SASSOU DRAPEAUX ROUGE ARRIVEE DE WASHINGTON
Nul n’aurait pu prédire un tel fiasco à Washington à l’occasion du Sommet USA-Africa.
Denis Sassou Nguesso, arrivé sur le sol américain avant les autres présidents et l’ayant quitté en bon dernier, ne pouvait imaginer pareille défaite. Il n’a pas décoléré durant tout son séjour en prenant à témoin tous ceux, non-officiels, qu’il pouvait croiser : »J’étais déjà président du temps de Jimmy Carter, de Ronald Reagan, de George Bush senior, de Bill Clinton et de George Bush junior. Tous m’ont rencontré ! De Giscard d’Estaing à François Hollande en passant par François Mitterrand et Jacques Chirac bien entendu, tous m’ont reçu ! Même le roi d’Espagne et la reine d’Angleterre ainsi que tous les Papes en exercice ! Alors à quoi joue-t-on avec moi, ici à Washington ? «
Pour les proches du dictateur congolais, la colère qui s’était saisie de lui, il y a presque un an à Marbella, lorsqu’il avait appris l’interpellation, par la police parisienne, de Norbert Dabira n’était, sur l’échelle de Richter, que « modérée ». Celle de Washington, après tous les millions de dollars dépensés en lobbyistes et cadeau divers, tenait du séisme « majeur ».
De Brazzaville, de vieux caciques du pouvoir, tous formés à Moscou, proposaient des mesures de représailles pour tenter de calmer le courroux présidentiel. Le pitoyable rassemblement de l’année dernière « Touche pas à mon président ! », orchestrée par le PCT contre la France de François Hollande, n’était certes pas à reproduire. Une manifestation « spontanée » devant l’ambassade des États-Unis a vite été exclue et encore moins une prise d’assaut.
L’homme de Kimongo était cependant déterminé à bien montrer, au demi Kenyan Obama, de quel venin il enduisait ses flèches : l’ancien marxiste, l’anticapitaliste caché (aujourd’hui gavé de milliards de dollars), le cryptocommuniste arthrosé allait retrouver le camp de l’Est ; celui de Moscou, de Pékin et de Pyongyang. Doyen d’âge, il pourrait aisément prendre la tête de ce « clan de dictateurs » au moins à titre honorifique, si l’on peut dire…
Jamais au grand jamais, durant ces trois décennies de pouvoir, un accueil officiel et populaire lui avait été réservé à Brazzaville ; sa débauche de voyages étant plutôt cachée à une population meurtrie. L’humiliation infligée par l’Administration américaine devait être grande ! Que ne fallait-il pas faire pour consoler le « vaincu de Washington ? » Justement, organiser un retour triomphal pour effacer le camouflet….!
Au placard l’emblème tricolore que lui avait imposé la Conférence Nationale ! Il ne voulait plus voir que des drapeaux rouges, chers à son cœur, dès son arrivée.
C’est ainsi que l’on a pu observer, à Brazzaville le 9 août dernier, des centaines, des milliers de drapeaux « colorés du sang des travailleurs (chômeurs) congolais » s’agiter sur son passage. Debout dans son exceptionnelle Maybach blindée qui était venue le ramener de l’aéroport (qui ne porte pas encore son nom) le dictateur, la poitrine gonflée d’orgueil, pouvait enfin évacuer sa colère et son ressentiment… ! Il ne manquait qu’une couronne de lauriers pour célébrer sa Bérézina diplomatique.
Rouge, la couleur était de mise comme au bon vieux temps du « mono » ! À Washington, on comprendra ce que cela signifie ! Le vieux dictateur qui , il n’y a pas si longtemps, montrait patte blanche pour l’effacement de ses dettes, est maintenant prêt à brandir le poignard qu’il tient toujours caché dans son dos.
Mais que Washington se rassure, Denis Sassou Nguesso est loin d’être téméraire avec plus fort que lui et sa spécialité n’est pas le combat loyal.
Le tigre de papier était resté tétanisé lors de l’incursion angolaise inexpliquée de Kimongo.
Pour le moment, rien d’officiel n’a été ni prononcé, ni déclaré. L’autocrate n’est même pas sûr que l’intimidation puisse encore avoir de l’effet sur des Congolais lassés par plus de trois décennies de sa dictature.
Toute cette agitation à laquelle nous assistons est pathétique et seulement destinée à tenter de sauver la face maquillée du vieux dictateur usé. Le système qu’il a mis en place ne saurait résister aux premières mesures de rétorsion s’il venait à déclarer franchement la modification de « sa » Constitution. Les Députés et Sénateurs qui participeraient à ce coup d’Etat constitutionnel risqueraient fort d’être les premiers à en payer les frais (visas suspendus pour eux et leur famille aux USA et sûrement dans l’U.E.), sans parler des blocages de comptes qui ne manqueront pas d’aller avec.
Denis Sassou Nguesso est tout à fait conscient qu’il n’a aucune chance de sortir gagnant de ce bras de fer ; nous en sommes également convaincus !
Rigobert OSSEBI
Diffusé le 15 aout 2014, par www.congo-liberty.org
ADIEU DICTATEUR shassou ngouessô
A chaque chose en son temps, Sassou Nguesso doit d’ors et déjà quitter le trône , avant que le souverain primaire lui détrône.
IL EST TEMPS POUR SASSOU DE PREPARER SES VALISES.S’IL S’ENTETE ,TOUS SES COMPTES SERONT GELES ,ET IL FINIRA TRES MAL COMME BOKASSA.LA RAISON A FINI PAR LE RATTRAPER.PLUS DE MIRACLES A FAIRE ,SA CHUTE S’APPROCHE.
Le vieux Corbeau d’edou doit a present descendre du perchoir car l’entetement n’est pas bon.
Tous ceux qui entourent ce vieux criminal du continent en activite doivent savoir les signes de la fin.Un certain Mobutu,roi autoproclame du Zaire etait reste bouche B.La fripouille d’edou compte des a present ses jours sur le pedestal.A malin,malin et demi
Pourquoi nos gouvernants s’obstinent – ils toujours au vent de l’histoire , surtout lorsqu’il souffle déjà en faveur du peuple .Sassou Nguesso oublie une chose que toute l’Afrique et l’opinion international ont des yeux rivés sur le Congo , plus particulièrement sur sa stratégie machiavélique consistant à orchestrer un exécrable coup d’état constitutionnel.
EN VOYANT LA PHOTO ,LES EXPRESSIONS FACIALES DE SASSOU ET SON EPOUSE INDIQUENT LE DESESPOIR.
Sassou un démon pour les peuples congolaise vous avez reçu …..mbata yabacolo à Washington
Fin de règne très proche pour l’homme des nasses et des actions secrètes. Tous les congolais du nord au sud sont déterminés pour le combat de 2016, tous disent NON au tyran, dictateur, assassin, pilleur de ressources qu’est monsieur Sassou, pardon « ça échoue », l’homme aux projets sans bilans, destructeur de l’unité nationale. Enfin le Congo vivra de son vrai souffle longtemps étouffé par les fétiches et autres mascottes de l’éléphant. Merci Dieu pour la délivrance.
« On peut tromper une partie du peuple tout le temps et tout le peuple une partie du temps, mais on ne peut pas tromper tout le peuple tout le temps. »
Abraham Lincoln – 1809-1865
En lisant cet article, c’est comme si je buvais le petit lait. Ô que c’est délicieux! La peur a changé de camp. Comme on dit à Ibitsi de l’ami sage de Sassou, Issanga Didier, « bâli moutsou»! Le feu brûle!
Au lieu de tirer les leçons de leur séjour washingtonien, voilà qu’ils récidivent avec des menaces sans avoir les moyens de les mettre à execution avec des slognans du genre « baméka Sassou té, ba keba na bango». C’est du bullying, de l’intimidation, de la violence. La violence est l’expression des faibles.
Pour une fois, faîtes honneur à vos géniteurs qui vous avaient envoyés à l’école. Arrêtez d’aller de bêtises en bêtises. Invités à Washington, vous vous comportez comme les maîtres de la maison hôte. Vous prenez la parole avant celui-ci en toute violation des règles protocolaires et de bienséance. Vous voilà revenus à Brazzaville, vous organisez un spectacle rouge vif avec un slogan «baméka sassou té, ba keba na bango».
Non les amis. Il y a un temps pour tout et tout a un temps, dixit l’Écclésiaste. Le temps d’écouter ce que tout le monde vous dit est venu et le temps d’arrêter vos menaces est arrivé. Le chantage et l’argent n’arrivent pas à vaincre tout même si, selon vous, tout Homme a un prix. Si vous croyez qu’avec votre réception rouge vif du 9 août 2014, les congolais et la communauté internationale vont faire dans leurs culottes.Eh bien, une fois encore, vous mentez à vous-mêmes comme depuis toujours. Août 2016 c’est la Sation Terminus.
Si vous croyez qu’avec votre rouge vif, vous allez encore faire couler le sang des innocents, c’est faire une grossière erreur. Les Congolais vous disent «MÊME PAS PEUR»! La communauté internationale a l’oeil sur vous. C’est un combat perdu d’avance car c’est un combat entre un pot de terre et un pot de fer. Il n’y a pas de démocratie à l’africaine ou à l’occidentale. La démocratie repose sur la liberté et l’égalité des citoyens. Or, voilà plus de 17 ans que vous êtes au pouvoir, les Congolais voient leurs droits fondamentaux et libertés bafoués; l’égalité entre eux qu’un vain mot tant ils constatent parmi eux qu’il y a des citoyens de première catégorie i.e. la nomenklatura et des citoyens de seconde zone. La communauté international est arrivée à la même constatation que les congolais.
Ce simple constat evident ne doit pas appeler de votre part des menaces couleur rouge sang comme vous l’avez montré le 9 août 2014 dans tout Brazzaville. Ces menaces sont à l’opposé du discours du 12 août 2014 à travers lequel fut déclaré urbi orbi que la violence, plus jamais! On se doit d’être cohérent et conséquent. On ne peut dire une chose et son contraire en même temps.
Nous les Congolais, du nord au sud, d’est en oust, Ngala, Téké, Kongo, aspirant à la paix. Nous ne voulons pas de la guerre. Si faire la guerre est plus fort que vous, alors rendez-vous à Miconje (Cabinda) pour laver l’affront de Kimongo d’octobre 2013 quand les FAPLA envahirent ce district quand bien même tout le monde sait que les territoires revendiqués par l’Angola étaient les bases arrières de leurs guerillos en sol congolais du temps de leur lutte de libération nationale. Là nous saurons que vous êtes vraiment forts. Dans le cas contraire, vous n’êtes que des bullies qui s’en prennent à plus petits alors que le grand bully Dos Santos ne voulait que de croiser le fer avec vous.
Votre bail court jusqu’en août 2016. En toute dignité et avec tous les honneurs qui vous sont dus, allez-vous en au terme de ce bail. Entretemps, les congolais veulent d’un recensement digne du corps electoral et une vraie commission nationale indépendante pour organiser les prochaines échéances électorales. Ce n’est pas trop demander. Même si vous êtes aux abois et au pied du mur, soyez dignes et fiers de remettre le tablier à ses vrais proprietaries. N’aggravez pas votre cas. Si vous ne le savez peut-être pas, Department of Justice of USA a enquêter sur vos biens mobiliers et immobiliers à travers le monde. Il y a aussi une liste d’individus contre la démocratie au Congo.