Le 1er août dernier à Washington DC, Denis Sassou Nguesso a été l’invité « payant » au prix fort, sans aucun doute, du National Press Club (NPC). La soupe lui a été servie sans la moindre vague par le président du Club, Myron Belkind ; un André Ondélé plus petit, plus gros mais tout aussi caressant dans le sens du poil. Pour ceux qui pouvaient croire qu’au pays du Prix Pulitzer tous les journalistes étaient de grands professionnels, le NPC nous oblige à réfléchir au contraire.
L’autocrate de l’Alima a l’habitude de prendre la parole, et seulement, devant des salles qui lui sont complètement acquises. Il ne courait pas le moindre risque d’entendre le plus petit murmure de désapprobation ou de contradiction. Aucun micro ne circulait dans la salle. Les questions uniquement formulées à la tribune par le André Ondélé local avaient été pesées et soupesées afin que l’instit puisse ânonner une fois encore ses mêmes bobards sur la paix qu’il a apportée au Congo et surtout au Centrafrique. Notre dictateur use de méthodes qui ont fait leurs preuves. Hitler ne disait-il pas : « Un mensonge répété dix fois reste un mensonge; répété dix mille fois il devient une vérité. » ? Ce ne sont pas les Disparus du Beach qui pourront venir le démentir… !
Totalement euphorique tant dans le préambule de présentation que dans « l’interview soviétique» bien plus qu’américaine, il s’est complètement lâché dans les affirmations mensongères : la paix, les infrastructures, l’éducation (100% des enfants congolais scolarisés à la charge de l’Etat jusqu’à 16 ans- Part de l’éducation dans le Budget : 25%), la paix encore la paix, au Congo et au Centrafrique (deux pays dans lesquels il a été intimement lié aux déclenchements des conflits).
Finalement, la question tant attendue (par nous) a été posée. Sassou n’exclut pas de rester en fonction lorsque son second mandat de 7 ans en tant que président prendra fin en 2016. «Le peuple devra décider » par référendum s’il faut changer la constitution de son pays pour permettre plus de deux mandats, a-t-dit. «Je vais laisser le débat se poursuivre et voir où cela nous mène. »
Il a dit aussi que les États-Unis et les autres pays avancés ont besoin d’être «plus réalistes» et «humbles» pour juger les pays africains, dont beaucoup ont été indépendants de la domination européenne depuis seulement 50 ans. Il a fait remarquer que son pays compte quelques 150 partis politiques, et qu’il faudra plus de temps pour les institutions politiques et gouvernementales pour arriver à maturité (on croirait entendre Jacques Chirac disant que les Africains n’étaient pas prêts pour la démocratie). Il a cité faussement modeste des « lueurs d’espoir » dans la lutte contre la pauvreté, l’injustice et l’instabilité dans la région, y compris, et encore une fois, les efforts de son pays pour régler les différends internes et régionaux.
Interrogé sur la récente épidémie du virus Ebola en Afrique, Sassou a déclaré que les pays concernés auront des «efforts draconiens» à fournir pour contenir la maladie, mais que « la communauté internationale doit prêter main-forte. » (Alpha Condé pour sa part et pour la Guinée avait annoncé que l’épidémie avait été maîtrisée chez lui. Il n’a pas le sens inné de Denis 1er pour faire payer les Blancs, lui qui préfère voler avec ses enfants l’argent du peuple plutôt que de construire des installations médicales décentes !)
Mais cerise sur le gâteau, après avoir défendu son gouvernement contre les critiques de son bilan en matière de droits, il a pour terminer fait l’éloge de la liberté de la presse (honteusement absente dans la salle du NPC à Washington) en insistant qu’elle était totale et en ajoutant qu’«il y a une abondance de liberté autant que je peux dire. » Les médias fermés récemment ne le contrediront pas tout comme le Colonel Ntsourou et Ruth Nguina… !
Les Congolais sont des ignares, malgré les 25% du budget consacré à l’Education, qui ignorent qu’ils vivent dans un pays, celui de Denis, béni des Dieux. Un vrai paradis pour eux et pour les futurs investisseurs américains !
Rigobert OSSEBI
Diffusé le 03 août 2014
Le vieux dictateur Sassou Nguesso se compare à Angela Merkel et confond sa dictature avec la démocratie allemande
Les Disparus du Beach…l’horreur absolue…il n’y a pas de manifestation ,en FRANCE de la REPUBLIQUE aux INVALIDES…. , au sujet de ces assassinats?
Le grand problème des dictateurs est leur incompréhension étymologique de ces deux mots:
VERITE et MENSONGE …
Ils ne savent pas ce que veut dire le premier… donc fatalement …ne comprennent pas le second.
La presse américaine n’est plus ce qu’elle était. Quand on pense que le Washington Post a fait tomber un gouvernement (celui de Nixon) je suis tombé de haut quand j’ai vu comment Sassou a été ménagé dans cette conférence de presse. Mais on oublie qu’un Américain (tout comme un Africain) est corruptible. Sassou a réussi l’exploit d’acheter des journalistes américains. L’époque du Watergate est révolue. Aussi l’interview de Sassou c’est du pain béni pour la propagande PCT. Le lendemain, Pierre Ngolo en a fait les gorges chaudes. Télé-Congo passe la vidéo en boucle. Pour reprendre de Gaulle, on peut dire que pour l’instant Sassou a gagné une bataille (médiatique). Mais comme disent les Yankee : « Wait and see ». D’autres conférences de presse l’attendent. On verra s’il va gagner la guerre contre la Démocratie;
TRISTE CONGO!
On peut rever, mais de là à se comparer aux perfomances de MERKEL en allemagne! Je suis de plus en plus convaincu qu’on a affaire à un cinglé!
ALLEMAGNE CONTRE LE CONGO BOSHIOSé? quel stupeur!
On comprend petit à petit les raisons qui ont motivé le despote du Congo Brazzaville de venir à Washington tôt avant le sommet Afrique -USA. Arrivé à Washington une semaine avant le sommet, le dictateur Denis Sassou-Nguesso, qui cherche à convaincre la classe politique et les citoyens américains et à corrompre la presse pour sa soif de mourir au pouvoir a été interviewé par Nicolas Champeaux . Le 1er août , Sassou Nguesso s’est fait invité par corruption au National Press Club (NPC)à Washington DC. Le dictateur Sassou Nguesso a dévoilé sur RFI, sa stratégie diabolique : Il compte encore se cacher derrière le peuple. Il compte organiser un pseudo référendum pour formaliser sa démarche de changer sa constitution afin de justifier sa place au pouvoir après 2016 et après plus de 30 ans de dictature. Au Cour de l’ interview, le despote compare l’incomparable en se comparant maladroitement à Angela Merkel, la chancelière de l’Allemagne. Il ignore pour cela, que » l’Allemagne est une démocratie parlementaire dont le chef du gouvernement « le chancelier » est le chef de la majorité parlementaire. La démocratie parlementaire dans son essence ne peut limiter les mandats exécutifs du chef de la majorité qui peut changer « comme l’écrit Marché total.(http://congo-liberty.com/?p=9744). Le gros analphabète Sassou Nguesso qui torture sa constitution et qui est revenu par un coup d’état sanglant au pouvoir, tout en se mettant sur le champ à se livrer aux massacres dans le sud de Brazzaville et dans le sud du pays et à la disparution des citoyens au Beach de Brazzaville, pour ne prendre que ces exemples, a osé une autre bétise pendant l’interview, en faisant une compaison avec l’ex Premier ministre de Luxembourg Jean-Claude Juncker, qui était resté 18 ans à son poste (1995 – 2013), qu’il a pourtant accepté de quitter, contrairement à lui, le despote du Congo. Le dictateur ignore encore que l’Allemagne et le Luxembourg sont des pays de droits humains, de la justice sociale et le du bien-être de leurs concitoyens, qui ne peuvent souffrir de comparaison avec le Congo. Pays de non droit où le dictateur règne en seigneur et pense qu’il faut changer une fois de plus la constitution pour arriver à un enfin à un sursaut humain et enfin oeuvrer dans l’intérêt du pays pour faire progresser les institutions et la démocratie. Non Sassou Nguesso vous qui règnez par la terreur. Vous qui tiennez absolument jouir de la grande manne pétrolière du Congo pour vous tout seul avec votre famille et votre clique, vous pouvez pas vous comparer à ces démocrates qui ne pouront aucunement rester plus de 20 ans au pouvoir. Les ressources financières du Congo au lieu de servir au déloppement du Congo, au bien fondé de tout le peuple, ne sont là que pour Sassou Nguesso qui s’en sert sans partage et assouvir ses besoins multiples, ses folies immenses ainsi que ceux de sa famille et de sa clique depuis près de 17 ans qu’il est revenu par la force des armes au pouvoir. Les grandes messes de promotion et de soutien à Denis Sassou Nguesso, qui organisées çà et là à coup de centaines de millions et de milliards de francs CFA des caisses de l’état congolais en l’occurence à ce voyage à de plus d’une semaine avec une très forte délégation à Washington necessitent des dépenses énormes. Dépenses qui ne profitent pas du tout au peuple congolais de plus en plus marginé. Les congolais meurent plus en plus de maladies dues aux conditions de vie qui sont de plus en plus dures, au manque d’hygiène et par la malnutruction. Vivre au Congo pour un simple citoyen signifie, survivre, vivre dans l’humiliation dans un pays normalement « un vrai paradis,béni des Dieux ».Sassou Nguesso , assassin des présidents Ngouabi, Massamba-Débat et du cardinal Emile Biayenda puis auteur des guerres, génocides dont ceux de IKONGONO dans la Cuvette lors de la traque de Pierre Anga.des Disparus du Beach, veut à tout prix rester au pouvoir pour échapper à la CPI pour tant de malfaits, tant de tueries,génocides, détournements, vols, viols auxquels lui et son clan se livrent depuis des années. Sassou Nguesso, sa famille et sa clique sont visés par la juriprudence internationale pour les affaires des disparues de Beach, les biens mal acquis.Toutes les forces vives, intelligeances doivent se conjuguer sans faille pour mettre fin à la dictature familiale et clanique de Sassou Nguesso Sassou. Il faut dévoiler abondamment auprès de la presse du monde entier la vérité. Il faut sans cesse au gouvernement des USA. Aux instutions internationales. Il faut manifester au Congo, à Paris, à Washington, à Londres etc.
Il ment comme il vole l’Argent des congolais depuis bientôt 35 Ans car si les Partis au Congo sont au plus au nombre de 150 alors nous aurions eu plus de 2 Millions d’opposants dans les rues de Brazzaville ou à Pointe-Noire.
Laissons le Président Sassou N’guesso continuer à Abîmer le Congo jusqu’à ce que tous Nos Biens soient détruits et Dilapidés. Non, non et Non, il est temps que la famille et le Clan Entier soient interdits de faire la Politique au Congo et de Rester sur Place car ils ont des Réponses à nous donner aux Autorités arrivantes à la Transition Démocratique et il Faut qu’elle se fasse et Librement sans Guerre Fratricide comme Nous Avons si Subi en 1997 et autres Exactions dans les Régions pour Exterminer les Autres qui sont dans l’Opposition. Or aujourd’hui un Opposant ne sera pas un Ennemi mais plutôt un Partenaire afin que la fusion des Idées concourent à la Synergie du Développement de notre Congo Meurtri mais Uni car Nous Sommes Tous que des Congolais.
ViVe le CONGO LIBRE et DÉMOCRATIQUE ! ViVe l’AFRIQUE DÉMOCRATIQUE , LIBRE et UNIE ! NON et NON au Changement de la CONSTITUTION CONGOLAISE !
Je crois que ce monsieur n’est pas normal dans son mental, comparer les institutions Allemandes et Luxembourgeoises à sa monarchie il faut faut être anormal.
Son problème c’est la prison sur toutes ses formes car il est conscient des dégâts causés au peuple congolais du nord au sud plus personne n’est prête a refaire ce geste absurde de lavement des mais après la conférence nationale.
Notre problème c’est le manque de vrais meneurs, l’opposition du ventre est redevable au monarque et donc incapable d’insuffler des actions déstabilisantes au pouvoir.
Mais une chose est sûre , ce monsieur n’aura plus sommeil jusqu’à 2016.
Notre arme c’est d’écrire et écrire toujours car, nous savons que ses sbires lisent tout ce qui est écrit ici
Oui c’est d’écrire et d’écrire encore!!!! Amis congolais….Et pourquoi ne pas tenter une grève générale comme LECH WALESA en son temps!!!…Votre opposition doit être plus incisive et déstabilisatrice …il y a toujours une faille… dans l’armure du tyran…
Chez l’enfant, la notion de partager est vraiment acquise vers l’âge de 9/10ans. C’est d’ailleurs à cette période qu’il acquiert à l’école la capacité à réaliser et réussir l’opération de division.
Si l’on transpose cette analyse aux dictateurs, on peut-en déduire que leur cerveau est resté au stade juvénile?
Pour lui, 100 divisé par 10, il lui reste toujours 100. Exemple: Mobutu (RD-Congo, Ex Zaïre) qui, après 32ans de pouvoir, non de confiscation du pouvoir pleurait comme un enfant lorsqu’il fût destitué par Kabila. Mouamar Kadhafi qui traitait les autres de malade alors que lui-même est resté un « enfant terrible » et la liste est très longue…
La différence avec l’enfant, c’est qu’il est impossible de négocier avec un dictateur, comme si cette empreinte de l’enfance reste figée, fixée en lui.
Un dictateur est comme un terroriste, avec lequel les négociations sont du temps perdu. C’est pourquoi les dictateurs sont le plus souvent chassés du pouvoir par la violence – puisque toute proposition de partage du pouvoir ou de démocratie est réfutée. Sassou Nguesso est un dictateur et mourra dictateur point barre.
A suivre