Plaidoyer pour un Congo uni et solidaire des populations du Pool. Par David Londi

poolLe plaidoyer que je fais ici est à la hauteur de ma peine et souffrance. J’aurais exprimé la même indignation si c’était la Cuvette, les Plateaux, le Kouilou, tous les départements du Congo que je veux uni et prospère, un pays dans lequel chaque individu devrait trouver un équilibre social, moral, psychologique et économique.

Un pays baigné de fleuves majestueux, des plaines fleuries, où jadis, enfant, j’allais chercher les champignons à la belle période, un pays couvert d’une forêt, un des poumons du monde et enfin un pays béni des dieux, parce que riche. Ce pays est entré dans une période de folie par la volonté d’un seul individu qui se croit surnaturel, omnipotent et intouchable.

Ce peuple qu’il est en train de détruire puise ses racines dans les profondeurs du IVe siècle après JC, mené par des rois qui avaient déjà, à l’époque, le sens de l’organisation, le sens du commerce et de l’industrie, le sens de la bonne gouvernance, le sens de la valeur humaine. Ce peuple a échangé avec les Puissances politiques, économiques et sociales du XVè siècle, je cite le Portugal et l’Espagne qui se partageaient le monde.

Ce peuple a donné son nom au pays dans lequel nous vivons tous. Ce peuple qui préférait le commerce à la guerre, la bonne gestion à la cupidité et l’enrichissement sans cause, ce peuple est aujourd’hui réduit à vivre dans les forêts, à la belle étoile à la merci de toutes les maladies, de la faim et à la désespérance.

Ce peuple, pour des raisons que seuls les pseudo-constitutionnalistes connaissent, s’est fait déposséder le vocable de sa langue, elle a été qualifiée de Kituba au lieu de Kikongo qui reste son appellation en Angola (13% de locuteurs), dans le Bas-congo, cet héritage laissé par nos glorieux aïeux, enseigné dans les universités et possède même un MBA. Si l’on suit leur logique, le Français est parlé par les Français, l’Allemand par les Allemands, le Kikongo par les Kongos, le Kituba serait donc parlé par les Tubas, groupe qui n’existe nulle part en Afrique. Ils ont substitué la langue écrite depuis le XVè s à sa forme créole.

Pourquoi cet acharnement, pourquoi un régime dévoyé, voleur et sanguinaire s’entête-t-il à vouloir effacer toute une culture, tout un peuple qui ne lui a jamais cherché « noise » mais qui refuse tout simplement de se prosterner devant un individu qui a perdu la raison ?

Pourquoi pourchasse-t-il des hommes et des femmes qui ne l’ont jamais agressé depuis qu’il est au pouvoir ? Ce peuple, cher petit dictateur de Brazzaville, porte en lui une mémoire que tu ne pourras jamais effacer depuis ses grandes migrations du nord de l’Afrique jusqu’au bassin du Congo, il a porté son arche d’alliance qui fait son ciment.

Détrompe-toi, ce n’est pas pauvre « Mukongo », il est du rang des seigneurs et constitue le socle de la république, aussi longtemps que tu appelleras ce pays, Congo, il a la mémoire Kongo chevillée à toutes structures, ses mentalités et son développement ne peut se concevoir sans son apport essentiel.

Tout ce que tu es en train de faire c’est comme un plâtre sur une jambe en bois, tout s’envolera avec le vent qui a commencé à souffler et ton nom ne sera plus qu’une curiosité historique comme Néron, Caligula et Hitler. Tout sera réduit en poussière pendant que le peuple Kongo renaîtra de ses cendres parce qu’il a traversé 18 siècles d’histoire et dans son giron accueillera tous les enfants de ce pays, du nord au sud, de l’est à l’ouest parce que dans son ADN.

Ce peuple est pacifique et sait bien faire la part des choses, ce ne sont pas les paisibles gens de la Cuvette, de la Likouala, etc. qui viennent lui faire la guerre mais toi et ton clan. Vive le Congo uni, nous vaincrons !

Par David Londi

Diffusé le 28 octobre 2016, par www.congo-liberty.org

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96 réponses à Plaidoyer pour un Congo uni et solidaire des populations du Pool. Par David Londi

  1. le vantard dit :

    Vrai de vrai, le peuple est indestructible. Tel un phénix, il renait toujours des cendres.

    A contrario, Néron, Hitler, Pinochet, Amin Dada et autres criminels n’auront été que des accidents de la nature; tels le vih, le bacille de koch et autres virus.

  2. VAL DE NANTES,SASSOU déshabille SENGHOR . dit :

    La barbarie est mbochi et LE PARDON est du sud .L’intelligence est mbochi , et l’émotion est du sud .
    Voilà , résumée de façon lapidaire , la devise de la nouvelle république obtenue au forceps , par le sanguinaire d’OYOBEEK .
    A , partir de ce raisonnement mécanique, il n’est point besoin d’épiloguer sur un congo dont les dirigeants politiques n’entendent que la raison de la force …
    Voilà des salopards qui interdisent aux autres , ce qu’ils commettent tous les jours .J ‘ai parlé du tribalisme , et le crime , son corollaire .
    Et , ce bayaka sans substance , qui associe tous les opposants politiciens du sud à la complicité terroriste avec NTUMI , j’ai parlé de la MOUAMBA , lequel souffrirait d’être issu , d’une sous fifre tribu , face aux grandes , pour nourrir une vomissure à l’égard des gens du pool .
    Que NTUMI aille FAIRE UN PETIT COUCOU , aux bayakas , pour mieux mesurer la douleur des autres .
    Ce manque de solidarité risque de vous jouer un sale circuit .
    LES bayakas , taisez vous , ne valez pas un kopeck , face aux vaillants poolistes .

  3. VAL DE NANTES,SASSOU déshabille SENGHOR . dit :

    LIRE , vous ne valez pas ;;;

  4. Lucien Pambou dit :

    Merci Londi pour ce rappel historique sur la constitution de nos peuples et de leurs langues. Oui pour l’unité, oui pour l’entraide, la coopération de façon unie entre tous les trois grands peuples du Congo, les Ngalas, les Kongos, les Tekes et les autres subdivisions.

    Merci pour ce travail historique qui permet de combler l’inculture de certains sur ce site qui estiment que seule la division est la voie de salut. Une chose est sûre, il y a des problèmes entre nous pour constituer la nation congolaise, il y a des rapports de force entre les ethnies. Il faut se battre pour laisser à nos enfants un Congo plus apaisé et plus fraternel.

    Je ne suis pas dans un monde de bisounours, mais je me bats et je suis contre les idées d’un Val de Nantes qui est absolument séparatiste, c’est son droit, mais ses idées ne triompheront pas car le Congo va dans le sens de l’unité, malgré les séparations et les luttes fratricides entre nous.

    Le modeste théoricien ou en voie de l’être de la trajectoire et du réseau n’est pas naïf. Je sais que la route sera longue, je sais que les luttes fratricides seront toujours là, mais j’ai foi de façon naïve mais réelle en mon frère et ma soeur congolais, quelles que soient nos oppositions.

  5. endirectdebrazza dit :

    Nous devons vivre ensemble; il y pas de nord, sud etc, nous somme un seul peuple , un et indivisible; c’est pas un individu qui viendra tout chambouler, et les gens du pool doivent arreter d’etre fan d’un ntoumi fou ou de faire des dvd ridicule sur la sappe

  6. sassoufin dit :

    /// URGENT //// : Un procès stalinien en perspective. La suite du simulacre d’attaque du 04/04/2016, un procès en perspective pour tenter désespérément de neutraliser les leaders de la nouvelle Majorité Républicaine.
    La vérité vient de tomber… Sous les ordres de Mr 8%, le tyran Sassou Nguesso, Jean François Ndenguet va infiltrer une dizaine des Ninjas sur la quarantaine qui sera présenté au procès dit des soi-disant FALC et du révérend Ntumi Bintsamou Frédéric.
    ———————————
    Cette dizaine de supposés Ninjas qui sera présenté devant les juges de Oyo sont les instruments du scénario conçu par le pouvoir. Ces derniers sont chargés de citer Jean-Marie Michel Mokoko, Okombi Salissa et Massengo Tiassé, comme étant les complices du Président des FALC. Tout ceci est savamment conjugué pour matérialiser la thèse des attaques terroristes dans le Pool ainsi justifier les arrestations et autres traques des leaders cités plus haut tout comme Bowao, Mierassa, Oba, Munari etc.
    Ces soi-disants Ninjas ramassés ça et là, ne sont pas des FALC, ce sont des paisibles citoyens arrêtés dans le Pool et à Brazzaville pour leurs supposés liens familiaux ou amicaux avec certains jeunes soupçonnés d’être des FALC.
    #Sassoufit
    #Sassoule

  7. Anonyme dit :

    Lucien Pambou vous vous posez en maître en accordant des satisfécits ou bons points aux différents intervenants de ce site mais je ne pense pas que David LONDI est besoin de ceci car contrairement à vous, David LONDI a ouvertement choisit d’être au côté du peuple que l’on maltraite et désigne sans ambages et ambiguïtés le vrai coupable en l’occurrence SASSOU et son clan de mafieux.
    De façon insidieuse vous essayez de rallier à votre cause les autres intervenants pour noyer dans votre théorie fumeuse « de la trajectoire et du réseau » la responsabilité du premier responsable qu’est sassou que vous prenez bien garde vous,,, de désigner comme tel.

  8. Asiatique savon de Marseille et d'Ewo dit :

    Sassou ne connaît qu,une seule technique de guerre. Provoquer un faux mouvement pour massacrer par la suite. Depuis 1977, il agit ainsi. Il faut être bête pour ne pas le comprendre.

    Nous connaissons bien leurs pratiques. Tout ceci pour neutraliser les éléments gênant qui peuvent empêcher non la durée de leur règne, mais aussi la succession du pouvoir du père au fils. Ils créent des scénarios pour faire porter le chapeau aux innocents et laisser en paix les coupables. Le 04 mars est un bel exemple comme celui du 04 avril.

  9. Asiatique savon de Marseille et d'Ewo dit :

    Qui a trahi qui?
    Premier indice: chez le traître, la traîtrise est génétique et se transmet de père en fils et touche aussi les frères et soeurs.
    Deuxième indice: le traître ne sera jamais arrêté, en cavale ou inquiété comme Paulin Makaya, le général Mokoko ou Augustin Kala Kala.
    Troisième indice: Sassou veut faire du traître son interlocuteur privilégié au sein de l’opposition.
    Si vous avez la réponse dites-le ici. BrazzaNews ne sait pas oooh. On pose seulement la question. Ne venez pas nous insulter ici. Ya ba colères vé!

  10. Carnet de correspondance dit :

    ========= DONALD J. TRUMP POUR PRESIDENT ==========
    QUAND LES NOIRS AMERICAIN SOUTIENNENT LE PRESIDENT DONALD TRUMP POUR LA PRESIDENCE DE 2016!
    Les problèmes de corruption que soulève Mr. Donald Trump ressemble à la situation politique du Congo. Bien que Mr. Barack Obama et ses amis en Europe veulent à tout prix mettre Mme. Hillary Clinton à la présidence, par tous les moyens (à limage de l’élection présidentielle du mars 2016 au Congo-Brazzaville, avec Mr. Denis Sassou-Nguesso Nguesso par la fraude des urnes et la manipulation des masses, à travers les medias), cela vient comme pour confirmer que Barak Obama fut aussi impliqué dans la destruction de la democracie au Congo.
    Si vous suivez de pres le déroulement des élections présidentielles aux U.S.A, vous comprendrez…
    En conclusion, la victoire du Président Donald Trump en Novembre 2016 sera un message d’espoire à la libération du Congo-Brazzaville et autres.
    Soyez patient… Les amitiés avec les bonnes personnes apportent toujours une lumière et des benedictions à ceux qui marchent dans la droiture.
    N’est-ce pas surprenant de constater que l »Europe est contre M. Donald Trump au profit de Mme. Clinton? Les journaux Européens ne parlent que du mal de Mr. Trump comme fut le cas avec le général Jean-Marie Michel Mokoko.
    Quand le général Jean-Marie Michel Mokoko parle du respect des lois et de l’ordre au Congo, le Président Donald J. Trump prône le même principle aux U.S.A.
    Comme on dirait, qui se ressemble s' »assemble dans les idées.
    SOUTIEN AU GENERAL JEAN-MARIE MICHEL MOKOKO et AU PRESIDENT DONALD TRUMP.

  11. bizarre dit :

    Je suis circonspect sur cette campagne d’anti kolelisme. Que la meute se delecte à ce point, c’st qu’il y’a me semble -t-il une forme de préparation des esprits pour quelque chose. Attendons voir…. Du lourd à mon avis est entrain d’arriver…. A voir. Peut-être que je me trompe.

  12. OYESSI dit :

    @ Cher frère Lucien Pambou,

    « Une chose est sûre, il y a des problèmes entre nous pour constituer la nation congolaise, il y a des rapports de force entre les ethnies. »

    Voici le genre de phrases que je traque dans tous les posts que je peux lire dans ce site et qui me font tilt.

    Pendant que Londi pose un problème réel et nomme bien sassou comme étant notre plus grand diviseur, vous parlez  » DES PROBLÈMES ENTRE NOUS » NOUS QUI? Vous voulez parlez du nord et sud? et vous rajoutez « IL Y A DES RAPPORTS DE FORCE ENTRE LES ETHNIES » .

    Franchement est ce sérieux de ramer toujours entre ethnies alors que la problématique que soulève Londi essaie justement de s’en départir. Il dit bien qu' » il aurait exprimé la même indignation si c’était la Cuvette, les Plateaux, le Kouilou, tous les départements du Congo que je veux uni et prospère, un pays dans lequel chaque individu devrait trouver un équilibre social, moral, psychologique et économique. »

    De quels rapports de force entre les d’ethnies parlez vous? Non mon frère Lucien, pendant que nous pensons tous comment faire avec ce monstre de sassou qui n’a aucun respect pour la vie des autres Congolais au point d’en donner la mort comme il veut, vous nous parlez de votre trajectoire de réseaux dont les rapports de force entre ethnies est une composante.

    Dites moi si vous êtes pour un Congo uni ou pour un Congo dont les ethnies ont des problèmes entre elles et qui se gèrent selon leur rapports de force, mode de gestion qu’a choisi sassou depuis bien longtemps.

    Merci mon frère Londi pour ta contribution au rappel pour la prise de conscience des esprits encore mesquins de certains de nos frères qui ne pensent toujours que sur l’ethnie ou le clan.

  13. KONGO DIA NGUNGA OU LE KONGO DE LA CLOCHE dit :

    L’UNITE VRAIE NE DOIT PAS ÊTRE UN VAIN MOT,

    SON CHANTRE CONGOLAIS LUI A CAUSE DES MAUX,

    DES BLESSURES DE L’HISTOIRE QUI NE S’OUBLIENT GUERE

    DU FAIT DE L’INCOMPETENCE NOTOIRE DE MAMADOU TOUT-VA-GUERRE

    DEPUIS 1968, LE CONGO DE BRAZZA SOMBRE DANS LA DOULEUR,

    QUI NE DIT SON DROIT ET SON POUVOIR QUE DANS LE MALHEUR

    DU PEUPLE VAILLANT ET COMBATANT DE TATA BOUETA MBONGO,

    CE PEUPLE DE L’HISTOIRE QUI S’EST ILLUSTRE DEPUIS LE MONT DE MBANZA KONGO,

    EN DEVENANT PARTIE PRENANTE DEPUIS LA FIN DU XIVEME SIECHE DU DEVENIR,

    HELAS DE L’HUMANITE EN TOURNANT TOUJOURS SON REGARD VERS L’AVENIR,

    ET L’UNION DE SES FILS ET FILLES QUI NE VOIENT LE VIVRE ENSEMBLE,

    QUE DANS LE RESPECT DES UNS ET DES AUTRES QUI NE SE RESSEMBLENT,

    QUE DANS UNE FORTE ADHESION DES VALEURS ETERNELLES PARTAGEES AU MBONGI

    QUE REFUSE CE FOU FURIEUX SOUS LE COUP DE SONNETTE DES NGONGI,

    DES ASSEMBLEES JOYEUSES ET FRATERNELLES DES BANA-KONGO.

    OUI A L’UNITE MAIS PAS A N’IMPORTE QUEL PRIX ! L’UNITE DES PEUPLES CONSTRUITE SUR L’EMOTION ET LES SOUVENIRS DE L’ENFANCE DES UNS ET DES AUTRES N’EST QUE TROMPERIE ET OUVRE LA PORTE A LA « SUPERFICIALITE » DES CHOSES ALORS QUE CELLE QUI PORTE SUR DES VALEURS PARTAGEES EN RAISON DE LEUR CARACTERE TRANSCENDENTAL BATISSENT, CONFORTENT PARCEQUE L’INTEGRITE DE L’ETRE ET SON EPANOUISSEMENT SONT LA RAISON MÊME DE LEUR INSTITUTION.

  14. INCROYABLE MECHANCETE: L'ASECNA GUITEYE LE NARCO-TERRORISTE MALIEN DÉCAPITE ECAIR ET SASSOU S'ACHARNE SUR LE POOL dit :

    A TOUS LES MAÇONS SATANISTES DU CONGO!

    La politique c’est éphémère mais une équation est éternelle. Le Malveillant parasite OSSO et son maitre se croient immortels mais un jour ils payeront.
    seul le Congo est éternel.

    S’ILS SONT SI PUISSANTS QUE CA POURQUOI SONT ILS MANIPULES PAR UN NARCO-TERRORISTE!!!

    ECAIR LA VITRINE DU RENOUVEAU MBOCHI DÉCAPITÉ ! QUELLE HONTE!

  15. Le républicain. dit :

    Excellentissime discours monsieur Londi, bravo!

    @ monsieur VAL DE NANTES, tu es si intelligent pour t’adonner à des généralités qui ne reflètent pas ton rang.
    Ne staigmatisons pas toute une ethnie à cause des crimes execrables orchestrés par un clan mafieux bien determiné.
    Sassou et sa bande, ne représentent pas tous les Mbochis. Gardons nous de tout propos globalisant. Or, nous savons bien, que tout ce qui est excessif est insignifiant.

    Comment comprendre alors, le soutien indéfectible à ce régime, de certains ressortissants du pool, de la bouenza, du niari, de la lekoumou, du kouilou et des plateaux?
    Seraient -ils devenus des mbochis par procuration?

    En vérité, il faut nommer de façon disctincte les choses pour une meilleure clarté.
    Tous les Mbochis ne peuvent être tenus responsables de la barbarie de Sassou et ses sbires.
    Sachons raison gardée!

  16. alors les ninjas parfois ils sont "jeunes" parfois ils sont "faux".aujourdhui ce n'est plus la FADN mais les FALC pool tu es un fou.c'est de la demence ce que tu fais. dit :

    que se passerait il si enfin le pool se decidait de monter a bord du train de la republique.depuis juin 1993 le pool ne cesse de se battre contre tout chef d’etat.pascal lissouba en 1993 contre b kolelas et ninjas.denis sassou ng de 1998 a 2016 contre frederic bitsangou et les ninjas.soit 18 ans pour un total consolide de 23 ans de guerre.

    deja sous marien ngouabi le pool s’etait deja battu avec kinganga et diawara en attaquant la radio et la television nationale bien publics. marien ngouabi s’etait deja battu contre le pool a goma tse tse en 1970 et 1972.

    en 1984 le pool sous claude ernest ndalla et kiembissila posait des bombes au cinema ebina et avait prevu faire sauter la tour de controle de maya maya.LE POOL EST FOU.

    en 1965 le pool sous b kolelas, avait prevu place des dynamistes au niveau du stade eponyme al massamba debat pour nuire aux jeux africains.

    en 1994 le pool avait tue le conducteur d’une draisine du cfco. en 2016 le pool a tue le conducteur d’un train marchandises.le pool endeuille beaucoup le personnel du cfco.

    en 2015 le pool avait lance plusieurs appels au boycott des jeux africains.

    pool ecoutes moi.c’est de la demence ce que tu fais.A DEMENT DEMENT ET DEMI.

    message aux autres regions du congo. IGNOREZ LE POOL.

  17. Le républicain. dit :

    Asiatique savon de Marseille et d’Ewo

    Encore un rigolo avec un sujet inintéressant!

    Un conseil, si tu es partisan de ce monsieur que tu soupçonnes, ne le sois plus!
    Par contre, si tu ne l’es pas, alors, il est ou le problème? En quoi cela te concerne.
    Après tout il fait ce qu’il veut, non?!!
    Bouges de là!

  18. Le républicain. dit :

    « alors les ninjas parfois ils sont « jeunes » parfois ils sont « faux ».aujourdhui ce n’est plus la FADN mais les FALC pool tu es un fou.c’est de la demence ce que tu fais. dit  »

    Drôle de pseudonyme kilométrique!

    Discours creux, et plein d’inepties.

    J’ai juste aimé ta dernière phrase. Tu dis in extenso:

    « message aux autres regions du congo. IGNOREZ LE POOL. »

    Oui foutez nous la paix!

  19. Ubuntu dit :

    @alors les ninjas parfois ils sont « jeunes » parfois ils sont « faux ».aujourdhui ce n’est plus la FADN mais les FALC pool tu es un fou.c’est de la demence ce que tu fais.
    Si être esclave dans ton propre pays c’est pour vous un horizon indépassable, libre à vous. Il y a des gens qui luttent contre l’injustice comme les Mandéla, Sankara, Lumumba, Luther King. Le Pool est de ce côté là de l’histoire. Tant pis pour vous.

  20. revelino dit :

    Bien dit « Le républicain ». J’ose espérer que la barbarie de Sassou et ses sbires n’aura pas raison de toute une tribu les Mbochis.

    Pour mon ainé Lucien, comme mon ainé Oyessi a su le dire, il n y a pas de problème entre tribu. Il n y en a jamais eu et il y en aura jamais. Notre problème, c’est Sassou et son système qui veut détruire notre dénominateur commun: le Congo. Un peuple survit toujours aux malheurs imposés par un dictateur. Le Congo survivra à Sassou en particulier le peuple dans le Pool qui souffre le martyr survivra à cet indécrottable. Vive le Congo uni.

  21. OYESSI dit :

    @ VAL DE NANTES,

    Je commence à ne plus te reconnaître. Finalement, tu commences à tomber dans la stratégie nord/ sud comme beaucoup d’entre en refusant de rester digne fils de ce pays que nous voulons tous le nôtre à un moment où notre frère Londi fait l’effort malgré ce qui arrive dans le Pool et qui torture tout démocrate
    Quand je vois le Républicain vous ramené sur le droit chemin, j’en ai un peu honte car je vous sais enfant du Congo et non celui des ethnies.De grâce laisse cette république à ceux qui ne voient le Congo que sous un autre prisme.

  22. Anonyme dit :

    Belle analyse LONDI, le peuple Kongo survivra au petit médiocre d’Oyo. Les juifs, les arméniens et les tsutis ont survécu au génocide, le peuple du pool et le Congo tout entier survivront au tyran.

  23. Morceaux choisis: dit :

    Ce qui se passe au Congo et particulièrement dans le Pool est un génocide ( l’Opération « Mouébara commencée en 1998 – 2003 » chère au génocidaire, terroriste Sassou Nguesso. Il est curieux qu’ il ya encore certaines personnes, certains médias qui se demandent par complicité, complaisance ou ignorance qui est responsable de la crise du Pool, du Congo. Pourquoi soient ‘ils incapables d’ analyser les faits et comprendre les responsables de Sassou Nguesso et sa clique qui se dégagent à la lumières des faits établis et l’histoire? Le pouvoir illégitime du Congo ordonne depuis 7 mois les bombardements de son armée tribale -milice sur les civiles, a déployé des milliers de soldats, miliciens, mercenaires qui se livrent aux massacres, viols contre les paisibles populations au su du monde entiers et il y’a encore des gens, des médias à croire aux mensonges du Pouvoir génocidaire du terroste d’état Sassou Nguesso? Comment peut-on être naïf à ce point et croire aux déclarations du pouvoir illégitime, terroste de Sassou Nguesso? Le génocidaire, Sassou Nguesso trompe, manipule le monde depuis des années. Porter le moindre crédit aux discours du pouvoir illégal, illégime de Sassou Nguesso, animés par l’instinct criminel, maniac, qualifiant de délinquants ou terroristes Ntoumi, tous les vaillants enfants du Pool qui se défendent contre les agissements des forces barbares, les escadrons de mort envoyés par Sassou Nguesso et la clique qui sont les vrais terrorists pour tuer les Laris-Bacongos est une naïveté ou une bétise absolue. Comment Ntoumi peut d’ailleurs avoir tant d’armes, d’hommes, être partout dans le Pool, la Bouenza pour donner la mort aux populations et faire tant de destructions des localités que l’on connait, alors que plus de 5000 soldats, miliciens, mercenaires du pouvoir , sensés protégés les populations y sont déployés?
    « Ntumi est accusé de faits qui se sont déroulés dans la nuit du 4 avril 2016. Des faits ponctuels qui se sont déroulés à Brazzaville ont déclenché non pas une enquête et une opération de police mais une guerre avec des chars, des voitures blindées et des hélicoptères de combat pilotés par des mercenaires ukrainiens. La réaction du régime Sassou Nguesso, le terroriste, l’ homme qui se croit trés fort et intouchable, est vraiment trop disproportionnée: Elle est insensée,car une opération de police se fait sous enquête menée par des juges d’instruction et nonpar des bombardements aveugles, pendant des mois,qui inéluctablement ne peuvent que tuer sans distinction et non à capturer qui que ce soit, si le but réel n’est pas la poursuite du génocide( l « opération Mouébara » amorcé en 1998- 2003 par Sassou Nguesso) et resté jusqu’à présent impunis qui engendré l’affaire des disparues du Beach.Comment peut-on parler de « vivre ensemble » avec des hommes animés par l’instinct de l’ignominie poussé à l’ extrême. » »la confiscation perpétuelle du pouvoir d’Etat par un seul clan et une seule famille, dans des visées de domination absolue des autres Congolais.Pour exécuter cette idéologie, Sassou et ses adeptes entreprennent depuis 40 ans de multiplier des crimes de sang et des crimes économiques pour conserver un pouvoir usurpé. » La haine de Sassou Nguesso contre les Laris, Bacongos; les habitants, les originaires du Pool est connue publique depuis 1977 après qu’il ai assassiné le Président Ngouabi et quand il accuse les Laris- Bacongos d’avoir commis cet assassinat. L’ancien président, Alphonse Massamba-Débat; soit disant premier accusé est exécuté précipitament . Le cardinal Émile Biayenda est enterré vivant 2 jours plus tard. Des centaines d’autres cadres, personnes appartenant à la tribu Lari – Bacongos sont fusillées sous les ordres de Sassou Nguesso qui va continuer allégrement à commettre d’autres crimes contre l’humanité tel que celui des disparus du Beach. Depuis le 17 Octobre 2015 à nos jours, des centaines de Congolais ont été assassinés par les adeptes de Sassou dans leur quête extrémiste de confiscation perpétuelle d’un pouvoir usurpé. Des dizaines de leaders politiques sont soit emprisonnés ou soit en clandestinité forcée à cause de la « machine à détruire » de Mpila.Des milliers de Congolais anonymes ont été enlevés et mutilés depuis le 17 Octobre 2015 parce qu’ils se sont opposés à la stratégie d’installation d’une monarchie au Congo :le dernier exemple parmi 1.000 est celui d’Augustin Kalla Kalla, dont le corps a été saccagé à l’extrême et les os brisés parce qu’il a dit NON à Sassou et son clan. »Comment Sassou et son gouvernement peuvent’ils nous dire qu’ils soutiennent un dialogue inclusif d’un côté et de l’autre, encourager les enragés de la propagande et de la tuerie continuer à sévir dans une région ou résidents pleins d’enfants, des femmes et vieillards ? Comment peut-on accuser tout le monde en partant de l’opposition, l’Église catholique, en passant par la société civile d’être des ennemis du peuple clairement appelé de surcroit « des terroristes » Dans ce contexte vers quel dialogue naviguons-nous lorsque l’on sait que le double langage de ce gouvernement est établi ? Et l’objectif de ce dernier est la non-participation de NTUMI au dialogue. Quelle diversion, pour ne pas dire indécence, lorsque ce gouvernement de Mr MOUAMBA » traite le révérend NTUMI « de terroriste » ne serait-il de ce fait le torpilleur en chef ? En effet pendant près de 15 ans, ce gouvernement des caméléons n’a-t-il pas signé la paix avec NTUMI au point que les responsabilités politiques rattachées à la présidence lui soit confiés ? Dire qu’un certain homme politique aura pris la dangereuse idée d’aller sortir NTUMI de sa réserve aura été l’élément déclencheur de la barbarie actuelle du POOL est d’une stupidité digne des attardés mentaux. Sassou Nguesso et son gouvernement manquent de courage politique et naviguent dans une suspicion permanente de la pseudo-dangerosité de l’homme du Sud en particulier du POOL . « Une certaine source nous informe que Sassou Nguesso a récemment donné » personnellement des instructions à ses miliciens pour un assaut imminent sur les quartiers sud de Brazzaville. Il projette une fois encore se servir des faux ninjas pour mettre les quartiers Sud de Brazzaville à feu et à sang, massacrer neutraliser les opposants et massacrer les civiles.Sassou-Nguesso reste un danger permanent pour les Congolais, pour les Laris-Bakongos. » Congolais!Il ne faut pas se perdre dans des discussions stériles: Il faut dénoncer avec toutes les forces la politique de la repression sauvage, de la torture et du génocide pratiquée par Sassou Hguesso et son pouvoir illégitime. Il faut condamner le génocide dans la région du Pool, et apporter son soutien indéfectible à tous ceux qui combattent contre les forces barbares, de Sassou Nguesso,le tyran sanguinaire sur le terrain.

  24. alors les ninjas parfois ils sont "jeunes" parfois ils sont "faux".aujourdhui ce n'est plus la FADN mais les FALC pool tu es un fou.c'est de la demence ce que tu fais. dit :

    le pool est une region salope.oui les autres regions du congo doivent tout bonnement ignorez le pool vs etes une famille de dix enfants.votre ainee est une pute.que doivent faire les autres enfants.vs lignorez.autre cas de figure.votre aine est un baggareur.que doivent faire les autres enfants.c’est de l’ignorer.

    le pool pleure oui MAIS POURQUOI AVOIR FAIT QUOI ET POUR AVOIR DIT QUOI.

    le pool pleure parceque malleable comme pas possible.je n’ai jamais vu une region aussi naive que le pool.le poll pleure parceque il ne sait pas gere les chefs detat conglais.le pool pleure car mal eleve et mal eduque.

    deja en 1963 sans preuves et nayant aucune connaissance en finances publiques le pool comme un imbecile avait traite l’abee fulbert youlou de voleur.pool on injurie pas un chef d’etat. l’abee n’avait pas aime cette insulte trop gratuite.en retour il avait maudit cette region.oui le pool est maudit.

    place sous couvre feu sous alphonse massamb debat le pool avait recu ses premeires charges de kalachnikov avec marien ngouabi a goma tse tse. le pool contre attaquait en brulant au passage la radio et la tele. marien ngouabi reagissait en rasant la foret de la patte doie qui s’etendait du palais des congres au chateau d’eau de kinsoudi.les ancetres ninjas se refugiaient a diata.ngouabi se resolut d’allotir cette zone. helas la malediction de youlou avait refait surface au point que des annees apres diata etait devenu un grand tombeau des laris vivant assassines a diata makazou moutabala mbimi…

    en 1977 1978 yombhy opango les tue tous. 1979 arrive denis sassou ng le pays change.quelques batiments modernes sortent de terre.1990 1991 conf nat et puis boom le pool est invite a prendre la parole a la conf nat et a donner son avis sur l’etat de la nation.le voila dans sa veste preferee.il injurie denigre vilipende meprise ment minimise defait la republique renverse les institutions annule l’assemblee nat le bureau politique du pct defait tout sur son passage.

    1991 milongo premeir minsitre le pool voit son etiole briller.1992 vicotrorie de p lisosuba le pool contesteet prend les armes contre p lissouba. lissouba effraye le pool marche au ccf le voila recu par une rafale de kalachnikov tiree par ferdinand mbaou chef de la garde presidentielle de p lisssouba.

    sassou comprend yombhy comprend et sapproche de lissouba qui en fait un premier ministre.le pool se souvient de yombhy et dresse des barricades.yombhy frappe le pool frappe bac et mak avec des chars T 54 des forces armees congolaises.le pool craque kolelas fuit.

    1997 p lissouba esquive l’election presidentielle que devrait remporter denis sassou ng(cas du benin avec le ret de matthieu kerekou) ou andre milongo (en tt cas p lissouba ne pouvait pas remporter l’election presidentielle de 1997) alors p lissouba frappe mpila sassou ng se defend bien repousse p lissouba.lissouba reactive le dossier du « sud » invite le pool a la guerre et les ninjas en bon idiots se battent contre denis sassou ng. les cobras frappent tout le pool tout bac et mak et detruisent le port de main bleue.

    le pool pleure.

    1998 le pool apres avoir assassine des abees et des pasteurs partis a mindouli pour la paix entre sauvages ninjas et gvt congolais , comme une deferlante se retrouve a brazzaville. les laris crient a la victoire. »vive les aines vives les aines ns sommes libres merci merci…. » sassou ng reagit frappe le pool et le pool crie au genocide.le pool fabrique des mensonges du genre motando et ntumi sont des beaux freres.

    QUELLE REGION !

    2002 le pool demeure indifferent aux elections presidentielles faute de candidat lari 2009 toujours indifferent pas de candidat lari et 2016 il vote avec guy b p kolelas comme leader lari.il est battut le pool crie au vol et prend les armes. il brule la mairie de makelekele de 03h du matin a 06h du matin. sassou ng se fache et frappe le pool.le pool cree des mensonges du genre « c’est un slip de femme qui en est la cause » « ah non il ya du coltan du pool » mais des eclaires congolais disaient NON AU MENSONGE EHONTE DU POOL.CES COMPATRIOTES ECLAIRES DISAIENT CLAIREMENT AU POOL QUE TU ES UN ASSASSIN.TU AS TUE UN CONDUCTEUR UNE FILLETTE UN COMMERCANT ET TU OSES PARLER DE COLTAN.

    C’EST LE POOL QUI GASPILLE LE CONGO.COMMENT UNE REGION PEUT ELLE SE BATTRE CONTRE TOUS LES REGIMES.

    le pool court derreire le pouvoir depuis 1968 soit 48 ans de course effrenee.oui le footing devient epuisant au point que tout enerve le lari.tout. tout dirigeant non lari enerve le pool.

    ILS PEUVENT PLEURER LAISSEZ LES. ILS PLEURAIENT HIER ILS PLEURENT AUJ ILS PLEURERONT DEMAIN. PARCEQUE PROVOCATEURS.

  25. VAL DE NANTES,CREVONS l'abcès dit :

    @OYESSI ET LES AUTRES , je ne lis que les pensées , de nos pseudos dirigeants de notre pays et je n’ai rien inventé .
    Que feriez vous , quand les miliciens de SASSOU saccagent le cimetière de votre grand père ?
    Ceci se passe à KIBOSI non loin de mon compatriote LONDI .
    On fait quoi , on va jouer au gentil , devant ces barbares ?
    Il faut crever l’abcès qui fait mal à notre pays , le tribalisme et son corollaire , la guerre .
    On pille , en scandant les paroles du genre ;;;TOKOBOMA BAKONGOS ;
    ils tuent au nom du tribalisme ,et ils en sont fiers , KIBOSI est désert du fait des massacres des pauvres innocents OUI , j’en ai perdu des parents , les nouvelles nous viennent au fil de l’eau .
    CREVONS CET ABCES dont les congolais , ont hypocritement honte .Ceux qui s’en abstiennent font le jeu de SASSOU .
    IL FAUT APPELER UN CHAT ,UN CHAT .

  26. Carnet de correspondance dit :

    ========= DONALD J. TRUMP POUR PRESIDENT ==========
    QUAND LES NOIRS AMERICAIN SOUTIENNENT LE PRESIDENT DONALD TRUMP POUR LA PRESIDENCE DE 2016!
    Les problèmes de corruption que soulève Mr. Donald Trump ressemble à la situation politique du Congo. Bien que Mr. Barack Obama et ses amis en Europe veulent à tout prix mettre Mme. Hillary Clinton à la présidence, par tous les moyens (à l’image de l’élection présidentielle du mars 2016 au Congo-Brazzaville, avec Mr.

    Denis Sassou-Nguesso Nguesso par la fraude des urnes et la manipulation des masses, à travers les médias), cela vient comme pour confirmer que Barack Obama fut aussi impliqué dans la destruction de la démocratie au Congo.

    Si vous suivez de près le déroulement des élections présidentielles aux U.S.A, vous comprendrez…
    En conclusion, la victoire du Président Donald Trump en Novembre 2016 sera un message d’espoir à la libération du Congo-Brazzaville et autres.

    Soyez patient… Les amitiés avec les bonnes personnes apportent toujours une lumière et des bénédictions à ceux qui marchent dans la droiture.

    N’est-ce pas surprenant de constater que l »Europe est contre M. Donald Trump au profit de Mme. Clinton? Les journaux Européens ne parlent que du mal de Mr. Trump comme fut le cas avec le général Jean-Marie Michel Mokoko.

    Quand le général Jean-Marie Michel Mokoko parle du respect des lois et de l’ordre au Congo, le Président Donald J. Trump prône le même principe aux U.S.A.
    Comme on dirait, qui se ressemble s’ »assemble dans les idées.

    SOUTIEN AU GENERAL JEAN-MARIE MICHEL MOKOKO et AU PRESIDENT DONALD TRUMP. http://congo-objectif2050.over-blog.com/2016/10/le-grand-maitre-andzimbiste-franc-maconnique-sassou-nguesso-en-renfort-militaire-au-dictateur-kabila-de-la-rd-congo.html

  27. Lucien Pambou dit :

    A Oyessi,

    Tu ne m’as bien lu ou tu as lu trop vite. je ne suis pas séparatiste et je ne le serai jamais, à la différence de certains comme Val de Nantes ou Robert Poaty Pangou.

    Quand je parle de l’ethnie, je m’appuie bêtement sur les analystes séparatistes qui sont sur ce site. Je dis les choses de façon claire, ce que certains camouflent puisque certains pensent qu’on ne peut pas vivre ensemble, qu’il y aurait un Congo du Nord et un Congo du Sud. Ce n’est pas ma vision, mais je suis obligé dans l’analyse des trajectoires et des réseaux de bien vous montrer, même si ça déplaît, qu’une partie des problèmes du Congo vient, même si certains s’en défendent, des rapports pas toujours évidents entre ethnies au pouvoir (que d’aucuns qualifient comme les Bochis avec Sassou) et les autres. L’affirmer, est-ce devenir séparatiste ? Je dis non cher Oyessi. Londi pose un problème réel et je répète: il améliore une inculture de la plupart d’entre nous sur la nécessité de faire peuple. je suis nourri au débat contradictoire et ce qui m’intéresse ce sont les acteurs du réseau. Certains disent que j’évite de nommer Sassou dans mes analyses, faux: lisez le papier que j’ai paraitre sur le Huffington Post où de façon brutale je l’interpellais pour que les réponses sociales, culturelles et politiques soient apportées au peuple congolais:

    http://www.huffingtonpost.fr/lucien-pambou/le-president-congolais-relevera-t-il-les-defis-quil-a-fixes/?utm_hp_ref=fr-

    Voilà cher Oyessi quelques fragments de débat et il est normal que vous m’interpelliez et que j’apporte une correction à ce que vous dites.

  28. OYESSI dit :

    @ VAL DE NANTES,

    N’ouvrons pas les portes déjà ouvertes pour nous donner la conscience tranquille.

    Depuis le 4 Avril 2016, nous débattons ici de ce qui se passe dans le Pool et nous savons tous ce qui s’y passe tous les jours.

    QUEL ABCÈS CREVONS NOUS? et QUEL CHAT QU’IL FAUT APPELER UN CHAT PAR UN CHAT que nous ne connaissons pas?

    Quand les miliciens de SASSOU saccagent le cimetière de votre grand père je ne serais jamais d’accord. Puisque les auteurs ou l’auteur sont ou est connu(s), je ne serai pas là à crever seulement l’abcès mais je chercherai à faire de telle sorte que ce abcès ne revienne plus pour m’indisposer.

    Je ne dis pas qu’il faille jouer au gentil avec ses barbares. Pour vous il suffit seulement de creuser l’abcès et les barbares s’arrêtent. Ils tuent au nom du tribalisme, c’est ce que beaucoup d’entre nous dénoncent à longueur de journée, les barbares continuent et continuent leur barbarie.

    C’est pourquoi, je ne suis pas d’accord avec ceux qui continuent à surfer dessus comme pour attiser le feu alors que nous sommes tous impuissants devant ces barbares.

    Quand les cimetières des Juifs sont profanés en France, là où vous êtes, on fait quoi? On recherche les auteurs et dès qu’ils sont arrêtés, ils son traduits en justice et mis en prison. Ceux qui saccagent ceux de nos grands pères comme tu le dis sont connus, ce sont les barbares que tu ne peux arrêter et nous les connaissons. C’est sassou et ses mercenaires. Nous avions laissé Ntumi seul se battre et nous, toi et moi qui s’ abstiennent d’aller au combat faisons le jeu de SASSOU. C’est de cela qu’il s’agit.

    TOKOBOMA BAKONGOS ne sont que des imbécilités des gens de bas étage sans plus. BAKONGOS BA BOMI NGOUABI était il une réalité? La CNS nous a prouvé le contraire.

    VAL DE NANTES, volons plus haut et ne nous arrêtons pas à des niaiseries qui ne nous grandissent pas. Qu’un sac à dos sorti de sa forêt de TSAMBITSO, idiot qu’il est , vienne crier TOKOBOMA BAKONGO parce que sassou lui a mis cette connerie dans sa bouche qui pue le chanvre, je peux comprendre parce que c’est un fanatique béat qui ne compte que sur son sassou, mais quand une intelligence comme la vôtre s’y attarde, on n’avancera jamais parce quand un autre imbécile dit que MUNGALA MUTU YA PAMBA PAMBA, j’en rigole voyez vous.

  29. Ubuntu dit :

    @
    alors les ninjas parfois ils sont « jeunes » parfois ils sont « faux ».aujourdhui ce n’est plus la FADN mais les FALC pool tu es un fou.c’est de la demence ce que tu fais.

    Encore un cobaye sorti des laboratoires d’Oyobeek, votre ripoublique bannière, avec comme cerveau une bouillie d’inepties incompréhensibles. Allez vous acheter un cerveau avant de venir baver sur ce forum.

  30. OYESSI dit :

    Cher Lucien Pambou,

    Non, je t’ai bien lu et pas trop vite, c’est pourquoi je me suis arrêté sur votre phrase ci dessus qui a attiré mon attention.

    « Une chose est sûre, il y a des problèmes entre nous pour constituer la nation congolaise, il y a des rapports de force entre les ethnies »

    L’explication que vous tentez de me donner qui est « des rapports pas toujours évidents entre ethnies au pouvoir (que d’aucuns qualifient comme les Bochis avec Sassou) et les autres. »

    Pourquoi les ethnies au pouvoir constitueraient elles entre elles des rapports de force alors qu’elles sont partie prenantes d’un même pouvoir. Là je ne te comprends pas. Je ne te taxe pas de tribalisme, je n’en ai pas le droit parce que je me refuse de l’être sauf qu’ici, en parlant des rapports de force entre les ethnies, tu es tombé dans le panneau des tribalistes qui voient le Congo en nord sud.

    Pour preuve tu parles d’ « Une chose est sûre, il y a des problèmes entre nous pour constituer la nation congolaise » Ton nous c’est qui? Ce sont les ethnies au pouvoir? ou celles qui sont hors pouvoir du nord au sud Congo. En tout cas, pour moi, celles qui sont au pouvoir ne peuvent avoir des problèmes entre elles car elles sont dans le même panier et le gardent jalousement.

    Je ne suis pas convaincu de tes explications.

  31. Lucien Pambou dit :

    A Oyessi

    Tu ne m’as toujours pas compris Oyessi. Si je pars dans la trajectoire et le réseau, tu peux comprendre que les ethnies différentes peuvent se combattre en sous-main et être d’accord de façon objective car au mouvoir toutes n’ont pas le même pouvoir, une est dominante et les autres sont en allégeance. la force de l’analyse de la trajectoire et du réseau, c’est de sortir de l’empathie et de regarder les acteurs de façon neutre. Je ne tombe pas dans le panneau des tribalistes que je combats, mais leurs admonestations apportent du biscuit à mon analyse des trajectoires et du réseau car les rapports entre populations au Congo sont paisibles, conflictuelles et compliquées, je fais exprès de le dire car c’est la réalité. Derrière les sourires et les embrassades, des problèmes de fond demeurent et s’expriment à la moindre difficulté. Il y a des problèmes entre nous, nous Congolais. Tu fais exprès de ne pas comprendre. Tu sais que mon départ d’Africa 24 est liée au fait que je disais brutalement les choses, ce qui n’avait pas l’heur à Constant Nemale. moi j’assume ce que je suis.

    Je reprécise encore: le nous, c’est l’ensemble des Congolais au pouvoir et en dehors du pouvoir. je vais plus loin et plus précis: surtout les intellectuels congolais et les politiques qui instrumentalisent les populations. On se fait des mamours, mais on ne s’aime pas beaucoup et on se ment mutuellement. Je ne suis pas un diviseur, mais il faut que les problèmes soient posés sur la table. Je sais que notre culture française nous oblige au camouflage et au bavardage. Tiens je vais faire un parallèle qui est actuel: Manuel Valls critique dans l’avion le Président de la République Hollande en disant que sa sortie dans le livre de Davet et Lhomme faisait honte à la Gauche et que lui, Valls, devrait prendre ses responsabilités. Tiens, pourquoi il ne démissionne pas ? parce qu’il est lâche et qu’il va affirmer sa loyauté à Hollande. Ce parallèle, si tu l’analyses bien, te permets de comprendre ce qu’il se passe aujourd’hui dans la vie politique congolaise.

    C’est bien cher Oyessi de montrer des désaccords et c’est normal, mais c’est aussi mieux de contextualiser les débats et de voir que la variable ethnique est au centre des relations entre nous Congolais. Je suis partisan de la distance à prendre avec cette variable ethnique. Nous parents au Congo sont prêts à le faire, mais vous intellectuels et manieurs d’idées, malgré vos grands discours et vos lectures décontextualisées, êtes-vous prêts à construire une Nation hors de la variable ethnique. vous le répétez tellement sur ce site que je suis obligé d’en prendre compte dans mes analyses, même si cela ne me fait pas plaisir.

    A très bientôt cher Oyessi, je sais que tu vas me répondre et dire le contraire. Ainsi va notre pays dans ses galéjades permanentes et son amusement épistolaire.

  32. Lucien Pambou dit :

    « L’heur de plaire à Constant Nemale »… qui n’est pas pour moi un journaliste politique, mais sportif qui a commencé par le basket mais qui a pensé que la politique pouvait être un élément profitable.

    Désolé, il y a des fautes d’accord, je n’ai pas relu …

  33. kouilou dit :

    Arrêtez de nous prendre pour des cons. Tout le monde connait le pacte qui lie les gens du Nord. Nous Kongo comme des idiots on tombe toujours dans le panneau. Sassou nous massacre, on tue les Kongos tous les jours avec l’approbation de certains de nos frères Kongo venduent pour quelque billet de CFA Exp. Manoukou Kouba Jean Pierre. et nous comme des idiots nous tombons toujours dans le piège que ces gens nous tendent. On nous parle à longueur de journée d’union nationale, du vivre ensemble et j’en passe. Avez-vous vu quelque part un début d’union nationale? ou d’une esquisse du vivre ensemble? non c’est du vent tout ça. Les gens du nord nous endorment comme par magie et non peuple Kongo on croit à tout comme des enfants. Je viens de lire sur un site que Sassou se prépare a attaquer le Niboland par ce qu’il parait que Ntoumi se trouve dans cette région et qu’il prépare un coup d’État avec l’appui du Président Gabonais, après il trouvera un prétexte pour le Kouilou. Une chose me choque c’est gens qui nous parle d’union nationale, que nous formons tous une même peuple; ou sont-ils quand leur Kani nous massacre? que font-ils? que disent-ils sur le génocide que nous subissons? Ne soyons pas dupe. Ces mbochis savent bien ce qu’ils font c’est à nous Kongo de réagir et prendre notre avenir en main sinon nous sommes appelé a disparaitre sur le sol Kongo et les gens du nord viendront en vainqueur sur le sol de nos ancêtres.

  34. De la Maza dit :

    Je serai pas étonné d’apprendre que Val de Nantes terrain des barrages-filtres à Bacongo du temps des Ninja.

    Ce type est integriste haineux.

  35. De la Maza dit :

    Lire : tenait des barrages filtres.

    Val de Nantes est dangeureux au même titre que Sassou nguesso

  36. Anonyme dit :

    Lucien Pambou je vous cite lorsque que vous répondez à la question que vous ménagiez sassou:

    « lisez le papier que j’ai paraitre sur le Huffington Post où de façon brutale je l’interpellais pour que les réponses sociales, culturelles et politiques soient apportées au peuple congolais »

    C’est ridicule, j’ai lu et relu votre article et je n’ai rien trouvé de brutal dans ce que vous dite loin de la mais plutôt un article très complaisant à l’encontre du pouvoir dictatorial de sassou comme si nous avions à faire à une démocratie.

    Par contre vous êtes très filou, çà je vous le concède, car de manière insidieuse vous essayez de rallier à votre cause les autres intervenants pour noyer dans votre théorie fumeuse « de la trajectoire et du réseau » la responsabilité du premier responsable qu’est le DICTATEUR sassou que vous prenez bien garde vous,,, de désigner comme tel.
    Vous essayez par tous les moyens que les interpellations des uns et des autres ne soient plus ciblées principalement contre VOTRE Cher Président mais s’égarent dans les méandres de vos théories plus ou moins intellectuelles.
    Ce qui me désole c’est que certains sur ce site semble avoir été plus ou moins piégés par votre jeu de dupes.

  37. macktchicaya dit :

    CE QUI EST SÛR

    Comme dans chaque pays le CONGO a une substance ethnique et donc régionale, et de ce fait se pose des problèmes de cohabitations que jadis la nature a résolu d’où les frontières naturelles d’une région à une autre en bonne intelligence d’avec les autres.Les us et coutumes nous collent et nombreux vivions dans cette sphère où la stratification tribale ne gène personne dès l’instant où les peuples échangent sans difficultés.

    Comme partout ailleurs il y a des difficultés mais la loi suprême, l’état de Droit, organise autour d’une constitution la démarche et de l’individu et de la république dans ce même espace. Comment pouvions parler aujourd’hui de tribalisme ou de régionalisme? c’est simple par les faits historiques et ceux du moment car il y a une meute de gens au pouvoir qui manipulent une opinion agrippée aux subsides pour les besoins de leur existence et donc le contrôle de la machine d’état.

    Ce qui est sûr est que le mal du CONGO est connu :c’est un homme certes ressortissant d’une tribu d’une région et de fait d’une ethnie en complicité avec les enfants d’autres régions (pour leur intérêt) qui sème le désarroi le chaos. Ceux des hommes et femmes pris en otage par ce système pour avoir dealer, consciemment ou inconsciemment, avec ce pouvoir ne savent plus comment s’y détacher en exemple le clan des cadres du pool, et les anciens ténors du « Niboland » aujourd’hui transfuges.

    Nous n’en dirions pas plus les noms sont connus. NTUMI considéré comme gibier à traquer n’est qu’un subterfuge bien qu’ayant dans le passé contribué à consolider ce pouvoir dans ces exactions des populations du pool et de la Bouenza, mais aujourd’hui la raison l’ayant conquise se remettant du côté de la cause du peuple se voit donc rechercher. Bref NTUMI est dans le secret il connaît beaucoup, et le tyran ne peux accepter le voir en vie puisque lui NTUMI générait l’arrivée au pouvoir du fils promu.

    Ce qui est sûr c’est que ce pouvoir tyrannique vise un dépeuplement des habitants du pool, aussi programmerai en même temps un génocide que eux commanditaires et exécutants n’arrivent point à mesurer puisque l’écoulement du sang des autres est sans remords. ce qui est sûr que font encore dans ce milieu des gens comme :BAKABADIO, MVOUBA, TCHIBAMBELELA, MOUGANI,KOUMBA, MABIALA, Maître LENGA le conseiller spécial du tyran,NSILOU,? .

    J’en passe le tribalisme ou le régionalisme est cette arme que ce pouvoir présente pour accomplir son forfait et des populations abruties et personnalités de faibles esprits y adhèrent. Le peuple MBOCHI n’est certes pas en intelligence avec ce pouvoir mais il s’agit d’un homme et son clan en sus des affidés et seigneurs de guerres qui sont le véritable goulot d’étranglement du pays. La théorie du nord contre le sud est une aberration s’il faut comprendre comme cela la situation du pays sinon aux alentour de ce pouvoir il n’y aurait pas des individus ici précités.

    Ne tombons pas dans ce piège la situation est clairement identifier car en droit pénal la responsabilité est individuelle et au moment opportun de loin ou de près ceux qui ont concouru à ce génocide et qui y concourent encore seront mis devant la vindicte populaire, ils le savent mais comme ils sont liés par leurs intérêts qu’ils défendent en ce moment leur conscience est hypertrophiée. IL N’Y A PAS DE GUERRE MBOCHI – KONGO il y a un clan barbare au pouvoir qui commet des exactions (tue ,brûle, viole, extermine, bat, détruit) dans une région du pays où vivent aussi des Congolais c’est une reproduction des affaires d’ikonongo à l’époque où ce même tyran recherchait ANGA Pierre qui, lui, aussi connaissait beaucoup sur la mort de Ngouabi, c’est que dans le pool les proportions d’animosité sont criardes.

    CE QUI EST SÛR C’EST QUE LE PAYS SOUFFRE , LE PEUPLE LE VRAI ET NON LES TRAÎTRES, CROUPIT DANS LA MISÈRE Rassemblons nos énergies pour trouver la formule de faire que ces démons quittent ce pays

  38. OYESSI dit :

    @ Cher Lucien Pambou,

    Je ne vous réponds pas pour vous contredire car ce n’est pas une affaire personnelle en vous et moi. Il s’agit ici d’un débat qui divise tant les Congolais. Celui du tribalisme. Je n’ai pas dit que vous étiez le diviseur.

    Tu dis qu’il y a des problèmes entre nous, nous Congolais et je fais exprès de ne pas comprendre. Si la variable ethnique est au centre des relations entre nous Congolais,c’est parce que nous le voulons en s’agrippant derrière nos ethnies et en s’alignant systématiquement derrière les politiques parce qu’il y a que derrière eux qu’on trouve notre compte.

    Tu es partisan de la distance à prendre avec cette variable ethnique, moi je n’ai jamais été partisan de cette variable depuis longtemps parce que mon parcours personnel depuis mon jeune âge s’est fait hors cette variable et je n’en fais pas un élément de réussite. Qui ne sait pas qu’au Congo, quand l’ethnie est au pouvoir, c’est toute la tribu qui en est le bénéficiaire d’où nos perpétuels déchirements entre ethnies.

    Ayant grandi à Poto Poto depuis l’âge de trois ans lieu de rencontres de toutes les ethnies du Congo et du monde par excellence, ayant fréquenté 3 mois Général Leclerc où l’on trouvait des Congolais de tout horizon, des Gabonais, Tchadiens, Centrafricains etc pour fréquenter Savorgnan par la suite et m’envoler pour l’Europe après le BAC, je n’ai eu pour ethnie que tout ce monde, d’où mon refus de m’enfermer dans ce qu’on appelle ethnie dans laquelle le colonisateur nous a installé, infantilisé et aliéné dans laquelle nous refusons de sortir.

    Eu Europe, il n’y a pas ce genre de débat car l’ethnie chez eux n’existe pas, pourtant on y trouve des Normands, Corréziens etc etc. Ailleurs, les débats tournent autour de la compétence, du comment vivre ensemble et développer le pays, chez nous, c’est le contraire,on s’accroche aux départements, à l’ethnie etc etc, on en fait un élément de gestion du pays et le moyen d’aller exterminer toute une population parce que c’est une autre ethnie.

    C’est pourquoi, quand tu dis que » vous intellectuels et manieurs d’idées, malgré vos grands discours et vos lectures décontextualisées, êtes-vous prêts à construire une Nation hors de la variable ethnique ». Je te renvois la question en te demandant si tu es prêt à construire cette nation hors ethnie. Si oui, commençons par ne plus en parler à chaque fois même si tu soulignes  » vous le répétez tellement sur ce site que je suis obligé d’en prendre compte dans mes analyses, même si cela ne me fait pas plaisir. » Mais à qui çà fait plaisir? Si j’en parle souvent, c’est parce que je trouve que le vrai nœud de notre manque du savoir vivre ensemble, c’est cette affaire du repli identitaire sur lequel  » les intellectuels » surfent malicieusement. Tant pis pour ceux qui croient que je roule pour sassou parce que du nord. Ils se trompent sur mon compte.

    Oui, je le répète tellement parce que c’est justement parce que c’est par elle que nous vivons tout ce que sassou est entrain de faire au Pool. Si au Congo, il n’ y avait qu’une seule ethnie, je crois qu’il n’ y aurait pas eu problème.
    Vois tu, combien nous avions des préjugés vis à vis des autres. Comment peux tu penser que si je te réponds c’est pour te contredire et pourquoi pas si je ne suis pas d’accord avec toi. Est ce dire que ce que tu dis est parole d’évangile et personne d’autre n’a le droit de la contester ? C’est çà les intellectuels Congolais qui n’aiment pas la contradiction, moi qui pensais que le débat est fait pour convaincre et non chercher à imposer son point de vue. Bon il vaut peut être mieux qu’on en parle plus mon frère Lucien.
    Bien à toi

  39. Londi dit :

    Le nanisme idéologique des pseudo hommes politiques congolais les conduit vers la facilité pour faire face aux vraies problématiques du développement de ce pays. La trajectoire la plus facile pour arriver au pouvoir reste l’éthnie ou la région. Tous les Dirigeants, de Youlou à Sassou ont pris ce raccourci pour qu’il ne leur soit pas exigé bilan économique et social de leur action. Cette problématique de la duperie du tribalisme peut être résolue par :

    – l’éducation, j’ai jeté un oeil sur le programme d’Histoire de la classe de 3ème, une catastrophe. Je vous invite à y aller faire un tour. L’ignorance des faits historiques les plus structurants de l’Histoire du pays sont purement et simplement escamotés. Qui ignore son Histoire ne peut sécuriser son présent et s’engage dans un avenir incertain. C’est avec les enfants qu’il faut commencer.

    – le développement économique réel avec les bons acteurs, conscients et dévoués aux challenges que le pays doit relever.

    Le reste n’est que la mascarade des hommes politiques en mal de compétences et d’idées novatrices. Il faut espérer que la nouvelle génération utilisera des outils politiques plus rationnels que ceux de leurs aînés. C’est un cauchemar de vivre les drames que nous vivons maintenant. C’est complètement irrationnel.

    Merci pour vos posts desquels l’on peut encore puiser des sujets à traiter et débatre dans le respect des uns et des autres. C’est de la confrontation que jaillissent les bonnes idées. Ces hommes politiques qui s’appuient sur le tribalisme ne représente qu’eux-mêmes parce que l’on ne peut raisonnablement penser toute une éthnie s’organise pour aller faire la guerre. Je n’ai jamais appris que les Matsouanistes, exilés dans la partie septentrionale du pays avaient été massacrés par les locaux. C’est vraiment une duperie dont il faut sortir et poser les problèmes rationnellement.

    Quelle que soit ma peine, je continue à croire que l’unité est possible et c’est le seul débat qu’il vaille la peine d’être posé pour l’avenir.

    Je peux être un rêveur mais je ne pense pas être le seul parce que le rêve précède parfois l’action.

  40. Londi dit :

    Désolé, lire : l’ignorance ! Les faits historiques sont escamoté sur…

  41. Ubuntu dit :

    En attendant vos rêveries, on nous massacre au Pool, et ce, de manière récurrente par les mêmes gens, au nom du tribalisme ou pas. Mais les faits sont là. Alors que fait-on? On continue à se faire des bisous? à tendre l’autre joue? Au nom de quoi, nous serions les seules à vouloir faire des bisous? Une nation se construit avec tous. Tant que nous aurons des barbares en face, qui se réjouissent de chasser du Mokongo comme du gibier, l’unité nationale ne sera q’un vain mot.

  42. OYESSI dit :

    Cher Londi,

    C’est avec cette phrase que vous aviez commencé votre propose en débat ici;

    « Le plaidoyer que je fais ici est à la hauteur de ma peine et souffrance. J’aurais exprimé la même indignation si c’était la Cuvette, les Plateaux, le Kouilou, tous les départements du Congo que je veux uni et prospère, un pays dans lequel chaque individu devrait trouver un équilibre social, moral, psychologique et économique. » Et comme pour terminer votre post dit;

    « Quelle que soit ma peine, je continue à croire que l’unité est possible et c’est le seul débat qu’il vaille la peine d’être posé pour l’avenir.

    Je peux être un rêveur mais je ne pense pas être le seul parce que le rêve précède parfois l’action. »

    Tout ceci est d’une sagesse qui me va droit au cœur; votre indignation, vos peines, et votre souffrance sont miennes et je sais que nous sommes beaucoup dans ce cas. Vous n’êtes pas un rêveur, mais quelqu’un qui aime son pays et se situe au dessus de la mêlée en espérant voir l’unité du Congo se réalise.

    Hormis l’épisode de 1959 qui n’a duré qu’une petite semaine, vite réglée par Youlou et Opangault, nous avions vécu l’unité de ce pays malgré nos différents habitats. Je suis de ceux là même qui rêvent et croient à cette unité même s’il ne me reste que peu de temps à vivre sur terre. Mais de ce Congo uni, je le rêve ne ce serait ce que pour les autres Congolais, pour mes enfants et petits enfants.

    Merci Londi de cette contribution si importante.

  43. VAL DE NANTES, dit :

    PAIVRE @DE LA MAZA ,ton cerveau doit mal turbiner pour sortir une telle ineptie .
    Alors que dirais tu de SASSOU ?
    Réfléchis encore davantage , sinon appelle tes parents au pays , pour te sortir des brumes .

  44. VAL DE NANTES, dit :

    LIRE… PAUVRE

  45. De la Maza dit :

    @Vale de Nantes,

    Il n’y a que la vérité qui blesse. Faire un rappel de ton passé de Ninja, chef de l’unité stationnant au Bar Bibi à Bacongo, permet à chacun de saisir ton tribalisme et ta défense sans vergogne de Parfait Kolelas quand bien même sa trahison est un secret de polichinelle.

    Rien ne sert de justifier ton passé ninja et ton tribalisme en appellant Sassou à ta rescousse. Ce n’est pas parce que Sassou est tribaliste que tu es forcé de l’être ou tout autre congolais.

    Avec des individus de ton genre, le Congo n’est pas prêt de finir avec ses démons du tribalisme et leur corollaire de guerres sempiternelles.

    Avec des individus ayant des discours décousus et ethnicistes de ton genre, tu causes plus de tort aux congolais ressortissants du Pool. Cette haine et ce mépris que tu voues aux congolais des autres ethnies ne peut que les conduire à adopter le même comportement contre les congolais ressortissants du Pool. Et c’est vraiment très dommage que des individus de ton genre existent sur la terre du Congo.

    Dieu merci que 99,99% des congolais ressortissants du Pool ne pensent ni n’agissent comme toi. Tu es l’incarnation de la honte et de la déchéance morale et spirituelle.

    Ninja lieutenant du poste du bar BiBi de Bacongo!

  46. VAL DE NANTES, dit :

    @DE LA MAZA ce serait mon fantôme , à l’époque je demeurais en FRANCE , j’avais au compteur plus 30 ans en FRANCE sans revoir mon pays .
    En plus je ne sais pas manier , même un couteau ….
    Tu te trompes lourdement , je ne suis pas de BACONGO . MAIS DE OUENZE ;
    DONC MON CHER ???????????

  47. David Londi dit :

    @cher Oyessi,

    depuis que je te lis, je peux t’avouer que tu es dans le groupe de cet avant-garde qui lutte pour l’unité de ce pays. Cela fait trop mal de vivre les événements actuels pour perdre toute envie de les voir se reproduire encore et encore. Il faudra bien y mettre fin, un jour. Les enfants du nord et du sud doivent se donner la main pour poser les vrais problèmes sociaux, économiques et politiques pour nous ouvrir les portes du développement et d’un pays apaisé. Je suis persuadé que ceux qui sont vilipendés pour leur besoin d’unité, de dépasser le tribalisme comme système de gouvernement, auront raison demain. Il ne peut pas en être autrement.

  48. De la Maza dit :

    Tu nous dis que tu as quitté le Congo en 1962 pour nous alléguer que cela faisait 30 ans depuis que tu avais quitté le Congo quand le check-point du bar BiBi était érigé.

    Humm! Si le calcul est bon, tu as plus de 73 ans I.e. 23 ans passés entre le siège du bar BiBi et aujourd’hui + 30 ans déjà passés en France avant le siège du bar BiBi dont tu étais le lieutenant +20 ans passés au Congo avant ton départ en France.

    Même un dentiste arracheur de dents n’est pas capable d’egaler ton exploit.

    Bref, pourquoi Es-tu tribaliste? Pourquoi y a-t-il de la haine en toi?

    Enfin, sais-tu que les ninja venaient même de Kintelé?

  49. OYESSI dit :

    AU WEBMASTER,

    Une fois de plus, je souhaiterai que vous transmettez mon adresse ci à mon frère Mwangou pour que nous échangions directement. Il attends depuis comme je le lui avais promis. Si vous ne pouvez pas le faire, dites moi, je chercherai un autre moyen pour rentrer en contact avec lui.

    Merci

  50. Le fouineur dit :

    .Tiens la mbochisphère a du renfort. De la maze, comprendre venant de l’eau.

  51. De la Maza dit :

    Le fouineur,

    Si quelqu’un vous dit que cela faisait plus de 30 ans qu’il quitta le Congo quand le checkpoint du bar BiBi était érigé, quel âge a-t-il selon toi?

    2016-1992 = 24 ans

    24 ans + plus de 30 ans = plus de 54 ans.

    Plus de 54 ans + 20 ans au moins au congo avant le départ en France = plus de 74 ans.

    Le fouineur, plus de 74 ans est l’âge de Val de Nantes.

    Val de Nantes est donc né vers 1942, soit une année avant sassou nguesso. Val de Nantes est de la generation de Sassou. Ils se ressemblent.

  52. Anonyme dit :

    Ce que vous faites De La Maza est un acte de délation, c’est pas très intelligent de votre part mais peut être vous en manque t’il aussi (de l’intelligence) pour comprendre.

    J’en appel au Webmaster de ne pas laisser passer les commentaires (ex: De La Maza) de ceux qui veulent découvrir le patronyme de certains intervenants sur ce site… Respectons le choix de chacun à utiliser un pseudo ou pas.

    Merci

  53. Ubuntu dit :

    Il est scandaleux de voir des gens s’en prendre à Val de Nantes. Si vous n’êtes pas d’accord avec son propos, vous pouvez lui opposer vos arguments. Ce de la Maza, n’a pas d’autres arguments que l’invective. C’est admissible de tels comportements. Ici on est là pour échanger, pas pour régler des comptes.

  54. Bulukutu dit :

    @De la Maza. Pas d’attaques personnelles. Si vous avez quelques chose à nous faire partager, comme par exemple, une idée lumineuse, ou un point de vue pertinent, nous serions très heureux de vous lire.

  55. Le fouineur dit :

    Voila encore des calculs mbochiesques. Moi j’avais 10 ans quand se sont erigèes les barrages de Bibi. j’etais voisin de Tâ Bakoua. Quel est mon âge?

  56. N'GABARU dit :

    L’auteur du texte, emporté par une émotion tout à fait justifiée se perd en conjecture dans son analyse historique, piégé par une approche dualiste et primaire de ceux qui confisquent le pouvoir au Congo.

    Pour les barbares qui monopolisent le pouvoir politique et économique au Congo, le pays est divisé en « mboshi » soutenant instinctivement le Kani et « les autres dénommés Bakongos »., susceptible de menacés la survie de l’ethnie élue par les fétichistes.

    La menace identifiée par les théoriciens de l’opération Mouebara ou les assassins de Ngouabi se nomme donc le « Moukongo ».

    Dans la réalité, prendre toutes les victimes du pouvoir de Sassou, particulièrement celles du Pool, pour des « bakongo », descendant du fameux royaume qui aurait donné son nom au pays créé par le colon, relève du révisionnisme.

    Ne tombons donc pas dans ce traquenard consistant à regarder notre environnement sous un prisme binaire définit par la mafia d’Oyo haram.

    La réalité est que la situation congolaise est le fait d’un conflit civilisationnel qui oppose :

    – des peuples issus des sociétés organisées, ayant connu des stades de développement et de gouvernance extra-clanique, avec le sens du respect et des institutions régissant les droits et obligations des individus partageant des espaces géographiques structurés en royaume (Kongo, Téké…)

    – les peuplades primitives, n’ayant pas dépassé le stade de la chefferie, avec des groupuscules d’individus vivant sous le règne de la ruse, des fétiches, et le gout de moins effort, favorisant la paresse(les mbochis décrit par PONEL dans sa lettre depuis Mpombo comme étant le peuple le plus saurage qu’il ait rencontré lors de son périple en Afrique)

    Une fois que l’on a compris le nœud du problème, il revient à rechercher des voies et moyens pour ramener des peuplades attardés au sens du respect des structures organisationnelles extra clanique ; ce qui est loin d’être le cas de Sassou et sa bande, qui ne jurent que par la ruse, la manipulation et le noyautage des leviers du pouvoir par un cercle familial et ethnique, avec l’aide des collabos de toutes les régions.

    Nous sommes donc dans une guerre de civilisation, malicieusement entretenue par des puissances obscures, qui préfèrent avoir à ta tète de nos états des personnes sans encrage dans la civilisation moderne, faisant la promotion des valeurs extra-claniques.

    Bien qu’il soit parti de bonnes intentions, mon cher frère Londi s’est un peu égaré.

    Même le théoricien de trajectoire et réseaux, Lucien Pambou, n’y a vu que du feu, incapable de le reprendre sur la trajectoire des composantes ethniques du Pool, qui ne peut se résumer aux grandes migrations Kongo vers le pays tékés, après la déstructuration du royaume Kongo par les portugais, sous l’effet de la traite négrière.

  57. De la Maza dit :

    operation : il faut sauver le soldat Val de Nantes

  58. VAL DE NANTES,AU WEBMASTER , privilégier les commentaires et non les inepties dit :

    AU webmaster il est de votre responsabilité de faire vivre , ce site avec intelligence .Mais les idioties de bas niveau , qui n’ont à avoir aux commentaires des sujets proposés , doivent être exclus .Le temps n’est pas à la distraction , mais à la recherche des solutions aux problèmes que nous pose le tyran SASSOU .
    Le tribalisme POLITIQUE que je dénonce , est le jus dont se sert ce sale pouvoir , pour régner .Et , ceux qui s’en abreuvent , se sentent en danger , et se lancent DANS des délires pathologiques que seul MITSONTSA serait capable de soigner .;;;;
    Je valide les posts de mes compatriotes , qui ont pris position ……
    Nous sommes blessés , par ce qui se passe au POOL , et je ne peux me taire , pour satisfaire les appétits démentiels des mbochis qui sont au pouvoir .
    Tous les LARIS KONGOS ne sont pas parents de NTUMI ni DE KOLELAS . CELA , n’a pas empêché ces fous de massacrer , nos parents au POOL .
    Tous les mbochis ne sont certes pas concernés , mais le tueur se réclame d’eux .

  59. VAL DE NANTES,AU WEBMASTER , privilégier les commentaires et non les inepties dit :

    lire ;;;n’ont rien à avoir

  60. De la Maza dit :

    Le vrai ennemi des congolais est monsieur Sassou nguesso. Aidé par la France, il a mis en place la politique du diviser les ethnies et les régions du Congo pour règner et piller les richesses du pays. Tout le monde, au Congo, le sait. Donc l’ennemi c’est lui et ceux et celles qui exécutent ses ordres.

    En droit criminel, le délit et le crime sont individuels. Ceux et celles qui ne font pas partie de l’association des malfaiteurs ne doivent pas s’y retrouver. Le faire c’est répéter les fautes et les crimes de Sassou et de ses exécutants.

    La quête de justice que nous poursuivons doit être comme la justice elle-même i.e. aveugle en ce sens que l’amalgame doit être évité afin d’épargner les innocents.

  61. Anonyme dit :

    @Tous
    Le débat intellectuel sur ce site dérape peut- etre n ‘est ce pas la le signe d’une vitalité épistolaire qui doit tous nous guider pour que nous nous parlions.

    Nous nous ne serons jamais d’accord ,mais de grace écoutons ce que d’aautres congolais ont à dire c’est une sorte de thérapie collective.En revanche évitons les injures, les insultes , et les menaces inutiles.

    Ma théorie du réseau et des trajectoires est imparfaite et pour cause elle est a la fois globale et spécifique chacun peut y trouver des elements complets ou à moitié pour sa propre analyse.
    Je n ai aucune prétention analytique , mais je constate assez modestement qu ‘une partie des analyses tenues ici, peuvent trouver un début d’explication dans mon approche analytique du réseau que j’ai commencé à appliquer sur l’analyse du blocage de la realisation de la démocratie en Afrique Centrale

    Dans cette région la plupart des dirigeants surtout ceux qui sont aux affaires sont d’accord pour le vote , les elections .
    la théorie des réseaux et de la conception familialo_- instututionnaliste nous permettent de comprendre pourquoi ces memes dirigeants manipulent les listes , les votes et soumettent les juridictions( cours constitutionnel , cours supreme) en leur faveur en cas de contestation de la part de l’oppostion

    Pour ma part ce travail est déja en route sur le site Blastings news sur lequel j interviens et au cours de mes nombreuses contributions orales que je fais quand je suis invité a prendre la parole de facon aprofondie au cours de conférences sur l Afrique

    cordialement votre pour le débat ouvert et intelligible

    lucien pambou
    et bonne fin de semaine

  62. Anonyme dit :

    je precise ce n’est pas anymous qui a ecrit mais bien lucien pambou
    Désole car je ne l’ai pas fait de mon ordinateur mais chez des amis et je m’en suis rendu compte apres
    Désolé cher anonymous ce n’est pas vous mais bien moi lucien pambou qui a écirit

    Désolé chers lecteurs pour cette étourderie il n’ya pas volonté de nuire a anonymus.Regrets

  63. Anonyme dit :

    Mr Pambou pour votre information le pseudo Anonyme est le pseudo qui est attribué automatiquement par défaut lorsque l’on soumet un commentaire sans y avoir documenter le champ correspondant à la saisie du Nom.
    Voila pourquoi derrière ce pseudo il peut y avoir autant d’intervenants différents qu’il y a de commentaires.

  64. David Londi dit :

    @N’GABARU,

    je crois que le titre est explicite, c’est un playdoyer et sa présentation que celle contenue dans l’intitulé. Je n’avais donc nullement de reproduire un schéma de penser que je condamne de toutes mes forces. Les Grecs traitaient de barabares tous les non Grecs et les Romains aussi avaient la même conception. Au cours des siècles toutes ces brillantes cultures qui s’excluaient mutuellement ont fini par former la grande nation européenne qui est réellement la première puissance économique et à certains égards un modèle pour la démocratie, modèle auquel vous aspirez certainement.

    Je ne valide tout ce que le colon a écrit sur mon Histoire parce qu’ils ont écrit la même au Rwanda ou Burundi entre les Tutsi et les Hutus. Je n’ai pas à vous rappeler les conséquences désastreuses d’une telle démarche.

    « Dans la réalité, prendre toutes les victimes du pouvoir de Sassou, particulièrement celles du Pool, pour des « bakongo », descendant du fameux royaume qui aurait donné son nom au pays créé par le colon, relève du révisionnisme. »

    La région qui m’a fait réagir aussi émotionnellement est celle située entre Madzia, Kibuendé et Kibosi. Cette région est essentiellement peuplée des Laris, généralement ceux-ci font partie du groupe des Bakongos ou Kongos, j’en suis originaire. Généralement sous le vocable « Mukongo », l’on désigne tout cet ensemble : Bakongo-Lari. Je ne vous ferai pas l’insulte de vous prouver que ce Royaume a bel et bien existé, je ne donne donc pas suite à cette insinuation qui a certainement dépassé votre pensée. Révisionnisme ? Je serais très disposé à lire votre démonstration sur ce point.

    La seule question qui vaille la peine d’être posée est celle-ci : Que faites-vous après un tel constat pour l’avenir du pays ? Nous sommes entrés dans une phase de la lutte où tous les enfants de ce pays doivent se donner la main pour reconstruire ce que Sassou et son clan ont détruit. Tant qu’il n’y aura pas cette union, Sassou aura de beaux jours devant lui. Je vous dis ceci malgré le fait que mon village meurt sous les bombes du petit dictateur de Brazzaville. Tout le reste n’est que futilité et sans intérêt !

  65. David Londi dit :

    @Lucien, la diversité d’opinions fait avancer le débat. Alors continue à donner la tienne. Elle ne tombe jamais dans l’oreille d’un sourd !

  66. N'GABARU dit :

    Mon frère Londi, très respectueusement, je commence à de votre connaissance de la région du Pool, de par le raccourci fait entre « Lari et Kongo » ; un raisonnement qui ne devrait pas être du niveau dont vous vous réclamez.

    Ma petite expérience de lecture de récits des explorateurs, en passant par des témoignages de familles installées dans la région du Pool depuis des siècles, sans parler des amis « laris » qui se découvrent un jour Téké, toutes les sources tendent à se concorder sur l’occupation essentiellement Téké de la zone de Brazzaville et de ses environs à l’arrivée des colons.

    La ville sera d’ailleurs créée à partir des villages de N’Faa, N’Cuna, Mbama et Mpila.

    Ainsi, les vagues de migrations se sont accentuées en direction de la capitale, attirant les «balalis » puis les Kongo-Sundi en cet endroit considéré par ces derniers comme « Mavoula »(un leu où l’on venait trouver du bonheur).

    Pour revenir à l’approche du conflit civilisationnel, les contacts Kongo-Sundi-Téké n’ont pas eu les mêmes conséquences que le phénomène du « YAKA NOKI NOKI», la véritable catastrophe naturelle étant à l’origine de l’échec de l’édification d’un Congo uni, prospère et stable.

    « Leur » dernier exploit a été celui de remplacer le « TIKE E KOFOUTAMA NA MOKOUMBI PEPO, par la création d’ECAIR, qui a du reste subi le même sort que des idées non rationnelles, soufflées par le féticheur du coin.

    Nous avons affaire aujourd’hui à des migrants barbares, ayant profité des erreurs de la colonisation pour déverser dans des espaces jadis structurées, des primates véhiculant des idées du genre : « TOKO SILISSA BANGO.

    Sur un sujet concernant des êtres qui nous sont chers, je ne m’attarderai pas davantage dans ce débat sur lequel l’on pourrait revenir dans un contexte plus adéquat.

    Notons toutefois que, le mot lari vient d’une déformation du « Lali », ou « balali », un sous groupe Téké, peuplant le Sud du Congo, non seulement dans le Pool, mais aussi dans le « Noboland ».

    Après les vagues de migrations Kongo (ressortissants de Mbanza Kongo) et Sundi(venant de Mbanza SUndi), le contact avec les tékés, dont les balalis, a donné lieu à l’émergence de groupes d’individus se faisant appeler « lari, » mais aux origines diverses.

    Tous ceux qui se reconnaissent aujourd’hui sous le vocable de « lari  » ont en réalité, divers degrés de métissage Kongo- Sundi-Téké, allant de 0 à 100%, dans tous les sens de l’équation.

    Pour l’instant, contentons nous de pousser le cri d’alarme contre ces barbares qui détruisent un héritage historique et érigent un mode de gouvernance basé sur des antivaleurs.

  67. David Londi dit :

    @Ngaburu,

    modestement je ne me réclame d’aucun niveau dans les domaines de l’Histoire ou de l’éthnologie car je suis ingénieur, un métier que j’exerce depuis plus de 30 ans. Je reste attentif aux discours des uns et des autres qui peuvent éclairer ma lanterne. Mon propos essentiel concerne tous les outils, méthodes qui peuvent favoriser l’unité. J’essaie, avec les moyens qui sont les miens, de m’appuyer sur l’Histoire pour mieux comprendre le présent et mieux prévoir demain. Je ne veux pas d’un débat basé sur l’exclusion sur l’exclusion de l’autre et la non acceptation de la différence. Je combats le tribalisme, le régionalisme ou l’éthnocentrisme parce que socialement on en voit les atrocités et sur le plan économique, un facteur évident de sous-développement par restriction du marché intérieur et par le fait de privilégier le patronage à la méritocratie.

    Je vais vous apporter une précision, tous les cours d’eau de la région qui s’étend de Madzia à Brazzaville portent des noms Téké. Donc je ne remets pas en cause le métissage qu’il y a eu dans cette région.

    La différence essentielle entre le Kisundi et le Lari se situent au niveau des préfixes :
    Nti = arbre en lari et Muti en kinsudi ;
    Nkento = femme en lari et Munketo en Kinsudi.
    On ajoute le préfixe « Mu »devant le mot lari.
    Nous nous comprenons parfaitement.

    L’avenir est à l’union des différentes cultures de ce pays dans le respect mutuel. La reconnaissance de ces cultures est essentielle car chacune enrichit que nous allons construire.

  68. OYESSI dit :

    @Ngaburu,

    « Notons toutefois que, le mot lari vient d’une déformation du « Lali », ou « balali », un sous groupe Téké, peuplant le Sud du Congo, non seulement dans le Pool, mais aussi dans le « Noboland »

    Moi non plus je ne suis pas historien comme le dit mon frère Londi, mais nous sommes ici pour apporter au débat ce que nous pouvons.

    Comme vous le soulignez un peu plus haut que « dans la région du Pool depuis des siècles, sans parler des amis « laris » qui se découvrent un jour Téké, toutes les sources tendent à se concorder sur l’occupation essentiellement Téké de la zone de Brazzaville et de ses environs à l’arrivée des colons »,
    car en fait l’ethnie lari n’existe en tant que tel que par le fait du colon qui arrivant dans la zone d’impila trouva une bonne partie de la population téké atteint de la lèpre et quand il pose la question de savoir comment vous appelez vous, ces gens ont pensé qu’ils leur demandait de quoi souffrez vous et lui répondirent malari et il conclut que ses gens s’appelaient lari, mais en fait il s’agissait bien des tékés.

    Vous trouvez ces mêmes déformations partout dans le Congo.

    Les Mbérés ne le sont devenus que parce qu’ils commençaient toujours leurs phrases par « Mé béré, » les Ngarés par « Garé, » l’Alima parce que les tékés ont pensé qu’on leur demandait comme s’appelait cette rivière qui coule là, ils répondirent « adzà ma lima » une partie des Mbérés est devenue « Ombamba » parce que leur premier contact avec le colon a eu lieu avec un dignitaire portant un gros cauris sur sur face et qu’on lui demande qu’est ce que c’est il répond « lébama » ceux là deviennent des « Ombamba »
    Ce genre de déformation se trouve un peu partout en Afrique. L’histoire Kongo- Lari n’existe à mon entendement que par le fait de brassages des kongo tékés.Mon ami Mvouba m’avait toujours dit qu’il était téké pourtant il est pris comme lari. En prison politique à Itoumbi, Kolélas se disait téké et là il avait retrouvé ses frères venus souvent d’Ewo pour travailler dans la palmeraie; au temps de la RNPC. Mais en quoi cela pose problème aujourd’hui entre kongo téké ou kongo laris.
    Bon les historiens peuvent nous éclairer dessus.

  69. Lucien Pambou dit :

    A tous

    je vous ai promis de continuer mon travail sur les réseaux en le sortant du Congo-Brazzaville pour l’élargir à l’Afrique francophone. Pour l’instant l’Afrique centrale au sein de laquelle la tentation dynastique est avérée au Gabon et peut-être demain au Congo-Brazzaville et en Guinée Equatoriale. Nous y sommes déjà en RDC et le débat continue. Je ne suis pas pour un modèle dynastique, mais je ne peux pas faire comme s’il n’existait pas. Je dois l’analyser pour en comprendre les mécanismes et faire éventuellement des préconisations du point de vue de mon statut d’universitaire, car je ne suis pas un homme politique au Congo Brazzaville, même si je fais de la politique en France et même si j’ai été à la base de la création d’une grande organisation associative comme le CRAN (Conseil représentatif des associations noires).

    Je ne reviendrai pas sur les raisons pour lesquelles on ne réussi à défendre effectivement les populations noires en France. Ma théorie du réseau et des trajectoires est un outil d’analyse pour comprendre et expliquer l’espace politique africain francophone, un peu compliqué, surtout au Congo Brazzaville. Majorité et opposition se regardent en chiens de faïence, veulent dominer la chose politique et n’ont pas de programmation stratégique durable pour l’industrialisation, l’agriculture, la formation des populations congolaises.

    Certains s’y essaient à leur niveau, mais l’absence réelle de la prise en compte des variables de gouvernance politiques, entrepreneuriales, économiques et financières limitent les moyens d’action.

    C’est un débat permanent pour le Congo Brazzaville, dommage pour un petit pays comme le Congo de 3 ou 4 millions, dont Lissouba voulait faire une petite Suisse alors qu’il n’avait ni l’intelligence politique (oui à travers son réseau et ses propres trajectoires, mais pas pour le Congo), ni l’efficacité de la gouvernance économique et financière. Dans sa trajectoire, certains de ses amis qui étaient avec lui l’ont trahi et, au nom de la gouvernance et de l’unité nationale, ont changé de trajectoire.

    Bonne lecture de mon texte dont vous avez le lien ci-dessous. Je contribue à consolider les principes de mon outil analyste « réseaux et trajectoires ».

    *****************************************************************************************************************

    « Démocratie à l’Africaine » en Afrique Centrale et théorie des réseaux et des trajectoires

    Même s’il est difficile de l’admettre, le voyage vers le modèle démocratique universel prend beaucoup de temps en Afrique Centrale

    Les récentes élections au Gabon, au Congo-Brazzaville, au Tchad, au RCA et futures au Cameroun, en Guinée Equatoriale, en RDC montrent que le modèle démocratique universel a beaucoup de mal à se sédimenter dans cette partie de l’#Afrique. La plupart des observateurs occidentaux et les membres des oppositions dans ces différents pays critiquent

    ……. la suite sur ……

    http://fr.blastingnews.com/international/2016/10/democratie-a-l-africaine-en-afrique-centrale-et-theorie-des-reseaux-et-des-trajectoires-001221667.html

  70. BULUKUTU dit :

    Merci à Ngabaru, David Londi et Oyessi pour ce petit moment d’histoire. Les historiens ont du boulot pour nous éclairer sur cette histoire dont le récit s’écrit encore au jour le jour.

  71. N'GABARU dit :

    Comme disait De Ralph Waldo Emerson : “Les poubelles de l’histoire sont remplies de tendances prolongées.”

    N’GABARU dit :
    05/12/2015 à 21:13

    Je ne le dirai jamais assez, nous sommes confrontés à un conflit de civilisation qui nécessite une thérapie de choc.

    Il y a des personnes qui savent ou ne peuvent régner que par la terreur.

    Et, ces personnes sont du genre à jubiler quand on les traite de barbares ou de tueurs en série.

    La bande à Sassou est historiquement composée de ces hommes barbares qui n’ont jamais développés une conscience extra-clanique.

    De ce fait, nous devons libérer les hommes civilisés de l’emprise de ces barbares pour qui la démocratie est un luxe dont ils ne veulent en aucune manière s’encombrer.

    Tout ce qui compte pour eux, c’est le pillage au profil d’un clan, avec la complicité des courtisans, sans scrupules, venus de tout horizon et qui restent bouches cousues face à ce terrorisme d’Etat.

    Il faut avoir le courage de reconnaître que les mbochis, plus proches des terroristes de l’EI, ne sont jamais rentrés dans l’histoire.

    Ils n’ont connu que des chefferies.

    Près de deux siècles près la lettre de PONEL, ils sont toujours le reflet de la description magistrale de ce compagnon de De Brazza, à savoir : des hommes qui n’ont pas le sens de l’honneur, paresseux, aimant la facilité, ne pouvant tenir parole et prêts à tout gagner par la fourberie.

    Tout porte à croire que cet explorateur, n’a rien inventé, quand on voit l’inertie de la partie mbochi du pays qui n’a pas bougé et ne bougera surement jamais comme le 20 octobre 2015.

    Il nous revient de tout mettre en œuvre pour faire triompher la promotion des valeurs de respect de la dignité et de la vie humaine, du partage équitable des ressources qui en découlent.

    Nous avons le devoir de renverser la tendance actuelle de la république des sauvages, gouvernant par la promotion des anti-valeurs, en neutralisant le processus de mbochisation.

    Ensuite, il conviendra de veiller à faire rentrer ces barbares dans un processus de rattrapage et d’adoption des mécanismes de fonctionnement des sociétés organisées, capable de solidarité et de progrès.

  72. OYESSI dit :

    Cher Lucien Pambou,

    Vous continuerez surement votre travail sur votre théorie du réseau et des trajectoires, peut être que vous trouverez une équation à ce qui nous préoccupe tous, à savoir cet déni de démocratie perpétuel que l’on observe dans les pays au sud du Sahara en général et dans les pays de la CEMAC et ceux de ses environs en particulier.

    De ce que vous dites, je cite « Pour l’instant l’Afrique centrale au sein de laquelle la tentation dynastique est avérée au Gabon et peut-être demain au Congo-Brazzaville et en Guinée Équatoriale. »

    La première chose que je remarque est que ceux qui sont aux affaires dans ces pays n’appartiennent pas dans notre histoire aux royaumes qui ont existé avant l’arrivée du Colon pour qu’ils soient tenté de le remettre en scelle.

    Que ce soit Ali Bongo au Gabon enfant Biafrais, adopté par Bongo Omar qui lui était Mbéré dont OTABA, le village de ses grands parents existe encore à 5km de KELLE dans la Cuvette de l’Ouest n’appartient pas à une dynastie un royaume connu pour prétendre renaître une dynastie encore moins un royaume. Ce ne sont que des paysans qu’on trouve à OTABA.

    Omar Bongo a été souvent pris pour un téké. Il ne l’était pas. Il ne l’est devenu que pour des raisons politiques où les Ombambas et les Ndasas originaires de Franceville et d’Okondja ne voulaient pas laissé à un téké de se présenter à deuxième siège de députation. Il se trouve que Bongo Albert Bernard Bongo était né dans cette contrée et son père Ondimba (en réalité Ondemba) qui avait pour ami un téké, lequel il avait donné le nom par reconnaissance pour l’avoir reçu à Lewaî où est né le petit Bongo alors qu’il était chassé de chez lui pour adultère répétés.

    Élu dans cette circonscription téké, parlant cette langue pour s’être né,Bongo est devenu téké. Quand les propres fils de Bongo, ami de son père le lui ont rappelé, il piqué sa crise et adjoint le nom de son vrai père Ondimba à son nom Bongo. Il était même question qu’il reniât le nom Bongo, mais connu depuis longtemps sous Bongo, son entourage le lui a déconseillé. Tous les enfants Bongo( Bongo Martin ancien Ministre des Affaires Étrangères, son petit frère Bongo alias NGoss qui relancé les Zaîko Langa Langa puissant Commissaire au Plan) ont au cours de cette affaire laissés les plumes puisque chacun a perdu son poste de responsabilité. çà c’est pour Bongo. Si Bongo était téké, j’aurai compris qu’il veut renaître une partie du royaume téké au GABON;

    Au Tchad, en Guinée Equaroriale, au Cameroun où l’on connaît le royaume Bamoun auxquel Biya n’en fait pas partie,ou en RDC où le Tsutsi Kabila venu dans le ventre de sa mère de son Ruanda, enfant adultérin hérité par Joseph Kabila de son ami de maquis ne sortent pas d’une dynastie pour chercher à les perpétuer. Quand il arrive dans les valises des Ruandais pour chasser Mobutu, il sort de quelle dynastie.
    Le monde dynastique est un monde codé qui a ses règles pour le perpétuer. Bokassa en a eu pour son compte quand il s’est fait Empereur sous les tropiques. Nos Gouverneurs de la rosée ne s’y essayent que parce que soutenus par l’occident qui continuent à bien se moquer de nous.

    Tiens, j’ai suivi l’interview de ce Espagnol de WALLS qui avant hier disait qu’Ali Bongo n’a pas été élu, ce qui est vrai, mais hier quand la journaliste lui demande si aujourd’hui il dit la même chose, il baragouine, qu’il y a un président élu et divague pour se moquer des Gabonais nous avec puisque le cas Gabon n’est pas différent de celui du Congo. Qui n’a pas compris que ce sont leurs intérêts qui comptent même si sassou doit massacrer les Congolais dans le Pool, Walls n’a rien à cirer.
    Non ce ne sont pas « Les récentes élections au Gabon, au Congo-Brazzaville, au Tchad, au RCA et futures au Cameroun, en Guinée Équatoriale, en RDC qui montrent que le modèle démocratique universel a beaucoup de mal à se sédimenter dans cette partie de l’#Afrique. »

    C’est nous mêmes, LES INTELLECTUELS EN PREMIER, vous et moi qui refusant que le modèle démocratique universel se sédimente dans cette partie de l’Afrique. Pourquoi? Par nos égos et nos égoïsmes personnelles qui veulent que ce soit moi et non lui, même si l’on connait que c’est lui qui peut mieux faire. Nous n’avions pas la latitude de se mettre derrière celui qui semble être le meilleur ou celui qui a plus d’aptitude parmi nous, surtout quand on ajoute à cela cette affaire tribal, c’est le clou. Il n’ y a de meilleur que celui qui est proche de toi. C’est mon premier constat.

    Le deuxième c’est ce fait colonial que nous avons accepté consciemment ou inconsciemment et continuons d’accepter en faisant recours à nos colonisateurs pour trouver les solutions à nos problèmes, nous sommes des éternels enfants qui ne quittent pas le sein de la maman.Sinon pourquoi, devrions nous attendre le quitus de la France à chaque fois et toujours nous y référer. La Communauté Internationale doit faire ceci, l’UE doit dire ceci tralala, tralala!!!!

    Ping qui a été élu au Gabon est obligé d’aller faire du bruit en FRANCE, Mokoko qui semble t-il était en tête des élections est en prison. Idriss Déby a mis les militaires qui n’ont pas voulu voter pour lui dans des Container et les a jeté dans le lac Tchad. Obiang Nguéma a fait de son vivant son fils comme le prochain président quand il aura quitté la terre des hommes, en face de nous Kabila vient de se moquer de nos frères, et a fait son coup d’état en refusant d’organiser des élections avec un aplomb qu’on ne reconnait qu’aux cow bow et s’il vous plait avec la complicité des intellectuels qui ne pensent qu’à eux.

    La soit disant Communauté Internationale et L’UE ont pris acte et nous continuons à penser qu’ils roulent pour nos peuples.

    Non, notre démocratie ne viendra pas d’ailleurs, c’est à nous de la construire en refusant d’accorder aux apprentis sorciers, gouverneurs des intérêts de la France, les USA, la Chine, la Russie et bien d’autres le soin de s’y installer durement.
    Et cela ne dépends que de nous si nous refusons de nous diviser,de penser que le sudiste est l’ennemi du nordiste,de refuser ce repli identitaire, de s’accepter mutuellement et se mouvoir dans tout le Congo sans que l’on vous demande vous êtes d’où. Enfin,refuser de faire le jeu des politiciens véreux qui divisent pour régner afin de faire échec à leurs velléités de vouloir s’agripper à tout pris au pouvoir. Quand nous aurons réussis de mettre cela en œuvre, plus aucun de ceux qui veulent créer des dynasties n’auront aucune ouverture.

    Nous venons de vire deux évènement majeurs au Congo. Le changement de la Constitution et l’élection présidentielle.
    Pour le premier cas, sassou a attendu de donner de l’argent à Hollande qui organisait sa cop21 pour obtenir le quitus pour changer sa constitution anti constitutionnelle. Mikalou, Talangai Nkombo étaient en fête quand le patron Hollande avait dit que sassou pouvait consulter son peuple, mais lequel? Celui qui a dansé à Talangai. Au Congo, ce sont les intellectuels en premier qui l’ont soutenu de bout en bout dans sa basse besogne qui fait de lui un voleur qu’on ne peut juger après que lui et son clan aient mis le Congo en faillite.

    Pour le deuxième cas, le monde entier sait que sassou n’a pas gagné cette élection comme d’autres d’ailleurs. Curieusement, ce sont parmi ceux qui étaient candidats comme lui et qui savent qu’il a été battu qui lui reconnaissent cette victoire volée. On ne me dira pas qu’au PCT et au Parlement qui le soutiennent, tous sont des villageois qui ne comprennent rien à la politique ou à la démocratie. Il y a plein d’intellectuels qui savent bien qu’en démocratie, c’est une personne, une voix. N’est ce pas que c’est avec notre complicité les sassou et autres veulent installer des dynasties? De quoi devrions nous se lamenter nous alors. Nos donnons à nos pays des dirigeants que nous voulons, assumons nos conneries? SINON ORGANISONS NOUS sans voir d’où est il car nous sommes tous congolais et personne n’expulsera personne du congo.

    Et comme découragé, vous dites « Je ne reviendrai pas sur les raisons pour lesquelles on ne réussi à défendre effectivement les populations noires en France » je ne connais pas ses raisons, lesquelles vous ne pouvez pas défendre effectivement les noires en France, mais vous vous êtes dans que habitat ces noires s’ y trouvent et comment ils sont arrivés là?

    Mon frère, Lucien, vous qui a aviez en ligne de mire votre théorie,des « réseaux et trajectoires » j’aimerai vous dire qu’un morceaux de bois jeté à l’eau ne deviendra jamais caïman. Il suffit seulement de regarder les noirs qui sont autour de toi pour savoir que c’est difficile de les défendre en France. Non seulement par essence, les blancs ne nous aiment pas, mais mes frères noirs restent noirs même au pays des blancs. Va à Château d’eau, et dans les quartiers devenus ceux de la gent noire.Êtes vous allez à Matongué à Bruxelles?
    Bon, peut être qu’avec votre théorie des réseaux et trajectoires, vous arriverez à nous sortir quelque chose, en commençant pas défendre effectivement les noirs en France, pourquoi pas?

  73. David Londi dit :

    @Ngabaru,

    s’il y a quelque chose que je connais bien et dont j’ai souffert au plus profond de moi et qui a motivé tout mon engagement politique, c’est l’Exclusion, la haine de l’autre. Après plus de 40 ans ininterrompus en Europe, j’ai expérimenté ces situations qui vous marquent toute une vie. Je ne peux donc pas valider votre analyse et votre conclusion.

    Laissez-moi vous faire une confidence, si j’étais en âge de voter à l’époque de Youlou et Opangault, j’aurais certainement voté pour le MSA de Jacques Opangault parce que je suis socialiste et ce mouvement était le prolongment de la SFIO, ancêtre du PS actuel. Le mouvement UDDIA de Youlou était plutôt de tendance Droite française, libérale et anticommuniste.

    Jadis, au Moyen-Age, ceux que l’on appelait les Barbares du Nord (Hunt, Vickings et Wisigoths ) font partie du patrimoine français (La Normandie, par exemple ) et ils ont édifié les pays les plus avancés socialement d’Europe (Suède, Norvège, Danemark, etc.). L’intelligence c’est la capacité d’adaptation à des univers différents.

    Le Roi Léopold qualifiait les Congolais de l’époque de paresseux, des gens qui n’avaient aucune notion du travail donc pour les inciter aux corvées, il leur faisait couper les mains. Suite à ce scandale, révèlé par les Anglo-saxons, le roi sanguinaire a rétrocédé, en 1908, le congo à la Belgique. L’Histoire est favorable à celles ou ceux qui l’écrivent. Nos Historiens doivent faire ce travail.

    La controverse de Valladoid au cours de laquelle les théologiens du Vatican se posaient la question si les indiens avaient une âme ? Faut-il prendre pour argent comptant tout ce que les Blancs ont écrit sur nous ?

    Le Congo sera uni ou ne sera pas. C’est un mensonge que de penser que l’on aboutira à un partitionnement. Tout jugement global pêche par excès.

  74. Lucien Pambou dit :

    @Oyessi
    Merci pour ton post qui apporte l’éclairage à mon papier publié par blastingnews.
    Par tes analyses historiques et par tes explications tu lui donnes une vitalité
    Merci à toi et à londi pour vos contributions historiques et analytiques pour expliquer le Congo d’hier et d’aujourdhui

    cdlement

  75. Anonyme dit :

    C’est bien de savoir que Kolélas est Téké. Mais, tous les Tékés sont des Kongo. Nous sommes des Kongos.
    Avant les années 1400, il n’ a que des Kongo. Les Tékés sont des Kongos qui partent du sud et migrent petit à petit vers Mfoa, en passant par Kimpanzou (à l’interieur du Pool), il y sont encore aujourd’hui. Plus les Kongos (A) avancent, plus les Kongos (B[Tékés]) continuent de MFoa jusqu’à Ngabé.

    Npus sommes tous des Kongos. Nous sommes un.
    La carte des « blancs » sur les Koongo est fausse. (Carte avant l’occupation).

    Aujourd’hui, la séparation du Nord et du Sud est l’une des conséquences des différentes politiques.
    C’est possible de vivre ensemble.
    Mais pauvre de nous. La finalité n’est pas ce que l’on veut qu’on on n’a pas de pouvoir de décision.

    @OYESSI
    êtes-vous toujours malade et hors du Pays? Avez-vous le pouvoir de décider?

    Quel est votre dégré d’influence pour garder l’ex République du Congo unie? C’était le souhait de tous.

    Sassou n’est pas le problème CAPITAL du l’ex Congo-Brazzaville. On n’a voulu mettre Mokoko à sa place. C’est TOTAL et AVERA qui se sont mis en conflit…
    Le problème est la France. Il ne faut pas faire mal aux français, mais il faut reconnaitre que c’est Le Président français, le problème. (C’est plus profond…)

    La Colonisation est terminée, c’est vraie. Mais, il y a une autre politique de colonisation : les PAYS Sous tutelle.

    Le Congo-Francais, c’est comme cela que le congo-brazzaville est connu, est un territoire français.
    Vous ne pouvez rien gagner en chassant Sassou car il y aura un autre « Sassou ».
    C’est triste, mais c’est cela. Lissouba a échoué…

    Il faut à celui qui fait l’histoire d’expliquer à nous tous que : LA FRANCE, PAR LA VOIX DU Président français, est le/la Chef du « TERRITOIRE CONGO-Franais ».

    Ce n’est pas Sassou seulement qui le problème. C’est surtout le fait que le Congo (KONGO) est resté un territoire francais. C’est le fait que le Congo est riche. Le Benin est bien en paix…
    Il faut avoir une raison valable pour dire NON à la FRANCE. Et nous avons bien une raison valabla.

    Il faut voir avec la France les limites dans le futur. Le monde est devenu un grand village.

  76. Uhem mesut dit :

    @anonyme. Par votre post, vous donnez raison à RPP, qui depuis un moment milite pour que l’on reviennent sur la constitution de 1958. Il milite également sur le fait que le processus d’indépendance a fait du Congo, un territoire sous tutelle que la France n’est plus obligé d’administrer, mais qu’elle contrôle à distance par dictateur interposé. Que doit-on faire alors pour briser les chaînes? Négocier avec la France? Lui imposer une indépendance de fait? La France ne donnera pas à ses esclaves, les moyens de se libérer. Nous n’avons pas les moyens d’une guerre ouverte avec la France.

  77. N'GABARU dit :

    « Bien-aimés en congoliberty » :

    A travers un argumentaire construit sur un catalogue de clichés alignés à l’emporte-pièce, l’on ne saurait répondre à une approche sociologique se référant à des contrats corroborant un schéma analytique dont les outils sont à rechercher chez:

    – Marcel MAUSS dans le concept de « fait social total »

    – Karl Marx dans les concepts de base économique et superstructure.

    Il est évident que l’on ne pourrait arriver aux mêmes conclusions avec des commentaires qui ne tiennent pas compte des concepts essentiels de l’analyse comparative des sociétés, notamment : la culture, les rôles et statuts.

    Les études sociologiques distinguent généralement trois stades dans l’évolution des sociétés::l’état sauvage, l’état barbare et l’état de civilisation.

    L’exercice sociologique, appliqués aux commentaires de mes chers amis, devrait consister à partir des réalités temporelles, dans un cadre déterminé, pour mettre en exergue I les relations relations sociales, et les processus d’appropriation d’un espace extra-clanique hérité de la colonisation.

    Quand PONEL parle d’un peuple vivant au bord de l’eau, ne connaissant par la pirogue, plutôt que d’aller chercher des exemples chez Vikings, intéressons nous aux sociétés voisines des mbochis de l’époque et de leur mode de fonctionnement.

    Si je fais le constat qu’il y a des peuples qui vivent encore à l’état sauvage, dans les forêts, comme les pygmées, ou d’autres en ville, avec des costumes en apparence, mais moyenâgeux au niveau des mentalités, cela fait social observable par tous, dont on peut chercher à établir le rapport avec l’histoire.

    Le fait de pouvoir trouver des ingénieurs pygmées ou des généraux mbochis ne pourrait occulter ce que l’on appelle chez les marxiste « la réalité objective.

    Cependant, ne désorientons pas le débat mal maîtrisé, pour mettre au second plan les souffrances des congolais, particulièrement ceux du Pool.

    Le fait de trouver des congolais révisionnistes ignorant l’histoire, bien qu’étant à portée des grands centre de documentation, ne saurait surprendre.

    Il n’en demeure pas mois que certains congolais font preuve de curiosité pour avoir une meilleure approche de leur parcours historique pour ne pas garder les clichés du niveau de l’école primaire.

    Car; à l’école primaire ou au collège, on peut encore comprendre que l’on confonde le Congo crée par les colons avec le mythique royaume Kongo, dépeuplé par les migrations et la traite des esclaves.

    Mais, la vie, comme l’histoire ne sont pas des fictions.

  78. OYESSI dit :

    @ Cher Anonyme,

    Votre chamaille à mon égard est sans fondement. On ne peut pas être mi figue- mis raisin,tout comme on ne peut pas être à la fois serpent et caïman. Ou on est kongo, ou on est téké, mais être les deux à la fois est une escroquerie intellectuelle que vous ne me ferez pas avaler. Le kongo est kongo, le téké est téké mais pas les deux à la fois sauf si vous êtes né d’un kongo et d’une téké ou vice versa.

    Je conviens avec vous qu’il y a brassage des ethnies ou des tribus, et de lui naissent toujours un enfant des deux brassages. C’est pourquoi on dira qu’il est de père téké et de mère kongo mais on dira jamais qu’il est né de mère à la fois kongo et téké ou encore de père kongo et téké sauf si ceux là mêmes sont déjà nés de ce croisement, encore que le brassage ne veut pas dire uniformité.

    Si comme vous dites que » Plus les Kongos (A) avancent, plus les Kongos (B[Tékés]) continuent de MFoa jusqu’à Ngabé. » je dirai donc que le Pool continue jusqu’à la cuvette de l’Ouest puisque les tékés y sont aussi et par conséquent il y a surement des kongo Mbérés ou des kongos- Garé ou encore des tékés Mbérés ou des tékés Garés.
    Outre cela, à Ngabé, on y trouve pas seulement les tékés, il y a aussi les Mbochis. Son Député actuel le sieur Ondongo Evariste DG de la CNSS est Mbochi,peut être qu’il est Mbochi téké ou Mbochi kongo ou encore juste kongo n’est ce pas? parce que selon votre raisonnement, tous ceux que les kongo ont rencontré dans leur migration sont devenus kongos.

    Puisque vous voulez me faire un cour d’histoire en citant bien avant 1400, pouvez vous me dire où se situait le royaume kongo à cette époque et quel est le cheminement migratoire du peuple kongo avant de s’installer dans ce qui est devenu Pool?

    Je crois qu’il vaut mieux dire les kongos sont les tékés et non les tékés sont les kongos parce que dans l’occupation ancienne ce sont les kongos qui sont venus à la rencontre du peuple téké assis dans leur royaume qui s’étendait du fond fin de la Mpassa jusqu’au delà de ce qui est le Pool aujourd’hui. Au Congo les kongos sont ils plus nombreux que les tékés au point de les assimiler pour qu’ils ne deviennent tous kongos?
    Ceux ci sont partis de l’autre côté du Zaire (Zadi) précisément dans l’actuel Province du Bas Congo et venant de l’Angola, berceau de leur royaume au point où ils ne se retrouvent que dans le Pool lieu de leur entrée à la rencontre de tékés.

    S’ils étaient là bien avant 1400 comme vous le dites, je parie qu’ils ne se seraient pas confinés dans ce espace réduit qu’est le Pool. Ils auraient pu étendre leur habitat au de la Léfini. Pour preuve, aller du Km 45 jusqu’ à Ngabé qui est dans le Pool, pas de traces du kongo. Vous ne verrez que du téké.

    Cher ANONYME, arrêtons avec nos révisionnismes béats. Nous avions été tous à l’école et avions appris quelques bribes de l’histoire migratoire de notre peuple. Les quelques kongo qui occupaient le Pool à l’époque dont vous faites allusion sont ceux qui sont adossés à la frontière de la RDC vers Boko.

    Mon frère Mwangou ne me démentira surement pas ou m’apportera des précisions là dessus. Nous n’allions toujours pas réécrire l’histoire de cet pays selon nos élucubrations car l’histoire est têtue et elle vous rattrape toujours quand vous voulez tricher. Je peux me vanter de compter beaucoup d’amis du Pool qui me racontent leur propre histoire comme je le fais souvent pour moi même afin de mieux nous connaître. L’homme vient de loin contrairement à ce que nous pensons.

    @OYESSI
    êtes-vous toujours malade et hors du Pays? Avez-vous le pouvoir de décider?

    Oui, je suis toujours malade et hors du pays. Je ne saurai tarder de rentrer, encore quelques visites de contrôle.
    Le pouvoir de décider quoi? Je n’ai aucune influence pour garder ce que vous appelez l’ex République du Congo unie. Le seul pouvoir que je peux avoir, c’est celui que d’autres Congolais et moi prônons ici à savoir:

    S’UNIR, ÉVITER LE TRIBALISME ET SE CONSIDÉRER COMME CONGOLAIS QUELQUE SOIT LA OU VOUS TROUVEZ AU CONGO ET AIMONS NOUS LES UNS ET LES AUTRES CAR TOUS CONGOLAIS ET PAS DU SUD OU DU NORD;nonobstant le fait que vous prônez la division.

  79. Anonyme dit :

    Bonjour à tous.
    Merci pour l’attention.
    Je prends le nom du « @etatsudcongo »

    @Uhem mesut dit :
    31/10/2016 à 22:37

    « @anonyme. Par votre post, vous donnez raison à RPP, qui depuis un moment milite pour que l’on reviennent sur la constitution de 1958. Il milite également sur le fait que le processus d’indépendance a fait du Congo, un territoire sous tutelle que la France n’est plus obligé d’administrer, mais qu’elle contrôle à distance par dictateur interposé. Que doit-on faire alors pour briser les chaînes? Négocier avec la France? Lui imposer une indépendance de fait? La France ne donnera pas à ses esclaves, les moyens de se libérer. Nous n’avons pas les moyens d’une guerre ouverte avec la France. »

    Il faut tenir têté à la France sans les armes. LES ARMES NE PAYENT pas à long terme.
    Les articles 52 et 53 de la constitution donne le droit aux « TERRITOIRES SOUS TUTELLE » de dire oui ou bien non.

    1- Il faut une radio pirate piraté sur Brazzaville (un budget de 2 à 5.000 euro)

    2- Il faut DECLARER L’INDEPENDANCE du nouveau pays donc Etat du Sud Congo. Peut importe qui est président. Prendre article/préambule qui dit que dès que le pays est en pays, il y a des élections. 5 présidents sont « PRESIDENT ». C’est à dire, un collège présidentiel est à la tête de la Confédération. (On va en parler, suivre « @etatsudcongo »)
    3-Mettre en application les articles 52 et 53.

    Vu tout ce qui se passe, il est mieux de redéfinir la plate forme. UNE EQUIPE pour tout manager.

    Je prends le nom du « @etatsudcongo » pour les prochaines intervension. Raison : Aller vers le pays ETAT DU SUD CONGO. Cela me permettra de répondre à @OYESSI.

  80. EtatSudCongo dit :

    OYESSI dit :
    01/11/2016 à 12:00

    1-/ « Ou on est kongo, ou on est téké, mais être les deux à la fois est une escroquerie intellectuelle que vous ne me ferez pas avaler. Le kongo est kongo, le téké est téké mais pas les deux à la fois sauf si vous êtes né d’un kongo et d’une téké ou vice versa. »

    réaction:
    Meme les franais (Sarkozy…) ont reconnu qu’ils viennent d’une femme Africaine. Donc, les français ont un passé africain, et ont une seule grande mère. (C’est l’histoire vraie)

    Entre le « Kongo » et le « Téké » il y a « un » qui est premier. Car tous, nous avons une seule grande mère, comme chaque peuple a une seule grande mère. Ce n’est pas le cas avec les Mbochis.

    Vous avez appris l’histoire, mais nous ne connaissez pas tout. Je pense qu’il est mieux de voir un historien pour que nous ne nous trompons pas et que ce que je dis soit accepté par vous, par votre conscience.

    Qu’il y ait des MBOCHIs et des TEKES à NGABE, il y a aucun souci. Comme il y a des KONGOs et des MBOCHIs dans le POOL, dans le KOUILOU… C’est l’ex République du Congo.

    2- « Puisque vous voulez me faire un cour d’histoire en citant bien avant 1400, pouvez vous me dire où se situait le royaume kongo à cette époque et quel est le cheminement migratoire du peuple kongo avant de s’installer dans ce qui est devenu Pool? »

    réaction :
    Et je dirai que les Kongos ont un passé, ils viennent de Canaan. Les kongo ont fuit de Canaan vers l’Afrique de l’ouest, puis au Kongo – belge, en suite en Angola et sont remontés au Kongo-Brazza en travaersant le fleuve. (Je mets belge et braazza, pour spécifier les lieux).
    On vérifiant quel est le royaume le plus vieux entres les Tékés et les Kongos, on trouve la réponse.

    Encore là, je vous renvoi chez les spécialistes.
    Mais,
    je cite
    « Il est regrettable pour les professeurs d’histoire au Congo Brazzaville que de persister à parler des royaumes Kongo, Téké et Loango comme de trois royaumes à part entière.

    Une façon d’enseigner l’histoire pour diviser, prédisposer les congolais à la haine tribale prévue par les colonisateurs dans l’objectif d’empêcher l’unité du peuple congolais, qu’ils redoutaient.
    Pérennisée par les colons, cette méthode se comprendrait, mais par ses propres fils aujourd’hui qui, bien au contraire, devraient être à la recherche de toutes les vérités du passé qui puissent développer la conscience collective et au-delà, l’unité nationale, cela consterne !

    Il est une vérité qui devrait demeurer claire dans notre esprit : avant la colonisation, n’existait qu’un seul royaume qui occupait les territoires attribués plus tard au royaume Téké et Loango : il s’agit du royaume Kongo.
    Les deux autres sont nés, soit en se dissociant du pouvoir central dont l’épicentre se situait à Mbanza-Kongo, actuellement San Salvador, non loin des frontières de l’Angola et de la R.D.C, soit en se réorganisant après la chute ou la destitution par les portugais des derniers rois aux affaires dans le royaume Kongo.
    C’est ainsi que le Chef de l'[ex] Etat, l'[ex] Président Denis SASSOU NGUESSO, se référant à l’africaniste Georges BALANDIER, reconnaîtra au cours de sa vie et cela est écrit dans sa biographie ¨Un Homme d’honneur¨ à la page 34 que : « l’accord de Brazza avec le roi Makoko avait placé ce qui restait du royaume Kongo sous la souveraineté française. Un autre traité, signé en 1883 avec le roi des vilis, établira cette même souveraineté française sur le royaume de Loango (…) Il ne dira pas davantage que le Congo avant de devenir une colonie, fut un royaume heureux, indépendant et prospère pendant plus de deux siècles ».
    Par ces propos, le plus grand homme politique congolais de sa génération, Denis SASSOU NGUESSO en l’occurrence, reconnait que les territoires des royaumes Téké et Loango appartenaient au royaume Kongo et qui plus vivaient heureux.

    A quoi nous a donc servi l’expérience de la guerre de 1993-1994 opposant les ressortissants des trois régions dites Nibolek (Niari, Bouenza et Lekoumou) contre la région du Pool, particulièrement les Bembe contre les lari ?
    A qui cette guerre a-t-elle profité ? Et à qui profite aujourd’hui le flou entretenu sur l’appartenance au peuple Kongo des Vili, Téké et autres ?
    Les Kongos sont les Tékés et les Tékés sont des Kongos.

    3/-
    «Le pouvoir de décider quoi? Je n’ai aucune influence pour garder ce que vous appelez l’ex République du Congo unie. Le seul pouvoir que je peux avoir, c’est celui que d’autres Congolais et moi prônons ici à savoir:
    S’UNIR, ÉVITER LE TRIBALISME ET SE CONSIDÉRER COMME CONGOLAIS QUELQUE SOIT LA OU VOUS TROUVEZ AU CONGO ET AIMONS NOUS LES UNS ET LES AUTRES CAR TOUS CONGOLAIS ET PAS DU SUD OU DU NORD;nonobstant le fait que vous prônez la division.»

    Réaction :
    @OYESSI dit aussi « Ping qui a été élu au Gabon est obligé d’aller faire du bruit en FRANCE, Mokoko qui semble t-il était en tête des élections est en prison…. »…
    Non, Ping n’est pas obligé d’aller vers la France. Il fait parti de la France, donc aux français de régler l’affaire du Gabon, et COMME aux français de régler l’affaire de Mokoko, et c’est grave ce que je dis. Pourquoi le problème de Mokoko est « français » ? Les spécialistes ont la réponse.

    Mais, il faut qu’il sorte de le prison. C’est un citoyen du territoire sous tutelle l’ex République du Congo.
    a)- S’UNIR : On ne peut unir que si on est deux parties/peuples/tribus… au moins et que chaque partie dise « Oui » à l’union.
    Repésonse : Depuis des années, toutes les parties ne disent pas « oui »

    b)- ÉVITER LE TRIBALISME : Les gouvernements, l’armée (encore, chapeau : l’armée se comporte bien) ou le niveau de vie vous montre si votre argument tient. Je ne commente rien ici.

    c)- SE CONSIDÉRER COMME CONGOLAIS : Après tant de mort dans le Pool, le Sud, je pense que votre conclusion vous agrandira.

    Ma conclusion, dire à la France que ça suffit est un devoir moral des intellectuels « Congolais» (C) et du peuple« kongolais» (K).
    Cela ne sert à rien de dire que c’est un seul pays qu’on la réalité est ce que nous voyons.

    1- Il faut une radio pirate piratée sur Brazzaville
    2- Il faut DECLARER L’INDEPENDANCE du nouveau pays donc État du Sud Congo, si cela n’est pas encore fait. Ecrire au President français François Hollande
    3- Avoir des avocats, pour suivre les procédures

    Conclusion :
    Pour être sérieux, il nous faut être autour du thé, et ça ce n’est pas dans la rue, ou sur le net.

    Voulez-vous UN ETAT DU SUD CONGO ? Alors, il faut … être … UNI, les Tékés sont des Kongos. Kolélas le sais et l’ex Président Sassou l’a écrit dans un livre.
    Je reprends, ce n’est pas dans la rue, ou sur le net qu’il faut dire la suite. Il y a bien des lieux de discussions.

  81. OYESSI dit :

    @ Anonyme ou Etatdusud,

    Dès lors que vous citez sassou comme étant « le plus grand homme politique congolais de sa génération, Denis SASSOU NGUESSO » et vous référent à son livre ¨Un Homme d’honneur », vous êtes d’office disqualifié pour que je continue ce débat avec vous. Sassou n’est pas un référence pour moi même s’il cite Ballandier qui n’appartenait pas au royaume Kongo, fût il historien. Je connais comment notre histoire a été tronquée par les historiens et et sociologues Français.
    CHEICK ANTA DIOP nous l’a montré avec l’Égyptologie et a démontré le contraire de ce qui était écrit depuis longtemps par les Égyptologues étrangers. Notre histoire doit pas être écrite par les gens incultes comme sassou.

    Mais sassou est quel homme d’honneur quand il ne peut même pas respecté son propre serment et vous vous référez à un tel bonhomme.

    « l’accord de Brazza avec le roi Makoko avait placé ce qui restait du royaume Kongo sous la souveraineté française ». dites vous en citant Sassou, mais vous ne répondez pas à ma question quand je vous ai demandé que le royaume kongo s’étendait d’où à d’où?

    Pour qu’il y ait un reste il faut bien en savoir ou déterminer la grandeur, l’espace, la quantité ou le nombre n’est ce pas? Sassou récite bêtement ce que Ballandier a écrit et le prends pour monnaie content.

    Je ne suis pas de ceux là qui acceptent des notions imposées même venant des spécialistes blancs comme si notre histoire doit être écrites par ceux venus d’ailleurs.

    Je lis souvent dans Zenga mambu que  » tant que les les lions n’auront pas leur propre historiens, les histoires de chasse seront toujours à l’avantage du chasseur » Tant que notre histoire ne sera pas écrite par nous mêmes, nous serons toujours à la remorque des blancs qui nous connaissent mieux que nous mêmes.

    De mes recherches en vue d’une thèse de doctorat, j’ai eu une discussion chaude avec mon maître de thèse Catherine COQUERY-VIDROVITCH Professeur émérite spécialiste de l’Afrique sur la notion des pays sous développés et pays en développement que l’Europe nous a imposé et que nous acceptons parce que cette notion n’est vue que sous l’angle économique pour lequel nous accusons un grand retard dans lequel les blancs nous ont assujettis en volant toutes nos richesses.

    Quand j’ai commencé à définir la notion du sous développement comme n’étant pas une notion parcellaire, les discussions ont commencées. Elle a voulu m’enfermer dans l’économique, et je l’ai embarqué dans le sens plénier du terme développement qui englobe le développement, économique, culturel, social et ainsi de suite. Je lui ai pris un exemple simple sur leur propre vécu en lui faisant comprendre qu’une société qui abandonne ses citoyens dans la rue ( clochards) qui mets les vieux dans des maisons à vieillesse, qui n’a pour famille que son mari, femme et ses enfants est -elle développés socialement? Et je lui fais comprendre poliment qu’aucun pays au monde n’est développé et s’il est, ce n’est que partiellement.

    Rien qu’en prenant cet exemple, nous sommes tombés d’accord de la manière dont j’allais mener mes recherches car je voulais démontrer justement qu’il ne faut pas qu’on nous enferme dans des schémas qui arrangent toujours les blancs pour nous envoyer au diable à chaque fois.

    Si économiquement l’Afrique est sous développée, l’Europe l’est socialement et même moralement. La polygamie, l’adultère, le vol etc sont -ils des mots Congolais? Non, s’ils existent en français cela signifie que ces maux existent bien chez eux à la seule différence qu’ils sont hypocrites et l’homme noir exhibitionniste.

    Pour revenir à nos moutons, je vous disais que citant sassou, je ne pouvais continuer cet échange même si je l’avais bien voulu. En plus, vous abordez trop de sujets à la fois en allant dans tous les sens. Ne pouvez vous pas rester sur un sujet pour mieux vous faire comprendre!!!!

  82. OYESSI dit :

    Lire: les discussions ont commencé…… comme si notre histoire doit être écrite par ceux venus d’ailleurs. et pays en voie de développement….. et je l’ai embarquée ….elle développée socialement? Et je lui ai fais comprendre

  83. Bakala Telema dit :

    Oyessi,

    Le territoire Mbochi s’étend maintenant jusqu’à Ngabé? Ah béno! Puisque Yoka est député du Pool, alors il y a des Mbochi dans la circonscription qu’il représente.

    Tu dis que les Kongo sont confinés dans le Pool. Mais qu’englobes-tu dans Kongo? Pour toi les Kongo se réduisent aux habitants du Pool que sont les Laris, Hangala, Sundi et les Manianga?

    Il faut avoir la tête froide et les pieds à terre pour éviter de réécrire l’histoire. Le Groupe Kongo a plusieurs sous-groupes qui se répartissent sur quatre pays dont l’Angola, la RDC, le Congo et le Gabon.

    Je vous trouve vraiment etranges quand il s’agit de parler des frontières des Kongo avec les autres groupes ethniques. Le fait qu’il y ait des Mbochi qui revendiquent Abala, Ollombo, etc, terres des Téké, cela ne vous préoccupe pas. Que les Kongo disent qu’ils sont les propriétaires de leurs terres, voila que vous les trouvez des terres imaginaires au Bas-Zaïre et en Angola. Quand allez-vous nous dire l’origine des Mbochi d’Abala et autre Ollombo?

    Puisque nous y sommes, les Kongo qui peuplent le Grand Niari, le Kouilou et le Sud-Est du Gabon, à qui ont-ils ravi les terres où ils vivent? Ah, j’oubliais, des Téké vu que les Kongo sont originaires del’Angola qu’ils ont fui en traversant le fleuve. Avant la traversée de ce fleuve, le Cabinda, le Kouilou, le Grand Niari, le Pool et le Sud-Est du Gabon étaient habités par les Téké.

    Quel révisionnisme!

    Les Kongo du Pool, je vous invite à méditer toute cette haine que certains congolais vous vouent. Trop c’est trop. Voilà 48 ans que les gens du Pool ne sont plus au pouvoir, mais c’est toujours le Pool Bashing. Ils poussent le culot jusqu’à leur nier les origines congolaises.

    À ce rythme, le discours sur un Congo uni ne peut être qu’un marché de dupes.

  84. Kondo Kanda dit :

    Un discours anti-Kongo, venant sûrement d’un sujet mbochisé

     » Je crois qu’il vaut mieux dire les kongos sont les tékés et non les tékés sont les kongos parce que dans l’occupation ancienne ce sont les kongos qui sont venus à la rencontre du peuple téké assis dans leur royaume qui s’étendait du fond fin de la Mpassa jusqu’au delà de ce qui est le Pool aujourd’hui. Au Congo les kongos sont ils plus nombreux que les tékés au point de les assimiler pour qu’ils ne deviennent tous kongos?
    Ceux ci sont partis de l’autre côté du Zaire (Zadi) précisément dans l’actuel Province du Bas Congo et venant de l’Angola, berceau de leur royaume au point où ils ne se retrouvent que dans le Pool lieu de leur entrée à la rencontre de tékés.

    S’ils étaient là bien avant 1400 comme vous le dites, je parie qu’ils ne se seraient pas confinés dans ce espace réduit qu’est le Pool. Ils auraient pu étendre leur habitat au de la Léfini. Pour preuve, aller du Km 45 jusqu’ à Ngabé qui est dans le Pool, pas de traces du kongo. Vous ne verrez que du téké. »

    Oyessi,
    D’où viens tes ancêtres?

    Dis-nous, Comment se fait-il que les Kongo se trouvent à Kinshasa, Bandundu et Bas-Congo ; régions frontalières des régions de Brazzaville, Pool, Bouenza et Niari où on trouve les Kongo? Nous dis-tu qu’en RDC, ils ont aussi pris les terres des Téké?

    Il faut avoir l’intelligence de masquer parfois ta xenophobie. Tu nous bassines les oreilles avec un discours d’un Congo de tous, ton discours nous montre que tu n’es qu’un autre mbochisé anti-Kongo du Pool.

  85. EtatSudCongo dit :

    @OYESSI dit:
    « …mais vous ne répondez pas à ma question quand je vous ai demandé que le royaume kongo s’étendait d’où à d’où? »

    Reaction:

    L’empire Kongo était un empire de l’Afrique du sud-ouest, situé dans des territoires du nord de l’Angola, de Cabinda, de la République du Congo, l’extrémité occidentale de la République démocratique du Congo et d’une partie du Gabon. À son apogée, il s’étendait de l’Océan Atlantique jusqu’à l’ouest de la rivière Kwango à l’est, et du fleuve Congo jusqu’à la rivière Loje au sud.

    Je réitère que les Tékés et les Kongos est un seul peuple. Il faut bien le comprendre.

    Pour monsieur Dénis Sassou Nguésso, je ne suis pas avec LUI, la preuve, je veux un ETAT DU SUD CONGO. Mais, tout ce que l’ex Président Dénis Sassou Nguesso a fait, TOUT n’est pas satanique. Je ne rejéte pas la personne, elle est la créature de Dieu. Mais, je dis sa ligne politique fait défaut et il nous faut arriver à deux entités différentes.

    C’est ce que j’explique.

    @OYESSI veut l’unité du pays, mais n’a aucun pouvoir. L’@EtatSudCongo veut un nouvel Etat et peut agir. Nous allons agir, ensemble vers un Etat du Sud.

    Je répète :
    Ma conclusion, « dire à la France que ça suffit » est un devoir moral des intellectuels « Congolais» (C) et du peuple« kongolais» (K).
    Cela ne sert à rien de dire que c’est un seul pays qu’on la réalité est ce que nous voyons.
    1- Il faut une radio pirate piratée sur Brazzaville
    2- Il faut DECLARER L’INDEPENDANCE du nouveau pays donc État du Sud Congo, si cela n’est pas encore fait. Écrire au Président français François Hollande
    3- Avoir des avocats, pour suivre les procédures
    Conclusion :
    Réfléchir sur une réunion en cercle fermé pour un État du Sud Kongo (Pool, Bouénza, Lekoumou, Niri et Kouliou).
    La guerre est dans le Pool, mais elle va déborder. Il faut agir.

    Question à @OYESSI :
    Pensez-vous que le sud (Pool, Bouénza, Lekoumou, Niari et Kouliou) forme un seul peuple comme je le crois ?

  86. OYESSI dit :

    @ Bakala Téléma,

    Quand je veux réagir sur un post ici, je prends le soin de bien lire: Nous ne débattions pas ici sur les kongo, mais sur les kongo-téké. De tout ce que vous dites, expliquez moi où se trouve les kongo tékés et d’où viennent -ils. Quand vous m’aurez situé leur schéma migratoire( kongo-téké)comme vous le faites pour les kongo, on pourra en rediscuter parce que depuis que je suis né, je n’ai jamais vu au Congo, un groupe ou sous groupe ethnique à nom composé.

    Je parlais de ce que l’on est kongo ou téké et vous m’embarquez dans un débat qui ne concerne que les kongo dont je n’ai pas mis en cause les origines encore que nous ne parlons que du Pool où se concentre le plus grand nombre des kongo et quelque composantes de ses sous groupes et non de l’ensemble des kongo éparpillés sur les deux Congo ou ailleurs. Ce débat n’est là qu’à cause de ce qui se passe dans le Pool et non ailleurs. Pourquoi voulez vous qu’on parle d’autres kongo.

    Vous parlez de révisionniste, mais qui est révisionniste? Je n’ai pas la prétention d’écrire ou réécrire l’histoire des kongos. Mais votre tendance à confondre l’ethnie Kongo et ses sous groupes composés de ceux que vous citez et qui peuplent le Grand Niari, le Kouilou et le Sud-Est du Gabon, et qui ethniquement ne s’appellent pas kongo bien qu’appartenant au groupe ou sous groupe kongo et le kongo comme ethnie autour du quel s’est formé le clan ou le groupe kongo n’est pas pour circonscrire ce dont nous parlons.

    Ceci est pareil pour le groupe ou le clan téké où vous trouvez d’abord le téké en tant qu’ethnie et ensuite le Boma, koukouya, Djikini, Mbéré et bien d’autres, tous se réclamant du clan ou groupe téké.
    Puisque vous semblez soutenir que le kongo-téké existe bel et bien et non le kongo, d’une part et le téké d’autre part et que le kongo-téké appartient au clan ou groupe kongo, cela veut dire que le zikou, le kikouya et même le mbéré appartiennent aussi au sous groupe, au clan ou groupe kongo.
    Tout ce que je sais c’est que quand un téké parle un Mbéré entends et peut converser avec le téké, ce qu’il ne peut faire avec un kongo.

    Vous n’aviez jamais entendu parler des galas? Pourtant, on y confonds tout ce qui vient du nord comme étant bangala.
    Quand un Makoua ou un Mboci parle, le mbéré ou le kouyou comprend parce qu’ils appartiennent tous au groupe gala mais ceux qui appartiennent au sous groupe gala ne comprennent pas.

    Moi je ne confonds pas le kongo comme ethnie et le kongo comme regroupement d’un certain nombre d’ethnies qui forme le clan kongo et qui ne se comprennent forcement pas quand les uns et les autres parlent. Ce partage en groupe qui est le fait colonial devrait être revu par nos propres historiens et socilogues. S’interroger dessuspour mieux s’insrtiure n’est pas être forcement révisionniste. Encore que celui qui est sensé vous apporter la contradiction ou le savoir devait être le sachant. Or je ne vois que la chamaille qui n’apporte rien à mon ignorance.

    « Le fait qu’il y ait des Mbochi qui revendiquent Abala, Ollombo, etc, terres des Téké, cela ne vous préoccupe pas » dites vous. Pour celui qui connaît son pays, c’est une lapalissade que de répondre à une telle question.

    Abala et Ollombo sont dans les Plateaux. Les Mbochis ne peuvent prétendre les revendiquer. C’est vous qui me l’apprenez. Ce que je sais, c’est que les Mbochis de la Cuvette prennent ceux qui sont dans le Plateaux comme des tékés ou Bagangoulou et ceux qui sont au Plateaux qui se disent Mbochi, c’est par opportunisme politique sans plus. Quand les uns et les autres parlent, on connaît tout de suite d’où il sort. Soit des Plateaux, soit de la Cuvette.

    « Le territoire Mbochi s’étend maintenant jusqu’à Ngabé? Ah béno! » dites vous. Qui vous a dit cela. Je ne vous fera pas l’injure de vous dire que vous lisez mal.

    Voici ce que j’ai dit  » Outre cela, à Ngabé, on y trouve pas seulement les tékés, il y a aussi les Mbochis. Son Député actuel le sieur Ondongo Evariste DG de la CNSS est Mbochi,peut être qu’il est Mbochi téké ou Mbochi kongo ou encore juste kongo n’est ce pas? parce que selon votre raisonnement, tous ceux que les kongo ont rencontré dans leur migration sont devenus kongos.

    Dites moi où il est dit que le territoire Mbochi s’étend maintenant jusqu’à Ngabé. Vous avez l’art de vouloir faire dire aux gens ce qu’ils n’ont pas dit. Avec moi, çà ne passe pas. Je n’interviens pas ici pour amuser la galerie et ceux qui ont des réactions à fleur de peau n’ont qu’à essayer de se mettre à la hauteur des débats et non chercher à dire ce qui leur passe par la tête. Je viens ici pour apprendre des autres et non me prévaloir de celui qui connaît plus que les autres.

  87. EtatSudCongo dit :

    @OYESSI dit :
    02/11/2016 à 12:48
    « De tout ce que vous dites, expliquez moi où se trouve les kongo ték@és et d’où viennent -ils.  »

    Non!
    Monsieur, il y a des spécialistes. Lissez les livres et laissons les sujets que VOUS NE COMPRENEZ pas à vos spécialistes pour vpous expliquer les détails. Cela sera mieux pour vous.
    Pourquoi?
    1- chacun a une information que l’autre ne pense pas comprendre ou savoir;
    2- @OYESSI n’est pas une personne avec une connaissance sur les CIVILISATIONS.

    Je propose, si cela plait à tous de ne plus discuter de ce sujets. @OYESSI veut apprendre, il est bon d’aller dans une bibliothèque et lire les ouvrages. Surtout que vous êtes à l’étranger, c’est une change d’aller à la source.(J’espère que là où vous êtes, il y a la source).

    LE PROBLEME ICI c’est :
    « Plaidoyer pour un Congo uni et solidaire des populations du Pool. Par David Londi »

    Nous sommes arrivés à un CONGO « Dé »uni.
    Suivons le reste de l’histoire. KONGO ou TEKE, uni c’est la solution, car il forme un seul peuple.

  88. OYESSI dit :

    @ Kondo Kanda,
    Vous pouvez m’injuriez comme un sujet Mbochisé, je ne rentre pas dans ce débat nord sud.
    « Dis-nous, Comment se fait-il que les Kongo se trouvent à Kinshasa, Bandundu et Bas-Congo ; régions frontalières des régions de Brazzaville, Pool, Bouenza et Niari où on trouve les Kongo? Nous dis-tu qu’en RDC, ils ont aussi pris les terres des Téké? »

    Quand vous aviez fini d’écrire cette phrase si dessus, vous me démontrez quoi. Comme je le disais à Bakala Téléma, vous ne m’aviez pas bien lu ou mal lu. Nous parlons du vocable Kongo- téké et non des kongo. Kinshasa, Bandundu et Brazzaville sont en terre téké et non en terre kongo-téké. Bas- Congo comme son nom l’indique ne souffre d’aucune contestation.
    Ce n’est pas parce qu’il y a des Soundi, Mbochi, Ndassa à Brazzaville qui est dans le Pool qu’ils sont ressortissants du Pool.

    Je ne sais pas si un kongo parle, un téké venant par exemple de Djambala peut comprendre en dehors du kongo-téké qui se comprennent à cause du mélange des deux. Dire donc qu’il y a des kongo -téké comme ethnie, il faut qu’on me démontre.
    Brazza avait signé son traité avec un kongo-téké ou avec un téké. Je voudrai que vous répondiez à cette question, vous qui aviez l’art de vous victimiser dès qu’on parle des kongo ou des Laris comme si tout le monde était contre les kongo et les Laris.

    Oyessi,
    D’où viens tes ancêtres
    Ils viennent du haut Kenya et ils ont traversé toute la RDC par Ouéle qui se situait du côté de Bolobo. Il ont traversé le fleuve, ont rencontré les hommes de l’eau à l’embouchure de l’Alima et du fleuve Congo où ils ont été en contact avec les Mbosis( Mbochis) avec qui ils ont essayé de cheminer ensemble jusqu’à ce qui est devenu le Gabon.

    La rencontre avec les Pahouins au Gabon réputés mangeurs d’hommes n’a pas été un fleuve tranquille et la forêt Équatoriale les a renvoyé vers les lisère des savanes. Grands chasseurs, ils n’ont pas voulu partager leur territoire avec les Mbosis à qui ils ont déclaré la guerre d’où « éta ma mbosi » la guerre des Mbochis. Obenga vous en dira mieux sur le sujet.

    C’est au cours de cette guerre que mes ancêtres ont pourchassé le Mbosis jusqu’à la rivière le kouyou en les renvoyant au delà de la rivière nkogo pour les confiner dans les marécages que vous voyez de Boundji en passant par Obouya jusqu’à Oyo.

    Quand vous arrivez par exemple à Boundji, beaucoup de Mbérés se disent Mbochis alors qu’ils ne le sont pas. Ils ont préféré devenir Mbochis soit à cause des mélanges inter mariages soit par opportunisme politique. Je ne citerai pas les noms, ils se reconnaîtront car ils savent bien qu’ils sont issus de la tribu Mbéré. Dans le district de Ngoko dans le Cuvette, on les appelle « abochis à golo » les Mbochis de l’autre côté.

    Une partie de mes ancêtres est restée du côté du Gabon notamment dans le Haut Ogooué et l’autre est allée jusqu’à Sibiti, Zanaga, Bambama etc etc. Ceux là s’appellent des Ombamba et la partie restée du côté de Kelle s’appelle des Mbérés. Les uns et les autres parlent la même langue et se comprennent parfaitement.

    Il faut signaler qu’un partie de mes ancêtres est restée d’où elle vient. C’est à dire au Kenya et on les appelle toujours les béti. Quand ils parlent, nous comprenons bien sauf qu’avec les migrations, le parler linguistique n’est plus exactement le mêmemais beaucoup de mots restent les mêmes. Par exemple, Nous disons « gnama » ils disent « niama » viande, Nous disons  » onnono » , ils disent oniono » dur etc
    Voici succinctement d’où viennent mes ancêtres si cela peut vous être utile.

  89. David Londi dit :

    Je pense que le sujet abordé sur les kongos, batékés reste sensible même auprès des Historiens. Ceci n’est que la conséquence du peu de considération que le pouvoir du petit dictateur de Brazzaville accorde à l’Histoire.

    L’on ne peut parler de révisionnisme si et seulement si un vrai débat à parir des faits historiques incontestables sont établis. Ce qui n’est pas le cas, à l’heure actuelle, de l’état des connaissances des Historiens congolais qui ne nous fournissent pas la matière nécessaire pour avancer dans notre questionnement sur le problème épineux sur le royaume téké ou batéké, ses origines, sa superficie, son découpage territorial ou administratif, son organisation fiscale, ses vassaux, etc. Cette situation d’ignorance est grave parce qu’elle met en avant des passions ou fanatismes qui ne pourront être dépassés que par l’apport des éléments historiques irréfutables.

    Dans une situation comme celle-ci, chacun peut déclarer détenir la vérité alors que nous sommes dans l’approximation la plus totale. C’est une situation voulue et entrentenue par le pouvoir et dans le seul but de continuer à diviser les congolais comme à l’époque coloniale. Ils ont développé des clichés qui continuent à animer notre histoire commune. La seule chose que nous oublions c’est que cette Histoire a été écrite par les Vainqueurs.

    La tâche qui échoit aux politiques congolais est de donner les moyens aux historiens pour éclairer nos lanternes. S’écharper sur un sujet comme celui-ci n’est pas nécessaire parce qu’il nous manque les vraies données historiques. Beaucoup de questions restent sans réponse et vouloir à tout prix en discuter revient à se chamailler. Disons tout simplement que là se trouve un chantier, comme dans beaucoup d’autres domaines, à mettre en oeuvre pour mieux nous retrouver.

    Je vous mets un lien pour celles et ceux que cela intéresse

    http://historiensducongo.unblog.fr/teke/

    Bonne lecture !

  90. OYESSI dit :

    @ EtatSudCongo,

    Je crois qu’il vous sied de parler de votre état du sud que vous comprenez mieux au lieu de parler d’autres choses.

    Quand, répondant à la question par moi posée, vous me répondez que

    « l’’empire Kongo était un empire de l’Afrique du sud-ouest, situé dans des territoires du nord de l’Angola, de Cabinda, de la République du Congo, l’extrémité occidentale de la République démocratique du Congo et d’une partie du Gabon. »

    Essayez vous de me dire que cet empire était des morceaux de territoires qui s’éparpillaient dans tous les sens?

    Du nord de l’Angola, vous vous retrouvez au Cabinda qui est collé au Congo en sautant le centre et le sud de l’Angola. Je ne crois pas que géographiquement, le nord de l’Angola et le Cabinda font un ensemble qui se rejoignent. Je peux bien comprendre, le Cabinda, le Congo et la RDC. Pour le reste, revoie ta copie. Je ne sais pas aussi si au temps de l’Empire kongo, la république du Congo et la RDC existaient comme entité. Replacer les noms à leur place et comment on les appelait. Nous parlons de l’Empire Kongo qui fait partie de l’histoire.

    « Je réitère que les Tékés et les Kongos est un seul peuple. Il faut bien le comprendre. » dites vous.

    Mais qui vous a dit le contraire!!! Si peuple ici signifie la foule ou la masse des tékés kongos, je vous le consens mais si ici le peuple est considéré comme l’ensemble d’une communauté nationale, alors je vous dis que les kongos et tékés ne sont pas un même peuple,ils sont une composante d’un peuple qui est celui la communauté Nationale Congolaise.

    Confondre un seul peuple avec un seule ethnie est bien grave. Encore que je ne parlais pas des tékés et kongos mais des kongo-tékés, ce nom composé qui signifie quoi en fait!!! Ce qui change tout.Pour vous quand on dit le peuple Congolais c’est quoi? C’est deux, trois, quatre ethnies collées les unes au autres ou l’ensemble des Congolais. C’est bien de vouloir écrire français,mais sachant placer les mots à leur place.

    Question à @OYESSI :
    Pensez-vous que le sud (Pool, Bouénza, Lekoumou, Niari et Kouliou) forme un seul peuple comme je le crois ?
    Je vous renvois à votre dictionnaire ou encore à ce que je viens de vous expliquer un peu plus haut. Ils ne formeront un seul peuple que le jour où vous l’aurez séparé du reste du Congo. Pour le moment, ce n’est pas un seul peuple, mais le rêve est permis pourquoi pas.

    @OYESSI n’est pas une personne avec une connaissance sur les CIVILISATIONS. Dites vous?

    On ne naît pas avec les connaissances sur les civilisations, on peut le devenir.

    @OYESSI veut apprendre, il est bon d’aller dans une bibliothèque et lire les ouvrages. Surtout que vous êtes à l’étranger, c’est une change d’aller à la source.(J’espère que là où vous êtes, il y a la source).

    Je ne veux rien apprendre, surtout pas de vous. Sur ce site, il y a des intellectuels, des compatriotes qui sont très intelligents et qui ont un sens de l’analyse et de la contradiction constructive et non parfois idiote qui ne rime à rien.

    Des études, j’en ai fini depuis plus de 40 ans mais ma soif de la connaissance ne s’arrête pas sauf le jour de mon dernier souffle. Vous n’avez donc pas à m’indiquer ce que je dois faire. Vous n’avez pas la carrure pour que je vous suive.
    Votre intervention ne m’apporte rien et rien du tout, qu’il soit dit.

  91. OYESSI dit :

    @ Merci David Londi pour le lien et ton post mis à notre disposition comme à ton habitude. Tu as bien circonscris le problème. Non seulement les vainqueurs d’hier, les colonisation ont écrit parfois n’importe quoi, mais nos historiens politiques vainqueurs d’aujourd’hui sont tellement politiques qu’ils tronquent même l’histoire de leur propre pays.

    Je trouve quand même un peu gros que le royaume téké était un amas de chefferies mis sous l’autorité d’un seul chef pour en faire un royaume. Bon puisque je ne peux confirmer ou infirmer parce sans aucun outil d’analyse, je laisse le soin aux historiens d’en parler.

  92. Bulukutu dit :

    Une des manières de reconstituer les trames historique des différentes peuplades qui occupent nos territoires, consistent à étudier les différentes langues parlées et à les comparer entre elles. C’est ce qu’a fait Cheik Anta Diop avec le Wolof et l’ancienne langue égyptienne. Les groupes qui se comprennent ont sans doute une origine commune. La plupart des groupes humains localisé dans le sud du Congo, ont des similitudes linguistiques. Ces similitudes s’étendent jusqu’en Angola et même au delà vers l’Afrique du Sud. Certains nom sud-africain et Zambiens en sont un parfait témoignage. L’empire Monomotapa ou Mweni Matapa (empire du grand Zimbabwe) témoigne aussi de cette filiation linguistique et donc très certainement d’une communion culturelle passée. J’ai une ami comorienne qui m’a expliqué qu’il existe un groupe que l’on appelle les makouas sur l’archipel des Comores. De ce que j’ai pu comprendre, leur langue s’apparente à celle parlée dans le nord du territoire Congolais. Si la présence des Tekes sur le territoire de l’actuel Congo, prime sur celles des Kongos venus d’Angola, il n’en demeure pas moins que l’on peut faire le constat selon lequel, cette rencontre a été plutôt harmonieuse et elle donnée lieu à la création d’un nouveau groupe humain issue des unions extra clanique que l’on appelle aujourd’hui les Ba Laris ou Mokongo pour certains. D’ailleurs, il suffit d’essayer de comprendre l’origine des noms de certaines contrées pour comprendre cette filiation culturelle extra clanique. Le nom Djambala ou Dia Mbala, expression employée en signe de Bienvenue et que DeBrazza a confondu avec le nom de la localité. « Ma Dia Mbala ». « Dia » pour « manger » et « Mbala » pour patates. Nous serons très certainement surpris de découvrir l’Afrique à travers la recherche sur les filiations linguistiques. Notre histoire n’étant pas écrite, je pense sans être historien ou linguiste, que c’est un des moyens logiques par lesquels l’on pourrait remonter le temps.

  93. LLL dit :

    LLL
    Jusqu’à plus ample informé, je ne connais aucun lari qui se réveille tous les matins en se posant la question de son identité ! Suis-je un bâtard Kongo-Téké, Kongo-sundi-Téké,un Téké refoulé d’un sous groupe dit « Lali » ou « Balali », mon appellation est-elle une déformation de « maladie »? De ces Laris là, je n’en connais aucun l Car, les laris ne se posent pas la question de leur larité ni de leur existence en tant que cette entité ! Curieusement, cette question passionne au plus haut point, et, de façon quasi-obsessionnelle, les non laris ! Tout ça pour aboutir à la même conclusion : la tékénité des laris si ce n’est, leur non existence. C’est étrange…..Je me pose la question de leur impensé….Car; l’intérêt de’ la résolution de ce qui leur semble être une équation indépassable m’échappe.

  94. OYESSI dit :

    LU POUR VOUS, Cette analyse s’applique à sassou. J’ai vraiment apprécié.

    Climat postélectoral : Ali Bongo peut-il s’en tirer ?
    Publié par Roxane Bouenguidi dans POLITIQUE sur mercredi 02 novembre 2016 à 20:55 /

    45 commentaires

    Le président de la République s’est maintenu au pouvoir grâce au soutien inconditionnel des institutions et des forces de défense. Mais, dans la conduite quotidienne des affaires de la cité, ces soutiens atypiques ne sont pas d’une grande utilité.

    ©D.R

    La conquête, la conservation et l’exercice du pouvoir d’Etat n’ont pas grand-chose de commun. Ils ne requièrent ni les mêmes compétences, ni les mêmes moyens, ni les mêmes acteurs, ni le même timing. Omar Bongo fut sauvé par une intervention de la Légion étrangère française en 1990. La Légion étrangère n’a rien pu faire ensuite pour éviter les événements dramatiques de février 1994. Il avait réussi à transformer les Accords de Paris en instrument de légitimation et de renforcement de son pouvoir.

    Les Accords de Paris l’ont, par la suite, condamné au consensus mou, lequel a davantage escamoter les problèmes au lieu de les régler. Le « Doyen» a avait érigé la ruse en principe de gouvernance. Sa gouvernance a, au finish, été unanimement contestée, y compris par ses héritiers naturels et politiques.

    Moyens inopérants

    S’étant maintenu au pouvoir au terme d’une élection chaotique et meurtrière, Ali Bongo doit pouvoir méditer cela. Les institutions et forces de l’ordre étant victimes d’une défiance populaire, il doit réfléchir à l’impact de cet état de fait sur sa gouvernance. Et pour cause : dans la conduite quotidienne des affaires de la cité, ces soutiens atypiques ne suffisent plus. Pire, ils se révèlent inutiles voire contreproductifs. Ils lui ont permis de conserver le pouvoir mais ne peuvent nullement l’aider à l’exercer. Comme on pouvait le prévoir, ni Paulette Ayo Akoly et la Cour d’appel judiciaire, ni René Aboghé Ella et la Commission électorale nationale autonome et permanente (Cenap), ni Pacôme Moubelet-Boubeya ou Lambert-Noël Matha et le ministère de l’Intérieur, ni Marie-Madeleine Mborantsuo et la Cour constitutionnelle, ni les différents chefs d’état-major ne peuvent aujourd’hui faire redémarrer une machine administrative évoluant dans un climat anxiogène.

    C’est connu : pour son fonctionnement régulier, l’administration a besoin de moyens juridiques, matériels et humains. Ces éléments sont aujourd’hui totalement inopérants, le processus électoral ayant été conduit hors de toute norme et sans égard pour personne. Là où il fallait sacraliser le droit et consacrer le respect des instruments juridiques, les personnalités en charge de l’organisation de cette élection ont décidé de tout saccager. Sans en mesurer la portée, elles ont volontairement délégitimé tout le corpus juridique national. L’exemple venant d’en haut, il est aujourd’hui difficile d’exiger l’application des textes. Sauf, bien entendu, à laisser penser à une application à la carte.

    Loi d’airain de la démocratie

    Manifestement, Ali Bongo est victime de ses soutiens. La paralysie observée dans l’administration est d’abord une réponse à leur attitude. Pourtant censés être au service de l’intérêt général, ces dirigeants d’institutions ont fait des choix pas toujours conformes à leurs missions. Ils ont accumulé les décisions surréalistes et mesures scélérates. Ils ont modifié unilatéralement le contenu de lois, pris des libertés avec les règles de l’arithmétique, initié des interprétations spécieuses des textes pour finir par donner le sentiment de se prendre pour le peuple souverain.

    Ce rejet des normes, ce sentiment de toute-puissance et ce mépris pour l’autre ont inévitablement débouché sur une frustration généralisée, un sentiment d’humiliation largement répandu. Doit-on s’en étonner ? La mise au pas forcé de la population a, de tout temps et sous toutes les latitudes, été un pari risqué. L’atonie générale actuelle l’atteste. Après plus de trois décennies passées dans les arcanes du pouvoir, Ali Bongo découvre subitement une loi d’airain de la démocratie : la fin ne justifie pas les moyens.

    Pendant sa campagne, il l’a ressenti. Il avait anticipé la situation actuelle, se disant prêt à une «discussion sans tabou» dès le 24 août dernier. Pour y parvenir, il lui fallait l’emporter sans donner le sentiment d’avoir été imposé, sans radicaliser les positions et sans rompre le lien social.

    Malheureusement, la cohésion sociale a été atteinte comme jamais. Comme on pouvait le redouter, les conditions de la proclamation des résultats et le traitement particulier du mécontentement populaire ont lacéré notre vivre ensemble. Les organisateurs de ce scrutin ont-ils conscience d’avoir joué avec le feu ? Croient-ils avoir servi la collectivité ? De leur propre chapelle, s’élèvent des voix pour inviter à renouer les fils du dialogue. Est-ce possible ? Est-ce opportun ? Pour l’heure, l’administration, singulièrement le système scolaire, paie le prix de leur parti pris, de leur inconséquence et de leur incompétence.

    Issue conditionnée

    Le dialogue appelé de ses vœux par Ali Bongo est fraîchement accueilli par l’opposition et une bonne partie du corps social. Jean Ping, le premier, avait annoncé devoir lancer sa propre initiative. De nombreuses forces sociales ont, depuis, dit le soutenir. Contrairement à la rhétorique vaniteuse des zélotes de l’émergence, l’ancien candidat consensuel de l’opposition conserve une forte capacité de nuisance. Ayant officiellement appelé à voter pour lui en août dernier, la Convention nationale des syndicats du secteur éducation (Conasysed) pourrait très bien renvoyer la rentrée des classes à la Saint-Glinglin.

    Pis, de nombreux leaders syndicaux et associatifs, parmi les plus représentatifs, l’ayant ouvertement soutenu, ils pourraient être tentés de paralyser l’administration ou tout au moins de la faire tourner au ralenti. Les soutiens d’Ali Bongo ne peuvent faire comme si la «journée de deuil», initiée par l’opposition le 6 octobre dernier, n’a jamais au lieu. Ils doivent parfois se résoudre à regarder la réalité en face… Un enlisement de la situation actuelle ? C’est effectivement une issue pour le gouvernement. Mais, elle semble conditionnée.

    Si des frictions venaient à apparaître au sein de la coalition formée autour de Jean Ping, si le soutien de la société civile venait à lui faire défaut et si les populations se laissaient gagner par le découragement, Ali Bongo pourrait alors envisager l’avenir avec sérénité. Encore faudrait-il être en mesure de surfer sur cette vague. Or, l’expérience des sept dernières années laisse penser le contraire : malgré les vides successivement créés par la dissolution de l’Union nationale (UN), le décès de Pierre Mamboundou, le retrait forcé puis la disparition d’André Mba Obame, jamais la majorité au pouvoir n’a paru sereine. Systématiquement, elle a fait montre de fébrilité.

    Invariablement, elle a agi avec brutalité. Avec un dogmatisme consommé, elle a marginalisé une bonne partie de la population. Au final, elle a préparé son propre rejet par la population.
    Pour ne pas retomber dans les errements des sept dernières années, pour enfin prétendre gérer le pays tout entier, Ali Bongo devra profondément remanier sa gouvernance. Son régime donne trop souvent le sentiment de n’être ni à la hauteur des défis ni de celui des enjeux, entre petits arrangements entre amis, sectarisme partisan, protection et promotion des zélateurs. Des gouvernants sur la défensive et évoluant dans l’endogamie ne peuvent ouvrir les sentiers de l’avenir.

    La gestion d’un pays fait appel à d’autres attitudes. Ali bongo peut-il se transcender ? C’est maintenant ou jamais.

  95. Bakala Telema dit :

    Oyessi a écrit:

    Puisque vous semblez soutenir que le kongo-téké existe bel et bien et non le kongo, d’une part et le téké d’autre part et que le kongo-téké appartient au clan ou groupe kongo, cela veut dire que le zikou, le kikouya et même le mbéré appartiennent aussi au sous groupe, au clan ou groupe kongo.

    Voilà ce que j’aime chez les congolais i.e. l’art d’attribuer à autrui ce qu’ils n’ont pas dit. Je dis simplement pitié!

    Je persiste à dire que vous avez une lecture révisionniste de la présence des Kongo non seulement dans le Pool, mais aussi au sud Congo. Vous leur niez la propriété des terres où ils sont installés en les renvoyant au fleuve qu’ils auraient traversé (Zadi). pour vous, c’est normal que les Téké se retrouvent à cheval sur le Zadi, mais c’est impossible aux Kongo. Pourtant, c’est le même fleuve qui separe les Kongo du Nord de l’Angola, du Bas Congo. Oh, j’oubliais, ce coin est un pays Téké que les Kongo ont ravi. Ndoko!

    Bref, votre lecture de la presence Kongo exprime simplement une peur que Sassou avait bien résumée en Mars 1999 à Mikalou dans un discours: si Je tombe aujourd’hui à midi, à 14h il n’y aura plus de Ngala à Brazzaville et au sud. D’où le developpement de la fumeuse théorie révisionniste et ethniciste consistant à dire que Brazzaville appartient aux Téké et ce sont les Kongo qui doivent partir de ces terres. Certains theoriciens ont poussé le culot pour dire que les terres Téké s’étendaient jusqu’au Niari, notamment Dolisie. D’ailleurs, tu as même écris que les terres Téké s’étendaient au-delà de l’actuel Pool.

    sais-tu pourquoi Sassou quadrille Brazzaville à partir du CCF? Sais-tu pourquoi Sassou avait organisé la contestation du pouvoir de Lissouba à partir du CCF? C’est parce que pour eux c’est la nouvelle frontière entre le Sud et le Nord Congo.

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