Bureau Assises Nationales du Congo USA

Le Coordonnateur  Jean-Luc Malekat et Jean-Benoît Dzaba et SEM. Dieudonné Antoine Ganga à sa droite et ean-Benoît Dzaba à gauche entourés des membres des Assises des USA

Le Coordonnateur Jean-Luc Malekat  et SEM. Dieudonné Antoine Ganga à sa droite et ean-Benoît Dzaba à gauche entourés des membres des Assises des USA

MIABEY Hervé TEYLEMA Coordonnateur National

Professeur de Mathématiques Université HOWARD University Washington

MABEKO TALI Jean Michel, Président de la Commission Evaluation et Ethique

Professeur Histoire HOWARD University Washington

Membres du Bureau :

Backoulas Jean Alain, Antoine- Ganga Dieudonné, Mamboundy Guy Hervé , Malembanie Neuvic Kalmar, Kiedi Cosmos, Heba Judicael, Moundzika Jean Médard, Boudoua Alain R., Bakima Baliele Mathieu, N’Gouemo Prosper, Massamba Guy Maurille ,Itoula Princi

JEAN-LUC MALEKAT en séjour de travail aux Etats-Unis d’Amérique

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28 réponses à Bureau Assises Nationales du Congo USA

  1. Qu’est-ce que c’est beau la marche des vainqueurs ! Courage.

  2. Pierre Molasso dit :

    1er tour:
    La rue 1- Kabila 0, après plusieurs dizaines de morts.

    Croisons les doigts sur le 2e tour et exerçons nous pour notre entrée en compétition, d’ici 2016, à Brazza.

  3. Le Juge dit :

    Sans verser dans l’invective, je n’ai aucune confiance à Mabeko Jean Michel. Après le coup d’état de sassou, ce monsieur avait été nomm conseiller culturel à l’ambassade du Congo à Luanda. En plus, ce monsieur est un anti-kongo comme la majorité des gens du pct. Son tribalisme, il est allé même à l’écrire dans des livres. Il n’aime pas les kongo, qu’ils soient de l’Angola, du Zaire ou du Congo.

    Lisez son dernier livre et vous vous rendrez compte de la dangerosité de ce personnage, qui par son histoire personne, adopté par le camarade Lucio Lara, le devrait porter à l’ouverture vers autrui.

    Je crains qu’avec des gens comme Mabeko, sassou ait un pied dans la bergerie.i.e une taupe qui le renseignera de tout ce que fait les Assises aux USA.

    Sans rancunes.

  4. Mon frère Dieudonné nganga, que ce que Itoua et Mabeko viennent chercher dans les assises du congo? Non arrêtons d’êtres naïfs ! Surtout arrêtons avec l’angélisme regardons la réalité en face ! Même l’égyptologue ngala soutiens sassou dans sa démolition du sud congo! Tous les ngalas même intellos vénairent sassou !!! Sassou est à plus de cent milles assassinats des sudistes à cela il faut ajouter le pétrole qui profitent au bien être des ngalas !!! Certes la sincérité de Malekat m’interpelle mais il est tout seul .

  5. YOKA NGUENDI dit :

    Donc les Assises c’est une affaire des sudistes alors? Ok on vous attend ici sur le terrain. Venez prendre le pouvoir.

  6. Leo dit :

    Jean Michel Mabeko membre du bureau Assises Nationales du Congo aux USA? Non „le Congo ne doit pas continuer“ d’être trahi et enterer par des Congolais en rupture de convictions politiques profondes.“ Comme l’a déjà écrit Juge,il faut à tout prix tenir „compte de la dangerosité de ce personnage“. Jean Michel Tali Mabeko connu par son tribalisme, doit être écarté du bureau et des traveaux d’Assises Nationales du Congo. „Après le coup d’état de sassou, ce monsieur avait été nommé conseiller culturel à l’ambassade du Congo à Luanda.Outres cela, Jean Michel Tali Mabeko est un anti-kongo comme la majorité des gens du pct.“Comme l’a déjà écrit Leo, les hommes politiques qui ont déjà brillé par les qualités qui abaissent, telles, la haine, l’orgueil, l’intolérance, le tribalisme,corruption, enrichissement illicite, crimes de sang, abus des biens sociaux doivent être interdites de vie politique ou occuper des fonctions à la tête des institutions de la république et de tous les secteurs d’activités publiques » .

  7. Iloki-bitemo dit :

    Trés heureux de vous savoir mobilisés comme un seul homme aux States dans ce combat contre l’injustice ;la barbarie;la mediocrité;;contre tous ces maux qui ont detruits notre pays ,dans ses fondamentaux;dans son ame
    Le soleil se leve mes fresres ;que votre union soit sacrée pour que Sassou et tous ses acolytes dégagent à jamais
    JUSTICE sera rendu bientot
    felicitations ;encouragement et soutien

  8. BALOSSA Jean Francois dit :

    A LE JUGE,
    Merci infiniment. Nous découvrons tout le monde. C’est malheureusement le probleme avec nos frères du Nord Congo. Pour eux SASSOU reste l’incontournable. Sud Congo, ne nous trompons pas; il y va de notre Existence même. MALEKAT a lui tout seul ne fera pas le poids devant la charge pondérale du Nord Congo qui lui fera pression pour revenir au sérail.
    Le véritable Opposant a SASSOU c’est cher Aîné Modeste BOUKADIA dont les mains sont propres vis a vis des saletés du Congo.
    Nous voulons la Paix naturelle au Sud Congo, et non celle imposée par la présence des militaires sauvages, mal élevés, et violeurs, qui empêchent les Mamans de vaquer a leurs travaux champêtre.
    Qu’on nous comprenne au moins pour une fois depuis l’Indépendance: Nous voulons la Scission avec l’Etablissement du Sud Congo comme Etat. C’est pourtant facile a comprendre! regardez en combien de temps on a refait la maison de MIERASSA après qu’elle ait subit les rafles du mois passé, et qui a donné l’argent? Le PCT. Le jour opposant la nuit frère du Nord Congo. Toujours la fourberie avec les gens au-dessus de la Lefini.

  9. teobola dit :

    je vais utiliser un langage agricole. Avant de faire pousser un produit, le sol doit subir diverses opérations qui consistent à préparer la terre avant de planter quoi que ce soit. Il en faut de même sur le champ politique congolais. Une véritable opération de sarclage est nécessaire dans le champ politique congolais pour éliminer les mauvaises herbes. Si cette opération n’est pas réalisé le congo ne s’en sortira pas. C’est ce qui est en train de se préparer au congo. Tous les anciens vont bientôt se réunir pour se partager le gâteau. Et rien de bon ne sortira de cette rencontre ou de ce dialogue qui se profile à l’horizon. Car ces gens là vont tenter de mettre une couche de terre sur le sol sans éliminer les détritus. Or tout le monde sait que ce n’est pas de cette façon qu’on prépare un sol sur lequel on a envie de faire pousser de bonnes plantes afin d’obtenir une bonne récolte. Tous les anciens sont réveillés. Au congo, si vous voyez que les Bokamba yangouma et les autres de cette dimension redeviennent très actifs, c’est qu’il se.prépare un coup foireux. Chers amis, le dialogue qui se prépare au congo est une retrouvaille des loups, les quelques nouveaux qui vont y prendre part vont faire doubler lamentablement. Ce n’est qu’une rencontre et des anciens et des nouveaux du PCT et d es Maçons. GARE OUVREZ LES YEUX Le PCT est à la manœuvre pour détourner le besoin de changement véritable que souhaite les Congolais.
    Walimeya

  10. Mfoa dit :

    ARRETONS D’ÊTRE HYPICRITES ET SOYONS COYRAGEUX!!!

    Le congo n’a pas de partis politiques qui œuvrent pour l’intérêt suprême du pays.

    Nous avons des partis etnicisés et donc tribalistes (pct, mcddi, upads, rdps, udr,…).
    Les congolais sont tribalistes à 90%, car ils votent pour ces partis tribalistes qui protègent des intérêts ethniques.

    Les congolais sont à 90% complices des crimes commis par ces partis tribalistes qui ont disposé des cobras, front 400, ninjas et leurs unités, les zoulous, mambas, cocoyes, aubevillois… En honorant des criminels comme anicet pandou dit willy matsanga…

    Les congolais ont une aversion pour la justice car les partis tribalistes assassins ne sont pas interdits et les criminels sont présidents, ministres, députés, maires… Les morel, okombi, sassou se portent bien et vous saluent bien…

    Que chaque congolais prenne sa responsabilité, au lieu de venir se plaindre sur Congo Liberty avec des relents tribalistes enveloppés dans des draps de bonne conscience.

  11. Mfoa dit :

    Je voulais dire: NE SOYONS PAS HYPOCRITES…

  12. Prudence MAKOTINIAOU dit :

    Bravo, j’attends la prochaine photo en direct de Brazza, à la rencontre de la population.

  13. OMBANGA dit :

    ASSISES DE MON C… OUI ON VOUS ATTEND ICI. VOUS CROYEZ NOUS SOMMES EN 1992 … ON VOUS ATTEND DE PIEDS FERMES! AVEC VOS AVOCATS NOURRIS ET FINANCES PAR NTSOUROU.

  14. HA YAYA! dit :

    Dans ce combat que nous avons à mener contre la confiscation du pouvoir, nous avons besoin, au sein de la diaspora, des hommes courageux comme le Général Babin, capable de porter des coups aux collabos qui croisent son chemin à l’étranger.

  15. Le Juge dit :

    Non frangin Mfoa, me concernant, je n’ai jamais été, je ne suis pas et ne serai jamais tribaliste ou ethniciste. En que SCKN, i.e. Du Kouilou-Niari, psychologiquement, je suis derrière notre aîné Jean Luc Malekat, qui est la Likouala. C’est un homme propre et épris de son pays sans maquillage ethnique. Si demain, il décidait de briguer la présidence avec ses amis politiques des Assises, je battrai compagne pour lui dans la région SCKN pour convaincre les miens de voter pour lui, pas seulement pour ce qu’il incarne comme idéal national, mais au nom de l’unité nationale afin de montrer aux ethnicistes du pct que c’est eux en tant qu’elle Obumitri qui oppose les congolais depuis juillet 1969 avec leur idée du pouvoir doit rester au nord du pays. Ce faisant aucun sudiste ne pourrait reprendre le pouvoir tel que le stipulait leur pacte conclus sur le sang de Ngouabi qu’ils tuèrent parce que celui-ci ne partageait pas leur idéal ethniciste.

    Quand vous dites que les congolais sont à 90% tribalistes, je te laisse maître de tes propos. Toutefois, je sais qu’il n’y a jamais eu de conflits interethniques au Congo comme nous le voyant aux deux Soudan ou dans la RDC voisine. Le tribalisme, au Congo, est une invention politique, notamment de ceux qui tuèrent les présidents Ngouabi et Massambat Debat. Ces assassins inventèrent et appliquèrent la théorie de la lutte des tribu-classes en remplacement de la lutte des classes théorisée par Karl Max et Engels.

    De mémoire de congolais, l’ethnicisme ne s’etait jamais bien porté qu’au moment où les assassins des deux présidents suscités etaient aux commandes des destinées du Congo. Je vous renvoie au discours du cretinissimo nguesso de mai 1999 à Mikalou où il appelait les gens du nord à lui donner leurs enfants comme chairs à canons. Il y a aussi se référer au dîner de cons entre ngolo le nain et ngakala au domicile du premier où ils bouffèrent du lari-kongo.

    Du temps de Youlou, Massambat Debat et Lissouba, toutes les ethnies etaient représentées dans l’administration publique et le gouvernement. Avec le cretinissimo nguesso, il n’y avait que pour son ethnie extra minoritaire. Sur les 75 membres du comité central du pct, du temps du monopartisme, plus de 60% des membres etaient des mbossi. Les kongo et teke se comptaient sur les bouts des doigts; il n’y avait aucun membre venant du Niari. Allez-y comprendre tout ça.

    Pourquoi le pct du cretinissimo sassou etait incapable ce que Youlou, Massambat Debat et Lissouba avaient fait? Pour ton information, Ebadep et Mokoko etaient CEMG sous Massambat Debat et Lissouba. À quand elle des CEMG kongo ou teke sous le pct du cretinissimo nguesso? Dans les gouvernements de ce cretinissimo, plus de 80% des membres proviennent du septentrion, et plus de la moitié des environs du village de pêcheurs d’Oyo.

    Cher Mfoa, avant de mettre tout le monde dans le même panier des crabes, il faut situer les responsabilités dans l’avènement de cet ebola du tribalisme. C’est trop facile de parler de ceci, de cela; tout le monde à tout faux. Non. Ce n’est pas rendre justice aux générations futures. Ce n’est pas œuvrer à la réconciliation nationale postdictature. Pour qu’il y ait réconciliation, la justice doit être rendue en pointant les responsabilités des parties. Et là, le cretinissimo et son fan club sont les principaux responsables de l’incrustation de l’ethnicisme dans les mœurs socio-politiques congolaises, et ce non pas pour le bien de leurs chairs à canons, mais de celui de leurs familles.

  16. HBA dit :

    Je suis étudiante en thèse à Paris I, travaillant notamment sur la vie politique congolaise depuis l’indépendance, raison pour laquelle, je lis avec assiduité les débats sur les sites congolais. Et si j’interviens ici c’est uniquement pour marquer ma surprise face aux accusations faites contre l’ouvrage de M. Jean-Michel Mabeko Tali intitulé , Barbares et Citoyens – L’identité nationale à l’épreuve des Transitions Africaines – Congo-Brazzaville, Angola. Paris, L’Harmattan, 2005, ouvrage que j’ai lu et relu dans la cadre de mes recherches doctorales.
    J’avais d’abord pris connaissance de cet ouvrage à travers une recension qu’en avait fait M. Rémy Bazenguissa- Ganga, Sociologue de l’École des Hautes Études en Sciences Sociales (EHESS), Paris, et dont j’ai suivi des séminaires au tout début de mes études doctorales. Or, que je sache, M. Bazenguissa-Ganga est Kongo, auquel cas il n’aurait pas épargné cet auteur si jamais celui-ci avait dit du mal des Bakongo dans son ouvrage !
    Dans sa recension du livre de Jean-Michel Mabeko-Tali (recension parue au Journal of African Studies de l’Université de Cambridge), la seule critique de fonds que fait M. Bazenguissa-Ganga au texte de M. Mabeko-Tali a trait à la question de la manière dont les «Zaitois» étaient également traités à Brazzaville ; il fait remarquer notamment que dans son analyse, cet auteur a omis de souligner ce fait. Il n’y a par contre nulle part dans le texte de M. Bazenguissa-Ganga (qui, je le rappelle est un brillant intellectuel Kongo, en plus d’être un sociologue de très haut calibre), une quelconque critique sur quoi que ce soit qu’aurait dit l’auteur ce cet ouvrage contre les Bakongo.
    Et en fait comme je l’ai dit, j’ai lu et relu le livre de M. Jean-Michel Mabeko-Tali pour ma propre recherche, et c’est tout à fait l’inverse qu’on y trouve : une dénonciation des brimades et même des massacres perpétrés contre les «Regressados» (autrement dit les anciens exilés angolais rentrés des deux Congo, et dans leur écrasante majorité des Bakongo). D’où mon étonnement en lisant les accusations de certains internautes contre ledit ouvrage ! L’ont-il vraiment lu? Cela m’étinnerait, sauf si une telle accusation répondait á des mobiles très subjectifs!

    En tout état de cause, nous sommes à l’ère de Google.com, et quiconque le souhaite, peut décharger tant le livre de M. Jean-Michel Mabeko-Tali, que son article-synthèse sur cette matière, publié dans la revue académique française «Politique Africaine», de Mars 1995, tout comme la recension de son ouvrage faite par le Sociologue congolais (de Brazzaville) Rémy Bazenguissa-Ganga. Voici certains des sites :

    Recension de Bazenguissa-Nganga sur le livre de Jean-Michel Mabeko Tali : Barbares et Citoyens – L’identité nationale à l’épreuve des Transitions Africaines – Congo-Brazzaville, Angola. Paris, L’Harmattan, 2005:

    http://journals.cambridge.org/action/displayAbstract?fromPage=online&aid=8922437&fileId=S0002020600001748

    ou sur cet autre site, de l’Université John Hopkins : https://muse.jhu.edu/login?
    auth=0&type=summary&url=/journals/african_studies_review/v050/50.3bazenguissa-ganga.pdf

    On peut décharger le texte de ce livre entre autres sur les sites suivants :

    http://www.chapters.indigo.ca/en-ca/books/contributor/author/jean-michel-mabeko-tali/

    ou sur :
    https://www.ebooks-store.ch/ebook-ch/common/sitemap.jsp?page=b

    On peut lire une synthèse de la troisième partie dudit livre, parue dans la très sérieuse revue de Sciences Politiques française «Politique Africaine», dans son numéro 57 (Mars 1995). Voir online:

    http://www.politique-africaine.com/numeros/057_SOM.HTM

    On peut le décharger sur le site suivant :

    http://www.youscribe.com/catalogue/tous/art-musique-et-cinema/autres/la-chasse-aux-zairois-a-luanda-421603

    Comme chacun pourrait s’en rendre compte s’il y accède, rien dans tous ces textes ne vient corroborer cette accusation de «tribalisme anti-Bakongo», bien au contraire : l’auteur (M. Mabeko-Tali) y dénonce vigoureusement ce qu’il appelle dans son texte «les identités meurtrières» en Angola ( en référence au livre du même nom par le romancier libanais Amin Maalouf , qu’il cite en ouverture de la troisième partie du livre, qui traite de la question des débats identitaires en Angola depuis 1975) ; il y dénonce clairement, tout en les analysant sur le plan sociologique et géopolitique, la marginalisation et les brimades faites aux Bakongo angolais rentrés d’exil (que ce soit de la RDC ou du Congo-Brazzaville) et traités en «barbares» par d’autres angolais (Mbundu, métis et blancs angolais) qui se conçoivent eux comme les «vrais citoyens angolais». Le titre du livre tiendrait de ce constat justement. Le texte y dénonce clairement par exemple le massacre perpétré contre les Bakongo angolais le 22 janvier 1993, lors d’une journée qui, nous dit l’auteur, est restée connue comme «le Vendredi sanglant» (une véritable Saint-Valentin angolaise, si l’on veut).
    Bonne lecture, pour un débat objectif et honnête sur votre pays.

  17. Le Juge dit :

    Les congolais ne sont pas tribalistes. Ils sont simplement des victimes d’une manipulation émotive de la part des parasites et autres psycho-sociipathes qui, pour avoir le droit de voler, les opposent les uns contre les autres.

    Le jour où les congolais accepteront de se faire violence pour enfin voir cette réalité, alors la mystification du congolais tribaliste s’atténuera à défaut de disparaître. Malheureusement, on ne peut faire le bonheur des autres contre leur gré. Nous nous complaisons de cette indigence spirituelle que Youlou et Opango avaient su surmonter après les échauffourées entre leurs fans clubs en 1959. des gens malintentionnés du genre du cretinissimo nguesso ont préféré se nourrir de cette indigence spirituelle et intellectuelle pour assouvir leurs intérêts egois nés des privations familiales.

    Ici, les faits historiques sont là pour témoigner. Faire ces rappels ne signifient en rien que nous sommes des tribalistes qui nourrissent de la haine contre quoique ce soit comme nous le rapporte Jean Michel Mabeko Tali dans son dernier ouvrage: Barbares et Citoyens.

    En effet, à la page 251 de cet ouvrage, Mabeko Tali, fils adoptif du juste Camarade Lucio Lara, premier secrétaire du MPLA du temps de Neto Agostino, écrit ceci des Kongo:

     » même en tant citoyens, les barbares sont perçus comme des autres qui envahissent notre territoire, ramènent des contrées sauvages des manières qui ne sont pas des nôtres… Ces Autres qui Alimentent Fantasmes et Peur Populaires et entretiennent nos Complexes de Supériorité et notre Vision Schizophrénique de l’alterité issu de l’idéologie coloniale et reconvertis en Valeurs Nationales, Identitaires et Transforment du coup Nos Propres Insécurité Identitaire en Machine À Produire Une HAINE Aveugle INOUÏE, MEURTRIÈRE »

  18. Le Juge dit :

    Qui peut dire mieux que notre compatriote Mabeko Tali? Ce n’est pas les Kongo ou les Teke qui sont auteurs de tels propos qui indexent des compatriotes comme étant des porteurs des gènes de HAINE Aveugle Inouïe et Meurtrière envers des barbares, qui dans son livre sont des Ngala.

    C’est Mabeko Tali qui accuse les Kongo de haine inouïe, aveugle et meurtrière contre les « barbares » ngala. C’est une charge inouïe contre un groupe ethnique gravissime dénué de tout fondement historique. Je ne crois pas que Goebbels de son temps etait allé aussi dans sa propagande haineuse contre leurs victimes juives.

    Pour Mabeko Tali, tous les crimes commis par le cretinissimo nguesso et que nous lui reprochons ne seraient que le fruit de nos fantasmes et peurs, insécurité identitaire qui nous auraient pousser dans une haine meurtriere contre les ngala. Pire, il dit que chez nous les Kongo, il existerait un dispositif de discrimination et d’exclusion des barbares « ngala » à la périphérie de l’identité nationale congolaise. Cette haine enfouie en nous Kongo pour les barbares « ngala » expliquerait qu’à la conférence nationale nous avions crû bon de régler nos comptes avec ces derniers en se lançant à une chasse aux sorcières contre ces barbares.

    Pour Mabeko Tali, toute la haine inouïe, aveugle et meurtriere des Kongo contre les Ngala remonterait de l’époque pré-coloniale où d’après lui les Kongo, Teke et Mbochi s’entredéchiraient. Pour lui donc, l’Obumitri mise en place par le cretinissimo en juillet 1969 n’explique pas la situation actuelle du Congo.

    C’est Mabeko Tali qui parle de toutes ces choses dans son dernier ouvrage où les Kongo du Congo et de l’Angola nourrissaient de la haine gratuite contre les mbossi du cretinissimo nguesso et les Mbundu de Dos Santos. Pour lui, ces deux dictateurs n’ont rien à se reprocher. Le cas des Kongo des deux pays, qui revendiquent leurs droits politiques, économiques, relèverait plus de la psychiatrie vu qu’il dit qu’ils souffriraient de schizophrénie, de fantasmes, de peurs et d’insécurité identitaires, de haine aveugle inouie et meurtrière.

    Que peut-on attendre d’un tel individu? Rappelons que Mabeko Tali a été Conseiller Diplomatique de l’ambassade du Congo en Angola. En tant que fils du Camarade Lucio Lara, il a grandement aidé le regime du cretinissimo nguesso à un moment où Dos Santos perdait patience vis à vis de cet ingrat qui transporta dans sa charette en partance à Brazzaville. Quand on est un enfant de Lucio Lara, ce sont toutes les portes de l’Angola qui vous sont ouvertes dans ce pays. C’est dire que Mabeko Tali a été une pièce centrale du régime pct à Luanda.

    Alors, vous comprendrez que j’ai des réserves contre Mabeko Tali. Certes seuls les imbéciles ne changent pas, mais quelqu’un qui porte une haine vis-à-vis de plus de 50% des congolais ne peut faire partie d’une organisation qui a pour vocation de faire la politique autrement.

    Les Assises doivent mettre de l’ordre dans ses rangs. On ne peut réconcilier les congolais en ayant dans ses rangs des hommes et des femmes porteurs d’un projet de haine, génocidaire, ethnicistes.

    Jean Michel Mabeko Tali,

    Vous avait tout faux quand vous refusez de trouver l’origine des maux qui minent le Congo dans la période postcoloniale. L’ethnicisme a pour origine le coup d’état de juillet 1968 et la naissance de l’Obumitri pct en juillet 1969. Pour votre mémoire, je vous renvoie aux propos de l’idéologue Ambroise Noumazalayi qui disait au président Massambat Debat « qu’ils auront leur president avant la fin du mandat de celui-ci’. Mieux, répondant à un de ses collègues ministres, il dit ceci:  » comment un enfant du Nord peut accéder au pouvoir quand la démographie nous est défavorable? »

    C’est le point de départ de l’ethnicisme dans notre pays qui culminera avec le lâche assassinat du President Marien Ngouabi qui, au nom de l’unité nationale, voulut partager le pouvoir avec le president Massambat Debat. C’est ça la vérité. Dire que nous les Kongo éprouveraient de la haine pour les Ngala, notamment les Mbossi, serait de la mystification et l’escroquerie intellectuelle et historique.

    La haine serait chez ceux qui assassinent impunément leurs concitoyens depuis juillet 1968. Ce sont ceux et celles qui ont massacré des centaines des milliers de leurs concitoyens pour revenir au pouvoir. Ceux et celles qui éprouvent une haine inouie, aveugle et meurtrière sont ceux que vous avez servi avec zèle dans votre pays d’adoption, l’Angola, en qualité de Conseiller Diplomatique.

    Jean Michel Mabeko Tali, vous n’avez pas votre place aux Assises car, vous êtes porteur d’un projet ethniciste. Vos écrits vous sont à charge.

    Le Juge.

  19. HBA dit :

    C’est incroyable!
    Mais ce passage que vos citez (qui plus est mal) introduit justement la dénonciation que cet auteur fait des brimades dont sont victimes les Kongo angolais: il montre comment les non-kongo, (mbundu, les blancs et les métis) veulent présenter les Kongo rentrés d’exil comme des barbares, afin de leur dénier leur citoyenneté angolaise…et comment ils manipulent des images du «regressado» (Kongo rentré d’exile) pour alimenter la peur de «l’autre» en présentant ces Angolais á part entière comme des «barbares»! Voila le sens de ce passage, que cet auteur développe de manière du reste assez documentée puisqu’il cite des pamphlets et même dénonce l’attitude du chef de l’état qui, au lieu d’apaiser les coeurs après les massacres anti-kongo de janviers 1993, préféra presque rendre les victims responsables de ce qui leur arrivait. L’auteur explique pourtant cela de manière trés sourcée…

    Vous détachez une phrase, l’isolez du reste du texte et vous voulez induire en erreur quiconque ne l’a pas lu… Truc très connu de la technique de l’intox!

    Le mieux serait que chacun lise le texte ou sa synthèse publiée dans la revue académique «Politique Africaine» dans leur totalité pour se rendre compte que vous en dénaturez totalement le contenu en faisant une citation de travers!

    Mais lisez la recension écrite sur cet ouvrage par un très grand intellectuel Kongo, Prof. dans l’une des plus prestigieuses institutions françaises – Rémy Bazenguissa-Ganga! Pour peu vous allez accuser cet grand intellectuel kongo de… tribalisme anti-kongo! Vous pensez sincèrement qu’il aurait laissé passer une telle chose?

    Je suis surprise par tant de mauvaise fois intellectuelle…
    Si c’est ça le débat pour changer votre pays, alors j’en suis bien triste!

  20. Le Juge dit :

    Chez HBA,

    Pourquoi vous passez sous silence que ce livre parle des Kongo du Congo a Brazzaville aussi? Que dit Mabeko Tali DES Kongo de Brazzavlle dans cet ouvrage?

    La citation reprise parle bien des Kongo de l’Angola et du Congo Brazzaville. La citation n’est pas hors contexte. C’est vous, en voulant présenter ce livre que sous l’angle angolais, qui déformez la charge de Mabeko Tali contre les Kongo de Congo Brazzaville. Idée qui es-tu? Idée, qui sers-tu?

    Expliquez-nous pourquoi dans sa periodisation du fait tribalique au Congo il ne prend pas référence du Congo postcolonial? Pourquoi parler de la période coloniale? Dites-nous, pourquoi refuse-t-il de voir dans le coup d’état des mbossi contre Massambat Debat et la naissance du pct la cause de l’ethnicisme au Congo? Pourquoi ne parle-t-il pas dans son livre de l’assassinat de Ngouabi comme l’expression de la haine inouie, aveugle et meurtriere des mbossi contre les Kongo que ceux-ci jurèrent de ne plus voir accéder au pouvoir? D’où la formule: mieux vaut perdre un kouyou que de perdre le pouvoir?

    C’est trop facile de se faufiler devant ses propres écrits qui le rattrapent. Les paroles s’envolent, mais les écrits restent. Dans le cas même de l’Angola, Mabeto Tali véhicule la haine que les mulâtres de Luanda éprouvent contre les Bakongo d’Angola. J’ai ce livre. Je l’ai parce que je m’intéresse à l’histoire de mes origines Kongo dont les racines sont en Angola. Alors, ne me parlait pas du grand prof Kongo des universités françaises. Je savais que le debat devait virer sur les diplômes ou autres professions. Mais sachez chère HBA, j’ai non seulement obtenu le grade universitaire le plus élevé, mais j’ai une triple formation en économie, droit et business administration pour pouvoir me faire une opinion sur les écrits d’une personne,

    Alors, gardez vos références de prof d’université françaises et autres. J’ai étudié à Paris II, HEC Montreal, et à Wharton Business School of Business en Pennsylvanie. De grâce, gardez de citer vos diplômes et professiobs dans les débats.

    Que dites-vous de Mabeko Tali, Conseiller Diplomatique de Sassou en Angola? C’est encore une invention?

    Avec votre manie de défendre l’indéfendable, si ce livre ne parlait de l’Angola, vous alliez trouver des alibi bidons du genre « je dormais pour mou quand les obus de Lissouba sont tombés sur ma pelouse verte ».

    Ayez le courage d’assumer. Alors, dites-nous ce que Mabeko Tali dit dans son dernier ouvrage à propos des Kongo du Congo Brazzaville?

  21. HBA dit :

    Bon, le débat devient par trop minable.
    Que ceux qui veulent savoir déchargent (c’est même gratuit) les textes en question sur google.com, ou aillent dans les bibliothéques s’ils veulent en avoir le coeur net. Au moins on ne passera pas le temps à se battre autour de bouts de phrases totalement détachées de leurs contexte analytique et textuel, dans la bonne pratique de l’intox.

  22. Le Juge dit :

    Non. Il ne faut pas fuir. Vous dites que je fais preuve de malhonnête intellectuelle. Soit. Vous l’honnête, dites-nous ce que Mabeko Tali dit à propos des Kongo du Congo Brazzaville dans son dernier ouvrage: Barbares et Citoyens? On vous demande de nous parler de ce monsieur Conseiller Diplomatique de Sassou en Angola, vous bottez en touche. Vous nous dites que le propos cité s’appliquait aux Kongo du Congo Brazzavillle et de l’Angola, vous demandez aux gens d’aller en bibliothèque. Avez-vous les réponses à ces questions simples ou pas?

    Vous voulez induire votre monde en erreur en disant que l’auteur s’adresser aux Kongo d’Angola seulement tout en oubliant de nous mentionner que le livre parle d’une étude comparée de l’expérience des Kongo des deux pays face aux régimes dictatoriaux qui pillent leurs ressources naturelles, notamment le pétrole, sans leur laisser même des miettes.

    Chez vous les congolais, il est difficile de débattre sans faire référence à vos professions et autres diplômes. Un tel professeur à dit ceci, alors c’est vrai. Mon grand frère ou mon père avait dit, alors Cest vrai. Incapable de se faire une idée d’une situation par eux-mêmes.

    À la Conference nationale, on vous avait vu brandir vos diplômes et autres professions. Et après? le cretinissimo nguesso vous pisse déçu malgré vos diplômes et professions, lui le simple instituteur adjoint.

    Massambat Debat etait un simple instituteur. Il a construit l’essentiel du tissu économique du Congo que le maître de Mabeko Tali avait fini par dilapider.

    Le Debat devient par trop minable, dit-elle. Mais quelle suffisance! Vous croyez venir ici pour que les gens prennent vos propos pour paroles d’évangile?

    Si vous n’avez pas les réponses aux simples questions que je vous posées, demandez à Mabeko Tali de venir ici pour nous donner sa version des faits sur les barbares du Congo Brazzaville et son mandat de Conseiller Diplomatique de Sassou en Angola. Les barbares du Congo Brazzavilke dont il parle dans son livre seraient les Mbossi ou les Kongo?

    Heureux d’avoir fait ta connaissance chère HBA.

  23. RASSEMBLONS LES IMPOSSIBLES POUR FAIRE LA POLITIQUE dit :

    Ne nous énervons pas!
    Pour faire tomber Sassou,tout patriote sérieux doit Rassembler,oui rassembler même les impossibles.C’est la condition du succès.Réunir seulement ceux qui doivent agir ou penser pareille nous conduira droit aux échecs.L’exemple du Burkina Faso doit nous instruire.Qui dirige aujourd’hui ce pays:
    -Un président qui a servi Compaoré comme diplomate.
    -Un premier ministre qui a été le n°2 de la garde rapprochée de Compaoré.
    Mieux l’expérience montre que celui qui permet d’accélérer la chute d’un tyran est celui qui a travaillé avec lui.En tout cas monsieur MABEKO TALI sait maintenant que l’oeil du peuple attend beaucoup de lui et qu’il sera surveillé comme le lait au feu.Qu’il mette tous ses atouts au service de la république et du peuple congolais qui souffre de la dictature sassouiste.

  24. Iloki-bitemo dit :

    @ Juge et HBA
    Merci beaucoup pour ces envolées intellectuellement non depourvues de fondement.Il fudra créer à l’avenir un espace du genre college de france pour ce genre de debat qui somme toute sont trés édifiants, mais parfois peuvent etre de la pure diversion
    Nous ne sommes pas tous comptable de la barbarie postcoloniale au Congo. Cette barbarie est l’arme que usent nos politiciens du « Nord » pour acceder au pouvoir. Je voudrais vous rappeler que l’Europe n’est en paix que depuis bientot 70 ans,et donc depuis des millenaires ,ou tout au moins au plus loin que l’on puisse reculer dans l’échelle du temps ,les occidentaux ont connu des guerres interminables pour la conquete du pouvoir et la suprématie des peuples sur d’autres
    Je fais court en disant c’est au sortir du moyen age et donc à l’avénement de la renaissance grace au mouvement intellectuel HUMANISTE que les idéees de modernité vont au file du temps s’imposer en Europe ,en passant par les LUMIERES du 18éme siécle ,l’éclosion de la REPUBLIQUE et des monarchies constitutionnelles
    Bref ,que de chemin parcouru pour qu’en fin la LIBERTE soit au RDV,avec son corollaire fondamental: la DEMOCRATIE
    Pendant toutes ces periodes de lutte ,tous les ALIBIS pour conquérir et conserver le pouvoir etaient bons. C’ est pour dire qu’il est en de meme pour le Congo , notre pays qui depuis bientot sept decennies est sous l’emprise de PREDATEURS de la nation et qui ont comme fond de commerce malheureusement :LE TRIBALISME
    Qu’à cela ne tienne en Intello que vous etes Monsieyrs JUGE et Monsieur HBA,pousser votre debat aux SOLUTIONS éventuelles et pertinentes pour ce tremplin qui est le tribalisme ne serve plus comme raison pour la conquéte du pouvoir
    Dailleurs il y a des peuples en Afrique meme francophone qui ont réussi à faire l’économie ce mal profond et digne des grandes barbaries du moyen age
    Dans toute lutte ,n’oublions jamais l’essentiel,Les compromis sont indispensable lorsque l’UNION SACREE est incontournable pour chasser Sassou et ses accolytes
    J’ AI DIT

  25. Dieudos Eyoka dit :

    @iloki-Bitemo
    Merci pour votre commentaire qui conclue intelligemment le débat sur l’article des Assises USA.
    La sagesse et la justesse dont il est empreint jusque dans sa conclusion devrait être l’engagement premier de ceux qui se prétendent être des responsables de l’opposition à Sassou,

  26. Obambe dit :

    Vous posez mal le problème, une association qui se donne l’appellation des assises du Congo, n’est qu’une simple fiction, Mr Malekat, il suffit de le suivre lors de ses rares parutions devant la presse; que dit-il juste un appel mou et timide appelant au départ de Sassou, couplé par une transition dont il serait le premier ministre, voila en clair ce que veut votre Malekat qui devient une vedette dans le milieu de quelques jeunes parisiens, mais enfin soyons sérieux, heureusement que le ridicule ne tue pas

  27. Mfoa dit :

    A Obambé!

    Frère.

    Le drame de l’homme noir découle de son incapacité apparente à tirer les leçons de sa tragique histoire depuis les razzias négrières.
    Hélas, nous restons un peuple soumis et infecté d’excuses, incapable de construire nos propres paradigmes.

    Deux peuples nous ont volé notre histoire: les arabo-musulmans avec l’Égypte et les blancs.
    Deux peuples ont mis notre peuple en esclavage: les arabo-musulmans et les blancs.
    Deux peuples nous imposent leurs religions: les arabo-musulmans avec leur islam et les blancs catholiques avec leur jésus.

    Pendant ce temps, ils nous ont mis un jouet entre les mains que certains nègres que nous sommes adorent: l’ethnie!

    Le professeur Leonard Jeffries (africain américain) a dit:  » Celui qui contrôle l’image, contrôle votre estime personnel; Celui qui contrôle l’histoire, contrôle votre vision »

    Qui dit mieux?

    Regardons nos sœurs avec leurs perruques moches se décapant la peau…
    Regardons nous, incapables de réactiver notre génie créateur car nous ne contrôlons pas notre histoire, donc notre vision de l’Afrique et du Congo.

    Les assisses nationales du Congo… « nationales » mais à l’extérieur… Je viens du pays et personne que je connaisse en a entendu parlé.. Aucune idéologie, aucun programme de parti, aucun projet de société… Et monsieur Maleka qui va faire la courbette au MEDEF (patronat français) et chez TOTAL-ELF (pilleur du Congo).

    Qu’est ce qui va changer d’un point de vue structurel? Il a été directeur des impôts… Il y’ avait toujours la corruption comme aujourd’hui. Qu’avait-il fait pour y mettre fin?

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