MINGWA BIANGO ET CONGO-LIBERTY A LA RENCONTRE DE LA DIASPORA CONGOLAISE AUX ETATS-UNIS DU 10-15 OCTOBRE 2019 (NEW-YORK, WASHINGTON DC, RALEIGH / CARY)

Dans le cadre de la convergence des luttes des Diasporas du Congo-Brazzaville pour la restauration de la Démocratie et des Droits de l’Homme, Mingwa BIANGO et congo-liberty.org, viennent à la rencontre des Congolais résidents  aux Etats-Unis d’Amérique.

La Diaspora congolaise des USA est l’une des plus dynamiques et pragmatiques. Le Renouveau du Congo-Brazzaville ne pourra se passer de son expertise.

De nombreux rapports alarmants sur la situation économique et financière des Organisations internationales  ( Banque Mondiale, FMI) et des ONG ( Transparency Internationale, Global Witness, Public Eye, OCDH) sur les violations des droits humains et de la liberté de la Presse, mais aussi sur la corruption, les détournements de fonds publics et le pillage des richesses nationales, ont pris le relais des incessantes alertes que nous avons lancées sur la faillite totale et la déliquescence de notre pays.

Les Défis de la reconstruction du Congo-Brazzaville sont connus et les citoyens congolais que nous sommes, ne pouvons pas nous permettre l’économie de la réflexion pour ébaucher des approches de solutions. Ne pas le faire serait une faute grave car l’après Sassou-NGuesso se prépare aujourd’hui !

C’est pourquoi, nous invitons toutes les Congolaises et les Congolais à la construction d’un Projet pour y répondre  dans le cadre d’une TRANSITION POLITIQUE ET PACIFIQUE… ; faute de quoi, notre seul avenir sera la GUERRE !

THÈME : L’IMPÉRATIF D’UNE TRANSITION POLITIQUE AU CONGO-BRAZZAVILLE

                   Inscription et Renseignements : [email protected]

Téléphone : +336 99 43 32 46

INTERVIEW  

(Modalités et réservation avant le 07 octobre 2019)

Programme des rencontres avec la diaspora du Congo-Brazzaville aux USA

– RALEIGH / CARY (NORTH CAROLINA)

Date : Vendredi 11 octobre 2019

Lieu : SHERATON RALEIGH HOTEL

421 South Salisbury street-Raleih North Carolina 27601 USA

– WASHINGTON DC

Date : Dimanche 13 octobre 2019

Lieu : SHERATON PENTAGON CITY HOTEL

900 South orme street , Arlington Virgine 22204 USA

– NEW-YORK / NEW JERSEY

Date : Mardi 15 octobre 2019

Lieu : HILTON NEW YORK HOTEL MIDTOWN

1335 Avenue of Americas, New York, NY, 10019 USA

CONTACT : [email protected] ; Téléphone : +336 99 43 32 46

TOGETHER FOR PEACE, JUSTICE AND DEMOCRACY

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GRAND DÉBAT SUR LA TRANSITION POLITIQUE ET PACIFIQUE – SAMEDI 26 OCTOBRE 2019 À PARIS 14H00-20H00( Places limitées )

Inscription obligatoire : [email protected]

Téléphone : +336 99 43 32 46

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12 réponses à MINGWA BIANGO ET CONGO-LIBERTY A LA RENCONTRE DE LA DIASPORA CONGOLAISE AUX ETATS-UNIS DU 10-15 OCTOBRE 2019 (NEW-YORK, WASHINGTON DC, RALEIGH / CARY)

  1. PAS DE CLEMENCE POUR LES SASSOU ! Mgr KOMBO EN SAIT QUELQUE CHOSE dit :

    Transition pacifique de mon œil ouais, et mon C……L, c’est du gâteau ?

    La seule transition pacifique qui tienne c’est l’élimination de Mr « TOUTES LES GUERRES ET ASSASSINATS » le nommé Sassou Nguesso.

    Tant que le champion du monde de l’extermination des Poolistes ne sera pas mis sous éteignoir, les mêmes causes produiront les mêmes effets.

    Ne refaites pas la même erreur que Mgr KOMBO.

    Tant que sassou nguesso ne sera pas neutraliser, évincer et même éliminer physiquement, votre « PACIFISME » restera une chimère.

    NE VOUS LEURRER PAS !

    Avec tous les milliards qu’ils ont volé, les Sassou père ou fils reviendront sous forte escouade de mercenaires massacrés les paisibles Congolais pour reprendre le pouvoir.

    CES ASSASSINS ne méritent aucune clémence. SINON, nous revivrons d’autres guerres.

    A bon entendeur ….. !

  2. MINGWA BIANGO dit :

    Cher Internaute (Pas de clémence…),

    Où avez-vous lu dans ce texte que les assassins que vous citez seront exonérés par la Justice ?
    Pourquoi et sur quelle base définissez-vous la Transition pacifique comme une absolution des crimes ?
    Apprenons à poser des questions pour avoir plus d’infos, qui vous permettrons ensuite de tirer une conclusion .
    Le projet est à construire et toutes les propositions sont les bienvenues. Je considère que votre post est une contribution au débat.
    Je vous prie cher internaute de me faire parvenir le cas échéant vos doléances par mail, si vous le souhaitez.
    Bien à vous.

  3. ZERO CLEMENCE dit :

    Mr MINGWA BIANGO,

    Merci pour votre réponse édifiante.

    Des propositions, j’en ai et je vous les adresserai par mail personnalisé.

    Encore merci pour votre compréhension et pour tout le travail que vous faites.

  4. Pascal Malanda dit :

    Félicitations, frangin, pour cette noble initiative !!!

    Il est grand temps de faire bouger les lignes et de sortir de nos petites chapelles.
    C’est ensemble que nous reconstruirons le Congo, notre pays meurtri. Pour cela, il nous
    faut un large rassemblement de toutes les forces du progrès dans le pays et dans la diaspora.
    Et comme tu le dis si bien, la contribution de chacun est la bienvenue.
    Comme tu le sais, tu as mon soutien total.

    Chapeau bas, frangin !

  5. ALERTE GÉNÉRALE dit :

    24/09, SASSOULAND NEWS: AFFAIRES SASSOU NGUESSO, FLORENT TSIBA, ROBERT DABIRA, BLAISE NZONZA… https://www.youtube.com/watch?v=ay4nNY21vf0&feature=youtu.be

  6. MADÉDÉ dit :

    J’encourage la tenue de ce grand débat sur la transition politique pacifique. Je dirais que ce sera le rdv des démocrates que nous sommes. Malheureusement, J’ai pu constater que ceux qui mènent le combat avec nous dans la diaspora ne sont pas tous démocrates. C’est pour cela que nous n’arrivons jamais à nous comprendre. Il est temps que les vrais démocrates se rejoignent pour mettre en place des stratégies réalistes et faisables pour la libération de notre cher pays le Congo.
    Merci MINGWA BIANCO pour l’initiative. J’y serais. Réservez moi une place.
    Charles MADÉDÉ.

  7. MINGWA BIANGO À CHARLES MADEDE dit :

    Cher frère Charles Madede,
    Je te témoigne toute mon estime car tu es l’un des rares membres de la diaspora qui a exposé sa vision politique dans un ouvrage » Osons le Congo ». On peut ne pas être d’accord avec toi, mais rien que pour cette démarche intellectuelle, tu as toute mon admiration.
    Je t’envoie l’invitation et comme tu le sais, le Travail à faire sur la Transition est une tâche collective.
    Je communiquerai sur le peogramme de la journée du samedi 26 octobre, dès notre retour des USA.
    À bientôt.

  8. Iwarangot dit :

    Félicitations cher Mingwa, tu es resté constant, soucieux de l’avenir de ton pays, c’est une attitude noble. C’est rare de voir un média tenu par un congolais qui reste constant, résistant ou échappant aux nguiris trébuchants du tyran qui scrute l’horizon à longueur de journée pour chercher les éventuels preneurs de son argent sale et maudit. Il sème la corruption à tout vent.
    Félicitations encore, cher digne fils du Congo.

  9. David Londi dit :

    Il est clair que la phase de transition doit être pensée avec la plus grande attention parce qu’elle devenir le terreau d’une nouvelle dictature après l’euphorie de la désintégration du système. Ne l’avons-nous pas vécu après l’euphorie de la Conférence Nationale. De toutes les façons, l’on ne peut échapper au tryptique : Désintégration, Transition avec l’installation de la nouvelle constitution et institutions et la restauration de la démocratie. Dès le J+1, le pays doit se trouver dans une situation de continuité des institutions par l’installation d’un Conseil national qui va, momentanément pendant la durée de la transition, remplacer les 2 chambres : assemblée nationale et sénat. Il désignera un gouvernement national de Transition agissant sur le principe de la collégialité. Le Conseil national de Transition animera les travaux sur la nouvelle constitution pour la 3ème République après celles de 1960 et 1992 en considérant que toutes les autres Républiques n’ont été que des parenthèses et des dictatures.
    Il faudra réformer l’armée en armée de Conscrits avec des activités de réservistes jusqu’à 60 ans. Tout citoyen doit être capable de défendre la Nation contre un éventuel envahisseur. Elle doit être au service de la Diplomatie, tournée vers l’extérieur et pouvant intervenir à l’intérieur en cas de catastrophes naturelles, par exemple.
    Le Gouvernement de Transition doit fonctionner sous forme de commissions expédiant les affaires courantes et préparant les différents services publics de la future République : Éducation, Santé, Agriculture, Écologie, Industrie, NTIC, etc.
    Il faut instaurer une Justice indépendante dont les magistrats seront élus par les populations auxquelles ils devront rendre des comptes.
    Il est nécessaire d’installer une Cour des Comptes disposant d’un droit de véto qui surveille la bonne gouvernance des services publics et para-publics.
    Il faut supprimer l’élection du président au suffrage universel direct dans un pays où le vote est très orienté vers l’éthnie, situation qui alimente le clientélisme éthnique sur lequel prospèrent les partis politiques actuels.
    Il faut lancer l’enseignement des langues nationales (Kikongo et Lingala) dans le premier et deuxième cycle pour commencer à mettre en place les conditions de la création d’une Nation, promesse non tenue depuis 60 ans.

  10. Golden eye dit :

    @ Migwa BIANGO :

    Je te réitère mon soutien dans ta démarche ! Il est rare de voir un média tenu par un de nos compatriote qui reste CONSTANT & RÉSISTANT contre le système fossoyeur qui a médiocrement phagocyté le pays ! Congratulations & the struggle continues…

    FREEDOM of our HOMELAND

    King best Regards !

  11. COMBIEN IRONT CHEZ SASSOU LA NUIT PENDANT L'ENTERREMENT DE CHIRAC ? dit :

    @Iwarangot et @Golden eye = TOTALE VALIDATION

    Et vraiment soutien indéfectible à MINGWA BIANGO pour tout le travail qu’il fait et sa ligne morale d’une DROITURE EXEMPLAIRE.

    Oui les médias qui succombent à l’appel des nguiris sataniques de sassou nguembo (vampire) sont légions sur la toile.

    Entre les ZM qui passent leur temps à nous abreuver des soi-disant « mérites » d’Innocent PEYA ventant les visions lugubres écologiques de sassou nguembo et donc ZM faisant directement l’apologie se sassou…. on comprend que la moralité de ce média à reçu un coup de semence satanique dans le derche. (Je n’ai cité personne… mais qui se sent morveux se mouche).

    Après les ZM, il y’a le Lion de Matakou et tout son cite vu au Bristol entrain de quémander quelques billets maculés du sang des congolais au monstre d’Oyo.

    Rien ne m’étonnerait qu’un certain L NZOBA rejoigne bientôt Henri-Baise NZONZA comme soutien de Kiki Angwalima Sassoupe.

    N’oublions pas de nombreux faux intellectuels se pavanant avec leurs diplômes sous les bras pour se faire peloter le Q par sassou, parmi lesquels des ingénieurs de cacamouécaca, les Docteurs à la même coiffe que le Hitler congolais, les Marcel Maconnerie ou Makomé, les Andréas NGOMBET et les MBouta Mountou ya zoba….

    Cela fait un bon paquet de traîtres.

  12. Toungamani dit :

    Bravo Mingwa pour avoir mis en ligne une problématique que beaucoup de congolais du nord comme du sud avons dans un coin de notre cerveau.
    Notre nation est dans le ravin, n’en parlons plus. Les solutions électoralistes et dialoguistes ne servant juste qu’à prolonger la vie du système OBUMITRIQUE dans lequel nous sommes plongés depuis des décennies. Sans un changement systémique, nous ne nous en sortirons jamais. Sans un véritable mouvement populaire qui organisera une pression permanente sur les gouvernants et sans un véritable projet national, tout projet ethniciste ne nous conduira que droit dans le mur. Le régime de Pascal Lissouba (pourtant élu démocratiquement) en a fait la triste expérience.
    Est-ce un hasard si la seule période faste de notre pays avait été celle où nous mettrions sur pied les embryons d’un projet national (celle des années 63) ? Elle ne l’aura pas été par la seule claire voyance du président Massamba débat.
    La CNS de 1990 avait comme véritable but de mettre en route ce mouvement populaire de pression. Malheureusement, nous avions oublié quelques principes élémentaires qui guident toute évolution sociale : ON NE FAIT PAS LA REVOLUTION ENTRE QUATRE MURS sans les populations.
    OUI nous aurions dû installer une TRANSITION plus longue (4 à 5 ans) avec un carnet de route plus ambitieux.
    OUI les responsables de cette transition n’auraient pas eu le droit de se présenter aux futures élections.
    OUI les responsables DIRECTS des crimes économiques et de sang auraient dus être indexés et punis (ce qui atténuerait dans le pays le phénomène du vol, de la corruption et de l’impunité généralisée qui représentent une véritable contagion particulièrement pour la classe politique).
    OUI nous aurions pu mettre au point une stratégie pour une main mise plus profitable sur le pétrole et autres ressources naturelles, certains pays comme l’Algérie, la Lybie, le Venezuela (et bien d’autres de la même dimension que nous) l’ont pu, pourquoi pas nous.
    OUI nous aurions organisé le colloque à l’armée pour que cette CHOSE ETNOCENTRIQUE AUJOURD’HUI ne soit pas au service des régimes politiques (tribalistes de surcroit) mais devienne un instrument REPUBLICAIN au service de sa population.
    OUI nous aurions pu songer à une nouvelle organisation plus adaptée des institutions de notre pays (J’en profite pour faire remarquer pour le futur que le fédéralisme n’est pas la seule possibilité)
    OUI nous aurions pu caractériser l’ethnocentrisme comme un délit au même titre que le racisme.
    Tout ceci pour dire que la transition SANS SASSOU est un passage obligé quel que soit la manière militaire ou soulèvement populaire par lequel nous chasserons le dictateur. A ceux qui pensent que nous mettons la charrue avant les bœufs, nous répondons simplement que le DEPART DE SASSOU ET LE PROBLEMATIQUE DE LA TRASITION sont deux problèmes indissociables.
    La transition telle que nous la proposons avec la mise en place du projet national est le seul moyen de rencontre du NORD et du SUD, de tous les déshérités, des congolais d’Exodus en rencontre avec la résistance interne pour un avenir fécond de notre pays.
    Toungamani Benjamin
    Militant contre la corruption et l’impunité

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