trajectoire et son positionnement, court ou long, vis à vis de Sassou. Ce type d’analyse permet d’expliquer l’homogamie de réseau et d’expliquer, sciences sociales à l’appui, que l’existence de Sassou est due, comme vous le dites à sa cruauté, à la capacité de sa famille de s’approprier les richesses, mais aussi à la complicité des hommes politiques congolais depuis l’indépendance.

    Sur le plan économique, vous savez tous que l’économique sans le politique n’est rien. On peut faire toutes les propositions de la terre, si les conditions politiques, intellectuelles et structurelles de ces propositions ne sont pas réunies, c’est un coup d’épée dans l’eau. Sassou n’est pas éternel, d’autres personnes vont présider aux destinées du Congo. Si Dieu me donne la vie longue, je continuerai ce travail commençant sur ces réseaux à ma petite place modeste et à partir de laquelle j’essaie de voir comment servir mon pays. Certains d’entre vous parlent du peuple. De quel peuple congolais parlez-vous ? Un peuple uni ? Ou un peuple tribalisé comme certains aiment à le dire sur ce site en parlant des Mbochis, des gens du Pool, bref en « typifiant » le peuple à partir de ses origines ? Méfiez-vous des slogans. On sait ce qu’a donné le slogan marxiste du « tout pour le peuple, rien que pour le peuple » et certains, au nom de ce peuple introuvable, ont commis des assassinats politiques et contribuent à piller les richesses de leur pays Congo pour leur propre confort.

  25. Lucien Pambou dit :

    au lieu de avant ilfaut lire Au moins le débat
    désole

  26. Caporal Mataku dit :

    Il est venu apprendre auprès d’un gros caca africain; c’est pour vous dire que l’odeur de TAKOU est bien puante en Afrique. L’assassin-voleur mbochi est une merde, une ordure, un grand crasseux qui s’ignore. Tout le monde a besoin de lui faire caca dans la gueule.

    (La réciproque est également vraie:
    Une politique sans économie viable aussi, ne vaut rien. Demandez les illuminés en Corée du Nord! Ils vous diront le contraire, bien entendu.)

    ~✓™¶∆°^ Avant-centre monéné ya SOVINCO, yeehhh, biso se milangui eh… ~✓™¶∆°^

  27. Caporal Mataku dit :

    Il est venu apprendre auprès d’un gros caca africain; c’est pour vous dire que l’odeur de TAKOU est bien puante en Afrique. L’assassin-voleur mbochi est une merde, une ordure, un grand crasseux qui s’ignore. Tout le monde a besoin de lui faire caca dans la gueule.

    (La réciproque est également vraie:
    Une politique sans économie viable aussi, ne vaut rien. Demandez aux illuminés en Corée du Nord! Ils vous diront le contraire, bien entendu.)

    ~✓™¶∆°^ Avant-centre monéné ya SOVINCO, yeehhh, biso se milangui eh… ~✓™¶∆°^

  28. Caporal Mataku dit :

    Il est venu apprendre auprès d’un gros caca africain; c’est pour vous dire que l’odeur de TAKOU est bien puante en Afrique. L’assassin-voleur mbochi est une merde, une ordure, un grand fasciste crasseux qui s’ignore. Tout le monde a besoin de lui faire caca dans la gueule.

    (La réciproque est également vraie:
    Une politique sans économie viable aussi, ne vaut rien. Demandez aux illuminés en Corée du Nord! Ils vous diront le contraire, bien entendu.)

    ~✓™¶∆°^ Avant-centre monéné ya SOVINCO, yeehhh, biso se milangui eh… ~✓™¶∆°^

  29. Caporal Mataku dit :

    @WM
    « Navré pour le renvoi; veuillez garder que le tout dernier post ». Merci_

  30. VAL DE NANTES . dit :

    Des morts à KINDAMBA sassouistement RUDICULES ;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;

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