LE DICTATEUR SASSOU-NGUESSO ACCUSE MARC MAPINGOU DE PRÉPARER UN COUP D’ÉTAT IMAGINAIRE

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SASSOU-NGUESSO PRÉPARE DES MASSACRES DANS LES PAYS DU GRAND-NIARI ( BOUENZA , NIARI ET LA LEKOUMOU)

Prétextant d’une rébellion imaginaire du Pasteur Ntumi et des Ninja Nsilulu dans le département du Pool pour perpétrer son génocide de la communauté Koongo-Lari, le dictateur Sassou-NGuesso dans une 2e phase, planifie de prolonger ses massacres dans les 3 départements des pays du Grand-Niari (Lekoumou, Bouenza, Niari).

La propagande de la dictature de Brazzaville par le biais de son site officiel (portail242.info) affirme que Marc MAPINGOU , préparerait un coup d’Etat militaire avec le soutien du Gabon d’Ali Bongo, contre le pouvoir illégitime de Sassou-NGuesso. Comme si ce mensonge n’était pas assez grotesque, les sbires du bourreau des Congolais soutiennent que Marc MAPINGOU serait en complicité avec le Pasteur NTumi et le Président Ali Bongo Ondzimba. Pourtant, dans une interview accordée à notre site le 8 octobre 2016, Marc Mapingou affirmait ne pas connaitre le Pasteur NTumi qu’il n’avait pas ménagé !

Bien évidemment, ce complot qui n’existe que dans la tête du clan NGuesso, est en réalité un stratagème pour justifier le stationnement futur  de milliers de miliciens de Sassou-NGuesso dans les départements de la Bouenza, du Niari et de la Lékoumou , les 2 derniers ayant une frontière commune avec le Gabon d’Ali Bongo. Sans gêne aucune, le pouvoir de Sassou-NGuesso sous-entend que le Pasteur NTumi aurait trouvé refuge chez ses frères de la Bouenza, il suffira après avoir fait courir cette rumeur infondée, de quelques tirs de Kalachnikov comme dans le Pool, pour que les chiens de chasse et mercenaires du pouvoir de Brazzaville poursuivent le génocide des sudistes dans le Niboland.

En prélude à cette mascarade, des rafles de militaires à la retraite et de jeunes sont actuellement en cours dans la Bouenza et le Niari.

Jadis fief du Président Pascal LISSOUBA  dont Marc MAPINGOU fut directeur de campagne, ces régions dites du Niboland , hostiles au tyran Sassou-NGuesso ont voté massivement le général Jean Marie-Michel Mokoko à l’élection présidentielle du 20 mars 2016.

Après NTumi dans le Pool, le pouvoir de Sassou-NGuesso veut faire de Marc MAPINGOU un bouc émissaire pour justifier ses futurs massacres dans les pays du Niari !

Coupable idéal, Marc Mapingou va porter plainte pour diffamation ‘Voir page Facebook Ziana TV)

[embedyt] http://www.youtube.com/watch?v=i7fK6Ey9Dy4[/embedyt]

LA REDACTION

Diffusé le 28 octobre 2016, par www.congo-liberty.org

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29 réponses à LE DICTATEUR SASSOU-NGUESSO ACCUSE MARC MAPINGOU DE PRÉPARER UN COUP D’ÉTAT IMAGINAIRE

  1. kouilou dit :

    Après le niboland ce sera le tour du Kouilou. La stratégie des mbochis se confirme. Ils ont non seulement une haine du peuple Kongo mais aussi ils ont un complexe d’infériorité qui les rend fou ce qui les poussent a exterminer notre peuple. Aux Kongos qui croient encore possible le vivre ensemble, ouvrez les yeux vous avez la réalité devant vous. Peuple Kongo seul la création d’un État Kongo nous sauvera du génocide que nous réserve les mbochis ( j’entends mbochis tous ces gens du nord,)

  2. OYESSI dit :

    Tellement grossier comme ficelle. Sassou pense que si Bongo père, son beau père était venue le remettre à coup de canons au pouvoir contre Lissouba, son fils, englué dans son coup d’état viendra au Congo pour le faire partir de son pouvoir usurpé.Il n’a pas le temps.

    Non,sassou avait regretté de ne pas avoir terminé son plan Mouebara du nom de son infidèle mère qui a trompé le vieux Nguesso pour nous pondre un monstre au nom de sassou avec un Dahoméen.

    Si nous ne prenons gare et continuons à confondre tous les gens du nord aux Mbochis, je crains fort que sassou continue à s’appuyer sur cette bêtise en se réfugiant derrière le tribalisme pour continuer sa basse besogne.
    A ceux des nordistes qui entendent souvent cette chanson qui consiste à dire; c’est notre pouvoir, n’en croyez pas un seul mot, c’est le pouvoir de sassou et son clan et non le vôtre.

    Comportez vous comme vos frères des régions dites du Niboland , hostiles au tyran Sassou-NGuesso qui ont voté massivement le général Jean Marie-Michel Mokoko à l’élection présidentielle du 20 mars 2016;

  3. macktchicaya dit :

    « SI LES POPULATIONS DU SUD ETAIENT DANS LA BETISE DU POUVOIR ALORS ELLES SE S HASARDERAIENT PAS A VOTER MASSIVEMENT POUR MOKOKO COMME L’ONT FAIT JADIS CEUX DU NORD PROFOND QUI ELLES AVAIENT VOTE POUR LISSOUBA »,,,donc rien ne sert de tomber dans le piège des nguesso, ce pouvoir à un autre problème c’est la haine d’un homme complexé contre les élites du pays. La parole est une arme et si ce pouvoir n’arrive pas à parlementer avec l’opposition réelle qu’il s’en aille simplement. Que les populations sortent des machettes et houes pour lutter contre ces envahisseurs rwandais et <burundais ,,,,,tchadiens et autres mercenaires à la solde du pouvoir, l'heure n'est plus à l'attente d'un dieu qui viendrait libérer ce pays

  4. LE PATRIOT dit :

    LA NOUVELLE RÉPUBLIQUE N’EXISTE PAS, SI NON DANS LES TÊTES DES TERRORISTES DONT LE CHEF C’EST SASSOU.
    MEME SI CE TERRORISTE A FAIT UN REFERENDUM DONT LE TAUX DE PARTICIPATION FUT DE 2%, CE RÉFÉRENDUM N’EXCLUAIT PAS DE SOUMETTRE LA CONSTITUTION AUX VOTES DE TOUTE LA POPULATION.
    TOUT PAR DU CHANGEMENT ILLÉGALE DE LA CONSTITUTION, EN SUITE LE VOLE DES RÉSULTATS DES ÉLECTIONS.

    SASSOU QUI EST RIEN D’AUTRE QU’UN TERRORISTE FRANÇAIS A SUR SA TÊTE PLUS 200.000 MORTS CONGOLAIS PLUS QUE LES MASSACRES DE ALEPPO (EN SYRIE).

    POURQUOI LA France BLOQUE LA RÉSOLUTION SUR LE PROBLÈME HUMANITAIRE DU SUD CONGO QUI DATE DEPUIS 1998?

  5. Anonyme dit :

    Que tout le Sud se lève comme un seul homme. Pas de Niboland (termes employé pour diviser le Sud), pas de Pool (le Pool et la Bouenza formaient jadis, une seule région), pas de Kouilou, juste le Sud jusqu’à la Léfini.

  6. VAL DE NANTES, dit :

    Alors pas de reproches ,à KOUILOU ?.ET à ANONYME ,? je valide.
    Nous assistons à un plan d’élimination physique , sinon d’affaiblissement démographique du SUD
    au profit de la conservation du pouvoir de SASSOU ;;
    Nous en rigolons ,mais l’assassin avance avec sa machette .
    Certains compatriotes finiront par comprendre , la stratégie planifiée , par ce fou DE SASSOU et ce sera peut être tard .
    Oui , cette rumeur court SUR TOUT BRAZZA , SASSOU veut raser les forêts du sud à la recherche de ce NTUMI VIRTUEL ;;;;
    Nos parents vivent des moments difficiles , et certains veulent nous divertir , au nom de la défunte unité nationale .
    On ne peut pas berner , tout le monde , tout le temps .Les tenants de la plume mielleuse , ont de quoi à être inquiets , quand ce vautour de SASSOU en viendra à chercher ces oiseaux dans le niari lékoumou , bouenza ……
    Que ceux qui se voilent la face , pour plaire aux amis fantômes internautes ,qu’ils le fassent , mais , j’ai une qualité que me reprochent des hypocrites , c’est mon manque d’hypocrisie .
    Je refuse la bénédiction empoisonnée ;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;
    JE PENSE DONC J’écris .LES états d’âme n’y ont pas leur siège . Je me désole , quand les uns me taxent d’extrémiste , et je me console quand les autres expriment la même colère .
    OUI , c’est de colère , dont il s’agit ici .

  7. sitou Mpaka dit :

    Sassou aime bien inversé son rôle . Souvenons nous quand ce salopard préparait le coup état contre Lissouba au Vésinet , Avenue RAPP et dans les palaces parisien où sassou multipliait des dîners avec des marchands d’armes Blanc ,avec l’appui financier de son beau fils OMAR BONGO. Et chacun sait que le Gabon à servi de base arrière pour acheminer des armes dans la cuvette Ouest jusqu’à OYO . Chers compatriotes soutenons l’action de Ntoumi le seul qui peut paralysé l’économie du congo , empêchant ainsi sassou de s’approvisionner en minutions , à payer ses mercenaires et corrompres ses faux opposants comme Parfait kolélas , Bowao , Okombi et autres …

  8. SASSOUFIT,DEGAGE dit :

    Les sudistes commencent à comprendre sur ce site que les mbochis sont très mauvais.
    Comme l’a dit notre frère TONY MOUDILOU,pauvres mbochis,FULBERT YOULOU et MASSAMBA DEBAT vous ont laissé un pays prospère et vous l’avez détruit.

    Parole d’une soeur de dieu,Sassou est le dernier homme du Nord à dirigé notre pays.Vu ce qui passent maintenant,je comprend la porté de cette parole.

  9. Morceaux Choisis dit :

    Face au Dialogue exigé par l’église, l’objectif de Sassou Nguesso, de sa clique et gouvernement illégitime est la non-participation de NTUMI au dialogue. Quelle diversion. Quelle fraglante contradiction. Aux dernières nouvelles, nous apprenons que « la propagande de la dictature Sassou Nguesso affirme que Marc MAPINGOU , préparerait un coup d’Etat militaire avec le soutien du Gabon d’Ali Bongo, contre le pouvoir illégitime de Sassou-NGuesso ». Vigilence, vigilence. Les violences qui terrassent le Pool et la Bouenza sont l’oeuvre de Sassou Nguesso et clique ; terroristes qui , depuis 7 mois laissent bombarder dans le Pool les localités maison par maison, village par village et district par district et veulent se donner un motif d’étendre le génocide dans les départements du Niari et de la Lékoumou. Ce interessent Sassou Nguesso et clique qui ordonnent les bombardements sauvages sur les civiles, laissent stationner des forces barbares se livrer au génocide, c’est la sauvegarde du pouvoir par tous les moyens. Des milliers de soldats de la garde présidentielle, des miliciens, mercenaires qui se livrent aux massacres, viols contre les paisibles populations au su la communauté internationale, sont déployés dans le Pool et en partie dans la Bouenza.Il y’a encore des gens, des médias à croire aux mensonges du Pouvoir génocidaire de Sassou Nguesso que Ntoumi et ses ex ninjas sont ceux qui sont les responsables du massacre des populations, de la destruction dans le Pool et que les forces du pouvoir illégal y sont pour protéger les populations. Comment peut-on être naïf à ce point et croire aux déclarations du pouvoir illégitime de Sassou Nguesso? Le génocidaire, Sassou Nguesso trompe, manipule le monde depuis des années. Porter le moindre crédit aux discours du pouvoir illégal, illégime de Sassou Nguesso, animés par l’instinct criminel, maniac, qualifiant de délinquants ou terroristes Ntoumi, tous les vaillants enfants du Pool qui se défendent contre les agissements des forces barbares, les escadrons de mort envoyés par Sassou Nguesso et la clique pour tuer les Laris-Bacongos est une naïveté ou une bétise absolue. Comment Ntoumi peut d’ailleurs avoir tant d’armes, d’hommes, être partout dans le Pool, la Bouenza pour donner la mort aux populations et détruire tant de localités, alors que plus de 5000 soldats, miliciens, mercenaires du pouvoir , sensés protégés les populations y sont déployés? « Ntumi est accusé de faits qui se sont déroulés dans la nuit du 4 avril 2016. Des faits ponctuels qui se sont déroulés à Brazzaville ont déclenché non pas une enquête et une opération de police mais une guerre avec des chars, des voitures blindées et des hélicoptères de combat pilotés par des mercenaires ukrainiens. La réaction du régime Sassou Nguesso, l’ homme qui se croit trés fort et intouchable, est vraiment trop disproportionnée: Elle est insensée,car une opération de police se fait sous enquête menée par des juges d’instruction et nonpar des bombardements aveugles, pendant des mois,qui inéluctablement ne peuvent que tuer sans distinction et non à capturer qui que ce soit, si le but réel n’est pas la poursuite du génocide( l « opération Mouébara » amorcé en 1998- 2003 par Sassou Nguesso) et resté jusqu’à présent impunis qui engendré l’affaire des disparues du Beach.Des milliers de Congolais anonymes ont été enlevés et mutilés depuis le 17 Octobre 2015 parce qu’ils se sont opposés à la stratégie d’installation d’une monarchie au Congo :le dernier exemple parmi 1.000 est celui d’Augustin Kalla Kalla, dont le corps a été saccagé à l’extrême et les os brisés parce qu’il a dit NON à Sassou et son clan. »Comment Sassou et son gouvernement peuvent’ils nous dire qu’ils soutiennent un dialogue inclusif d’un côté et de l’autre, encourager les enragés de la propagande et de la tuerie continuer à sévir dans une région ou résidents pleins d’enfants, des femmes et vieillards ? Comment peut-on accuser tout le monde en partant de l’opposition, l’Église catholique, en passant par la société civile d’être des ennemis du peuple clairement appelé de surcroit « des terroristes » Dans ce contexte vers quel dialogue naviguons-nous lorsque l’on sait que le double langage de ce gouvernement est établi ? « la confiscation perpétuelle du pouvoir d’Etat par un seul clan et une seule famille, dans des visées de domination absolue des autres Congolais.Pour exécuter cette idéologie, Sassou et ses adeptes entreprennent depuis 40 ans de multiplier des crimes de sang et des crimes économiques pour conserver un pouvoir usurpé. » La haine de Sassou Nguesso contre les Laris, Bacongos; les habitants, les originaires du Pool est connue publique depuis 1977 après qu’il ai assassiné le Président Ngouabi et quand il accuse les Laris- Bacongos d’avoir commis cet assassinat. L’ancien président, Alphonse Massamba-Débat; soit disant premier accusé est exécuté précipitament. Le cardinal Émile Biayenda est enterré vivant 2 jours plus tard. Des centaines d’autres cadres, personnes appartenant à la tribu Lari – Bacongos sont fusillées sous les ordres de Sassou Nguesso qui va continuer allégrement à commettre d’autres crimes contre l’humanité tel que celui des disparus du Beach. Depuis le 17 Octobre 2015 à nos jours, des centaines de Congolais ont été assassinés par les adeptes de Sassou dans leur quête extrémiste de confiscation perpétuelle d’un pouvoir usurpé. Des dizaines de leaders politiques sont soit emprisonnés ou soit en clandestinité forcée à cause de la « machine à détruire » de Mpila.Des milliers de Congolais anonymes ont été enlevés et mutilés depuis le 17 Octobre 2015 parce qu’ils se sont opposés à la stratégie d’installation d’une monarchie au Congo :le dernier exemple parmi 1.000 est celui d’Augustin Kalla Kalla, dont le corps a été saccagé à l’extrême et les os brisés parce qu’il a dit NON à Sassou et son clan. » Ce qui se passe au Congo Brazzaville depuis des années où un putschiste semi-analphabète, autoproclamé géneral de l’armée et président de la république, qui ne cesse de se maintenir par fraude au pouvoir,persiste et signe pour ses crimes impunis contre l’humanité,ne se passe nul part ailleurs qu’au Congo. Partout dans le monde, des crimes contre l’humanité, crimes de génocide et crimes de guerre, ne sont jamais restés impunis. Sassou Nguesso perpétue tous ces crimes depuis des années. Il continue à acheter le silence des grands de ce monde en optant à la strategie basée de faire passer la victime pour le coupable que certains esprits et la grande presse manipulée continuent à divulguer. Le Pool ne souffre nullement pas de la loi de terreur qu’impose Ntumi, qui n’a entre autre pas assez d’armes, ni d’hommes pour envahir toute la région du Pool et en partie de la Bouenza. Mais c’est Sassou Nguesso, le terroriste et sa clique qui sément la terreur au Congo, mènent encore une épuratiom éthnique commencée quand Ntoumi n’ était pas encore là qui sont à l’oeuvre. Il n’y que des esprits faibles, corrompus à ne pas le comprendre, malgré les preuves vérifiables, les témoignages multiples des populations victimes que ce n’est le pouvoir cimminel de Sassou Nguesso qui, avec une force militaire très bien armée qui bombarde par hélicoptères de combat, avions de chasse et qui a deployé plus de 5000 miliciens, mercenaires, soldats de la garde présidentielle qui cause le drame dans le Pool et dans la Bouenza. La dernière nouvelle de la « propagande de la dictature est celle qui est basée d’accuser Marc MAPINGOU de préparer un coup d’Etat militaire avec le soutien du Gabon d’Ali Bongo, contre le pouvoir illégitime de Sassou Nguesso. Prenons garde! Sassou Nguesso veut pour cela  » justifier le stationnement futur de ses milliers de miliciens, mercenaires dans les départements de la Bouenza, du Niari et de la Lékoumou ayant une frontière commune avec le Gabon et poursuive le génocide des sudistes. « Nous devrons prendre courage, dresser une stratégie et mettre hors d’état de nuire les vraia terroristes qui sont le tyran génocidaire Sassou Nguesso et sa clique. Il faut attaquer le tyran et sa clique sur le plan judiciaire, appuyer les jeunes qui se défendent dans le Pool. Il faut soutenir le travail de Me Massengo par les photos, filmes, témoignage. La diaspora doit multiplier les initiatives en informant à fond les médias et l’opinion publique d’Europe, d’Amerique. Il faut créer une radio mobile pour informer les populations du Congo qui n’ont pas accès à l’internet.

  10. Anonyme dit :

    Triste et pathétiques accusations

  11. Anonyme dit :

    Le tyran d’Edou, toujours dans ses vieilles recettes

  12. MERCI macktchicaya ! POUR L''EDUCATION DE NOS ENFANTS DE LA DIASPORA! PATRIOTE ATTERRE! dit :

    J’AI MONTRÉ VOTRE COMMENTAIRE A MES ENFANTS!

    Merci à vous de relever cette vérité historique qui me guide dans mes relations avec d’autres congolais!

    C’EST DES POSTS COMME CEUX LA QU’ON DEVAIT VOIR SUR CE SITE! C’EST TRÈS ÉDUCATIF ET JE L’AI MONTRÉ A MES ENFANTS.

  13. OYESSI dit :

    @ macktchicaya,

    Votre post est copié et mis dans le registre de ce que je crois être parmi les meilleurs que je lis sur ce site. Avec des compatriotes comme LONDI et vous, on peut penser qu’un jour, le Congo sera uni car vous saisissez ce qui se pose à nous comme problème.

    Tant que les élucubrations des intellectuels que nous sommes qui ne comprenons toujours pas que nous avions un seul ennemi qui est sassou et qui depuis longtemps nous manipulent à sa guise moyennant nguiris ne cesseront pas. Et nous passerons notre temps à se contredire ou à montrer que nous avions la science infuse sans que nous ne trouvions la solution à l’équation sassou qui déroule sa sorcellerie et sa barbarie chaque jour qui passe.

    Merci de votre clairvoyance.

  14. VAL DE NANTES, dit :

    CROYEZ VOUS QUE çà nous plaise de voir nos parents , dormir dans les forêts , au nom de la cohésion nationale .,,,,??
    Et , vous avez le culot de nous demander de mégoter nos émotions ….;

  15. VAL DE NANTES, dit :

    ON NE PEUT PAS ETRE RICHE EN ETANT POLITICIEN A MOINS D ‘être escroc et criminel , c’est le cas des SASSOU ;;;;
    Pour paraphraser un Certain président des USA ;;;;;;

  16. DENIS SASSOU! TIKA BIZALELI YA MABE! BOZABA YA BA MBOCHIS EKOTI ENCYCLOPEDIE WIKIPEDIA PONA LE BOA NA ECAIR! dit :

    DENIS SASSOU! TIKA BIZALELI YA MABE! BOZABA YA BA MBOCHIS EKOTI ENCYCLOPEDIE WIKIPEDIA PONA LE BOA NA ECAIR!

    Na za na passi na motema!
    Pour un peu plus de 1 Milliard ya dette olingui ECAIR ekufa pona bozoba ya le BOA : Bouya Osso Adada!
    PESA ORDRE NA BOUYA NA ONDOGO BA FUTA NYONGO PE BENGUISSA ZOBA YA OSSO, ECAIR EBIKA, DA DG YA AVAIATION CIVILE BA ZO YA NA CONGO.

  17. enfant de Komono dit :

    pourquoi les congolais respectent les Francais ? j ai besoin de vos opinions , parceque franchement c est trop l impunite k la France donne a Sassou Nguesso , c est trop

  18. Hallo hallo dit :

    Drôles d’accusations par celui qui a passé toute sa vie à faire des coups d’état.
    Pool+Niboland, c’est un vaste territoire. Normalement, il s’étrangle tout seul. C’est peut être l’erreur fatale qui va sonner là fin de la récréation. Il s’attaque tout azimut aux sudistes.
    S’il tue tous les sudistes, il aura réussi son pari. S’il perd, implicitement il signera la création du sud congo et du nord congo.
    « Mbwa bununu bwa yoka kumini konko »

  19. Anonyme dit :

    Arrêtons de parler de la France qui n’est qu’une excuse que nous nous trouvons pour ne pas voir notre propre incapacité à agir.
    Arrêtons l’hypocrisie, agissons ou alors assumons le fait que nous ne sommes pas prêt ceci sera plus honnête.

  20. VAL DE NANTES, dit :

    Effectivement , on se cache derrière un arbre qui ne nous couvre que partiellement , on est à nu .
    Notre lâcheté est mise en évidence par nos postures illisibles sur la façon d’en finir avec SASSOU.
    On n’y arrive pas , en témoignent nos attaques futiles au menu fretin , kolelas qui n’est qu’un opposant parmi les autres .;;;;;
    Quelles sont les stratégies nationales et internationales qui ont été élaborées , pour contrer efficacement ce tsunami terroriste qu’est SASSOU ;
    Rien , chez rien , de réunion en réunion , de marche en marche , les talons sont usés .IL va falloir réorienter notre action politique de façon à montrer davantage au monde entier le caractère criminel de la philosophie politique de SASSOU .
    De même , il serait important de se faire conseiller par des peuples ayant l’expérience en la matière .

  21. Anonyme dit :

    En massacrant à tout va dans les régions qui lui sont hostiles, Sassou est en train de préparer l’accession au pouvoir de son rejeton.
    N’étant plus tout jeune, il est conscient que la mort peut venir le chercher à tout. Vu le contexte général qui a prévalu lors du (pseudo) référendum d’octobre 2015, il n’a pas pu executer son plan de transmission monarchique du pouvoir à son bonobo de fils (Kiki). Le mandat actuel, qu’il a volé sans vergogne, sera axé sur la guerre qu’il mènera aux populations qui oseraient se mettre en travers du chemin de Kiki quand ce dernier prendra le pouvoir pour succéder à son père… Il en profitera aussi pour éliminer les potentiels adversaires politiques pouvant faire de l’ombre au petit roitelet. D’où l’acharnement sur les populations du Pool, et bientôt probablement sur celles du Niari, de la Bouenza (qui a deja subi un avant goût de ce plan machiavelique) et de la Lekoumou…

  22. Les imaginaires coups d'états de l’agrégé en coup d'états mr sassou nguesso dit :

    Lu pour nous:

    Je suis toujours au Sénégal pour les « Ateliers de la pensée ». Salles remplies de jeunes à qui j’ai dit : « Je ne peux pas rentrer au Congo parce qu’on pense que je prépare un coup d’Etat avec des sujets, des verbes et des compléments »…

  23. Les imaginaires coups d'états de l’agrégé en coup d'états mr sassou nguesso dit :

    Lu pour nous:

    Décidément…
    Ils n’ en Peuvent plus , les sbires de Okemba ..
    Après le Complot de Mokoko sur une vidéo bidouillée , ils Ont trouvé Marion Madzimba Ehouango en complot avec un colonel de la RDC …En plein Kinshasa !
    Puis ce fut la brave Madame Munari complotant dans le « Nibolek » pour « empêcher les orgies du 15 août …Avant elle ,le Colonel Aimé Portella sur un complot inexpliqué .
    ..Après elle, Okombi Salissa qui aurait réarmé Ntumi qui ridiculise une armée de triibalistes…
    Ensuite c’ est le tour de Marc Mapingou qui comploterait avec le Gabon pour revnerser le clan d’ Oyo…Et ce n’est pas fini…..
    Voilà qu’ ils viennent de trouver l’ ami Anielé en compagnie de Georges Bambi entrain de comploter pour sortir Ntsourou de la maison d’ arrêt et renverser le camarade « . Huit …pour Sang…!  »
    Non … Un peu de décence tout de même !
    Même sous Staline la  » complotite  » n’ avait pas atteint un tel degré d’ idiotie .

    Congo Brazzaville : deux colonels à la retraite veulent faire évader Marcel Ntsourou et renverser le pouvoir

    Des informations de source non négligeable font état d’une rencontre, à Paris, entre l’ancien Directeur général du port autonome de Pointe-Noire, Jean-Marie Aniéle, le colonel à la retraite Georges Bambi et le mercenaire bien connu, Patrick Klain. Objectif planifier un coup de force pour la prise de la ville de Pointe-Noire après une extradition de Marcel Tsourou de la prison de Brazzaville

    Jean Marie Aniele qui a été pendant près de vingt années à la tête du port autonome de la ville de Pointe-Noire, a su amasser une colossale fortune qui lui a permis d’alimenter financièrement les activités de son ami de longue date, l’ex-colonel des forces armées congolaises, Marcel Tsourou, aujourd’hui incarcéré à la maison d’arrêt de Brazzaville, pour atteinte à la sureté de l’Etat, depuis sa tentative de putsch en décembre 2014.

    Aujourd’hui, exilé en France, le colonel à la retraite Jean Marie Aniélé a pris attache avec son confrère, Georges Bambi, qui se trouve être le beau-frère de l’opposant politique André Okombi Salissa. Les deux personnages multiplient les contacts sur la place de Paris, en vue de chercher des voies et moyens pour organiser un coup de force sur le sol congolais et déstabiliser le régime.

    Au cœur de l’entretien entre les deux hommes et le mercenaire Patrick Klain, la mise au point d’un plan d’évasion de prison de Marcel Tsourou, suivie de la prise par les armes, relativement facile selon leurs dires, de la capitale économique Pointe-Noire.

    Ces écris sont du téké ou ngangoulou de service Jean Claude Nkou

  24. BULUKUTU dit :

    Lu pour vous sur Congopage.
    Par Ossere Ondele.

    Jean Claude, Léon et François, IBOVI un trio d’enfer et de fer a tenté le bras de fer avec Sassou !
    La guerre de tranchées entre la lignée OMOUANGA et la lignée NGUESSO aurait-elle commencé ? Il semble que oui. Au regard des jérémiades des frères Ibovi, il s’agit de l’éternel combat du pot de terre contre le pot de fer.

    Délation

    « S’il m’arrive quelque chose, ne cherchez pas longtemps, ne cherchez pas loin ! » L’auteur de cette pensée sait de quoi il parle. Ancien ministre de Sassou, il a formulé ce pronostic prémonitoire pour avoir dit devant témoins des choses pas sympa pour Sassou et, ces choses ont été rapidement rapportées à qui de droit par un infiltré. Il faut être naïf pour ne pas penser que dans le système de Sassou les murs n’ont pas des oreilles.

    Convoqué à Mpila, ce « recalé » du gouvernement de Mouamba aurait eu un échange glacial avec Monsieur 8% et c’est à l’issu de ce houleux entretien qu’il avait compris que sa vie ne valait plus un kopeck.

    De quoi s’agit-il ?

    L’altercation se serait passée au cours d’un « décrassage » (cérémonie où se lave en famille le linge ultra sale). Sauf qu’ici, c’était un débriefing suite au hold-up électoral où Sassou s’est sali les mains le 20 mars dernier en bluffant le peuple Congolais. Son geste a alors particulièrement donné la nausée à un frère Ibovi. L’infortuné ministre aurait tenu des propos politiquement incorrects à l’endroit du Roi d’Oyo qui, comme chaque monarque, préfère être entouré de courtisans que de donneurs de leçon surtout si, à l’instar des mouches, on a été nourri par lui au lait et au miel.

    Alors que, dans un indécent existentialisme, certains partisans célébraient le braquage des urnes, cet empêcheur de tourner en rond a contesté en public les résultats fabriqués par Bouka, validés par Iloki et ses sujets de la Cour Constitutionnelle. Ce coup de pied dans la termitière n’a pas été du goût de nos constitutionalistes en herbe, corrompus à hauteur de 20 millions de francs chacun. Il paraît que dans un sursaut de conscience, ces juristes véreux se sont empressés de qualifier de « gros n’importe quoi » les résultats de Mboulou, Bouka, Iloki et compagnie proclamés à la hussarde et nuitamment. Ils ont critiqué mais n’ont pas moins les mains sales, dirait Jean-Paul Sartre, en empochant vingt briques pour service rendu. Et comme par hasard, tous, pour paraphraser Jean-Pierre Makouta-Mboukou, sont originaires de la « septentrionie ethnique ». Solidarité des tranchées tribales oblige ! Qui le leur reprocherait dans ce monde où le seul culte valide est celui du veau d’or ! Passons.

    Langue fourchue

    Personne ne comprend dans le milieu des « allons seulement » qu’on ne tienne pas sa langue, qu’on se répande en indiscrétions en public, autant de fuites qui remettent en cause des résultats, certes, cousus de fil blanc, qui ont permis à Sassou de rempiler et à chacun de garder ses prérogatives, de conserver ses acquis. Pire, nombre de faux vainqueurs, craignant de subir les foudres de Mpila, ont fini par accepter, de gré ou de force, la forfaiture. De ce fait, travaillé par le remords, il n’en fallait pas plus pour que celui qui fut l’ancien porte-parole du candidat Sassou Nguesso pour les affaires internationales lors de la présidentielle de mars dernier, sorte de sa réserve. François Ibovi (car c’est lui), est dans de beaux draps.

    Qu’il s’insurge contre cette barbarie sans nom alors qu’il était conscient du degré de violence qui s’abat actuellement sur les innocents, autant dire que c’est assez téméraire de sa part. Ce n’est pas Augustin Kalakala torturé avec bestialité qui dirait le contraire.

    « Au lieu d’avoir la victoire modeste, le pouvoir se permet de surcroit d’embastiller les opposants, de les violenter, les pourchasser au lieu de favoriser le dialogue » s’est indigné notre rabat-joie ! Celui-ci, l’impudent, sachant qu’il s’exprimait devant un public truffé d’espions devait se douter qu’il y aurait délation. Ces balances ont vite fait d’aller rapporter ses propos à Monsieur 8%, provoquant le courroux de celui-ci et la convocation manu-militari du frondeur à Mpila. Que quelqu’un ait vendu la mèche, c’est dans l’ordre des choses en sassouland où l’on vit de trahison et se repaît de dénonciations.

    Après ces explications ou il a réitéré sa nette volonté de privilégier le dialogue plutôt que la répression armée, l’ancien porte-parole du candidat Sassou qui connaît le mode opératoire du tigte d’Oyo a vite fait d’aller réunir les siens pour les informer du danger qu’il courrait suite à cette explication de texte avec l’ogre d’Oyo. Se sachant dans le collimateur des « tueurs froids » de Monsieur 8%, il a pris les devants en réunissant le cercle familial : « S’il m’arrive quelque chose, ne cherchez pas loin ! »

    Un patronyme pas comme les autres

    Le rebelle, vous aurez compris, fait partie d’une famille dont le nom est synonyme de courage et de sursaut républicain. Un membre de cette fratrie est député à l’Assemblée et avait pris position contre ses propres parents qui voulaient triturer la Constitution pour que Sassou rempile. Un autre, siégeant comme membre du comité central du PCT, avait pris lui aussi position contre le Bis Repetitas de Sassou Nguesso à la présidentielle. Cet enfant terrible a pris la parole au cours d’une des sessions du comité central de son parti pour dire, à ses camarades, tout le bien qu’il pensait du changement de la constitution et, par ricochet, son aversion de voir le président sortant se représenter pour un nouveau mandat. Pressentant les difficultés, il voulait éviter qu’il n’ait une sortie du pouvoir peu honorable en voulant un passage en force. Peine perdue ! Il sera marginalisé au sein du pré-carré ethnique. Allez savoir si ce ne sont pas ses propres « parents » qui avaient prémédité son agression à l’aéroport Roissy Charles de Gaulle lors d’une mission de service !

    Manifestement Jean-Claude, Léon et François sont un trio d’enfer et de fer. Fils d’Oyo, ils ne demeurent pas moins des républicains droits dans leurs bottes, n’en déplaisent aux nostalgiques de l’imposture ethnocentriste.

    Un secret pour personne !

    Au sujet du braquage électoral, les langues se délient sur fond de partage du butin.
    Un adage populaire bien de chez nous, dit : « Le cafard a beau s’oindre de farine, la poule fini toujours par le retrouver. » On pourrait ajouter cet autre adage populaire qu’aiment répéter les artistes des deux rives du Congo : « le mensonge prend l’ascenseur. La vérité, elle, prend l’escalier » (« Quel que soit le temps que prend la vérité, elle finit par arriver » disent les latins). Il ressort clairement que tout ou une partie de l’establishment ainsi que les proches du pouvoir savaient la réalité des résultats des urnes de l’élection présidentielle de mars 2016. Tous savaient pertinemment qui avait gagné, qui avait perdu. Qui était arrivé premier au premier tour et qui n’avait pas franchi le cap de ce premier tour. Beaucoup ont même craché le morceau dans certains cénacles. De Mvouba au général Ollessongo, en passant par l’épouse du candidat sortant, Clément Mouamba, Elvis Digne Okombi Tsalissant, Rodolphe Adada, tous étaient dans le secret des Dieux : le cambriolage électoral en mars 2016 était un fait avéré.

    Sassou, lanterne rouge

    Mais l’indignation n’étaient pas fondée sur les mêmes raisons éthiques « Avec tous les moyens qu’on a mis à votre disposition, le Président n’a pas pu gagner à Pointe-Noire ? Même ne pas arriver en tête ? » a geint le général Ollessongo devant Isidore Mvouba sur le parvis de L’Hôtel Atlantic Palace de Pointe-Noire. Rappelons que Mvouba était le Directeur de campagne de Monsieur 8% à Pointe-Noire, Rodolphe Adada directeur à Brazzaville, l’apprenti milicien Elvis Digne Okombi Tsalissant s’était essuyé les pieds sur le dos d’Adada. Okombi Tsalissant n’avait pas hésité de sermonner en public le Directeur de campagne de la ville de Brazzaville pour n’avoir pas réussi à faire élire Sassou à Brazzaville. Puis, toute honte bue, tirant la couverture à lui, il lança à la cantonade qu’avec son Pona Ekolo, financé par le maire de Brazzaville, il se démenait comme un beau diable pour truquer les procès-verbaux afin d’inverser les résultats en faveur de Monsieur 8%. Épaulé par les spécialistes du scannage de documents et de falsifications des procès-verbaux, le vice-président de la CONEL et président de l’association Pona-Ekolo, n’a pas en effet lésiné sur les moyens pour modifier le cours des résultats de Sassou Nguesso à Brazzaville. Normal, qu’il « manque », (diraient les Ivoiriens), Rodolphe Adada ! Sous-entendu « manquer de respect. » Dans le lot de ceux qui savent ce qui s’est réellement passé, Adada figure en bonne place. Son honnêteté l’a même trahi. En recevant des journalistes, il avait laissé glisser en « Off » que même la Bouenza et le Niari n’avaient pas voté pour le candidat du PCT, que dans ces deux départements, il était arrivé loin derrière les candidats Mokoko, Okombi, Munari et Tsaty-Mabiala ! Lanterne rouge ! Oui, il s’agit d’une autocritique collective avec une once d’ironie socratique.

    Antoinette dépitée

    Abattue et groggy : telle était l’état d’Antoinette, l’épouse de Sassou, après l’annonce des résultats de l’élection présidentielle. Tout en dévissant avec les camarades de son « moziki » pendant le débriefing d’après campagne, Antoinette Sassou-Nguesso se serait « lâchée ». Entre deux petits fours qui visiblement avaient le goût amer du fruit à pain, elle a eu la langue fourchue en interpellant ses amies dont certaines étaient originaires du Pool. Pourquoi, le Pool, tançait-elle, n’avait pas voté pour son mari, avant de se ressaisir et d’ajouter l’air dépitée : « Ah, je parle du Pool qui n’a pas voté pour mon mari. Et, mes propres parents du Kouilou ? Ils n’ont pas fait mieux ! » Puis d’ajouter, philosophe, « Quand on parle d’argent qui manquait pour mobiliser les équipes de campagne, etc. Laissez-moi rire. Mokoko, il avait quel argent ? Il n’a pas mis autant d’argent dans cette campagne comme nous l’avons mis ! Je ne comprends pas comment les gens ont pu voter pour Mokoko alors qu’il n’avait pas le sou. »

    Tout va se savoir !

    Qui se souvient des gémissements de Lili Loumande, la fille de Madame Sassou, belle-fille de Sassou Nguesso, himeself ! N’avait-elle pas chialé lorsqu’une traque en règle avait été organisée aux États-Unis contre sa maman par les avocats Américains de Hodjeij ! Les deux dames avaient dû passer par Bangui en Centrafrique pour rejoindre Brazzaville en pleurant comme une Madeleine : « Maman ne voulait pas de cette affaire. Elle ne voulait pas qu’il se représente. Maintenant c’est nous qu’on traque ! »

    Passe d’armes à fleuret moucheté

    « Mais vous aussi dans le Pool, tout ça c’est de votre faute. Vous n’avez pas voté pour le Président » aurait balancé à la figure jaune papaye de Mvouba, Clément Mouamba, premier ministre de Sassou Nguesso qui, bien qu’étant de l’Upads, semblait, lui, avoir voté pour l’homme d’Oyo ! Le sang de ce celui qui fut encore à une date récente la caution ethnique du Pool de Sassou, n’a fait qu’un tour. Sans mâcher les mots, il a répondu du tac-au-tac : « Et vous dans la Lekoumou ! Vous avez voté pour Sassou sans doute ? » Un aparté en marge de la rencontre initiée par les producteurs du « vivre ensemble » à l’hôtel Ledger ex-Méridien entre les cadres du Pool qui étaient censés statuer sur l’affaire Ntumi a failli se transformer en pugilat. Comme quoi, les loups finissent parfois par se battre entre eux.

    La Likouala Oye Oye Viva !

    Le Kouilou, la Bouenza, le Niari, la Lekoumou, le Pool et même Brazzaville n’ont pas voté pour Sassou. Ces aveux sont faits par les tenants du pouvoir eux-mêmes à la suite d’une crise de conscience. Le candidat de « Allons Seulement » avait été disqualifié dès le premier tour. Ce ne sont ni les opposants ni les membres de la plate-forme IDC-FROCAD élargie à J3M qui l’ont dit. C’est encore moins la CTE (Commission Technique Électorale) qui a livré le secret de ses résultats compilés. C’est « Bango na Bango ! »

    Alors si toutes les localités du Congo (70% de la population congolaise), n’ont pas voté Sassou-Nguesso, comment expliquer l les 60% attribués à l’auteur du « Manguier, la Souris et l’Alima » ? La réponse ? Il faut aller la chercher dans la Likouala ou le Préfet n’a pas fait dans le détail, allant jusqu’à faire voter les Nbgandés, les Bayas, les Babingas de Ndongo-Zaïre, les Réfugiés Rwandais et toute âme vivant dans le département en âge ou pas de voter. Le Préfet de cette contrée s’est appuyé sur ces populations pour obtenir le fantasmatique score de 200% au profit de Sassou. Grâce à l’ajustement électoral apporté par la Likouala et son Préfet, alias « Monsieur 48 heures ! »tout est bien qui finit bien.

    Paroles prophétiques

    Plusieurs mois après ce braquage électoral, les langues se délient et le bon sens est imploré afin que tous ceux qui se sont mis dans la peau des vainqueurs puissent se ressaisir et privilégier la voie du dialogue. L’idéal serait qu’ils fassent profil bas et mettent de côté leur amour-propre. C’est ce que l’ancien ministre, François Ibovi a dit à l’auteur du cambriolage électoral de mars 2016. Et si, par extraordinaire, François Ibovi venait à disparaître, le monde a le droit de savoir d’où vient le coup. En fait dans ce casse du siècle, les braqueurs refusent de partager le butin en jouant les gros bras !

    L’opinion doit savoir aussi que si Mokoko, Banangazala, Jean Ngouabi, Modeste Boukadia, Paulin Makaya et d’autres, croupissent en prison c’est parce qu’ils sont du côté de la raison. Si Augustin Kalakala a eu le dos hachuré ce n’est pas parce qu’il a pour totem le zèbre, c’est parce qu’on a voulu atteindre André Okombi Salissan à travers lui. Si Munari, Mierassa, Bowao et Oba Blanchard vivent la peur au ventre avec pour probable destination finale, les geôles du pouvoir ou l’au-delà, c’est parce qu’ils ont en face d’eux des jusqu’au-boutistes. Si André Okombi Salissa vit en clandestinité et craint pour sa vie, c’est parce qu’il a vu clair dans le jeu de l’Homme de l’Alima. Si le Pasteur Ntumi a repris le chemin de la protestation armée c’est parce qu’il ne doit rien à Sassou, à l’inverse de Guy Brice Parfait Kolélas. Le fait est que les partisans du « Allons seulement » veulent faire reculer la civilisation vers les confins de la sauvagerie. Tous ceux qui ont contesté la victoire de Sassou Nguesso lors de la présidentielle de mars 2016, sont des bêtes à abattre. Tant pis pour les effets collatéraux dont Kolélas et Tsaty-Mabiala, à leur corps défendant, feraient les frais. Le fin mot de l’histoire, reste la fourberie. Pour sortir de la crise par le haut, la solution passe par le dialogue inclusif. C’est ce que demandent également les membres mbochi lato sensu du cercle fermé du pouvoir, comme le prouve la courageuse prise de position de l’ancien ministre de la santé du Congo François Ibovi. Aujourd’hui, tous ses parents craignent pour sa vie car comme dans la mafia, en Sassouland c’est vite fait de se retrouver au fond d’une rivière le corps lesté d’une charge de 50 kg ! « Porté disparu » diront les bonnes âmes.

    Luttes intestines

    En réalité, se mène en filigrane une guerre de tranchées entre la lignée Nguesso d’Oyo/Edou dont se réclameraient les Ibovi et la lignée des Omouanga, père supposé de Mr 8%, originaire d’Owando selon les investigations du journaliste Elie Smtih. D’où cette grogne des véritables filles et fils d’Oyo qui supportent de moins en moins cette OPA lancée par les Sassou sur Oyo, offre public d’achat ayant pour effet de marginaliser les mbochi stricto sensu de cette localité d’anciens pêcheurs d’eau douce devenus milliardaires à Brazzaville grâce à la pêche au pétrole en haute mer.
    Affaire à suivre !

  25. BULUKUTU dit :

    Lu pour vous.

    Par Ossere Ondele.

    Jean Claude, Léon et François, IBOVI un trio d’enfer et de fer a tenté le bras de fer avec Sassou !
    La guerre de tranchées entre la lignée OMOUANGA et la lignée NGUESSO aurait-elle commencé ? Il semble que oui. Au regard des jérémiades des frères Ibovi, il s’agit de l’éternel combat du pot de terre contre le pot de fer.

    Délation

    « S’il m’arrive quelque chose, ne cherchez pas longtemps, ne cherchez pas loin ! » L’auteur de cette pensée sait de quoi il parle. Ancien ministre de Sassou, il a formulé ce pronostic prémonitoire pour avoir dit devant témoins des choses pas sympa pour Sassou et, ces choses ont été rapidement rapportées à qui de droit par un infiltré. Il faut être naïf pour ne pas penser que dans le système de Sassou les murs n’ont pas des oreilles.

    Convoqué à Mpila, ce « recalé » du gouvernement de Mouamba aurait eu un échange glacial avec Monsieur 8% et c’est à l’issu de ce houleux entretien qu’il avait compris que sa vie ne valait plus un kopeck.

    De quoi s’agit-il ?

    L’altercation se serait passée au cours d’un « décrassage » (cérémonie où se lave en famille le linge ultra sale). Sauf qu’ici, c’était un débriefing suite au hold-up électoral où Sassou s’est sali les mains le 20 mars dernier en bluffant le peuple Congolais. Son geste a alors particulièrement donné la nausée à un frère Ibovi. L’infortuné ministre aurait tenu des propos politiquement incorrects à l’endroit du Roi d’Oyo qui, comme chaque monarque, préfère être entouré de courtisans que de donneurs de leçon surtout si, à l’instar des mouches, on a été nourri par lui au lait et au miel.

    Alors que, dans un indécent existentialisme, certains partisans célébraient le braquage des urnes, cet empêcheur de tourner en rond a contesté en public les résultats fabriqués par Bouka, validés par Iloki et ses sujets de la Cour Constitutionnelle. Ce coup de pied dans la termitière n’a pas été du goût de nos constitutionalistes en herbe, corrompus à hauteur de 20 millions de francs chacun. Il paraît que dans un sursaut de conscience, ces juristes véreux se sont empressés de qualifier de « gros n’importe quoi » les résultats de Mboulou, Bouka, Iloki et compagnie proclamés à la hussarde et nuitamment. Ils ont critiqué mais n’ont pas moins les mains sales, dirait Jean-Paul Sartre, en empochant vingt briques pour service rendu. Et comme par hasard, tous, pour paraphraser Jean-Pierre Makouta-Mboukou, sont originaires de la « septentrionie ethnique ». Solidarité des tranchées tribales oblige ! Qui le leur reprocherait dans ce monde où le seul culte valide est celui du veau d’or ! Passons.

  26. BULUKUTU dit :

    Lu pour vous et pour nous suite.

    Langue fourchue

    Personne ne comprend dans le milieu des « allons seulement » qu’on ne tienne pas sa langue, qu’on se répande en indiscrétions en public, autant de fuites qui remettent en cause des résultats, certes, cousus de fil blanc, qui ont permis à Sassou de rempiler et à chacun de garder ses prérogatives, de conserver ses acquis. Pire, nombre de faux vainqueurs, craignant de subir les foudres de Mpila, ont fini par accepter, de gré ou de force, la forfaiture. De ce fait, travaillé par le remords, il n’en fallait pas plus pour que celui qui fut l’ancien porte-parole du candidat Sassou Nguesso pour les affaires internationales lors de la présidentielle de mars dernier, sorte de sa réserve. François Ibovi (car c’est lui), est dans de beaux draps.

    Qu’il s’insurge contre cette barbarie sans nom alors qu’il était conscient du degré de violence qui s’abat actuellement sur les innocents, autant dire que c’est assez téméraire de sa part. Ce n’est pas Augustin Kalakala torturé avec bestialité qui dirait le contraire.

    « Au lieu d’avoir la victoire modeste, le pouvoir se permet de surcroit d’embastiller les opposants, de les violenter, les pourchasser au lieu de favoriser le dialogue » s’est indigné notre rabat-joie ! Celui-ci, l’impudent, sachant qu’il s’exprimait devant un public truffé d’espions devait se douter qu’il y aurait délation. Ces balances ont vite fait d’aller rapporter ses propos à Monsieur 8%, provoquant le courroux de celui-ci et la convocation manu-militari du frondeur à Mpila. Que quelqu’un ait vendu la mèche, c’est dans l’ordre des choses en sassouland où l’on vit de trahison et se repaît de dénonciations.

    Après ces explications ou il a réitéré sa nette volonté de privilégier le dialogue plutôt que la répression armée, l’ancien porte-parole du candidat Sassou qui connaît le mode opératoire du tigte d’Oyo a vite fait d’aller réunir les siens pour les informer du danger qu’il courrait suite à cette explication de texte avec l’ogre d’Oyo. Se sachant dans le collimateur des « tueurs froids » de Monsieur 8%, il a pris les devants en réunissant le cercle familial : « S’il m’arrive quelque chose, ne cherchez pas loin ! »

    Un patronyme pas comme les autres

    Le rebelle, vous aurez compris, fait partie d’une famille dont le nom est synonyme de courage et de sursaut républicain. Un membre de cette fratrie est député à l’Assemblée et avait pris position contre ses propres parents qui voulaient triturer la Constitution pour que Sassou rempile. Un autre, siégeant comme membre du comité central du PCT, avait pris lui aussi position contre le Bis Repetitas de Sassou Nguesso à la présidentielle. Cet enfant terrible a pris la parole au cours d’une des sessions du comité central de son parti pour dire, à ses camarades, tout le bien qu’il pensait du changement de la constitution et, par ricochet, son aversion de voir le président sortant se représenter pour un nouveau mandat. Pressentant les difficultés, il voulait éviter qu’il n’ait une sortie du pouvoir peu honorable en voulant un passage en force. Peine perdue ! Il sera marginalisé au sein du pré-carré ethnique. Allez savoir si ce ne sont pas ses propres « parents » qui avaient prémédité son agression à l’aéroport Roissy Charles de Gaulle lors d’une mission de service !

    Manifestement Jean-Claude, Léon et François sont un trio d’enfer et de fer. Fils d’Oyo, ils ne demeurent pas moins des républicains droits dans leurs bottes, n’en déplaisent aux nostalgiques de l’imposture ethnocentriste.

    Un secret pour personne !

    Au sujet du braquage électoral, les langues se délient sur fond de partage du butin.
    Un adage populaire bien de chez nous, dit : « Le cafard a beau s’oindre de farine, la poule fini toujours par le retrouver. » On pourrait ajouter cet autre adage populaire qu’aiment répéter les artistes des deux rives du Congo : « le mensonge prend l’ascenseur. La vérité, elle, prend l’escalier » (« Quel que soit le temps que prend la vérité, elle finit par arriver » disent les latins). Il ressort clairement que tout ou une partie de l’establishment ainsi que les proches du pouvoir savaient la réalité des résultats des urnes de l’élection présidentielle de mars 2016. Tous savaient pertinemment qui avait gagné, qui avait perdu. Qui était arrivé premier au premier tour et qui n’avait pas franchi le cap de ce premier tour. Beaucoup ont même craché le morceau dans certains cénacles. De Mvouba au général Ollessongo, en passant par l’épouse du candidat sortant, Clément Mouamba, Elvis Digne Okombi Tsalissant, Rodolphe Adada, tous étaient dans le secret des Dieux : le cambriolage électoral en mars 2016 était un fait avéré.

    Sassou, lanterne rouge

    Mais l’indignation n’étaient pas fondée sur les mêmes raisons éthiques « Avec tous les moyens qu’on a mis à votre disposition, le Président n’a pas pu gagner à Pointe-Noire ? Même ne pas arriver en tête ? » a geint le général Ollessongo devant Isidore Mvouba sur le parvis de L’Hôtel Atlantic Palace de Pointe-Noire. Rappelons que Mvouba était le Directeur de campagne de Monsieur 8% à Pointe-Noire, Rodolphe Adada directeur à Brazzaville, l’apprenti milicien Elvis Digne Okombi Tsalissant s’était essuyé les pieds sur le dos d’Adada. Okombi Tsalissant n’avait pas hésité de sermonner en public le Directeur de campagne de la ville de Brazzaville pour n’avoir pas réussi à faire élire Sassou à Brazzaville. Puis, toute honte bue, tirant la couverture à lui, il lança à la cantonade qu’avec son Pona Ekolo, financé par le maire de Brazzaville, il se démenait comme un beau diable pour truquer les procès-verbaux afin d’inverser les résultats en faveur de Monsieur 8%. Épaulé par les spécialistes du scannage de documents et de falsifications des procès-verbaux, le vice-président de la CONEL et président de l’association Pona-Ekolo, n’a pas en effet lésiné sur les moyens pour modifier le cours des résultats de Sassou Nguesso à Brazzaville. Normal, qu’il « manque », (diraient les Ivoiriens), Rodolphe Adada ! Sous-entendu « manquer de respect. » Dans le lot de ceux qui savent ce qui s’est réellement passé, Adada figure en bonne place. Son honnêteté l’a même trahi. En recevant des journalistes, il avait laissé glisser en « Off » que même la Bouenza et le Niari n’avaient pas voté pour le candidat du PCT, que dans ces deux départements, il était arrivé loin derrière les candidats Mokoko, Okombi, Munari et Tsaty-Mabiala ! Lanterne rouge ! Oui, il s’agit d’une autocritique collective avec une once d’ironie socratique.

  27. BULUKUTU dit :

    Lu pour vous et nous, suite 2

    Antoinette dépitée

    Abattue et groggy : telle était l’état d’Antoinette, l’épouse de Sassou, après l’annonce des résultats de l’élection présidentielle. Tout en dévissant avec les camarades de son « moziki » pendant le débriefing d’après campagne, Antoinette Sassou-Nguesso se serait « lâchée ». Entre deux petits fours qui visiblement avaient le goût amer du fruit à pain, elle a eu la langue fourchue en interpellant ses amies dont certaines étaient originaires du Pool. Pourquoi, le Pool, tançait-elle, n’avait pas voté pour son mari, avant de se ressaisir et d’ajouter l’air dépitée : « Ah, je parle du Pool qui n’a pas voté pour mon mari. Et, mes propres parents du Kouilou ? Ils n’ont pas fait mieux ! » Puis d’ajouter, philosophe, « Quand on parle d’argent qui manquait pour mobiliser les équipes de campagne, etc. Laissez-moi rire. Mokoko, il avait quel argent ? Il n’a pas mis autant d’argent dans cette campagne comme nous l’avons mis ! Je ne comprends pas comment les gens ont pu voter pour Mokoko alors qu’il n’avait pas le sou. »

    Tout va se savoir !

    Qui se souvient des gémissements de Lili Loumande, la fille de Madame Sassou, belle-fille de Sassou Nguesso, himeself ! N’avait-elle pas chialé lorsqu’une traque en règle avait été organisée aux États-Unis contre sa maman par les avocats Américains de Hodjeij ! Les deux dames avaient dû passer par Bangui en Centrafrique pour rejoindre Brazzaville en pleurant comme une Madeleine : « Maman ne voulait pas de cette affaire. Elle ne voulait pas qu’il se représente. Maintenant c’est nous qu’on traque ! »

    Passe d’armes à fleuret moucheté

    « Mais vous aussi dans le Pool, tout ça c’est de votre faute. Vous n’avez pas voté pour le Président » aurait balancé à la figure jaune papaye de Mvouba, Clément Mouamba, premier ministre de Sassou Nguesso qui, bien qu’étant de l’Upads, semblait, lui, avoir voté pour l’homme d’Oyo ! Le sang de ce celui qui fut encore à une date récente la caution ethnique du Pool de Sassou, n’a fait qu’un tour. Sans mâcher les mots, il a répondu du tac-au-tac : « Et vous dans la Lekoumou ! Vous avez voté pour Sassou sans doute ? » Un aparté en marge de la rencontre initiée par les producteurs du « vivre ensemble » à l’hôtel Ledger ex-Méridien entre les cadres du Pool qui étaient censés statuer sur l’affaire Ntumi a failli se transformer en pugilat. Comme quoi, les loups finissent parfois par se battre entre eux.

    La Likouala Oye Oye Viva !

    Le Kouilou, la Bouenza, le Niari, la Lekoumou, le Pool et même Brazzaville n’ont pas voté pour Sassou. Ces aveux sont faits par les tenants du pouvoir eux-mêmes à la suite d’une crise de conscience. Le candidat de « Allons Seulement » avait été disqualifié dès le premier tour. Ce ne sont ni les opposants ni les membres de la plate-forme IDC-FROCAD élargie à J3M qui l’ont dit. C’est encore moins la CTE (Commission Technique Électorale) qui a livré le secret de ses résultats compilés. C’est « Bango na Bango ! »

    Alors si toutes les localités du Congo (70% de la population congolaise), n’ont pas voté Sassou-Nguesso, comment expliquer l les 60% attribués à l’auteur du « Manguier, la Souris et l’Alima » ? La réponse ? Il faut aller la chercher dans la Likouala ou le Préfet n’a pas fait dans le détail, allant jusqu’à faire voter les Nbgandés, les Bayas, les Babingas de Ndongo-Zaïre, les Réfugiés Rwandais et toute âme vivant dans le département en âge ou pas de voter. Le Préfet de cette contrée s’est appuyé sur ces populations pour obtenir le fantasmatique score de 200% au profit de Sassou. Grâce à l’ajustement électoral apporté par la Likouala et son Préfet, alias « Monsieur 48 heures ! »tout est bien qui finit bien.

    Paroles prophétiques

    Plusieurs mois après ce braquage électoral, les langues se délient et le bon sens est imploré afin que tous ceux qui se sont mis dans la peau des vainqueurs puissent se ressaisir et privilégier la voie du dialogue. L’idéal serait qu’ils fassent profil bas et mettent de côté leur amour-propre. C’est ce que l’ancien ministre, François Ibovi a dit à l’auteur du cambriolage électoral de mars 2016. Et si, par extraordinaire, François Ibovi venait à disparaître, le monde a le droit de savoir d’où vient le coup. En fait dans ce casse du siècle, les braqueurs refusent de partager le butin en jouant les gros bras !

    L’opinion doit savoir aussi que si Mokoko, Banangazala, Jean Ngouabi, Modeste Boukadia, Paulin Makaya et d’autres, croupissent en prison c’est parce qu’ils sont du côté de la raison. Si Augustin Kalakala a eu le dos hachuré ce n’est pas parce qu’il a pour totem le zèbre, c’est parce qu’on a voulu atteindre André Okombi Salissan à travers lui. Si Munari, Mierassa, Bowao et Oba Blanchard vivent la peur au ventre avec pour probable destination finale, les geôles du pouvoir ou l’au-delà, c’est parce qu’ils ont en face d’eux des jusqu’au-boutistes. Si André Okombi Salissa vit en clandestinité et craint pour sa vie, c’est parce qu’il a vu clair dans le jeu de l’Homme de l’Alima. Si le Pasteur Ntumi a repris le chemin de la protestation armée c’est parce qu’il ne doit rien à Sassou, à l’inverse de Guy Brice Parfait Kolélas. Le fait est que les partisans du « Allons seulement » veulent faire reculer la civilisation vers les confins de la sauvagerie. Tous ceux qui ont contesté la victoire de Sassou Nguesso lors de la présidentielle de mars 2016, sont des bêtes à abattre. Tant pis pour les effets collatéraux dont Kolélas et Tsaty-Mabiala, à leur corps défendant, feraient les frais. Le fin mot de l’histoire, reste la fourberie. Pour sortir de la crise par le haut, la solution passe par le dialogue inclusif. C’est ce que demandent également les membres mbochi lato sensu du cercle fermé du pouvoir, comme le prouve la courageuse prise de position de l’ancien ministre de la santé du Congo François Ibovi. Aujourd’hui, tous ses parents craignent pour sa vie car comme dans la mafia, en Sassouland c’est vite fait de se retrouver au fond d’une rivière le corps lesté d’une charge de 50 kg ! « Porté disparu » diront les bonnes âmes.

    Luttes intestines

    En réalité, se mène en filigrane une guerre de tranchées entre la lignée Nguesso d’Oyo/Edou dont se réclameraient les Ibovi et la lignée des Omouanga, père supposé de Mr 8%, originaire d’Owando selon les investigations du journaliste Elie Smtih. D’où cette grogne des véritables filles et fils d’Oyo qui supportent de moins en moins cette OPA lancée par les Sassou sur Oyo, offre public d’achat ayant pour effet de marginaliser les mbochi stricto sensu de cette localité d’anciens pêcheurs d’eau douce devenus milliardaires à Brazzaville grâce à la pêche au pétrole en haute mer.
    Affaire à suivre !

  28. BULUKUTU dit :

    Lu pour vous et nous suite 2.

    Antoinette dépitée

    Abattue et groggy : telle était l’état d’Antoinette, l’épouse de Sassou, après l’annonce des résultats de l’élection présidentielle. Tout en dévissant avec les camarades de son « moziki » pendant le débriefing d’après campagne, Antoinette Sassou-Nguesso se serait « lâchée ». Entre deux petits fours qui visiblement avaient le goût amer du fruit à pain, elle a eu la langue fourchue en interpellant ses amies dont certaines étaient originaires du Pool. Pourquoi, le Pool, tançait-elle, n’avait pas voté pour son mari, avant de se ressaisir et d’ajouter l’air dépitée : « Ah, je parle du Pool qui n’a pas voté pour mon mari. Et, mes propres parents du Kouilou ? Ils n’ont pas fait mieux ! » Puis d’ajouter, philosophe, « Quand on parle d’argent qui manquait pour mobiliser les équipes de campagne, etc. Laissez-moi rire. Mokoko, il avait quel argent ? Il n’a pas mis autant d’argent dans cette campagne comme nous l’avons mis ! Je ne comprends pas comment les gens ont pu voter pour Mokoko alors qu’il n’avait pas le sou. »

    Tout va se savoir !

    Qui se souvient des gémissements de Lili Loumande, la fille de Madame Sassou, belle-fille de Sassou Nguesso, himeself ! N’avait-elle pas chialé lorsqu’une traque en règle avait été organisée aux États-Unis contre sa maman par les avocats Américains de Hodjeij ! Les deux dames avaient dû passer par Bangui en Centrafrique pour rejoindre Brazzaville en pleurant comme une Madeleine : « Maman ne voulait pas de cette affaire. Elle ne voulait pas qu’il se représente. Maintenant c’est nous qu’on traque ! »

    Passe d’armes à fleuret moucheté

    « Mais vous aussi dans le Pool, tout ça c’est de votre faute. Vous n’avez pas voté pour le Président » aurait balancé à la figure jaune papaye de Mvouba, Clément Mouamba, premier ministre de Sassou Nguesso qui, bien qu’étant de l’Upads, semblait, lui, avoir voté pour l’homme d’Oyo ! Le sang de ce celui qui fut encore à une date récente la caution ethnique du Pool de Sassou, n’a fait qu’un tour. Sans mâcher les mots, il a répondu du tac-au-tac : « Et vous dans la Lekoumou ! Vous avez voté pour Sassou sans doute ? » Un aparté en marge de la rencontre initiée par les producteurs du « vivre ensemble » à l’hôtel Ledger ex-Méridien entre les cadres du Pool qui étaient censés statuer sur l’affaire Ntumi a failli se transformer en pugilat. Comme quoi, les loups finissent parfois par se battre entre eux.

  29. BULUKUTU dit :

    Lu pour vous et nous suite 3 chez des confrères journalistes.

    La Likouala Oye Oye Viva !

    Le Kouilou, la Bouenza, le Niari, la Lekoumou, le Pool et même Brazzaville n’ont pas voté pour Sassou. Ces aveux sont faits par les tenants du pouvoir eux-mêmes à la suite d’une crise de conscience. Le candidat de « Allons Seulement » avait été disqualifié dès le premier tour. Ce ne sont ni les opposants ni les membres de la plate-forme IDC-FROCAD élargie à J3M qui l’ont dit. C’est encore moins la CTE (Commission Technique Électorale) qui a livré le secret de ses résultats compilés. C’est « Bango na Bango ! »

    Alors si toutes les localités du Congo (70% de la population congolaise), n’ont pas voté Sassou-Nguesso, comment expliquer l les 60% attribués à l’auteur du « Manguier, la Souris et l’Alima » ? La réponse ? Il faut aller la chercher dans la Likouala ou le Préfet n’a pas fait dans le détail, allant jusqu’à faire voter les Nbgandés, les Bayas, les Babingas de Ndongo-Zaïre, les Réfugiés Rwandais et toute âme vivant dans le département en âge ou pas de voter. Le Préfet de cette contrée s’est appuyé sur ces populations pour obtenir le fantasmatique score de 200% au profit de Sassou. Grâce à l’ajustement électoral apporté par la Likouala et son Préfet, alias « Monsieur 48 heures ! »tout est bien qui finit bien.

    Paroles prophétiques

    Plusieurs mois après ce braquage électoral, les langues se délient et le bon sens est imploré afin que tous ceux qui se sont mis dans la peau des vainqueurs puissent se ressaisir et privilégier la voie du dialogue. L’idéal serait qu’ils fassent profil bas et mettent de côté leur amour-propre. C’est ce que l’ancien ministre, François Ibovi a dit à l’auteur du cambriolage électoral de mars 2016. Et si, par extraordinaire, François Ibovi venait à disparaître, le monde a le droit de savoir d’où vient le coup. En fait dans ce casse du siècle, les braqueurs refusent de partager le butin en jouant les gros bras !

    L’opinion doit savoir aussi que si Mokoko, Banangazala, Jean Ngouabi, Modeste Boukadia, Paulin Makaya et d’autres, croupissent en prison c’est parce qu’ils sont du côté de la raison. Si Augustin Kalakala a eu le dos hachuré ce n’est pas parce qu’il a pour totem le zèbre, c’est parce qu’on a voulu atteindre André Okombi Salissan à travers lui. Si Munari, Mierassa, Bowao et Oba Blanchard vivent la peur au ventre avec pour probable destination finale, les geôles du pouvoir ou l’au-delà, c’est parce qu’ils ont en face d’eux des jusqu’au-boutistes. Si André Okombi Salissa vit en clandestinité et craint pour sa vie, c’est parce qu’il a vu clair dans le jeu de l’Homme de l’Alima. Si le Pasteur Ntumi a repris le chemin de la protestation armée c’est parce qu’il ne doit rien à Sassou, à l’inverse de Guy Brice Parfait Kolélas. Le fait est que les partisans du « Allons seulement » veulent faire reculer la civilisation vers les confins de la sauvagerie. Tous ceux qui ont contesté la victoire de Sassou Nguesso lors de la présidentielle de mars 2016, sont des bêtes à abattre. Tant pis pour les effets collatéraux dont Kolélas et Tsaty-Mabiala, à leur corps défendant, feraient les frais. Le fin mot de l’histoire, reste la fourberie. Pour sortir de la crise par le haut, la solution passe par le dialogue inclusif. C’est ce que demandent également les membres mbochi lato sensu du cercle fermé du pouvoir, comme le prouve la courageuse prise de position de l’ancien ministre de la santé du Congo François Ibovi. Aujourd’hui, tous ses parents craignent pour sa vie car comme dans la mafia, en Sassouland c’est vite fait de se retrouver au fond d’une rivière le corps lesté d’une charge de 50 kg ! « Porté disparu » diront les bonnes âmes.

    Luttes intestines

    En réalité, se mène en filigrane une guerre de tranchées entre la lignée Nguesso d’Oyo/Edou dont se réclameraient les Ibovi et la lignée des Omouanga, père supposé de Mr 8%, originaire d’Owando selon les investigations du journaliste Elie Smtih. D’où cette grogne des véritables filles et fils d’Oyo qui supportent de moins en moins cette OPA lancée par les Sassou sur Oyo, offre public d’achat ayant pour effet de marginaliser les mbochi stricto sensu de cette localité d’anciens pêcheurs d’eau douce devenus milliardaires à Brazzaville grâce à la pêche au pétrole en haute mer.
    Affaire à suivre !

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