Photos des travaux en commission des Assises Nationales du Congo-B pour l’Alternance Démocratique

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Discours d’ouverture de Jean-Luc MALEKAT aux ASSISES NATIONALES DU CONGO, le 7 juin 2014 à Paris

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4 réponses à Photos des travaux en commission des Assises Nationales du Congo-B pour l’Alternance Démocratique

  1. Anonyme dit :

    PHILOSOPHIE !
    Le Congo Brazzaville n’appartient pas au tyran Sassou Nguesso et à son clan au pouvoir qui, depuis la nuit des temps confisque la souveraineté d’un peuple épris de valeurs de liberté.
    Quoique depuis l’arrivée des nouvelles synthèses numériques planétaires ; le peuple souverain congolais qui, peu à peu se réveille du traumatisme tyrannique occasionné par la dictature la plus cynique de l’Afrique de ce début du XXIè siècle… A suivre de 2014 à 2016 quelque part au Congo Brazzaville.

    Mardi 10 juin 2014: clôture aujourd’hui à partir de 18h des premières Assises Nationales pour l’Alternance démocratique au Congo.
    C’est un jour mémorable 23 ans après la fin de la Conférence Nationale Souveraine. Il nous revient aujourd’hui de poser des nouvelles bases d’une vraie société démocratique dans notre pays.

    Nouvelles synthèses et société: coordonnation du Collectif Sauvons le Congo Brazzaville !
    POUR UNE PAIX DURABLE AU CONGO BRAZZAVILLE – ET POUR LA RÉSOLUTION DE LA CRISE CENTRAFRIQUE ET LA PAIX DANS LA SOUS RÉGION D’AFRIQUE CENTRALE OU ÉQUATORIALE – REJOIGNEZ DES MAINTENANT, LA RÉSISTANCE CONGOLAISE A TRAVERS SES FORCES DE RÉSISTANCE INTÉRIEUR ET EXTÉRIEUR.

    Seules les institutions fortes et l’alternance politique démocratique pourront garantir la paix et la sécurité fiable et durable aux investisseurs et partenaires économiques du Congo Brazzaville.

  2. Anonyme dit :

    Pourquoi la plus grande mosquée d’Afrique en terre chrétienne et animiste ?

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    Catégorie : Sample Data-Articles Date de publication Écrit par Lu pour vous Affichages : 77 ..

    Tribune libre

    Le Congo s’enorgueillit, déjà en cours de réalisation, parait-il, du projet de construction, à Brazzaville, de la plus grande mosquée d’Afrique. Que le Sénégal et Dakar, le Maroc et Rabat, l’Algérie et Alger, la Tunisie et Tunis, le Mali et Bamoko, l’Egypte et le Caire, le Soudan et Khartoum, la Mauritanie et Nouakchott, à la limite, le Tchad et Ndjamena se parent d’un tel bijou, on pourrait le comprendre, puisque tous ces pays sont de confession musulmane, à près de 99%, pour certains d’entre eux.

    Mais que, de tradition chrétienne, depuis plus d’un siècle, et par-dessous le christianisme, un animisme vivace, le Congo, soudain, consente que, sur son sol, soit élevé à l’Islam auquel le plus gros de sa population s’est jusqu’ici gardé d’adhérer, un habitacle de telles dimensions, est, pour nous, une belle énigme et un sujet d’étonnement.

    Par fanfaronnade, comme il y a quelques décennies, au virage de 1970, il se piqua d’orgueil d’être le premier parti marxiste en Afrique ? Ou par calcul commercial et marchand : faire de Brazzaville, la Mecque de l’Afrique où afflueraient en pèlerinage, les musulmans de toute l’Afrique noire, avec, en perspective, des retombées économiques mirifiques pour le Congo qui roule déjà sous le poids des milliers de milliards du pétrole ? L’argent, c’est bien connu, appelle l’argent !

    Or, à la place d’une chose qui ne serait pas sans intérêt pour Al Qaïda et tous les fous de Dieu, le petit peuple famélique des bidonvilles crasseux et malodorants des «Brazzavilles noires» aurait voulu des hôpitaux modernes et des structures d’éducation modernes aussi, les tremplins d’où, toujours, s’élance un peuple pour sonner aux portes du futur, conformément aux exigences du corps et de l’esprit. Mais qui ignore, à moins d’être bien distrait, bien imprudent et médiocrement patriote qu’une telle mosquée serait juste le lieu où des centaines d’imams peu soucieux de l’avenir de notre pays, inculqueraient à des milliers d’adolescents congolais, les préceptes d’un islam de vulgate qui n’a jamais élevé la conscience citoyenne de personne? Qui fait se jeter les uns sur les autres des peuples entiers, au nom de la foi, comme en Occident, au Moyen-Age, quand l’Eglise faisait brûler sur des buchers hérétiques et sorciers, traquait les païens? Qu’on nous montre les cohortes des savants nègres sortant de Tombouctou pour éclairer l’Afrique de leurs immenses connaissances scientifiques.

    Existe-il un seul «ancien» de Tombouctou, et nègre noir, de la stature intellectuelle d’un Ibn-Battuta ou d’un lbn-Khaldun, son homonyme, blancs et arabes, tous deux du Maroc et de la Tunisie, dans le Maghreb voisin? Or, à Tombouctou, les nègres qui y étaient admis, étaient juste islamisés à fin que, esclaves, ils fussent d’une totale soumission à leurs maîtres arabes et blancs. Lorsqu’on est nègre bon teint, on frémit d’horreur et de honte à la pensée qu’aujourd’hui encore, des Mauritaniens blancs règnent sur des troupeaux d’esclaves nègres.

    Dominique
    NGOIE-NGALLA

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