Comme dans son précédent ouvrage, « Noires fureurs, blancs menteurs » dans lequel plusieurs observateurs l’accusent de révisionnisme sur le génocide Rwandais, la dernière parution de l’essayiste français Pierre Péan, « Nouvelles affaires africaines , Mensonges et pillages au Gabon » n’a pas dérogé à la règle, déclenchant une vive polémique.
La polémique aurait été peut-être utile sur la gestion du pouvoir ou des supposées affaires du clan présidentiel…mais ne devrait l’être en aucun cas sur la filiation du Président Ali Bongo.
Pour montrer l’inutilité de ce débat infect et nauséabond sur la nationalité d’Ali Bongo, je vais m’appuyer sur l’affirmation de Pierre Péan, en admettant que le « Président gabonais ne serait que le fils adoptif de feu le président Omar Bongo ! »
Ce débat aurait dû être tranché par l’opposition gabonaise pendant la candidature à l’élection présidentielle du 30 août 2009 de l’actuel président gabonais . Cela nous rappelle malheureusement le débat sur la nationalité de l’ancien candidat et actuel président de la Côte-d’Ivoire, Alassane Ouatarra, dont l’ivoirité contestée a été l’un des facteurs d’une crise sans précédent et une guerre civile très meurtrière dans le pays de Félix Houphouët Boigny. Le principal challenger d’Ali Bongo à la future élection présidentielle de 2016 au Gabon n’est autre que son ex beau-frère, l’inamovible Jean Ping, lui-même d’origine chinoise. Les Gabonais auront donc du mal à choisir ! Mais d’ici là, avec cette stigmatisation de l’étranger, ne soyons pas surpris que les origines chinoises de Jean Ping soient un prétexte pour des extrémistes ou des malfrats d’une chasse à l’homme et du pillage des paisibles commerçants chinois au Gabon !
Aussi, il est difficile de comprendre qu’un intellectuel et écrivain comme Pierre Péan argumente sur la supposée « adoption d’Ali Bongo », car, sans s’en rendre compte, l’auteur pourfend l’adoption qui est une démarche humainement noble.
Personne n’est dupe car les spécialistes de l’Afrique savent que les réseaux françafricains, comme tous les réseaux d’ailleurs, vivent et se renouvellent pour prendre d’autres formes. Plusieurs françafricains qui se revendiquent de l’ère ou des successeurs des réseaux « Foccart » n’ont plus d’entrées dans de nombreux palais africains, où, une nouvelle génération est aux affaires. Le palais du bord de mer à Libreville en fait partie. La reconversion n’étant toujours pas facile, des spécialistes des affaires africaines, certains privilégiés auprès de feu Omar Bongo se sont reclassés comme « spécialistes du terrorisme islamiste et du djihadisme » écumant les plateaux de télévision française. Ces françafricains aigris ont-ils été une source du brûlot de Pierre Pean ?
L’Afrique sera grande lorsque tout citoyen ayant la nationalité d’un pays du continent, de parents étrangers ou pas, sera un citoyen à part entière, avec tous les droits et les devoirs de ses compatriotes. Pour que demain des citoyens d’origine étrangère puissent accéder à la magistrature suprême dans le pays de leur nationalité, comme Barack Obama de père Kenyan, ou Nicolas Sarkozy de père Hongrois, devenus respectivement Président des Ètats-Unis d’Amérique et de la France, une intégration aux us et coutumes du pays d’accueil suffit largement.
Les États africains, indépendants pour la plupart dans les années soixante sont relativement jeunes. Avec des frontières artificielles léguées par les puissances coloniales dans des territoires de grande migration, se déclarer citoyen d’un territoire depuis plusieurs générations est une farce, mieux une escroquerie ! Comment diable peut-on encore avoir un tel débat dans ce monde globalisé ?
Que des débats de café achoppent sur la nationalité supposée ou avérée d’une personnalité politique est compréhensible. Mais que les élites africaines s’en emparent donnerait raison à une personnalité politique française bien à côté de la plaque qui déclarait à Dakar « l’homme noir n’est pas assez entré dans l’histoire » .
Le débat d’une élite doit se focaliser sur le fond et sur la gestion d’un président en exercice ou de son mandat, car ,le sous-développement économique du continent est d’abord dû à des présidents dictateurs qui n’ont aucun problème de filiation. Tels sont les cas du congolais Denis Sassou Nguesso, du camerounais Paul Biya ou du soudanais Omar El Bechir ! Un vrai sujet que Pierre Péan aurait mieux fait de traiter.
Pierre Pean oublie qu’il existe en droit privé deux sortes de filiation: la filiation du sang et la filiation du cœur. Orienter son brûlot sur un sujet dénué de tout intérêt, ne fait que raviver de tensions inutiles. Quoi qu’il écrive, Ali Bongo sera jugé par les gabonais sur son bilan en 2016. Alors, pourquoi en rajouter ?
Mingwa Biango
Cercle de réflexion pour des idées nouvelles
diffusé le 16 novembre 2014, par www.congo-liberty.org
L’AFFAIRE PEAN FAMILLE BONGO N’EST PAS UNE BONNE PROBLEMATIQUE POUR NOUS AUJOURD’HUI. LAISSEZ CETTE AFFAIRE AUX GABONAIS. CE QUI INTERESSE LES CONGOLAIS C’EST LE DEPART DE SASSOU COURANT AOUT 2015 OU AVANT. ALORS PUBLIER LES ARTICLES DANS CETTE PERSPECTIVE POUR NE PAS NOUS DISTRAIRE AVEC DES AFFAIRES FRANCO GABONAISES
L’auteur de cet article est à coté de la plaque et semble ne pas avoir compris le fond du problème des origines d’Ali Bongo.
Il faut distinguer les écrits de Pierre Péan du sujet des origines contestées d’Ali Bongo qui est connu de tous ; tout u moins nous qui avons des parents et amis dans ce pays.
Le problème pour l’opposition gabonaise était posé depuis la précédente présidentielle du fait de la constitution qui exclue les enfants adoptés de la possibilité d’être élu.
De plus, il est hasardeux d’opposer la panafricanisme à la question du respect des institutions issues des règles adoptées à l’unanimité par les pères des indépendances qui ont eu à trancher sur la question du panafricanisme, du fédéralise et des Etats circonscris dans les frontières issues de la colonisation.
Bref, on ne peur pas critiquer Sassou pour le non respect des institutions et en même temps trouver une pirouette à Ali Bongo en confondant le sujet de Péan et la question que pose les opposants gabonais, bien avant la sortie de ce livre.
Je pense que le Président gabonais dispose des moyens de faite taire cette rumeur, dans l’intérêt de sa famille, mais aussi de celui de son peuple.
Quelques exemples écrits avant ce livre :
http://www.gabonlibre.com/Gabon-Debat-Ali-Bongo-Fils-Adoptif-ou-Legitime_a5267.html
Gabon : Débat : Ali Bongo Fils Adoptif ou Légitime ?
Pour faire taire la rumeur, bien que nous connaissons la vérité d’avance, un moyen infaillible existe et auquel s’était volontairement plié Bill Clinton, pourtant, puissant président des USA, dans « l’affaire Monica Lewinski » : se soumettre à des TESTS ADN Ali Bongo ne peut pas être Président au Gabon C’est une violation de la constitution Gabonaise par sa belle mère Marie-Madeleine Mborantsuo
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En avril, Ali Bongo a formellement démenti la rumeur. « Quand je suis né, le Nigeria n’était même pas indépendant. Il (l’)est devenu un an après et cette guerre du Biafra a commencé » en 1967, alors que « j’ai déjà 8 ans », a-t-il commenté.
Pour M. Bengono Nsi, qui fait partie du collectif de candidats contestant les résultats du scrutin, « il ne s’agit pas de xénophobie », mais « d’appliquer la loi. La Constitution prévoit ce cas. Il faut l’appliquer ».
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Josephine Kama (Patience Dabany), prise en flagrant délit de mensonges au cours d’un entretien TV
L’ex-première dame du Gabon, Josephine Kama Dabany alias Patience Dabany, est montée au créneau mardi soir sur les antennes de la Première chaîne de Télévision nationale (RTG1), pour fustiger tous ceux qui disent que « mon fils, Ali Bongo Ondimba, actuel ministre de la Défense nationale, est Nigérian
Premier Mensonge : Josephine Kama Alias Patience Dabany n’a jamais eu d’enfant dans sa vie L’ancienne épouse du président Bongo (qui n’a jamais enfanté de sa vie) a battu en brèche – avec à l’appui comme preuve une simple photo (non authentifiée)
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Deuxièeme mensonge: Alain Bongo était en pension dans le Sud de la France
A la question de savoir « pourquoi, Ali Bongo Ondimba n’a pas été aperçu au Gabon entre 1959 (sa date de naissance officielle) et 1968 (son apparition officielle au grand public)», l’ex première dame a déclaré « qu’il était en pension dans la sud de la France (pendant 8 ans ?) .»
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Pour revenir à la nationalité d’Ali Bongo Ondimba
Qu’on se le dise : il ne fait aucun doute qu’Ali Bongo Ondimba soit de nationalité gabonaise par l’adoption de deux parents d’origine gabonaise : il est donc gabonais d’adoption. Le vrai problème est de savoir ce que disent les textes fondamentaux de la constitution gabonaise quant à l’accession aux plus hautes fonctions de l’Etat? Qui est présidente de la cour ? Sa belle mère…
Dans les conditions actuelles, Ali Bongo Ondimba, fils adoptif du président Bongo Ondimba, peut-il se prévaloir d’une quelconque légitimité et briguer la Présidence de la République gabonaise ? ou de vacance du pouvoir selon la constitution de notre pays le Gabon, librement votée par le parlement, donc le peuple gabonais?
Les Textes sont clairs par Rapport à ce sujet précis (quitte à remanier la constitution de la République Gabonaise). Là est la véritable question, le reste n’est que masturbation intellectuelle et distraction !
Source : Rdpg.org
Ali Bongo Ondimba est Président par un coup d’Etat électoral en complicité de FranceAfrique, pour combien de temps ? Qui vivra verra
Merci cher Neveu Mingwa Biango !!! Tu n’es pas comme ces etourdis qui – a cquse de la haine tribale et politique courrent chaque fois qu’un imbecile en occident jette des cailloux… Si Ali Bongo avait debourse les 10 millions d’euros demandes par Pean, ce livre n’aurait pas ete publie… D’ailleurs les incongruites et impreicisions qui chevauchent les fameuses pages ne cachent pas les intentions du fameux auteur.
Françafrique, réseaux boueux de prédateurs français dont le fil conducteur est d’abord le racisme et le mépris de l’Afrique. Dans la transaction à 10 millions euros on retrouve le sulfureux Ziad Takieddine voulant profiter de l’occasion pour se refaire une santé financière. C’est n’est ni plus ni moins, qu’une tentative d’extorsion de fonds au détriment du trésor gabonais. Les présidents africains faisant confiance à ces réseaux se font régulièrement plumés. Notre conducator est dans cette situation. Comme il est fébrile et désemparé, les aventuriers de tous horizons viennent à la soupe en lui promettant l’enterrement du dossier du beach et des biens mal aquis ou encore la possibilité que la France se montre souple sur son projet de changement de la constitution. Et, lui comme d’habitude, tombe dans le panneau au détriment, toujours du trésor congolais.
Je crois avoir lu dans les colonnes de Congo Liberty un article qui remettait en cause la nationalité de Sassou Nguesso (sa mère Mouebara et son amant, le père biologique de sassou qui était centrafricain) et fustigeait en même temps la filiation de ses enfants de mères zaïroises. Si j’apprécie cet article sur Ali Bongo sur le fond qui me semble juste et sérieux
, je voudrai savoir pourquoi Sassou et ses gosses « voleurs zairois » n’ont pas bénéficié du même traitement.
Mon cher frere, tu es a cote de la plaque sur cet article. Tu ne comprends pas grand-chose sur la nationalite d`Ali Bongo. Ecris sur le Congo et laisse les Congolo-gabonais, puis qu`il y en a, nous edifier sur le cafouillage d`Ali Bongo.
Encore un écrivain de la Françafrique au commande de ce livre qui n’a de problématique fondamentale que la nationalité de Bongo Ali et pourtant ce même auteur a connu le père Bongo et pourquoi ne l’avait -il pas dit à cette époque où le président bongo leur offrait des interviews? Si tel est le cas l’adoption est bien reconnu dans nos constitutions alors où se situe le problème? Sarkozi a bien été président de la France sachant bien que son père est Français par naturalisation,,,,,,,l’Afrique devra évoluer pour ne s’occuper que des vrais sujets de fond….que les opposants planche sur le bilan de Bongo Ali le reste n’est que problème d’égoïsme des uns et des autres. Si vous Africains ne commencer pas à écrire votre histoire alors cet auteur vous dira ce que vous n’êtes pas et admettre-riez comme des enfants.
Ne peut être président de la république qu’une personne née d’un père et d’une mère de nationalité gabonaise. La filiation par l’adoption ne peut donner accès à la présidence de la république gabonaise. C’est une question de respect de la constitution du Gabon.
On ne peut exiger de sassou le respect de la constitution et tolérer sa violation par Ali Bongo. Un de logique dans le raisonnement, SVP.
Ali Bongo doit se soumettre à un test ADN pour clore ce dossier. Par ailleurs, Omar Bongo n’était pas chauve, comment se fait-il qu’Ali Bongo soit chauve? La calvitie est héréditaire soi-disant; corrigez-moi si je me trompe.
Cet article semble davantage s’attaquer maladroitement à l’auteur d’une Livre P. PEAN, qu’au problème de fond : le respect de la règle de droit, le tripatouillage des constitutions ou les manœuvres sordides destinées à conserver le pouvoir au sein d’un clan.
De même, quand notre cher ami cite le cas Obama, il oublie de mentionner que ce denier a été victime de ce qu’on a appelé aux USA « le complot nativiste ou birther ». Le débat d’avant l’élection de 2012 étant la possibilité d’invalidation de l’élection d’Obama du fait qu’il serait né hors des USA.
Et à ce sujet, le journaliste de CNN, Anderson Cooper se ventait d’avoir obligé le président des USA à rendre public son certificat de naissance détaillé en 2011, qui précise le nom de l’hôpital de sa naissance (Kapiolani à Honolulu) et quelques informations biographiques sur les parents du président (de mère américaine et de père kényan).
Donc, cher frère, l’exercice de la démocratie va de paire avec la transparence et le respect des institutions.
Il est ridicule de dire que : «… Orienter son brûlot sur un sujet dénué de tout intérêt, ne fait que raviver de tensions inutiles. Quoi qu’il écrive, Ali Bongo sera jugé par les gabonais sur son bilan en 2016. Alors, pourquoi en rajouter ? »
1- A priori, le livre porte d’après les commentaires: « L’enquête de Pierre Péan, sous-titrée Mensonges et pillages au Gabon, se penche sur la fin de règne du défunt président Omar Bongo et sur les modalités d’accession au pouvoir de son fils Ali, à sa mort en 2009. »
2- Sur la filiation, l’auteur ne fait que reprendre une enquête sur un sujet né au Gabon, portant sur la règle constitutionnelle qui ne reconnaît l’éligibilité à la présidence d’un enfant adopté.
3- Il est étonnant qu’un simple livre puisse faire autant de polémique, si son contenu s’avère sans fondement
4- Que le Président gabonais dispose de tous les moyens susceptibles de lui permettre de faire taire cette rumeur, comme l’a fait le B. Obama.
En conclusion, je ne peux que manifester mon étonnement devant la légèreté de nos frères africains qui veulent tout et son contraire.
Le cœur de la France-AFRIQUE, c’est le Franc CFA. Tant que nous serons dans ce système, il ne faut pas s’étonner que nous puissions attirer des mouches à merdes, simplement parce que nous leur donnant de la matière à nous affaiblir.
Rêver d’un panafricanisme « utopique » pour tenter de noyer le fond du problème, dans un contexte où nous sommes incapables de nous occuper de l’essentiel, c’est faire preuve de légèreté.
Il faut donc que l’africain commence par balayer devant sa porte, avant de porter des accusions à l’emporte pièce.
Le meilleur moyen de susciter le respect et de ne pas donner libre court à des boules puantes, c’est de jouer à la transparence.
Quand on écrit ceci : «Ce débat aurait dû être tranché par l’opposition gabonaise pendant la candidature à l’élection présidentielle du 30 août 2009 de l’actuel président gabonais », je suis me demande si notre sais de quel pays on parle et de quelle moyen dispose l’opposition pour mettre à mal un système construit depuis des décennies.
Le Congo ne doit pas compter sur vous.
Autrement, ce n’est pas demain la veille.
La démarche de l’auteur de cet article m’inquiète, ce qui reflète une certaine mentalité africaine qui consiste à ne pas voir la réalité. Ali Bongo est un homme public, de surcroit chef de l’Etat, il prétend être né à Brazzaville, mais son nom n’est nullement mentionné dans l’état civil de la commun e de Makélékélé. Pierre Péan décrit en outre les conditions dans lesquelles Ali se serait fait confectionner un acte de naissance. Or le fait que l’état civil de Makélékélé ne contienne pas le nom de Bongo né en 1959 à Brazzaville crée le trouble. Je ne dis pas qu’Ali a menti ou n’est pas le fils d’Omar Bongo, mais s’il a menti sur son état civil comme un certain Bienvenu Okiemi qui est né dans un deuxième acte de naissance en 1972 alors que le premier lui donne plus de 5 à 6 ans de plus, il est tout à fait normal que PEAN soulève ce mensonge. Ali est un homme public et s’il a menti il est normal qu’il en rende compte. Je ne comprends pas l’amalgame de Monsieur MONSIEUR mINGWA MIA BIANGO entre le livre de Pean sur le génécide rwandais que j’ai d’ailleurs condamné et ce qui semble être le mensonge d’Ali Bongo.
Parler de territoires de migrations, de monde globalisé, tout en diffusant, sans commentaire, les « kongoneries » de RPP, j’avoue que c’est trop gros pour ma petite cervelle inculte.
On a pas besoin d’être un énarque pour comprendre que malgré le fait que le livre de Pierre Péan peut être critiquable.
Il y a des éléments troublants dans ce dossier :
Si le président Ali Bongo était né à Brazzaville en 1959 :
– Pourquoi à Nantes il n y a aucune trace
– Pourquoi son acte de naissance n’avait pas été établit à Brazzaville, le principe d’état civil dit
qu’un acte d’état civil ne peut être établit que sur lieu où l’acte a eu lieu, naissance, mort etc…..
– Son père Albert Bernard Bongo était militaire pourquoi n y a t-il pas un certificat de naissance,
établit par l’hôpital militaire de Brazzaville, qui se situe dans une zone non troublée.
– La famille vivante prend pour prétexte la guerre civile de 1959, elle n’a duré que 9 jours, les
militaires français n’ont jamais été inquiétés par ces évènements.
– Mieux toute la ville de Brazzaville n’avait pas été embrasée, il n y a eu que : Moungali,
Poto-Poto et accessoirement Ouénzé. J’ai personnellement vécu cette période.
– Les camps : de police de gendarmerie, militaire n’ont pas été touchés.
– Beaucoup d’enfants nés durant cette période ont tous eu des actes d’état civil, j’en ai la preuve
par ma nièce. Ceux nés à domicile il y a eu des jugements supplétifs qui ont permis
l’établissement des actes de naissance, et ceux nés dans les hôpitaux il y a eu des certificats de
naissance délivrés par les hôpitaux.
Après l’ivoirité en Cote D’Ivoire, c’est devenu l’heure de la gabonité au Gabon…
Si Alain Bongo est gabonais de naissance ou brazzavillois de naissance, pourquoi n’a t-il pas présenté un acte de naissance émis en AEF, dans le territoire du Moyen Congo?
Jean Ping est d’origine chinoise, c’est vrai mais lui, il dispose certainement d’un acte de naissance émis en AEF dans le territoire du Gabon. Les origines n’ont rien à voir dans ce débat.
Il s’agit de se conformer à ce que prévoit la constitution!
Aux USA la constitution stipule bien que pour être président il faut être né sur le territoire américain! et c’est peut être une des raisons qui a fait que Henry Kiesinger ne se soit jamais présenté comme candidat à la résidence des USA!
Ali Bongo ne conteste pas le fait de n’être pas né au Gabon!
Pourquoi attendre 2016 pour exiger et obtenir le départ du monarque ? Benjamin Toungamani a complètement raison. Les crimes contre l’humanité, les atteintes nombreuses contre les droits des hommes, commis par Sassou Nguesso sont suffisament nombreux pour déclencher un véritable printemps.Sassou Nguesso et ses complices doivent être traduit en justice pour crimes contre l’humanité.Nous exigeons la libération sans condition de l’Abbé Yanguissa et de tous ceux qui croupissent en prison pour des motifs politiques ».Sassou Nguesso a fait un coup d’Etat sanglant qui a marqué la vie des congolais juste pour venir » se remplir les poches, gâter sa famille et se barder des honneurs .Sassou Nguesso est un président illégitime.Il n’a jamais été élu. Les élections locales récente avec une participation qui n’a pas dépassée 5% est une preuve suffisante du desaveu du Peuple et exiger son départ sans condition par une désobeisance civile. Seule la lutte libère.
Sassou Nguesso et sa clique auteurs de l’ Affaire du Beach, les génocides dans les quartiers du sud, dans le Pool, Niari, ceux pendant l’arrestation de Ntsourou, affaire des Biens Mal Acquis et autres crimes de sang continuent à traumatisser les Congolais et les tuer à petit feu : Les crimes contre l’humanité continuent au Congo où le peuple est privé d’eau potable, où le le peuple est victime de tant d’incidents pour incompétence du pouvoir; tels explosions de M’pila,les morts récents par inondation à Ngamakosso.Pour ne parler que de ceux làs
Il est temps de mettre hors d’état de nuire Sassou Nguesso et sa bande qui a choisi de sacrifier le Peuple pour vos intérêts égoïstes, partisans et mesquins.faut combattre par tous les moyens le système inhumain et sanguinaire de Sassou Nguesso. Il faut en finir avec le Régime du diable.” Il faut créer les conditions pour que ceux et celles qui sont responsables des crimes économiques et crimes de sang soient respondent à leurs crimes.On ne peut plus bâtir du neuf avec du vieux.” Le peuple doit sans plus attendre reprendre sa souveraineté. Avec ceux qui ont les mains propres, ceux qui doivent être le sous bassement du changement. Avec ceux qui veulent quitter le navire en acceptant « le principe de Vérité-Justice-Réconciliation ». C’est maintenant qu’ils doivent le faire, après il sera trop tard « pour resummer ici les écrits de Toungamani Benjamin. » Le peuple doit il encore à vivre des dures épreuves et Sassou, ses enfants et sa clique doivent’ils continuer à vivre dans l’opulence, dans l’impunité? A bàs Sassou Nguesso, ses enfants, sa famille et sa clique. A bàs les fossoyeurs et les indignes enfants du Congo.